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MessageSujet: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty23/11/2009, 20:21

Rappel du premier message :

Révélations sur la collusion entre la police et les musulmans à Barbès


lundi 9 novembre 2009, par Maxime Lépante


Depuis cinq semaines, Riposte Laïque dénonce les prières musulmanes qui ont lieu chaque vendredi dans les rues du quartier Barbès. Ces jours-là, le boulevard Barbès, la rue des Poissonniers et la rue Léon sont occupés par les musulmans, et leurs trottoirs interdits aux non-musulmans pendant toute la prière des musulmans. La rue Polonceau et la rue Myrha, quant à elles, sont totalement confisquées sur plus de 100 mètres : barrées à chaque extrémité par les islamistes des mosquées Polonceau et Myrha, les véhicules et les piétons sont empêchés de les emprunter, et les habitants de ces rues ne peuvent plus ni entrer ni sortir de chez eux pendant toute la durée de la prière. (1)

Nous avons rapporté que cette situation intolérable dure depuis plus de 10 ans, et nous nous sommes élevés contre l’inaction coupable des autorités françaises – aussi bien de la Mairie du 18e arrondissement et de la Mairie de Paris que de la Préfecture de Paris et du gouvernement français – qui laissent un quartier entier de Paris être dirigé par les musulmans.

Aujourd’hui, nous sommes en mesure d’apporter des révélations choquantes sur la collusion entre la police et les musulmans à Barbès. Car la situation est bien plus grave que ce que nous dénoncions lors des semaines passées : en effet, non seulement la police n’agit pas contre les musulmans bloqueurs de rues, mais encore elle soutient ces derniers contre les non-musulmans, et les laisse délibérément contrôler tout le quartier Myrha-Polonceau pendant la prière du vendredi.

riposte laique - Page 13 Barbes_v_0386_vendredi_23_octobre_2009

Les barrières bloquant la rue Myrha.

1) Un accord secret entre l’imam de la mosquée Myrha et le commissaire du 18e arrondissement de Paris :

Le 21 septembre 2009, France Ô a diffusé à 20h35 un reportage intitulé "Mosquées de Paris" (rediffusé le mardi 22 septembre à 15h15), dans lequel un passage est consacré à la mosquée de la rue Myrha et au blocage de la rue du même nom. (2)

Dans ce reportage, l’imam actuel de la mosquée de la rue Myrha (mosquée Khalid Ibn Walid), Hamza Sallah, déclare ceci :

– Il y a une quinzaine d’années, donc, j’ai demandé au commissaire de l’époque, si mes souvenirs sont bons c’était monsieur Maucourant, qui était divisionnaire ici dans le 18, et je lui ai posé la question, je lui ai dit « moi, il faut que vous me fermiez la rue, je ne veux pas d’incidents », donc il a fait… donc ensemble nous avons pris la décision de fermer la rue, à midi, pendant l’heure des prières, où on met des barrières, mais ce n’est pas suffisant. »

Dans le même reportage, Hamou Bouakkaz, adjoint au maire de Paris, chargé de la démocratie locale et de la vie associative, élu conseiller de Paris le 16 mars 2008, membre du groupe socialiste, radical de gauche et apparentés, apporte les précisions suivantes :

– Les arrangements comme ça avec le commissariat du coin, c’est des arrangements qui sont portés par personne, si le commissaire s’est pas couvert, et… le commissaire demain on veut le changer, l’arrangement il est foutu… Aujourd’hui, c’est un modus vivendi qui paraît rationnel… Si l’arrangement, ça fait 17 ans qu’il dure, pourquoi ne pas le formaliser dans une convention officielle ? Parce que faudra écrire des choses que les gens veulent pas écrire. Ils veulent pas écrire que ils vont mettre des barrières pour que la pratique du culte se fasse, qu’ils vont empêcher les voitures de passer… parce que sinon, ils, comment dire, ils banaliseraient, ils autoriseraient une occupation illicite du domaine public. »

Ainsi, un accord secret a été passé entre la police et les musulmans de Barbès, il y a déjà une quinzaine d’années, au terme duquel la police laisse les musulmans bloquer la rue Myrha chaque vendredi pendant la prière ! Blocage qui, de l’aveu même de l’adjoint au maire de Paris, constitue une occupation illicite du domaine public ! Ainsi, dans le quartier islamisé de Barbès, la police cautionne-t-elle un comportement illégal !

En 2004, le commissaire divisionnaire Roland Maucourant, artisan de cet accord secret avec les musulmans du 18e arrondissement, a été remplacé par le commissaire divisionnaire Alain Gibelin, sans que rien ne change sur le terrain : le commissaire Gibelin accepte donc lui aussi que les musulmans bloquent les rues du quartier Barbès chaque vendredi pour leur prière ! (3)

2) Complicité des policiers avec les musulmans bloqueurs de rues :

Au début de l’extrait du reportage de France Ô sur les "Mosquées de Paris", on peut voir une voiture de police, arrêtée devant les barrières de la rue Myrha, dont les occupants discutent paisiblement avec les musulmans bloqueurs. Toute personne qui s’est trouvée dans le quartier Myrha-Polonceau le vendredi a pu constater que les policiers ne prennent aucune mesure pour libérer les rues confisquées par les musulmans : l’auteur a vu, le vendredi 9 octobre, des policiers verbaliser des voitures au début de la rue de Laghouat, à seulement 20 mètres des barrières de la rue Myrha ! Ainsi, au moment-même où des rues entières sont volées par des musulmans en plein centre de Paris, les policiers, au courant de ce délit, ne trouvent-ils rien de plus urgent à faire que de continuer leur train-train quotidien, sans intervenir pour mettre fin à cette occupation illicite du domaine public !

Mais il y a plus grave : le vendredi 23 octobre 2009, au croisement de la rue Myrha et de la rue Léon, l’auteur a entendu un policier déclarer, depuis la fenêtre de son fourgon arrêté devant les barrières, à une femme qui s’apprêtait à traverser la rue Léon couverte de tapis de prières surmontés de musulmans, ceci :

– Non c’est pas à vous là quand même, non c’est pas à vous maintenant ! » (4)

La femme ainsi apostrophée par le policier lui répondit : « Ben tout ça c’est bien beau, mais je travaille aussi », puis elle se lança dans un exercice d’équilibriste pour franchir la rue Léon en marchant dans les interstices de bitume entre les tapis.

riposte laique - Page 13 Barbes_v_0376_vendredi_23_octobre_2009

Le policier, à la fenêtre du fourgon, vient de déclarer à cette femme qu’elle n’a pas à traverser la rue Léon pendant que les musulmans y prient !

Ainsi, des policiers du 18e arrondissement admonestent-ils des non-musulmans qui veulent simplement pouvoir se déplacer dans le domaine public ! Ainsi des policiers du 18e arrondissement prennent-ils fait et cause pour les musulmans bloqueurs de rues !

Et il ne s’agit pas là d’un cas isolé : des femmes qui s’étaient fait refouler de la rue Myrha par les employés de la mosquée, et qui voulaient porter plainte auprès des policiers, se sont vu répondre par ceux-ci : « Mais c’est normal, c’est la grande prière ! » (5)

3) Les policiers laissent les musulmans gérer la circulation à leur place :

Au commencement de la rue des Poissonniers, sur le boulevard Barbès, c’est une autre scène qui a lieu chaque vendredi : des employés de la mosquée, portant sur le bras gauche un brassard orange marqué "Sécurité", règlent la circulation à la place de la police.

riposte laique - Page 13 Barbes_v_0060_vendredi_6_novembre_2009

Un membre de la police musulmane parallèle, réglant la circulation au début de la rue des Poissonniers.

De chaque côté de l’embranchement de la rue des Poissonniers, deux islamistes, à grands gestes désordonnés, font signe aux voitures de passer, et crient aux piétons « Attention à la voiture qui passe ! ». Un responsable de la mosquée, portant, accroché sur son gilet, un petit panneau sur lequel est écrit au marqueur noir "Sécurité de la mosquée", vient de temps à autre régler lui aussi la circulation.

riposte laique - Page 13 Barbes_v_0095_vendredi_6_novembre_2009

La "Sécurité de la mosquée" en action sur le territoire français.

Voici une vidéo montrant cette police musulmane parallèle en action :

Police musulmane à Barbès (6 novembre 2009) [1:51]

https://www.youtube.com/watch ?v=wZU6KYgz-14

Ainsi la police nationale délaisse-t-elle le quartier Barbès chaque vendredi à midi, et le livre-t-elle à une police musulmane parallèle, qui se voit confier, en toute illégalité, la sécurité et la circulation de tout un quartier parisien !

4) Appel :

Une fois de plus, nous lançons un appel aux autorités de l’État : quand donc mettront-elles fin à l’occupation illégale des rues du quartier Barbès par les musulmans ? Quand donc exigeront-elles que la police du 18e arrondissement fasse respecter la loi de la France dans ces rues ? Quand donc la Mairie de Paris, la Préfecture de Police, le gouvernement de la France, se décideront-ils à prendre la défense des citoyens français, face aux agissements délictueux des musulmans dans le quartier Myrha-Polonceau ?
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty2/11/2010, 20:03

A la logique islamiste, opposons la logique laïque et républicaine
lundi 1er novembre 2010, par Maurice Vidal



L’interview ci-dessous (1), enregistré à Roubaix, ne dure que 46 secondes. Sa brutale clarté est néanmoins suffisante pour ouvrir les yeux et les oreilles de quiconque a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.

Que dit, en effet, la personne interrogée ? Qu’elle est entièrement d’accord avec la Loi divine.

Même lorsque la Loi divine exige la lapidation ? Oui ! Même lorsqu’Elle commande de couper la main du voleur ? Oui !

Et pourquoi « oui » ? Parce que c’est la Loi divine, et que c’est comme cela que ça doit être, du moins en pays musulman.

Ouf ! Nous voilà rassurés... à la condition toutefois d’oublier que les Droits de l’Homme sont ici radicalement niés (puisqu’ils ne sauraient rivaliser avec les Droits de Dieu), et qu’à Roubaix les musulmans sont « en passe de devenir majoritaires ».

D’où la question du journaliste : « Si la France devenait majoritairement musulmane, la Loi divine s’appliquerait ? ». Et la personne interrogée de répondre : « Moi, je serais un partisan effectivement de dire que si demain la France devient musulmane, ben effectivement c’est la Charia qui devrait prendre le truc (sic), et alors ? ».

Et alors cet homme a raison comme a raison le mathématicien qui suit un raisonnement hypothético-déductif : si A est plus grand que B et si B est plus grand que C, alors A est plus grand que C.

Comment conclure autrement ?

Si Dieu est le Seigneur des mondes, Il a tout créé. S’Il a tout créé, Il a créé aussi La Vérité. Respecter Dieu, c’est donc respecter La Vérité .. Or, Dieu sait tout. Il sait donc très exactement ce qu’Il fait lorsqu’Il nous demande d’agir selon sa Loi. En conséquence, nous devons obéir à la Loi divine, car Dieu ne saurait ni se tromper ni nous tromper.

D’où la joie de ce musulman roubaisien parvenu au terme de sa « démonstration » : si la Charia est la seule loi applicable en pays musulman, et si la France devient musulmane, alors la Charia devra s’appliquer en France !

Comment conclure autrement ?

C’est pourtant ce que semble ne pas avoir compris le journaliste, dont la peur toute soudaine n’aurait jamais dû naître de ce qui ne pouvait aller que de soi. A-t-il peur des mathématiques celui qui sait entrer dans leurs déductions ?

S’il avait épousé la logique de son interlocuteur, notre journaliste n’aurait non seulement pas eu peur d’une conclusion islamisant la France entière, mais encore n’aurait pas attendu d’être dans une France de la Charia pour avoir peur : il aurait opposé à la peur de la Charia le contraire de la Charia, et ce contraire, c’est la France !

En France, il n’y a pas de Loi divine : il n’y a que des lois humaines ! Tel est le fondement de notre république laïque. Le religieux y a sa place, certes, puisque Dieu existe pour le croyant, mais cette place est in petto ou dans des édifices ad hoc, sans quoi le religieux est hors-la-loi.

Partant, toutes les demandes confessionnelles de nature dérogatoire sont hors-la-loi, comme sont hors-la-loi les « accommodements raisonnables » qui en découlent. Hors-la-loi donc le voile, la burqa, le halal, la polygamie, la non-mixité, l’infériorisation de la femme, les crimes d’honneur, les mariages forcés, les prières dans l’espace public, la finance islamique... et j’en passe ! L’islamisation de notre pays est tout entière hors-la-loi !

Oublions cette vidéo (1), oublions l’appel djihadiste de Limoges (2), oublions nos deux journalistes détenus en Afghanistan, oublions nos cinq ressortissants enlevés au Niger, oublions les menaces d’attentats terroristes sur notre sol, oublions ces incessantes évidences... et la guerre qui s’annonce ne nous oubliera pas !

Maurice Vidal

(1) http://www.fdesouche.com/138595-limoges-des-%C2%AB-musulmans-revoltes-%C2%BB-de-sirat-alizza-manifestent-violemment

(2) http://videos.nordeclair.fr/musicvideo.php ?vid=99483b0c0

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GIBET

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty2/11/2010, 20:07

Mara-des-bois a écrit:
GIBET a écrit:
De mon temps il était entre les mains des arabes!!! Very Happy


Gibet, voyons, tous les arabes ne sont pas musulmans, comme toutes les femmes ne sont pas adulteres et tous les bretons ne sont pas alcoolos Razz (quoique pour les bretons, on a un doute)



Mab

En bon Breton j'te paie un canon!

riposte laique - Page 13 Bertha1

Bertha ... pardon GIBET hic
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty2/11/2010, 20:29

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 16:26

Selon un rapport du renseignement récemment divulgué, des groupes islamistes radicaux veulent créer une «société parallèle» au Canada, ce qui pourrait saper la cohésion sociale et favoriser la violence.

Le rapport d’évaluation du renseignement déclassifié obtenu par le National Post indique que des extrémistes musulmans encouragent les musulmans en Occident à rejeter la société occidentale et à vivre en s'«auto-isolant». Le rapport se concentre sur des groupes tels que les Frères musulmans et le Hizb-ut-Tahrir, lesquels ne prônent pas la violence terroriste mais propagent une idéologie contraire aux valeurs fondamentales de l'Occident.

«Même si le recours à la violence n’est pas ouvertement exprimé, la création de communautés isolées peut engendrer des groupes exclusivistes potentiellement réceptifs aux messages préconisant la violence», dit le rapport. «Au minimum, l'existence de ce genre de mini-sociétés sape la résilience et l’unité de la nation canadienne.»

Le rapport a été rédigé par le Centre intégré d'évaluation des menaces, qui surveille les menaces à la sécurité nationale du Canada. Le Centre comprend des représentants du SCRS, de la GRC, des Affaires étrangères, de la Défense nationale et d'autres organismes. Le rapport a été diffusé en interne l'an dernier après que le Hizb-ut-Tahrir a invité les musulmans à une conférence à Mississauga, en Ontario, pour discuter de la création d'un califat islamique. Une copie du document a récemment été divulguée en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.

«Bien que la violence par des groupes islamistes soit une priorité de la lutte contre le terrorisme depuis de nombreuses années pour les gouvernements occidentaux, et en particulier les services de sécurité, l'idéologie sociale islamiste semble avoir été peu étudiée, précisément parce que l'utilisation de la violence est soit non confirmée, soit sous-estimée», dit le rapport. «Néanmoins, plusieurs mouvements islamistes promeuvent le rejet de la société et des mœurs occidentales, et encouragent l'auto-isolement des musulmans en Occident. »

Selon le rapport, les islamistes croient que l’islam doit régir tous les aspects de la société et que la charia et le droit national devraient être «synchronisés». Les extrémistes qui ont été forcés de fuir des pays à majorité musulmane, tels que l'Egypte, prêchent maintenant ces croyances en Occident, dit le rapport, qui ajoute : «Par définition, leur vision du monde entre en conflit avec la vision laïque. Une compétition en vue de gagner les cœurs et les esprits des musulmans de la diaspora a donc commencé. »

«Certains islamistes promeuvent l'isolationnisme et l'établissement d'une société parallèle», dit le rapport. «L'isolationnisme peut conduire à des conditions permettant l’incubation de messages extrêmes qui finiront par agir comme catalyseurs de violence. Au minimum, l'isolationnisme mine une société multiculturelle et démocratique.»

Le rapport note que les mennonites et les Doukhobors ont également cherché à s'isoler de la société. «Pourquoi les Canadiens devraient-ils se préoccuper des extrémisttes islamistes qui rejettent la démocratie ou qui s'isolent des non-musulmans? », demande le rapport. Mais Tarek Fatah souligne qu'il y a une différence. «Vous pouvez parler des mennonites, mais l'objectif des mennonites est l'isolement, pas la destruction de la civilisation occidentale.»

Source : Islamist groups seek "parallel society" in Canada, report, par Stewart Bell, National Post, 13 novembre 2010

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Branmakmorn06

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 16:27

Afghanistan : un converti risque la peine de mort pour apostasie | Accueil | Québec : Le fan club de George Galloway, ami du régime islamofasciste iranien »

14/11/2010
Le Canada est préoccupé par la condamnation à mort d’une personne accusée de blasphème au Pakistan
Pour l'histoire tragique d'Asia Bibi, lire ce billet.


____________________________________________

Le ministre des Affaires étrangères, l'honorable Lawrence Cannon, a fait aujourd'hui la déclaration suivante, dans laquelle il exprime les préoccupations du Canada face aux informations suivant lesquelles une femme pakistanaise a été condamnée à mort pour blasphème :

«Le Canada est profondément préoccupé par la condamnation à mort d'Asia Bibi pour blasphème, délivrée par un tribunal local au Pakistan. Le Canada demande de nouveau au Pakistan d'abroger les lois criminalisant le blasphème, qui restreignent la liberté de religion et d'expression et ciblent les minorités religieuses de façon disproportionnée.»

La promotion et la protection des droits de la personne font partie intégrante de la politique étrangère du Canada. Le Canada se porte à la défense des droits fondamentaux et adopte des positions de principe sur des questions importantes pour promouvoir la liberté, la démocratie, les droits de la personne et la primauté du droit. «Les représentants du Canada continueront d’exhorter les autorités pakistanaises à assurer l'égalité des droits et la protection des membres des communautés minoritaires», a déclaré le ministre Cannon.

Source : Affaires étrangères et Commerce international, 14 novembre 2010

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 16:42

Branmakmorn06 a écrit:
Afghanistan : un converti risque la peine de mort pour apostasie | Accueil | Québec : Le fan club de George Galloway, ami du régime islamofasciste iranien »

14/11/2010
Le Canada est préoccupé par la condamnation à mort d’une personne accusée de blasphème au Pakistan
Pour l'histoire tragique d'Asia Bibi, lire ce billet.


____________________________________________

Le ministre des Affaires étrangères, l'honorable Lawrence Cannon, a fait aujourd'hui la déclaration suivante, dans laquelle il exprime les préoccupations du Canada face aux informations suivant lesquelles une femme pakistanaise a été condamnée à mort pour blasphème :

«Le Canada est profondément préoccupé par la condamnation à mort d'Asia Bibi pour blasphème, délivrée par un tribunal local au Pakistan. Le Canada demande de nouveau au Pakistan d'abroger les lois criminalisant le blasphème, qui restreignent la liberté de religion et d'expression et ciblent les minorités religieuses de façon disproportionnée.»

La promotion et la protection des droits de la personne font partie intégrante de la politique étrangère du Canada. Le Canada se porte à la défense des droits fondamentaux et adopte des positions de principe sur des questions importantes pour promouvoir la liberté, la démocratie, les droits de la personne et la primauté du droit. «Les représentants du Canada continueront d’exhorter les autorités pakistanaises à assurer l'égalité des droits et la protection des membres des communautés minoritaires», a déclaré le ministre Cannon.

Source : Affaires étrangères et Commerce international, 14 novembre 2010


Chic que le Pakistan soit préoccupé à couper la zigounette aux impies , imaginez un peu que les américains les laisse en paix !
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 16:54

Tiens, vla, le muzz antisèmite,homophobe et misogyne qui la ramène!!! lol!
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 17:01

Branmakmorn06 a écrit:
Tiens, vla, le muzz antisèmite,homophobe et misogyne qui la ramène!!! lol!

Mon malheur ici c'est que mes messages ne sont compréhensibles que pour un léctorat attentif Bran , un mot change toute la signification .

Américains et pakistan désobeissant = jeu des américains Sleep

Continue à dormir , j'ai rencard avec Barbara jocolor
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 18:26

Zora232 a écrit:
Branmakmorn06 a écrit:
Tiens, vla, le muzz antisèmite,homophobe et misogyne qui la ramène!!! lol!

Mon malheur ici c'est que mes messages ne sont compréhensibles que pour un léctorat attentif Bran , un mot change toute la signification .

Américains et pakistan désobeissant = jeu des américains Sleep

Continue à dormir , j'ai rencard avec Barbara jocolor


Cherche pas ou se situe ton malheur,Zora, tes message ne sont compréhensibles que par ceux ou celles qui desirent en connaitre le sens, pour ce qui est des "autres", on s'en tape le coquillard!!!!Zora,musulman honteux, antisémite haineux, homophobe passif et misogynes craintif!!!!


Dernière édition par Branmakmorn06 le 15/11/2010, 20:36, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 20:36

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 20:53

Branmakmorn06 a écrit:



C'est bien de militer Bran , en attendant envoie moi une vidéo à Babara .

J'en phantasmerais en attendant que tu me l'ammène vieux loup ! tes chameaux sont préts et un study cadeau pour ton militantisme loyal. Razz
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty15/11/2010, 21:25

ESSAYE DE FANTASMER tu aura l'air un peu moins con!!!

Encore, que!!!
Ca te donnera l'impression d'etre conscient!!!
lol! Zora,Musulman honteux,antisèmite haineux,homophobe passif et misogyne craintif!!!
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty21/11/2010, 20:29

Monsieur Max PISELLI maire de Draguignan refuse de se laisser intimider par l’association culturelle musulmane de la Dracénie qui utilise des moyens peu élégants pour forcer la main au conseil municipal et à son maire au sujet de leur projet de mosquée comme l’atteste l’article suivant



de Var Matin:

Max Piselli a pris connaissance « avec surprise » de notre article sur l’éventuelle construction d’une mosquée à Draguignan et apporte des éléments de réponse… très réservés. Dans notre édition du 6 mai, l’association culturelle musulmane de la Dracénie et le conseil régional du culte musulman réclamaient un lieu de culte et culturel digne de ce nom à Draguignan. Selon les dirigeants, dont le président Slimane Hamdaoui, le terrain pourrait être fourni par la mairie et le bâtiment financé par la communauté musulmane.

Seul bémol, si le maire a prêté la MSJ pour la rencontre, il affirme désormais ne pas avoir été tenu au courant du projet de mosquée et dénonce les moyens de pression. Il affirme :

« Je déplore et condamne la pression dont la ville de Draguignan, la seule du Var dans ce cas, fait subitement l’objet de la part de l’Association Culturelle des Musulmans de la Dracénie et de son président. Son attitude et ses méthodes ne plaident certainement pas en faveur de la cause qu’il défend.

Par ailleurs, je tiens à préciser que contrairement a ce qui est insinué, je n’ai jamais accordé

un rendez-vous le 30 mai, à M. Abderrahmane Ghoul (président du Conseil Régional du Culte Musulman PACA) que je ne connais pas et n’ai jamais rencontré. Je rappelle en outre que la ville n’est nullement responsable de la situation actuelle dans laquelle se trouve le culte musulman.

Ses pratiquants se réunissaient jusqu’alors dans un immeuble de la rue Jean Boyer dont le

propriétaire n’a pas souhaité renouveler le bail. Je ne vois donc pas pourquoi on rendrait

aujourd’hui la mairie responsable de l’absence d’un lieu de culte musulman et surtout

pourquoi on la mettrait en demeure de régler ce problème.

Je tiens en conséquence à préciser et éclaircir plusieurs points pour les Dracénois :

1 - La Ville ne dispose pas aujourd’hui d’un terrain de 3 000 m2 à mettre à disposition de quelque culte que ce soit.

Les seuls terrains disponibles sont aujourd’hui destinés à accueillir des équipements publics,

d’intérêt général, qu’il n’est pas question de remettre en cause.

2 - Même si la Ville disposait d’un tel terrain, elle ne saurait prendre la décision de l’affecter à un culte sans avoir auparavant procédé à une large consultation de tous les Dracénois.

3 - La loi du 9 décembre 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État précise clairement dans son article 2 « La République ne reconnaît, ne salarie, ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l’État, des Départements et des Communes, toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes. »

Dans son Titre IV, article 19, dernier alinéa, il est clairement précisé concernant les

associations pour l’exercice des cultes, qu’elles « ne pourront, sous quelque forme que ce soit, recevoir des subventions de l’État, des Départements ou des Communes. » La pratique religieuse relève, depuis plus d’un siècle maintenant, de la seule conscience privée de chaque individu. La collectivité n’a donc aucune obligation vis-à-vis des confessions religieuses.

Ce principe fondamental de laïcité est profondément ancré dans la société française et

assure la cohésion de notre pacte républicain.

4 - Il est tout à fait possible à l’Association Culturelle des Musulmans de la Dracénie de

rechercher des solutions dans le secteur privé plutôt que de vouloir forcer la main à la

Collectivité publique.

5 - La perspective des élections au sein du Conseil Français du Culte Musulman semble conduire les responsables locaux des différents courants à des surenchères dont le but « électoraliste » n’échappe à personne.

Je pense pour ma part que la question des lieux de cultes pour la pratique de l’Islam doit être abordée avec sérénité et franchise mais pas dans la précipitation et l’intimidation. Elle doit relever d’une politique générale définie par le ministère de l’Intérieur, chargé des Cultes, et non d’initiatives locales dispersées.

Je voudrais ainsi dire au président de l’association, que s’il veut que les Dracénois «

n’aient pas peur de l’Islam » comme il le dit, la meilleure façon d’y parvenir n’est sans

doute pas de les menacer de manifestations dans la rue, fussent-elles des prières, de

nature à troubler l’ordre public.

En Démocratie, si l’on veut être respecté en tant que citoyen d’une minorité, il faut d’abord soi-même faire preuve de respect pour la majorité de ses concitoyens, dans leurs

convictions, leurs croyances et leurs lois. C’est pourquoi, je ne céderai à aucun chantage, mais serai toujours vigilant à faire respecter les lois de la République ».

Source : Var Matin



Et si l'on envoyait un message de félicitations sincères à ce Maire qui ne se couche pas devant le nouveau Dieu?


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Branmakmorn06

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty21/11/2010, 20:30

Connaissance de l'islam:

Dès que le thème du rapport de l’Islam à la violence est abordé, les passions s’attisent.

Tout d’abord, nous n’omettrons pas de faire état des citations coraniques privilégiées par les tenants de toutes opinions. Les uns disent en effet : « Quiconque tue un homme innocent, c’est comme s’il avait tué toute l’humanité », ou prétendent que le Coran interdit d’exercer une contrainte en religion. Les autres avancent : « Tuez les non-musulmans partout où vous les trouverez ! ».
Afin de démêler l’écheveau il faudra replacer ces citations dans leur contexte (…)

Sur l’interdiction du meurtre

Assez régulièrement, à la suite de tel ou tel événement dramatique, et notamment après les attentats (…) on entend citer le Coran en ces termes : « Quiconque tue une victime innocente, c’est comme s’il avait tué toute l’humanité. » Cette citation est alors abondamment relayée dans le médias et suscite une approbation unanime.
Or, le coran dit précisément :
« Quiconque tuerait une personne qui elle-même n’a pas tué ni commis de forfaiture (fasâd) sur la terre, c’est comme s’il avait tué les hommes dans leur totalité » (Sourate 5, Verset 35/32)

Ainsi que nous allons le voir, la différence entre le texte coranique et la façon dont il est régulièrement cité est tout à fait déterminante.
Dans la forme où on le cite régulièrement, le verset qui nous occupe se rapproche d’une formule du judaïsme rabbinique, dans la Michna, qui précède de plusieurs siècles le Coran. On la trouve dans le Talmud de Babylone en ces mots : « celui qui détruit une seule vie humaine en Israël, cela lui est compté par l’Ecriture comme s’il avait détruit tout un monde ». Par elle-même, cette sentence n’a de sens qu’en ce qu’elle confère à l’homicide un caractère d’infinie gravité, bien que le principe soit ici restreint à Israël.

Ainsi donc la phrase du Coran se distingue de celle de la Michna par une interpolation venant préciser ce qui fait exception au principe anti-homicide : il est interdit de tuer quiconque, SAUF si cette personne est elle-même coupable de meurtre ou de fasâd, terme qui peut être traduit par « désordre, immoralité, corruption », ou encore par « forfaiture ». La notion, le substantif fasâd a été repris en droit musulman ainsi qu’en philosophie arabe.



Le Fasâd dans le droit musulman et en philosophie arabe.



En droit musulman (fiqh), c’est Abû Hanîfa (mort en 767), le premier des fondateurs d’écoles juridiques musulmanes, qui emploie le mot fasâd pour désigner la nullité radicale qui frappe un acte juridique, non par manquement d’un des éléments indispensables à son existence, mais par violation « des conditions de validité stricto sensu exigées pour sa perfection ». Ce sens négatif du terme, dans son acceptation juridique et dans son usage pratique, est en conformité avec la signification qu’il reçoit dans le domaine de la philosophie.

En philosophie en effet, le terme fasâd est utilisé pour désigner la corruption, dans le sens de la phtora d’Aristote qui désigne, comme antonyme de génération, l’un des deux modes du changement selon la substance.

Autrement dit, la corruption (fasâd) est un changement qui détruit. Une bonne partie des œuvres de la philosophie arabe (falsafa) consistant en commentaires d’Aristote, on comprend aisément que le terme y soit récurrent.

Le verset coranique que nous avons cité spécifie bien que peut mériter la mort le coupable d’un meurtre ou d’un fasâd.



A la lumière de son interprétation en philosophie comme processus destructeur, nous comprenons à présent que l’incrimination de fasâd soit directement liée à celle de meurtre. Or, étant donné l’usage extensif du terme tel que nous pouvons l’observer par exemple en droit, la fonction du fasâd dans ce verset paraît bien être d’estomper la frontière entre le meurtre et la simple forfaiture.

Dès lors comment interpréter les choses ? La permission de tuer le coupable d’un fasâd suppose-t-elle que le fasâd se limite au meurtre (interprétation restrictive), ou bien tout fasâd est-il assimilable à un meurtre (interprétation extensive) ? On ne saurait interpréter le Coran à partir d’un seul de ses versets ; il convient de saisir comment il s’inscrit dans l’ensemble du texte.

Néanmoins, une première observation s’impose : systématiquement, lorsque le Coran parle de l’interdiction du meurtre, comme un fil rouge, il introduit une exception ; Au verset 68 de la sourate 25, ainsi qu’au verset 35/33 de la sourate 17, ou encore 152/151 de la sourate 6, est écrit ceci : « Sinon en droit, ne tuez pas votre semblable qu’Allah a déclaré sacré ! »



La règle de l’abrogation



Entre autres caractéristiques, le Coran présente celle de contenir des précisions sur la façon dont il doit être lu. On pourrait dire, avec le vocabulaire inélégant de la critique textuelle dernier cri, que c’est un texte auto-référent. Ainsi à plusieurs reprises (16, 103/101 ; 2, 100/106), Allah explique qu’il lui arrive de substituer un verset à un autre, en connaissance de cause, et que l’homme n’a pas à savoir ni à chercher pourquoi. De là naît la règle de l’abrogation.



Si deux versets contiennent des sentences ou des prescriptions contradictoires, l’ordre chronologique tient lieu de critère décisif : c’est le dernier révélé qui a le dernier mot. Il arrive toutefois que des contradictions semblent apparaître au sein même d’une même sourate, à quelques versets d’intervalle, de telle façon qu’évoquer l’antériorité d’un verset sur l’autre devient difficile. Peut alors intervenir un critère interne à la formulation : celui de la plus grande précision.

Cela étant, dans la perspective coranique, l’existence des contradictions peut s’expliquer par le fait qu’Allah emploie des ruses avec les hommes. Au bout du compte, ce qui importe est que sa volonté soit précisée et observée à la lettre par les hommes. Il existe aujourd’hui un débat sur l’historicité des versets concernant l’abrogation, débat qui s’ajoute à celui concernant l’historicité du Coran en général.



Cependant, sur le plan de la violence coercitive,(…) la question importe peu puisqu’il n’y a pas vraiment de contradiction entre les différentes périodes reconnues, mais plutôt une progression. Les menaces que la tradition musulmane considère comme de la période dite mecquoise se traduisent par une violence bien concrète dans la période suivante, dite médinoise.



Déploiement chronologique de la violence dans le Coran

Dans le Coran, tel qu’il se présente depuis que le corpus en a été fixé, les sourates sont classées non par ordre chronologique, mais par ordre décroissant de longueur, à l’exception de la première (la fatiha). La sourate 2 est ainsi la plus longue, puis vient la troisème, etc. cependant, la tradition islamique elle-même conduit à élaborer un ordre chronologique approximatif, notamment grâce à la biographie du Prophète( Sîra).

Considéré selon cette chronologie, le texte suit une progression au cours de laquelle le prophète de l’islam annonce tout d’abord l’imminence du jugement dernier. Il s’identifie aux personnages de la Bible tels qu’il les perçoit, appelle à la solidarité avec les pauvres, reprenant en cela un thème biblique ; il lance des diatribes contre ceux des habitants de la Mecque qui ne croient pas à son rôle d’Envoyé de Dieu. Muhammad déchaîne la colère divine contre eux, colère qui n’est encore que verbale :

"Ton Seigneur t’accordera bientôt ses dons et tu seras satisfait. Ne t'a t-il pas trouvé orphelin et il t’a procuré un refuge. Il t’a trouvé errant et il t’a guidé. Il t’a trouvé pauvre et il t’a enrichi. Quant à l’orphelin, ne le brime pas. Quant aux mendiants, ne le repousse pas. » (93, 5/11)

"Fais entendre la rappel ! Tu n’es que celui qui fait entendre le Rappel et tu n’es pas chargé de les surveiller. Quant à celui qui se sera détourné et qui était incrédule : Dieu le châtiera du châtiment le plus grand. » (88, 21/24)

Des histoires mettant en scène des personnages bibliques sont développées ; un rapprochement avec les Juifs et les Chrétiens est recherché :
« Ne discute avec les gens du Livre que de la manière la plus courtoise. Sauf avec ceux d’entre eux qui ont été injustes-
Dites : nous croyons à ce qui est descendu vers vous. Notre Dieu qui est votre Dieu est unique et nous lui sommes soumis. » (29,46)
Mais les Juifs et les chrétiens refusant de reconnaître la prophétie de Muhammad, les voici accusés d’avoir été infidèles à ce que Dieu leur avait transmis, d’avoir opéré une falsification (tahrîf) du « message » que Dieu avait déjà « fait descendre » pour eux :
« Comment pouvez-vous désirer qu’ils croient avec vous, alors que certains d’entre eux ont altéré sciemment la Parole de Dieu, après l’avoir entendue ? ( 2,70/75)
« Ô gens du livre ! Pourquoi dissimulez-vous la vérité sous le mensonge ? Pourquoi cachez-vous la vérité, alors que vous savez ? » (3,71)

Pour se démarquer de juifs, la direction de la prière est modifiée, de Jérusalem vers la Mecque (2,139/144).

Surtout, les menaces de la première période envers les Mecquois débouchent sur une violence bien concrète. Des razzias sont lancées contre les caravanes de la Mecque. De nombreuses diatribes sont adressées aux Hypocrites (Munâfiqûn), ceux des habitants de Médine qui ne suivent pas Muhammad dans ses entreprises de razzias.

« Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de sédition et que le culte d’Allah soit rétabli » (2,189/193).
« Ils t’interrogent au sujet du butin. Dis : « Le butin appartient à Allah et à son Prophète. Craignez Allah ! Maintenez la concorde entre vous. Obéissez à Allah et à son Prophète, si vous êtes croyants!» (8,1)



Selon les sources musulmanes elles-mêmes, deux des trois tribus juives de Médine les Banu Qaynuqa et les Banu Nadhir sont expulsées. La troisième tribu, les Banu Qurayzah est accusée ensuite d’avoir voulu soutenir les ennemis mecquois, lors du siège que ceux-ci firent de Médine, en représailles aux razzias de Muhammad ; une fois le siège levé et le danger écarté, les membres de cette tribu sont sommés de se convertir à l’islam! Ceux qui refusent de le faire ? Tous les hommes de la tribu, plusieurs centaines, sont alors décapités; les femmes et les enfants, réduits en esclavage, sont partagés entre le Prophète et ses fidèles.

Enfin, la violence se tourne contre tous les non-musulmans, sans exception, tous accusés de ne pas croire à l’Envoyé de Dieu, et d’être soit polythéistes, soit de mauvais monothéistes, c’est-à-dire d’associer à Dieu autre chose que lui-même (shirk). Le combat devient radical, toute non-appartenance à la communauté des croyants (Umma) étant perçue comme une agression à son encontre. Ordre est donné de combattre tous les non-musulmans et de leur faire payer le tribut (9,29). C’est en se fondant sur cet ordre que la domination politique de l’islam, qui se confond totalement avec sa domination religieuse, s’étendra bientôt à tout le Proche-Orient, dès le califat de Umar.

De la lecture du Coran et de l’histoire sainte de l’islam, il ressort ainsi que les deux formes majeures de corruption (fasâd) qui appellent le courroux divin, sont la falsification des écritures (tahrîf) et l’« associationnisme » (shirk). Nous allons nous attacher à comprendre plus précisément ce que l’une et l’autre de ces corruptions recouvrent, et quels châtiments elles méritent aux yeux du Coran.



Pas de contrainte en religion ?

Pourtant, nous répondra-t-on, on trouve dans le Coran l’interjection : « Pas de contrainte en religion ! » Cette citation, tirée du verset 257/256 de la sourate 2 est sans doute devenue aujourd’hui la plus célèbre du Coran, puisque très médiatisée, dans la presse, à la radio, à la télévision. Il importe ici de la prendre en compte et d’en percevoir le sens réel. Lorsqu’elle est citée, cette phrase est toujours sortie de son contexte, pour promouvoir l’idée que l’islam, à l’instar de Vatican II, prônerait la liberté religieuse et lui donnerait même force de loi. Or, une telle perception ne résiste pas à l’examen scrupuleux du texte. Si, en effet, le sens de ce verset était d’inciter à la liberté religieuse ne contraignez pas les gens en matière religieuse ! alors, pourquoi dans la même sourate 2, juste auparavant (versets 193 et 216), puis plus encore dans des sourates considérées comme postérieures, rencontre-t-on tant d’appels à lancer la guerre contre les païens, les juifs et les chrétiens en vertu de ce qu’ils n’adhèrent pas à l’islam ? Comment comprendre alors cette fameuse formule sur la contrainte en religion, puisque tant de versets coraniques appellent à contraindre en matière religieuse ?
Selon Dominique Urvoy, cette exclamation n’a jamais signifié un appel à la tolérance : « Le verset lui-même ne fait référence qu’au droit des non-musulmans à embrasser l’islam sans qu’on les empêche. Et c’est bien comme cela qu’il a toujours été compris, du moins dans l’ordre de la pratique. »



La suite du verset « celui qui est infidèle aux idoles et croit en Allah s’est saisi de l’anse la plus solide et sans fêlure » montre que c’est d’islam dont il est question, et porte crédit à cette explication : c’est à l’islam qu’il ne faut pas empêcher quiconque de se convertir.

Nous proposons ici un complément d’explication. La phrase sur la contrainte est précédée d’un hymne à la gloire de la toute-puissance divine :

« Allah ! Il n’y a de Dieu que lui : le Vivant ; celui qui subsiste par lui-même ! Ni l’assoupissement, ni le sommeil n’ont de prise sur lui ! Tout ce qui est dans les cieux et sur la terre lui appartient ! Qui intercédera auprès de lui sans sa permission ? Il sait ce qui se trouve devant les hommes et derrière eux, alors que ceux-ci n’embrassent de sa Science que ce qu’il veut. Son trône s’étend sur les cieux et sur la terre : leur maintien dans l’existence ne lui est pas une charge ; il est Très-Haut, l’inaccessible. » (2,256/255)

« Pas de contrainte en religion ! La voie droite se distingue de l’erreur. Celui qui ne croit pas aux Taghout (rebelles, idoles) et qui croit en Allah, a saisi l’anse la plus solide et sans fêlure. Allah est celui qui entend et sait tout. » (2,257/256)

L’exclamation sur la contrainte en religion apparaît donc à la suite d’une exaltation incantatoire de la toute-puissance divine. Il semble nettement qu’il puisse y avoir un lien entre cela et la fameuse « absence de contrainte » : une fois entré en religion, c’est-à-dire ici en islam, il suffit de se laisser porter par la mouvance de la toute-puissance divine, et on ne ressent plus la moindre contrainte. La liberté adhère d’autant plus facilement à la religion , à la soumission en Allah, qu’elle se découvre alors dans la mouvance même de la volonté du Dieu tout-puissant à laquelle rien ne résiste et donc qui ne connaît pas de contrainte. Le croyant ne ressent pas de contrainte une fois entré dans la religion, il se sent libéré, il distingue aisément la droiture de l’égarement. Il devient « fils de la rectitude » (nom d’Averroès : Ibn Rushd, « fils de la rectitude ») solidement assuré de son chemin ; il ne ressent nulle division en lui-même.
Mais le fait qu’une fois soumis en Allah, on ne ressente pas de contrainte ne signifie nullement qu’il ne soit pas légitime d’user de contrainte en matière religieuse, pour faire entrer autrui dans la « vraie » religion ! Tant que l’homme est au seuil de l’islam, toutes les contraintes sont permises pour l’y faire entrer, mais une fois dedans, c’est là qu’il se sent libéré, sans affliction, sans contrainte, du moins selon le Coran.

Voilà, en toute une interprétation possible de ce passage. On le sait, les exégètes musulmans ont interprété la phrase : « Pas de contrainte en religion » de façons très diverses, ainsi que le rapporte al-Tabari (839-923), dans son commentaire du Coran. Néanmoins, lorsqu’un texte religieux contient une phrase qui fait litige, il est légitime de chercher la concordance avec le texte dans son ensemble.



La vaine polémique autour du mot jihâd

Toujours dans une perspective d’accommodation de l’islam aux exigences de la modernité, il s’est nourri, ces dernières années, une polémique autour du sens à donner au terme jihâd.

Tous s’entendent sur l’étymologie : jihâd dérive de la racine j .h .d et signifie « effort en une certaine direction ». Sans autre forme de procès, certains en déduisent que le sens primordial du mot serait « effort en vue du perfectionnement moral », d’autres allant jusqu’à conclure qu’il n’y a pas lieu de s’interroger sur le rapport du texte coranique à la violence ; chez l’un on lira que jihâd « ne comprend absolument pas la notion de sacralité de la guerre » (Ghaleb Bencheikh) ; chez un autre que cette même notion est « totalement étrangère à la mentalité musulmane » (Mohamed Talbi) ; chez un autre encore qu’elle n’a « aucune légitimité scripturaire » (Abdelwahab Meddeb) ; un dernier, enfin, signe un article intitulé « Aucune guerre n’est sainte en islam » ! (Malek Chebbel) ; cette polémique trouve sa raison d’être dans un triple manquement aux règles de la rigueur intellectuelle.

Tout d’abord , l’origine étymologique d’un mot ne suffit pas à rendre compte du sens pratique qu’il prend historiquement. Ensuite, commencer par évoquer l’effort en vue d’un perfectionnement moral pour définir le jihâd est un anachronisme. Enfin, le sens que revêt ce mot ne détermine pas à lui seul le rapport du Coran et de l’islam à la violence.


Avec le temps, le sens des mots évolue. C’est là une banalité de premier ordre ; dans un contexte culturel et historique particulier, un mot peut se figer sur un sens plus restreint que sa signification étymologique première,ou, à l’inverse la déborder complètement. Lorsqu’on dit d’une armée qu’elle a pacifiée un territoire, cela ne signifie pas qu’elle y ait fait œuvre que d’actions pacifiques. Pour ce qui est du jihâd, le sens étymologique est bien celui d’effort, mais le sens spécifique qu’il a pris historiquement en islam est d’abord lié aux prescriptions guerrières du Coran. Il n’y a là nul jugement de valeur, simplement un constat. C’est ensuite seulement que fut élaborée la notion d’un jihâd spirituel, ou « grand jihâd », mais pas avant le IXème siècle.

Avant d’en arriver là, revenons au VIIème siècle. Les conquêtes (futûh) font suite aux premières expéditions lancées par Muhammad, dont le succès est interprété comme un signe divin. Ces expéditions font l’objet de récits épiques : les maghâzi (expéditions guerrières) qui, avec le Coran, et les Hadîth , sont les textes musulmans les plus anciens. Y sont enregistrées les siyar (« conduites », pluriel de sîra), qui désignent les manières dont les premiers musulmans, au premier rang desquels Muhammad, se sont conduits, dans leur façon de mener les guerres de conquête et de décider du sort des populations conquises. C’est à la fin du VIIème siècle que sous le terme jihâd seront traités de façon juridique les procédés guerriers jusque-là enregistrés sous le terme siyar. Il y a là un changement de vocabulaire, mais le thème reste le même.

Et ce n’est donc qu’à partir du IXème siècle, dans le cadre de la mystique, que fut introduit et développé le thème du grand jihâd, conçu cette fois-ci comme un effort en vue d’un perfectionnement moral, une lutte intérieure contre les mauvais penchants, l’acceptation précédente de jihâd guerrier n’étant pas reniée mais requalifiée de « petit jihâd ». la création au IXème siècle de la notion de grand jihâd, ou jihâd majeur, est donc liée à l’avènement de la mystique musulmane, elle-même provenant de la fréquentation de la mystique chrétienne dont elle reprend certains aspects.

En outre, même si le terme jihâd avait désigné primordialement un effort en vue du perfectionnement moral, ce qui n’est donc pas le cas, la question des prescriptions violentes du Coran ne serait pas dissoute pour autant.



Ces prescriptions emploient d’autres termes. Le vocable utilisé le plus souvent est celui de combat (qitâl). Le combat en question n’a rien d’abstrait, bien au contraire, puisque le verbe qâtala est une forme du verbe signifiant « tuer ». il s’agit d’un combat sans merci, à mort, jusqu’à la totale domination de l’islam sur le reste du monde. Alferd Morabia dresse la liste des verbes arabes utilisés. Ils signifient « combattre, tuer, razzier, attaquer, guerroyer, marquer de l’hostilité, frapper l’adversaire, partir en campagne ».

Notons à propos des versets coraniques exhortant au combat que le contexte de leur formation, selon l’histoire sainte musulmane elle-même, est bien celui d’une guerre offensive lancée par l’islam naissant contre ce qui est en dehors de lui. La réalité décrite par le Coran est celle de razzias et de batailles lancées contre les non-musulmans, au prétexte qu’ils ne sont pas musulmans, à l’occasion desquelles sont tués des hommes, sont enlevées des femmes et des enfants pour être réduits en esclavages et partagés en butin. Et il est assez indifférent, finalement, de savoir si les injonctions guerrières du Coran y sont inscrites sous le terme jihâd ou sous un autre, puisqu’elles y sont inscrites. Qu’importe le mot puisque l’idée s’y trouve.



L’historicité des prescriptions violentes

Lorsqu’il étudie un système religieux, l’historien peut suivre deux voies distinctes mais complémentaires. La première est ce que l’on appelle la démarche historico-critique, qui consiste à porter un regard critique sur les fondations de ce système dans leur rapport aux faits historiques avérés. En matière d’islam, les plus riches analyses de ce type sont dues notamment à Ignace Goldziher, Régis Blachère, Patricia Crone, ou encore à Cristoph Luxenberg.

Cette démarche historico-critique ne doit pas escamoter la seconde voie de recherche, qui consiste à penser la narration religieuse dans sa logique propre, au travers d’une grille d’analyse éthique et anthropologique. Il s’agit de prendre le texte pour ce qu’il prétend être, dans son corpus canonique, dans son histoire « officielle », pour saisir ce par quoi se construit l’édification. Toute narration religieuse, en effet, quel que soit le rapport de ses fondements scripturaires à la vérité historique, devient à son tour productrice d’histoire, marquant profondément de son empreinte les représentations humaines du monde sur lequel elle résonne. Parmi les spécialistes de l’islam qui pratiquent cette démarche de critique interne, citons Alfred Morabia, Roger Arnaldez, et le regretté Antoine Moussali.


Parmi les 63 expéditions militaires répertoriées par l’histoire sainte de l’islam, on compte quelques assassinats politiques, dont ceux de poètes dont les vers étaient irrévérencieux envers Muhammad.

Des expéditions sont lancées contre les populations sédentaires, notamment juives et chrétiennes. Il apparaît aujourd’hui à l’historien que la Sîra a été écrite pour donner une cohérence narrative au Coran. Pas plus que pour le reste des éléments de cette biographie écrite deux siècles après les faits, la science historique ne retrouve trace de l’existence des tribus juives expulsées ou exterminées par Muhammad dont il est fait mention. Il n’en demeure pas moins que le Coran atteste bien que Muhammad a entrepris des expéditions militaires contre des populations juives et chrétiennes afin de les soumettre, ce qui en soit compte plus que de connaître leurs noms exacts.

Le dogme officiel considère que la réception du Coran fut terminée en 632 avec la mort de Muhammad et que sa collecte le fut sous le calife Othman (644-656). Le point de vue de l’historien diverge de cette version des choses.

Muhammad est certainement mort après 632, mais surtout le règne de Abd al-Malik (686-705) fut une étape manifestement décisive dans le processus de fixation du texte. Cependant, même si ‘’Abd al-Malik renforça vraisemblablement dans le texte coranique l’antagonisme contre les juifs et les chrétiens, il n’en demeure que les grandes lignes étaient données du vivant de Muhammad. « Il est ainsi évident que les premiers musulmans adhéraient à un culte qui comportait des pratiques et des croyances clairement définies, distinctes des autres religions existant alors. »

Parmi ces fondements, la légitimation théologique de la force physique des musulmans contre les non-musulmans, au motif qu’ils ne sont pas musulmans, est une donnée tout à fait déterminante, qui a valeur d’édification.



Sourate II verset 191 « Dieu n'aime pas les transgresseurs. Tuez-les partout où vous les rencontrerez.»
Sourate II verset 7 « Dieu a mis un sceau sur leurs (les incrédules) cœurs et leurs oreilles ; un voile est sur leurs yeux et un terrible châtiment les attend. Certains hommes disent : nous croyons en Dieu et au Jour dernier, mais ils ne croient pas. Ils essayent de tromper Dieu et les croyants ; ils ne trompent qu'eux-mêmes et ils n'ont pas conscience. Leur cœur est malade : Dieu aggrave cette maladie. Un châtiment douloureux sera le prix de leur mensonge.»
Sourate II verset 24 « Si vous ne le faites pas (apporter des témoins autres que Dieu) - et vous ne le ferez pas - craignez le Feu qui a pour aliment les hommes et les pierres (Lapidation) et qui a été préparé pour les incrédules.»
Sourate II verset 88 « Ils ont dit : "Nos cœurs sont incirconcis". Non!… Que Dieu les maudisse à cause de leur incrédulité.»
Sourate II verset 83 ou 89 « Allâh maudisse les incroyants»
Sourate II verset 84 ou 90 « Aux incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux).»
Sourate II verset 98 ou 104 « Aux incroyants l'affreux tourment (un châtiment douloureux).»
Sourate II verset 170 ou 175 « Ceux qui troquent le chemin et le pardon contre l'erreur et le tourment, comment vont-ils endurer le feu ?»

etc.



Connaissance de l'islam

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty21/11/2010, 20:31

http://puteaux-libre.over-blog.com/pages/Le_rapport_de_lislam_avec_la_violence-3398036.html
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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty21/11/2010, 20:32

PACTE REPUBLICAIN: mode d'emploi J’ai souvent entendu, bien trop souvent entendu l’expression pacte républicain. Comme beaucoup de Français, je pensais que cette expression venait de l’histoire de France, de nos vaillants ancêtres postrévolutionnaires. Liberté Egalité, Fraternité trois mots qui allait bouleverser l’Europe à défaut du monde.
Robespierre, Danton, Saint Just, Desmoulins, Madame Roland, etc. Tous ont fini sur la guillotine comme celui qui était devenu le représentant facile de l’oppression absolue : le Roi.

Le pacte républicain scellant le passage d’un temps d’oppression et d’injustice à un temps de liberté et de bonheur ? Tous les scolaires (je l’espère) savent que la 1er République se termina dans le sang de la terreur. Plusieurs milliers de morts dans les grandes villes. Le sang coulait à flot, et les noyades de l’ami Carrier à Nantes furent gigantesques par leur nombre plus de 10 000. Voici ce qu’il disait : ici on emploie une toute autre manière pour se débarrasser de cette engeance (les catholiques vendéens) On met tous ces coquins dans des bateaux qu’on fait couler ensuite à fond. On appelle cela « envoyer au château d’eau ». En vérité si les brigands se sont plaints de faim, ils ne pourront pas se plaindre au moins qu’on les fasse mourir de soif (...) Le pacte républicain serait-il basé sur un crime contre l’humanité ? Un crime jamais dénoncé par nos bonnes âmes qui l'auraient oublié? Eux, si prompte à dénoncer les crimes de l’esclavage et de la colonisation. C'est impossible voyons.

Ce n’est donc pas la 1ère République qui a inventé ce pacte républicain.


La 2ème dura si peu et son Président s’appelait le Prince Président Louis Napoléon Bonaparte. Il a rétabli le suffrage universelle abolit par les Républicains.

Ce n’est donc pas la 2ème République qui a inventé le pacte républicain.


La troisième République s’installa sur les débris d’un empire qui avait amené la France à l’égal de l’Angleterre et fit de la France un pays moderne à travers sa révolution industrielle: les chemins de fer et la profonde transformation des villes comme Paris. Avec, certes, comme en Angleterre, les injustices sociales qui allaient avec.

Pour mémoire, il fallut attendre 1893 pour concrétiser par les lois de Jules Ferry, les projets de Victor Duruy sur l’école gratuite. Avec comme différence notable qu’elles devaient êtres laïques. Mais avant lui, il y eut les lois Guizot qui déjà scolarisaient la majorité des enfants de France en 1882. Jules Ferry ait une icône de la république mais il ne fût pas le seul et il n’était pas parti de rien. La république s’installa donc en catimini à la suite de l’amendement Wallon à 1 voix près.
La France en 1873 était monarchiste et non républicaine. Le sait-on ? La France du peuple se moquait bien du pacte républicain. L’assemblée était composée de Bonapartiste, de légitimistes et d'Orléanistes. Quelques républicains élus surtout dans les grandes villes. L’héritier de la couronne impérial (Napoléon IV) se fit tuer dans l’armée anglaise en Afrique du Sud. L’héritier de la couronne royal (Henri V) refusa la couronne pour cause de drapeau blanc. Donc, la république comme un pis allé. La troisième dura soixante quinze ans et se termina par le désastre de 1940. Bien pire que celui de Sedan qui ne fût jamais pardonné au second empire. La fuite des Députés socialistes et l’installation de Philippe Pétain avec leur aval.



Est-ce dans cette république que s’instaura le pacte Républicain ? Pas plus.

Car en fait qu’est-ce que c’est le pacte républicain de nos jours ? Il n’a jamais été défini. Il ne figure dans aucun texte constitutionnel. Il se résumerait nous disent nos biens pensants d’aujourd’hui, sur à la générosité de la France, sur son accueil fraternel des miséreux, sur sa tradition de l’immigration et d’intégration ainsi que sur l’asile politique. Ce pacte s’appuierait sur le fameux triptyque : Liberté, Egalité, Fraternité vu plus haut auquel s’ajoute désormais la Laïcité. Mais en fait, ce pacte est très récent dans sa conception. Il est une vue d’une gauche dictatoriale sur la pensée politique. C’est George Orwell qui disait que la gauche est antifasciste mais pas antitotalitaire.

Sous la troisième république les socialistes de l’époque tenaient des propos et avaient des idées qui les positionneraient dans le camp de l’extrême droite aujourd’hui.

Prenons le cas de l’étranger. Il ne fût pas toujours ce "sans papier" cher à la gauche d’aujourd’hui.

C’est Paul Colliard ministre socialiste de la troisième République qui émet le 31 Décembre 1918 une circulaire : réservant dans tous les cas aux travailleurs nationaux les emplois que ceux-ci sont aptes à remplir et n’accueillir les demandes émanant de travailleurs étrangers que sous cette réserve expresse qu’il n’y saurait être satisfait tant qu’il est possible de répondre à l’aide de la main d’œuvre nationale aux offres d’emploi dont disposent les offices (Maison de l’emploi de l’époque)

C’est bien une loi de la république française du 22 juillet 1923 sur « l’encouragement national à donner aux familles nombreuses qui s’adresse aux familles de nationalité française qui résident en France avec au moins trois enfants en dessous de treize ans.

C’est une loi de 11 août 1926 voté à la quasi unanimité par la chambre. Uniquement son titre vous donnera une idée de ces socialistes et radicaux-socialistes de l’époque et sur la pensée profonde de la république française. Loi en vue d’assurer la protection du marché de travail national » Les dispositions sont draconiennes pour l’étranger.

Interdiction à un employeur d’embaucher un étranger qui ne possède pas une carte d’identité avec mention travailleur.

Interdiction à un étranger d’occuper une autre profession que celle pour laquelle la carte de travail lui a été accordée.

Obligation faite à l’employeur d’inscrire sous 24 h les travailleurs étrangers sur un registre spécial.

Monsieur Jean Lerolle Député démocrate chrétien déclare : il n’est pas admissible que des travailleurs français soient privés de travail dans les usines, les ateliers ou les magasins, alors que des travailleurs étrangers occupent leur place.

C’est Edouard Herriot radical-socialiste qui fait voter le 10 août 1932 une loi de protection de la main d’œuvre française. Tous les étrangers devront être munis d’une autorisation spéciale.

Imaginez les réactions de nos bien pensants si la droite évoquait seulement le fait, la possibilité d’une protection des travailleurs français face aux clandestins que la gauche s’évertue à appeler "sans papier".
Alors le pacte républicain cher à nos socialistes d’aujourd’hui est-il un héritage des socialistes d’hier ? La droite naturalise 100 000 étrangers par an (en 2008, idem en 2009) Elle a régularisé 30 000 clandestins. Gageons que si nous étions sous la troisième république et sous un gouvernement de gauche de l’époque, cela aurait été impossible.

C’est Charles Lambert membre du parti radical (Parti de la dame Taubira) qui disait en 1931 au sujet de l’immigration : il est injuste que des ouvriers français puissent être dépossédés de leur emploi ou privé de leur pain par des ouvriers étrangers. Diable !

C’est Paul Ramadier du groupe socialiste député de l’Aveyron on ne conçoit pas que la frontière soit encore ouverte à certaines introduction d’ouvriers étrangers. Raciste Paul Ramadier ?

Je passe sous silence la note précises faîte aux préfets de Camille Chautemps pour obtenir le plus de renseignement possible sur les travailleurs étrangers. Il n’y avait pas la CNIL ni la HALDE.

La gauche donneuse de leçons devrait revoir ces classiques.

Le 03 Mai 1936 c’est la victoire du Front populaire. Tandis qu’Hitler réarmait l’Allemagne le gouvernement de gauche du Front populaire nationalisait. Ce furent à cette époque de grandes avancées sociales. Congés payés, délégués du personnel, les quarante heures, etc. Tandis que la gauche se souvient de ces conquêtes sociales, elle oublie le pendant. Toute médaille à son revers.



C’est Roger Salengro ministre socialiste de l’intérieur qui répond à une question posée sur les expulsions d’ouvriers étrangers de Lorraine. Les décisions prises à l’égard des étrangers expulsés à la suite des incidents de Moyeuvre-grande (Ville minière en Moselle) ont toutes étaient motivées par des raisons graves : l’attitude particulièrement violente des intéressés qui, parfois, ont manqué de correction (sic) la plus élémentaire à l’égard des autorités locales, justifie pleinement de telles mesures. On pourrait sourire au regard des manifestations agressives et parfois violentes d’aujourd’hui sans compter les agressions de policiers par des étrangers.

Même l’expulsion est considérée comme une double peine alors que, pour la gauche de l’époque, elle allait de soi. Autre temps autre mœurs. Il n’y a que la mémoire socialiste qui a flanché.

Ou est le pacte républicain ? C’est le même socialiste Roger Salengro héros de la gauche pour cause de suicide qui, dans le même discours, répondait : il (le gouvernement) ne saurait tolérer que des étrangers abusent de l’asile qui leur est offert en intervenant dans les conflits politiques et sociaux. Même Jean Marie le Pen ne le dit pas.

C’est toujours le même socialiste Roger Salengro qui refuse d’accueillir des étrangers fuyant le régime nazi. Je pourrai vous énumérer un certain nombre de texte de cette eau là. De Jean Jaurès, de Léon Blum en passant par l’article dans l’Humanité en première page signait par Jacques Duclos en 1935 : la France aux français. Serait-il nauséabond ce journal communiste de l’époque ?

Pourquoi s’en étonnait puisque c’est le même Jacques Duclos qui négocia en 1940 à la Kommandantur allemande situé à l’hôtel Lutétia la réapparition du journal l’HUMANITE interdit par la troisième république pour cause de défaitisme. Les même qui collaborèrent jusqu’en Juin 1941. Ce qui vaut pour l’étranger vaut également pour d’autres dossiers. On n’est pas responsables de ses grands-parents diront les uns. On n’est pas non plus obliger de faire comme si ils n’avaient pas existé.

La gauche n’a donc pas de leçon à donner mais elle ne s’en prive pas. Après tout, la droite aime prendre des claques. Même quand elle est au pouvoir, elle favorise et nomme des hommes de gauche à des postes d’excellences.

Aujourd’hui, la gauche et les associations inféodées à celle-ci se réclament du pacte républicain, des grands principes républicains. Mais de quoi parle-t-elle ? De ce qu’elle ignore ou ne veut pas se souvenir. La République n’a jamais été, aussi loin que l’on puisse remonter, la bonne fille accueillante de l’Europe. Celle ou l’on peut venir et faire bombance ou pour le moins y trouver un statut, des services médicaux gratuits, des services sociaux et des allocations diverses. Non pas que je conteste le fait qu’un homme malade ne puisse pas être soigné sous prétexte qu’il est étranger mais simplement que la France n’a pas à rougir et qu’elle a aussi le droit de dire NON lorsqu’elle estime devoir le faire. Comme le faisait la gauche avant guerre quand elle gouvernait y compris au moment du Front Populaire. Un Front populaire qui était aveugle vis-à-vis de son voisin allemand et qui à fait de la France de l’époque une armée sans arme derrière une ligne Maginot inutile. A la débâcle, elle se lava les mains à Bordeaux et vota les pleins pouvoirs à un vieillard de 84 ans, Philippe Pétain. La suite nous la connaissons tous.

Non la gauche et les associations inféodées ne devraient pas se sentir le droit de dénoncer des prétendus dérives fasciste alors qu’elle-même, en son temps, avant guerre et pendant de longues années, a gouverner dans l’intérêt de la France en se préoccupant des français.

C’est donc une politique qu’elle devrait juger fasciste si ce parti et ses inféodés étaient cohérents. Mais ils devraient dénoncer Léon Blum, Salengro et même Jaurès.



Léon Blum, Maurice Thorez et Roger Salengro le 14 juillet 1936


Imaginons si ces hommes revenaient au pouvoir aujourd’hui. Imaginons leurs réactions face à la montée du communautarisme. Face à l’islamisation rampante qui se fait actuellement. On peut affirmer qu’à leurs yeux, sans trop se tromper, le Front National passerait pour un parti de modérés.

Comment ne seraient-ils pas étonnés voire stupéfait de cette idée du regroupement familiale voulu sinon exigé par l’ONU, mis en place par la droite (Giscard et Chirac) qui a transformé l’immigration de travailleurs contrôlés en immigration de repeuplement avec toutes les conséquences culturelles et cultuels que l’on connait aujourd’hui.

Ce qui me fait dire, qu’en dehors de toutes considérations de personnes, j’aimerai bien que nos assemblées retrouvent, des hommes ayant ce sens de l’état et l’amour de la patrie chevillé au corps. Même si ils n’étaient pas non plus des anges et qu’ils aient commis de graves erreurs.

Toutefois, je ne peux m’empêcher d’ajouter que la France, de Charles VI à Napoléon III fut une grande puissance militaire et culturelle, une référence dans le monde quoiqu’en dise la gauche bien pensante et les bobos. La république, depuis 1875, après avoir vécu sur les acquis de ces centaines d’années monarchiques, en fit un petit pays dans une Europe dominatrice dont même sa langue est en pleine perte de vitesse. Alors, le pacte républicain ?

Gérard Brazon

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty28/11/2010, 20:36

Bruckner dans Libé : l’invention de l’«islamophobie»
Par Melba le 26 novembre 2010

Nous assistons à la fabrication planétaire d’un nouveau délit d’opinion, analogue à ce qui se faisait jadis dans l’Union soviétique contre les ennemis du peuple.

Forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 70 pour contrer les féministes américaines, le terme d’«islamophobie», calqué sur celui de xénophobie, a pour but de faire de l’islam un objet intouchable sous peine d’être accusé de racisme. Cette création, digne des propagandes totalitaires, entretient une confusion délibérée entre une religion, système de piété spécifique, et les fidèles de toutes origines qui y adhèrent. Or une confession n’est pas une race, pas plus que ne l’est une idéologie séculière : l’islam, comme le christianisme, est révéré par des Arabes, des Africains, des Asiatiques, des Européens, de même que des hommes de tous pays sont ou ont été marxistes, libéraux, anarchistes. Jusqu’à preuve du contraire, on a le droit, dans un régime démocratique, de juger les religions mensongères et rétrogrades et de ne pas les aimer. Se méfier de l’islam comme on a pu en d’autres temps se méfier du catholicisme, juger inquiétant son prosélytisme agressif, sa prétention à la vérité unique, son penchant sacrificiel, c’est manifester un sentiment qu’on estimera légitime ou absurde, ce n’est pas faire preuve de racisme. Faut-il parler de «libéralophobie» ou de «socialistophobie» parce qu’on est contre le règne du marché ou la redistribution des richesses ? Ou faut-il rétablir le délit de blasphème, aboli en 1791 par la Révolution, comme le réclame chaque année l’Organisation de la conférence islamique ainsi qu’en France, en 2006, un député UMP, Jean-Marc Roubaud, soucieux de punir tout ce qui bafoue ou calomnie «les sentiments religieux d’une communauté ou d’un Etat quel qu’il soit». Le pari des sociétés ouvertes, c’est de concilier la coexistence pacifique des grandes croyances avec le droit à la libre expression. La liberté de culte est garantie et la liberté de critiquer les cultes également. Les Français, échaudés par des siècles de domination cléricale, souhaitent un affichage discret des croyances. Réclamer des droits séparés pour telle ou telle communauté, imposer de strictes limites à l’examen des dogmes nous ramènerait directement à l’Ancien Régime.

Le terme d’islamophobie remplit plusieurs fonctions : nier pour mieux la légitimer la réalité d’une offensive intégriste en Europe, attaquer la laïcité en l’assimilant à un nouveau fondamentalisme. Mais surtout faire taire les musulmans qui osent remettre le Coran en cause, en appellent à l’égalité entre les sexes, au droit à l’apostasie et aspirent à pratiquer paisiblement leur foi sans subir le diktat de doctrinaires ou de barbus. Il faut donc stigmatiser ces jeunes filles qui refusent le voile, souhaitent marcher sans honte, tête nue, dans la rue, foudroyer ces Français, ces Allemands, ces Anglais d’origine maghrébine, turque, africaine, algérienne qui réclament le droit à l’indifférence religieuse, le droit de ne pas croire en Dieu, de ne pas jeûner pendant le ramadan. Il faut les désigner, ces renégats, à la vindicte de leurs coreligionnaires, les faire taire pour bloquer tout espoir d’une mutation chez les fidèles du Prophète (en France et de façon révélatrice, c’est un «Collectif contre l’islamophobie» qui soutient juridiquement les femmes verbalisées pour port du voile intégral). Nous assistons à la fabrication planétaire d’un nouveau délit d’opinion, analogue à ce qui se faisait jadis dans l’Union soviétique contre les ennemis du peuple. Et ce avec l’onction des médias et des pouvoirs publics. Notre président lui-même, jamais en retard d’une bourde, n’a-t-il pas comparé l’islamophobie à l’antisémitisme ? L’erreur est tragique : le racisme s’attaque aux personnes en tant qu’elles sont coupables d’être ce qu’elles sont, le Noir, l’Arabe, le Juif, le Blanc. L’esprit critique, à l’inverse, porte sur les vérités révélées, les écritures toujours susceptibles d’exégèses, de transformations. Cette confusion a pour objet de déplacer la question religieuse du plan intellectuel au plan pénal, toute objection ou moquerie étant passible de poursuites.

Quant aux profanations de tombes, de lieux de culte, si elles relèvent évidemment des tribunaux, elles touchent dans leur immense majorité en France les cimetières ou églises chrétiennes (1). On s’en veut de le rappeler : de tous les monothéismes, c’est le christianisme qui est aujourd’hui le plus persécuté dans le monde, surtout dans les pays musulmans, Algérie, Irak, Egypte entre autres. Il est plus facile d’être musulman à Londres, New York ou Paris que protestant, catholique au Moyen-Orient ou en Afrique du Nord. Mais le vocable de «christianophobie» ne prend pas et c’est heureux. Imagine-t-on la Saint-Barthélemy condamnée par nos ancêtres sous l’angle de la discrimination plutôt que du fanatisme religieux ?

Il est des mots qui contribuent à infecter la langue, à en obscurcir le sens. «Islamophobie» fait partie de ces termes à bannir d’urgence du vocabulaire.

Source : Libération

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty28/11/2010, 20:37

La démocratie a vaincu par K.O. les pseudo-« antiracistes »
jeudi 25 novembre 2010, par Roger Heurtebise



Quand une large majorité de citoyens partagent des opinions diabolisées par les idéologues de SOS-Racisme et autres officines de propagande totalitaire et antinationale, il y a comme un problème…

Dimanche prochain, les citoyens suisses vont voter par référendum sur un projet de l’UDC pour l’expulsion des délinquants étrangers. Les partis de droite ont allumé un contre-feu en soumettant un contre-projet, bien plus modéré. La gauche appelle à voter contre les deux projets. Les sondages donnent actuellement une majorité de l’ordre de 54% pour le projet de l’UDC, et d’environ 44% pour le contre-projet. Les étrangers sont responsables de 59% des homicides en Suisse en 2009, selon les statistiques officielles.

Si le projet de l’UDC sur l’expulsion des délinquants étrangers est voté par le peuple suisse, cela va provoquer encore plus de remous juridiques que pour l’interdiction de la construction de minarets. En effet, ce projet contredit certains accords de la Suisse avec l’Union européenne, et en particulier les accords Schengen dont la Suisse est signataire. L’Union Européenne a d’ailleurs menacé d’exclure la Suisse de l’espace Schengen si le projet est adopté. Nos amis helvètes ne pourraient espérer mieux…

Un article d’un juriste suisse sur le journal en ligne Marianne 2 résume bien les enjeux de cette « votation » (1). Mais l’auteur ne peut s’empêcher de tomber dans les poncifs habituels de la bien-pensance : racisme, xénophobie, etc. Le titre lui-même est un résumé de cette « reductio ad hitlerum » : « la Suisse appliquera-t-elle le programme du FN ? »

Cet article, pourtant écrit par un professeur de droit, fait l’impasse sur une question juridique essentielle : pourquoi des accords internationaux seraient-ils supérieurs en droit à l’expression démocratique d’un peuple souverain ? On peut d’ailleurs relever cette phrase savoureuse : « La démocratie ne saurait accepter la remise en cause de l’État de droit et les atteintes portées aux libertés individuelles qui s’appliquent à chaque citoyen, quelle que soit sa nationalité. »

C’est doublement une énormité.

D’une part, en démocratie, c’est bien le peuple qui décide des contours et des modalités de l’Etat de droit. Donc opposer démocratie à Etat de droit supposerait que celui-ci tient sa légitimité non pas du peuple, mais d’une sorte de droit absolu sorti d’on ne sait où. Et décidé par qui ? On le voit bien en France et dans l’Union Européenne, où l’on veut remplacer le droit du peuple par celui de castes de juges – et comme par hasard l’auteur de l’article est juriste ! –, ce qui est évidemment antidémocratique, et ce qui va à l’encontre de la séparation des pouvoirs tant réclamée… par les juges !

Ensuite, on parle de « citoyen, quelle que soit sa nationalité ». Or le citoyen, c’est le membre de la cité, celui qui a en particulier le droit de vote. Il y a des citoyens suisses, des citoyens français, et des étrangers en Suisse ou en France, mais on ne peut être à la fois citoyen et d’une nationalité étrangère. Ce contresens de l’auteur traduit la notion cosmopolite de « citoyen du Monde », qui elle-même démontre que le vrai sens du mot « citoyen » est national en s’opposant à cette acception. On retrouve là l’idéologie des « antiracistes » autoproclamés, pour qui le droit devrait être le même pour les étrangers et les nationaux (cf. par exemple certaines délibérations de la Halde), ce qui constitue l’abolition même des notions de citoyenneté, de nation, de frontière. Cette idéologie est belliciste, puisque ce sont bien les frontières qui délimitent la protection des peuples, alors que leur abolition amène des guerres civiles. L’actualité nous en fournit la preuve chaque jour en France !


L’idéologie « antiraciste » est donc antidémocratique et antinationale. C’est la définition même d’un totalitarisme trans-frontières, à l’instar du nazisme, du stalinisme ou de l’islamisme.

L’auteur de l’article de Marianne 2, tout comme les « antiracistes », fait une autre impasse. Il oublie tout simplement de remarquer que si ce projet est adopté, par exemple à 54%, c’est qu’une majorité de Suisses l’approuve ! Ses accusations de lepénisme, de racisme ou de xénophobie insultent donc le peuple suisse. L’article ne devrait pas titrer « la Suisse appliquera-t-elle le programme du FN ? », mais « Les Suisses approuveront-ils le programme du FN ? » Ce n’est pas l’UDC diabolisé ou « la Suisse » théorisée qui voteront, mais les citoyens suisses !

Mais cette impasse est tout simplement due au fait que le problème des « antiracistes », c’est que désormais une majorité de citoyens dans tous les peuples européens… partagent les idées qu’ils combattent.

Un autre exemple est donné dans un sondage récent de l’Ifop, fin septembre 2010 (2). On y apprend que 71% des Français trouvent que « l’islam progresse trop en France » et que 63% pensent qu’« il y a trop d’immigrés ».

Les citoyens français seraient-ils aux deux tiers « lepénistes », « racistes », « xénophobes » ? Bien sûr que non. Quand les opinions diabolisées par le lobby mondialiste et ses relais de terrain (SOS-Racisme, Licra, Caroline Fourest, etc.) deviennent majoritaires chez les Français (ou les Suisses, ou les Allemands, ou les Britanniques, et j’en passe), l’accusation tombe d’elle-même au nom… de la démocratie ! Ca ne marche plus.

C’est donc le dévoiement des notions de racisme et de xénophobie (et inversement d’islamophobie) par les idéologues « antiracistes » qui vole totalement en éclat, ainsi que leur méthode de « reductio ad hitlerum ».

On remarquera d’ailleurs que la bombe du sondage de l’Ifop (trop d’islam, trop d’immigrés) n’a pas provoqué de tollé médiatique et de levées de boucliers, alors qu’il y a quelques années, les mêmes « antiracistes » s’inquiétaient qu’un tiers de Français trouvaient qu’il y a trop d’étrangers en France ou étaient hostiles à la religion mahométane. Pas le moindre communiqué de Dominique Sopo ou de Mouloud Aounit, vaincus par K.O. Tout comme le juriste suisse, ils font l’impasse sur leur piteuse défaite.


Le résultat probable du référendum suisse de dimanche, ainsi que le sondage de l’Ifop, et bien d’autres indicateurs démontrent tout simplement que l’idéologie « antiraciste » a été comprise, dénoncée et combattue par les peuples en toute démocratie. Il suffit par exemple de voir les réactions des internautes quand SOS-Racisme veut traquer les « comportements déviants » (sic !) dans les stades de football (3).

C’est aussi l’échec cuisant d’années de propagande, de procès staliniens, de persécutions, de « testings » déloyaux, de subornation de témoins, d’insultes, de diffamations, de chasse aux sorcières, menés le plus souvent avec l’argent des victimes contribuables via des subventions ou des officines comme la Halde.

La démocratie finit toujours par vaincre les fascismes. Elle a vaincu le nazisme et le stalinisme. Les peuples d’Europe approuvent désormais le combat contre l’islamisation, fer de lance de l’islamisme. Il est donc normal qu’elle s’oppose à l’« antiracisme ».

J’ai mis « antiracisme » entre guillemets, puisque cette idéologie n’a d’antiraciste que le nom, alors qu’elle est bien un totalitarisme aux visées paradoxalement racistes, puisqu’elle tente de museler les peuples à raison de leurs origines nationales européennes et que l’« antiracisme » qu’elle exerce est discriminatoire en refusant systématiquement de prendre en charge les racismes anti-français, anti-blancs, anti-chrétiens.

L’« antiracisme » est raciste tout comme le communisme stalinien fut nomenklaturiste, donc anti-socialiste au sens littéral, tout comme les « démocraties populaires » d’Europe de l’Est ou d’Asie sont ni antidémocratiques et antipopulaires. Les Français ne s’y trompent pas, puisque dans les réactions à l’article de RMC sur les miliciens de SOS-Racisme dans les stades, ils dénoncent majoritairement le fait que l’officine de Dominique Sopo (qui persiste à nier le racisme anti-blancs !) choisit soigneusement ses « victimes » et ses « coupables » selon leurs couleurs de peau, leurs religions ou leurs origines.

L’« antiracisme » est K.O. par l’opinion publique, et on ne peut que s’en réjouir, tout comme on se réjouit de la fin programmée de la Halde, de la faillite financière de SOS-Racisme et du Mrap et des levées de boucliers d’internautes et d’auditeurs à la moindre déclaration grotesque de Dominique Sopo, Mouloud Aounit ou Patrick Lozès.

Il restera une étape importante pour que cette bête immonde soit définitivement éradiquée : ses chefs et ses idéologues doivent être traduits devant le tribunal de l’Histoire, voire devant des tribunaux tout court, à l’instar de leurs homologues nazis, staliniens ou islamistes. Ils doivent payer au pénal et au civil pour tous leurs méfaits, et pour réparer les dommages qu’ils ont causés à leurs victimes et au peuple de France.

Roger Heurtebise

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty28/11/2010, 20:38

Un imam anglais condamné pour avoir violé une infidèle : ses groupies insultent la victime !
jeudi 25 novembre 2010, par Myriam Picard



Je veux bien croire que l’islam est une religion de paix, d’amour et de tolérance. Je veux bien m’en persuader. Je veux bien qu’on m’aide, preuves à l’appui, à m’en convaincre Mais j’aimerais aussi que l’on cesse de nous prendre pour des andouilles aveugles et sourdes. Il y a par exemple une chose formidable qui s’appelle internet, et qui m’a permis de découvrir ce matin une affaire vieille de deux ans, rapportée par le journal britannique The Sun.

L’imam Abdul Makin prêchait le respect d’autrui en termes délicats : « Allah ordonne que les musulmans tuent les infidèles et violent leurs épouses et leurs filles. Le prophète pratiquait régulièrement de tels actes sous les ordres d’Allah. Alllah dit que les non-musulmans sont des bestiaux et les plus viles créatures. Pour Allah, les non musulmans ne sont jamais des victimes innocentes ». Abdul Makin n’étant pas un sale hypocrite, il a mis ses enseignements en pratique, le saint homme. Dans son ardeur toute religieuse, il avait repéré une jolie infidèle de son quartier. Il est donc entré, une nuit, dans l’appartement de la vilaine non-musulmane, l’a menacée d’un couteau et l’a violée. Pas sot, il en a profité pour embarquer l’ordinateur portable de la demoiselle. Problème : la victime savait qui il était. Elle l’a donc dénoncé à la police. Le pieux et courageux bonhomme avait pourtant assuré ses arrières, et avant de passer à l’acte, avait convaincu sept de ses fidèles de témoigner qu’au moment des faits, il prêchait à la mosquée.

Hélas pour lui, le temps d’Aïcha est révolu ; depuis, ces crétins d’infidèles ont appris à faire des tests ADN, (je rappelle d’ailleurs à tous les gauchos qu’à chaque fois qu’il est question de test ADN, ils crient à la dictature), lesquels ont désigné Abdul Makin comme violeur, et les sept menteurs comme complices. L’imam a donc écopé de sept années et demie de prison pour viol et deux ans et demi pour complot visant à pervertir la justice. Ses copains ont pris douze mois chacun. Quant aux épouses burqabisées de ces dignes gentlemen, présentes au tribunal, elles ont – quelle surprise – crié à l’islamophobie, à l’abus de justice, et traité la victime de prostituée. Il faut reconnaître que ces gens-là ont un sens de la famille tout à fait admirable, et une conception de la vie conjugale très enrichissante.

Gageons que si c’était arrivé en France, la victime aurait été poursuivie pour racisme, et les coupables invités au 20h, après avoir été - quand même - invités à plus de discernement dans leurs dévotions religieuses. Une grosse maison d’édition aurait publié leur témoignage, titré « C’est mon viol, ma bataille. »

Cela ne s’est pas passé en Iran, au Pakistan ou en Arabie Saoudite, mais en Angleterre. Et l’histoire de France m’a appris que nos amis Anglais n’ont jamais eu grand mal à prendre un bateau pour venir taquiner notre fierté nationale. A l’ère de l’Eurostar, c’est encore plus facile. N’importe quel Abdul Makin peut sauter dans le train et venir nous molester pieusement, où que nous soyons. Et puis, nous avons-nous aussi des modèles du genre, chez nous…

J’avertis donc solennellement tous les petits malins frustrés qui décideraient d’appliquer intégralement le Coran ou la Sunna, que les filles et les femmes de France n’ont pas de prix, qu’on ne les monnaie ni pendant un échange de chameaux, ni après une guerre entre tribus, et encore moins pour plaire à Mahomet. Nos hommes à nous ne voient pas du tout les choses du même œil, et apprécieraient peu ce genre de travaux pratiques.


Je précise qu’il est évident – du moins je l’espère – que la plupart des musulmans de ce pays ont comme moi envie de vomir devant une histoire aussi sordide. Il n’empêche que si c’est le cas, à leur place, je dénoncerais violemment ces pratiques. Ca fait deux ans ; j’attends les réactions de Dalil Boubakeur, de Tariq Ramadan et de Houria Bouteldja. J’attends.

J’attends et je suis lasse d’attendre. Lasse d’expliquer aux bons apôtres de la bienpensance que le peuple (quel mot honteux) en a assez qu’on lui fasse prendre des vessies pour des lanternes. Lasse de subir les discours collabos d’irresponsables politiques qui crient à l’islamophobie quand les Suisses votent contre l’édification de minarets.

A ces islamophiles enragés, voilà ce que j’ai à dire. Je suis catholique, donc non musulmane. Je tiens à ma vie, et au respect de mon anatomie, jusqu’au moins sculptural de mes orteils. Je n’ai nullement l’intention de devenir le cobaye d’un malade qui a décidé d’appliquer des hadiths nauséabonds. Je n’ai pas non plus envie que mes concitoyennes athées, bouddhistes, protestantes, orthodoxes, hindouistes, juives, raéliennes, végétariennes ou végétaliennes subissent ce genre de traitement. Je me fous éperdument de savoir si oui ou non le viol se justifie coraniquement. Si un dévot essayait de me convaincre de cette nécessité de façon antidémocratique, un opinel ou une batte de baseball à la main, je serais enchantée de hurler très fort, de rameuter tout le quartier, et de faire un scandale à la Calamity Jane. Je ne rêve pas de vivre dans une société où, pour épargner toute stigmatisation aux islamistes, on leur permettrait de kidnapper les infidèles de ce pays, afin d’en faire des esclaves sexuelles gavées de halal et de coups de fouets.

La morale de l’histoire, c’est qu’une fois qu’Abdul Makin aura purgé sa peine, il sera traité en héros par ses fidèles. C’est que ça fait prendre du galon, de violer des infidèles. Parions que dans dix ans, il sera grand mufti, et que, une grosse montre en or au poignet, d’énormes lunettes noires sur le nez, il inondera le net, comme tant d’autres, des ses prêches haineux qui inspireront efficacement d’autres fêlés d’Occident. En attendant, il y a l’ami Oskar qui vient à Paris le 18 décembre. Comme il est beaucoup plus réjouissant et charismatique qu’Abdul Makin, je parie que c’est lui qui va gagner. Je mise cent riyals. Qui me suit ?

Myriam Picard

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty29/11/2010, 20:04

Le M.R.A.P perd le nord et la justice française retrouve sa boussole - Par Rachel Franco


Le M.R.A.P sait-il ce qu’est le racisme ? A-t-il saisi que la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, combat absolument nécessaire, ne saurait se confondre avec la devanture d’une idéologie de la confusion des valeurs respectables de toute démocratie digne de ce nom ?

Il y a fort longtemps que je ne me fais plus d’illusions sur les réelles intentions de cette organisation, qui est fort loin du vrai combat contre les discriminations raciales, puisque ses objectifs sont obscurcis par l’obsession dite « antisioniste » et qui n’est autre que de stigmatiser tous les Juifs et l’image d’Israël.

Mais voici que ce matin, je lis deux articles que je souhaite résumer pour vous et mettre en miroir.

Le premier concerne un procès intenté par le M.R.A.P, suite à un accord conclu avec la Société titulaire de la marque Banania, tendant à obtenir le retrait du slogan publicitaire du petit déjeuner Ya Bon, représentant (vous vous en souvenez ?) l’image d’un tirailleur sénégalais aux cotés de l’expression « Ya Bon ! »

Voilà donc un slogan qui serait raciste ! Dans la mesure où un accord lie les parties, à ma connaissance le Tribunal n'a pas statué sur le fond de l’affaire, mais ayant été saisi par le MRAP aux fins de dommages et intérêts à hauteur de 20 000 € par jour, ledit M.R.A.P s’est empressé de vérifier l’immédiate exécution de cet accord. Il a été débouté, et condamné, en dépit de deux constats d’huissier, et pour des motifs juridiques que je vous invite à lire ci-dessous, et qui n’ont pas d’intérêt dans ce que je souhaite développer ci-après.

Le deuxième article concerne un autre procès à venir, celui de Houria Bouteldja, Présidente des « Indigènes de la République » dans le procès pour injures raciales à l’égard des Français qu’elle a surnommés de « souchiens » (ou sous chiens) voulant parler des Français de souche. Sur plainte de l’AGRIF, le Juge d’Instruction de Toulouse lui a signifié sa mise en examen pour injure raciale.

La dame, vous la connaissez, n’est-ce pas ? J’ai visionné plusieurs vidéos du personnage et je me suis promenée dans les dédales du site « Indigènes de la République ».

Cela sent mauvais et il ne fait pas bon s’y attarder. Il y a là des relents de haine qui n’ont d’égal que la bêtise des propos qui y sont tenus. C’est d’ailleurs en ces lieux de discorde que pour la première fois j’ai lu les termes de « féminisme islamique ». J’avoue que je n’ai pas souhaité aller plus loin : il y a des associations de termes qui me donnent la nausée, tant ils sont insultants pour toutes ces femmes battues et lapidées, pendues et brûlées au nom d’un islam ravageur pour les droits des femmes.

Ainsi, pour la première fois il me semble, le phénomène du racisme anti-français est reconnu et poursuivi !

Cela ne signifie pas que le livre « Nique la France » ait été retiré des librairies, ni que la fameuse photo primée par la FNAC où un homme se torche avec le drapeau français, ait suscité une réaction judiciaire, mais enfin c’est un début, et je pourrai presque dire à ceux pour qui ce slogan évoque des souvenirs, « continuons le combat ».

Au regard de ces deux affaires judiciaires, je me demande tout de même pourquoi le MRAP n’a pas agi contre Houria Bouteldja, et puisque le choix a été de s’attaquer aux publicités de Banania, qui est une affaire montée en épingle et proprement ridicule, pourquoi n’a-t-il pas au moins le courage de rejoindre le NPA d’Olivier Besancenot, qui lui, apporte son soutien à celle qui se réclame « indigène de la République » ?

Au fait, si moi la première j’avais employé les mots « indigènes de la République », n’aurais-je pas été poursuivie pour injure raciale, venant d’un espion du Mossad qui étend ses tentacules sur le monde depuis la colonie israélienne ?!

De mon beau pays, je vous souhaite un shabbat de paix et un week-end de lumière.


Rachel Franco

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty6/12/2010, 17:58

Jakubowicz, Sopo et Sifaoui se prennent une raclée juridique dans leur procès contre les affiches « Non à l’islamisme »
jeudi 2 décembre 2010, par Roger Heurtebise



Le président du Front national Jean-Marie Le Pen a été relaxé jeudi 2 décembre par la 17ème cour du tribunal de Paris, où il était accusé d’« incitation à la haine raciale » (sic !) en raison d’une affiche « Non à l’islamisme » diffusée lors de la campagne des régionales.


Les magistrats ont donc débouté les plaignants, c’est-à-dire La Licra, SOS-Racisme et le journaliste algérien Mohamed Sifaoui. Toutefois, ils n’ont pas jugé le dossier sur le fond, mais sur la forme. En effet, ils ont estimé :
que Jean-Marie Le Pen n’était pas l’auteur de cette affiche ;
que pour ce qui concerne la diffusion de l’affiche sur des sites internet, le président du Front national n’était pas directeur de la publication ou « producteur » (sic !) de ces sites ;
que pour l’utilisation de cette affiche sur des panneaux électoraux de Marseille et alentours, le tribunal correctionnel de Paris est territorialement incompétent.

Le jugement précise que l’« affiche litigieuse » n’est pas une « affiche officielle » du Front national, mais « a été réalisée » et « est revendiquée » par le Front national de la jeunesse « qui est dépourvu de la personnalité morale », ce qui « ne saurait pour autant conférer une responsabilité » à Jean-Marie Le Pen dans la diffusion de cette affiche sur les sites internet « faisant l’objet des présentes poursuites », c’est-à-dire désignés par les plaignants. Les webmasters et les militants poursuivis par les terroristes intellectuels en tireront sans doute une jurisprudence des plus intéressantes…


On peut regretter que ce procès n’ait pas abordé le fond du problème, à savoir l’instrumentalisation de lois antiracistes par les Savonarole de SOS-Racisme, de la Licra ou du Mrap pour rétablir une sorte de délit de blasphème, évidemment uniquement quand la critique porte sur la religion de Mahomet ou ses adeptes. On se demande en effet de quel droit il ne serait pas permis en France de critiquer l’islam, et a fortiori l’islamisation, l’islamisme et leurs signes ostentatoires !

Marine Le Pen, qui s’était déplacée à la 17ème chambre pour écouter le délibéré, regrette aussi ce manque de jugement sur le fond. Elle précise : « Je trouve hallucinant qu’on envoie nos jeunes soldats combattre avec armes les talibans en Afghanistan et qu’on interdise aux responsables politiques que nous sommes de combattre les talibans et les islamistes par les mots en France. »

Mais tout de même, on ne peut que se réjouir de ce nouveau pied de nez aux idéologues « antiracistes » qui pratiquent la chasse aux sorcières, et à leur volonté de bâillonner à sens unique – c’est-à-dire d’une manière totalement discriminatoire – la liberté d’expression qui est une valeur fondamentale de notre civilisation et de notre République.

On constatera aussi l’incompétence juridique de SOS-Racisme et de la Licra, et en particulier du président de celle-ci, l’avocat Alain Jacubowicz qui ose pourtant donner des leçons de droit à tout le monde, et en particulier à Eric Zemmour.

En effet, le 8 mars 2010, la Licra avait intenté un référé à Marseille contre ces mêmes affiches, et avait été déboutée pour une erreur grossière : l’association n’avait pas élu domicile dans la ville où siège la juridiction. Quelque jour après, c’est le tribunal de Nanterre qui déboutait le Mrap… en se déclarant territorialement incompétent sur des affiches marseillaises. La Licra avait alors remis le couvert à Marseille juste avant le scrutin et avait enfin obtenu gain de cause, à savoir l’interdiction de l’affiche sous peine d’astreinte.

La Licra et SOS-Racisme n’ont tiré aucune leçon de ces deux erreurs de procédures et ont donc bêtement répété la même bêtise que celle du Mrap devant la 17ème chambre parisienne. Quant au jugement marseillais, il est sérieusement contredit par les attendus du verdict parisien : comment peut-on innocenter le Front National dans sa responsabilité sur les affiches à Paris et le mettre en demeure de les retirer à Marseille ? D’ailleurs cette contradiction choque l’UMP Patrick Gaubert, ancien président de la Licra qui déclare au JDD : « J’ai du mal à comprendre la justice. Dans un premier temps, elle décide de retirer les affiches. Maintenant, elle le relaxe ! »

Comme le Front national a fait appel contre la Licra au tribunal de Marseille, on peut espérer que les magistrats finissent par accorder leurs violons. Et pas forcément dans le sens souhaité par Patrick Gaubert…

Les groupuscules d’Alain Jacubowicz et de Dominique Sopo et leur complice algérien feront-ils appel du jugement de la 17ème chambre ? Ca paraît difficile étant donné les arguments des juges. D’ailleurs SOS-Racisme a déjà annoncé qu’il attendra un éventuel appel du parquet avant de se prononcer.

Une autre chose cocasse à noter dans le verdict de la 17ème chambre : la constitution de partie civile de la Licra et de SOS-Racisme a été jugée recevable comme associations – dont pourtant les objets sociaux se disent laïques et apolitiques ! –, mais celle de Mohamed Sifaoui a été reçue uniquement comme « personne visée directement » (sic !) On notera donc que le journaliste algérien se sent « personnellement visé » quand on critique l’islamisme, des minarets conquérants, la burka, et les T-shirts avec une France recouverte d’un drapeau algérien. C’est bon à savoir !


Il est bien loin le temps où Mohamed Sifaoui et Dominique Sopo soutenaient Charlie-Hebdo dans le procès contre les caricatures de Mahomet. Ne devraient-ils pas rebaptiser « SOS-Racisme – touche pas à mon pote » du nom de « SOS-Islamisme – touche pas à mon prophète » ou fusionner avec le Mrap islamogauchiste de Mouloud Aounit ? Quant à la Licra, on avait déjà noté sa dérive totalitaire avec l’arrivée du nouveau président Alain Jacubowicz, dont la première tête de turc fut Eric Zemmour.

Quand on consulte les réactions des internautes au verdict de la 17ème chambre à leur encontre, on constate combien ces officines sont détestées par une grande majorité de nos compatriotes. La peur change de camp. C’est tout à fait normal, quand on choisi Mahomet contre Marianne ou le mondialisme générateur de guerre civile contre les Français et leurs valeurs, quand on persécute les résistants à l’islamisme et à l’islamisation, quand on s’enferme dans le déni de réalité.

Roger Heurtebise

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty6/12/2010, 17:59

Autopsie d’un pogrom anti-chrétien, en Egypte
lundi 29 novembre 2010, par Catherine Ségurane



Les faits se sont produits les 15 et 16 novembre au village de Al Nawahed, situé à environ 290 "miles" au sud du Caire. Une foule de musulmans enragés a mis le feu à 22 maisons et boutiques appartenant à des chrétiens du village, à la suite de rumeurs selon lesquelles une jeune fille musulmane nommée Rasha aurait eu une affaire d’amour avec un jeune homme copte nommé Hossan. Les chrétiens ne réussissent pas à obtenir des autorités une enquête digne de ce nom. Ces dernières qualifient ce pogrom de "coup du destin", et soutiennent que les incendies se sont déclarés au hasard.

L’évêque de Nag Hammadi, nommé Anba Kyrillos, rejette ces explications avec indignation, et souligne les dommages causés : 22 maisons brûlées, ainsi que des boutiques, un entrepôt et du bétail. Le lendemain, nouveaux incendies, qui touchent des champs appartenant à des chrétiens et du matériel d’irrigation.

Le Procureur Général de la région vint se rendre compte des dégâts, mais il refusa d’entendre les victimes coptes, de parler aux témoins, ou même d’enregistrer le nom des suspects.

L’évêque porta plainte, avec dossier à l’appui, contre ce procureur général régional, pour avoir refusé d’étudier les charges documentées par des victimes coptes contre les auteurs musulmans qu’elles désignaient, et il demanda la réouverture de l’enquête. Durant l’attaque, des boules de feu, de l’essence et des pierres furent jetées contre les maisons coptes, et elles firent exploser des bouteilles de gaz butane. Une vidéo montre des musulmans mettant le feu à une maison copte en criant Allahou Akbar, pendant que les habitants terrifiés cherchent refuge sur le toit de la maison en feu. L’évêque accuse le maire du village, avec d’autres personnes, d’avoir planifié l’incident.

La police obligea treize famille coptes à signer des papiers "reconnaissant" que les incendies avaient éclaté au hasard, et avaient été éteints avec l’aide de la police et des habitants musulmans du village. Une victime copte de ce chantage déclare : "A-t-on jamais vu pareille humiliation ? Celui qui ne signait pas était battu. Nous avons craint d’être arrêtés, aussi avons-nous signé". Il confirma que la police connaissait les auteurs.

La communauté chrétienne du village n’a pas d’informations concernant le sort de la jeune Rasha, supposée avec son ami Hossan être "la cause" du pogrom. Hossan est toujours détenu, il a été torturé et serait soigné dans un hôpital militaire.

D’après Myriam Ragi, militante copte qui s’exprimait quelques jours après les faits, il y avait à ce moment encore des coptes réfugiés sur le toit de leurs maisons brûlées, ils n’osaient pas s’aventurer dans les rues pour chercher de la nourriture, et ils lançaient un appel au secours : "Nous nous adressons à qui voudra bien nous entendre. Nous craignons d’être tués. Tout a brûlé dans nos maisons. Nous dormons sur les toits malgré le froid."

L’évêque explique que les victimes sont de pauvres paysans, qu’ils sont traumatisés et qu’ils craignent de tomber dans une embuscade s’ils sortent, mais que la police a la situation en main.

D’après un témoin nommé Waggi Yacoub, la police relève les noms de tous les habitants mâles du village de plus de 16 ans. Il pense que ceux-ci seront arrêtés pour forcer les familles à renoncer aux poursuites en échange de leur libération. C’est une façon de procéder qui a été utilisée à plusieurs reprises par la police pour étouffer des affaires en obligeant à une fausse réconciliation au mépris des droits des victimes coptes.

D’après l’évêque Kyrillos, le schéma se reproduit maintenant de façon régulière : une affaire vraie ou fausse d’aventure amoureuse entre un copte et une musulmane entraîne des représailles sur toute une communauté. Tel était déjà le cas à Kom Ammar (Farshout), où 86 propriétés coptes ont été brûlées. A Nag Hammadi, où ont été brûlées 43 maisons et boutiques (sans parler des morts), et maintenant à Al Nawahed.

Tout ça parce qu’un jeune homme et une jeune fille se sont promenés côte à côte !

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty6/12/2010, 17:59

Islam et Occident : confrontation armée, ou coexistence pacifique ?
lundi 29 novembre 2010, par Maurice Vidal



Au vu du nombre croissant d’Occidentaux qui s’élèvent contre l’islamisation de l’Occident, et de la volonté musulmane d’imposer ses us et coutumes partout où des musulmans s’installent, on est en droit de se demander si l’islam et l’Occident ne vont point vers la confrontation armée.

Ce n’est évidemment pas l’avis de la plupart de nos intellectuels et de nos gouvernants, tous persuadés de l’enrichissement culturel que confère la nouvelle donne occidentale, et, par suite, de la coexistence pacifique qui en découle.

Il est vrai que le sens des mots « islam » et « Occident » plaident en faveur de la paix. Le mot « islam » contient le mot « salam » - qui signifie paix. L’islam est donc une religion de paix. Plus encore, c’est la paix par excellence, puisque, outre le mot « islam », l’un des noms d’Allah est « Paix », les salutations quotidiennes des humains et des anges sont « paix », le paradis est la « Demeure de la Paix », et l’adjectif « muslim » (de l’arabe moslem, « fidèle, croyant ») signifie « pacifique ».

Cette paix vaut aussi longtemps qu’il n’y a pas d’agression contre l’islam ou contre les musulmans. Si donc l’Occident se montre pacifique envers l’islam et les musulmans, l’islam ne peut qu’être pacifique envers l’Occident, c’est-à-dire envers ce « (soleil) tombant » qui ne saurait tomber sur quelque guerre que ce soit sans s’éteindre !

En conséquence, la terminologie des forces en présence semble être à même d’infirmer l’hypothèse d’une confrontation armée. Si quelque confrontation demeure, elle ne relève que du théorique, et concerne uniquement la culture occidentale dans son aptitude à prôner la « différence ».

Mais quelle « différence » ? Celle par laquelle, pour vivre en paix avec l’islam, l’Occident doit accepter l’idée que tout être humain, d’où qu’il vienne, est potentiellement musulman. Derrière chaque origine culturelle, le musulman voit à la fois la nature véritable de l’individu - c’est-à-dire sa nature première, qui est musulmane - et la nécessité de lui faire recouvrer cette nature. Partant, la plus grande preuve de paix qu’un musulman puisse donner à un non-musulman, c’est de l’inviter à embrasser l’islam. Si le non-musulman refuse, si, en l’occurrence, l’Occident fait obstacle à la paix, c’est bien que le non-musulman, comme l’Occident, ne veulent point de cette paix pour tous dont ils ne cessent pourtant de chanter les louanges !

Alors ?

Alors nous avons là, sous nos yeux, un de ces paralogismes dont les inconditionnels de l’islam sont coutumiers. Car il ne suffit pas de parler de paix pour être pacifique, la notion de paix n’ayant aucun sens indépendamment de son contenu. Or, la paix invoquée par l’islam n’a pour contenu que l’islam : elle est toujours musulmane, jamais non-musulmane. En conséquence, elle n’admet pas le « droit à la différence » - qu’elle réclame pourtant... mais pour elle seule ! C’est donc bien elle et son intransigeance qui bousculent l’Occident, jusqu’à le faire vaciller sur son socle axiologique.

Les valeurs occidentales sont laïques, démocratiques et féministes : comment ne seraient-elles pas déstabilisées par des valeurs anti-laïques, théocratiques et machistes ? Si les Droits de l’Homme sont posés comme universels, c’est bien parce qu’ils permettent à tout être humain d’être ce qu’il aura choisi d’être, et non ce que d’autres auront choisi pour lui, y compris si ces « autres » sont les Droits de l’Homme ! Certes, l’islam aussi a ses Droits de l’Homme, mais ces Droits sont dits « dans l’islam », ce qui ne laisse aucune place aux non-musulmans : dès le septième verset du Coran, les juifs et les chrétiens sont désignés à la vindicte d’Allah !

Autant dire que les Droits de l’Homme proclamés par l’islam ne sont que l’expression de la Charia, et si cette dernière est posée comme universelle, c’est parce que le monde entier est voué à devenir musulman. Tel est le sens des valeurs coraniques qui, comme telles, ne sauraient souffrir le moindre compromis.

Les Occidentaux feraient bien de se souvenir que l’islam ne doute nullement de lui, mais qu’il a besoin de la paix civile pour assurer ses conquêtes pacifiques, c’est-à-dire pour se développer le plus aisément possible en terre non-musulmane. Son souci de paix n’est donc que celui de son expansion culturelle, à laquelle il travaille sans se soucier des autres cultures, serait-ce celle du pays d’accueil.

Or, ce souci va de pair avec celui de la puissance matérielle. Voilà pourquoi les soldats de l’islam allient la spiritualité et les armes, au point de prier à côté de leur kalachnikov ! Bref, l’islam est un exemple de « realpolitik » : pour vivre en paix avec les autres, il sait qu’il est parfois nécessaire de recourir à la guerre. Nos intellectuels et nos gouvernants auraient grand tort de l’oublier !

Maurice Vidal

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty6/12/2010, 18:00

Bravo M. Rebsamem, c’est la première fois que je félicite un socialiste !
lundi 29 novembre 2010, par Manuel Gomez



BRAVO Monsieur le député RABSAMEN.
( MOTS CROISES – FRANCE2)

C’est bien la première fois que je félicite un député socialiste mais c’est également la première fois que j’entends un député, surtout socialiste, affirmer publiquement qu’il « faut envoyer l’armée (entendre les CRS) dans tous les quartiers de France interdits aux policiers, pompiers, etc. » afin d’éliminer les dealers et la racaille qui aujourd’hui y font la loi (comme le prouvent de nombreux reportages et vidéos).

Il n’y a pas d’autre solution car nous sommes en guerre contre ces gangs et si nos gouvernants ne le comprennent pas je crains le pire à venir.

Qu’importe ce que cela coûtera mais il y va du respect des lois et de la sécurité des Français.

Il est urgent d’implanter dans chaque quartier interdit une compagnie de CRS afin qu’elle rétablisse puis maintienne l’ordre républicain avec « les ordres de le faire par tous les moyens »

Si cette décision n’est pas prise nous n’échapperons pas au scénario de la légitime défense d’un policier qui se sentira menacé par une bande de hors la loi. L’alternative est simple : doit-il se laisser tabasser ou tuer afin qu’on le décore à titre posthume et que sa veuve et ses enfants soient reçus par le Président de la République ? Ou doit-il se défendre avec son arme contre cette racaille ?

Rien ne vaut une vie (Malraux) mais entre celle d’un fonctionnaire chargé de faire respecter l’ordre et un délinquant menaçant sa vie aucune hésitation n’est possible.

Au cours de cette émission Marine Le Pen réclamant la peine capitale s’est fait « brocarder » par Jean-François COPE qui estimait qu’il était un peu outrancier de réclamer la peine de mort pour les dealers et que cette peine n’était pas dissuasive. Ce n’était pas du tout le propos de Marine Le Pen mais cette peine de mort est forcément dissuasive et même si elle ne l’était pas elle nous débarrasserait de quelques assassins récidivistes et sauverait quelques vies innocentes.

Manuel Gomez

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MessageSujet: Re: riposte laique   riposte laique - Page 13 Empty6/12/2010, 18:01

Croix-Rouge / L'épouse rouée de coups puis égorgée
31 contributions Publié le samedi 04 décembre 2010 à 08H53


Hier soir, Mohammed Moulaï Hacène a été mis en examen pour homicide volontaire sur conjoint puis incarcéré à Reims.


REIMS (Marne). Le drame du parking des Bourguignons à Croix-Rouge et l'inquiétante disparition d'une mère de famille de 26 ans ne font qu'un. Hier, Mohammed Moulaï Hacène a été mis en examen pour le meurtre de son épouse, Lahouaria. De lourdes charges pèsent sur cet homme de 34 ans écroué à Reims et suspecté d'un crime barbare.

LA victime est identifiée et sa mort atroce. C'est ce qu'indiquent les résultats de l'autopsie pratiquée jeudi après-midi sur le cadavre retrouvé incendié sur le parking des Bourguignons, à Croix-Rouge. Lahouaria Moulaï, puisqu'il s'agit bien d'elle, a été identifiée grâce à une intervention chirurgicale récente.
La mort est atroce car le médecin légiste a pu déterminer qu'elle avait été rouée de coups à la tête et sur le corps. Hématome au crâne, mâchoire brisée et côtes fêlées témoignent de la violence et de l'acharnement dont a fait preuve son agresseur.

Ticket de caisse pour de l'essence

Un agresseur si enragé qu'il s'est ensuite saisi d'une arme blanche pour l'achever. Peut-être un couteau puisque la malheureuse a eu la gorge tranchée.
On sait aussi que Lahouaria est agressée entre mardi soir quand elle dépose son fils de 4 ans chez sa mère et mercredi vers 15 heures au moment où son corps est incendié sur le parking des Bourguignons, à deux pas de l'immeuble où réside sa mère. C'est à cet endroit qu'un témoin note la présence de la Renault Mégane grise de la jeune femme et relève sa plaque d'immatriculation. « Il a vu le conducteur s'affairer derrière le véhicule juste avant la mise à feu du corps », relate le procureur de la République, Fabrice Belargent.
Interpellé deux heures après au volant du véhicule par la brigade anticriminalité sur l'esplanade Paul-Cézanne, Mohammed Moulaï Hacène est placé en garde à vue. Très vite, les policiers du SRPJ soupçonnent le mari d'être impliqué dans la tragédie. D'abord parce que son épouse a mystérieusement disparu. Ensuite, parce qu'il livre un emploi du temps sujet à caution.
Mohammed Moulaï Hacène, 34 ans, affirme être resté dans leur appartement de Clairmarais jusqu'en milieu d'après-midi, soit trois heures après le départ de la jeune femme à son travail au Creps de Bezannes vers midi. Comme il nie en bloc, il n'explique pas la présence de la Mégane sur les lieux de l'incendie.
C'est d'autant plus troublant qu'« il a été vu à une station-service de Croix-Rouge », précise Fabrice Belargent. A 14 h 48, comme en atteste le ticket de caisse délivré par le pompiste. Encore plus curieux : il n'a pas mis de gasoil dans le réservoir de la Mégane mais il a acheté un bidon… d'essence.
S'il est impossible pour l'heure de déterminer où et quand Lahouaria a été tuée, on sait que son corps sanguinolent a reposé dans le coffre de sa voiture.

Beaucoup de sang dans le coffre

C'est ce que révèlent d'abondantes traces de sang détectées par la police scientifique au moyen du luminol, y compris sur la carrosserie à l'arrière du véhicule. Des traces invisibles à l'œil nu que le tueur a pris soin d'effacer dans l'espoir de ne pas signer son crime. Et c'est évidemment dans le même but que Lahouaria a été abandonnée sans vie sur le parking puis incendié.
Le mobile du crime ? Il pourrait s'agir « d'une mésentente conjugale », avance le procureur. Le couple battait effectivement de l'aile, un an après son mariage en Algérie et quatre mois seulement après que Mohammed Moulaï Hacène est venu la rejoindre à Reims.
Au mois de novembre, la jeune femme, déjà divorcée et mère d'un enfant de 4 ans, avait appelé la police à la suite d'une violente dispute. Elle avait finalement renoncé à déposer plainte avant de songer à le quitter. La piste du crime passionnel est plus que probable.

Eric LAINÉ
et Fabrice CURLIER

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