Affaire Bettencourt

Rappel du premier message :

http://www.lepoint.fr/societe/affaire-bettencourt-les-enregistrements-secrets-05-07-2010-1211175_23.php


16 pages qui nous permettent d'entrer dans la vie privée de Madame Bettencourt.

.

.

.

et les meufs, où sont-elles ?

.

.

.

Eric a écrit:

et je me disais qu'il ne manque que les copains. comme en france. a la différence près c'est qu'ici les filles prennent du plaisir même quand on les paye.

C'est vrai qu'une bonne bourre !

.

Bon appétit, Eric.... ça a l'air délicieux !

.

bon et bien maintenant que j'ai l'estomac bien rempli j'ai envie de faire dodo.

La fille de Liliane Bettencourt entendue par la brigade financière
(Article rédigé par la rédaction web i>TELE le 28 août 2013)




Françoise Meyers, la fille de Liliane Bettencourt, a été entendue fin juin par la brigade financière. Elle est soupçonnée d'avoir payé Claire Thibout, l'ancienne comptable de la milliardaire, pour que cette dernière témoigne contre François-Marie Banier et Patrice de Maistre. Notre expert judiciaire, Jean-Michel Décugis, nous livre cette info exclusive.

Jean-Michel Décugis, notre spécialiste police-justice, revient pour vous sur cette information exclusive i>TELE.

C'est lors d'une perquisition au domicile de Françoise Meyers qu'une lettre "troublante" a été découverte. Dans cette lettre, la fille de Liliane Bettencourt se dit "sensible à l'engagement" de Claire Thibout, qui lui a apporté "son concours".

Les enquêteurs se demandent aujourd'hui si cette lettre ne constitue pas un acte de corruption entre les deux femmes, alors que Françoise Meyers s'y engage à verser à Claire Thibout une somme d'argent importante de 700.000 euros, par l'intermédiaire de deux chèques de 200.000 euros et d'un prêt consenti en 2012 de 300.000 euros.

Ce rebondissement vient à point nommé pour certains protagonistes dont Patrice de Maistre et François-Marie Banier, qui ont tous deux porté plainte pour faux témoignage.

A l'évocation de cette enquête préliminaire, l'avocat de Patrice de Maistre va plus loin, estimant que Claire Thibout a "aménagé la vérité".

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Il est aisé d'imaginer jusqu'où ce qui précède, si avéré, pourra avoir comme implications...

La faute à Sarkozy, c'est sûr !

439 -

Charly, en direct du Mont Chauve a écrit:

Des cheveux tombés par paquets suite à une coloration L'Oréal

Des cheveux brûlés et qui tombent par paquets, c'est la mauvaise surprise causée à plusieurs consommatrices par la coloration Inoa Ultra Blond dont L'Oréal a suspendu la commercialisation, dénonce 60 millions de consommateurs sur son site.
Le 13 août, une coiffeuse française en congé parental applique chez elle la coloration Inoa Ultra Blond de L'Oréal Professionnel, qu'elle s'est procurée chez un grossiste en ligne.
(...)

La consommatrice lésée a reçu des excuses du fabriquant ainsi que des produits censés réparer le tort causé à ses cheveux. Elle souhaiterait cependant être indemnisée proportionnellement au préjudice subi.

Je me demande si cet incident capillo-tracté n'aurait pas un lien avé le mammouth laineux ...

Faut savoir que l'eau réale (de royale, plus souvent dite régale) est un mélange 1/3 - 2/3
d'acide chlorhydrique et d'acide nitrique utilisé pour dissoudre l'or. On perçoit intuitivement
qu'utiliser cette voie pour blondir des cheveux, matière organique, présente des risques
importants. C'est toujours très dangereux de jouer les petits chimistes en qualité d'amateur,
vous avez bien vu ce qui s'est passé en Syrie quand des P4 ont bricolé des assortiments
de produits phytosanitaires.

Ce qui est inquiétant dans cette mésaventure de colorisation de tifs c'est que dès qu'une fille
cherche à devenir artificiellement blonde elle s'expose d'entrée de jeu à figurer au palmarès
des "blagues sur les blondes authentiques". De facto la demande d'indemnisation en
devient une galéjade.

Ultra blond comment est-ce ? Platiné ?

Bonjour Eddie !  

Je vois que vous excellez aussi dans le domaine de la science.
Donc, j'ose vous demander si le processus de fabrication du blond vénitien suit cette même voie ?

Simple curiosité scientifique, je précise.

441 -

Biloulou a écrit:

Bonjour Eddie !  

Je vois que vous excellez aussi dans le domaine de la science.
Donc, j'ose vous demander si le processus de fabrication du blond vénitien suit cette même voie ?

Simple curiosité scientifique, je précise.

Je serais plus qualifié pour vous parler de la meilleure façon de concocter un roux !

La question de la fabrication du blond vénitien relève d'une des plus difficiles et
périlleuses entreprises auxquelles le genre humain ait été confronté.

Un homme est pourtant parvenu à réaliser cet esploit, il a été classé dans la catégorie
Hors Concours au Panthéon des grands hommes de courage. Il faut dire que dans son atelier il "travaillait en perruque". Un individualiste idéaliste.

A chacun son Chemin de croix...

Le blond vénitien serait apparu à la Renaissance :

certaines femmes s'enduisaient les cheveux de safran et de citron et restaient des heures au soleil

Bettencourt: la juge Prévost-Desprez poursuivie pour violation du secret professionnel
(Par LEXPRESS.fr, publié le 23/09/2013 à  14:21)



La magistrate Isabelle Prévost-Desprez est renvoyée en correctionnelle pour avoir transmis au Monde des informations confidentielles.
afp.com/Jacques Demarthon


La juge Isabelle Prévost-Desprez, accusée d'avoir transmis des informations à des journalistes du Monde, sera jugée pour violation du secret professionnel, révèle Sud Ouest.

La vice-présidente du tribunal de Nanterre  est poursuivie pour avoir communiqué en 2010 à deux journalistes du Monde des informations relatives aux auditions de deux employés de la famille Bettencourt  et à une perquisition menée au domicile de la milliardaire.  

A cette époque, la magistrate présidait la chambre d'instruction et menait des investigations pour des accusations d'abus de faiblesse visant François-Marie Banier, photographe et ami de Liliane Bettencourt.  

Les "fadettes" étudiées

Prévost-Desprez a toujours nié être à l'origine des fuites qui ont permis au quotidien du soir de relater précisément le déroulé de l'enquête.  

Mais à la suite d'une plainte déposée par Me Kiejman, avocat à l'époque de Liliane Bettencourt, les enquêteurs ont épluché les factures téléphoniques, "fadettes", de la juge et constaté l'existence de plusieurs contacts avec l'un des journalistes du Monde. La magistrate devra désormais s'en expliquer devant la justice.  

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

On se souviendra que c'est le juge Philippe Courroye qui avait identifié en la personne de Mme Mme Prévost-Desprez, présidente de la XVe Présidente du Tribunal de grande instance de Nanterre, la responsable de crimes de concussion au bénéfice du journal Le Monde. Il a été muté.
Mais les journalistes qui en ont bénéficié s'en tirent sans être inquiétés, bien entendu...  

De plus je remarque avec curiosité que c'est le "Sud Ouest" qui annonce l'inculpation de la magistrate. Vengeance entre filles ?

Ungern a écrit:

Biloulou est extraordinaire .
Il s'intéresse (dans le seul but de noyer le poisson) à des épiphénomènes de l'affaire principale (...)

Bonjour Ungern !  

Je te remercie pour ta flatteuse appréciation, mais je ne suis pas sûr de la mériter.
Quant au reste... bon, il y en a qui sont sensibles au battage médiatique pour vendre le papier noirci par leurs auteurs, construit le plus souvent autour de calomnies malintentionnées.

Quant à moi, mon parcours de vie me rend plus sensible au probable délit de concussion d'une magistrate qui a valu une mutation punitive au magistrat qui a découvert le pot aux roses, alors que des malfrats de la presse restent impunis car au-dessus des lois.

Mais j'admets parfaitement qu'il y ait d'autres sensibilités qui conduisent ceux qui les ont à d'autres appréciations des mêmes faits.

(Ta remarque sur Nuremberg est fort pertinente et il faut ne pas avoir froid aux yeux pour l'évoquer, bravo !)  

Affaire des fadettes : le CSM ne demande pas de sanction contre Courroye
(Le Nouvel Observateur avec AFP - Publié le 28-01-2014 à 08h16 - Mis à jour à 15h20)



L'ancien procureur du tribunal de Nanterre, Philippe Courroye, en septembre 2010. (WITT/SIPA) L'ancien procureur du tribunal de Nanterre, Philippe Courroye, en septembre 2010.
(WITT/SIPA)

Le magistrat est soupçonné d'avoir tenté de découvrir illégalement les sources de deux journalistes du "Monde" qui travaillaient sur l'affaire Bettencourt.

Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a considéré qu'il n'y avait pas lieu de prononcer une sanction disciplinaire à l'encontre de l'ancien procureur de Nanterre Philippe Courroye, dans un avis transmis mardi 28 janvier à la Chancellerie. Cette dernière reste libre de prononcer une sanction.

Philippe Courroye, 55 ans, et son ex-adjointe Marie-Christine Daubigney, sont soupçonnés d'avoir tenté, en septembre 2010, de découvrir illégalement les sources de deux journalistes du "Monde" qui travaillaient sur l'affaire Bettencourt.

Pour autant, dans les motivations de son avis, le CSM s'est montré très critique de l'action du magistrat, aujourd'hui avocat général près la cour d'appel de Paris.

"Pas les qualités requises pour diriger un parquet"

"Si le conseil est d'avis (...) de ne pas infliger de sanction disciplinaire à M. Courroye, il lui est apparu au vu de l'ensemble des éléments du dossier qui lui ont été soumis, que l'intéressé (...) ne disposait pas des qualités requises pour diriger un parquet", indique l'instance disciplinaire.

Clarifiant encore sa position, le CSM rappelle qu'il avait émis un avis défavorable à la nomination de Philippe Courroye comme procureur de Nanterre, en février 2007, et qu'il avait, en revanche, émis un avis favorable à sa mutation de Nanterre à Paris, en août 2012.

Cette mutation à Paris avait été demandée "dans l'intérêt du service" et était apparue alors comme une sanction.

Informé de l'avis du CSM, Philippe Courroye a "eu une réaction de satisfaction et de soulagement", a indiqué son conseil, Me Jean-Yves Dupeux.

La décision appartient désormais à la garde des Sceaux Christiane Taubira.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Rappelons que la grande faute de Philippe Courroye, mais on ne peux pas le dire tout haut, n'est pas tant d'avoir cherché à identifier les responsables des fuites organisées au bénéfice de journalistes du journal Le Monde, mais d'avoir trouvé : la juge Isabelle Prévost-Desprez, aujourd'hui poursuivie pour violation du secret professionnel.

Ungern a écrit:

Biloulou est extraordinaire .
Il s'intéresse (dans le seul but de noyer le poisson) à des épiphénomènes de l'affaire principale .
C'est comme si on reprochait au Tribunal de Nuremberg d'avoir jugé la clique allemande avec des lois à effets rétroactifs .
C'est pas ça qui les blanchirait à mon avis ...
Qu'est ce que tout ça change sur le fond ?

Biloulou a écrit:

Ungern a écrit:

Biloulou est extraordinaire .
Il s'intéresse (dans le seul but de noyer le poisson) à des épiphénomènes de l'affaire principale (...)

Bonjour Ungern !  
Je te remercie pour ta flatteuse appréciation, mais je ne suis pas sûr de la mériter.
Quant au reste... bon, il y en a qui sont sensibles au battage médiatique pour vendre le papier noirci par leurs auteurs, construit le plus souvent autour de calomnies malintentionnées.
Quant à moi, mon parcours de vie me rend plus sensible au probable délit de concussion d'une magistrate qui a valu une mutation punitive au magistrat qui a découvert le pot aux roses, alors que des malfrats de la presse restent impunis car au-dessus des lois.
Mais j'admets parfaitement qu'il y ait d'autres sensibilités qui conduisent ceux qui les ont à d'autres appréciations des mêmes faits.
(Ta remarque sur Nuremberg est fort pertinente et il faut ne pas avoir froid aux yeux pour l'évoquer, bravo !)  

À l'insu de don plein gré, Ungern fait preuve ici d'une remarquable prescience : la noyade du poisson.
Bon, le poisson qui se noye peu à peu c'est l'affaire Bettancourt, et pas ce à quoi il pense, mais bon, ça reste remarquable... 

Ungern a écrit:

Biloulou est extraordinaire .
Il s'intéresse (dans le seul but de noyer le poisson) à des épiphénomènes de l'affaire principale .
C'est comme si on reprochait au Tribunal de Nuremberg d'avoir jugé la clique allemande avec des lois à effets rétroactifs .
C'est pas ça qui les blanchirait à mon avis ...
Qu'est ce que tout ça change sur le fond ?

Biloulou a écrit:

Ungern a écrit:

Biloulou est extraordinaire .
Il s'intéresse (dans le seul but de noyer le poisson) à des épiphénomènes de l'affaire principale (...)

Bonjour Ungern !  
Je te remercie pour ta flatteuse appréciation, mais je ne suis pas sûr de la mériter.
Quant au reste... bon, il y en a qui sont sensibles au battage médiatique pour vendre le papier noirci par leurs auteurs, construit le plus souvent autour de calomnies malintentionnées.
Quant à moi, mon parcours de vie me rend plus sensible au probable délit de concussion d'une magistrate qui a valu une mutation punitive au magistrat qui a découvert le pot aux roses, alors que des malfrats de la presse restent impunis car au-dessus des lois.
Mais j'admets parfaitement qu'il y ait d'autres sensibilités qui conduisent ceux qui les ont à d'autres appréciations des mêmes faits.
(Ta remarque sur Nuremberg est fort pertinente et il faut ne pas avoir froid aux yeux pour l'évoquer, bravo !)  

Affaire Bettencourt : Isabelle Prévost-Desprez, une magistrate sur le banc des prévenus
(TF1 News avec AFP le 08 juin 2015 à 10h00 , mis à jour le 08 juin 2015 à 10h35)




A partir de lundi, Isabelle Prévost-Desprez, une magistrate du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine) va devoir répondre des accusations de violation du secret professionnel. Elle serait à l'origine de fuite dans le quotidien Le Monde

A partir de lundi s'ouvre à Bordeaux l'acte III de l'affaire Bettencourt. Cette fois-ci c'est la magistrate Isabelle Prévost-Desprez qui est sur le banc des prévenus. Pendant deux jours, la présidente de la 15e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre va devoir s'expliquer sur des fuites au quotidien Le Monde. Accusée de violation du secret professionnel, elle risque un an de prison et 15 000 euros d'amende.

La partie civile n'est autre que l'héritière du groupe de cosmétiques L'Oréal, Liliane Bettencourt, aujourd'hui âgée de 92 ans. Atteinte de la maladie d'Alzheimer, elle est placée sous tutelle.

Isabelle Prévost-Desprez est soupçonnée d'avoir fait fuiter les détails d'une perquisition au domicile de la milliardaire, le 1er septembre 2010. Le même jour, Jacques Follorou -avec qui la magistrate avait co-signé quelques mois plus tôt un livre autobiographique- relatait l'affaire dans les colonnes du quotidien du soir.

Deux SMS à un journaliste
Pour sa défense, et sans jamais nier ses relations amicales avec Jacques Follorou, Isabelle Prévost-Desprez a reconnu lui avoir adressé deux SMS le 1er septembre 2010. Le premier envoyé à 09h13, quelques minutes après le début de la perquisition, visait, selon elle, à confirmer un déjeuner avec leur éditeur. Dans le second, envoyé à 10h48, 12 minutes seulement après la mise en ligne de l'article du Monde, elle démentait avoir été présente lors de la perquisition chez Liliane Bettencourt. L'enquête n'a pas permis de retrouver le contenu de ces messages.

L'avocat de la magistrate François Saint-Pierre se veut confiant. Il a assuré que sa cliente avait "agi dans le cadre de ses fonctions, sur la base de critères purement judiciaires" avant de concéder toutefois "une certaine anxiété" chez cette mère de trois enfants, "comme chez toute personne dans sa situation".

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Toujours est-il que l'"épiphénomène" (dixit Ungern), se trouve aujourd'hui sur le banc  des accusés.
Ma main à couper qu'elle fait partie de la clique du "mur cons" (sic)