Douce France - Nouvelles

c'est n'importe quoi ces prises d'otages, comme si les institutrices étaient responsables de la suppression de la classe
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Ariège - Trois institutrices "otages" de parents d'élèves

Des parents d'élèves retiennent depuis mardi soir des institutrices d'une école primaire de Laroque d'Olmes, dans l'Ariège, pour protester contre la fermeture d'une classe. "Nous avons pris possession de l'école et nous retenons les trois enseignantes de l'école, dont la directrice. Nous exigeons le maintien de la classe, au moins jusqu'à la fin de l'année, qu'ils les laissent terminer l'année", a déclaré la mère d'une élève de l'école Elisée Maury.

"Nous avons appris que l'Education nationale avait décidé de supprimer le poste d'une institutrice, disant qu'il n'y avait pas assez d'enfants, il y en a 47 élèves pour trois classes de CM1, CM2 et une classe CM1/CM2 et ils ont décidé d'en supprimer une", a-t-elle ajouté. Elle a assuré que les trois institutrices retenues contre leur gré seraient bien traitées. "Ca se passe dans le calme", a-t-elle insisté. A la sortie de l'école mardi, 70 parents ont bloqué l'école.

"L'Etat nous laisse dans la ruine"

L'inspecteur d'académie de Foix a proposé de venir discuter avec eux s'ils levaient le blocage, mais ils ont refusé et affiché leur détermination en établissant un planning de roulement pour occuper l'école tant qu'ils n'auront pas eu gain de cause. Jean-Charles Sutra, conseiller municipal de Laroque d'Olmes et responsable de la commission scolaire, s'est joint au mouvement de protestation.

"Nous sommes dans une région textile sinistrée, avec de nombreux licenciements, les gens partent pour aller chercher du travail ailleurs, nous venons de perdre trois élèves et nous sommes passés en dessous du seuil de 49 élèves, nombre nécessaire pour maintenir les 3 classes". "L'Etat se désengage complètement et nous laisse dans la ruine, la gendarmerie est menacée, la trésorerie a fermé", regrette l'élu. Un conseil municipal devait se tenir symboliquement, mercredi, dans la cour de l'école, où l'ancien joueur de football Fabien Barthez a donné ses premiers coups de pied dans un ballon. je ne vois pas le rapport !!!

D'après agence

Polémique - Faut-il mesurer 1,68 m pour être derrière Sarkozy ?

.........avait fait "son" discours....

mais au fait, monsieur le journaliste, hauteur de ce super article, qu'à t il dit aux ouvriers le Président Sarkozy ???

Cette enquête qui accable Martine Aubry.
LePoint.fr

Les ennuis recommencent. Malgré sa rivalité toujours vive avec Ségolène Royal, Martine Aubry pensait avoir repris la main lors de l'université d'été de La Rochelle.

Hold-ups, arnaques et trahisons *, dont nous publions ici les bonnes feuilles, risque d'assombrir la rentrée du Parti socialiste. Dans une première partie digne d'un roman d'espionnage, les auteurs détaillent un système de triche à grande échelle lors de l'élection du premier secrétaire du PS. Certes, dans l'entourage de Martine Aubry, on rétorque que Ségolène Royal, sa rivale malheureuse, n'est pas non plus une sainte. N'a-t-elle pas été soutenue par des fédérations aux pratiques douteuses, comme celles de l'Hérault et des Bouches-du-Rhône ? Et de citer cette section « hors sol » de l'Hérault, dont les quelque 300 cartes échappent à tout contrôle ou cette équipe de jeunes footballeurs qui ont voté à Marseille sans trop savoir ce qu'ils faisaient là ! N'empêche : l'enquête d'Antonin André et Karim Rissouli, qui plonge aussi dans les coulisses du PS depuis deux ans, est une charge sévère contre Martine Aubry, élue patronne du premier parti d'opposition avec seulement 102 voix d'avance...

EXTRAIT 1 – « On ne prend plus de gants, vous bourrez les urnes »

EXTRAIT 2 – « Erreurs d'écriture »

EXTRAIT 3 – Contre-offensive des Royalistes


EXTRAIT 4 – « Aubry refait Le Monde »

EXTRAIT 5 – Julien Dray, le « bâtard » du PS

EXTRAIT 6 – Ségolène et ses ex-amis ? « Ils reviendront, ils reviendront... »


EXTRAIT 7 – Dominique Strauss-Kahn, panique à Washington

Lawrence a écrit:

Cette enquête qui accable Martine Aubry.
LePoint.fr

Les ennuis recommencent. Malgré sa rivalité toujours vive avec Ségolène Royal, Martine Aubry pensait avoir repris la main lors de l'université d'été de La Rochelle.

Hold-ups, arnaques et trahisons *, dont nous publions ici les bonnes feuilles, risque d'assombrir la rentrée du Parti socialiste. Dans une première partie digne d'un roman d'espionnage, les auteurs détaillent un système de triche à grande échelle lors de l'élection du premier secrétaire du PS. Certes, dans l'entourage de Martine Aubry, on rétorque que Ségolène Royal, sa rivale malheureuse, n'est pas non plus une sainte. N'a-t-elle pas été soutenue par des fédérations aux pratiques douteuses, comme celles de l'Hérault et des Bouches-du-Rhône ? Et de citer cette section « hors sol » de l'Hérault, dont les quelque 300 cartes échappent à tout contrôle ou cette équipe de jeunes footballeurs qui ont voté à Marseille sans trop savoir ce qu'ils faisaient là ! N'empêche : l'enquête d'Antonin André et Karim Rissouli, qui plonge aussi dans les coulisses du PS depuis deux ans, est une charge sévère contre Martine Aubry, élue patronne du premier parti d'opposition avec seulement 102 voix d'avance...

EXTRAIT 1 – « On ne prend plus de gants, vous bourrez les urnes »

EXTRAIT 2 – « Erreurs d'écriture »

EXTRAIT 3 – Contre-offensive des Royalistes


EXTRAIT 4 – « Aubry refait Le Monde »

EXTRAIT 5 – Julien Dray, le « bâtard » du PS

EXTRAIT 6 – Ségolène et ses ex-amis ? « Ils reviendront, ils reviendront... »


EXTRAIT 7 – Dominique Strauss-Kahn, panique à Washington

des journalistes qui ont encore fait les poubelles !!

je ne vois pas en quoi les les dérapages privés de monsieur DSK nous regardent c'est digne de france dimanche ou Voici (je ne sais même plus si c'est Voici ou Voilà )

quant au reste, ces messieurs enfoncent des portes ouvertes

et bien évidemment la Ségo fait sa vierge effarouchée. Elle va lire le livre et ensuite elle fera une "déclaration solennelle" !!!

la voilà qui a un os à ronger

Je vous l'avez dit: il semblerait que la semaine de quatre jours pour nos petits soit un désastre: les gamins et les profs en ressortent plus fatigués... et on a plus le temps de finir les programmes (qui sont de toutes façons ridiculement exhaustifs)

résultat: on ne remet pas en cause le samedi matin... mais on envisage de faire bosser les petis le mercredi matin C'est sûr que les tchiots seront plus en forme comme ça

Je suppose qu'on a intérêt à laisser les parents partir en week end dès le vendredi soir

Heureusement qu'on a les aventures du PS pour penser à autre chose

ici dans ma campagne, la semaine des 4 jours existent depuis plusieurs années et ça marche super bien, tout le monde est content, les gamins comme les parents.

franchement, ça ne change pas grand chose, ils reprennent l'école juste quelques jours avant les autres.

et puis même si on ne part pas en week end, ça nous permet de profiter de nos enfants pendant 2 jours entiers.

apparemment, vous, vous n'aimez pas ?

En résumé, nous parlons donc de 160 jours de travail par an sur 365 soit 43,83%.....
Mais que faire pendant 205 jours ?

TRAVAILLER PEUT ÊTRE et gagner plus !!!!!

Le préfet accusé de racisme est mis à la retraite d'office
(S.L. (lefigaro.fr) avec agences 09/09/2009 | 14:23)


«J'irai jusqu'au bout», a déclaré mercredi Paul Girot de Langlade.

Paul Girot de Langlade, accusé d'avoir tenu des propos racistes lors d'un contrôle à un aéroport, a été placé en retraite en Conseil des ministres mercredi. Il continue de nier les faits et promet d'attaquer en justice son ministre de tutelle, Brice Hortefeux.

Fin de carrière pour Paul Girot de Langlade. Le préfet, accusé d'avoir insulté de manière raciste une employée noire de la société Securitas, lors d'un contrôle de sécurité à l'aéroport d'Orly, a été mis à la retraite d'office en Conseil des ministres mercredi, comme l'avait annoncé Europe 1 dès la semaine dernière. La radio évoquait également une mise à la retraite sans solde, ce qui n'a pas été précisé mercredi.

Le préfet, âgé de 63 ans, était suspendu de ses fonctions depuis la mi-août et l'ouverture d'une enquête judiciaire contre lui pour «injures publiques à caractère racial». Il a toujours nié les faits qui lui sont reprochés. Selon l'employée de Securitas, qui avait porté plainte, il lui aurait lancé, irrité de devoir vider ses poches à un portique de sécurité : «On se croirait en Afrique », suivi d'un « il n'y que des noirs ici ».

Une femme qui accompagnait le préfet aurait également dit : «De toute façon, il n'y a que des personnes de couleur comme vous qui montent au créneau». La plainte en justice de l'employée, déposée fin juillet, avait été complétée quelques jours plus tard par deux autres, émanant de ses collègues.


«Cabale»

Paul Girot de Langlade, préfet hors cadre, a toujours assuré qu'il n'avait jamais tenu ces propos, qui lui ont valu d'être suspendu de ses fonctions de coordinateur local pour La Réunion des États généraux de l'outre-mer français. Il faisait pourtant l'objet de deux autres plaintes, classées sans suite, pour des propos racistes tenus en 2007 et 2008, à l'encontre des gens du voyage qu'il tenait pour responsables de la délinquance et «vivant d'escroqueries et de rapines». Ces deux sorties lui avaient valu son détachement «hors cadre».

Le préfet avait contre-attaqué fin août en accusant à son tour le ministre de l'Intérieur d'avoir monté une «cabale» contre lui. Selon Paul Girot de Langlade, Brice Hortefeux aurait «téléguidé» ces plaintes, «probablement pour faire oublier son passage au ministère de l'Intégration où il a mené une politique plus sévère que dans le passé et pour se refaire à bon compte une virginité de parfait antiraciste».

«L'Intérieur avait répondu qu'il «n'y a jamais eu le moindre coup monté» et que «le ministre n'a pas d'influence sur les dialogues qui peuvent se tenir dans les aéroports». Une procédure discipinaire avait été lancée contre le préfet par le ministère la semaine dernière.


«On n'est plus dans une démocratie»

Très remonté, Paul Girot de Langlade a réagi mercredi au micro de RTL en expliquant : «Moi je continue sur ma lancée, on va attaquer le ministre. Il aurait pu au moins me prévenir, me convoquer, il y a des conseils de discipline qui sont prévus pour ça, je ne suis pas passé devant, tout ça ne tient pas la route».

Selon lui, cette sanction est «injuste et sans fondement». Et d'ajouter : «On n'est plus dans une démocratie, on est dans une dictature, et je n'accepte pas cette affaire-là, je m'attendais à ce qu'au moins, ils me fassent passer devant un conseil de discipline, ils n'ont même pas eu ce courage-là», a-t-il dit. «Même ça, ça m'est refusé, je ne suis plus ni triste ni en colère, mais je suis déterminé, j'irai jusqu'au bout».

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Éternel et inépuisable débat en France, patrie auto-proclamée des libertés : où finit la liberté de s'exprimer et où commence l'insulte ? Où finit l'insulte et où commence le délit raciste ? Ou d'"orientation" sexuelle ? Ou de n'importe quelle tare, anomalie ou simple particularité ?

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Citation :

Le préfet, âgé de 63 ans, était suspendu de ses fonctions depuis la mi-août et l'ouverture d'une enquête judiciaire contre lui pour «injures publiques à caractère racial».

Cette info répond à ma question du fil Les doux dits d'Ediie d'août du 7 septembre quand je demandais des nouvelles du sieur Girot phare de la préfectorale.

En prolongement du commentaire perplexe de l'excellent Biloulou, sans chercher à vouloir déresponsabiliser le préfet dont la conduite es qualité de détenteur de la plus haute autorité publique n'a pas été "convenable" (vous pouvez vous passer de venable), je me permets de reprendre l'illustration déjà citée du dico en ligne de l'Atilf pour le substantif injure :

1. Robert Esprels : "Tu lui infliges la plus sanglante injure qui se puisse infliger à une femme...
Courpière : Qui est?
Robert Esprels : Qui est de lui exprimer en paroles, et de lui prouver en action, qu'on la respecte.
(Hermant, M. de Courpière, 1907, II, 4, p. 16.)

Sans oublier que quelquefois quand le silence dort, c'est mieux.

marieden a écrit:

ici dans ma campagne, la semaine des 4 jours existent depuis plusieurs années et ça marche super bien, tout le monde est content, les gamins comme les parents.

franchement, ça ne change pas grand chose, ils reprennent l'école juste quelques jours avant les autres.

et puis même si on ne part pas en week end, ça nous permet de profiter de nos enfants pendant 2 jours entiers.

apparemment, vous, vous n'aimez pas ?

Bonjour Marieden

Le problème est que chez nous il n'y a pas de reprise anticipée...
La semaine de 4 jours ça me va si on allège les programmes à proportion...sinon c'est complètement absurde...
Maintenant l'idée de rajouter une demi journée le mercredi au lieu du samedi me déplaît franchement (c'est le jour du sport)

Sinon je bosse le samedi ... (contraint de travailler 30% de plus qu'un temps plein parce que la sécu ne rembourse pas les traitements pour la pathologie de mon fils... c'est ça où je sacrifie mon fils)

ah je comprends !! ici ils ont repris une semaine avant le 3 septembre et pour les vacances de février ils n'ont qu'une semaine de vacances à la place des 15 jours pour les autres.

c'est pour ça que je trouve que c'est bien le programme peut être fait normalement avec des vacances moins longues

la sécu ne rembourse pas les soins de votre fils alors que beaucoup magouillent ce n'est pas normal

Bonjour Marieden

Malheureusement en effet la magouille est un sport national dans notre beau pays

Pour nos petis il y aurait deux solutions: faire comme chez toi et réduire les vacances pour que les gamins aient le temps d'assimiler et surtout de prendre plaisir à étudier
Ou alors de réduire ces fichus programmes dont on constate malheureusement que nos enfants n'en retiennent qu'un dizième...

Mais j'ai bien l'impression que les soi disant pédagogues chargés de concevoir les programmes cherchent à se venger sur les enfants de ce qu'ils ont eux mêmes dû subir
Je ne laisse pas de métonner que les enfants soient enchantés d'aller apprendre jusqu'à un certain âge et qu'ils finissent par haïr tout ce qui s'apparente de près ou de loin à de la culture...

Il m'a fallu près de dix ans (après le bac) pour commencer à aimer la grande littérature, après avoir quitté l'école... chaque fois que je tentais de prendre un bouquin j'avais le cauchemar de mes années lycées qui me revenait... Même chose pour les mathématiques, la physique et les philosophie... y'a un truc qui va pas...

ublié le 11/09/2009 à 10:58 - Modifié le 11/09/2009 à 14:02 Le Point.fr

DISPARITION
La fillette de 8 ans retrouvée morte au Mans, les parents en garde à vue


Marina, dont la disparition avait été signalée mercredi soir par son père, a été retrouvée morte vendredi matin au Mans. Le papa de la fillette de 8 ans, qui souffrait d'une "petite déficience intellectuelle", a reconnu avoir inventé l'histoire de sa disparition sur le parking d'un McDonald's et a été placé en garde à vue dans la nuit de jeudi à vendredi avec son épouse. "Il a avoué assez rapidement quand les gendarmes ont pointé les contradictions" et "a assez rapidement dit que l'enlèvement était imaginaire", a indiqué la procureur Joëlle Rieutort devant la presse.

Le corps de la petite fille a été découvert dans un "container" entreposé dans un "dépôt" du quartier de La Californie du Mans, à disposition des salariés de l'entreprise de déménagement où travaille le père. Celui-ci a affirmé que les causes du décès, intervenu, selon lui, "début août", étaient "naturelles", d'après la procureur. Le père a admis que son corps avait été conservé dans un congélateur, dans leur précédent domicile, à Ecommoy, dans la Sarthe, a encore précisé Joëlle Rieutort. "L'autopsie sera réalisée le plus rapidement possible", précise la procureur. "A priori, il n'y a pas de traces de violence apparentes."

"Signalement" de maltraitance en août (procureur)

L'histoire de la disparition a pu être motivée par "la rentrée scolaire", alors que la famille, qui comptait cinq enfants, a déménagé de nombreuses fois dans le département, a-t-elle expliqué, en réponse à une question. "Les autres enfants ont été placés" vendredi matin. La procureur a également indiqué qu'un "signalement" de maltraitance avait été fait au parquet du Mans en août, pour des faits remontant à juillet. Un médecin avait examiné Marina et relevé "un certain nombre de lésions" pouvant être "liées à des accidents de la vie courante". "Les parents avaient été entendus" par les services sociaux, qui ont conclu, à l'époque, que les enfants de cette famille "n'étaient pas en danger". Interrogée sur l'implication de la mère, la procureur a juste indiqué : "Elle n'a surtout rien dit depuis la disparition de sa petite fille."

La gendarmerie avait mis en place un vaste dispositif de recherches dès mercredi soir sur alerte du père. Ce dernier avait affirmé avoir brièvement laissé l'enfant seule, endormie dans sa voiture, sur un parking à Saint-Saturnin, en périphérie nord du Mans, le temps d'aller chercher des repas à emporter avec son fils de 10 ans dans un restaurant McDonald's. Près de 150 militaires avaient été mobilisés jeudi pour retrouver la fillette, avec des battues dans les environs du parking.

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il faut les empêcher de continuer à faire des enfants (remarquez là où ils vont aller y a plus de danger !)

il va chercher 3 repas, mais normalement ils sont 4 !!!

Ah ? C'est de cette tragédie que Jaco nous parlait ?

(marina, c'est ne fait pas très turc, mais bon...)

non non pas Turc du tout, une famille bien française ; des parents qui font des enfants à tour de bras mais qui ne veulent pas s' en occuper. C'est très courant par chez nous, les familles d'accueil ne manquent pas !!

une Juge m'a dit un jour : "on ne peut pas obliger des parents à s'occuper de leurs enfants s'ils ne le veulent pas"

j'avoue que je me suis demandée si j'entendais bien

Les turcs c'est ici.


L'adolescente fugueuse du camping d'Elne a été violée, trois personnes arrêtées















Monde

- France

jeu 10 sep, 17:47
L'adolescente de 14 ans qui avait fugué d'un camping en août a été victime de plusieurs viols à Toulouse, et trois personnes ont été placées en garde à vue, dont deux suspectées de viols, a annoncé le parquet qui avait préféré garder le silence sur ce calvaire pour aider les enquêteurs.
L'information avait été révélée jeudi matin par La Dépêche du Midi qui évoquait en plus une séquestration.
"L'enquête a permis de conclure qu'elle avait fait de mauvaises rencontres et qu'on avait abusé d'elle sexuellement. Nous avons ouvert une information judiciaire contre X, pour viols en réunion sur mineure de 15 ans et viols sur mineure de 15 ans. La séquestration n'a pas été retenue", a déclaré lors d'une conférence de presse le procureur de la République de Toulouse, Michel Valet.
"Des personnes ont été interpellées, a-t-il ajouté. Nous avons actuellement en garde à vue trois personnes. Deux hommes de 34 ans et 22 ans, de nationalité étrangère, turque, et une femme dont nous vérifions si elle a facilité les viols".
"Nous avons encore des personnes identifiées pas encore interpellées", a également dit le procureur sans donner plus de précisions.
"Il y a eu une collaboration de l'adolescente à l'enquête", a précisé le colonel Patrice Bayard, qui commande la section de recherches de la gendarmerie de Toulouse.
Selon le journal, la fugue a tourné au "calvaire" quand la jeune fille a accepté l'invitation de deux hommes à monter dans une voiture, dès son arrivée à Toulouse, "sans se méfier, avec l'innocence de ses 14 ans. Durant cinq jours, ses agresseurs présumés vont la séquestrer et abuser d'elle".
Au lendemain de son départ du camping d'Elne (Pyrénées-Orientales), où elle séjournait avec ses grands-parents et sa petite soeur, la jeune fille a été conduite à Toulouse le 20 août par un homme de 30 ans -mis hors de cause- avec qui elle avait sympathisé pendant ses vacances et avec qui elle passera sa première nuit de fugue.
Lorsqu'elle est retrouvée le 25 août à Toulouse, les enquêteurs et le parquet de Perpignan, afin de tromper les coupables, offriront une version des faits rassurante: l'adolescente n'a pas fait de mauvaise rencontre, elle a été aidée et vêtue par des prostituées avant d'être signalée par un habitant du quartier où elle errait.
Les faits ont été "volontairement maintenus secrets", dans le but de protéger la jeune fille et pour les besoins de l'enquête, affirme le quotidien toulousain.
Le procureur a expliqué le silence de la justice: "La raison pour la laquelle nous avons observé beaucoup de discrétion, c'est qu'il s'agit d'une jeune fille mineure de 14 ans".
"Elle a été malmenée par la vie, a souligné M. Valet. Elle présente une grande fragilité, il faut la préserver pour son devenir et sa reconstruction".
Toujours selon La Dépêche, "les viols se seraient produits dans une voiture et dans un hôtel du centre-ville avec la complicité d'une femme qui fréquenterait les milieux de la prostitution (...). Des zones d'ombres subsistent encore sur l'enchaînement des faits. Comment, a-t-elle réellement fui?"
Après un passage en structure d'accueil pour mineurs à Perpignan, l'adolescente est repartie la semaine dernière, avec ses grand-parents, dans le Pas-de-Calais pour y faire sa rentrée scolaire et le juge des enfants de Perpignan a transmis le dossier à son homologue d'Arras, a précisé de son côté le procureur de Perpignan, Jean-Pierre Dréno.
Les suspects devraient être présentés vendredi à un juge d'instruction, et le procureur devrait indiquer à la presse à 16h30 si des mises en examen ont été prononcées.

Triste journée.

L'Histoire de la petite Marina surtout. Effrayante. Cette enfant morte, on dit de mort naturelle... Conservée dans un congelateur, puis jetée dans une bene. Par son père dit-on. Cette mise en scène, voulant faire croire que la petite avait été enlevée sur le parking d'un restaurant. A grand renfort de cri et de gémissements.
Le père aurait imaginé ce scénario car l'école de la petite allait faire un signalement pour absence.

Puis cette autre affaire. Deux enfants de 8 et 7 ans, empoisonnés par leur beau-père, avec la complicité de la mère, car devenus "trop encombrants", retrouvés dans le coffre d'une voiture. Verdict des assises. 20 ans pour le salaud, 10 ans pour celle qui fut un jour leur maman.

Pas les 30 ans demandés. Et Gilbert Collard qui nous explique que la maman aurait subit des pressions, ou je ne sais trop quoi. C'est révoltant et indéfendable, même si tout individu a le droit à un jugement.

marieden a écrit:

non non pas Turc du tout, une famille bien française ; des parents qui font des enfants à tour de bras mais qui ne veulent pas s' en occuper. C'est très courant par chez nous, les familles d'accueil ne manquent pas !!

une Juge m'a dit un jour : "on ne peut pas obliger des parents à s'occuper de leurs enfants s'ils ne le veulent pas"

j'avoue que je me suis demandée si j'entendais bien

Bonsoir Marieden,

Il s'agissait je crois d'une famille recomposée.

Ah oui ? On ne peut pas obliger les gens à s'occuper des enfants. Très bien. En revanche il y a quand même une solution alternative. Peut être qu'il est possible de les placer en familles d'accueil. Je n'en sais rien je dois dire, je suppose. Une autre solution que les assassiner une fois les allocations familiales épuisées. Il en a de bonnes ce juge.

Il a peut être raison, dans les faits, on peut faire des enfants et refuser de les assumer. En revanche, ce qui est clair, c'est que les meurtries d'enfants, ceux qui ne sont pas sérieusement déclarés malades, devraiment passer le reste de leur vie hors de la société. Je ne pourrais jamais leur accorder une once de clémence, car on ne peut pas avoir pitié des salauds.

la mère est encore enceinte !!!!

oui bien entendu les enfants sont placés dans des familles d'accueil mais imaginez bien qu'une fratrie de 6 enfants est difficile à placer dans une seule famille, donc voilà des enfants qui vont être séparés.

de plus moi je persiste à dire que, même si des enfants sont placés, on doit obliger des parents à participer financièrement à leur éducation à leurs études......... (il faut toucher leur porte monnaie, il n'y a que ça qui les atteint)

figurez vous que le jour où ces enfants seront grands et qu'il faudra payer des frais d'hopitaux ou de maison de retraite, l'administration saura trouver ces enfants pour leur demander de règler les factures.

Brice Hortefeux reçoit le soutien de Dalil Boubakeur et de Jack Lang

Le recteur de la Grande mosquée de Paris Dalil Boubakeur a apporté son "soutien personnel" à Brice Hortefeux, tant la probité de ce ministre et son contact ont été gratifiants pour les Musulmans d'Auvergne, une région de France pour laquelle nous partageons un très grand attachement". "Je témoigne qu'il n'a eu que des paroles de respect et d'aménité pour toute la communauté musulmane de France dans mes contacts avec lui", a ajouté l'ancien président du Conseil français du culte musulman. Jack Lang est pour sa part le seul membre du PS à apporter un soutien explicite à Brice Hortefeux. "Je le connais depuis très longtemps, c'est un homme honnête. Je ne suis pas d'accord avec la politique qu'il a menée à l'immigration, mais j'ai de la sympathie personnelle pour lui", a expliqué l'ancien ministre. Deux pétitions appellent à la démission du ministre de l'Intérieur.