Des Etats Unis

C'est vrai qu'elle a une tête d'alcolo qui fait la danse des canards.

Innocenté 23 ans après grâce à des tests ADN


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Un homme condamné à vie pour le viol d'une femme et disculpé par des analyses ADN a été libéré vendredi par un juge du Texas (sud des Etats-Unis) après avoir passé 23 ans en prison, a indiqué son avocat dans un communiqué.

Ernest Sonnier, un Noir de 46 ans, avait été condamné pour l'agression et le viol d'une femme le soir de Noël 1985. Déjà lors de son procès, les analyses de sang trouvées sur la victime ne correspondaient pas au groupe sanguin de l'accusé et suggéraient qu'il était innocent, a indiqué son avocate Alba Morales, du groupe Innocence Project qui défend les condamnés à tort. Deux autres hommes, connus des services de police, ont été impliqués dans l'affaire à la suite des tests ADN.
Ernest Sonnier a été libéré vendredi sous caution par le juge du tribunal du Comté de Harris (Texas) en attendant qu'un autre jugement ne l'acquitte définitivement.

"Ernest Sonnier est libre aujourd'hui après plus de deux décennies dans les prisons du Texas pour un viol qu'il n'a pas commis", a déclaré son avocate dans un communiqué. "Cela fait tellement longtemps. Je suis heureuse et triste en même temps", a déclaré la mère d'Ernest Sonnier à sa sortie de prison vendredi.
Selon Innocence Project, le Texas est l'Etat qui compte le plus grand nombre d'erreurs judiciaires révélées après vérification d'indices génétiques. Sur les 241 condamnés qui ont été innocentés depuis 1989 aux Etats-Unis grâce à des analyses ADN, 38 se trouvaient au Texas. (belga/cb)

08/08/09 20h45

Obama et sa réforme: les opposants hurlent au socialisme


Moment très délicat pour Barack Obama. Comme annoncé durant sa campagne, il s'attaque aujourd'hui à la réforme des soins de santé, souhaitant créer une assurance pour permettre à tous les américains d'être soignés. Tout ceux qui avant lui se sont lancés dans cette réforme ont échoués et l'ont payé cash lors des élections suivantes. Un reportage d'Adel Lassouli.








Cette info en vidéo






Le débat autour du projet de réforme des soins de santé d'Obama fait rage aux Etats-Unis. Nombreux sont les Américains, en particulier l'électorat républicain, à rejeter ce qui pour eux s'assimilent à du socialisme, un terme plutôt péjoratif de l'autre côté de l'Atlantique. Pour ces opposants, la réforme rime avec hausse des impôts, bureaucratie et immixtion intempestive du gouvernement dans leur santé. "Ces gens (NDLR: ceux qui soutiennent la le projet de Barack Obama) veulent que nous allions travailler tous les jours pour payer LEURS soins de santé. Ils n'ont pas à faire ça, c'est dégoûtant", s'insurgeait récemment un opposant lors d'une manifestation.

46 millions d'Américains n'ont pas d'accès correct aux soins de santé
Il y a les "contre". Mais il y a aussi les "pour". Ceux qui jugent intolérables que 46 millions d'Américains ne bénéficient pas de soins de santé corrects. Une chose inimaginable en Europe. Mais, aux Etats-Unis, pays libéral par excellence, tous les présidents qui ont essayé de rendre les soins de santé accessibles à tous, se sont cassés les dents. Sous l'impulsion de sa femme Hillary, Bill Clinton avait essayé. Sans succès. En attendant, Barack Obama redouble d'efforts et monte au créneau pour défendre son projet face aux critiques, parfois farfelues de certains opposants. "Si nous sommes en désaccord, soyons-le sur des choses tangibles, pas sur cette présentation sauvage du projet qui ne ressemble en rien à ce qui a été proposé" a déclaré récemmentle président.
Le projet de réforme des soins de santé sera voté au Congrès à l'automne prochain. Il s'agira d'un moment crucial pour Barack Obama, l'homme dont la campagne reposait sur un mot: "Change". A voir...

Faillite de l'éditeur du Reader's Digest
(La Tribune.fr - 17/08/2009 | 20:55)

L'éditeur de la célèbre revue vient de se déclarer en faillite. Il s'est mis d'accord avec ses créanciers pour la restructuration de sa dette de 1,5 milliard de dollars.

Le Reader’s Digest fait faillite. L’éditeur de la célèbre revue, l’une des plus populaires aux Etats-Unis, vient d’annoncer qu’il allait se placer sous la protection du “chapitre 11“, en accord avec ses principaux créanciers.

L'éditeur Reader's Digest Association a déclaré que l'accord de restructuration prévoit qu'une "part importante" des 1,6 milliard de dollars de sa dette, soit convertie en titres. "La restructuration de notre dette nous permettra de disposer de la flexibilité financière afin de poursuivre notre croissance et nos initiatives de changement", a souligné la PDG, Mary Bernet.

Cela ne concerne cependant que les activités du groupe aux Etats-Unis, et non à l'étranger.

Cette année, le Reader's Digest avait déjà ramené sa fréquence à dix numéros par an au lieu de 12, et est passé de 8 millions à 5,5 millions d'exemplaires.

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En cas de faillite à part entière, ce serait une page de la vie de l'édition à l'échelle mondiale qui serait tournée.
Espérons que le Readers Digest n'arrivera pas à cette extrémité ?

Palestinian-American behind 'socialist-joker' Obama poster

ils n'ont pas fini de le trimbaler !!!! il va bientôt voyager plus mort que vivant !!
Les funérailles de Michael Jackson reportées au 3 septembre

NOUVELOBS.COM | 22.08.2009 | 14:40

Alors que la cérémonie était initialement prévue le 31 août, jour où le "King of pop" aurait fêté ses 51 ans, la famille a annoncé le report des funérailles le 3 septembre, sans raison officielle.



Le cercueil de Michael Jackson (AFP)
Les funérailles du chanteur américain Michael Jackson auront finalement lieu le 3 septembre, selon les déclarations de la famille. Joe Jackson, le père de la pop star décédée, avait pourtant annoncé que l'enterrement était prévu le 29 août, jour où le chanteur aurait dû fêter ses 51 ans.
Si la date change, le lieu des funérailles est maintenu : Michael Jackson reposera sur la Terrasse sacrée du Grand Mausolée du cimetière de Forest Lawn Memorial Park, à Glendale, dans la proche banlieue de Los Angeles.


Cérémonie strictement privée


La cérémonie, strictement privée et réservée à la famille et aux amis proches, se déroulera à 19 heures (heure locale). La famille Jackson, qui a annoncé le report des funérailles vendredi, n'a pas précisé la raison de cet ajournement. Selon le site d'information people Eonline, la célèbre famille aurait pris cette décision pour avoir le temps de "mettre des choses en ordre". Le clan aurait par ailleurs, selon la même source, accepté de prendre en charge les coûts liés à la sécurité de la cérémonie (déploiement d'officiers de police, par exemple).
Le Grand Mausolée de Forest Lawn a été bâti sur le modèle du célèbre Campo Santo de Gênes, en Italie. Protégé par de multiples caméras de sécurité, son accès est sévèrement réglementé.
Une partie publique abrite une reproduction de La Cène, la fresque milanaise de Leonard de Vinci, ainsi que plusieurs copies de statues de Michel-Ange.

(Nouvelobs.com)

sacré BILL


Les vacances d'Obama perturbées par l'ouragan Bill

A 18H00 GMT, l'ouragan Bill se trouvait à 460 km des Bermudes et à 1.115 km de la Caroline du Nord (sud-est des Etats-Unis). Il se déplaçait à 30 km/h vers le nord-nord-ouest avec des vents de 175 km/h, selon le Centre national des ouragans (NHC) basé à Miami (Floride, sud-est des Etats-Unis).

Selon le NHC, Bill, rétrogradé vendredi en catégorie 2 sur l'échelle de Saffir-Simpson qui en compte cinq, devrait passer entre l'archipel des Bermudes et la côte est des Etats-Unis samedi et au large de la côte nord-est tôt dimanche matin.

C'est là-bas, sur l'île très huppée de Martha's Vineyard (Massachusetts, nord-est), rendue célèbre par le clan Kennedy, que le président Barack Obama, sa femme Michelle et leurs deux filles Malia et Sasha doivent se reposer pendant une semaine.

Selon le porte-parole de la Maison Blanche, Robert Gibbs, la famille doit prendre ses quartiers d'été dans la petite ville de Chilmark, dans une villa sous haute surveillance baptisée "Blue Heron Farm" ("La Ferme du héron bleu").

Mais l'ouragan Bill pourrait bien devenir l'invité indésirable des vacances présidentielles.

Bill pourrait "nous frôler et aller en s'affaiblissant dans sa trajectoire vers le nord", a déclaré à l'AFP Ned Kaiser, directeur adjoint du port d'Edgardtown, sur l'île de Martha's Vineyard. "Nous nous attendons à des vents de 80 km/h dimanche", a-t-il ajouté.

"Nous pensons voir des vagues de sept à douze mètres en mer. Sur la côte, elles devraient être d'environ cinq mètres", a pronostiqué quant à lui Bill Gasperetti, un porte-parole des garde-côtes du Massachusetts.

Mais pour le moment, les Bermudes sont aux avant-postes et les autorités ont placé l'archipel en état d'alerte, ce qui a contraint l'ancien président américain Bill Clinton et sa femme Hillary, actuelle secrétaire d'Etat, à écourter leur séjour.

"Ils sont partis hier (jeudi) à cause de l'ouragan qui arrivait", a déclaré un responsable américain sous couvert de l'anonymat. Les époux Clinton s'étaient rendus dans l'archipel mercredi et devaient y rester jusqu'à samedi.

Interrogé par la presse vendredi, un porte-parole du département d'Etat, Ian Kelly, a confirmé qu'ils avaient quitté les Bermudes jeudi soir. Interrogé sur la destination qu'ils ont prise après avoir quitté les Bermudes, M. Kelly a répondu: "je ne sais pas où ils sont".

M. Kelly n'a pas souhaité commenter les rumeurs de presse selon lesquelles les Clinton se seraient dirigés vers Martha's Vineyard pour le mariage de leur fille Chelsea.

La houle générée par l'ouragan était déjà très forte autour des Bermudes, selon les médias locaux, et les plages ont été désertées.

Selon le quotidien Baltimore Sun, c'est aux Bermudes, il y a 30 ans tout juste, que Bill et Hillary Clinton ont conçu leur fille unique.

"La houle affecte déjà Porto Rico, Hispaniola (l'île que se partagent Haïti et la République Dominicaine), les Bahamas et les Bermudes", indiquait le NHC vendredi.

Al-Qaïda menace toujours les USA , huit ans après le 11-Septembre










Monde - International 17:18
Près de huit ans après les attentats du 11-Septembre, Al-Qaïda reste "très capable" de frapper les Etats-Unis, a jugé dimanche le chef d'état-major américain, dans un effort pour convaincre une opinion publique réticente de l'importance du combat en Afghanistan.
Le réseau extrémiste est "toujours très capable" de s'attaquer aux Etats-Unis et "très concentré sur cet objectif", a déclaré l'amiral Michael Mullen dans un entretien diffusé par la chaîne de télévision NBC.
"Ils disposent également de capacités d'entraînement, de soutien et de financement", a-t-il ajouté.
Or, Al-Qaïda continue de bénéficier du soutien des talibans en Afghanistan et au Pakistan, a rappelé l'amiral Mullen, justifiant ainsi la guerre menée contre eux en Afghanistan, où la situation est "sérieuse et se détériore".
Il s'est inquiété de l'érosion du soutien de l'opinion publique vis-à-vis de l'engagement américain en Afghanistan, qui vise selon l'administration Obama à "désorganiser, démanteler et vaincre Al-Qaïda au Pakistan et en Afghanistan et empêcher leur retour".
Quelque 51% des Américains estiment que cette guerre ne vaut pas la peine d'être menée, contre 47% d'opinions favorables, selon un sondage réalisé mi-août pour le Washington Post et ABC News.
"Evidemment, ces chiffres sont préoccupants", a reconnu l'amiral Mullen, alors que le commandement américain en Afghanistan devrait réclamer cette année de nouveaux renforts.
Le président Obama, qui a érigé le front afghan en priorité de son mandat et déclaré que cette guerre était "une nécessité", a pour le moment ordonné le déploiement de 21.000 soldats supplémentaires, ce qui portera leur nombre à 68.000 d'ici la fin de l'année.
La Maison Blanche attend d'ici deux semaines un rapport d'évaluation du commandant des forces armées américaines et alliées en Afghanistan, le général Stanley McChrystal.
Le Pentagone a prévenu que ce rapport n'inclurait pas de recommandation chiffrée pour plus de troupes, mais Washington s'attend à recevoir prochainement une requête pour des renforts par milliers.
Selon les médias américains, le général McChrystal envisage trois options: une à "haut risque", consistant à ne demander que 15.000 soldats supplémentaires, une "à moyen risque" prévoyant l'ajout de 25.000 troupes et une "à faible risque" prévoyant l'envoi de 45.000 hommes en plus.
Une méthode risquée, selon le sénateur américain John McCain, qui a dit dimanche craindre que les dirigeants américains ne lui accordent pas le nombre de soldats nécessaires sur le terrain sous la pression de l'opinion publique, échaudée par six ans de guerre impopulaire en Irak et des pertes humaines en hausse en Afghanistan.
Selon lui, le général McChrystal subit "de fortes pressions" au sein du gouvernement pour réduire ses demandes de renfort. Or "nous devons savoir exactement de quelles ressources il a besoin", puis laisser le Congrès américain en débattre avant l'ultime décision du président américain, a-t-il estimé sur la chaîne de télévision ABC.

Citation :

"L'ultime hommage de toute une Nation au dernier des Kennedy"

La fin d'une époque...



Le dernier patriarche du clan repose désormais auprès des siens.

Le sénateur a été inhumé samedi au cimetière national d'Arlington (Virginie) aux côtés de ses frères, John et Robert.

Tous les drapeaux étaient en berne sur les monuments publics. A Boston, comme dans le reste des Etats-Unis, les Américains ont rendu samedi un hommage national à Edward «Ted» Kennedy, le dernier représentant d'un clan qui a façonné la vie politique américaine depuis les années 1950. Une foule nombreuse avait bravé la pluie et le vent pour se rassembler à l'intérieur et autour de l'église catholique Notre Dame du perpétuel Secours à Boston (Massachusetts, nord-est), où le président Obama a ensuite rejoint la veuve de Ted Kennedy, Vicki et d'autres membres de sa très nombreuse famille.

M. Obama, qui s'est entretenu brièvement avec la veuve de Ted Kennedy samedi matin à Boston a ensuite prononcé un éloge funèbre lors de la messe, rendant hommage à Kennedy, «le champion de ceux qui n'en ont pas» et «l'âme du parti démocrate». Dans une allocution poignante marquant son affection pour Ted Kennedy, M. Obama a évoqué le «benjamin de la famille devenu son patriarche, le rêveur invétéré devenu son rocher».

Barack Obama considérait le sénateur, icône de la gauche américaine comme un mentor et un ami. Tôt dans la campagne présidentielle, Kennedy avait appelé à soutenir le candidat afro-américain face à Hillary Clinton.

http://www.leparisien.fr/international/ted-kennedy-repose-aupres-de-ses-freres-29-08-2009-620475.php

Citation :

"La venue de Kadhafi aux USA agace les proches des victimes de Lockerbie"



Plus de 200 personnes ont défilé à Englewood, parmi lesquelles le gouverneur de l'État du New Jersey, Jon Corzine, pour protester contre la rénovation par le gouvernement libyen d'un site de 2 hectares initialement destiné à accueillir la tente bédouine du colonel Kadhafi à l'occasion de sa première visite aux Etats-Unis depuis son arrivée au pouvoir il y aura 40 ans ce lundi.

La présidence des Etats-Unis et de nombreuses familles, surtout américaines, des victimes de l'attentat de Lockerbie se sont élevées contre la libération de l'unique personne condamnée, Abdelbaset Ali al-Megrahi, atteint d'un cancer en phase terminale, et l'accueil de héros qui lui a été réservé à Tripoli le 20 août.

L'attentat du 21 décembre 1988 contre un Boeing 747 de la PanAm au-dessus de la ville écossaise de Lockerbie avait fait 270 morts: 259 personnes à bord -des Américains pour la plupart- et 11 au sol. Parmi les 189 Américains morts ce jour-là, 97 habitaient à New York et dans le New Jersey.

Le fils le plus en vue du colonel Kadhafi, Seïf al-Islam, a exprimé sa sympathie aux familles des victimes dans un entretien publié par le "New York Times" dimanche. Il a affirmé que "d'un point de vue libyen, M. Megrahi a reçu un accueil discret".

http://fr.news.yahoo.com/3/20090830/twl-usa-gb-libye-lockerbie-kadhafi-224d7fb.html

Pris sur le message de Jack

Près de huit ans après les attentats du 11-Septembre, Al-Qaïda reste "très capable" de frapper les Etats-Unis, a jugé dimanche le chef d'état-major américain, dans un effort pour convaincre une opinion publique réticente de l'importance du combat en Afghanistan.

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Be careful what you wish for, you might just get it!!!

La gauche americaine a tout fait pour que les Americains s'opposent a la guerre (en Irak) et abandonnent tout desir de combattre un ennemi "terroriste" concocte par le gouvernement Bush.

Elle a obtenu son souhait et plus: la majorite des Americains ne soutenant plus la guerre en Afghanistan, le motif derriere celle-ci: combattre le terrorisme, n'existant plus (le terme "terrorisme" ayant d'ailleurs ete remplace par desastre humain par le nouveau gouvernement).

Les politiques au pouvoir se trouvent quelque peu coinces, victimes de la reussite de leur strategie.

Les pompiers de Californie ne parviennent pas à contrôler l'incendie au nord de Los Angeles
(LEMONDE.FR avec AFP | 31.08.09 | 07h34)



REUTERS/MARIO ANZUONI - L'incendie au nord de Los Angeles menace le centre de transmissions du mont Wilson, qui assure la diffusion des principales chaînes de télévision de Los Angeles, de deux tiers des radios FM et les transmissions de plusieurs forces de l'ordre locales et fédérales.

Deux pompiers sont morts, dimanche 30 août, dans leur véhicule alors qu'ils combattaient le feu qui fait rage depuis mercredi au nord de Los Angeles, en Californie, ont annoncé les autorités. Le véhicule des deux victimes, qui faisaient partie des pompiers de Los Angeles, a quitté la route pour une raison encore inconnue et s'est écrasé en contrebas, au sud de la ville d'Acton, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Los Angeles.

L'incendie, qui frappe la forêt nationale d'Angeles, au nord d'une zone densément peuplée à une trentaine de kilomètres au nord de Los Angeles, était contenu à moins de 5 % dimanche et était toujours considéré "hors de contrôle", selon le service américain des forêts nationales. Il menace désormais le centre de transmissions du mont Wilson, qui assure la diffusion des principales chaînes de télévision de Los Angeles, de deux tiers des radios FM et les transmissions de plusieurs forces de l'ordre, locales et fédérales.

Plus de 2 500 pompiers se battent contre les flammes, alors que les hélicoptères porteurs d'eau et un avion DC-10 se relaient sur le terrain, et qu'une épaisse fumée, visible à des kilomètres, envahissait le ciel de Los Angeles et les vallées de San Fernando et San Bernardino, au nord de la mégalopole. Depuis le début de l'incendie, quatre pompiers ont également été blessés. Le gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger, s'est rendu dimanche sur les lieux de l'incendie pour superviser les opérations, et a assuré que la Californie avait "les ressources pour que les hommes et femmes héroïques qui combattent les incendies disposent des moyens nécessaires".

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Je suis étonné, personne n'a encore déclaré que c'est George Bush le responsable de ces incendies mais bon, d'ici à ce qu'ils soient maîtrisés ça va peut-être venir ?
Par contre les journalistes se gargarisent sans cesse d'un "désastre écologique", parfois "catastrophe", mais je n'ai encore entendu aucun d'entre eux parler de désastre humain.

Oubli de l'Homme, signe des temps ?

Biloulou

Peut-etre parce que le "desastre humain" est maintenant utilise en place et lieu de "terrorisme".

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Tant que j'y suis et en passant, aucune critique de President Obama, seulement des faits:

Date ................Presidential Approval Index Strongly Approve Strongly Disapprove Total Approve Total Disapprove

08/31/2009	-11	30%	41%	46%	53%

===

01/21/2009

+28

44%

16%

65%

30%

Bonjour Sylvette
Comment va Nessie?cette gentille bébète t'attendait depuis
si longtemps

"Les Etats-Unis cesseront d'exister en juillet 2010"


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Les Etats-Unis cesseront d'exister en juillet 2010, a affirmé lundi un politologue russe en présentant son livre sur ce sujet où il compare le président américain Barack Obama au dernier leader soviétique Mikhaïl Gorbatchev.

La société américaine est au seuil d'une "catastrophe psychologique"
"La probabilité que les Etats-Unis cesseront d'exister en juillet 2010 est supérieure à 50%", a déclaré lors d'une conférence de presse Igor Panarine, professeur de l'Académie diplomatique du ministère russe des Affaires étrangères.

"Les résultats de l'exercice financier qui se termine le 30 septembre vont choquer les investisseurs", a-t-il déclaré en ajoutant que le processus de désintégration commencerait en novembre.

Citant pêle-mêle l'ouragan Katrina, la violence des mineurs, les familles monoparentales, les prisons surpeuplées et l'abondance d'homosexuels, l'auteur conclut que la société américaine est au seuil d'une "catastrophe psychologique".

Obama "mènera l'Amérique vers un krach"
M. Panarine a dressé aussi des parallèles entre l'Amérique actuelle et l'Union soviétique avant sa chute. "La dette américaine a été multipliée par sept en onze ans. Sous Gorbatchev la dette soviétique a été multiplié par cinq", a-t-il souligné.

"Obama a une mentalité de travailleur social, il parle bien, mais il n'avait jamais rien dirigé. Il mènera l'Amérique vers un krach", selon M. Panarine.

Vladimir Mamontov, rédacteur en chef du quotidien proche du Kremlin Izvestia, a expliqué au cours de la même conférence de presse qu'il publiait les opinions de M. Panarine parce que les "versions insolites (des évènements) aident les lecteurs à surfer entre des informations monotones".

Les pronostics de M. Panarine n'ont "absolument aucune valeur"
Pour le politologue Fedor Loukianov, rédacteur en chef du journal La Russie dans le monde global, les pronostics de M. Panarine n'ont "absolument aucune valeur" pour les spécialistes. (belga/th)

31/08/09 18h08

charlycharly1940 a écrit:

Bonjour Sylvette
Comment va Nessie?cette gentille bébète t'attendait depuis
si longtemps

Bonjour Charly

Nous sommes a Dublin, et demain soir, si tout va bien, ce sera Casablanca.

Nessie? il ne s'est pas montre!



Bonnes Vacances en Tunisie a Vous!

http://www.megaupload.com/?d=KIMT9H7Y

Dépêchez-vous Sylvette, faites vite avant que les États-Unis cessent d'exister !

Ok, Ok, Biloulou , on court, on court!!!

Chére Sylvette



Bonne fête de Ramadan à Casa......

Nous revenons de Tanger... hum... les choses changent !

Sylvette a écrit:

charlycharly1940 a écrit:

Bonjour Sylvette
Comment va Nessie?cette gentille bébète t'attendait depuis
si longtemps

Bonjour Charly

Nous sommes a Dublin, et demain soir, si tout va bien, ce sera Casablanca.

Nessie? il ne s'est pas montre!



Bonnes Vacances en Tunisie a Vous!

JACKLELOUP a écrit:

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Bonsoir Jack

Le lien permet la copie d'un très bon disque.

Merci!

charlycharly1940 a écrit:

"Les Etats-Unis cesseront d'exister en juillet 2010"


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Les Etats-Unis cesseront d'exister en juillet 2010, a affirmé lundi un politologue russe en présentant son livre sur ce sujet où il compare le président américain Barack Obama au dernier leader soviétique Mikhaïl Gorbatchev.

La société américaine est au seuil d'une "catastrophe psychologique"
"La probabilité que les Etats-Unis cesseront d'exister en juillet 2010 est supérieure à 50%", a déclaré lors d'une conférence de presse Igor Panarine, professeur de l'Académie diplomatique du ministère russe des Affaires étrangères.

"Les résultats de l'exercice financier qui se termine le 30 septembre vont choquer les investisseurs", a-t-il déclaré en ajoutant que le processus de désintégration commencerait en novembre.

Citant pêle-mêle l'ouragan Katrina, la violence des mineurs, les familles monoparentales, les prisons surpeuplées et l'abondance d'homosexuels, l'auteur conclut que la société américaine est au seuil d'une "catastrophe psychologique".

Obama "mènera l'Amérique vers un krach"
M. Panarine a dressé aussi des parallèles entre l'Amérique actuelle et l'Union soviétique avant sa chute. "La dette américaine a été multipliée par sept en onze ans. Sous Gorbatchev la dette soviétique a été multiplié par cinq", a-t-il souligné.

"Obama a une mentalité de travailleur social, il parle bien, mais il n'avait jamais rien dirigé. Il mènera l'Amérique vers un krach", selon M. Panarine.

Vladimir Mamontov, rédacteur en chef du quotidien proche du Kremlin Izvestia, a expliqué au cours de la même conférence de presse qu'il publiait les opinions de M. Panarine parce que les "versions insolites (des évènements) aident les lecteurs à surfer entre des informations monotones".

Les pronostics de M. Panarine n'ont "absolument aucune valeur"
Pour le politologue Fedor Loukianov, rédacteur en chef du journal La Russie dans le monde global, les pronostics de M. Panarine n'ont "absolument aucune valeur" pour les spécialistes. (belga/th)

31/08/09 18h08

ils ont fini leurs vacances ? ils ont certainement eu du soleil, ils sont bien bronzés

Sarah Palin ne serait pas celle que l'on croit.
Julie Connan (lefigaro.fr)



Son ex-gendre, Levi Johnston, décrit l'ancienne candidate à la vice-présidence américaine comme une mère absente, vénale, séparée de son mari et peu initiée aux armes. De quoi révulser son électorat républicain.

C'est un portrait en négatif que dessine Levi Johnston de son ancienne belle-mère, Sarah Palin. Le jeune homme de 19 ans, père du bébé de Bristol Palin, prend le contrepied strict de tout ce qui a pu être dit et écrit sur l'ancienne candidate républicaine à la vice-présidence américaine, dans une interview accordée au magazine Vanity Fair.

Premier coup de griffe porté à Sarah Palin : selon le jeune homme, qui profite d'une popularité naissante, la gouverneure démissionnaire de l'Alaska a tenté de dissimuler la grossesse de sa fille de 17 ans, en proposant au jeune couple d'adopter leur futur enfant. «Elle nous a dit qu'elle avait une grande idée, que cette grossesse resterait secrète et que personne ne saurait que Bristol était enceinte. Elle n'arrêtait pas de répéter : ‘Alors, vous allez me laisser l'adopter ?'» L'annonce de la grossesse de sa fille mineure et célibataire avait provoqué un mini-scandale, quelques heures avant son investiture sur le ticket de John McCain à la convention républicaine, début septembre 2008.

«Les enfants doivent tout faire tous seuls»
Levi Johnston, désormais séparé de la fille Palin qu'il a failli épouser, est aussi le premier à démonter point par point l'image de Sarah Palin en mère de famille dévouée («hockey mom») de cinq enfants. «Il n'y avait pas vraiment d'éducation dans cette maison. Sarah ne cuisine pas. Todd (son mari, ndlr) non plus. Les enfants doivent tout faire tous seuls : cuisiner, faire le ménage, la lessive et se préparer pour aller à l'école. La plupart du temps, c'est Bristol qui aidait sa plus jeune sœur à faire ses devoirs et moi qui faisais des barbecues», explique le jeune homme qui a vécu 2 mois chez les Palin.

L'image de Sarah et Todd Palin en couple épanoui en prend également un coup. A en croire Levi Johnston, leur union n'avait plus rien de l'«amour de jeunesse» dont elle se vantait. Ils n'étaient unis que devant les caméras et pendant la campagne, mais dormaient dans des chambres séparées pendant la convention républicaine.

La principale motivation politique de Sarah Palin, à qui l'on prête des ambitions présidentielles pour 2012, serait en réalité l'argent, affirme Levi Johnston. «Je veux juste prendre l'argent et quitter le poste de gouverneur», lui aurait-elle déclaré au sujet d'un contrat éditorial, avant d'effectivement quitter ses fonctions à la surprise générale en juillet dernier.

Coup de grâce, s'il en est, porté à son électorat républicain : Sarah Palin, présentée pendant la campagne comme une chasseresse accomplie et une franche partisane de la NRA, ne saurait en réalité pas tirer. Son arme est encore dans son emballage, cachée sous son lit. Pis, elle ignore quel genre de calibre elle possède, assène le jeune homme.

Lawrence a écrit:

Sarah Palin ne serait pas celle que l'on croit.
Julie Connan (lefigaro.fr)



Son ex-gendre, Levi Johnston, décrit l'ancienne candidate à la vice-présidence américaine comme une mère absente, vénale, séparée de son mari et peu initiée aux armes. De quoi révulser son électorat républicain.

C'est un portrait en négatif que dessine Levi Johnston de son ancienne belle-mère, Sarah Palin. Le jeune homme de 19 ans, père du bébé de Bristol Palin, prend le contrepied strict de tout ce qui a pu être dit et écrit sur l'ancienne candidate républicaine à la vice-présidence américaine, dans une interview accordée au magazine Vanity Fair.

Premier coup de griffe porté à Sarah Palin : selon le jeune homme, qui profite d'une popularité naissante, la gouverneure démissionnaire de l'Alaska a tenté de dissimuler la grossesse de sa fille de 17 ans, en proposant au jeune couple d'adopter leur futur enfant. «Elle nous a dit qu'elle avait une grande idée, que cette grossesse resterait secrète et que personne ne saurait que Bristol était enceinte. Elle n'arrêtait pas de répéter : ‘Alors, vous allez me laisser l'adopter ?'» L'annonce de la grossesse de sa fille mineure et célibataire avait provoqué un mini-scandale, quelques heures avant son investiture sur le ticket de John McCain à la convention républicaine, début septembre 2008.

«Les enfants doivent tout faire tous seuls»
Levi Johnston, désormais séparé de la fille Palin qu'il a failli épouser, est aussi le premier à démonter point par point l'image de Sarah Palin en mère de famille dévouée («hockey mom») de cinq enfants. «Il n'y avait pas vraiment d'éducation dans cette maison. Sarah ne cuisine pas. Todd (son mari, ndlr) non plus. Les enfants doivent tout faire tous seuls : cuisiner, faire le ménage, la lessive et se préparer pour aller à l'école. La plupart du temps, c'est Bristol qui aidait sa plus jeune sœur à faire ses devoirs et moi qui faisais des barbecues», explique le jeune homme qui a vécu 2 mois chez les Palin.

L'image de Sarah et Todd Palin en couple épanoui en prend également un coup. A en croire Levi Johnston, leur union n'avait plus rien de l'«amour de jeunesse» dont elle se vantait. Ils n'étaient unis que devant les caméras et pendant la campagne, mais dormaient dans des chambres séparées pendant la convention républicaine.

La principale motivation politique de Sarah Palin, à qui l'on prête des ambitions présidentielles pour 2012, serait en réalité l'argent, affirme Levi Johnston. «Je veux juste prendre l'argent et quitter le poste de gouverneur», lui aurait-elle déclaré au sujet d'un contrat éditorial, avant d'effectivement quitter ses fonctions à la surprise générale en juillet dernier.

Coup de grâce, s'il en est, porté à son électorat républicain : Sarah Palin, présentée pendant la campagne comme une chasseresse accomplie et une franche partisane de la NRA, ne saurait en réalité pas tirer. Son arme est encore dans son emballage, cachée sous son lit. Pis, elle ignore quel genre de calibre elle possède, assène le jeune homme.

Vous l'avez dit!