Affaire Bettencourt

Rappel du premier message :

http://www.lepoint.fr/societe/affaire-bettencourt-les-enregistrements-secrets-05-07-2010-1211175_23.php


16 pages qui nous permettent d'entrer dans la vie privée de Madame Bettencourt.

Ungern a écrit:

Non il n'y a pas encore eu "Jugement de Cassation",ce ne sont donc que des racontards ...
Déjà on a retrouvé 78 millions que la pauvre Liliane qui avait pourtant tout sa tête avait égaré ...

Heu... il y a un rapport entre les 78 millions rapatriés de Suisse (c'est de ça que tu parles, oui ?) et les chèques allégués que tu taxes de racontards ?

C'est tout des racontards .
C'est la seule explication logique .
Sauf à admettre l'évidence bien sur .

Oui, oui, bien sûr.

Et le rapport entre les 78 millions rapatriés de Suisse (c'est de ça que tu parles, oui ?) et les chèques allégués que tu taxes de racontards est ...?

(Pssst.... la Cour de cassation ne prononce pas de jugements ! )

Biloulou a écrit:

Oui, oui, bien sûr.

Et le rapport entre les 78 millions rapatriés de Suisse (c'est de ça que tu parles, oui ?) et les chèques allégués que tu taxes de racontards est ...?

(Pssst.... la Cour de cassation ne prononce pas de jugements ! )

Oui je sais fort bien,elle les "casse" ...
Ensuite il faut redescendre de juridiction .
Et recommencer la partie ...

Mais quand on sait qu'on a déjà perdu ,il vaut mieux aller "aux droits de l'homme" .

Ungern a écrit:

Oui je sais fort bien,elle les "casse" ...
Ensuite il faut redescendre de juridiction .
Et recommencer la partie ...
Mais quand on sait qu'on a déjà perdu ,il vaut mieux aller "aux droits de l'homme" .

Voilà voilà...
Et le rapport entre les 78 millions rapatriés de Suisse (c'est de ça que tu parles, oui ?) et les chèques allégués que tu taxes de racontards est...?

(Non, non, les droits de l'homme c'est obligatoirement après la cassation ou un rapport d'un avocat de cassation attestant qu'il n'y a pas lieu d'y aller)

Non,non je parlais de rejouer la partie "en appel" ...

Ungern a écrit:

Non,non je parlais de rejouer la partie "en appel" ...

Ahhhh.... ça explique tout !

Et le rapport entre les 78 millions rapatriés de Suisse (c'est de ça que tu parles, oui ?) et les chèques allégués que tu taxes de racontards est...?

et chacun y va de sa petite histoire

mais mémé a fait confiance à ses 'employés" elle ne sait même pas ce qu'elle a comme argent

50 000 euros par semaine, mais c'est pour son coiffeur, son habilleuse, ses maquilleuses ........................ c'est son argent de poche comme 50 euros pour nous.

la pauvre (enfin tout est ralatif ) à l'age qu'elle a, ils ne peuvent pas lui foutre la paix. Quelle tristesse de voir qu'elle n'a qu'une fille et qu'elles ne peuvent pas se supporter !

elle ne sait même pas ce qu'elle a comme argent


Bonjour Marie . C'est possible un petit exemple je n'ai jamais d'argent sur moi et fréquente que des endroits qui sont lié a notre société et ils nous adresse la facture qui est déduite des impôts .

Allons cher Urgern, ne soyons pas mesquin.....

Ungern a écrit:

Non,non je parlais de rejouer la partie "en appel" ...

Enfin bref, les produits L'Oréal je les ai essayé, ils ne cassent pas trois pattes à un canard. Le mieux est d'utiliser les produits neutres sans additifs. Si si, ça existe.

marieden a écrit:

et chacun y va de sa petite histoire

mais mémé a fait confiance à ses 'employés" elle ne sait même pas ce qu'elle a comme argent

50 000 euros par semaine, mais c'est pour son coiffeur, son habilleuse, ses maquilleuses ........................ c'est son argent de poche comme 50 euros pour nous.

la pauvre (enfin tout est ralatif ) à l'age qu'elle a, ils ne peuvent pas lui foutre la paix. Quelle tristesse de voir qu'elle n'a qu'une fille et qu'elles ne peuvent pas se supporter !

Mais oui,bon dieu,mais c'est bien sûr!!!
Qu'est-ce qu'on s'en fout de son pognon,c'est pas çà qui
relèvera la France.
Qu'ils aillent faire une razia à Monaco,et dans tous les autres paradis fiscaux,y en a pour plus que ce qu'elle a!!!
Ici,on veut faire un exemple.
Cà fait des années que celà dure,et c'est maintenant qu'ils
attaquent?
Qu'ils aillent à Marbella aussi

Chez les salariés de L'Oréal, les rebondissements de l'affaire Bettencourt passent mal
| 21.08.10 | 13h55 • Mis à jour le 21.08.10 | 14h40



Il est des choses qui passent mal dans les entreprises. Chez les salariés de L'Oréal, le géant mondial des cosmétiques, la révélation, au mois de juillet, de l'existence d'une convention et d'un contrat entre le groupe et Héricy, la société du photographe François-Marie Banier, proche de Liliane Bettencourt, en est l'exemple. D'un montant de 710 000 euros par an, l'accord signé jusqu'à la fin 2011 inclut un contrat de parrainage (305 000 euros) et, à hauteur de 405 000 euros, des prestations de conseil à la direction générale dans le domaine de l'art et l'organisation d'au moins une exposition d'envergure par an (Le Monde du 31 juillet). Un accord d'autant plus critiqué que les 67 000 salariés du groupe, répartis dans 130 pays, ont l'impression d'en avoir bel et bien fini avec les années d'opulence et d'être soumis à des plans de rigueur drastiques.

Les salariés de L'Oréal ? Non ! Les crétins de la CGT.


Depuis le début du spectaculaire feuilleton qui oppose Liliane Bettencourt, principale actionnaire de L'Oréal, à sa fille Françoise Bettencourt-Meyers, la direction du groupe de cosmétiques tient à se tenir à l'écart de l'affaire. Pour que L'Oréal ne soit pas éclaboussé par ce qui ne relève que d'un "conflit familial". Même s'il est devenu une bombe à fragmentation politique.

Jean-Paul Agon, directeur général, a adressé une lettre aux collaborateurs du groupe le 13 juillet. "Après les semaines de turbulences médiatiques intenses autour de "l'affaire Bettencourt" que nous venons de traverser", il leur explique la conduite à tenir s'ils sont interrogés, et leur demande de respecter un "devoir de réserve". Avec un leitmotiv : "Il s'agit d'une affaire strictement familiale et privée" qui ne "concerne pas directement la marche de l'entreprise".

Il encourage ses troupes à prêcher "le dynamisme et le succès de L'Oréal", qui permet de satisfaire des centaines de millions de clients dans le monde. "Cette affaire ne doit pas nous faire oublier que notre entreprise va bien, comme en témoigne la forte hausse du chiffre d'affaires semestriel", poursuit-il. Celui-ci a atteint 9,67 milliards d'euros, soit + 10,2 % en données publiées (+ 6,3 % à structure et taux de change identique) par rapport à la même période de 2009.

Aujourd'hui, l'impact de l'affaire Bettencourt ne semble pas vraiment tangible dans la vie du groupe, qui n'a d'ailleurs pas eu recours à un cabinet de crise. Mais jusqu'à quand pourra durer cette étonnante étanchéité entre le rocambolesque feuilleton et la marche des affaires de L'Oréal ?

"Puisque François-Marie Banier est de fait un salarié de L'Oréal, l'affaire devient une affaire L'Oréal", affirme Jean-Pierre Crayon, délégué central CGT de L'Oréal. Les représentants syndicaux de la CFDT ont, eux, bien l'intention de demander à la direction générale des éclaircissements sur le contenu exact du contrat signé avec M. Banier, lors du prochain comité central d'établissement. Ils souhaitent que Lindsay Owen-Jones s'explique sur cet accord conclu quand il était PDG de l'entreprise. Les largesses accordées au photographe passent mal.

Mais quand est-ce qu'on va se débarrasser de cette saleté de cancer qu'est la CGT ?

"Dans les sites de production en France, la productivité a augmenté de 20 % en cinq ans alors que les effectifs ont fondu d'autant, déplore-t-on à la CFDT. Il n'y a jamais de plan social, mais des départs non remplacés, des plans de cessation d'activité, une façon générale de pousser les salariés vers la porte dès qu'ils ont 55 ans." La direction conteste ces chiffres, et affirme qu'en moyenne 508 personnes ont été embauchées chaque année depuis 2005 : l'effectif dans l'Hexagone est passé de 11 420 en 2005 à 12 263 en 2009.

Des économies de tous ordres sont imposées aux salariés, qu'il s'agisse de rogner sur les voyages et le train de vie général ou du gel des embauches pendant la crise, à l'exception des jeunes cadres sortis d'écoles. Jusqu'à présent, L'Oréal a acheté une paix sociale en payant chaque année, en avril, l'équivalent de plus de trois mois de salaire en participation et en intéressement, rappelle la CFDT, qui déplore néanmoins "une dégradation des conditions de travail".

Plus de trois mois de salaire en participation et les syndicats viennent encore la ramener ! Les salariés de chez L'Oréal ne sont pas les plus mal nantis tout comme ceux de chez Total !

La CGT est plus virulente : "Les salaires augmentent moins que l'inflation", déplore M. Crayon. Il fustige "le déséquilibre dans la répartition des richesses, avec des dividendes en très forte hausse pour les actionnaires, mais trop peu de chose pour les 12 000 salariés français, alors que précisément, chez L'Oréal, il y a assez d'argent pour que tous, les actionnaires comme les salariés, soient heureux."

Les pauvres... C'est sûr ils sont bien à plaindre !


Classique querelle de chiffres, la direction affirme avoir augmenté les rémunérations de deux fois plus que l'inflation depuis 2006. Et de 4,7 % en 2009, soit un peu plus que la hausse des dividendes (+ 4,2 %). Selon la direction, la politique de distribution des dividendes (44 %) est en ligne avec la moyenne du CAC 40 (45 %).

Les syndicats admettent que L'Oréal reste l'une des seules entreprises françaises à frôler le plafond maximum autorisé en termes d'intéressement aux salariés. Quant à son attractivité auprès des jeunes diplômés, elle semble intacte.

Même si, autre effet collatéral de l'affaire Bettencourt, le passé sulfureux du groupe resurgit dans les médias. Avec les convictions d'extrême droite d'Eugène Schueller, le fondateur du groupe, ou les écrits antisémites d'André Bettencourt, le mari de Liliane. Ce sont là des faits connus. Jean-Paul Agon avait ouvert les archives de L'Oréal en 2007 à l'historien Jacques Marseille. Dans L'Oréal 1909-2009 (Perrin, 2009), il avait salué cet effort de la part d'"une entreprise qui avait finalement plus à craindre de l'ombre que de la lumière".

Nicole Vulser

Ungern a écrit:

Oui mais l'affaire c'est pas L"Oréal,
l'affaire c'est l'Oréal et le nain !

Il me semble que l'affaire est plutôt la presse et particulièrement Mediapart d'une part, la morale et la justice d'autre part...

Biloulou a écrit:

Ungern a écrit:

Oui mais l'affaire c'est pas L"Oréal,
l'affaire c'est l'Oréal et le nain !

Il me semble que l'affaire est plutôt la presse et particulièrement Mediapart d'une part, la morale et la justice d'autre part...

Bonjour Biloulou,

Cet article a été publié par le journal Le monde et non par Médiapart, j'ai oublié de préciser la source..

Je l'ai mis sur ce fil, car la CGT n'hésite pas à se jeter sur un nonos qu'ils pourraient éventuellement ronger

De plus cet article publié dans un journal de gauche, démontre que les syndicats même au sein d'une entreprise qui traite royalement ses salariés, sont toujours à essayer de semer le caca.

Bonjour Malba !

Sans aucun doute, j'ai bien lu ton article et j'arrive aux mêmes conclusions que toi en ce qui concerne notamment la CGT.
Mon commentaire se rapportait à l'affirmation grotesque sur "l'affaire Oréal et le nain".

(Les officines d'agit-prop ne chôment pas...)

Biloulou a écrit:

Bonjour Malba !

Sans aucun doute, j'ai bien lu ton article et j'arrive aux mêmes conclusions que ton en ce qui concerne notamment la CGT.
Mon commentaire se rapportait à l'affirmation grotesque sur "l'affaire Oréal et le nain".

(Les officines d'agit-prop ne chôment pas...)

Le principal,c'est que le personnel soit bien rétribué,et c'est le cas.
Le reste n'est que broutilles qui alimentent les journaleux et les forums de discussion.

L'Oreal plein pot ! Il le vaut bien, et même de plus en plus !
(Toute l'info, 26/08/2010 à 08h32)

L'Oreal a annoncé sur le 1er semestre 2010 une forte hausse de ses résultats, avec une rentabilité d'Exploitation de 17,3% du Chiffre d'affaires. La marge brute s'élève à 6.890 ME et ressort à 71,3% du chiffre d'affaires à comparer à 70,2% au premier semestre 2009 soit une amélioration de 110 points de base.

Plusieurs facteurs ont joué favorablement, notamment l'amélioration des prix de revient industriels, grâce aux gains de productivité et aux gains sur achats, la réduction des coûts liés aux stocks, des coûts de distribution physique et un effet mix positif.

En contrepartie, l'augmentation des avantages promotionnels consentis aux clients et l'évolution des parités monétaires ont eu un impact défavorable.

Les frais commerciaux et administratifs s'élèvent à 1.963 ME, ils ont vu leur poids relatif se réduire fortement à 20,3% du chiffre d'affaires, contre 21,3% au premier semestre 2009. Toutes les divisions ont contribué à cette amélioration. Le résultat d'exploitation, en augmentation de +21,4% s'établit ainsi à 1.669 ME, soit 17,3 % du chiffre d'affaires, niveau record pour un semestre.

Le coût de l'endettement financier net, à 18 Millions d'euros est en forte diminution par rapport au 1er semestre 2009. Cette forte réduction résulte à la fois de la baisse du niveau moyen de la dette et de la poursuite de la baisse des taux d'intérêt.

Le dividende reçu de Sanofi-Aventis au titre de l'exercice 2009 s'élève à 284 ME, en progression de +9,1%.

Le résultat avant impôts hors éléments non récurrents s'élève à 1.935 ME en progression de +22,3%. L'impôt sur les résultats s'établit à 522 Millions d'Euros.

Le résultat net hors éléments non récurrents part du groupe s'établit à 1.411 ME en forte augmentation de +16,5%. Le BNPA s'élève à 2,39 Euros en croissance de +15,3% par rapport au 1er semestre 2009.

Après prise en compte des éléments non récurrents, le résultat net part du groupe s'élève à 1.314 ME, en progression de +21,3%.

La marge brute d'auto-financement ressort à 1.792 ME, en progression de + 15,4% par rapport au premier semestre 2009. Le besoin en fonds de roulement a augmenté de 289 millions d'euros. Au total, le flux de trésorerie généré par l'activité (voir tableau des flux de trésorerie en annexe V) progresse fortement à 1.503 ME à comparer à 1.244 ME au 30 juin 2009, soit +20,9%.

La dette nette ressort à 1,67 Milliard d'euros au 30 juin 2010, en diminution de près de 300 millions d'euros par rapport à fin 2009. Le taux d'endettement s'élève à 11,7% des capitaux propres. La structure du bilan est très robuste avec des capitaux propres qui représentent 58% du total de bilan. Pas belle la vie ?

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Finalement... merci la pub gratuite des journaleux !

(Gratuite ? Ungern, au rapport !)

Banier n'est plus le légataire universel de la milliardaire Bettencourt



Le photographe François-Marie Banier n'est plus le légataire universel de Liliane Bettencourt, a affirmé samedi à l'AFP l'avocat de la milliardaire, Me Georges Kiejman, confirmant ce qu'il a déclaré au journal Le Monde daté de dimanche-lundi.

"Elle a compris que trop c'est trop"
C'est à la mi-juillet que Mme Bettencourt a mis fin à cette disposition, prévue dans son testament daté du 11 décembre 2007, a ajouté l'avocat. Elle a rédigé cette révocation sur une simple feuille, sans choisir de nouveau légataire et ce document papier a été remis fin juillet à son notaire Jean-Michel Normand.

L'héritière de L'Oréal "a compris que trop c'est trop qu'elle avait beaucoup donné à Banier", a déclaré au Monde Me Kiejman. François-Marie Banier est visé par une procédure pour abus de faiblesse par la fille de Liliane Bettencourt, Françoise Meyers-Bettencourt. M. Banier est accusé d'avoir profité de la fragilité psychologique de l'octogénaire milliardaire pour se faire remettre près d'un milliard d'euros de dons dans les années 1990 et 2000 (assurances-vie, tableaux...).

Tout le monde s'en mêle
Le feuilleton Bettencourt s'est enrichi cette semaine d'un nouvel épisode avec la décision du Conseil national de l'Ordre des médecins d'entendre les médecins qui entourent la milliardaire afin d'obtenir des "éclaircissements" et déterminer s'ils ont enfreint le code de déontologie. L'état de santé de Mme Bettencourt, 87 ans, femme la plus riche de France, suscite depuis des mois les avis divergents des différents protagonistes de l'affaire, en l'absence d'expertise médicale encadrée par la justice.

Son entourage affirme depuis le début de l'affaire que Mme Bettencourt "va très bien, physiquement et moralement". Françoise Meyers-Bettencourt estime que sa mère souffre de troubles neurologiques la rendant particulièrement vulnérable. (afp)


28/08/10 13h27

Je vais me mettre sur les rangs et lui demander une
entrevue en aparté.

Charly a écrit:

Je vais me mettre sur les rangs et lui demander une
entrevue en aparté.

Prends ma chaise, assieds-toi, ça va être mon tour....

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

Je vais me mettre sur les rangs et lui demander une
entrevue en aparté.

Prends ma chaise, assieds-toi, ça va être mon tour....

Non non,je suis le premier:Parce que je le vaut bien!