La Belle Planète Bleue

Zed a écrit:

Voilà bien là une réponse digne d'un chialeur chronique

Zed a écrit:

Tu patines mal

Sti, me fren !

De la compréhension graphique... Je veux bien, mais... Ce " mais " mabycéen.

Oufti, comme dirait Charly. Avec raison alors (et Biloulou de contresigner, copieur qu'il est).

J'avoue ne pas saisir ce message. Ce n'est pas ma façon de dessiner, d'écrire via un logiciel de dessin plutôt qu'un traitement de texte.

Sincèrement, je ne comprends pas.

435 -

Koganwel a écrit:

Sti, me fren !

De la compréhension graphique... Je veux bien, mais... Ce " mais " mabycéen.

Oufti, comme dirait Charly. Avec raison alors (et Biloulou de contresigner, copieur qu'il est).

J'avoue ne pas saisir ce message. Ce n'est pas ma façon de dessiner, d'écrire via un logiciel de dessin plutôt qu'un traitement de texte.

Sincèrement, je ne comprends pas.

Il s'agit d'une allégorie de la mort d'Alan Turing mort comme a failli mourir Blanche Neige par empoisonnement, l'arme par
destination des femmes assassines.
Ici un canard insubmersible porte sur son dos un garçonnet encasquetté façon banlieue qu'il empêche de se noyer
et d'être contaminé par l'eau de mer (qui rappelle phonétiquement le liquide amniotique dans lequel il grenouillait in utero dans sa mère).
Ce gamin symbolise l'espoir d'un avenir possible de l'espèce et de la belle Planète. Il désigne aux adultes insouciants
et inconscients du danger la vilaine sorcière qui trempe une pomme dans l'eau mortelle car elle projette de la faire
manger par Gaïa retenue prisonnière par Kratos.
La science sans conscience tue la planète, mais elle meurt avé elle dans une longue et douloureuse agonie.
Les scientifiques non lacaniens sont punis, ils n'ont aucune parole.

Enfin, je pense que c'est le sens du dessin qui va le mieux dans le sens du thème du fil.

Comme tout cela est alambiqué !

Le plus drôle est que tu as peut-être raison.

J'ai relu l'image encore, inspiré par ta lecture, et j'ai vu une sorcière moderne qui, le Progrès étant, ne se fie plus à la pharmacopée occulte de ses consœurs d'un temps jadis, mais à la générosité de la Nature maganée par les agitations humaines.

Nul besoin d'acheter de poison chimique, donc révoltant, pour enlever à un présent encombrant un avenir promis par les statistiques, la Nature y pourvoie : la banale eau d'un étang (rien de plus innocent). Qui oserait amener Dame Nature au box des accusés ? Même pas un avocat retors.

Elle aurait le dernier mot. Voilà.

Même pas un avocat retors.


Tu visais un pourtour, ou bien tu nous laisse libre de notre imagination

Pétard a écrit:

Le père Bilou parlera certainement de propagandes...

Bonjour David !

Si c'est à moi que tu t'adresses... oui, tout change, même l'inanimé, et cela depuis que le monde est monde...

Pétard a écrit:

Biloulou a écrit:

oui, tout change, même l'inanimé, et cela depuis que le monde est monde...

Comme d'habitude t'es passé à côté ( à la droite?) de la question, tes oeillères bien ajustées, le nez en vrille et toujours à genoux devant tes commanditaires...

Oui, maître bien-aimé !

Le sable, enquête sur une disparition

Mardi 28 Mai à 20h50 sur ARTE -- Documentaire réalisé par Denis Delestrac :


Béton, puces électroniques, papier, plastique, peintures, cosmétiques... le sable est une matière première présente partout, utilisée en quantité croissante par l'industrie. Celui des déserts étant impropre à la construction, les groupes du bâtiment ont longtemps exploité rivières et carrières avant de se tourner vers la mer, provoquant ce qui est en train de devenir une véritable bombe à retardement écologique. En effet, le sable joue un rôle essentiel dans la protection des côtes et l'équilibre des écosystèmes marins. Peu à peu, les conséquences de cette surexploitation apparaissent au grand jour...

Une présentation efficace et didactique d'un grave problème.

449 -

OmbreBlanche qui sent le sable chaud a écrit:

Le sable, enquête sur une disparition

Mardi 28 Mai à 20h50 sur ARTE -- Documentaire réalisé par Denis Delestrac :
Béton, puces électroniques, papier, plastique, peintures, cosmétiques... le sable est une matière première présente partout, utilisée en quantité croissante par l'industrie. Celui des déserts étant impropre à la construction, les groupes du bâtiment ont longtemps exploité rivières et carrières avant de se tourner vers la mer, provoquant ce qui est en train de devenir une véritable bombe à retardement écologique. En effet, le sable joue un rôle essentiel dans la protection des côtes et l'équilibre des écosystèmes marins. Peu à peu, les conséquences de cette surexploitation apparaissent au grand jour...
Une présentation efficace et didactique d'un grave problème.

On peut se demander où se situe le problème ? Il suffirait pour le résoudre de balancer béton, puces électroniques, papier, plastique, peintures, cosmétiques usagés à la baille et ces déchets élevés sous la mer seraient recyclés par elle en sable au bout d'un certain temps. Dans l'intervalle cette technomasse permettrait de gagner sur la mer, à condition de bien choisir les endroits car il se pourrait qu'avec ce système certaines côtes n'auraient plus la cote !