Journal des intérêts gastronomiques

du sieur Eddie

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10 € la bouteille, ils ne vont pas à l'abordage du marché avé le dos de la cuiller ; s'ils devaient revenir
au franc belge ils n'en vendraient pas une ramée !

ça se vend bien chez nous,c'est pas de la bibine pour les pauvres,mais ce n'est pas cher.   

Épidémie de gastro dans l'un des meilleurs restaurants au monde



C'est la deuxième fois en cinq ans qu'un établissment du prestigieux chef Heston Blumenthal est contraint de fermer.
Comme le disait le comédien Pierre Dac "le plat du jour c'est bien, à condition de savoir à quel jour remonte sa préparation". Les clients du restaurant britannique "Dinner", deux étoiles au Michelin, auraient mieux fait de se poser la question avant d'entamer leur repas gastronomique.

Dimanche dernier, les autorités sanitaires de Westminster ont annoncé avoir fait fermer pour une semaine la célèbre enseigne du chef Heston Blumenthal à la suite d'un virus de grippe intestinale, infectant 24 clients et 21 membres du personnel.

Classé septième meilleure table de la planète dans le dernier palmarès du magazine Restaurant, "Dinner" a exprimé ses regrets sur son site internet et a indiqué prendre "toutes les mesures de précaution nécessaire pour protéger ses clients". "Je pécherai toujours par excès de prudence", a déclaré Heston Blumenthal au Mail On Sunday.

"Mon but a toujours été de rechercher la perfection en cuisine et de stupéfier nos clients avec des sensations gustatives au-delà de leur imagination, plutôt que de les exposer au risque d'endurer deux jours pénibles de nausées", a ajouté le chantre de la cuisine moléculaire.

Blumenthal avait déjà connu pareil désagrément en 2009, dans son restaurant "Fat Duck" suite à une infection au "novrovirus", une bactérie responsable de gastro-entérite, des vomissements et des diarrhées. À l'époque, plus de 500 clients avaient indiqué être tombés malades et les services sanitaires avaient imputé l'intoxication à des fruits de mer contaminés ou mal cuits.

Il y a un an, le restaurant "Noma" à Copenhague, élu meilleur restaurant du monde en 2010, 2011 et 2012, avait lui aussi été touché par le "norovirus. Soixante-trois clients avaient été intoxiqués.

encore une attaque de Dieudonné ???   

Charly a écrit:

encore une attaque de Dieudonné ???   

Va savoir....


(Moi je dirais plutôt, avec un tantinet de mauvaise foi comme il se doit, la conséquence des ukases écolo du recyclage à outrance. On l'avait déjà mesuré à la vache aux prions, au poulet au PCB....)  

L'armée américaine invente la pizza qui ne périme pas
(Le Parisien - G.L. | Publié le 17.02.2014, 14h51 | Mise à jour : 17h41)



L'armée américaine a demandé à un laboratoire de mettre au point une pizza impérissable pour ses soldats partis en mission.
| (CAPTURE SIPA MEDIA/AP/STEVEN SENNE.)
 
Des chercheurs d'un laboratoire militaire du Massachusetts (Etats-Unis) ont mis au point une pizza qui ne nécessite ni réfrigération, ni congélation, rapporte l'agence Associated Press. «Vous pouvez en principe prendre la pizza, la laisser sur le comptoir, emballée, pendant trois ans et elle sera toujours comestible», explique Michelle Richardson, scientifique au centre Natick Soldier de l'armée américaine.      

La pizza est l'un des plats les plus demandés par les soldats en mission, précise la chercheuse, qui a passé deux ans à développer sa recette miracle. Chaque année, l'armée américaine sonde les soldats sur les aliments qu'ils préfèrent consommer dans les zones où il est impossible de cuisiner. Depuis que les rations dites «prêtes-à-manger» ont remplacé les conserves, en 1981, ils réclament des pizzas.

Le rôle décisif des «humectants»

Tout l'enjeu pour les chercheurs était d'éviter la migration de l'humidité du fromage, de la sauce tomate et de la garniture vers la pâte, qui favorise le développement de bactéries. Des ingrédients baptisés «humectants» - sucre, sel et sirops - se lient à l'eau et empêchent cette migration. Afin de permettre à la pizza de rester fraîche pendant trois ans et de résister à de fortes chaleurs, le laboratoire a également travaillé sur l'acidité de la sauce, du fromage et de la pâte.

Les GI n'ont encore pas pu déguster cette pizza d'un nouveau genre, pour le moment à l'état de prototype. Mais Jill Bates, qui dirige la section du laboratoire dédiée au goût, n'y aurait vu que du feu. Une différence, toutefois, avec une pizza sortie du four : celle-ci se déguste à chaleur ambiante.

VIDEO. Une pizza révolutionnaire pour l'armée américaine


Une pizza révolutionnaire pour l'armée US par SIPAMEDIA

La pizza est l'un des plats les plus demandés par les soldats en mission:shock: 



...t'as pas honte d'appeler ces làches obèses des soldats ?  

Zora232 a écrit:

La pizza est l'un des plats les plus demandés par les soldats en mission:shock: 
...t'as pas honte d'appeler ces làches obèses des soldats ?  

Ce qui me ferait honte ce serait d'insulter ceux qui se battent à en perdre la vie pour ma civilisation, pour ma façon de vivre, pour ma famille et mes amis, pour ma culture, pour mon pays, pour mon honneur et mes droits, pour mon histoire...

Tanguy Pastureau : Marc Veyrat, un chef en stage par rtl-fr

Calvados. La bière Kékette, un succès fulgurant

Les créateurs de cette joyeuse mousse, mi-belge, mi-lexovienne, n'en reviennent pas : depuis cet été, leur bière a remporté un prix international et elle devrait bientôt s'attaquer à l'Amérique !



« En un mois, nous avons dû recevoir près de 350 e-mails. Dingue... » Radios, télés, en France, à l'étranger... Le ramdam autour de la petite mousse normande, la bière Kékette, conçue par deux amis de Lisieux et de Caen, a largement dépassé les frontières. Elle est l'un des plus gros buzz de l'année.
À l'origine de cette histoire : dix petites lignes parues dans Ouest-France, en dernière page, le 19 juillet. L'article, publié sur le net, a tellement circulé que des amis de Los Angeles ont pris leur téléphone pour les féliciter.

Un succès qui fait des envieux

Depuis, la folie Kékette n'est pas retombée. 1 500 à 2 000 hectolitres écoulés, soit près de 450 000 bouteilles vendues dans le monde entier. Pour des clients à La Réunion, c'est même un conteneur rempli de palettes qui a quitté Le Havre... Des candidatures spontanées, pour être commercial pour la Kékette, ont inondé leurs boîtes mails. Brest, Nantes, Bordeaux, les commandes des patrons de bars n'ont jamais cessé depuis. « C'était de la folie, on livrait tout nous-mêmes. Cela nous arrivait de parcourir plus de 1 000 km en une journée, de 6 h le matin jusque tard le soir... »

Passionnés de bière, Pierre Pellerin et Ross Tapp, la trentaine, ne s'étaient pas préparés à cette « frénésie ». Au départ, ils expédiaient eux-mêmes les cartons par envoi postal. Vu le nombre de demandes, ils ont dû renoncer et faire appel à des distributeurs. Cela ne les empêche pas d'aller sur le terrain pour faire de nouvelles rencontres.

Comme au Mondial 2013 de la bière de Mulhouse, en septembre. Dans la catégorie dégustation, la bière Kékette a décroché la médaille d'or du public. Une petite soeur de la bière blonde, la « Kékette red », avec des arômes de cassis et fruits rouges, est sortie dans la foulée. Mais, la vraie nouveauté, c'est la Kékette de Noël, un peu plus forte (8°), mais déjà en rupture de stock.

Dans la région, le nombre de bars, de boutiques, et même de boulangeries, distribuant la bouteille, est en hausse. « À Lisieux, notre plus gros client, c'est la Sca normande (centrale d'achat des 35 magasins Leclerc de Normandie), qui a appelé quinze jours après l'article. »

Leur succès fait aussi des envieux. « Certains nous ont taxés de vouloir faire uniquement un coup marketing, alors qu'on a surtout suivi notre instinct, nos envies, et les belles rencontres faites avec des brasseurs. »

Autre critique : la bière n'est pas fabriquée en France mais à Binche, en Belgique. « Il y a de très bons brasseurs en France, mais ils ne veulent pas brasser d'autres bières que les leurs. Choisir un brasseur belge n'a pas été une décision, juste une histoire de rencontres. »

Les projets ? Des capsules imprimées, des étiquettes sur le col, et des cartons floqués du logo orangé. « On travaille aussi sur le « tri-pack », conditionné pour les grandes surfaces ». Et bientôt, la Kékette devrait déferler en Irlande et aux États-Unis.

et vous avez remarqué que sur l’étiquette il y a marqué extra large ? ...

e-délivrance a écrit:

et vous avez remarqué que sur l’étiquette il y a marqué extra large ? ...

Oui,pour les grandes gueules des français  

Concours Lépine : un boulanger sacré pour son automate de pain chaud
(leParisien.fr - Publié le 10.05.2014, 18h44 | Mise à jour : 20h08)



Le «Pani Vending» est muni d'une chambre froide pouvant stocker jusqu'à 120 baguettes pré-cuites
pendant 72 heures. Celles-ci passent ensuite automatiquement au four pour achever leur cuisson au fur et à
mesure des commandes. Le «Pani Vending» est muni d'une chambre froide pouvant stocker jusqu'à 120 baguettes
pré-cuites pendant 72 heures. Celles-ci passent ensuite automatiquement au four pour achever leur cuisson au fur
et à mesure des commandes. | LP

Aller chercher sa baguette toute chaude comme on va retirer quelques billets au distributeur, c'est désormais possible. «Pani Vending», un four automate permettant la cuisson, la distribution et la vente de pain, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, a reçu samedi le premier prix du Concours Lépine à la Foire de Paris.  

Son génial inventeur :  Jean-Louis Hecht, un artisan boulanger de 57 ans originaire de Moselle.
Ce «Géo Trouvetou» de la cuisson planche depuis dix ans sur sa création. Comment fonctionne concrètement sa divine machine ? Le «Pani Vending» est muni d'une chambre froide pouvant stocker jusqu'à 120 baguettes pré-cuites pendant 72 heures. Celles-ci passent ensuite automatiquement au four pour achever leur cuisson au fur et à mesure des commandes. Ainsi, le client est certain de récupérer un pain chaud et croustillant.

55 000 euros la machine

L'automate peut être adossé à un point de vente préexistant ou être installé comme module indépendant dans des communes dépourvues de boulangerie. Jean-Louis Hecht a déjà vendu une quinzaine de machines à ses collègues artisans, séduits par son innovation. A Savigny-sur-Orge (Essonne), une boulangerie a ainsi vendu 11 000 baguettes par cette méthode, parvenant à amortir l'investissement de 55 000 euros en moins d'un an.

Le 2e prix, le Grand Prix du Sénat, a récompensé Raoul Parienti, un grand habitué du concours Lépine. Il proposait cette année un système complet de repassage peu encombrant pouvant être encastré dans un mur derrière un miroir pivotant. Déjà 3e du concours 2013 pour son Freeway un vélo-trottinette entièrement pliable, cet ancien professeur de mathématiques, détenteur de près de 150 brevets, fut notamment le premier inventeur du téléphone micro-cellulaire utilisant une carte à puce, breveté en 1986.



Le concours Lépine passe aux inventions 2.0 par leparisien

Voici les douze meilleures bières de Wallonie



Neuf brasseries wallonnes se sont illustrées au cours de la deuxième édition du Best Belgian Beer of Wallonia. Au total, 28 brasseries du sud du pays se sont affrontées dans le cadre de ce concours bisannuel, organisé par l'Agence wallonne pour la promotion d'une agriculture de qualité (APAQ-W).



Douze bières ont été primées dans sept catégories différentes. La brasserie de Bastogne compte à elle seule trois lauréates, sa Trouffette Belle d'Eté étant désignée meilleure Blanche, sa Pale Ale faisant de même parmi les blondes, aux côtés de la Diôle (brasserie des Carrières à Basècles) et de la Hopus (Lefèbvre à Quenast), et sa brune partageant le trophée avec Saint-Feuillien dans cette catégorie.

Trois bières ambrées se partagent le titre pour cette "couleur", à savoir la Mix-Hop de Saint-Monon (Ambly), la Bush Ambrée de Dubuisson (Pipaix) et la Saison de Dottignies, brassée dans la localité du même nom par De Ranke. Cette brasserie repart de Namur avec une autre récompense, la houblonnée XX Bitter ayant été désignée par le jury comme meilleure bière aromatisée.



Les catégories blonde, brune et ambrée comptent plusieurs gagnantes, chacune s'imposant dans une sous-section établie en fonction du taux d'alcool des bières en lice.

Enfin, le meilleur stout est la Tournay Noire de la brasserie de Cazeau à Templeuve.

Dans la catégorie pils, c'est celle de Silly qui s'est distinguée des deux autres seules concurrentes.

Par province, le Hainaut sort grand vainqueur de l'événement avec sept bières primées, devant le Luxembourg (4). Les brasseries hennuyères étaient, il est vrai, bien représentées avec onze participantes sur les 28 concurrents.

Quelque nonante bières ont été dégustées par un jury de 21 membres dans le cadre de cette épreuve à laquelle ne participaient pas les bières trappistes.

un hot-dog ?

à voir jusqu'à la fin

Oui... dans la même série il y a aussi un boucherie de viande humaine...  

Ce n'est peut-être pas le topic idéal, mais Armelle, qui nous envoi ce PPS, en prend l'entière responsabilité...  

La Tongerlo Blonde élue meilleure bière du monde



L'édition 2014 des World Beer Awards a un vainqueur belge. La Tongerlo Blonde des Brasseries Haacht y a en effet décroché le prix le plus prestigieux, mentionne le site www.worldbeerawards.com. La Tongerlo Blonde pourra s'enorgueillir pendant un an du titre de "meilleure bière du monde".

Cette bière blonde titrant 6% d'alcool a émergé parmi les huit vainqueurs des différentes catégories. Parmi ces huit bières lauréates, trois sont belges: outre la Tongerlo (dans la catégorie de la meilleure bière blonde), la Malheur 12 (meilleure bière brune) et la Mort Subite Oude Geuze (meilleure bière amère).

Charly a écrit:

La Tongerlo Blonde élue meilleure bière du monde

Blonde, oui, mais... blond vénitien ?

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

La Tongerlo Blonde élue meilleure bière du monde

Blonde, oui, mais... blond vénitien ?

sûrement pas, le vénitien ça sent pas bon ,comme les canaux.
de plus,le blond vénitien,c'est de la teinture à l'ammoniaque .

Goujat ! Traiter d’ammoniaque la meilleure bière du monde !

Pierre et Ross n’étaient vraiment pas à leur coup d’essai lorsqu’ils ont lancé, en avril dernier, la Kékette, “une bière qui fait du bien là où elle passe”, comme la décrit Ross Tapp, gérant du bar Mozzies dans la bonne ville de Caen.

Voilà deux ans, les deux compères avaient déjà lancé l’Embuscade, une bière blonde agrémentée de vin blanc et d’une pointe de Calvados.

Et pour faire une bonne bière, Pierre et Ross avaient dû prendre le chemin de la Belgique, n’ayant pas trouvé leur bonheur en France.

Ils se sont finalement retrouvés un peu par hasard du côté de Binche, un endroit que Pierre et Ross, deux copains de lycée aujourd’hui âges d’une trentaine d’années, connaissaient bien pour y avoir réalisé quelques solides virées.

“Nous avions d’abord contacté la brasserie du Bock, qui nous a conseillé la Brasserie La Binchoise car elle est très compétente dans le type de bière que nous voulions réaliser”, explique Pierre Pellerin, imprimeur à Lisieux.

Et c’est lors de l’une de ces soirées disons festives que l’idée d’une nouvelle bière a germé. “Nous cherchions un nom rigolo”, se souvient Pierre Pellerin. C’est alors que la suggestion de la Kékette est sortie…

Lancée dans la région de Caen voilà trois mois, la Kékette a rapidement séduit pas mal de palais : elle est aujourd’hui distribuée du côté de Nantes et de Rennes. Et bientôt à Paris. “Si cela continue, nous allons passer à une production annuelle de 400 à 500 hectolitres.”

Le nom, bien entendu, suscite l’intérêt premier du consommateur : tout le marketing de la bière jouant bien entendu sur le nom kékette. La bière fait le reste.

Elle est par contre introuvable en Belgique, même si elle est brassée, comme l’Embuscade, par la Brasserie La Binchoise. “Nous avons quelques contacts à Namur et à Louvain-la-Neuve”, explique Pierre Pellerin.

Reste à voir si elle donnera du plaisir aux amateurs belges de bière : la Kékette a en effet été conçue pour le marché français. “Elle n’est pas trop chargée d’amertume, pour correspondre au goût français”, souligne Pierre Pellerin.

C’est en tout cas une bière blonde assez légère, tirant 6,2 degrés.

Charly a écrit:

Pierre et Ross n’étaient vraiment pas à leur coup d’essai lorsqu’ils ont lancé, en avril dernier, la Kékette, “une bière qui fait du bien là où elle passe”, comme la décrit Ross Tapp, gérant du bar Mozzies dans la bonne ville de Caen. (...)

À quand la Mélanie ?  
(De la part de Zed)

A Maroilles, on mange la plus grande flamiche du monde !
(La 3 - Par Hélène TonneillierPublié le 21/12/2014 | 19:21, mis à jour le 21/12/2014 | 19:26)



La plus grande flamiche au maroilles du monde !

Ce dimanche après-midi, à Maroilles, on réalisait la plus grande flamiche du monde, 2.80 mètre de diamètre, contre 1.90 jusque là.

L'esprit était à la fête à Maroilles, cet après-midi. Dès 17 heures, le public est venu admirer et déguster la plus grande flamiche du monde. Imaginez : 70 maroilles, le fromage odorant du nom de la ville , 1.5 kilos de beurre, 25 de farine, 50 oeufs, 15 litre de lait... !

Les cuisiniers ont étalé des rectangles de pâtes soudé les un aux autres. Le tout sous l'oeil gourmand de plus d'une centaine de personnes, massées sur le parvis de l'église, derrière des barrières, malgré le froid. Ils attendent l'une des 800 parts qui va être distribuées d'un instant à l'autre !





Record du monde de flamiche au maroilles
Un reportage d'Adèle Desachy et Frédéric Elhorga

Jusque là le record était détenu par La Cappelle. le village est donc fier de récupérer ce record.

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Pas besoin de GPS, ça devait sentir 30 lieues à la ronde...

CES 2015 : imprimer une pizza et des biscuits (vidéo)
(01net tv01net.le 10/01/15 à 15h00)





Aujourd’hui, il est possible d’imprimer sa pizza préférée grâce à une toute nouvelle machine. Son prix : 2 000 dollars (vidéo ci-dessous)





Le principe est simple. Il suffit de remplir des seringues avec des produits comestibles comme de la pâte ou de la sauce tomate. Programmez ensuite l’appareil pour imprimer ce que vous souhaitez : galettes, pizzas, biscuits, …, ainsi que la forme voulue. Attendez entre 5 et 15 minutes et passez le tout au four. Il ne vous reste plus qu’à déguster.

Japon: Un bar à lait maternel fait un carton à Tokyo
(20 Minutes avec agence - Créé le 03.02.2015 à 14:49 - Mis à jour le 03.02.2015 à 14:49)



Un verre de lait. - CLOSON/ISOPIX/SIPA


«Garçon ! Un verre de lait maternel, s'il vous plaît». La demande peut paraître saugrenue en France, mais pas au Japon. Ainsi, le Kabukicho, ou le shot de lait maternel, est la spécialité du Bonyu Bar, un café du quartier rouge de Tokyo. Une commande particulière servie par des barmaides particulières: trois jeunes mamans capables d'allaiter et toutes âgées de moins de 30 ans.

Le verre est à 2.000 yens (soit 15 euros). Mais pour 5.000 yens (soit 38 euros), le client roi peut commander une tétée (5 000 yens, 38 euros), pendant laquelle la «serveuse» choisie lui caresse consciencieusement la tête.
Le lait maternel, un médicament

Selon un journaliste du Tokyo Reporter, cité par Le Figaro Madame, la majorité des habitués du Bonyu Bar ont entre 30 et 40 ans, quelques-uns flirtent avec la soixantaine. Pour l'instant, les autorités japonaises ne verraient rien à redire à ce concept. Tant il est vrai que la consommation de lait maternel par des adultes n'est pas une nouveauté en Asie, où il est considéré comme un très bon médicament.


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Et, pour être exhaustif dans l'info :


Tanguy Pastureau : on boit du lait de femme au Japon by rtl-fr

Biloulou a écrit:

Japon: Un bar à lait maternel fait un carton à Tokyo

La suite de l'article nous permet de conclure qu'il ne s'agit pas d'un Tetra Brik.