Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter.
Merci de votre compréhension.
L'ex-gouverneur de l'Utah candidat à l'investiture républicaine
L'ancien gouverneur de l'Utah, Jon Huntsman lancera officiellement le 21 juin sa candidature à l'investiture du Parti républicain (opposition) en vue de l'élection présidentielle de novembre 2012 aux Etats-Unis.
Jusqu’à tout récemment, Jon Huntsman travaillait pour Barack Obama à titre d’ambassadeur des États-Unis en Chine. À compter du 21 juin, l’ex-gouverneur de l’Utah tentera officiellement de déloger son ancien patron de la Maison-Blanche. Ce jour-là, le républicain deviendra officiellement candidat à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2012, comme on peut le lire dans cet article.
Considéré comme un modéré, Huntsman est le fils du fondateur milliardaire de la société Huntsman, un groupe international spécialisé dans la fabrication et la distribution de produits chimiques et pétrochimiques. Âgé de 50 ans, il est le deuxième mormon après Mitt Romney à se lancer dans la campagne présidentielle de 2012.
Huntsman annoncera sa candidature au parc de la Statue de la Liberté, le même endroit où Ronald Reagan avait lancé sa campagne présidentielle de 1980.
Auteur
Message
Zed
Nombre de messages : 16907 Date d'inscription : 13/11/2008
Mon enfant ne cherche pas la mort ou l'extermination de personne, mais il a des litiges politiques avec ses copains. Un autre, sorti de nul part, décide qu'il veut détruire mon enfant (allié/ami)
Je fais quoi? Je baise (oui j'ai bien dis baise) mes yeux et regarde vers la Mecque?
Si les amis ne s'aident pas contre ces hordes de fanatique sans raisons valables, je vois plu a quoi servent des amis.
Non, tu regardes vers Washington, la Mecque du pays des fondamentalistes neocon qui veulent imposer un New World Order à la planète...
Ta phobie de l'autre t'aveugle.
C'est malheureux car ça se soigne pas.
QS: L'ennemi musulman que tu cherches à traquer, il est en Arabie Saoudite, pas en Iran... C'est là que se trouve la vermine wahhabite...
Je suis bien d'accord avec toi pour l'Arabie, mais laisserais tu l'Iran faire ces projets d'extermination?
Cette victoire ne suffira toutefois pas à combler l'écart sur Mitt Romney ...
Rick Santorum a remporté samedi une large victoire lors de la primaire organisée en Louisiane, ce qui lui permet pourtant à peine de réduire l'écart sur Mitt Romney dans la course à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle aux États-Unis. Comme prévu par les observateurs, la Louisiane est devenue le 11e État à donner sa préférence à Rick Santorum, figure du camp conservateur déjà victorieux ce mois-ci dans deux autres États du "Sud profond", le Mississippi et l'Alabama.
Mitt Romney, jugé trop modéré par une partie de l'électorat républicain, est arrivé en deuxième position, devant Newt Gingrich, qui a annoncé le maintien de sa candidature, puis Ron Paul. La participation a été faible, selon les organisateurs du scrutin. "La population de Louisiane a envoyé un message fort et clair : cette compétition est loin d'être terminée", a réagi Rick Santorum. Le scrutin organisé samedi ne distribuait que 20 des 46 délégués de Louisiane. Le reste sera attribué en juin lors de la convention de l'antenne locale du Parti républicain.
Alors que les résultats de 91 % des circonscriptions étaient connus, Rick Santorum obtenait 49 % des voix, Mitt Romney 26 % et Newt Gingrich 16 %. Si cette répartition est confirmée, Rick Santorum et Mitt Romney obtiendront des délégués mais pas Newt Gingrich. Rick Santorum reste ainsi largement distancé par Mitt Romney en nombre de délégués pour la convention d'investiture du Parti républicain, qui aura lieu fin août en Floride, à Tampa. Selon le décompte de CNN, ce dernier dispose de 563 délégués contre 259 à son rival. Il en faut 1 144 pour être désigné comme le candidat républicain qui affrontera le président démocrate sortant Barack Obama le 6 novembre. "Il est évident que la course reste ouverte", écrit Newt Gingrich dans un communiqué. "Je vais poursuivre notre campagne (...) jusqu'à Tampa."
Écran magique
La victoire remportée samedi par Rick Santorum, la septième du mois de mars, ne constitue pas une surprise. Les républicains de Louisiane comptent dans leurs rangs de nombreux chrétiens évangélistes. Cet État est aussi peuplé d'une forte communauté catholique perçue comme plus conservatrice que dans les autres États. Par contraste, ce résultat illustre les difficultés persistantes de Mitt Romney avec la frange conservatrice du Parti républicain. "Mitt Romney serait très bon pour créer des emplois mais la question de l'avortement est l'une de mes priorités", a ainsi déclaré Cheryl Stephens, une électrice républicaine de 56 ans à Monroe. Ses détracteurs reprochent à Mitt Romney d'avoir été par le passé favorable à l'avortement.
Les sondages effectués à la sortie des urnes semblent indiquer que les propos d'un collaborateur de Mitt Romney ayant comparé mercredi la campagne électorale à un écran magique ont offert un coup de pouce à Rick Santorum. Lors de leurs déplacements de campagne, Rick Santorum et Newt Gingrich ont ensuite régulièrement brandi ce jouet, symbole à leurs yeux du manque de sincérité de Mitt Romney. Dix-neuf pour cent des électeurs ont dit que ces propos avaient joué un rôle "important" dans leur vote et, parmi eux, 60 % ont voté Rick Santorum. Les prochaines consultations auront lieu le 3 avril dans le Wisconsin, le Maryland et le district de Columbia.
Des adversaires de la réforme du système de santé ont prié pour sa défaite devant la Cour suprême. (Photo AP)
Cette famille a prié et chanté des cantiques hier devant la Cour suprême, à Washington, au cours d'une manifestation contre la réforme de la santé de Barack Obama. Le plus haut tribunal des États-Unis se penchera cette semaine sur la constitutionnalité de cette loi phare du président démocrate. Photo: Mary F. Calvert,The New York Times
QS: Qu'est-ce qu'il doit jubiler notre représentant LP de l'Opus dei!
QSS: Go Santurum! Go!
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Pour une fois qu'un membre de l'Opus dei a une chance de devenir président des ÉU, faut pas la manquer!
Quoi ? Santorum membre de l'OEuvre ? J'ai des doutes, faut que je consulte mes registres...
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Les États-Unis sont-ils la nouvelle Arabie Saoudite ? Pas plus tard que fin 2013, les Etats-Unis pourraient être devenus le plus important producteur mondial d'énergie, estiment les économistes de Citi.
Les Etats-Unis sont voués à devenir, à court terme, le plus grand producteur mondial d'énergies fossiles. Crédit Reuters
Les Etats-Unis sont voués à devenir, à court terme, le plus grand producteur mondial d'énergies fossiles, s'accordent à dire les observateurs. Le seul point sur lequel ils divergent est la question du "quand". 2017 pour Goldman Sachs, fin 2013 pour Citi. La réalité est probablement quelque part entre les deux.
En tout cas, même les plus raisonnables s'accordent sur ce point : dans les huit années à venir, grâce à des progrès technologiques considérables, la production de pétrole et gaz naturel va exploser en Amérique du Nord. Aux Etats-Unis plus particulièrement, mais aussi au Canada et au Mexique. A tel point que Citi en vient à appeler la région "le nouveau Moyen-Orient".
Dans le même temps, l'Arabie Saoudite et de la Russie, qui sont actuellement les deux plus gros producteurs mondiaux, vont voir leur production se tasser, à mesure que se rapproche l'épuisement de leurs réserves, comme l'indique le graphique ci-dessous, présenté par Citi.
Cette petite révolution pour le marché mondial de l'énergie, qui pourrait bien faire enfin baisser le prix du pétrole, devrait aussi profondément bouleverser la physionomie de l'économie américaine. "Pour le mieux", assure Citi.
Dans le "meilleur des cas", estiment les analystes du groupe, le PIB américain devrait augmenter de 2 à 3,3% - c'est à dire de 370 à 624 milliards de dollars. A l'horizon 2020, le boom de l'énergie devrait avoir contribué à la création de 3,6 millions d'emplois, 600 000 directement dans le secteur de l'extraction du gaz naturel et du pétrole et 1,1 million dans l'industrie. C'est 1,1% de chômeurs en moins, note Citi. L'export d'énergies fossiles devrait permettre au pays de réduire de 80 à 90% son déficit commercial, à 0,6% du PIB en 2020 contre 3% aujourd'hui. De ce simple fait, la valeur du dollar pourrait augmenter de 1,6 à 5,4 %.
"Si notre analyse est bonne", écrivent les analystes de Citi, "alors dans à peine huit ans, l'état de l'économie américaine pourrait être à l'exact opposé de ce qu'elle est aujourd'hui". Cela pourrait même bénéficier à l'économie mondiale dans son ensemble. En effet, la domination américaine dans la production énergétique pourrait provoquer, à elle seule, la baisse de 14% du prix du pétrole. Le cours de l'or noir pourrait également baisser de 2,5% supplémentaires grâce à la réduction de la consommation d'énergie.
L'augmentation régulière des prix du baril de pétrole au cours de la dernière décennie et la dépendance accrue de l'économie occidentale face aux ressources des pays du Moyen-Orient semblent avoir malgré tout profité aux Etats-Unis. La recherche américaine s'est concentrée de manière agressive sur l'amélioration des méthodes de détection et de forage des nappes de pétrole, en réservant leur application à l'Amérique du Nord. L'administration américaine n'a jamais été dupe sur le potentiel énergétique du pays, et l'exploitation relativement limitée de ses ressources en énergies fossiles ressemble aujourd'hui, et de plus en plus, à une sage gestion. L'utilisation des nouvelles techniques de prospection au Texas, notamment, démontrent actuellement toute leur finesse.
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Le pétrole est un produit de l'histoire géologique d’une région, et particulièrement de la succession de trois conditions : L'accumulation de matière organique, végétale essentiellement ; Sa maturation en hydrocarbures ; Son emprisonnement. Ensuite, comme un gisement de pétrole est entraîné dans la tectonique des plaques, l’histoire peut se poursuivre. Il peut être enfoui plus profondément et se pyrolyser à nouveau, donnant un gisement de gaz naturel - on parle alors de « gaz thermogénique secondaire », par opposition au « gaz thermogénique primaire » formé directement par pyrolyse du kérogène. Le gisement peut également fuir, et le pétrole migrer à nouveau, vers la surface ou un autre piège. Il faut ainsi un concours de circonstances favorables pour que naisse un gisement de pétrole (ou de gaz), ce qui explique d’une part que seule une infime partie de la matière organique formée au cours des ères géologiques ait été transformée en énergie fossile et, d’autre part, que ces précieuses ressources soient réparties de manière très disparate dans le monde.
Les montagnes des Laurentides ont pratiquement un milliard d'année (ce qui corresponds presque qu'au début de la vie) et pour ce qui est du Grand Canyon (anciennement un fond marin) (dont j'ai pas l'âge exacte) Il me semble pas qu'il y ait eu des bouleversement géologique important depuis les débuts de la vie.
Si le méthane a plusieurs sources possibles, pour le pétrole il n'y en a qu'une, les matières organiques mortes.
Un autre billet lié à l'aventure électorale américaine?
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Pourquoi tu veux faire fâcher Ombre Blanche. Cette fois-ci, ce n'est pas coutume vois-tu, il a parfaitement raison et a signifié son désir qu'on s'en tienne à ce sujet dès l'écriture du titre de ce fil.
Pour l'instant, seul le prix du baril de pétrole pourrait à la rigueur être pertinent.
Dans une pub diffusée sur internet, le Comité national du Parti Repu$ tente d’exploiter la déclaration de Barack Obama à Dmitri Medvedev captée par un micro:
Mitt Romney s’est également emparé des propos de Barack Obama, comme on peut le lire dans cet article dont voici un extrait :
Citation :
«La Russie n’est pas un ami (des États-Unis) sur la scène internationale, et c’est très troublant, très inquiétant de voir ce président chercher davantage de flexibilité, et qu’il n’ait pas à rendre des comptes aux Américains pour ses relations avec la Russie», a affirmé M. Romney lundi à l’antenne de CNN.
«Je suis très inquiet, je pense que les Américains ressentiront la même chose. Voilà un président qui nous dit une chose et en fait une autre», a assuré M. Romney.
«Nous dit une chose et en fait une autre»? Hilarant, ce commentaire du M. Flip-Flopper ultime!...
Ayant promulgué au Massachusetts une réforme du système de santé semblable à celle de Barack Obama, Mitt Romney est «le pire républicain» que le GOP puisse choisir pour affronter le président démocrate.
Rick Santorum répète souvent ce raisonnement dans ses discours. C’est d’ailleurs ce qu’il a fait hier soir à Racine, au Wisconsin, sans toutefois être aussi explicite que d’habitude dans sa déclaration. Ce flou a incité le journaliste Jeff Zeleny du New York Times à lui demander s’il croyait vraiment que Romney était «le pire républicain». Dans sa réponse, l’ancien sénateur de Pennsylvanie n’a pas seulement accusé le reporter de «dénaturer» ses propos. Il a qualité son approche journalistique de bullshit (voir vidéo ci-dessus).
Loin de s’excuser pour ce mot très peu présidentiel au lendemain de l’altercation, Santorum s’est est vanté ce matin sur Fox News. «Si vous n’avez jamais utilisé de juron contre un journaliste du New York Times, vous n’êtes pas pas vraiment un républicain», a-t-il dit en pensant peut-être à l’expression «major-league assole» employée par Dick Cheney en 2004 pour parler d’Adam Clymer, un autre journaliste du Times :
Qu’à cela ne tienne, John Sununu, ancien gouverneur républicain du New Hampshire et supporteur de Romney, a estimé ce matin que l’emploi du mot bullshit disqualifiait «complètement» Santorum. Ce dernier a remporté samedi la primaire de Louisiane, un succès qu’il voudrait répéter le 3 avril au Wisconsin.
Zut, moi qui compte sur Santorum pour mener l'Opus Dei à la tête de l'Amèreloquerie!!!!!