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 Le Coran et ses différentes interprétations présumées!

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EddieCochran
Zed
chat noir
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MessageSujet: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty13/9/2009, 10:23

Rappel du premier message :

Le Coran : message d’un dieu criminel ou d’un « prophète » mal inspiré ?

Une étude coordonnée et rédigée par Cadi Chérif Choukrane, président de la Ligue Européenne Contre le Terrorisme REligieux (LECTRE)


Nous dédions cette étude

à Taslima Nasreen,
à Michel Houellebecq,
à Pierre Bénichou,
à Tenzin Gyatso, XIVe Dalaï-Lama, le seul chef religieux qui soit digne de notre estime et de notre respect,
et à tous ceux qui luttent contre la pensée unique, la sclérose intellectuelle, le terrorisme religieux et l’aveuglement politique.




Note préalable :




La présente étude comporte de nombreux mots tirés de la langue arabe. Ces mots sont le plus souvent mis entre parenthèses et en italique lorsqu’ils viennent en traduction d’un terme tiré de la langue française.

On notera cependant qu’un même mot peut être orthographié de plusieurs façons différentes lorsqu’il est écrit en caractères latins. C’est ainsi que le mot « Coran » pourra être orthographié qoran, qur’an, koran ou alcoran. De même, le mot « calife » pourra s’écrire khâlife, khalife ou kalif.

On ne devra donc pas s’étonner de rencontrer différentes orthographes d’un même mot dans les différents chapitres.

De même, la traduction d’un mot arabe peut varier légèrement d’un traducteur à un autre ou selon les sources. Le Coran lui-même est rédigé différemment selon les écoles de traduction. Une même idée peut donc être exprimée par des termes différents. C’est ainsi que le « calife » (successeur du prophète) peut aussi être appelé « émir des croyants » ou « guide ». Il peut même être désigné par le mot « imam » chez les musulmans chiites alors même que ce mot n’a pas du tout ce sens chez les musulmans sunnites.

Ces ambiguïtés de langage propres à la langue arabe sont de nature à perturber les lecteurs non avertis et nous avons tenté de les minimiser au maximum.


Le « Coran » (« récitation » en langue arabe) est un texte dont on parle beaucoup depuis quelques temps mais que très peu de gens, hormis les musulmans pratiquants, connaissent bien.

Et pourtant, il date du VIIe siècle de notre ère. D’abord enseigné oralement par les premiers partisans d’un certain Muhammad (1), il ne sera transcrit qu’après sa mort survenue en l’an 640.

C’est un livre dit « révélé » car il est présenté comme la « sainte parole de dieu » transmise au « prophète » par le « communicateur » habituel du « Tout Puissant », à savoir l’archange Gabriel. Dans cette affaire, Mahomet n’aurait été qu’un simple intermédiaire, une sorte de « récepteur » qui se serait borné à retransmettre les saintes paroles autour de lui. C’est sur la base de ce principe de la « religion révélée » que les mahométans instituèrent la loi coranique. Pour eux, le Coran est la parole de dieu. Les adeptes de l’islam (2) ne peuvent contester ce dogme. Ils doivent respecter le texte « à la lettre » sans chercher à y découvrir un « sens caché » (ésotérique) et sans jamais le modifier. Pour eux, le Coran est éternel et immuable. Et c’est bien là que le bât blesse !

On entend souvent des musulmans prétendre que le Coran ne peut être compris que par des musulmans. Certains vont encore plus loin en affirmant que seuls les « imams » peuvent le comprendre et le commenter.

De telles affirmations sont évidemment fallacieuses et ne résistent pas à une analyse sérieuse. Elles ne servent qu’à dénier le droit, à des non musulmans, d’étudier le Coran, de l’analyser et, à plus forte raison, de le critiquer. En effet, si le Coran a été retranscrit, c’est précisément pour pouvoir être lu par des individus qui, à priori, n’en connaissaient pas le sens. Il suffit donc de savoir lire pour comprendre le sens des sourates et des versets qui, selon la loi coranique, doivent être considérés tels qu’ils sont rédigés. Un chrétien, un bouddhiste ou un athée – s’il sait lire – pourra donc comprendre le Coran de la même manière qu’un homme né en terre islamique. Mais il sera beaucoup plus objectif vis-à-vis du texte. Il ne sera pas aveuglé par les « traditions » et le dogmatisme fanatique comme le sont les musulmans « de naissance ».




Le fait de dénier aux non musulmans le droit d’étudier le Coran est par ailleurs assez cocasse si l’on sait que ce livre contient un nombre considérable de versets qui ne sont rien d’autres que les commentaires des Arabes mahométans vis-à-vis de la Thora juive et de la Bible.

Nombreux sont d’ailleurs les versets qui constituent des attaques en règle vis-à-vis du judaïsme, religion qui constituait la base des croyances des peuples du Moyen-Orient à l’époque où Mahomet aurait eu ses « révélations ». En cela, le Coran est un ouvrage violemment « anti-juif » (3). Moins virulentes sont les attaques contre les chrétiens, second « peuple du livre » après les juifs (selon les musulmans). Ainsi donc, les musulmans auraient le droit de critiquer les « livres sacrés » des juifs et des chrétiens cependant qu’ils interdiraient que l’on critique le leur. Ben voyons !




L’islam est-elle une religion tolérante ou au contraire est-elle la plus intolérante de toutes les religions qui ont pu naître dans l’esprit fantasque des hommes ?


Existe-t-il des incohérences et des paradoxes dans les doctrines des « docteurs de la foi musulmane » dont-ils seraient néanmoins parfaitement conscients ?


Les versets du Coran qui interdisent aux musulmans de discuter de leur religion avec des non musulmans favorisent-ils ou handicapent-ils le dialogue ?


le Coran est-il un ouvrage totalement original ou n'est-il rien d’autre qu’une mauvaise adaptation de la Thora juive et du Nouveau testament ?


le Coran est-il un livre d'histoire mystique ou un fatras simpliste et brouillon dans lequel les anciens textes se mêlent à l’exposé de coutumes tribales qui avaient cours chez les bédouins de la péninsule arabique au VIIe siècle ?


Mahomet fut-il un prophète hautement tolérant et pacifique ou le plus parfait mafieux bédouin, chef d'une bande de voleurs et d'assassins ?


le Coran est-il un message de Dieu adressé à toute l'humanité ou est-ce la fantasmatique autobiographie fragmentaire et décousue de Mahomet, récit confus de sa vie sociale, politique et militaire, agrémenté de l'exposé de ses préoccupations conjugales ainsi que de ses décisions à diverses occasions ?


Certaines sourates, telle la sourate CXI dite d’« Abou-Lahab », ont-elles un aspect ésotérique ou ne sont-elles que le reflet direct des querelles intestines qui avaient cours entre tribus du désert à cette époque ?
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chat noir




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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 00:00

BRANMAKMORN06 a écrit:
Que dire dans ce cas de ce bidasse déchu ,vaincu à Beyrout, revenu chez lui se prendre un fin connaisseur des civilisations et des religions sur un forum.
!

Vaya con dios, tout petit chat, Hago sin el et je lui crache a la gueule debout comme un
homme !

Tu craches debout???!!!!quel exploit!!!
ben moi je pisse debout.
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 06:23

ben moi je pisse debout.

Dommage que ce soit trop près!
Petit chaton; tu pisse debout, mais tu pisse pas loin!!!
Tout au bout de ton petit nez moustachu!!!! lol!
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Charly

Charly


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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 07:08

c'est reparti dans le "pipi-caca"?

Dans un sujet si sérieux,çà dénotte!
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 18:55

Bah!!!!! C'est pas moi qui ai commencé!!!!! lol!
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Biloulou

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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 19:02

N'oublie pas de te laver les mains. Par les temps qui courent...

Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Pisseu10
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Charly

Charly


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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 19:09

Biloulou a écrit:
N'oublie pas de te laver les mains. Par les temps qui courent...

Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Pisseu10
Biloulou!!!
sont-ce des manières pour un homme de noble rang? Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Affraid
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Biloulou

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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 19:15

Maismaismais !
Ce n'est pas moi, c'est Bran, voyons ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 872481

C'est bien connu que je fais pipi comme les dames, moi. Je l'ai toujours dit ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 840739
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 19:49

Biloulou a écrit:
Maismaismais !
Ce n'est pas moi, c'est Bran, voyons ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 872481

C'est bien connu que je fais pipi comme les dames, moi. Je l'ai toujours dit ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 840739


Eh!!! Oh!!!! c'est pas moi qui me "pisse" dessus c'est le chaton mignon!!!!
Je me contente de cracher sur la face de son dieux de cons!!
Et sur les autres aussi pour pas faire de jaloux ! ( je parle des dieux bien sur!!!!)
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Biloulou

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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty16/9/2009, 20:58

Excuse-moi, Bran, mais quand on pisse debout on se pisse toujours un peu dessus.
C'est pouquoi moi... oui, mais bon, je l'ai déjà assez dit, je vais quand même pas le clamer sur le minaret de la mosquée de Woluwe-Saint-Lambert cinq fois par jour, hein ? Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 151686
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chat noir

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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty17/9/2009, 18:56

BRANMAKMORN06 a écrit:
Biloulou a écrit:
Maismaismais !
Ce n'est pas moi, c'est Bran, voyons ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 872481

C'est bien connu que je fais pipi comme les dames, moi. Je l'ai toujours dit ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 840739


Eh!!! Oh!!!! c'est pas moi qui me "pisse" dessus c'est le chaton mignon!!!!
Je me contente de cracher sur la face de son dieux de cons!!
Et sur les autres aussi pour pas faire de jaloux ! ( je parle des dieux bien sur!!!!)

Tu craches sur les dieux :interessant , analysons donc , tous ces copiés collés pour dire que tu rejettes le polytéisme et tu prones le monothéisme, en fait t'es musulman comme moi mon frère
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moussa abd al nour

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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty17/9/2009, 19:12

chat noir a écrit:
BRANMAKMORN06 a écrit:
Biloulou a écrit:
Maismaismais !
Ce n'est pas moi, c'est Bran, voyons ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 872481

C'est bien connu que je fais pipi comme les dames, moi. Je l'ai toujours dit ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 840739


Eh!!! Oh!!!! c'est pas moi qui me "pisse" dessus c'est le chaton mignon!!!!
Je me contente de cracher sur la face de son dieux de cons!!
Et sur les autres aussi pour pas faire de jaloux ! ( je parle des dieux bien sur!!!!)

Tu craches sur les dieux :interessant , analysons donc , tous ces copiés collés pour dire que tu rejettes le polytéisme et tu prones le monothéisme, en fait t'es musulman comme moi mon frère

mono quoi?

les mahometans sont des polytheistes et des associationistes(allah du coran ET mahomet).
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty17/9/2009, 19:19

chat noir a écrit:
BRANMAKMORN06 a écrit:
Biloulou a écrit:
Maismaismais !
Ce n'est pas moi, c'est Bran, voyons ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 872481

C'est bien connu que je fais pipi comme les dames, moi. Je l'ai toujours dit ! Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 840739


Eh!!! Oh!!!! c'est pas moi qui me "pisse" dessus c'est le chaton mignon!!!!
Je me contente de cracher sur la face de son dieux de cons!!
Et sur les autres aussi pour pas faire de jaloux ! ( je parle des dieux bien sur!!!!)

Tu craches sur les dieux :interessant , analysons donc , tous ces copiés collés pour dire que tu rejettes le polytéisme et tu prones le monothéisme, en fait t'es musulman comme moi mon frère

Dans tes reves, chaton, uniquement dans tes reves ou peut etre dans tes cauchemards!!!! lol!
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty17/9/2009, 20:26

Cocardier et volontiers « va-t-en-guerre », le peuple américain a toujours été manipulé par des gens qui savent se servir de toutes sortes de théories simplistes mais néanmoins efficaces. Cela va du recours aux vieilles recettes religieuses (du genre « God bless America / Que Dieu bénisse l’Amérique », version US du « Got mit uns / Dieu est avec nous » des Allemands) aux méthodes de lavage de cerveau inventées par Carnegie et quelques autres.

Ces méthodes prônent notamment la « pensée positive permanente » (PPP), sorte de méthode Coué à l’Américaine qui permet à des leaders intelligents de faire oublier tout ce qui ne va pas dans leur système socio-politique. Si l’on mélange tous ces ingrédients, on obtient des individus qui peuvent se croire investis d’une sorte de « mission divine » (voir les cas de Patton et de Mac Arthur) au nom d’une prétendue « suprématie américaine ». Et si l’on donne, à de tels individus, l’opportunité de partir en croisade sous prétexte de vengeance et de représailles, on peut libérer des forces maléfiques d’une puissance insoupçonnée, d’autant que l’industrie de guerre et les « marchands de canons » feront tout ce qui est en leur pouvoir pour attiser les haines et les rancoeurs (surtout quand on sait que de très nombreux dirigeants politiques US figurent parmi mes actionnaires du lobby militaro-industriel).

Analysé de cette façon, le comportement de la majorité des Américains n’est finalement différent de celui des musulmans radicaux que par un hégémonisme essentiellement financier et culturel plutôt que purement agressif et belliciste. On y retrouve cependant « dieu » cet alibi si commode lorsqu’il s’agit de commettre des crimes en toute impunité.

Quant aux nations européennes, elles n’ont pas à s’aligner sur la politique des USA en intervenant dans des conflits qui ne les concernent pas directement. Car quoi que puissent prétendre les dirigeants de l’OTAN – toujours prêts à suivre les injonctions du Pentagone – ce sont les USA, et eux seuls, qui ont été attaqués par les terroristes en septembre 2001. D’ailleurs, à l’époque (pas si lointaine) où des vagues d’attentats secouaient l’Europe occidentale, les Américains ne se sont jamais sentis concernés et ne se sont jamais mobilisés contre un terrorisme islamique qui étaient pourtant déjà de nature internationale. Ils ne se sont « réveillés » qu’à partir du moment où ils se sont aperçus que leur territoire n’était plus « inviolable ».

Il faut savoir « raison garder » (comme disent si bien tant le sieur Jospin qu'Edourard Balladur quand ça les arrange) et ne pas céder à des réactions inspirées par la peur ou par un sentiment de solidarité un peu trop primaire. Solidaires, nous devons l’être vis-à-vis des victimes des attentats et de leurs familles, pas vis-à-vis des politico-industriels américains et des dirigeants de la CIA, de la NSA, du NRO et du lobby militaro-industriel. Et nous devons dénoncer les dirigeants européens qui sont prêts à engager leurs concitoyens dans cette affaire.

Les attentats de New-York et de Washington ont démontré que les systèmes de surveillance du territoire US étaient loin d’être infaillibles. Beaucoup trop axés sur la surveillance électronique, radioélectrique et informatique, ces systèmes ont été très habilement déjoués par des terroristes qui ont travaillé « à l’ancienne », sans recourir aux moyens modernes de transmission et de communication. De ce fait, ils ont pu échapper aux dispositifs mis en place par la NSA et la CIA. Big Brother est sans doute capable de piéger les émigrants clandestins et les voleurs de bicyclettes mais il s’est avéré incapable de détecter les plus dangereux terroristes de la planète !

Mieux encore, ces terroristes formés à l’école de la CIA se sont servis des moyens de l’adversaire pour mener à bien leurs missions. C’est ainsi que les pilotes-kamikazes des quatre avions avaient suivi des cours de pilotage dans des écoles américaines. Ce sont des instructeurs américains qui leur ont appris à piloter un avion de ligne et c’est grâce à leur enseignement qu’ils ont pu s’emparer de ces gros porteurs, déconnecter les transpondeurs radar et diriger ces bombes volantes sur leurs cibles.

Il est même probable qu’ils ont commencé par s’entraîner sur de simples ordinateurs domestiques. Il existe, en effet, toute une série de logiciels de simulation de vol qui permettent de décoller de la plupart des aéroports ou aérodromes américains et de parcourir l’espace aérien de ce pays. Avec « ProPilot USA » - un logiciel tellement bon marché qu’il est offert à titre de cadeau promotionnel – on peut voler au-dessus de toutes les grandes villes avec un monomoteur ou un bimoteur d’affaires et, le cas échéant, s’entraîner à viser les tours des centres d’affaires de New-York ou d’ailleurs. Et pour moins de 50 euros, n’importe qui peut acquérir le logiciel « Flight Simulator 2000 » de Microsoft qui est encore plus réaliste et qui permet de s’entraîner au pilotage des avions de ligne (y compris le Concorde). Parmi les « paramètres de réalisme », on peut activer la simulation des effets des accidents, y compris des collisions entre un avion de ligne et un bâtiment quelconque !

Avec ces logiciels « made in USA », une copie des manuels de bord des appareils et quelques cours pratiques pris dans une école de pilotage, n’importe quel imbécile pouvait parfaitement prendre les commandes d’un gros porteur et diriger l’appareil sur un objectif aisément identifiable, comme les tours du World Trade Center ou le Pentagone.

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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty17/9/2009, 20:35

Les Américains ont donc bel et bien forgé les armes qui se sont retournées contre eux. Et il est un peu tard, à présent, pour s’apercevoir que les logiciels de simulation, et certains jeux-vidéos, peuvent donner des idées aux candidats terroristes et servir à leur entraînement. Mais, à n’en pas douter, les attentats de septembre 2001 serviront de prétexte pour le renforcement des mesures de surveillance même si, de toute évidence, elles se sont avérées totalement inefficaces.

Une chose est en tous cas certaine : aussi longtemps que des systèmes politiques seront fondés sur la violence, sur l’intolérance et sur la volonté de domination, il se trouvera toujours des individus prêts à répondre à cette violence et à cette intransigeance par un fanatisme inconditionnel et aveugle. Et ces fanatiques, recrutés au sein de populations endoctrinées ou n’ayant rien à perdre, trouveront toujours le moyen de déjouer les systèmes de sécurité les plus « sophistiqués », surtout dans un monde qui évolue dans le sens de la « mondialisation », autrement dit dans le sens d’une ouverture toujours plus grande des marchés et d’une circulation toujours plus importante des biens et des personnes. Car la « mondialisation du terrorisme » est une conséquence directe et inévitable de la mondialisation de l’économie.

Les attentats de septembre auront aussi bien d’autres conséquences secondaires.

Ils auront sans doute pour effet de remettre en question les visions mégalomaniaques de certains architectes et la « course à la hauteur » que se livrent certaines nations dites « évoluées ». Car non seulement ces tours immenses se sont avérées incapables de résister aux effets de la collision avec un avion de ligne mais, par leur nature même, elles concentrent un potentiel économique et humain anormalement important. C’est ainsi que des milliers de personnes ont disparu avec le World Trade Center et que des centaines d’entreprises d’administrations et de sociétés de services se trouvent, du même coup, gravement affectées par la catastrophe. On peut donc déstabiliser l’économie d’un grand pays – et d’une bonne partie du monde - rien qu’en détruisant de tels objectifs civils. Et si cela continue, les grandes tours devront être protégées par des batteries de DCA et autres systèmes anti-aériens. Autrefois, la sagesse populaire voulait que l’on ne mette jamais tous ses œufs dans le même panier mais, depuis quelques décennies, on s’est mis à concentrer à outrance certains moyens de gestion sous prétexte d’efficacité et de rentabilité. Jusqu’au jour où … !

Enfin, ces attentats auront aussi, pour effet secondaire, de coûter des dizaines de milliards de dollars aux contribuables américains et aux compagnies d’assurance. Ce qui ne sera pas sans incidence sur le potentiel économique de certains secteurs d’activités, aux USA et dans le monde.

Le seul aspect positif de cet affaire, c’est que les sommes énormes que les Etats-Unis vont devoir dépenser au nom des mesures de dédommagement et de leurs « ripostes », ne pourront pas être investies dans la recherche militaire à court et moyen termes. Il devrait en résulter un ralentissement du développement des armes à énergie dirigée qui pourra être mis à profit pour obtenir l’adoption d’un moratoire interdisant le développement et l’utilisation de ce type de matériel.




Les attentats du 11 septembre ont surtout mis un terme définitif à l’un des grands mythes américains : celui de l’inviolabilité de leur territoire et, par-delà, de leur invincibilité. Encore que les forces armées US aient été souvent vaincues, mais en-dehors des frontières des Etats-Unis.

A la fin de cette année 2001, les USA devaient d’ailleurs commémorer le 60e anniversaire de l’attaque de Pearl Harbor par les forces aéronavales japonaises. Et d’aucuns ont voulu établir une comparaison entre cette attaque et les récents attentats. Il n’y a pourtant rien de comparable entre ces deux évènements.

Pearl Harbor fut un acte de guerre classique. Les dirigeants américains, quoi qu’ils aient pu dire par la suite, étaient informés de l’imminence de cette attaque. Les analystes militaires savent fort bien que le président Roosevelt, conseillé par ses stratèges, sacrifia délibérément une partie de la flotte du Pacifique (mais pas les porte-avions qui reçurent l’ordre d’appareiller avant l’attaque) afin que son pays puisse se poser en victime face à une opinion publique qui s’opposait à l’entrée en guerre des forces US aux côtés des Européens. Cette manœuvre politico-militaire coûta la vie à près de 3.000 personnes.

Pearl Harbor était en territoire américain mais loin, très loin, de l’Amérique. Jusqu’à ce mois de septembre 2001, aucun acte de guerre n’avait été perpétré sur le territoire historique des Etats-Unis (hormis les guerres internes). Et c’est une poignée de terroristes - non une armée régulière - qui a mis fin au mythe de l’inviolabilité du territoire des Etats-Unis. Une cinquantaine de fous furieux est parvenue à faire deux fois plus de victimes que l’armada japonaise, à ébranler sérieusement l’économie américaine et mondiale et même à atteindre le cœur de l’organisation militaire des USA : le Pentagone. Et il s’en est sans doute fallut de peu qu’elle ne tue le fils-à-papa George Walker Bush himself !

Une poignée de fanatiques anonymes a ridiculisé le gouvernement américain, la CIA, la NSA, le NRO, le FBI et les forces armées les mieux équipées du monde ! L’orgueil des Américains en a pris un coup et s’ils sont nombreux à crier vengeance, c’est sans doute bien plus par vanité que pour honorer leurs morts. Car les morts n’ont pas besoin de vengeance. C’est un sentiment qui n’appartient qu’aux vivants ! Par orgueil, les dirigeants américains, Bush en tête, sont prêts à se lancer dans une nouvelle « croisade » contre les intégristes islamistes. Mais que peuvent-ils vraiment faire de concret contre une armée sans drapeau et sans uniformes. Une armée fantôme qui peut se cacher partout dans le monde, se déplacer et se reconstituer sans attirer l’attention ?

Attaquer massivement l’Afghanistan tenait de la rodomontade puisque les vrais stratèges savent qu’aucune armée au monde ne peut gagner une guerre qui se déroule dans les régions montagneuses de ce pays. Les Soviétiques, et bien d’autres avant eux, y ont laissé leurs plumes. Les Américains pourront évidemment rayer les talibans de la carte politique et personne n'ira s'en plaindre, hormis quelques intellectuels complètement naïfs. Mais ils ne se débarrasseront pas pour autant des groupuscules terroristes qui se dissimulent derrière toutes sortes de façades. Répondre au terrorisme par des manœuvres guerrières, c’est attiser un feu qui ne demande qu’à s’étendre. C’est fournir des tas de prétextes aux « fous de dieu » qui n’aspirent qu’à une seule chose : mourir en martyrs pour la gloire d’Allah, de Yahvé ou de je ne sais quelle autre divinité inaccessible.

La seule chose raisonnable à faire, ce serait de battre sa coulpe, de reconnaître ses erreurs et d’en tirer les conclusions qui s’imposent. Mais, à l’heure présente, il ne faut guère espérer une telle attitude de l’arrogante nation américaine. Jamais elle ne voudra reconnaître ses torts, d'autant que le grand capitalisme, celui-là même qui contrôle l’industrie de l’armement (et des technologies qui interviennent dans l’armement moderne), ne fera rien pour calmer le jeu, bien au contraire. Dès l’annonce des évènements tragiques du 11 septembre, les spéculateurs du monde entier se sont d’ailleurs précipités sur les actions des entreprises qui travaillent pour les militaires. Et pourtant, il ne faut pas remonter loin dans l’histoire des USA pour trouver les paroles que l’on devrait entendre dans la bouche de Bush. C’est, en effet, dans un discours télévisé du président Lyndon Baines Johnson (62) que l’on trouve la phrase qui devrait servir de leitmotiv à tous les présidents américains : « … Nous pouvons, sans amertume et sans haine, nous demander comment nous en sommes arrivés là… » .




Nous devons châtier les fous d’Allah et nous devons prendre toutes les mesures visant à éradiquer l’islamisme et, bien évidemment, le terrorisme qui en découle. Mais nous devons nous garder de transformer les fanatiques islamistes en « martyrs » car c’est précisément ce qu’ils cherchent. En les tuant, nous ne pourrions qu’entrer dans leur jeu pervers en érigeant des fous furieux en « glorieux héros de l’islam ». Le droit des nations civilisées veut que les fous soient considérés comme « irresponsables » et nous pensons que ce principe doit s’appliquer à la plupart des dirigeants islamistes qui prônent la « guerre sainte » et la violence à outrance. Mais n’allez surtout pas croire que nous réclamons l’indulgence et la mansuétude. Pour les « fous lucides » - style Ben Laden, Mohammed Atta et Cie – la sanction implique des mesures extrêmement sévères de détention, des peines exemplaires et incompressibles à perpétuité. Puisque ces individus veulent vivre comme le bédouin qui leur sert de modèle, qu'ils aillent donc passer le reste de leur existence à méditer au fond d’un désert où ils devront, jour après jour, réduire en fine poussière les millions de tonnes de gravats issus de la destruction des buildings de Manhattan dans une sorte de « super punishment park » (63) dont ils ne sortiraient qu’entre quatre planches de sapin.

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Le procès des assassins du Cdt Massoud a mis à jour la véritable personnalité des prétendus « terroristes » : des imbéciles incapables de comprendre les conséquences de leurs actes, doublés de lâches qui « font dans leur froc » et qui refusent d’assumer la responsabilité de leurs agissements. Quoi qu’il en soit, ces ignobles individus auraient dû être jugés par une Cour martiale, non par un tribunal civil.

[img]URL=https://2img.net/r/ihimizer/i/33839491.png/]Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 33839491.th[/URL][/img]

Dans cet autre article, on voit comment ces lâches assassins se réfugient derrière l’alibi religieux pour tenter d’échapper au châtiment qu’ils méritent. Ils osent parler de « morale » et de « noblesse » alors même qu’ils ne savent pas ce que ces mots signifient. Nous, nous savons ce qu’est la prétendue « morale musulmane » : une négation des droits les plus élémentaires de l’homme, de la femme et de l’enfant !

Les séides qui ont tué Massoud osent parler de « geste noble », eux qui se sont mis au service des talibans et de ce sinistre individu qu’est/était Usama ben Laden. Nous savons ce qu’il en est de la « noblesse » des bédouins d’Arabie et de leurs zélateurs : trucider, piller et devenir les chefs, au nom d'Allah, du coran et de Mahomet le « beau modèle »! La prétendue « cause » de ces individus est tout simplement indéfendable et ils méritent amplement la détention à perpétuité.


Cliquer dans l'article pour le lire
(Sud Presse – 25 juin 2003)

Ce troisième article nous éclaire encore un peu plus sur la personnalité réelle des individus qui ont été jugés à Bruxelles. Il y est fait mention du réquisitoire du Procureur. Pourquoi n’a-t-on requis que des peines dérisoires à l’encontre de ces lâches assassins qui, en sus de l’assassinant du Cdt Massoud, projetaient de faire sauter une base militaire où sont stockées des armes nucléaires ?

A défaut de pouvoir faire juger ces crapules par une cour martiale, la justice civile ne devrait-elle pas « frapper fort », non pour « faire un exemple » mais pour châtier ces individus comme ils le méritent.

Il semblerait que la « bande à Trabelsi » ne soit pas seule à avoir la « peur au ventre ». Les magistrats ne sont guère plus courageux !

Il importe, par ailleurs, de revoir radicalement notre approche de l’islam, notamment en interdisant les « écoles » coraniques sur le territoire des pays non musulmans, essentiellement en Europe et en Amérique du Nord. Nous avons, depuis plus de vingt ans, dénoncé les dispositions laxistes qui permettent aux factions islamistes de pratiquer un prosélytisme agressif en-dehors des pays à tradition musulmane, alors même que ces pays interdisent les autres religions. La libre pratique de l’islam dans les pays non musulmans ne peut se concevoir que sur la base de la réciprocité totale, ce qui signifie qu’elle doit être interdite aussi longtemps que les religions chrétiennes, juives, bouddhistes, hindouistes, ou autres, seront interdites et persécutées dans les pays qui se réclament de l’islam.




D’aucuns ont parlé de « croisade » contre l’islamisme et nous avons déjà dit que cette façon de voir les choses était dangereuse car elle sous-entend une nouvelle guerre de religion, une de plus. Et si nous sommes pleinement d’accord sur le fait qu’il convient d’éradiquer rapidement et radicalement l’islamisme de la surface de la planète, nous désirons que cela se fasse au nom d’un humanisme laïque et non pas en brandissant la bible ou n’importe quel autre texte prétendument « sacré ». La seule chose qui soit véritablement sacrée en ce bas monde, c’est le respect inconditionnel des droits fondamentaux et imprescriptibles de l’homme, de la femme et de l’enfant.

Nous devons éliminer l’islamisme et les islamistes comme nos parents et nos grands-parents ont éliminé le nazisme et les nazis. Car il n’y a pas de différences entre les « fous d’Allah » et les disciples d’Adolf Hitler, entre les fanatiques qui brandissaient « Mein Kampf » et ceux qui brandissent le coran, entre les troupes d’Himmler et celles de Ben Laden. Et s’il existe des musulmans respectueux des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, ils doivent participer activement et ouvertement à la lutte contre l’islamisme, exactement comme le firent les humanistes allemands qui luttèrent courageusement contre les nazis. Quant à ceux, parmi les musulmans, qui hésiteraient à se « compromettre » vis-à-vis de leurs prétendus « frères en religion », qu’ils ne s’étonnent pas si, un jour, ils se retrouvent traités comme de vulgaires « collabos ». Exactement comme tous ces Allemands qui, sans être de vrais nazis, refusèrent de condamner ouvertement le national-socialisme ou se firent les complices indirects du régime hitlérien.




A la fin de l’année 2000, nous avions déjà mis l’accent sur les dangers que le fanatisme islamique et l’arrogance américaine représentaient pour le monde d’aujourd’hui et de demain. L’évolution des évènements nous a donné raison et nous pourrions en être fier. Mais est-on en droit d’être fier d’avoir eu raison dans de telles circonstances ? Pour des milliers de pauvres gens, il eut été préférable que nous nous soyons trompés. Faut-il être pessimiste ? Faut-il garder un peu d’optimisme ? Nous nous garderons de répondre à ces questions. Une seule chose est certaine : il ne faut pas compter sur une quelconque intervention divine pour nous sortir de ce merdier, un merdier au fond duquel nous avons pourtant été précipités par des déséquilibrés qui prétendent agir au nom de leur dieu.

Plus que jamais, les religions demeurent l’opium des peuples ; des peuples qui se droguent dans les églises, les temples, les synagogues et les mosquées ; des peuples qui, à l’aube du IIIe millénaire, ont peut-être réussi à marcher sur la lune mais qui demeurent incapables de s’affranchir des pires traditions obscurantistes. Sur le plan des mentalités, ces peuples-là n’ont pas dépassé le stade du Moyen Age. Et dans le cas particulier de certains peuples arabo-musulmans, on peut affirmer qu’ils régressent au lieu de progresser.

Si la plupart des religions portent en elles un potentiel criminogène, c’est certainement l’islam qui demeure, pour l’instant, la plus criminogène de toutes les religions connues à ce jour. D’aucuns ont parlé de « réforme » de l’islam mais l’on voit mal comment il serait possible de réformer l’islam sunnite qui n’a pas de clergé et qui permet, à n’importe quel individu à l’esprit dérangé de se proclamer « saint homme » et d’enseigner sa propre interprétation d’un texte qui, quoi que l’on puisse dire, a été rédigé, il y a près de 1500 ans, par un personnage violent, sectaire et malsain. Quant à l’islam chiite, il n’est pas plus susceptible de réformes malgré l’existence d’un clergé. Pour réformer l’islam, il faudrait expurger le coran de ses principes datant du lointain Moyen-Age et de ses idées belliqueuses. Un programme quasiment irréalisable dans un système religieux qui se fonde, précisément, sur le caractère « intouchable » des « écrits du prophète ».

Pour nous, il n’y a pas de réelles différences entre les fous d’Allah, qui tuent aveuglément au nom d’un islam dévoyé, et les dirigeants américains qui appellent à la vengeance au nom du Christ. Les uns comme les autres ne valent pas mieux que les Croisés qui mirent le Proche-Orient à feu et à sang, que les inquisiteurs de sinistre mémoire ou que les « conquistadores » qui massacrèrent les vrais Américains pour le compte des rois catholiques de la vieille Europe et par intérêt personnel. Plus près de nous, c’est au nom de l’islam que les Turcs massacrèrent les Arméniens et c’est toujours au nom de dieu que les Irlandais s’entretuent, tout comme les peuples balkaniques.

N’oublions pas, non plus, que c’est en hurlant « Allah Akbar » que les Irakiens se ruèrent sur les Iraniens et réciproquement. Cette guerre « intra-islamique » avait débuté en septembre 1980 et elle avait fait plus de 500.000 victimes sans permettre à l’un ou l’autre des deux camps de s’imposer.
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 16:31

Ce témoignage, vieux de plus de vingt ans, permet de cerner certains mécanismes des méthodes de manipulation auxquelles les religieux musulmans ont recours, notamment dans l’Iran chiite. Ces mécanismes sont simplistes mais ils peuvent s’avérer efficaces sur une population inculte, qui n’a reçu pour toute éducation que l’enseignement des « écoles » coraniques.

Terriblement meurtrière, la guerre Iran-Irak fut menée au nom d’un même dieu par des gouvernements qui se haïssaient en vertu de rivalités ancestrales (rivalité entre le pouvoir laïque et sunnite de l’Irak et le pouvoir chiite des ayatollahs iraniens). C’était une sorte de « vendetta » menée à l’échelon national.

Avec l’invasion de l’Irak par les armées US et britanniques – et la chute du régime de Saddam Hussein – ont voit resurgir les haines ataviques entre factions musulmanes. Elles perdurent depuis près de 1.500 ans et ne sont pas prêtes de s’éteindre !

Il n’y a pas à dire, de toutes les inventions de l’homme, dieu est sans conteste la pire de toutes. C’est un fléau qui a tué des centaines de millions d’hommes, de femmes et d’enfants. C’est un fléau apparemment indestructible, qui perdure depuis des millénaires et qui renaît de ses cendres à la moindre occasion, tel l’oiseau Phoenix.

Aussi longtemps que les chimères divines hanteront l’esprit humain, l’humanité sera la proie des guerres et des atrocités. Les dieux ne sont sans doute pas les seules causes de conflits mais ils sont certainement à l’origine des conflits les plus meurtriers et, en tous cas, des conflits les plus stupides. On peut comprendre que l’homme puisse combattre pour se protéger ou parce qu’il a faim mais il est inadmissible, en ce début du XXIe siècle, qu’il puisse encore tuer ou asservir d’autres hommes au nom d’une chimère, au nom d’un dieu qu’il n’a jamais vu et qu’il ne verra jamais. Plus que jamais, l’homme demeure un loup pour l’homme. Mais c’est un loup lâche et hypocrite qui se retranche derrière les alibis religieux pour commettre ses crimes les plus odieux. Telle est, sans doute, la principale leçon que l’on puisse, à ce jour, tirer des évènements de ce septembre très noir.

Pas plus que les textes sacrés des Hébreux ou la bible catholique, le coran n’a rien d’un « livre révélé ». C’est une énorme imposture qui fut inspirée par le clan de bédouins auquel appartenait le prétendu « prophète ». Il ne s’agit, comme cela est démontré dans l'étude analytique, que d’un mauvais plagiat de la Thora juive, cette « loi » que Moïse était supposé tenir de dieu lui-même.

Nous avons aussi rappelé que les « prophètes », tant ceux de jadis que ceux d'aujourdhui, prennent toujours bien soin de s’isoler du « vulgaire » pour recevoir les « ordres divins ». C’est pratique lorsqu’il s’agit de berner son monde et nous attendons toujours que « dieu » s’adresse à ses ouailles sans passer par des intermédiaires douteux. Pourquoi donc ce dieu - que l’on nous dit si puissant - demeure-t-il incapable de « communiquer » lui-même avec ses « créatures » ? N’est-il pas capable de prendre le contrôle des ondes hertziennes ou d’Internet et de parler aux humains par le biais des « médias » ? Pourquoi le dernier des imbéciles est-il en mesure de parler au monde entier et pas « dieu le père » ?

Cette banale réflexion permet, une fois de plus, d’émettre la seule conclusion logique : dieu n’existe pas plus que le diable ! Et, du même coup, nous devons admettre que le paradis et l’enfer n’existent pas non plus. Ce sont de pures inventions humaines.




Quoi qu’il en soit - et même s’il est aisé de démontrer que les textes dits « sacrés » des trois grandes religions monothéistes ne pouvaient s’appliquer qu’aux populations nomades du Moyen-Orient, telles qu’elles vivaient à l’époque où il furent rédigés – il faut bien admettre que ces religions n’ont cessé, depuis lors, de semer la zizanie au sein de l’humanité, générant guerres, génocides et crimes en tous genres.




Quand donc l’humanité sera-t-elle débarrassée de cette chienlit ? Quand donc l’homme s’affranchira-t-il des chimères qui, en lui promettant un paradis que personne n’a jamais vu et ne verra jamais, lui font commettre les pires atrocités sur terre ou supporter les pires injustices ? Quand donc les religions trouveront-elles leur juste place : en tête de la liste des drogues dures et des stupéfiants à n'utiliser que pour soigner les malades incurables ?


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Principales zones d’implantation et de diffusion des grandes religions.

Les croix noires ou mauves représentent les catholiques et les croix noires les différentes formes de protestantisme. Le bouddhisme est représenté en jaune (avec une roue rouge) cependant que les religions chinoises (dérivées du confucianisme et du taoïsme) sont figurée en orange. Pour les musulmans, le croissant noir visualise les sunnites et le croissant rouge les chiites. Les zones marquées de points noirs représentent les secteurs où subsistent les religions animistes.

Si l’on superpose à ce document la carte des conflits armés de ce début du XXIe siècle, on constate que la plupart d’entre-eux se situent sur des territoires qui sont à l’intersection des zones d’influence de deux religions ou plus. Tel est le cas pour les Balkans, pour certaines régions de l’Asie centrale (comme les régions frontalières entre l’Inde et le Pakistan), pour la frontière entre la Grèce et la Turquie, pour certaines régions d’Afrique, au Moyen-Orient ou encore en Irlande du Nord. Le développement insidieux d’un islam intégriste et fanatique, au sein même de l’Union européenne, ne pourra à terme, qu’être source de conflits si aucune mesure préventive n’est adoptée pour enrayer ce phénomène. Parmi les mesures les plus urgentes à adopter, figure la fermeture des écoles coraniques et la dissolution des pseudo-associations qui pratiquent le prosélytisme à outrance et propagent les très dangereux principes de l’islamisme et de l’intégrisme.

Ces mesures doivent s’intégrer dans une politique de laïcité absolue qui implique de ne plus accorder aucune aide publique aux religions, quelles qu’elles soient. Cette politique implique, par ailleurs, de redynamiser l’enseignement de la morale laïque ainsi que le formation des cadres sociaux, syndicaux et politiques dans les pays qui se prévalent de la « démocratie ».

A l’enseignement agressif des dogmes archaïques des religions, nous devons substituer une vision humaniste des faits. A l’obscurantisme religieux, nous devons opposer l’approche rationnelle et scientifique. Quant au prétendu « pouvoir des textes sacrés » et au pouvoir des prêtres, il nous faut les dénoncer sans relâche car ils n’auront de cesse de vouloir se superposer au seul véritable pouvoir, celui des citoyens et de leurs représentants légitimement élus.

Comment les hommes et les femmes d’aujourd’hui peuvent-ils encore croire que la bible ou le coran (entr’autres) puissent avoir été dictés par un dieu quelconque ? Un dieu qui ne se serait adressé qu’à des bédouins incultes ? Un dieu dont, fort curieusement, les manifestations ont diminué au fur et à mesure que la science devenait à même de démasquer les imposteurs et de soigner les fous ? Quel est donc l'intérêt d'un dieu qui n’a jamais fourni la recette du bonheur sur la terre et de la paix entre les hommes ? Dieu, bien au contraire, a toujours manifesté de la violence, soit par des colères soit par des menaces, particulièrement dans le coran, du moins quand il ne s’y attarde pas sur des détails sans la moindre importance (comme la longueur de la barde des « fidèles » et autres balivernes du même genre qui parsèment les sourates).

Il suffit pourtant de savoir lire (lire au sens d'être capable de dégager le sens de phrases et de mettre en relation plusieurs phrases pour déterminer la cohérence d'un texte, et non pas lire au sens d'être capable de déchiffrer syllabiquement une suite de mots) pour s’apercevoir que les prétendus « textes sacrés » ont toutes les caractéristiques d'une création humaine, d'une invention sortie de l’esprit retord d’individus soucieux d’en imposer aux autres ou de l’esprit malade de fanatiques imbibés de drogues.

Pour conclure ce chapitre, nous attirerons l’attention sur le fait que le terrorisme, tel qu’il est envisagé par les islamistes, ne se limite pas à la pose de bombes ou aux détournements d’avions (66). Il se dirige de plus en plus vers une « diversification » des modes d’action qui demeurent cependant dans la droite ligne de la stratégie arabe des « ghazou » (ou « razzias »). C’est une stratégie fondée sur le harcèlement et sur des actions « de commando » généralement imprévisibles.

On voit comment les fanatiques religieux se rabattent à présent sur les « armes du pauvre », à savoir les armes chimiques (gaz, drogues, polluants divers) et bactériologiques. Ils pourraient aussi avoir recours, dans un proche avenir, aux armes génétiques (voir cartes à la fin du présent chapitre).

Dans l’esprit de la famille Bush – et de son entourage – la guerre que les USA entreprennent au Moyen Orient s’est muée en une « croisade » au sens religieux du terme. Les Bush sont de confession épiscopalienne. Ils appartiennent donc à la branche américaine de l’église anglicane. C’est ce qui explique la grande « concordance de vues » qui existe entre Américains et Britanniques en ce qui concerne cette croisade anti-islamique.

Le « clan Bush » a donc accueilli avec enthousiasme le plan de lutte contre l’islamisme (67) qui a été révisé d’urgence par le Pentagone après le 11 septembre 2001, un plan dont nous savons qu’il comporte plusieurs phases successives. Il ne s’agit donc pas d’une simple « guerre éclair » contre le régime irakien mais d’une stratégie à long terme dont nous avons déjà dit qu’elle était complexe et délicate.




Au risque de nous répéter, nous dirons qu’elle consiste à garantir l’économie occidentale en mettant la main sur les réserves de pétrole irakiennes mais aussi à permettre aux Américains et aux britanniques de disposer d’une base d’activités et d’influence au cœur même de la région la plus islamisée du monde. De là, ils pourraient venir en aide aux Israéliens dans leur lutte contre la Palestine et surtout entamer la seconde phase de leur plan : le contrôle de l’Arabie saoudite et, en fin de compte, de toute la péninsule arabique et de la Mésopotamie.

Ce plan n’a jamais été dévoilé dans toute son étendue (on comprend aisément pourquoi) mais il est connu des dirigeants politiques et militaires euro-péens. Si des pays comme la France, la Belgique ou l’Allemagne ont refusé d’y adhérer tacitement, c’est pour des raisons de politique intérieure, non de politique étrangère. Ces pays craignaient que leur intervention, aux côtés des troupes US, ne provoque des troubles graves au sein de leurs populations de confession musulmane, populations dont on sait qu’elles sont difficilement contrôlables. C’est la peur qui a motivé le refus des dirigeants français, belges et allemands, pas le respect des droits de l’homme et des conventions internationales !

Comme nous l’avons déjà dit par ailleurs, l’aveuglement et l’incompétence de nos dirigeants politiques est à l’origine de cette situation. Ils ont considéré les migrants musulmans comme tous les autres migrants. Ils pensaient « naïvement » (le mot est de Lionel Jospin et il lui vaudra en partie la fin de sa carrière politique) qu’ils finiraient par s’intégrer dans la masse générale des populations, comme le firent, avant eux, d’autres migrants (Italiens, Espagnols, Hongrois, Polonais, Russes, Asiatiques,…). Ignorants de l’essence même de l’islam, nos dirigeants ont commis une très grave erreur d’appréciation et ils ont laissé s’instaurer une « fracture socio-culturelle » au sein même des populations européennes, situation qui a finit par se transformer en « conflit ». Aujourd’hui, ils sont dépassés par les évènements et, dans bien des domaines, ils ne sont plus maîtres du jeu. Nos dirigeants ont peur, au sens strictement physique du terme. Et ceux qui sont issus de la « gauche » ne sont certainement pas les plus courageux du lot. Ils s’enferment dans un politique purement démagogique qui ne fera qu’aggraver les problèmes au lieu de les résoudre. Car la peur est – et sera toujours – mauvaise conseillère.

Les Américains, il faut bien l’admettre, n’ont pas les mêmes raisons d’avoir peur. La communauté musulmane des Etats-Unis est moins nombreuse et plus « diluée » que dans certains pays d’Europe occidentale. Les Britanniques ont, en fin de compte, fait preuve de bien plus de courage politique que les Américains puisque les islamistes sont nombreux – et extrêmement actifs – au sein même du Royaume-Uni. Mais les Britanniques ont commis l’erreur – comme les Américains – de ne pas jouer « carte sur table » et se s’enliser dans les alibis indéfendables au lieu d’exposer clairement leur plan global et ses motivations profondes.

Nous voulons bien reconnaître qu’il eut été extrêmement délicat d’exposer les véritables motifs de l’intervention militaire en Irak puisque ces motifs relèvent aujourd’hui de la nature profonde de l’islam, donc de la religion. Or, les problèmes religieux ne sont pas de la compétence du Conseil de Sécurité des Nations Unies. Il eut été, par ailleurs, nécessaire d’informer préalablement les populations sur les dangers que l’islam fait peser sur l’avenir de notre humanité. Mais c’est un exercice pédagogique très difficile (nous sommes bien placés pour le savoir) et, de façon générale, les politiciens et les militaires ont toujours été de très mauvais pédagogues car ils tendent à confondre « pédagogie » et « démagogie ». Et n’oublions jamais que la classe politique, dans sa toute grande majorité, est tenaillée par une peur sournoise. Par la peur du terrorisme islamique et par celle que tout individu peut ressentir à titre strictement personnel quand il se sent menacé.

Et pourtant, l’honnêteté intellectuelle serait certainement payante, si pas à court terme, du moins à moyen et long termes. Car nous venons de nous engager dans un combat qui sera de longue durée, dans une nouvelle « guerre de trente ans » pour employer l’expression utilisée par le juge Bruguière. Continuer à parler de « guerre éclair » est aberrant quand il est devenu évident – tout au moins pour les « initiés » - que nous sommes en présence d’une stratégie dont l’élaboration remonte déjà à une bonne vingtaine d’années et qui n’a cessé d’être repensée et adaptée sous toutes les administrations américaines, y compris celle de Clinton. N’est-ce pas Madeleine Albright, la « dame de fer » de l’administration Clinton qui a déclaré – à propos des pertes en vies humaines que les « sanctions » provoquaient au sein des populations civiles – que « c’était le prix à payer » ! Le prix à payer pour la réalisation d’un plan élaboré sous Reagan et qui s’est peu à peu transformé en une « croisade » de l’Occident contre le monde arabo-musulman. Une croisade dont nous ne pouvons encore que deviner les effets à moyen et long termes.

S’il est vrai que les évènements du 11 septembre 2001 ont eut pour conséquence de bousculer les échéanciers, il y avait déjà plusieurs années que les stratèges occidentaux élaboraient des plans en vue d’éradiquer l’islamisme. Ce que nous leur reprochons, c’est d’avoir travaillé « en secret », sans aucune préparation de l’opinion publique. On ne s’étonnera donc pas si cette opinion publique - qui se doute qu’on lui cache pas mal de choses – se retourne contre les « têtes pensantes ». Les motifs profonds des actions en cours sont peut-être recevables, mais comme ils n’ont jamais été exposés aux populations concernées, ils ne peuvent pas être pris en considération par des citoyens qui n’observent que les motivations secondaires, lesquelles sont loin, bien loin, d’être perçues positivement. (68)

Dans le cas de la crise qui secoue le Moyen-Orient, on perçoit clairement les intérêts économiques sous-jacents (notamment ceux qui sont liés à la production de pétrole et aux ventes d’armes) mais rares sont les citoyens qui perçoivent la motivation qui consiste à stopper le processus d'infection islamique qui s’est mis en place, lentement mais sûrement, depuis une vingtaine d’années. Or, si l’on ne perçoit pas cette motivation-là, on ne peut pas, non plus, envisager les conséquences, directes ou indirectes, des actions à mener. Et si l’on ne peut envisager ces conséquences, on n’est pas à même de « corriger le tir » dans des délais utiles.

La guerre voulue par la coalition anglo-saxonne est un exemple presque caricatural des erreurs profondes de stratégie que les Occidentaux peuvent commettre lorsqu’ils sont confrontés à des populations musulmanes. Américains et Britanniques s’imaginent que les Irakiens vont les accueillir en « libérateurs », ce qui est loin, très loin d’être certain. La mentalité arabo-musulmane n’a rien de commun avec celle des Occidentaux. Bien au contraire, l’invasion du sol irakien par les « coalisés » risque de transformer « Saddam le Dictateur » en « Saddam le Héros » avec ce que cela implique de risques de « vietnamisation » du conflit. La population pourrait ériger l’ex-Raïs en symbole de la résistance islamique contre les « incroyants » et mener une guérilla longue et sanglante contre les occupants. La population pourrait aussi élire démocratiquement les Ayatollahs et autres mollahs qui, une fois au pouvoir, n'auraient rien de plus préssé que d'abolir la démocratie pour établir une dictature théocratique similaire à la « république » Islamique de l'Iran tout proche. Ce serait là l’effet inverse de celui qui a été escompté par les dirigeants américains et par leurs alliés. Un enlisement du conflit – imputable à des erreurs bien plus psychologiques que militaires – n’est pas impossible du tout. Et, par-delà, une extension de ce conflit à d’autres régions de la planète (généralisation du djihad). Or, les Occidentaux ne pourront jamais contrôler valablement l’ensemble des territoires islamisés. Il leur faudra donc s’allier aux Russes et peut-être même aux peuples d’Extrême-Orient (Japonais, Coréens, Chinois,…) s’ils veulent gagner la guerre planétaire qui se précise de jour en jour, la 3e guerre mondiale, celle qui opposera l’occident moderniste à l'obscurantisme arabo-musulman. Seule une « super coalition » des peuples non musulmans pourra venir à bout des velléités dominatrices des dirigeants islamistes.

Les dirigeants américains veulent se poser en « gendarmes du monde » mais, concrètement, les USA ne sont pas capables de jouer ce rôle et ce, pour deux raisons fondamentales :

1°) parce que les citoyens américains sont généralement incapables de prendre en considération des notions qui relèvent d’une histoire plus ou moins lointaine (69). Comme il est dit par ailleurs, ce peuple sans véritable passé - et qui a perdu ses racines (notamment par le fait du métissage) – s’imagine que le reste du monde est à l’image de l’Amérique du Nord. Les Américains sont incapables d’intégrer, dans leur raisonnement, les notions complexes qui conditionnent le comportement des peuples ayant un passé très riche sur le plan historique et culturel.

2°) parce que leurs forces armées demeurent structurées en fonction de conflits « classiques », tels qu’ils pouvaient encore se concevoir à l’époque de la « guerre froide ». Dotées d’équipements lourds et fortement tributaires d’une technologie de plus en plus « sophistiquée »(et d’une logistique contraignante), les unités US sont dans l’incapacité de lutter efficacement contre une guérilla bien organisée et très motivée. Jamais, à ce jour, l’armée des Etats-Unis n’a gagné une guerre contre un ennemi qui peut apparaître n’importe où, disparaître aussi vite qu’il n’est apparu et se déplacer en souplesse avec un équipement rustique et nécessitant peu d’appui logistique. Or, au Moyen Orient comme au Vietnam, c’est ce qui attend les forces américaines dès que la phase « conventionnelle » du conflit se sera terminée. En Irak, en Iran, en Arabie et dans tous les pays islamisés à outrance, chaque adulte et même chaque gamin peut se transformer en un combattant d’autant plus efficace qu’il ne craint pas la mort. Bien au contraire, la religion musulmane continue à promettre, à ses combattants, le paradis doré sur tranche que Mahomet avait abondamment décrit dans son coran (voir l'étude analytique du coran).

La stratégie de la coalition anglo-saxonne (70) risque donc de se heurter à des réalités que les stratèges du Pentagone ont ignorées ou sous-estimées.

Une fois encore, tout cela est dû au fait que les Occidentaux n’entendent rien aux réalités de l’islam et à ce coran qui est aux islamistes ce que « Mein Kampf » était aux nazis. Car, au risque de nous répéter, il faut s’imprégner du fait que l’islamisme radical présente de très nombreuses similitudes avec le nazisme. Dénoncer le coran, ramener Muhammad ibn Abd-Allah ibn el-Mottalib, dit « Mahomet », à sa dimension réelle (celle d’un malade, d’un pervers et d’un imposteur) et lutter activement contre l’hégémonie islamique, tels sont les axes majeurs de ce que doit être le combat des hommes libres contre le fascisme vert.

Il nous faut donc lire et relire le coran. Il nous faut étudier sans relâche la vie de ce prophète de pacotille qui demeure sans conteste l’un des personnages parmi les plus malsains de l’histoire de notre humanité. Il nous faut connaître l’adversaire mieux qu’il ne se connaît lui-même. Alors - et alors seulement - nous pourrons espérer le battre sur son propre terrain, le contraindre à admettre ses erreurs, lui faire déposer les armes et restaurer la paix durablement.
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 16:38

Les documents traitant des rapports entre la pensée islamique et la société américaine sont assez rares.

Nous avons cependant trouvé trace d’un article qui aborde ce thème. Ecrit par un certain Ibrahim FAQIH, il s’intitule « Le modèle américain et l’intellectuel arabe ». Il n’existe qu’en langue arabe.

Cet article a été publié à Rabat dans le n°24 (septembre 1986 pp. 157 à 160) de la revue Al-Wahda (couverture reproduite ci-contre).

On peut aussi lire « L’image des Arabes dans l’esprit des Américains » (en Arabe), un livre de 267 pages publiés par de Centre arabe de recherches et publications de Beyrouth, en 1987. Son auteur est un certain Mikhaël SOLEIMAN. C’est un ouvrage typiquement « pro Arabe » et « anti US ».
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Cette double page introduisait le reportage Enfants d'Allah et de l'Amérique paru, en avril 2003, dans « L’Express ». Selon cet hebdomadaire, il y aurait, chaque année, entre 50.000 et 80.000 citoyens américains qui se convertiraient à l’islam. Ils se disent « en quête de spiritualité », alors même que l’islam est sans doute la moins « spirituelle » des trois religions monothéistes !

Aux Etats-Unis, ces « nouveaux convertis » sont considérés avec énormément de méfiance depuis les évènements de septembre 2001. La plupart d’entre eux sont effectivement des « ennemis de l’intérieur potentiels », tout comme en Europe occidentale.

En devenant des musulmans (autrement dit des « soumis »), ils deviennent perméables aux principes résolument antidémocratiques qui sont véhiculés par l’islam. Ils peuvent être aisément manipulés par les prétendus « religieux » qui prêchent le djihad, la haine des valeurs occidentales et la mondialisation de l’obscurantisme islamique. Et l’on sait, en outre que les nouveaux convertis de toutes les sectes (l’islam en est une) cherchent bien souvent à se mettre en évidence en faisant du zèle.

Cet aspect inquiétant des choses est bien résumé, dans l'article, par le dénommé Barry Danielian, un « converti » qui déclarait « J’aime l’idée de n’avoir à rendre de comptes qu’à mon créateur ». C’est le genre de « credo » qui circule dans les milieux ultra religieux islamiques (mais aussi chez les Juifs orthodoxes) et c’est un type de raisonnement extrêmement dangereux pour la société et même pour l’humanité toute entière.

Les convertis américains prétendent défendre l’idée d’une « autre Amérique », d’une sorte d’ « Ordre Nouveau » qui n’est pas sans rappeler les slogans des néo nazis. Les « néo musulmans » sont toutefois bien plus dangereux que les nazillons en tous genres. Ils se veulent « respectables » alors que les idées qu’ils véhiculent sont loin, très loin, de l’être. Que penser de cette archiviste de la bibliothèque de Harlem (voir article) qui déclarait « Quel sens ça a d’apporter la démocratie à des gens que l’on fait mourir sous les bombes ? » Bonne question sans doute mais, à l’instar de tous les fascistes, les musulmans posent les bonnes questions mais donnent les mauvaises réponses. Car ce n’est certainement pas grâce à l’islam que ce genre de problème va être résolu. Bien au contraire, c’est la peste venant au secours du choléra ! Et nous répondrons par cette autre question à cette archiviste ayant un coran à la place du cerveau : « Quel sens ça a de parler d'un dieu clément et miséricordieux en brandissant un livre qui prône la haine, l’intolérance et le crime ? »

Note : le caractère mensonger des arguments développés par les islamistes « blacks » apparaît, une fois encore dans cet article. Les Africains noirs ont été des milions à être réduits en esclavage par des esclavagistes musulmans nord-africains et arabes. C’est pour pouvoir bénéficier d’une vie moins misérable que celle imposée par le statut de dhimmis que les Africains soumis aux arabo-musulmans se sont convertis. Ils ont donc été islamisés de force comme d’autres, après eux, se sont convertis à la religion de leurs maîtres blancs (catholiques ou protestants). Le prétendu « retour à la religion des ancêtres africains » est donc une aberration et un contresens. En fait, La véritable religion de leurs ancêtres africains était l'animisme.


Les arguments des convertis d’origine hispanique ne sont évidemment pas plus recevables que ceux des Américains de race noire. Mais ils prouvent à quel point les « religieux » savant user des artifices de langage et des méthodes de manipulation propres à l’islam. Une chose est cependant certaine, l’islam américain ne diffère en rien des autres formes d’islam et c’est un mensonge supplémentaire que de laisser croire qu’il pourrait déboucher sur une « nouvelle identité musulmane ». L’islam, par essence, n’est pas réformable. Pour cela, les musulmans devraient modifier le contenu du coran et admettre, du même coup, qu’il n’est pas le « livre de dieu », le « livre inimitable ».

Nous n’aimons guère le « clan Bush », mais nous ne redirons jamais assez que les actions menées par les USA tiennent d’une stratégie politico-militaire qui dépasse très largement le cadre de ce clan. C’est une nouvelle croisade de l’Occident contre les menées subversives des dirigeants musulmans et des populations qu’ils manipulent. Et même si le terme « croisade » nous déplait, il nous faut admettre que ce conflit était devenu inévitable.

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Article paru dans le « Nouvel Observateur – 25 octobre 2003.

Et puisque ce conflit est devenu inévitable – non du fait des Occidentaux mais du fait des musulmans revanchards qui ont choisi de relancer la « guerre sainte » – il nous faut faire face avec le maximum de courage et d’efficacité. La « Xe croisade » ne concerne pas que les seuls Anglo-Saxons et leurs cousins d’Outre-Mer. Elle concerne tous les hommes libres de la planète. Elle ne concerne pas que les chrétiens et les juifs. Elle concerne tous les hommes et toutes les femmes qui ne sont pas « soumis » aux lois imbéciles du coran, y compris les athées que nous sommes.

Nous ne porterons pas la croix sur nos habits, comme les croisés de naguère. Mais nous ferons flotter bien haut le gonfanon rouge sang de la liberté d’opinion et de pensée. Car, comme le dit si bien un chanteur français : vous n’aurez pas notre liberté de penser !

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Sur cette carte de la région dite « du croissant fertile », on réalise la position stratégique de l’Iraq au cœur même de la partie du monde qui est le berceau de l’islam et le foyer de la subversion islamique.

Outre sa capacité de production de pétrole, l’Iraq est une plate-forme stratégique de premier plan puisque l’on peut, depuis son territoire, atteindre aisément la Palestine et la Syrie, contrôler l’Iran des ayatollahs et intervenir très rapidement en Arabie saoudite. L’Iraq présente aussi l’avantage d’avoir une frontière avec la Turquie, le seul pays islamisé qui soit membre de l’OTAN (mais qui n’est plus un allié très sûr des Occidentaux depuis l’accession au pouvoir d’un parti islamiste).

C’est cette position géographique et géopolitique particulière qui a amené les dirigeants américains à envisager l’invasion de l’Iraq sous prétexte de renverser le régime de Saddam Hussein et de « restaurer la démocratie » dans un pays… qui n’a jamais connu de gouvernement démocratique au cours de sa longue histoire !

Le contrôle de l’Iraq est la clef d’une stratégie à long terme. Mais rien ne dit que les choses se dérouleront telles qu’elles ont été prévues par les stratèges de Washington. En envahissant l’Iraq, les Américains et les Britanniques ont ouvert toute grande la boîte de Pandore !

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Est-ce vraiment un hasard si les plus gros producteurs d’opium sont aussi des pays dirigés par des fanatiques islamistes ou des régimes asiatiques totalitaires? Pour les dirigeants de ces pays, la drogue est une source de profits personnels et permet d’acheter les armes destinées à la « guerre sainte » ou au maintien des dictatures en place. Trafics de drogues, trafics d’armes et asservissement des peuples sont donc intimement liés depuis de nombreuses décennies.

Le « triangle d’or » de l’Asie utilise l’Afghanistan comme « plaque tournante » du commerce crapuleux de l’opium, lequel est dirigé vers des laboratoires situés en Turquie pour y être transformé en drogues dures destinés à des usages médicaux mais aussi, et surtout, à des usages illicites. On notera que G. Bush senior avait décrété une « guerre contre la drogue » (une de plus) en 1989, ce qui n’empêchera nullement les Etats-Unis de soutenir le régime en place au Pakistan et de favoriser l’accession au pouvoir des talibans en Afghanistan. Le démembrement de l’ex-URSS facilite également l’écoulement des drogues via le territoire des anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale.

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Pays d’Afrique et d’Asie qui, dès le début des années 90, avaient déjà commencé à exploiter des laboratoires spécialisés dans les manipulations génétiques.

Sur la carte reproduite ci-dessus, on remarque le curieux intérêt manifesté par des régimes islamistes pour ce type d’activité et l’on constate que, contrairement à ce qui se passe dans la plupart des pays d’Europe occidentale, aucun de ces pays n’a cru utile de se doter d’un comité national d’éthique.

Il n’est pas interdit de penser que certains pays islamiques pourraient envisager la dissémination, dans l’environnement, d’organismes ayant subi des manipulations génétiques et qui pourraient, par exemple, contaminer gravement les récoltes ou détruire les animaux. Ce risque avait déjà été évoqué par Michel BARNIER, ancien ministre français de l’environnement (dans son ouvrage intitulé « Atlas des risques majeurs » édité en 1992). Comme les agents chimiques et bactériologiques, les OGM pourraient-ils, dans un proche avenir, être utilisés à des fins militaro-politiques ?
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 16:45

Les mosquées : lieux de prière ?
Le terme de mosquée vient du mot arabe masjid, lieu de prosternation ou d'adoration. Le plan d'une mosquée est copié sur celui de la maison que Mahomet se fit construire à Médine après sa fuite de la Mecque. C'est une maison arabe traditionnelle avec une cour à ciel ouvert entourée de murs de briques crues sur laquelle donnent diverses pièces, dont l'appartement des femmes.
Mahomet voulut créer un espace ombragé destiné à s'entretenir avec ses compagnons. Il ajouta sur le côté un portique fait de troncs de palmiers couronnés de palmes et de terre : ainsi naquit la mosquée à cour. Une partie du long portique fut réservé aux nouveaux arrivants et réfugiés qui n'avaient ni toit ni moyen de subsistance, ceux qu'on appela les "gens du banc". Ce sont les souvenirs de ces "gens du banc", collectés plusieurs années après le mort de Mahomet, qui constituent de nombreux « dires du prophète », les hadiths.
Au fil du temps les troncs d'arbre devinrent des colonnes de pierre et des portiques furent aménagés de chaque côté, celui en direction de la Mecque offrant plusieurs rangs de colonnes supportant une toiture et constituant la salle destinée à la prière collective.

Un communiqué de l’Etat-major US d'octobre 2003 signale que les actions menées contre les troupes de la coalition anglo-américaine en Irak étaient décidées dans les mosquées lors des « prières du vendredi ». Elles sont ensuite « répétées » le samedi et mises à exécution les dimanches et les jours suivants.

Il n’y a, à cela, rien qui doive nous étonner puisque, de tous temps, les mosquées ont toujours été les lieux privilégiés de la sédition et de l’organisation des complots.

[img]url=http://mabul.org/]Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Img-163909r6uen[/url][/img]
Le ministre président Hervé Hasquin appelle à porter le glaive dans ces "relais du terrorisme"
Hervé Hasquin a frappé. Fort. S'exprimant hier sur les ondes de Bel-RTL. le " patron " de la Communauté française s'est fendu d'une sortie plutôt fracassante sur l'épineux dossier des mosquées en Belgique : "Le monde politique s'honorerait en surveillant d'un peu plus près certaines mosquées", que le ministre président MR n'a pas hésité à qualifier de "relais internationaux du terrorisme " contre lesquels "il faut porter le glaive" (sic)...
Révélation ? Pas vraiment. Plutôt une confirmation, quelque peu brutale, des soupçons et des indices glanés par les agents de la lutte anti-extrémiste. À savoir : que certains lieux du culte en Belgique ne sont pas peuplés que d'enfants de chur... Hervé Hasquin évoque 5 à 6 % de mosquées au rôle douteux. S'appuyant sur les constats de la Sûreté de l'État, le prédécesseur de Laurette Onkelinx à la Justice, MarcVerwilghen, identifiait une trentaine de mosquées belges comme "radicales" car propageant des idées anti-occidentales et prônant le rejet de l'intégration des musulmans. Avec même. "dans certains cas très spécifiques et minoritaires, le fait qu'on y prêche la haine contre les non-musulmans".
Une trentaine de mosquées radicales sur quelque 300 lieux de culte musulman. Pas de quoi exagérer la menace. Pas de quoi la négliger non plus. D'autant que, relevait le rapport du Comité R consacré en 2001 à l'islamisme radical. " force est de constater que une trentaine de mosquées sont identifiées comme "radicales".
La plupart des mosquées, et non des moindres, proposées à la reconnaissance du ministre par l'Exécutif des musulmans de Belgique étaient bien connues par la Sûreté de l'État, soit pour leur orientation radicale, soit pour être financées par un pays étranger"...
Prêche dans le désert ?
À lire le rapport de l'organe de contrôle de nos services de renseignement. chaque courant y met du sien pour rappeler les fidèles des mosquées à leurs devoirs religieux menacés par l'Occident perverti. Le Front islamique du Salut (algérien) exerce son prosélytisme dans certaines mosquées "où ils diffusent leurs journaux et leur propagande, organisent des conférences, des expositions et des collectes d'argent". Le chiisme maghrébin pro-iranien "dispose de deux mosquées à Bruxelles". Enfin, last but not least, les salafistes, adeptes d'un Islam pur et anti-occidental, influents, voire dominants dans une quinzaine de nos mosquées. C'est là surtout, avait pu remarquer la Sûreté de l'État, que des imams et des fidèles se sont ouvertement ou de manière à peine voilée réjoui des attentats du 11 septembre. Certains imams soutiennent plus ou moins ouvertement ben Laden. Tchétchénie, Bosnie. Kosovo. Afghanistan... Autant de foyers de la cause islamique qui donnent souvent lieu à distribution de tracts, collecte de fonds, voire exhortation à se préparer à la " Guerre sainte ". II n'est pas dit que l'on y prêche toujours dans le désert :
"Dans un tel contexte, une fraction marginale mais grandissante de jeunes musulmans en mal de repères risque de rejoindre, tôt ou tard, des mouvances plus violentes " relevait le Comité R dans son rapport.
Hervé Hasquin y a sans doute été fort. Peut-être n'a-t-il pas tout à fait tort.
P.HX.



Cela pourrait paraître étonnant aux « bonnes âmes » qui s’imaginent très naïvement que les mosquées sont comme les églises catholiques (que des musulmans n’hésitent pas à « occuper » quand ils veulent faire pression sur les autorités occidentales) ou les temples protestants d’aujourd’hui : des lieux de paix et de prière, voire même des lieux d’asile.

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[img]url=http://mabul.org/]Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Img-164040r2052[/url][/img]
Comme le montre le dessin ci-contre à gauche (paru dans un journal chrétien), les Occidentaux veulent absolument croire que les musulmans prônant la violence sont en fait tout l'exact contraire de ce que sont les « vrais » musulmans.
La théorie, c'est bien beau, mais dans la pratique on voit en fait ce que nous montre l'image ci-contre à droite :


Cette vision « idyllique » du monde musulman découle d'une part de la méconnaissance dont font preuve plus de 95% des Occidentaux en ce qui concerne l’islam et d'autre part de la désinformation dont les-dits occidentaux sont l’objet de la part des médias et de journalistes par trop « complaisants » (et parfois eux mêmes désinformés). Car les mosquées ne sont pas uniquement des lieux de prières, des « temples » au sens occidental, chrétien, du terme. Les mosquées sont simplement le point de ralliement de l’ « oumma », c'est à dire un lieu de rassemblement des communautés musulmanes considérées sous l’angle purement islamique. On y traite donc aussi bien de de questions purement religieuses que de tous les autres sujets concernant l’« oumma », que ces sujets soient politiques, sociaux, juridiques, moraux ou militaires.
C’est en cela que les mosquées constituent toujours des foyers potentiels d'insurrection.

Les mosquées ne sont d'ailleurs pas des lieux de « prière » car la « prière » musulmane ne correspond pas à la définition occidentale, judéo-chrétienne, du terme. Cette définition, on peut le vérifier sur n'importe quel dictionnaire, parle de paroles destinées à conjurer, honorer, demander, supplier etc... mais ne rend pas obligatoires des actes rituels. Les musulmans eux ne conjurent pas ni n'honorent pas dieu par des paroles, il n'adressent pas de supplication ni de demandes à leur « clément et miséricordieux » Allah Legrand : ils doivent procéder à un débarbouillage sommaire, se mettre sur leurs deux genoux, prononcer des formules déterminées et se prosterner jusqu'à faire toucher leur front par terre selon un rituel, en direction de La Mecque. L'ensemble de ces obligations ritualisées est très précisement établis une fois pour toutes depuis plus d'un millénaire. Point. C'est ce rituel qui est, par définition, la « prière » musulmane. Il n'existe pas, et ne peut pas exister, de « prières musulmanes » sous forme écrite comme il existe des prières chrétiennes.


La « prière » musulmane n'est qu'une démonstration de soumission par prosternations ritualisées.



Cette démonstration de soumission peut se faire n'importe où, seul, en famille, en petit groupe ou plus solennellement au sein d'une foule dans une mosquée. Dans ce dernier cas, les musulmans qui se rassemblent ne font que montrer, collectivement, leur soumission à l'ensemble de leur communauté, la fameuse « Oumma ».


La « prière » dans les mosquées se fait le vendredi. Si vous vous demandez « Pourquoi le vendredi ? », la réponse est fort représentative de la logique islamique. Les juifs avaient le samedi. Les chrétiens, qui se présentent comme les successeurs du judaïsme, ont choisi le jour qui succède au samedi, donc le dimanche, récupérant au passage à leur profit le « jour du soleil » des païens (en anglais, dimanche se dit sunday, Sun Day : le jour du soleil, tout comme en allemand : sonntag). Logiquement, les musulmans étant arrivés après les chrétiens auraient dû choisir comme jour de prière le jour suivant le dimanche, donc le lundi, d'autant que le lundi est le jour du culte de la lune qui est le symbole de l'islam (en anglais, lundi se dit monday, Moon Day : le jour de la lune, tout comme en allemand : montag). Mais les musulmans estimant avoir la « vraie » religion, « supérieure » à toutes les autres, ils ont « naturellement » choisi d'être les premiers et d'avoir la préséance sur les juifs et les chrétiens comme le leur enseigne le coran. Ils ont donc opté pour le jour avant le samedi, c'est à dire le vendredi, de sorte que les prières des juifs et des chrétiens, le samedi et le dimanche, viennent « logiquement » après les « prières » des musulmans...



Dans les mosquées, les musulmans peuvent aussi concocter toutes sortes de complots à l’abri des oreilles indiscrètes, notamment celles des femmes et des enfants. « O croyants, vos épouses et vos enfants sont souvent vos ennemis. Mettez-vous en garde contre eux… » (sourate LXIV - verset 14) !
C’est sans nul doute ce genre de « recommandation coranique » qui a incité les musulmans à élaborer leurs « mauvais coups », non dans des locaux privés mais entre les murs de leurs mosquées. Les crimes les plus atroces ont ainsi été mis au point, depuis près de 1500 ans, dans ce que la plupart des occidentaux pensent être des « maisons de dieu ».

Pour ceux et celles qui se montreraient sceptiques à ce sujet, nous avons jugé utile de reproduire un texte très édifiant qui a paru dans le numéro de juillet 1928 de la revue française « Lectures pour tous » (Hachette). Il faisait partie d’une série intitulée « Récits marocains », lesquels étaient dus à Mme Henriette Célarié, une femme de lettres qui connaissait particulièrement bien le Maghreb. Il s’agit d’un épisode de la vie marocaine au début du XXe siècle.


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Cette histoire sordide montre comment de « bons musulmans » ont pu traiter l’un de leurs « frères en religion » qui n’était pourtant coupable que d’un banal délit de prévarication. Cela ne se passait pas au Moyen Age mais au tout début du XXe siècle.

Or, le monde arabo-musulman est, par essence, un monde statique qui refuse d’évoluer. Ce genre de « mœurs barbares » appartiennent, non pas au passé, mais aux réalités musulmanes d’aujourd’hui : il suffit de se remémorer l'algérie et l'Afghanistan des années 80-90. Encore actuellement l'Arabie saoudite condamne à mort par caillassage et coupe des têtes ou des mains au sabre au nom d'Allah le clément et le très miséricordieux (pour ceux qui lui obéissent aveuglement exclusivement, sinon...). Ce n'est pas pour rien que le drapeau de ce pays est tel qu'il est !
On comprendra aisément que si de tels actes peuvent être commis, au nom du coran, par des musulmans à l’encontre d’autres musulmans, des actes encore bien plus horribles pourront être commis sans vergogne à l’encontre des « mécréants » et autres « incroyants » que nous sommes.

Des crimes horribles ont certes été commis au nom du christ mais d'une part cela a toujours été en totale contradiction avec les évangiles et, d'autre part, le christianisme a « viré sa cuti », s’est amendé et a même commencé à s’excuser pour les crimes commis par des chrétiens. Il en va tout autrement des musulmans qui, pour leur part, persistent et signent.

L’anecdote marocaine qui est relatée ci-dessus prouve, si nécessaire, que les mosquées sont bel et bien des lieux de sédition pour le moins potentiels. C’est d’abord pour cette raison que nous avons préconisé d’interdire les mosquées sur la totalité du territoire de l’Union européenne. Il ne s’agit aucunement de « racisme » mais d’une simple application du « principe de précaution », d’autant que la fréquentation des mosquées n’est pas une obligation religieuse pour les musulmans (en Europe occidentale, on considère que moins de 30% des musulmans déclarés fréquentent régulièrement une mosquée) et que l’on sait que ce sont les musulmans les plus fanatiques (donc les plus dangereux) qui constituent la clientèle habituelle des imams.


Fermer manu-militari les mosquées poserait sans nul doute, au moins à courte échéance, plus de problèmes que cela n'en résoudrait. (c'est pourtant ce qu'ont du faire temporairement les Britanniques avec la mosquée de Finnsbury Park en 2003 !). Une approche « à la musulmane » du problème pourrait être simplement d'interdire la construction de nouvelles mosquées dans les faits mais sans promulguer d'interdiction formelle. Les lois européennes d'urbanisme comportent suffisamment d'obligations à respecter pour rendre la construction d'une mosquée tout bonnement impossible, à moins d'en dénaturer à ce point l'aspect que le bâtiment ne sera plus reconnaissable comme étant une mosquée, ce qui est largement suffisant pour dissuader des musulmans de la construire. Si l'on considère le seul fait que les batiments neufs doivent respecter le style architectural des zones dans lesquelles ils s'implantent, tous les projets de mosquée peuvent être refusés ou dénaturés à ce seul motif, pour peu que chaque décideur, à chaque étape du permis de construire d'une mosquée, y mette de la « bonne » volonté...
Si, malgré tout, une mosquée se construit, il reste encore le rempart de l'assurance. Rappelons que l'assurance relève du domaine strictement contractuel et non commercial : un assureur assure qui il veut, au prix qu'il veut, sans avoir à justifier d'un tarif ou d'un refus. Le « refus de vente » ne saurait être invoqué, ni la tierce responsabilité. (Il y a une exception : l'assurance automobile. Si aucun assureur ne veut vous couvrir, il existe une procédure de recours qui fixe un assureur d'office, celui-ci étant libre de son tarif.) Un bâtiment destiné à recevoir du public DOIT être assuré, c'est la loi. Tant qu'il n'est pas assuré, il ne peut pas recevoir de public, à moins que son responsable décide de se mettre en infraction mais en ce cas, si un sinistre survient, ce sera lui le responsable, pas ceux qui n'ont pas voulu assurer sa mosquée. D'ailleurs, pas la peine d'attendre un sinistre : l'ouverture au public sans assurance est déjà en soi une infraction. A la première ouverture, il ne restera plus qu'au ministère public à constater l'infraction et à fermer la mosquée, en toute légalité.

Nous devons aussi cesser de croire naïvement que l'islam est une religion « comme les autres ». Tout démontre que les personnes déformées et infantilisées par un enseignement coranique qui ne vise qu’à priver les individus de leur libre arbitre, ne peuvent guère s’adapter à notre société avec ses séparations très strictes entre la religion – qui doit demeurer un fait strictement personnel – et les structures socio-politiques, obligatoirement laïques.

De même, les dirigeants des pays islamisés ne doivent pas être regardés comme des « dirigeants comme les autres ». Ils doivent être regardés pour ce qu’ils sont : des musulmans comme les autres !

Aussi longtemps que les musulmans prétendront se référer à ce livre infâme qu’est le coran et révèreront Mahomet et ses crimes, alors les musulmans resteront, dans leur grande majorité, inaptes à la démocratie. Nous devons donc placer les adeptes de Mahomet et du coran devant un choix clair et net : renier en bloc le coran, Mahomet et l’islam, s’ils veulent rester chez nous, ou quitter les lieux sans délai s’ils veulent rester « fidèles » aux divagations d’un chamelier ayant vécu au VIIe siècle et qui, selon toute vraisemblance, était atteint de troubles mentaux. Nos rapports politiques et de « coopération » avec le monde islamique doivent, eux aussi, être revus à la lumière des réalités. Les nations qui se réfèrent ouvertement à l'islam, dont les valeurs sont contraires à l’humanisme et à la démocratie, ne doivent bénéficier ni de notre « sympathie », ni même de notre aide. C'est une dure, très dure réalité, insupportable à notre éducation biblo-évangélique basée sur l'exemple du Christ mais il faut être conscient que la réciproque n'est pas vraie : agresser et opprimer les non-musulmans est vertueux selon le coran et l'exemple de Mahomet !


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Implantation des lieux de culte musulman (mosquée ou salle de prière) en France, par département, fin 1999.
[img]Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Img-164339dp4b9[/img]
En tant qu’athées, nous n’avons pas de conseils à donner aux autorités chrétiennes. Il serait toutefois sage, de leur part, de reconsidérer leurs positions vis-à-vis de l’islam, d’un islam dont le but ultime demeure inchangé : s’imposer au monde entier après avoir éliminé, par la force ou la ruse, les autres religions (comme démontré tout au long de la présente étude) ainsi tous ceux et celles qui refuseraient de croire qu'« Il n'y a de Dieu qu'Allah et Mahomet est son prophète ». Aucun dialogue digne de ce nom n’est possible avec les mahométans puisque nous savons qu’ils sont passés maîtres dans l’art du double langage et du double comportement et ne se plient que sous la contrainte, et non sous la raison à laquelle l'éducation coranique les rend étanches.

[img]Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Img-164424v4agk[/img]

Religion née dans la violence, éructée par un déséquilibré mental, violent et fourbe, qui a planifié des assassinats et des pillages, pronant la violence, la fourberie et l'apartheid, l'islam ne connaît et ne comprend véritablement qu’un seul langage : celui de la violence.

C’est de cette triste réalité que nous devons nous imprégner si nous voulons éviter que nos enfants et petits-enfants soient les innocentes victimes de notre naïveté et de notre candide aveuglement.


C'est ce qu'ont pu expérimenter les Britanniques après les attentats des jeudi 7 et 14 juillet 2005 à Londres, dont par miracle seul celui du 7 juillet a fait des victimes (52 morts, plus de 700 blessés). Début août 2005, face à la montée des représailles visant les musulmans de Grande Bretagne (augmentation de 600% depuis le premier attentat : agressions physiques, verbales et dégâts à la propriété, notamment contre des mosquées), les associations musulmanes anglaises ont demandé aux femmes de ne plus porter hijab, tchador et autres foulards islamiques. Là où des années de palabres, de conciliations, de médiations, de tolérance, de concertations, de discussions, de compromis, de compréhension, de dialogues etc... n'avaient abouti qu'à une présence de plus en plus arrogante de signes extérieurs d'islamisation, quelques actions violentes ont suffit pour, en moins de trois semaines, regagner une large part du terrain perdu et faire passer la communauté musulmane d'une attitude arrogante et agressive à une attitude de simple repli défensif. Nous ne justifions pas ici l'usage de la violence : nous constatons une réalité que nous déplorons mais qui s'avère totalement similaire à ce que l'histoire nous enseigne en ce qui concerne les relations entre l'islam et les sociétés non-islamiques au long des siècles.
Une autre constatation à déplorer c'est qu'au lieu d'envisager clairement et fermement une réforme de l'islam Britannique à l'occasion de ces attentats, un sondage montrait que 63% des musulmans vivant au Royaume Uni envisageaient ni plus ni moins que de quitter l'Angleterre si ces actes se poursuivaient, ce qui paradoxalement ne pouvait bien entendu qu'encourager leurs agresseurs.
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 16:52

L’islam et les femmes.

La femme que nous dépeint le coran est la femme du bédouin arabe des premiers siècles de notre ère. C'est une femme qui n'a pratiquement aucun contact en dehors de sa tribu, de son clan. C’est une femme qui vaque aux travaux domestiques et qui se voile par nécessité, pour échapper aux effets du soleil et des tempêtes de sable. Dans son coran, Mahomet n’a rien inventé. Il n’a fait que transcrire les us et coutumes de son temps et de son pays en les accommodant de quelques recommandations de son cru. Une fois encore, « dieu » n’a rien à voir dans tout cela. Dans une société tribale où l’individu doit s’effacer devant la famille et le clan, la condition de la femme répondait à des règles strictes. Ainsi, si le coran insiste tant sur les coutumes relatives à l’adultère, c’est parce que les femmes de caravaniers restaient parfois des mois et des années sans voir leur époux. Il fallait donc éviter et réprimer les « tentations » auxquelles elles pouvaient être exposées. Dans une société restreinte, comme l’étaient les tribus de nomades, il n’était point besoin de recourir à un quelconque tribunal pour régler ce genre de problème. Les déclarations de quelques témoins visuels suffisaient. La société moderne, elle, n’est pas une tribu nomade.

D’autre part, s’il est dit dans le coran que : « les hommes ont le pas sur les femmes. Par les dons qu’il leur a octroyés, dieu les a élevés au-dessus des femmes » c’est parce que cette vision « machiste » était la règle dans les sociétés régies par des principes patriarcaux, en Arabie comme dans de nombreuses autres régions d’Europe. Sur ce plan-là, les religions monothéistes – dont le dieu unique a toujours été un homme – reprenaient à leur compte le vieux mythe du péché originel imputant à la femme tous les maux de l’humanité. Ce mythe se retrouve dans la Bible mais aussi chez les Grecs (Pandore et sa boîte) et dans pas mal de mythologies très anciennes. Mahomet n’avait aucun intérêt à bouleverser l’ordre établi, d’autant qu’il était manifestement doué pour profiter des femmes.

Le coran dit, certes, que la femme doit être traitée « avec justice et respect » mais c’est un vœu pieu puisque son infériorité est largement confirmée par le droit coranique. C’est ainsi que dans un jugement, son témoignage ne compte que pour la moitié de celui d’un homme (sauf dans les cas d’avortement, jugés spécifiquement féminins). Comment peut-on traiter la femme « avec justice » et, dans le même temps, ramener son témoignage à peu de choses !

Mahomet semble avoir cherché à adoucir quelque peu le sort des femmes de son époque, c’est vrai. Mais c'était il y a 1400 ans et sans jamais pour autant mettre les femmes sur un pied d’égalité avec les hommes. Et l’islam a perpétué jusqu’à nos jours cette vision archaïque, injuste et inégalitaire des droits (ou plutôt de l’absence de droits) de la femme. Il n’y a guère que pendant la période dite « abbasside » que les femmes musulmanes redressèrent quelque peu la tête. On vit même des jeunes filles arabes combattre dans les rangs des armées, au même titre que les hommes (71).

L’évolution était considérable – pour ne pas dire révolutionnaire – dans une région du monde où il avait été usuel, pendant des siècles, de tuer les nouveaux nés de sexe féminin. Mais la femme musulmane ne parvint pas à se maintenir bien longtemps à un tel niveau d’égalité avec les hommes. Elle redevint rapidement une sorte d’esclave domestique n’ayant que le droit de subir en silence et à qui l’on refuse, encore aujourd’hui, de s’élever socialement par les études et le travail.

Ce qu'en pense un musulman

A l’instar du Talmud des Juifs, le coran fait du mariage fécond une obligation religieuse. La femme est la domestique de l’homme mais elle doit aussi enfanter. Dans la société musulmane, le célibat est une sorte d’anomalie puisque l’homme a le droit de « posséder » quatre épouses (à l’exception, bien sûr de Mahomet, qui s’arrogea le droit d’en avoir une quinzaine), ainsi qu’un nombre « illimité » de concubines esclaves (72) (Mahomet en eu au moins onze). En cela le coran ne faisait que confirmer les vieilles coutumes tribales, celles des peuples pour qui le nombre de descendants était source de prestige (sauf pour Mahomet qui n’eut qu’un fils et une fille malgré ses douze femmes et ses nombreuses concubines . On comprend qu'il eut besoin de compenser son infériorité aux yeux de ses contemporains par sa violence, son arrogance... et ses révélations divines !). On raconte ainsi qu’en l’an 423 de l’hégire (année 1045 de notre ère), mourut à Bagdad un teinturier âgé de 87 ans qui avait épousé et répudié neuf cents femmes, soit une par mois en moyenne.

Le mariage légal, tel qu’il se dégage du coran est un mélange subtil de règles juridiques et de coutumes préislamiques. C’est surtout – avec le concubinage – un moyen licite d’avoir des relations sexuelles sans commettre le « péché criminel de Zina ». Il se résume en deux notions « possession physique » et « procréation ». Au chapitre des « empêchements », le coran diffère peu des autres législations de l’époque mais introduit cependant deux notions purement coranique, celle qui réprime les « mésalliances » (mariage entre deux personnes de conditions sociales différentes) et le mariage avec la sœur d’une femme déjà épousée et encore vivante. Sur le plan du mariage, l’islam n’a donc jamais été une religion « égalitaire ». Mais si l’islam interdit le mélange des « classes sociales », il autorise à un musulman d’épouser une femme juive ou chrétienne (Mahomet lui-même a épousé une Juive) tout en interdisant à la femme musulmane de pouvoir faire de même.

Cela tient évidemment du fait que, dans les sociétés anciennes, la femme était tenue d’adopter la religion de son mari. En épousant une juive ou une chrétienne, le musulman faisait une « nouvelle adepte » tandis que, dans le cas contraire, la communauté aurait vu une femme musulmane adhérer à une autre religion. Les Juifs adoptaient – et adoptent toujours – la même attitude discriminatoire. En outre, chez les Juifs comme chez les musulmans, la femme ne participe pas au culte proprement dit. Elle n’en est que la spectatrice et… la victime !

En droit islamique, le mariage peut avoir lieu si les deux conjoints sont pubères. Le coran ne s’encombre pas des notions de « majorité légale » qui, de toute façon, n’existaient pas au VIIe siècle ! Il permet, en outre, la pratique du mariage forcé ou « djebr » (contrainte matrimoniale dans le droit islamique) et, dans ce cas, la puberté n’est plus une condition sine qua non. Le droit au djebr est dévolu au père ou au tuteur désigné par lui (tuteur testamentaire) mais il n’a jamais existé de règles précises à son propos, l’application du djebr ayant varié selon les « écoles » coraniques et les rit. Le djebr n’est d’ailleurs pas une coutume spécifiquement islamique. Elle existait bien avant l’islam et était répandue dans la quasi-totalité de la Méditerranée orientale. Le Talmud des Juifs accordait ce même droit au père. On retrouve dans toutes ces coutumes et règles juridiques, la volonté – pour les sociétés anciennes – de favoriser la démographie. Les peuples qui se faisaient la guerre à outrance devaient compenser les pertes au combat en incitant les filles à procréer dès leur plus jeune âge. On aurait donc dû s’attendre à ce que ces usages disparaissent en même temps que les soucis démographiques. Mais il n’en fut rien chez les musulmans alors même que ni le coran ni les sunna n’abordent cette question. C’est la « doctrine » et la « jurisprudence » qui ont confirmé la pratique du djebr, non la nécessité. Notons encore que le consentement de la fille n’est requis – en droit islamique – que si elle est émancipée, veuve ou divorcée. Elle peut aussi refuser d’être mariée à un fou, à un épileptique ou à un homme difforme. Elle a aussi droit à la parole dans le cas – peu probable dans une communauté musulmane – où l’on refuse de la marier. Il faut aussi rappeler que la loi coranique a décrété que la défloration était licite dès l’âge de neuf ans. Elle se fonde, une fois de plus sur l’exemple de ce vieux satyre de Mahomet qui, voulant épouser Aïchah, la déclara nubile à cet âge. C’est sans doute l’un des aspects les plus abjects de la loi coranique puisqu’il confère un caractère légal (pour ne pas dire « divin ») à la pédophilie (73) !

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Le mariage islamique implique la « cohabitation assidue » et l’entretien du ménage. Il impose à l’homme de nourrir ses femmes (elle peuvent manger tout ce qu’elles sont capables de consommer !) et lui recommande de s’abstenir des mauvais traitements et sévices graves. Le coran, toujours contradictoire, permet cependant à l’époux de « corriger par violences légères » (sic) l’épouse dont il aurait à se plaindre. Bien évidemment , la femme a un devoir absolu de fidélité tandis que l’homme n’est aucunement astreint à cette obligation.

Le coran a aussi donné un caractère légal à une vieille coutume bédouine qui consistait en une sorte de « mariage temporaire ». Nommé « sigheh », il ne pouvait durer plus d’une heure et permettait, jadis, la satisfaction des besoins sexuels des hommes qui se trouvaient éloignés de leur(s) femme(s) (caravaniers, marchands, pélerins,…). C’était, en réalité, une forme de prostitution déguisée. Aujourd’hui, et alors même que cette forme de relation (très) temporaire ne se justifie plus, le sigheh permet les relations sexuelles hors mariage malgré les interdits de ce même coran. C’est ainsi que les relations avec des prostituées sont tolérées par les régimes islamiques les plus puritains si les « passes » ne durent pas plus d’une heure. D’où une recrudescence de la prostitution dans les pays musulmans où la misère sociale ne cesse de grandir d’année en année. Nous sommes, là encore, en présence d’un cas flagrant d’hypocrisie masculine. Imitant leur « prophète », les musulmans s’arrogent des « dérogations » en jouant sur les mots et en se référant à des us et coutumes vieux de plus de quatorze siècles. Ceux qui fréquentent des prostituées se retranchent derrière cette prétendue « autorisation coranique » qu’est le sigheh. Et comme les « passes » chez les putains durent rarement plus d’une heure, ils peuvent se déclarer « en paix avec dieu ». Ben voyons !

La problématique du « voile islamique » met en évidence le même type de comportement hypocrite, la même propension a jouer sur les mots et à se référer à des usages locaux qui n’avaient rien de spécifiquement religieux.

Le « foulard islamique » (sic) est aussi le type même du faux problème, un problème fabriqué spécialement par les islamistes (par déclinaison du tchador Iranien ou de la Burka Afghane) pour leur permettre de tester la résistance des sociétés occidentales. En fait, le port d’un foulard, d’un voile ou de toute autre vêtement (comme le tchador ou tchadri ou burka) n’est prescrit par aucune religion. C’est surtout une tradition propre à certaines ethnies et elle n’a de motivation religieuse pour l'islam que si on veut lui en donner une.

Parmi les explications que donnent les musulmans pour justifier le port du foulard en tant que prescription islamique, ils citent souvent des versets du coran (sourate 33) qui imposent le port d’un voile (hidjâb) En fait, les musulmans eux-mêmes ont très diversement fait usage de ces versets selon les époques et les régions. C’est le cas pour le verset 59 qui dit : « O prophète ! Prescrits à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants d’abaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes… ». Vouloir cacher ses épouses et ses filles est une volonté d’homme jaloux symptomatique des tendances tyranniques de Mahomet. Voir là une « prescription divine » à étendre à toutes les femmes est de même symptomatique des tendances tyranniques de certains « savants » musulmans.

Le port du voile chez les femmes du Moyen-Orient découle d’une très ancienne coutume. On en trouve la trace dans les lois instaurées par Teglath-Phalazar Ier (transcription du nom assyrien Toukoulti-apal-Esharra qui signifiait littéralement « l’enfant de la déesse Esharra est ma force »), rois d’Assyrie qui régna au XIIe siècle avant notre ère. Elles stipulaient déjà que « Les femmes mariées qui sortent dans la rues n’auront pas la tête découverte. La concubine qui va dans la rue avec sa maîtresse (l’épouse) sera également voilée. La hiérodule (prostituée sacrée) qu’un mari a prise sera voilée dans les rues. Et celle qu’un mari n’a pas prise ira la tête découverte. La prostituée (non sacrée) ne sera pas voilée, sa tête sera découverte ». Il n’y a rien de « révélé » dans tout cela. A moins d’admettre qu'Allah ignorait les lois des assyriens !

Chez les chrétiens, les religieuses ont longtemps porté le voile en souvenir des tenues que portaient les premières disciples de Jésus, des femmes juives qui vivaient dans les régions arides de Palestine. Mais jamais le clergé chrétien n’a prétendu qu’il s’agissait là d’une « volonté divine » et, lors des dernières réformes de l’église catholique, le port du voile chez les religieuses a été abandonné (il n'est pas interdit mais est devenu facultatif afin de satisfaire des congrégations très conservatrices).

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Saint Paul, dans la première de ses « Epitres aux Corinthiens » (chapitre 11, versets 4 à 16), insistait seulement sur la nécessité, pour la femme, de se couvrir quand elle prie ou prophétise. Pour les hommes, on trouve les mêmes divergences de point de vue. Les chrétiens se décoiffent pour pratiquer leur culte tandis que les Juifs et leurs « plagieurs » musulmans adoptent l’attitude inverse.

Les différents documents çi-après qui illustrent notre propos démontrent que, dans de très nombreux pays musulmans, la femme ne masque pas son visage. Certains peuples musulmans n’ont jamais jugé utile d’imposer le port d’un voile ou d’une tenue quelconque. Chez les Touaregs, c’est l’homme qui porte le voile tandis que la femme n’en a jamais porté. Les musulmans qui obligent leurs femmes et leurs filles à porter le foulard ou le voile le font bien plus pour affirmer leur autorité (et leur jalousie maladive) que par respect d’une quelconque « loi divine».

Le port d’un voile ou d’un foulard n’étant rien d’autre qu’une coutume, nous sommes - en Europe - parfaitement en droit d’en interdire le port à l’intérieur des bâtiments publics et plus particulièrement des écoles. En Europe, ce sont les coutumes européennes qui s’imposent, pas celles des déserts d’Arabie, du Maghreb, de Palestine, d’Afghanistan ou d’ailleurs. D’autant que la coutume européenne impose de se découvrir devant un supérieur hiérachique, ou une personne qui détient une forme quelconque d’autorité. C’est une simple question de politesse. Dans le cas des élèves des écoles en présence des membres du corps enseignant, c’est une forme élémentaire de respect.

Dès lors, le fait de ne pas se découvrir dans des locaux scolaires est un manque flagrant de civisme et doit être sanctionné comme tel, qu’il s’agisse d’élèves musulmans ou non musulmans. Et pour les musulmans que nos coutumes « dérangent », il existe pas mal de bateaux et d’avions en partance pour les pays musulmans, ces « paradis » où le coran est roi et où l’on se retrouve sous les verrous pour avoir éternué un peu trop fort pendant la lecture des « saintes révélations » !




On notera surtout que les politiciens occidentaux - par pur opportunisme ou par peur – ont presque toujours tenté de fuir leurs responsabilités dans de telles affaires. Lorsque Lionel Jospin, alors ministre de l'éducation, a eu à prendre une décision lors de la première affaire de foulard islamique, il s'est empressé... de ne surtout rien faire et rien décider, alors qu'il pouvait d'une simple signature tuer dans l'oeuf ce problème qui empoisonne maintenant l'ensemble de la société Française. C’est ce manque de fermeté politique qui a incité les islamistes à « passer la vitesse supérieure » et à se comporter de plus en plus ouvertement en « conquérants ».

Nous nous devons de leur rappeler que les régimes politiques de la plupart des pays occidentaux sont régis par le principe de laïcité, un principe qui met toutes les religions sur un pied d'égalité et ne peut donc admettre de dérogations qui avantageraient une quelconque religion par rapport aux autres. Dés lors que le voile ou le foulard est arboré comme un signe de « différence religieuse », il se trouve en opposition avec le principe de laïcité. Il en serait de même pour un juif qui, dans une école publique, porterait ostensiblement la « kippa » (coupole en hébreu), cette calotte que portent les Juifs pratiquants.

Il n’y a pas à déroger sur ce principe, pas plus que sur les autres règles qui conditionnent le fonctionnement des écoles publiques européennes, notamment le principe de la mixité. Une fois encore, si les musulmans ne sont pas satisfaits de nos us et coutumes, qu’ils s’en aillent. Nous ne les retiendrons pas. Il leur appartient de se plier aux lois et aux règlements qui régissent nos sociétés occidentales… ou de s’en aller voir ailleurs s’ils n’y sont pas. Le départ des fauteurs de troubles professionnels ne sera regretté par personne. Quant à ceux qui persistent à contester nos règles de vie et nos lois (adoptées démocratiquement, contrairement à ce qui se passe dans les pays islamisés), nous devrons prendre des mesures pour les mettre hors d’état de nuire, d’une manière ou d’une autre. Nous avons exposé par ailleurs, les différentes solutions envisageables, de l’expulsion simple aux mesures d’internement et d’isolement
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En France, la mentalité « post-soixantuitarde » produit maintenant de redoutables effets pervers.

Sur la photo ci-contre on voit des lycéennes arborant un calicot qui est l’exemple même du contresens.

On ne peut pas dire « oui » au foulard, symbole d'intolérance et de refus de la laïcité, en même temps que l'on dit « oui » à la tolérance et à la laïcité !

On voit ainsi comment les manipulations islamiques peuvent égarer les jeunes esprits, d’autant que les discours lénifiants de toutes sortes d’associations ont pour effet d’endormir la méfiance des non musulmans.

C’est précisément au nom de la laïcité et du respect de tous – en commençant par les membres du corps enseignant – que les signes ostentatoires d’appartenance à une communauté religieuse doivent être strictement interdits dans les écoles non confessionnelles. Il existe des écoles catholiques, d'autres juives.
Qu'attendent donc les musulmans pour faire de même ?
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Tolérance occidentale ou tolérance musulmane ?
Ecole laïque ou école coranique ?
Science contemporaine ou science islamique ?
Les « post soixante-huitard » objecteront que patati & patata pour ne pas choisir. Les adeptes de Mahomet, eux, ont déjà choisi.




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Ces dessins - extraits des planches « costumes » du Larousse du XXe siècle (édition de 1933)- prouvent (si besoin est) que le port du voile n’est pas systématique dans le monde musulman. En haut (costumes d’Asie), la femme Palestinienne ne porte pas le voile. En bas, on trouve des femmes non voilées en Algérie et en Tunisie. Il s’agit pourtant de régions d’Afrique du Nord islamisées de longue date. Le port du voile ou du foulard n'est donc pas une obligation religieuse musulmane absolue.

La « répudiation » - qui fait l’objet d’un certain nombre de versets du coran – était un mode de dissolution du mariage commun à tous les peuples d’origine sémitique. Chez les Israélites, le Deutéronome permettait au mari de répudier sa femme sans grandes formalités. Cette coutume persista très longtemps chez les Juifs, à tel point que le Grand Sanhédrin – réuni en 1807 sur ordre de Napoléon Ier – fut sommé de mettre fin à ce genre de pratique qui permettait les mariages à répétition. Dans bon nombre de pays musulmans, l’homme peut toujours répudier quatre femmes sans avoir à se justifier. Chez les musulmans sunnites, le mari a de plus le droit de revenir sur sa décision, c'est bien pratique pour pouvoir faire n'importe quoi !

L’islam couvre aussi de son autorité quantité de pratiques honteuses, pour ne pas dire criminelles. C’est le cas pour la pratique de l’excision qui demeure très répandue en Afrique noire islamisée.

Au Mali, comme dans d’autres pays d’Afrique, les imams entendent s’opposer à la loi pour perpétuer des pratiques honteuses telles que l’excision des femmes, véritable mutilation allant à l’encontre des droits les plus élémentaires de la personne humaine Comme nous l’indique un article de « L’Express » (8 août 2002), 94% des femmes maliennes âgées de 15 à 49 ans sont encore excisées malgré les lois adoptées par le gouvernement. C’est la « Limala » (Ligue malienne des imams et des érudits pour la solidarité islamique) (sic) qui s’est le plus directement opposée à la loi interdisant l’excision bien que, selon son porte-parole, l’excision soit « facultative dans la religion musulmane ». Autrement dit, il s’agit d’une coutume – couverte par l’islam – qui s’applique « à la tête du client » sans aucune nécessité véritable. Encore une incohérence criminelle parmi d’autres.
Remarquons au passage que l'excision musulmane n'est à nouveau qu'un plagiat, celui d'une mutilation sexuelle rituelle juive : la circoncision. Là où les juifs mutilent sexuellement les hommes, les musulmans ont choisi de mutiler les femmes. Bonnet blanc et blanc bonnet...

Notons, en passant, qu’une « déclaration islamique des droits de l'homme » a été proclamée à Paris (Unesco) le 19 septembre 1981 par un certain Salem Azzam (secrétaire-général d’un « conseil islamique »). Ce simple fait montre que la déclaration des droits de l'homme, dans sa forme d'origine, est INCOMPATIBLE avec l'islam. Composée de 23 articles, la « déclaration islamique des droits de l'homme » devrait – en principe – être respectée par tous les pays régis par l’islam. Outre le droit à la vie, elle reconnaît le droit à la liberté et à l’égalité et prohibe toute forme de discrimination. Elle implique le droit à la justice et à un procès équitable. Ses 13 articles relatifs aux droits politiques et sociaux instauraient le droit d’asile, les droits des minorités, les droits de participation à la conduite et à la gestion des affaires publiques, le droit à la liberté de croyance, le droit de pensée et de parole, le droit de libre association, la protection des biens, la protection des travailleurs, le droit à la sécurité sociale, le droit à l’éducation et le respect de la vie privée.

Ce texte n’a, en fait, jamais été respecté par les nations régies par la loi coranique, tout simplement parce qu'il ne PEUT PAS l'être : La plupart des droits reconnus par cette « convention » sont en opposition avec les prescriptions du coran et, par la même occasion, incompatibles avec l’islam. Cette « convention » est un chiffon de papier comme le furent des tas d’autres « traités » signés par des musulmans. La notion même de « convention islamique des droits de l'homme » est une aberration, une vue de l’esprit destinée uniquement à jeter de la poudre aux yeux des Occidentaux naïfs. Quant aux « droits de la femme », c'est une notion qui n'existe pas dans l’islam !

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Dans les pays musulmans en guerre (comme ci-dessus en Afghanistan), le port des tenues féminines dites « traditionnelles » est très pratique lorsqu’il s’agit de faire transporter des armes, des explosifs, des tracts subversifs, des faux papiers et autres objets illicites. L’armée française avait déjà été confrontée à cette tactique pendant la guerre d’Algérie. En Afghanistan, des milliers de femmes ont ainsi été obligées de servir de « passeurs » pour les différentes factions qui participent au conflit. Aujourd’hui encore, elles continuent à collaborer – le plus souvent de force – avec ce qui subsiste de l’ancien pouvoir taliban et pour les islamistes à la solde de l’Arabie saoudite
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Femmes turques portant le tchador pour aller voter (octobre 2002).

Si l’on excepte les femmes âgées, les femmes franchement laides et celles dont le comportement est entaché de masochisme (il y en a !), rares sont les musulmanes qui sont réellement attachée à ce type de vêtement qui les transforme en autant de sacs anonymes. Elles ne portent ces vêtements dégradants que par obligation et sous la contrainte des « traditions » imposées par les hommes. C’est particulièrement vrai dans les pays qui conservent encore un semblant de laïcité (Turquie, Irak,…) et où le port des tenues « islamiques » n’est pas rendu obligatoire par la loi.

Les pays occidentaux doivent être très attentifs à ce problème et sanctionner le port des tenues musulmanes qui masquent le visage. Il suffit pour cela d'appliquer la loi telle qu'elle existe. Rappelons que les tenues de carnaval sont interdites en dehors justement des périodes de carnaval. Une tolérance existe pour les artistes de rue mais il est aisé de faire la différencec entre un artiste accomplissant un spectacle et une femme musulmane, même pour des policiers peu au courant des us et coutumes de l'islam ! Comme n'importe quel contrevenant, toute femme se promenant dans la rue en étant masquée devrait être, de facto, verbalisée, voire emmenée dans un commissariat de police si elle refuse d'enlever son masque. (C'est en appliquant une législation de ce type que les Américains ont réussi à faire que, désormais, les militants du Ku-Klux-Klan ne portent plus leurs masques quand ils défilent.)
Il s’agirait là de mesures préventives et dissuasives et non de mesures à connotation raciste ou xénophobe. La sécurité de nos populations doit passer avant toute autre considération.

De très nombreux auteurs ont critiqué l’islam pour son iniquité vis-à-vis des femmes. C’est ainsi que Gauthier écrira que : « Il y a, en islam, guerre déclarée entre les sexes, sans trêve, sans merci. L’homme a contre soi, non seulement ses femmes, mais toutes les femmes ». Cet antagonisme permanent a fini instaurer une vision bicéphale de l’univers (en parfait complémentarisme du manichéïsme séparant les musulmans des non-musulmans mécréants). En terre d’islam, il y a l’univers des hommes et celui des femmes. Et ces deux univers ne se rencontrent guère qu’au moment des rapports sexuels.

Le profond mépris pour les femmes qui anime les musulmans s’est souvent manifesté dans les milieux de la prostitution. Les musulmans pouvant règner en despotes sur les femmes de leurs familles, c'est naturellement qu'ils sont amenés à exploiter les femmes ne bénéficiant pas de la tutelle d'un homme. En Europe occidentale, on a connu plusieurs générations de « maquereaux » maghrébins et, tout récemment encore, un consul de Belgique, a été compromis dans une affaire de visas accordés illégalement à des femmes marocaines que des proxénètes maghrébins voulaient mettre sur nos trottoirs. Depuis quelques temps, les proxénètes maghrébins ont dû céder du terrain devant les voyous originaires des anciens pays de l’Est. Mais, ici encore, les pires exploiteurs de femmes sont les maffieux albanais, pour la plupart musulmans.

C’est sans nul doute vis-à-vis des femmes que l’islam révèle pleinement son anachronisme et ses aspects les plus inégalitaires. En donnant au coran un caractère immuable, les musulmans perpétuent des us et coutumes qui n’ont plus cours dans les autres communautés depuis des siècles. Bornés mais habitués à ruser depuis des siècles pour conserver leur anachronisme, les musulmans de sexe masculin ne veulent pas admettre que les règles énoncées dans le coran valaient pour les tribus nomades de l’Arabie du VIIe siècle, et qu'elles n'ont plus aucune raison d'être pour les sociétés citadines et sédentaires de notre époque. En cela, ils sont rejoints par les Juifs «ultraorthodoxes », ceux-là même qui constituent le noyau dur de la droite israélienne. On ne connaît que trop bien les méthodes fascisantes de cette droite extrémiste, belliqueuse et raciste. Des méthodes qui s’apparentent très directement à celles des factions islamistes les plus radicales. Ce sont ces fascistes religieux qui ont revendiqué (et obtenu !) des bus « kasher » (avec compartiments séparés pour les hommes et pour les femmes) et nul doute qu’un jour viendra où les islamistes voudront, eux aussi, imposer des transports en commun « halal » . Avec de tels cinglés, il faut s’attendre à tout !
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 18:23

Bran Bonjour tu fournit un formidable travail que je copie directement et qui serat présenté dans nos écoles du quartier.
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 20:26

La porte d’entrée d’un Harem (palais de Topkapi). Comme Mahomet, les califes, les sultans et autres « chefs » musulmans s’accordèrent de nombreuses « dérogations religieuses », notamment en ce qui concerne leurs épouses et leurs concubines. Certains d’entre-eux enfermèrent des centaines de femmes dans un « harem » (de l’arabe « haram » : chose sacrée ou chose réservée) qui était gardé par des hommes émasculés (eunuques) dont le chef était appelé « kislir aghasi » (chef des filles). Parmi ces femmes, il n’était pas rare de trouver des non musulmanes qui avait été capturées lors de razzias ou pendant les guerres. Ces captives n’avaient la vie sauve que si elles acceptaient d’entrer dans le harem de celui qui les détenaient. Pour un musulman de stricte observance, la femme n’est rien d’autre qu’une esclave qui doit la plus totale obéissance à son « maître ».
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Le mahométisme a toujours affiché le plus profond mépris pour les droits de la personne, surtout s’il s’agit d’une femme. Pour le musulman, la femme est taillable et corvéable à merci, comme l’étaient les serfs de notre moyen Age. Chez les bédouins, son statut est parfois moins enviable que celui des bêtes de somme, chameaux et chevaux. Si cette vision des choses a persisté jusqu’à nos jours dans les pays islamisés, c’est évidemment à cause du coran, donc de celui qui en fut l’auteur, ce Mahomet qui commença par jouer les gigolos coureur de dot avant de finir pédophile.

C’est au coran que se réfèrent les musulmans lorsqu’ils sont accusés d’enfreindre les droits de l’homme, de la femme et des enfants. Il s’y réfèrent même lorsqu’ils commettent des crimes qui auraient fait pâlir d’envie Jack l’Eventreur !

C’est ainsi que la justice iranienne a fini par condamner à mort (et exécuter) un certain Saeed Hanaei, un ouvrier du bâtiment âgé de 39 ans (lors de son procès en octobre 2001) qui avait assassiné seize prostituées dans la ville « sainte » de Machad (nord de l’Iran). Cette affaire a fait l’objet d’un reportage qui a été diffusé par la chaîne de télévision « France 3 » en mars 2003.

Entre 2000 et 2001, les prostituées de Machad vécurent dans la terreur à cause de ce tueur en série. En tout, dix-neuf femmes furent étranglées, seize par Hanaei et trois par des inévitables « imitateurs ». Le « serial killer » fut démasqué lorsque l’une de ses victimes parvint à s’échapper et à trouver refuge dans un commissariat de police. Sa méthode était simple : il se faisait passer pour un client, il attirait sa victime dans un coin tranquille, il la « consommait » puis il l’étranglait avec... son voile islamique !
Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Img-201940ithwqSaeed Hanaei était un malade à tendance mystique mais aussi un pervers sexuel puisqu’il « consommait » avant de tuer.

Les refoulements sexuels, chez les mystiques (toutes religions confondues) ont souvent pour effet d’induire des comportements per-vers. C’est l’une des conséquences néfastes de l’enseignement religieux lorsqu’il est prodigué par des fanatiques ou des ignorants (chose fréquente dans le monde arabo-musulman).


On prétend de l’épouse du serial-killer aurait approuvé la conduite de son mari et qu’elle le vénère comme un « héros ». Mais il ne s’agit sans doute que d’une attitude « de façade », une attitude destinée à ne pas contredire la position de la famille du meurtrier, cette belle-famille dont dépend sa veuve.
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Saeed Hanaei expliquera qu’il avait agi de la sorte parce qu’un homme avait abordé sa femme alors qu’elle traversait un quartier mal famé. Il l’avait prise pour une prostituée. Hanaei se serait senti « souillé » et aussitôt « investi d’une mission divine ». Il devait chasser les femmes « impures » de la ville sainte ! On est là devant un cas classique d’aliénation mentale qui puise ses racines dans le mysticisme religieux. D’autres ont agit de même dans des pays catholiques ou protestants, ou encore dans des communautés juives. On notera d’ailleurs que des religieux iraniens ont prêché ouvertement en faveur de ce cinglé, estimant qu’il n’avait jamais « versé le sang d’innocents » !

Pour les chiites les plus fanatiques, Hanaei est ainsi devenu une sorte de « chevalier de dieu ». Il a bénéficié de nombreuses marques de sympathie lors de son arrestation et sa famille, très fière, vénère sa mémoire comme celle d’un « saint homme » !

Comme l’indiquait fort bien un article paru dans l’hebdomadaire « Télépro » ( mars 2003), ce fait divers sordide met en lumière un Iran toujours aussi malade de ses excès mystiques. Les prostituées qui furent massacrées par Hanaei et ses « copieurs » n’avaient pas vraiment choisi de racoler. La plupart d’entres elles avaient été mariées très jeunes. L’une d’elles n’avait que 10 ans quand elle avait été contrainte au mariage (toujours le fâcheux exemple du prophète pédophile !). Répudiée à 20 ans par son mari, elle avait été contrainte d’élever seule ses cinq enfants. La prostitution – sujet tabou au pays des ayatollahs – avait été l’unique issue pour cette femme qui avait été « légalement abandonnée » avec sa progéniture. Et c’est ce genre de mère courageuse que les musulmans osent qualifier de « femme impure », alors même que c’est son mari qui était un salopard !

Et pourtant, on n’entend guère les autorités occidentales s’élever contre les lois et les coutumes scélérates qui persistent dans le monde arabo-musulman en ce début du IIIe millénaire de l’ère dite « chrétienne ». C’est une forme de lâcheté qui ne nous honore pas, mais alors, pas du tout. Quand donc les juridictions internationales (comme la Cour de Justice Internationale) auront-elles le courage de faire comparaître les dirigeants des nations islamiques et ce, pour « crimes contre l’humanité » (puisque, jusqu’à preuve du contraire, les femmes font partie de l’humanité, n’en déplaise aux « muslims » !).

Le monde libre et supposé démocratique ne pourra se regarder dans la glace que le jour où les membres de la « bande à Saoud », les ayatollahs, les mollahs et les imams seront amenés, menottes aux poignets, devant les juges de l’ICC.




Compte tenu de tout ce qui vient d’être dit à propos de la misérable condition de vie des femmes musulmanes, on pourra s’étonner du fait que, depuis quelques temps, on puisse voir figurer des jeunes femmes au rang de « martyr de la cause palestinienne ».

Le problème vient d’être évoqué dans un ouvrage intitulé « Shahidas, les femmes kamikazes de Palestine » (de Barbara Victor aux éditions Flamarion. Un résumé des arguments de Barbara Victor a paru dans les pages du magazine « Télépro » en janvier 2003). L’auteur a analysé le cas des quelques femmes qui ont participé à des actions terroristes au nom du djihad. On apprend notamment qu’il a fallut une fatwa (décret religieux) pour légitimer des actes qui sont en contradiction avec la loi coranique. Et comme le note l’auteur de l’article (Viviane Bourdon), le martyre est devenu le seul avantage (façon de parler) social et culturel qui ait été consenti aux femmes dans la société islamique palestinienne.




C’est le 27 janvier 2002 que Yasser Arafat a déclaré, depuis son camp retranché de Ramallah : « Vous êtes mon armée de roses qui écrasera les tanks israéliens. Shahida juqu’à Jérusalem ». Il venait d’inventer un mot (shahida) qui n’existait pas dans la langue arabe avant qu’il ne prononce ce discours. Il l’a créé en féminisant le mot « Shehide » (martyr), un mot exclusivement masculin. C’est ce discours qui a incité plusieurs femmes à mourir plutôt qu’à demeurer des parias de la société musulmane. Dès l’après-midi du 2 janvier 2002, Wafa Idris était déjà passée à l’acte. Répudiée par son mari parce qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfants, elle avait voulu retrouver un semblant de respectabilité en se transformant en bombe vivante : une forme de suicide échappant à la vindicte religieuse.




Pour ces femmes, la mort est une libération. Darine Abou Aïcha, brillante étudiante de l’université de Naplouse – qui se fera sauter avec sa bombe devant un poste de contrôle israélien - n’avait elle pas déclaré à ses parents qu’elle refusait de se marier « pour ne pas devenir une esclave » ! Arafat, par son discours de janvier 2002, lui a donné, à elle et à quelques autres, la possibilité de mourir sans déshonorer leur famille. Mais c’est une façon honteuse et criminelle d’exploiter la détresse des femmes. Arafat n’a pas à être fier de son « armée de roses ». La Palestine non plus !

Si ce n’était la gravité du sujet, les non musulmans seraient tentés de sourire lorsqu’ils apprennent que l’islam n’aurait jamais vu le jour…sans une femme !

Cette femme, ce fut Khadidja, sa première épouse. Veuve et riche, elle permit au jeune Muhammad de s’ériger en propagandiste du « dieu unique » et de devenir « prophète professionnel ». Sans l’argent de Khadidja, Muhammad el-Mottalib n’aurait jamais pu armer ses premières bandes et courir le désert pour y répandre sa « foi » à grands coups de sabre. Sans le savoir – et sans doute sans le vouloir – cette femme a contribué au malheur de son sexe en favorisant l'ascension sociale et politique de ce sinistre individu.

Notons encore que la presse a fait état des « inquiétudes » du clergé chiite d’Iran à propos de l’entrée de plus en plus massive des jeunes filles dans les universités. En effet, en 2002 – et pour la quatrième année consécutive – le nombre de filles accédant à la première année des universités publiques a dépassé largement celui des garçons. Selon l’une des rares femmes élues au parlement iranien, les étudiantes seront bientôt plus nombreuses que les étudiants. Elle estime, par ailleurs, que c’est parce qu’elles n’ont pas droit aux autres moyens d’expression que les jeunes filles s’adonnent aux études avec autant d’enthousiasme. Mais selon un théologien chiite, cet état de chose serait de nature à encourager « la corruption des mœurs » et serait responsable de 70 % des échecs chez les jeunes iraniens !
Pauvre machos complexés !

On hésite aussi entre rire et pleurer quand on voit que des femmes contribuent encore de nos jours à favoriser et encourager leur propre oppression en voyant dans Mahomet... le premier et le plus grand féministe démocrate de tous les temps !
De tels monuments d'âneries et d'aveuglement renforcent les musulmans dans leur opinion que les femmes sont inférieures aux hommes : Comment expliquer sinon qu'il se trouve des femmes pour être si stupides ?

En fait, l'islam est une idéologie à ce point aliénante que l'on trouve de nos jours des femmes intelligentes et indépendantes ayant subi toutes les humiliations et les violences autorisées par l'islam, ayant réussi à s'en libérer mais qui, malgré les évidences aveuglantes de la responsabilité directe de l'islam et du modèle de Mahomet dans la situation catastrophique des femmes en pays musulman, continuent à clamer que le véritable islam est fait de « compassion » (c'est particulièrement flagrant dans le livre de Mouna Ayoub). Devant un tel aveuglement, que l'on pourrait effectivement attribué à une supposée stupidité inhérente aux femmes, on en viendrait facilement à penser que les femmes sont effectivement inférieures aux hommes... si l'on ne connaissait pas les troubles engendrés par le syndrôme de stockolm et qui provoqueraient exactement le même type de comportement aberrant chez un homme victime de la même situation.




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Cet article (presse belge – 5 décembre 2002) est typiquement tendancieux. Il vise à laisser croire que toutes les musulmanes qui portent le « voile islamique » ont fait ce choix délibérément. Or, dans l'immense majorité des cas, elles ne portent cet accessoire que sous la contrainte familiale et communautaire. Quant à celles qui ont fait ce choix en toute liberté, elles doivent accepter de supporter les conséquences de ce refus caractérisé d’intégration.

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ette femme yéménite, bien que musulmane et arabe, ne porte pas le foulard islamique, ni aucun voile. Elle porte seulement la coiffure traditionnelle de sa tribu. C’est une preuve supplémentaire du fait que la loi islamique n’a jamais imposé le port d’un voile, d’un foulard ou de quoi que ce soit d’autre.

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Qu’elle soit reine (comme Achaït, épouse du pharaon Mentouhotep II, ci-contre) ou simple servante, la femme de l’Egypte antique est omniprésente dans l’art. Elle apparaît comme une femme qui participe à tous les aspects de la vie quotidienne, y compris les aspects politiques et religieux. Dans l'Egypte des Pharaons, une égalité fondamentale régissait les rapports entre les sexes. Nombreux sont les historiens qui estime que, jamais aucune civilisation antique n’eut plus d’estime pour la femme que la civilisation égyptienne.

Depuis l’islamisation de l’Egypte, le statut de la femme est celui de toutes les femmes musulmanes. Il est bien loin le temps de Cléopatre, reine d'Egypte !

L’islam n’a pas fait avancer ce pays d’un pouce. Bien au contraire, les Arabes ont ravalé la nation égyptienne au rang de nation sous-développée et arriérée. Et l’on sait ce qu’il est advenu des dirigeants égyptiens qui on tenté de sortir ce pays de l’ornière islamique : ils ont tous été assassinés, comme au bon vieux temps du prophète !
Ce sont les « Frères musulmans » qui furent les instigateurs de l’attentat perpétré contre le colonel Nasser ainsi que du meurtre du président Sadate.

Les islamistes n’ont jamais caché leur mépris du progrès et de la paix. Leur credo est d’une simplicité attristante : vivre comme « au temps du prophète », mener la « guerre sainte » et imposer la « loi coranique ». Joli programme en vérité !

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Dalia et Norma Khouri, deux jeunes femmes qui vivaient à Amman, en Jordanie.
Dalia porte le voile islamique tandis que Norma, de confession chrétienne, ne le porte pas.

Dalia a été sauvagement assassinée (12 coups de poignard en pleine poitrine) à l’âge de 26 ans pour avoir fréquenté un jeune officier catholique (major dans la Garde Royale). Ses assassins ne sont autres que son père et ses frères. Et pour avoir osé traiter ces hommes d’assassins, son amie Norma a dû quitter précipitamment la Jordanie et se réfugier en Grèce (où elle a écrit un livre intitulé « Pour l’honneur de Dalia ». Il est édité chez JC Lattès). Cela se passait en 1996.

Dans la plupart des pays où sévit la loi coranique, les hommes peuvent, en toute impunité, assassiner leurs filles ou leurs soeurs qui ne se soumettraient pas aux injonctions du coran et notamment celles qui fréquentent des hommes non musulmans. C’est le cas en Arabie mais aussi en Jordanie, en Palestine, en Turquie, en Iran, et dans presque tous les autres pays fortement islamisés.

Les gouvernements qui tolèrent de tels comportements doivent être mis au banc de l’humanité et dénoncés haut et fort par tous les moyens dont nous disposons.
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 20:29

Quand le coran devient l’alibi des violeurs



Dans leurs éditions du 30 mai 2003, nos journaux ont fait état d’un « fait-divers » qui s’est déroulé dans un collège parisien, un « collège comme les autres » précisait « Le Parisien », ce qui n’a rien de bien rassurant compte tenu de la nature des faits. En l’occurrence, il s’agissait du viol en réunion d’une adolescente de 13 ans par quatre petits voyous âgés de 12 à 14 ans.

Pour sa part, le groupe belge « Sud Presse » avait choisi de titrer « Petits viols entre ados au cœur de Paris », comme s’il existait des petits, des moyens et des grands viols ! Le genre de titre qui tend à banaliser des comportements pourtant franchement crapuleux, même s’ils ont été commis par des adolescents.

On relèvera, par ailleurs, que la presse – dans son ensemble – s’est bien gardée de trop insister sur le fait que les quatre violeurs étaient tous originaires de la communauté arabo-musulmane et qu’ils s’étaient réfugiés derrière l’alibi – si commode – du coran pour justifier leurs forfaits. Leur cynisme était tel qu’il a étonné des policiers et des magistrats pourtant habitués à ce genre d’attitude. Les quatre « pseudo caïds » ont notamment affiché un mépris de la femme en se référant à l’islam qui « permet de punir les salopes ». C’est ce qui a fait écrire à la rédaction du « Parisien » que les quatre adolescents avaient « une vision de la femme qui fait froid dans le dos ».




Si l’article de « Sud Presse » débutait par un titre « douteux », il s’est avéré néanmoins intéressant pour l’encart qui avait été inséré à sa suite. C’est lui que nous reproduisons ci-après
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UN PHÉNOMÈNE ISSU DES CITÉS EN DIFFICULTÉ
Les " tournantes " ou viols en réunion entre ados. souvent mineurs, sont un phénomène récurrent depuis quelques années. Selon un prof interviewé lors d'une émission "Envoyés spécial" (France 2) sur ce sujet, une fille sur deux en connaît une qui s'est "fait tourner" et la moitié des garçons connaissent un violeur de la sorte. Les tournantes, dites aussi "plans pétasses", sont nées dans les cités de banlieues en difficulté. Dans les quartiers immigrés, elles prennent la forme d'une punition pour les jeunes maghrébines qui ne respectent pas suffisamment l'Islam aux yeux des garçons. Les premières " affaires " de tournantes sont parues dans la presse française au printemps 2001. Depuis, elles se suivent et se ressemblent. De très jeunes adolescentes entraînées dans des caves d'immeubles par un copain, voire un petit copain, se font violer en série. Les agresseurs sont condamnés par des peines de prison ferme. Mais il apparaît souvent qu'ils n'ont même pas le sentiment d'avoir commis un délit...




On aura constaté – une fois encore - que le titre est plus que douteux. Car si le très inquiétant phénomène des « tournantes » s’est développé dans les « banlieues difficiles », il a bel et bien vu le jour au sein des communautés arabo-musulmanes qui, bien souvent, constituent l’essentiel de la population de ces cités.

Il est le résultat du mépris que les musulmans affichent pour les droits de la femme ainsi que des « prescriptions coraniques » que diffusent bon nombre d’imams dans les mosquées.

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Article relatif à une émission diffusée
par la chaîne franco-allemande « Arte » le 27 juin 2003
Hebdomadaire « Télépro » - Juin 2003

Pour ces jeunes, l’islam est un alibi commode qui leur permet de donner une apparence religieuse à leurs instincts les plus vils et les plus bas. En fait - quoi que puisse laisser penser l’encart de presse reproduit ci-dessus – les jeunes violeurs savent parfaitement qu’ils commettent un délit. Mais ils se réfugient – comme tous les lâches de leur espèce – derrière l’alibi coranique. Ils espèrent ainsi passer entre les mailles du filet de la loi lorsqu’ils sont dénoncés et arrêtés. Le surnom commun de ces viols en réunion – « plan pétasse » - indique d’ailleurs clairement qu’il n’y a rien de religieux dans tout cela. Les petits salopards, sous un prétexte quelconque, décrètent qu’une fille n’est pas une « bonne musulmane » dans le seul but « de se la faire » ! Ils commettent leurs forfaits en parfaite connaissance de cause et prennent même un réel plaisir à transgresser les lois occidentales. Nous avons dit par ailleurs que, de plus en plus souvent, les jeunes musulmans affirment que seule la loi coranique leur est applicable et qu’il n’ont « rien à foutre » des législations et réglementations des « mécréants » !




L’article de Sud-Presse rappelait, en outre, que les viols d’adolescentes sont de plus en plus fréquents dans les agglomérations urbaines à forte concentration de populations issues de l’immigration. C’est ainsi qu’au début du mois de mai, deux gamins de 13 ans ont été incarcérés pour le viol d’une collégienne de 12 ans (dans le département des Yvelines). Au début d’avril, quatre autres jeunes de 15 et 16 ans avaient été inculpés du viol d’une adolescente dans la région de Perpignan.

Le phénomène des « tournantes » et des viols d’adolescentes n’a donc rien de marginal. Il tend même à se propager à l’ensemble des jeunes en difficulté, qu’ils soient ou non musulmans. L’attitude des arabo-musulmans vis-à-vis des femmes déteint aussi sur le langage des jeunes. Une expression comme « nique ta mère » est tirée du langage des jeunes beurs et ce n’est là qu’un exemple parmi bien d’autres. On n’en finirait pas de mentionner les nombreux effets désastreux que génère, pour les enfants et les adolescents non musulmans, la fréquentation quotidienne des mini caïds de banlieue.

Cette forme de contagion d’origine islamique ne semble pourtant pas inquiéter outre mesure les autorités compétentes qui, bien au contraire, s’efforcent de minimiser les choses et donnent des instructions à la presse et aux médias pour que l’on n’insiste pas trop sur l’origine réelle du problème, à savoir l’islam et le coran. C’est ainsi que la lâcheté des « bons musulmans » (celle qui consiste à se servir de l’alibi divin pour commettre des crimes et des délits) se trouve confortée par la lâcheté de nos dirigeants administratifs et politiques !




Il existe pourtant une solution à ce problème. Elle consisterait dans la création de centre spéciaux de rééducation, de réinsertion civique et sociale, spécialement conçu pour les délinquants mineurs, comme cela existe dans certains états des USA où ces centres sont gérés par l’armée et la « rééducation » confiée à des instructeurs militaires. L’ encadrement y est composé d'autant d’hommes que de femmes afin d’affirmer la notion de parfaite parité entre les deux sexes.




Cet exemple illustre, une fois encore, le caractère criminogène du coran et de l’islam. C’est pour cette raison que nous ne cessons d’affirmer que le coran mérite d’être considéré comme le livre le plus dangereux qui ait jamais été écrit et, qu’en tout état de cause, sa vente, sa diffusion et son enseignement devraient être interdits sur l’ensemble du territoire européen et ce, conformément aux législations en vigueur ainsi qu’aux conventions signées par les Etats-membres (dont la Convention européenne des droits de l’homme…et de la femme !).

L’enseignement du coran aux jeunes enfants et aux adolescents devrait être rigoureusement interdite en application du principe de précaution et du principe de correction à la source (Article 130R du Traité de l’Union). Leur santé morale et psychique est gravement menacée par les idées que ce texte véhicule, idées qui sont propagées, par les jeunes musulmans (eux-mêmes manipulés par leurs aînés), au sein des couches les plus défavorisées (donc les plus vulnérables) de nos populations.




Trouverons-nous un jour des députés nationaux et européens suffisamment courageux pour oser aborder ce grave problème sous l’angle législatif ? N’y aurait-il que les démagogues à la petite semaine de l’extrême droite fascisante pour clamer bien haut ce que tout le monde pense sans avoir le courage de le dire ?

L’espoir fait vivre… mais la longue attente fait mourir !

Le monde est une énorme pomme. Cette pomme est rongée de l’extérieur par l’ultralibéralisme et de l’intérieur par l’islamisme. Si nous n’y prenons garde, il n’en restera plus bientôt… que les pépins !
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 20:31

la strip-teaseuse de dieu


Cette « créature » avait été surnommée « la strip-teaseuse de dieu » par la presse américaine. Née à Ankara, cette Turque pour le moins « sculpturale », avait émigré aux Etats-Unis avec ses parents. Adepte du body-building, elle se fera connaître sous le nom de Kellie Everts.

Bien qu’ayant reçu une éducation musulmane « classique », elle se mit à prôner une thèse selon laquelle le corps est un don de dieu par où passent tous les influx divins, dont l’amour, la sagesse et la spiritualité. S’inspirant du discours de certains évangélistes américains, Kellie Everts prétendait que l’instinct sexuel est non seulement un baromètre de notre santé mais aussi un stimulant, un médicament qui, pris comme tel, peut guérir bien des maux. Elle soignait les malades dans les hôpitaux en les visitant et en effectuant devant eux une danse qui se terminait en strip-tease. Elle prétendait ainsi faire passer des « rayons divins » par la voie visuelle et tactile. On prétend que sa méthode fit des « miracles » !

Ceux qui ont assisté aux conférences de presse donnés par « Sainte Fesse » (surnom qui lui était donné par certains journalistes) disent qu’elle avait l’aplomb d’un « christ féminin » et qu’elle n’avait pas que son postérieur et son énorme poitrine pour subjuguer les journalistes américains, pourtant habitués à l’extravagance et à l’insolite, notamment dans le domaine religieux.


Selon la « strip-teaseuse de dieu », l’homme et la femme étaient parfaits au « temps des origines ». Ils étaient à l’image de dieu him-self. Ils vivaient nus et n’en éprouvaient aucune honte. Selon sa théorie, si l’on se dénude « en toute bonne santé mentale », on se rapproche de la perfection originelle. De plus, on s’installe dans un rapport de vérité qui ne peut être faussé par le « mensonge du vêtement qui fait les classes sociales ». Elle prétendait aussi expliquer les raisons qui ont entraîné la dégénérescence de l’homme.

Kellie Everts a fait du sexe une véritable religion, n’hésitant pas à considérer l’orgasme comme une rencontre avec dieu, tout comme les exercices de body-building. Selon elle, l’effort physique met l’être humain dans un état de nirvâna proche de l’abstraction charnelle et ce, au profit du spirituel. Aux Etats-Unis, dans les années 80, son curieux discours –mélange d’islamisme, de christianisme et de bouddhisme - avait reçu le soutien de plusieurs Eglises ayant pignon sur rue. Il est vrai que c’est le seul type de discours que l’on aimerait entendre dans la bouche d’une femme née en terre musulmane.

Cependant, par les temps qui courent, si une femme issue de la « communauté islamique » venait à tenir un tel discours, elle ferait, à n’en pas douter, immédiatement l’objet d’une « fatwa de mort » de la part des « gestapistes » du « New Muslim Order » (l’ « Ordre Nouveau » made in la Mekke) !

Et pourtant la « strip-teaseuse de dieu » n’était pas « mécréante », loin s’en faut ! (les photos sont extraites d’un reportage paru dans la revue « Paris - Las Vegas » - années 70).

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Ci-dessus, titre d’un article publié, en août 2003, par l’hebdomadaire « Télépro » concernant la condition de la femme dans les pays musulmans. Le terme « revendiquent », utilisé dans ce titre, est quelque peu excessif si l’on sait que, dans le monde musulman, les femmes ne peuvent rien revendiquer du tout. En terre d’islam, une femme qui « revendiquerait » serait battue ou mise à mort !

Cette interview est intéressante en ce sens qu’il s’agit d’une femme issue de la communauté musulmane, sociologue de formation et professeur d'université.

On relèvera, au passage, que Firouzeh Nahavandi confirme ce que nous pensons à propos de l’Irak, à savoir que le régime de Saddam Hussein, s’il n’avait rien d’« angélique », n’en était pas moins l’un des moins mauvais du monde arabe (avec le régime syrien fondé, lui aussi, sur le parti socialiste Baas). Bien que la religion musulmane ait été considérée comme « religion d’Etat » par le pouvoir irakien, le parti « Baath » (ou « Baas », mot qui signifie « résurrection ») demeurait ouvert à toutes les confessions et à l’athéisme. Nous ne redirons jamais que le pire des régimes politiques, dans le monde arabo-musulman, est celui de l’Arabie saoudite et de certains émirats. C’est celui qui se fonde sur le wahhabisme.

Saddam Hussein était moins « despotique » que ne le sont les roitelets du pétrole et d’autres chefs d’états qui se réclament, ou se réclamaient, de l’islam (voir le cas du sinistre Amin Dada). On l’a aussi accusé, à raison d’ailleurs, de « népotisme » mais l’habitude de placer la famille et le « clan » au pouvoir est ancrée chez les Arabes depuis la nuit des temps. En Arabie saoudite, ce sont 5.000 à 10.000 personnes apparentées aux Séoud qui bénéficient de privilèges. Et en France, « Tonton » (François Mitterand) et sa clique, famille et amis, n’ont pas démérité non plus sur ce plan-là !

Comme ils ont manipulé les informations relatives aux prétendues « armes de destruction massives » qui étaient supposées être détenues par l’armée irakienne (et dont on sait qu’elles n’existaient pas), les dirigeants US et britanniques ont volontairement exagéré les défauts du système politique irakien de manière à justifier leur intervention militaire, une intervention qui va déstabiliser durablement tout le Moyen-Orient (voir ce qui est dit à ce propos au chapitre 6 bis).

Nous rejoignons donc l’analyse de la sociologue de l’Université Libre de Bruxelles lorsqu’elle dit que le risque existe de voir les Irakiens et certains de leurs voisins, ulcérés par la présence occidentale (et les malheurs qui en découlent), revenir à une religion « pure et dure » avec tous ce que cela implique d’archaïsme et d’atteintes aux libertés fondamentales, notamment pour les femmes.

La sociologue de l’ULB n’ose cependant pas aller aussi loin que Taslima Nasreen (voir la fin de notre chapitre 15) qui, pour sa part, n’a pas eu peur de désigner

la racine du mal : le coran !
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MessageSujet: Re: Le Coran et ses différentes interprétations présumées!   Le Coran et ses différentes interprétations présumées! - Page 3 Empty20/9/2009, 20:39

Les religions monothéistes,
le patriarcat et la sexualité



L’islam, comme le judaïsme et le christianisme, est une religion patriarcale qui se fonde sur la primauté de l’homme sur la femme. C’est même la plus patriarcale de toutes les religions existantes.

Les religions primitives étaient généralement de type matriarcal. Elles établissaient leurs normes de valeur en fonction de la constitution sexuelle de la femme. Dans ces religions, la relation sexuelle est regardée comme l’accomplissement de la volonté divine et la « petite mort » (la brève perte de conscience qui accompagne l’orgasme) est interprétée comme une « révélation » (apocalypsos en grec). A ce moment-là, l’être humain devient véritablement l’ « instrument de dieu » et éprouve – dans son propre corps – l’extase de la création divine. Dans la conception matriarcale, la signification de l’amour physique est de rapprocher les « créatures de dieu » les unes des autres, de restaurer l’unité originelle du monde et de nous donner l’apaisement nécessaire pour reprendre des forces. La femme sait qu’il en est ainsi puisque dieu lui a accordé la propriété de faire naître la vie. L’enfant est la preuve vivante que dieu crée par la femme. Aussi l’amour physique est-il sacralisé dans les communautés structurées selon le mode matriarcal, des communautés qui ne connaissent guère les sentiments de pudibonderie et de culpabilité liés à la sexualité.

Dans les sociétés patriarcales, tout au contraire, l’activité sexuel est regardée comme un moyen – pour l’homme et lui seul – d’accéder au plaisir. Et du fait que l’homme ne fait aucun « sacrifice » pour accéder au plaisir charnel (ce n’est pas lui qui « enfante dans la douleur »), sa vie sexuelle est souvent tourmentée par la mauvaise conscience. Ce n’est sans doute pas un pur hasard si les pères de la psychanalyse furent essentiellement des Juifs.

Ce sentiment de culpabilité peut se traduire de deux manières : soit, comme dans les religions orientées vers l’ascèse (c’est le cas de l’islam et de certaines branches du protestantisme), par un mélange de misogynie et d’abstinence volontaire ; soit - comme ce fut le cas dans la Grèce et la Rome antiques - par une distinction entre les êtres qui dispensent le plaisir sexuel (jeunes garçons, kinèdes, hétaïres, courtisanes, maîtresses).et ceux qui assurent la descendance (épouses, mères). L’apparente « tolérance » du second système ne peut dissimuler totalement la mauvaise conscience sous-jacente, l’ambivalence morale et la schizophrénie éthique qui en sont le fondement. Ici encore, la culpabilité et la pudibonderie conditionnent le comportement sexuel. Dans la société patriarcale, il se forme une dangereuse dualité : quand l’homme « aime » (au sens sexuel du terme), il ne peut pas « respecter » et inversement. C’est là que gît le mal incurable des sociétés fondées sur des concepts religieux patriarcaux. Il se reflète dans toutes les contradictions de leur éthique.

Les religions matriarcales – qui n’ont guère résisté à l’extrême agressivité et à l’intolérance des religions monothéistes – remontaient à trois expérience archaïques de l’humanité. Les deux premières étaient vécues par les deux sexes, la troisième étant spécifiquement masculine :

1°) Le prodige de la naissance était l’expérience primordiale car l’être humain mit très longtemps à découvrir la relation existant entre le coït et la procréation. D’où la vénération de l’homme primitif pour la femme qui donnait si mystérieusement la vie.

2°) La coïncidence angoissante du cycle lunaire et du cycle de la menstruation.

3°) La séduction que la femme exerce sur l’homme, force attractive qu’il a souvent des difficultés à comprendre, même de nos jours.




Les religions matriarcales se développèrent au cours de deux phases distinctes de la préhistoire :

pendant le mésolithique (-10.000 à –5.000 environ avant notre ère), dans les groupes qui tiraient leur subsistance de la cueillette.

Pendant le néolithique (5.000 à – 3.000 environ) au sein des groupes qui pratiquaient le labour à la houe.




Curieusement, quatre formes archaïques de subsistance n’ont pas entraîné l’apparition d’une culture matriarcale : ce sont les activités de chasse et de pêche (sans apparition simultanée d’une technique de cueillette pratiquée par les femmes), de labour à la charrue, d’élevage et de nomadisme. Partout où ces types d’activité se manifestèrent, ils entraînèrent un rejet du concept matriarcal et l’apparition de religions patriarcales puis monothéistes (judaïsme, christianisme et islam).

Cependant, pour être parfaitement honnête, il faut reconnaître que c’est au sein même de l’Egypte pharaonique que le concept monothéiste a vu le jour sous la forme du culte d’Aton, le dieu solaire qui ne parvint pas à supplanter le panthéon égyptien traditionnel. Et c’est très vraisemblablement une femme – la reine Néfertiti – qui fut à l’origine de cette hérésie (qui fut fatale à son mari, le pharaon Aménophis IV-Akhenaton, et à son gendre, le jeune pharaon –Toutankhaton-Toutankhamon). En fait, le culte monothéiste d’Aton (assimilé Atoum-Râ) avait vu le jour en Nubie, région d’où était originaire Néfertiti, princesse à la beauté légendaire. Il convient toutefois de noter que le culte d’Aton ne semble pas avoir eu de connotations patriarcales, du moins au sens classique du terme.

La volonté d’imposer la primauté de l’homme sur la femme vient du désir du père d’assurer une base légitime à sa lignée et ce, contrairement aux réalités biologiques qui mettent en évidence la primauté de la lignée maternelle (celle qui est inscrite dans le code génétiques des êtres humains). Or, on ne peut légitimer la lignée paternelle qu’en imposant le mariage d’un seul homme avec une ou plusieurs femmes, d’où le système polygame des juifs et des mahométans et le système monogame des chrétiens. Les sociétés matriarcales n’avaient aucunement besoin de tels systèmes puisque la mère sait toujours quels sont ses enfants, quel que soit le père.



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Le masque funéraire et le couvercle du sarcophage de leur gendre, né Toutankaton (– 1354 à – 1346) mais qui fut obligé de régner sous le nom de Toutankhamon après avoir dû renier le dieu unique de son clan familial. Le jeune souverain, mort à 18 ans, ne régna que fort peu de temps (environ 9 ans) et il n’est pas impossible qu’il ait été assassiné.

En réalité, c’est l’apparition de la notion de « propriété privée » qui va engendrer le système patriarcal. Dans les groupes sociaux où cette forme de propriété se développa, on vit apparaître, du même coup, l’ angoisse de l’adultère et de la jalousie mais aussi le concept selon lequel la femme (ou les femmes pour les polygames) est la « propriété » de l’homme à laquelle elle est soumise. Outre le fait qu’il blesse la vanité de l’homme, l’adultère est d’abord regardé comme un « vol ».

En Europe, le matriarcat fut le modèle social des germano-scandinaves jusqu’au début de notre ère (voir le culte de Nerthus, déesse de la fécondité, encore en vigueur au Ier siècle chez les germains de Zélande) et l’on trouvait encore des subsistances matriarcales au sein de l’empire romain vers l’an 40 de notre ère. Ce n’est d’ailleurs qu’en l’an 382 que Gratien fit interdire les Vestales et le culte de la déesse du foyer.

Au Proche-Orient, en Arabie et en Afrique du Nord, le modèle matriarcal ne s’est jamais imposé totalement chez les nomades et les marchands pour qui la notion de « biens privés » était fondamentale. Il est donc normal que ce soit dans ces régions que les thèses monothéistes, résolument patriarcales (dieu est un homme, pas une femme), aient eu le plus de succès. C’est aussi dans ces régions que le type du « dieu abstrait », sans nom et sans visage, avait le plus de chance de faire son apparition.

En effet, le dieu unique des Juifs et des arabo-musulmans n’a pas de visage, pas de consistance véritable. On dirait aujourd’hui que c’est un « dieu virtuel ». Par contre, le dieu unique des chrétiens a presque toujours été représenté avec une apparence humaine, celle d’un patriarche âgé et barbu. La différence tient au fait que pour les peuples d’Afrique, du Moyen-Orient et de l’Inde, les divinités avaient toujours été des entités « non humaines », démoniaques ou hybrides (mi homme, mi animal). Le panthéon égyptien est essentiellement composé de dieux et de déesses ayant un corps humain et une tête d’animal (ou carrément de type animal) tandis que les dieux mésopotamiens sont souvent représentés avec un corps d’animal et une tête d’homme. A cela s’ajoute des relents d’animisme africain qui permettent de concevoir des entités immatérielles capables de prendre n’importe quelle apparence. Quant à l’hindouisme, qui a été amené à subir diverses influences par le fait du commerce avec l’Arabie, la Mésopotamie et l’Afrique, Il met en avant des divinités animales et d’autres démoniaques ou fantastiques. Dans tous ces cas, les dieux et déesses n’ont pratiquement jamais une apparence humaine « normale ».

Le monde « occidental » (au sens large du terme) a, pour sa part, été influencé par la conception esthético-religieuse des Grecs (et des Romains, eux-mêmes influencés par la Grèce). En effet, l’art gréco-romain a toujours représenté les dieux et les déesses sous les traits d’hommes et de femmes normaux. Pour eux, ce sont les « qualités » de ces êtres qui en font des divinités, pas leur apparence. On leur attribue des pouvoirs extraordinaires et une existence hors du commun, sans plus. De Zeus-Jupiter à Odin en passant par Toutatis, les divinités des peuples dits « indo-européens » ont été créées à l’image des hommes et des femmes « du commun ». Il en sera de même pour les chrétiens dont la religion prendra son essor au cœur même de l’empire romain. Jéhovah sera copié sur Jupiter tandis que son « fils » Jésus sera un homme très ordinaire mais capable de « faire des miracles », un peu comme le Balder du panthéon scandinave.

Les Juifs – puis leurs « copieurs » musulmans – seront les seuls à demeurer dans la ligne du dieu impalpable, invisible, innommable et impossible à représenter. C’est l’aboutissement d’un concept qui avait commencé à se manifester avec le culte nubien d’Atoum-Râ (Aton en Egyptien). Le symbolisme se trouvait limité à un homme (pharaon) tenant le disque solaire entre ses mains. C’était le symbole de l’énergie primitive (celle du soleil) allié à celui du pouvoir temporel et spirituel (celle du souverain). Le disque symbolisait aussi la perfection.


Cette effigie de Néfertiti est beaucoup moins connue que le buste de Berlin. Cette femme fut sans doute à l’origine de l’abandon du culte dynastique d’Amon au profit du culte du dieu unique Aton. Cette première tentative avorta mais elle fut sans nul doute à l’origine du concept qui sera repris et développé par les Hébreux après la fuite d’Egypte. La statuaire égyptienne nous montre une femme de petite taille, très menue, aux côtés de son mari. Les traits sont fins, ce qui n’exclut en rien la possibilité d’une origine nubienne. La Nubie était nommée « royaume de Koush » par les Egyptiens. Certains souverains khoushites étaient de race blanche, d’autres de race noire. La plupart étaient des métis.

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Plus tard, on retrouvera cette symbolique égyptienne chez les cabalistes juifs. C’est ainsi que le « Sepher Yetsirah », ouvrage majeur de la kabbale juive, enseigne qu’au début de la création étaient les « sephiroth » (pluriel de « sephira », la sphère en hébreu). Il nous dit aussi que « dieu » créa le monde par trente-deux voie mystérieuses qui seraient les vingt-deux lettres de l’alphabet hébreu et des dix premiers nombres. On nous parle encore de « trois livres » qui permirent cette création ou, plus exactement, de trois « entités » sur la nature desquelles il n’est fourni aucun renseignement digne de ce nom (d’où le fait que rien n’autorise à penser qu’il s’agit de livres). On sait seulement qu’il s’agirait de trois vocalisations possibles d’un groupe de consonnes formant la racine « SFR ». C’est de cette unique indication que d’aucuns concluent qu’il s’agit de « livres » (puisque la racine SFR peut être traduite par « livre » lorsqu’elle est considérée substantivement).

Les dix nombres sont symbolisés par dix sphères (sephiroth) ou « transformateurs d’énergie ». C’est en ajoutant les 22 « authioth » (lettres de l’alphabet ou « structures d’énergie ») aux 10 sephiroth que l’on trouve le nombre 32.

En hébreu ancien, le mot « sepher » pouvait être traduit de multiples façons. Il désignait à la foi un support d’écriture quelconque (livre, rouleau, tablette,…), l’étendue des connaissances, un champ d’action ou d’influence et la sphère au sens géométrique du terme. La cosmogonie du Sepher Yetsirah introduit la notion de trois niveaux de création (Sepharim) dans un monde qui est en perpétuelle mutation. Ce sont la « sphère des chiffres » où se situent les équations mathématiques de toute chose, la « sphère physico-chimique » où se situent les formules de la constitution des corps et de leur transformation et, enfin, le « Sipour », cette sphère où s’inscrivent les évènements de la vie, de la mort et de l’existence.

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Illustration représentant le système kabbalistique des Sephiroth. Elle est tiré du « Symbolisme des lettres hébraïques » de Knorr Von Rosenroth (1858). On y voit les 10 sephiroth qui composent chaque système fondamental. Cette forme de représentation du monde a aussi été reprise par la Franc-Maçonnerie.

Le Sepher Yetsirah, et les ouvrages qui en découlent, ont profondément marqué la pensée juive laquelle, aujourd’hui encore, est un mélange subtil de concret et d’abstrait. Einstein – et de nombreux physiciens juifs – ont été marqués par cette fusion intime entre le matériel et l’immatériel, le quotidien et le divin et, par-dessus tout, la « logique des nombres ». Cette logique se retrouve aussi chez des musiciens (les sons musicaux étant régis par des lois mathématiques tout autant que par une inspiration difficile à définir) et chez des médecins juifs (comme Freud). La religion juive ne pouvait être qu’abstraite dans son essence et concrète dans son quotidien. Elle ne pouvait aussi qu’être patriarcale compte tenu de l’importance que le commerce et la banque tiennent dans la communauté israélite.

Les Arabes étaient des nomades et des commerçants, tout comme leurs cousins Hébreux. Mais ils n’avaient pas hérité des « secrets » de la grande civilisation égyptienne, pas plus que des méthodes d’enseignement qui étaient propres aux prêtres de Pharaon. Et lorsqu’ils voulurent copier les textes sacrés des Juifs, ils le firent maladroitement, très maladroitement. Ils eurent toutes les peines du monde à interpréter la Torah et la Talmud mais ils leur fut impossible de décoder les textes kabbalistiques et notamment le Sepher Yetsirah. Dès le départ, l’islam ne pouvait donc être qu’une « cotte mal taillée », un texte auquel on pouvait faire dire n’importe quoi et qui allait permettre de justifier les comportements les plus absurdes et les plus aberrants. C’est le dernier volume d’une trilogie qui aurait été écrite par trois auteurs différents sur plus d’un millénaire. Le premier tome (les textes hébraïques) ne manque pas d’intérêt sur le plan historique, le second (le Nouveau Testament) est quelconque et le troisième (le coran) ne vaut pas un clou. Il en résulte que l’ensemble n’a rien d’attrayant. C’est un peu comme ces « séries » cinématographiques qui commencent bien et finissent par sombrer dans le ridicule. La Torah, c’est « Le Gendarme de Saint Tropez », le Nouveau Testament c’est « Le gendarme se marie » et le coran c’est « Le gendarme et les extraterrestres ». On trouvera peut-être la comparaison « hasardeuse » mais c’est une comparaison qui en vaut bien une autre et qui à l’avantage d’être claire.

On est loin de Marcel Pagnol. Et pourtant, on continue à considérer cette navrante trilogie avec beaucoup plus d’intérêt que les Marius, Fanny et César du truculent romancier provençal. Comme quoi, il ne faut pas avoir du talent pour écrire un best-seller. Un malade mental – sachant à peine lire et débitant des âneries monumentales – pourra parfaitement être à l’origine d’un livre qui sera vendu par milliers et par millions pendant des siècles !




L’un des points communs entre la religion des Juifs et celle des Arabes réside dans le fait que « dieu » n’a ni visage, ni consistance, ni nom. Allah n’est pas un nom au sens strict du terme et le grand nom de dieu (le tétragramme) ne peut être prononcé chez les Juifs (sauf par un rabbin une fois par an, la voix de celui-ci étant couvert par le tumulte des fidèles). Mais, fort curieusement, ce dieu « virtuel » a un sexe : il est de sexe masculin !

Et pourtant, si nous lisons bien les textes : au commencement était « LA » sphère, au début était « l’énergie fondamentale » (mot féminin). Il n’existe donc aucune raison valable pour que le dieu unique des monothéistes soit de sexe masculin. En fait, il devrait être asexué puisqu’on nous dit qu’il n’est pas humain et qu’il n’a, lui-même, été créé par personne. Unique exemplaire de la « génération spontanée », ce dieu unique n’a aucune raison d’être sexué.

En réalité, les hommes qui ont inventé ce dieu unique ont trouvé commode d’en faire un personnage de sexe masculin et ce, afin de justifier leur volonté de domination. Un dieu « mâle » ne pouvait qu’avaliser les thèses selon lesquelles l’homme est supérieur à la femme. Ben voyons !




Les formes outrancières de culture patriarcale (comme la culture arabo-musulmane) ont des effets pervers en ce qui concerne le comportement sexuel et, par voie de conséquence, le comportement social.

Telle qu’elle est organisée, une communauté musulmane comporte, en fait, deux niveaux de structure bien distincts, bien séparés. Le niveau « supérieur », celui des hommes et le niveau « inférieur », celui des femmes et des enfants. Ces deux niveaux sociaux communiquent peu entre eux.

L’éducation des enfants, garçons et filles, est confiée aux femmes. Les garçons n’ont accès au « niveau supérieur » qu’après la puberté. Dans un système très patriarcal, les garçonnets sont rapidement conscients de la nature des privilèges masculins. Et ils s’efforcent, dès leur plus jeune âge, de le exercer sur la « clan des femmes » (mère et sœurs) auquel il est forcé d’appartenir jusqu’à sa majorité sexuelle. Pour se défendre, la mère aura très souvent tendance à faire tout ce que Freud considérait comme la racine des problèmes sexuels fondamentaux. Si les expériences sexuelles de la femme ont fait d’elle une ennemie de l’homme (ce qui est généralement le cas pour les femmes musulmanes et, dans une moindre mesure, pour les femmes mariées à des Juifs très religieux), elle chercher à dominer son fils dans toutes les limites de son autorité. Elle se vengera notamment de l’arrogance masculine en étouffant, comme elle le peut, la virilité de l’enfant mais, en prétendant agir pour « son bien ». C’est ainsi que si elle découvre qu’il se masturbe, elle le culpabilisera au maximum. Elle le menacera, par exemple, de lui couper la « petite chose » s’il persiste dans ses pratiques « malsaines ». A l’inverse, une femme saine – qui a vraiment aimé les hommes et qui en a été aimée – ne trouvera rien d’anormal à ce qu’un jeune garçon se masturbe. Elle ne diabolisera pas l’acte et ne culpabilisera pas son enfant. Le besoin de « châtrer » les enfants mâles est une caractéristique des cultures patriarcales, un caractéristique qui peut être à l’origine de comportements névrotiques ou psychotiques plus ou moins graves. C’est très souvent par réaction à leur éducation que les jeunes musulmans affichent un profond mépris de la femme et, trop fréquemment, en violeurs, agissant soit seuls soit en bande organisée lors de viols collectifs (qualifiés de "tournantes", afin que le mot viol n'apparaisse plus et que ce soit politiquement correct).

Certes, il y a malheureusement toujours eu des phénomènes de viols collectifs, et il y en a encore hélas, en dehors des quartiers que l'on qualifie de sensibles ou de zones de non-droit pour ne pas pas avoir à les nommer sous leur dénomination exacte de quartiers islamiques. Mais il reste que l'immense majorité de ces viols collectifs a bel et bien lieu dans ces quartiers islamiques. Alors, ces phénomènes de "tournantes" sont-ils liés à l'environnement islamique ou bien la religion musulmane n'a t'elle rien à voir avec cela ? Pour le savoir, comparons deux témoignages de victimes, l'une agressée en France, dans un quartier dont la population est majoritairement issue de l'immigration mahométane et où le droit républicain s'applique peu, l'autre agressée au Pakistan, dans un pays dont la population entière est majoritairement mahométane et où le droit islamique s'applique entièrement.

France
Extrait du livre "Dans l'enfer des tournantes"
Editions Denoël 2003 Pakistan
Article "la justice tribale ordonne un viol collectif"
Le Monde, vendredi 5 juillet 2002
« ils veulent me forcer à « faire des trucs » à plusieurs. Je panique, je m'affole, je suis en larmes. Je recommence à hurler, je les supplie de me laisser tranquille » « J'ai touché leurs pieds. J'ai sangloté. Je leur ai dit que j'avais enseigné le coran aux enfants du village, de ne pas me punir pour un crime que je n'ai pas commis. Mais ils ont déchiré mes vêtements et m'ont violée un par un. »

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Charleroi tribunal correctionnel
Dix ans pour le violeur en série
II a toujours nié, même mis face à des éléments aussi pro­bants que l'ADN. Il a nié, après avoir été reconnu par plusieurs de ses victimes, traumatisées à vie. Le tri­bunal ne lui a pas donné le moindre gramme de confiance et l*a condam­né au maximum, ne retenant pas la moindre circonstance atténuante. Dix ans : une peine rarissime, en correctionnelle.
Mahmmed Ez Zaafrani avait com­mis des agressions sexuelles d*une rare violence entre 1999 et 2001. Pas mois de cinq faits de viol com­mis tous de la même manière : la victime était suivie, puis entraînée dans un endroit désert, à l'abri des regards comme une ruelle ou un terrain vague et sauvagement vio­lée. Parfois même menacée au cut­ter. Les victimes étaient terrorisées. et le restaient après leur agression au point de ne pas oser déposer plainte. Sauf une. La dernière en date. Ce qui a fait délier quelques langues.
Le prévenu criait à une cabale mon­tée contre lui. Mais les victimes ne se connaissaient pas entre elles et. de plus. n*osaient pas parler de leur agression. Tout au plus reconnaît-il, du bout des lèvres, avoir agressé une des vic­times pour... lui voler ses clés de voiture. Sans plus. Pourtant on a retrouvé plus que des traces de sang. Les analyses scientifiques ont été impitoyables pour le prévenu qui avait été mordu à sang par la dernière victime.
Le jugement rendu hier par la sixiè­me Chambre extraordinaire, prési­dée parM.Maufroid. arappelé"l'ex-trême violence des agressions " et le fait que le prévenu "a été reconnu de façon formelle". Un prévenu doté d'une particuliè­re mauvaise foi. qui maintenait ses dénégations après les analyses génétiques. Le tribunal a constaté le même modus operandi lors des agres­sions, de la part d'un individu "ayant une appétence particuliè­re pour la sodomie ". Le prévenu, arrivé en Belgique en 1998, " n'a eu de cesse, depuis son arrivée en Belgique, de satisfaire à ses pulsions. Rien ne semble l'arrê­ter, il a agi en véritable prédateur, pourchassant pour son propre plaisir sans le moindre regret". Le tribunal a aussi précisé, dans l'évaluation du taux de la peine, "qu'il n'y a pas le moindre espoir d'amendement". Seule la peine maximale peut dès lors s'appli­quer : 10 ans.
P.ANT
No comment !
Sud Presse (Belgique) – 20 juin 2003

La séparation de la société en deux groupes bien distincts a aussi pour effet d’induire des comportements homosexuels, ce qui est assez fréquent chez les arabo-musulmans.

A l’époque de l’empire ottoman, bien après le début de l’islamisation, diverses tribus irano-turco-tartares célébraient encore la fête de Basm, un rite homosexuel au cours duquel les « Batscha » - jeunes garçons élevés et vêtus comme des filles - étaient mis à la disposition des hommes de la tribu. On sait, d’autre part, qu’un grand nombre de califes (successeurs du prophète et commandeurs de croyants) étaient entourés de « mignons » qui leurs servaient d’esclaves sexuels. On verra également, dans la seconde partie de la présente étude, que le coran fait état de « jeunes garçons » qui font office d’esclaves au sein même du « paradis d’Allah ».

De même, on trouve de nombreux témoignages d’homosexualité chez les femmes musulmanes, et pas uniquement dans les harems. C’est ainsi qu’Al Hassan Ibn Mohammed Al Wezaz Al Hassan raconte (dans son « Leo Africanus » écrit en 1526) qu’il existait, à Fez (Maroc), des groupes de femmes surnommées « sahhaqat » qui formaient une sorte de secte lesbienne. Elles jouaient un rôle de « guérisseur pour femme » et, en guise de salaire, elles se faisaient accorder des faveurs sexuelles. Elles invoquaient le fait que « les esprits » exigeaient ces faveurs. Mais bien souvent, les femmes fréquentaient les sahhaqat dans le seul but d’avoir des relations sexuelles avec elles. Elles feignaient d’être malades et parvenaient parfois à entretenir une sahhaqat sous prétexte qu’elles étaient « possédées du démon » et que seule la présence de la sahhaqat pouvait la protéger du mal.

Sans aller jusqu’à ce genre d’homosexualité organisée, on rencontre encore, dans la société musulmane, de nombreux cas d’homosexualité, tant masculine que féminine. En Europe occidentale, les travestis et les homosexuels qui se prostituent reçoivent fréquemment la visite de clients qui sont de confession musulmane. En extrapolant les données statistiques disponibles, on peut calculer qu’il y a sans doute deux à trois fois plus d’homosexuels (confirmés ou non) chez les arabo-musulmans qu’au sein des populations non islamisées (Etats-Unis mis à part).

Chez les Chrétiens, les effets pervers de la religion tendent à s’estomper, exception faite pour quelques sectes qui prétendent, comme les Juifs orthodoxes et les musulmans, s’en tenir à la lettre du « message de dieu ».

De nombreux prêtres catholiques ont été impliqués dans des affaires de pédophilie mais il ne faudrait pas croire que les dignitaires musulmans soient exempts de cette perversion.

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Imam licencié pour absentéisme
L'imam de la principale mosquée de Nîmes, agressé il y a quelques jours à la suite d'une rumeur d'attouchements, a été licencié par l'association gérant le lieu de culte, officiellement pour absentéisme, a-t-on appris hier auprès de l'association.
L'imam Mohamed Khattabi, 42 ans, marié et père de trois enfants, avait déjà été privé de prêche après le scandale lié à la rumeur, qui est resté confiné à l'intérieur de la communauté musulmane, aucune plainte n'ayant été déposée à la police.


Comme en témoigne l'article çi-dessus, si l'on entend peu parler d'imams ou d'ayatollahs pédophiles, c'est surtout que les musulmans ne souhaitent pas que cela se sache et ne portent pas plainte. Ils sont parfaitement conscients qu'il serait catastrophique pour leur religion qu'un dignitaire de l'islam soit amené à s'expliquer devant la justice républicaine et laïque car il ne manquerait pas de se défendre en se référant au « beau modèle » musulman : Mahomet, qui épousa l'une de ses femmes (Aïcha) alors qu'elle n'avait que six ans.
Cet article est aussi emblématique de l'hypocrisie qui règne dans le milieu journalistique, particulièrement dans les milieux soi-disant de gauche. Le titre de l'article est Imam licencié pour absentéisme alors qu'il aurait du être Imam soupconné d'attouchements licencié pour absentéisme. Si la personne incriminée avait été un prêtre catholique, le titre eut été sans l'ombre d'un doute "Un prêtre soupconné d'attouchements". Mais bien entendu, il faut être "tolérant" avec les "bons musulmans", tandis que l'on peut sans se gêner cracher sur les "mauvais chrétiens". Deux poids, deux mesures : il serait temps que les journalistes appellent un chat "un chat", qu'il soit musulman ou martien.


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Quand des prêtres catholiques abusent des enfants, il y a des lois et une justice qui va leur demander des comptes. Les mollahs SONT la loi, la justice et le gouvernement. Ils peuvent se laisser aller à leurs vices en public : qui pourrait les en empêcher ?
Si l'homosexualité est passible de la peine de mort selon la religion musulmane, la pédérastie par contre est permise.
Photo www.homa.org
L'islam interdit aux femmes d'épouser des non-musulmans, tandis qu'il autorise les hommes à épouser des non-musulmanes, suivant en cela le « beau modèle » musulman, Mahomet, qui épousa des juives et des chrétiennes. C'est ainsi que l'on peut trouver des petites annonces ouvertement basées sur la ségrégation religieuse, telle celle reproduite çi-contre. Si l'on trouve aussi des petites annonces de femmes cherchant à assouvir le classique fantasme du noir, il ne s'agit pas en l'espèce de ségrégation (ou alors il faudrait parler de ségrégation positive, telle celle qui existe aux USA pour obliger à intégrer certaines couches de la population). La femme ayant rédigé ce texte ne cherche pas le moins du monde à assouvir un quelconque fantasme mais ne fait que suivre les préceptes de sa religion. On retrouve cette volonté de ségrégation chez les juifs orthodoxes, dont Mahomet a copié les pratiques, tandis qu'elle apparaît peu chez les chrétiens et en tous les cas pas de manière codifiée.
D'aucuns s'acharnent à vouloir présenter l'islam comme une religion « tolérante » mais il n'empêche que ce n'est que dans l'islam que l'on trouve des interdits ségrégationnistes et sexistes officiellement codifiés en ce qui concerne les mariages mixtes.
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