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L'ex-gouverneur de l'Utah candidat à l'investiture républicaine
L'ancien gouverneur de l'Utah, Jon Huntsman lancera officiellement le 21 juin sa candidature à l'investiture du Parti républicain (opposition) en vue de l'élection présidentielle de novembre 2012 aux Etats-Unis.
Jusqu’à tout récemment, Jon Huntsman travaillait pour Barack Obama à titre d’ambassadeur des États-Unis en Chine. À compter du 21 juin, l’ex-gouverneur de l’Utah tentera officiellement de déloger son ancien patron de la Maison-Blanche. Ce jour-là, le républicain deviendra officiellement candidat à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2012, comme on peut le lire dans cet article.
Considéré comme un modéré, Huntsman est le fils du fondateur milliardaire de la société Huntsman, un groupe international spécialisé dans la fabrication et la distribution de produits chimiques et pétrochimiques. Âgé de 50 ans, il est le deuxième mormon après Mitt Romney à se lancer dans la campagne présidentielle de 2012.
Huntsman annoncera sa candidature au parc de la Statue de la Liberté, le même endroit où Ronald Reagan avait lancé sa campagne présidentielle de 1980.
«Nous ne laisserons pas les vérificateurs de faits dicter notre campagne.»
- Neil Newhouse, sondeur de Mitt Romney, réagissant ce avant-hier matin aux quatre «Pinocchios» attribués par le Fact Checker du Washington Post à la pub de son camp accusant Barack Obama d’avoir «éviscéré» la réforme de l’aide sociale promulguée par Bill Clinton en 1996.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Propagande républicaine en vue des élections présidentielles du 6 novembre prochain :
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Convention démocrate: Le discours de Barack Obama a déçu
de 20min.ch
Si Michelle Obama a passionné et Bill Clinton rassemblé, Barack Obama n'a pas soulevé les foules lors de son discours à la convention démocrate. Il a même plutôt déçu.
Joe Klein, spécialiste politique pour le magazine «Time», juge que la performance de Barack Obama a été meilleure que celle de son rival Mitt Romney, dont le manque de charisme a une nouvelle été remarqué lors de la convention républicaine à Tampa, en Floride.
«Il n'est pas allé jusqu'au bout»
Mais, se faisant l'écho de nombreux commentateurs, il déplore l'absence de nouvelle vision ou de nouvelles propositions au-delà d'un appel à la patience (»Il nous faudra davantage que quelques années pour résoudre des problèmes qui se sont accumulés depuis des décennies»).
«Il a reconnu des erreurs. Mais il n'est pas allé jusqu'au bout. Le discours m'a déçu et je ne sais pas exactement pourquoi. Peut- être était-ce l'absence d'éléments concrets», écrit-il. «Je m'attendais à ce qu'il dise: voilà ce qui a fonctionné, voilà ce sur quoi nous devons progresser, voilà les points sur lesquels nous devons faire différemment et voilà ce que j'espère pouvoir faire».
Sur la défensive
«Obama pense visiblement qu'il est en tête et doit simplement éviter de faire des erreurs», souligne Michael Tomasky, journaliste politique du site Daily Beast et du quotidien britannique «The Guardian». «Mais quand une équipe de football fait ce choix, il se révèle souvent catastrophique et l'équipe finit par perdre».
Sur le site du mensuel «The Atlantic», Molly Ball juge que le président sortant est resté sur la défensive avec un discours «plat». «Le président, grand orateur capable de retourner les foules en général et les conventions politiques en particulier, a offert du réchauffé», lâche-t-elle, reconnaissant que les attentes était très fortes.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Le 6 novembre prochain, les Américains décideront s’ils veulent donner un autre mandat à Barack Obama.
LE MIRACLE N’A PAS EU LIEU
Le président (qu’on a accueilli comme un Messie lors de son élection en 2008) n’est pas parfait. Il a versé beaucoup d’eau dans son vin, n’a pas livré la marchandise (l’économie du pays traîne encore beaucoup de la patte) et a déçu son électorat de gauche en se montrant beaucoup trop conciliant avec Wall Street (à la surprise générale, il a demandé à plusieurs responsables de la crise économique de joindre sa première équipe de conseillers économiques).
Comme l’a écrit le journaliste Ron Suskind dans son livre Confidence Men, Barack Obama aurait pu profiter de la situation pour réformer complètement le système financier américain et devenir le Franklin Delano Roosevelt du XXIe siècle.
Il a au contraire évité de faire des vagues et flatté les requins de Wall Street dans le sens du poil.
UN DRÔLE D’AMI
De plus, il était plutôt incongru de voir le président des États-Unis demander à Bill Clinton de lui venir en aide lors de la dernière convention démocrate.
En effet, c’est Clinton lui-même qui est en partie responsable de la crise ! C’est lui qui, en 1999, a déréglementé le secteur financier et permis aux banques de dépôt, aux banques d’investissement et aux compagnies d’assurance de fusionner, créant des géants aux pieds d’argile comme Citigroup.
Bref, Obama est loin d’être un grand Président. Mais lorsqu’on le compare au candidat républicain Mitt Romney, il y a de quoi se consoler.
En effet, pendant que le pays tente de se sortir péniblement de la pire crise économique de son histoire, les républicains, eux, perdent (encore) leur temps à discuter de Dieu et du sexe des anges…
LE PEUPLE ÉLU
Non seulement Romney a-t-il tenté de faire peur aux grenouilles de bénitiers en affirmant — à tort — que Barack Obama s’apprêtait à retirer la devise « In God We Trust » de la monnaie américaine, mais le Parti républicain a pris position pour l’interdiction pure et simple de l’avortement… même en cas d’inceste et de viol.
« Notre nation est un cadeau de Dieu, a lancé le candidat républicain. Nous, le peuple américain, avons reçu nos droits non pas du gouvernement, mais de Dieu lui-même… »
Bref, loin de prendre ses distances avec les Born Again Christians qui ont profité de l’élection de George W. Bush pour entrer dans la Maison-Blanche, l’ancien grand parti d’Abraham Lincoln continue de trébucher dans les questions morales et de flirter avec l’extrême droite religieuse.
Non, Obama n’est pas le Messie attendu. Et oui, l’économie américaine va toujours mal.
Mais entre un intellectuel allumé qui a les deux pieds sur terre et un mormon qui ne cesse de faire référence au Créateur, il me semble que le choix n’est pas très difficile à faire…
«Je rêve à un président blanc», chante Randy Newman, célèbre auteur-compositeur-interprète américain, dans une chanson satirique diffusée sur YouTube aujourd’hui. Comme on peut le lire dans cet article, Newman croit que l’opposition passionnée dont fait l’objet Barack Obama sur des questions comme le déficit et la santé cache un vieux fond de racisme au sein de l’électorat.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Newman croit que l’opposition passionnée dont fait l’objet Barack Obama sur des questions comme le déficit et la santé cache un vieux fond de racisme au sein de l’électorat.
Il n'y a meme pas de quoi se poser la moindre question. L'Amerique a retrouve de vieux relents de racisme exacerbe qui sans dire son nom, peut enfin se cristalliser sur un homme, sous de fausses excuses.
Des le debut, le bon electorat de droite, bien blanc, bien conservateur, bien religieux (du moins en public...) et bien Republicain, par la voix de ses representants a annonce que la priorite principale etait de de mettre ce type a la porte de la Maison Blanche, quelqu'en soit le prix ! Leur patriotisme (sic) s'est bien verifie par la suite vu qu'ils ont decide un blocage unilateral de toute proposition sur le moindre sujet et meme si le dit projet aurait oeuvre dans l'interet general.
Qu'il y ait eu des desaccords profonds et verbalement violents dans le passe entre les deux partis, c'est un fait, c'est la democratie. Mais jamais la haine n'avait prevalu a ce point. Obama aurait ete blanc Omo, il y a fort a parier que les passions auraient ete nettement plus moderees.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Newman croit que l’opposition passionnée dont fait l’objet Barack Obama sur des questions comme le déficit et la santé cache un vieux fond de racisme au sein de l’électorat.
Il n'y a meme pas de quoi se poser la moindre question. L'Amerique a retrouve de vieux relents de racisme exacerbe qui sans dire son nom, peut enfin se cristalliser sur un homme, sous de fausses excuses.
Des le debut, le bon electorat de droite, bien blanc, bien conservateur, bien religieux (du moins en public...) et bien Republicain, par la voix de ses representants a annonce que la priorite principale etait de de mettre ce type a la porte de la Maison Blanche, quelqu'en soit le prix ! Leur patriotisme (sic) s'est bien verifie par la suite vu qu'ils ont decide un blocage unilateral de toute proposition sur le moindre sujet et meme si le dit projet aurait oeuvre dans l'interet general.
Qu'il y ait eu des desaccords profonds et verbalement violents dans le passe entre les deux partis, c'est un fait, c'est la democratie. Mais jamais la haine n'avait prevalu a ce point. Obama aurait ete blanc Omo, il y a fort a parier que les passions auraient ete nettement plus moderees.
Oui mais, jaune vert ou black, l'économie va mal, et c'est là son talon d'achille.
Shansaa
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 02/11/2008
Oui mais, jaune vert ou black, l'économie va mal, et c'est là son talon d'achille.
Oui Zed l'economie va mal mais a moins d'etre un Messie...on ne remonte pas une telle pente en 4 ans, ni en 8 d'ailleurs, merci le predecesseur et la conjoncture mondiale. Donc j'ai bien peur que nous soyons dans la panade pour encore un bout de temps. Et ce n'est pas le programme de Romney qui nous sauvera, loin de la.
Cela dit, je maintiens tout a fait que la couleur d'Obama dicte beaucoup le ressentiment d'une partie de l'electorat. Il faut etre vraiment aveugle pour ne pas le voir.
Cela dit, je maintiens tout a fait que la couleur d'Obama dicte beaucoup le ressentiment d'une partie de l'electorat. Il faut etre vraiment aveugle pour ne pas le voir.
Je suis intuitivement plutot d'accord avec vous, Shansaa, mais alors quelque chose me frappe : Obama n'est pas noir. Il est bronzé -une demi-heure au four, mais pas plus. Quelque part, les genes honteux de sa maman se manifestent sans vergogne.
Alors une question me taraude : est-il assez foncé pour les noirs ?
Par icitte, il est assez coloré pour NE PAS être Blanc. Selon le précepte créationniste de Babouche : si, aux States s'entend, t'es pas Blanc, t'es Noir ! (Corollairement, si t'es pas chrétien, t'es du méchoui potentiel.)
Fille, tu lis trop Biloulou, semblant voir les Américains plus vertueux que ce qu'ils reconnaissent de la vertu. Surtout ces Américains, une faible proportion, dont rêvent les indigents des autres Nations - qui collectivement ont créé le veau d'or du Rêve Américain.
Fille, tu lis trop Biloulou, semblant voir les Américains plus vertueux que ce qu'ils reconnaissent de la vertu. Surtout ces Américains, une faible proportion, dont rêvent les indigents des autres Nations - qui collectivement ont créé le veau d'or du Rêve Américain.
Mais je ne parlais pas de vertu, voyons, ni d'americains, juste de la preoccupante genealogie de ce pauvre Barack.
Alors une question me taraude : est-il assez foncé pour les noirs ?
Chose certaine, ils ne le rejettent pas pour la partie blanche de son ADN, pas plus que les latinos d'ailleurs.
mais en ce qui a trait au bon électeur blanc adepte du GOP, une goutte douteuse de sang «black» est déjà de trop.
Si en plus on ajoute la partie «Hussein» de son nom, on rajoutera l'Islamophobie et l'arabophobie galopantes d'une grande proportion de la population «blanche» nord-américaine...
Si en plus on ajoute la partie «Hussein» de son nom, on rajoutera l'Islamophobie et l'arabophobie galopantes d'une grande proportion de la population «blanche» nord-américaine...
Qu'est ce que tu appelles "grande" ? Parce que si les faces de craie -genre moi, mais en moins beaux- etaient tous contre Obama, je doute qu'il ait pu etre élu. Tous ces blancs à ses meetings seraient donc des taupes ? Et je serais la seule à les avoir reperées ?
Si en plus on ajoute la partie «Hussein» de son nom, on rajoutera l'Islamophobie et l'arabophobie galopantes d'une grande proportion de la population «blanche» nord-américaine...
Qu'est ce que tu appelles "grande" ? Parce que si les faces de craie -genre moi, mais en moins beaux- etaient tous contre Obama, je doute qu'il ait pu etre élu. Tous ces blancs à ses meetings seraient donc des taupes ? Et je serais la seule à les avoir reperées ?
Mab, agent surpuissant
Grande veut dire grande, pas majorité. C'est quoi ce problème de comprenure?
Par contre, t'as vu autre chose que des faces de craie lors de la convention républicaine?
Grande veut dire grande, pas majorité. C'est quoi ce problème de comprenure?
Il parait justement que lorsqu'on ne comprend pas pas, il faut poser la question. Si j'avais directement tiré les conclusions que je croyais deviner, tu m'aurais volé dans les plumes en braillant des coin-coins du style "Quand on n'est pas sure, môdame, on se renseigne et gnégnégné". La, tu grognes parce que j'ai demandé.
Alors je ne sais pas comment sont les blancs aux USA, mauis au Canada, j'en connais de foutus penibles.
Alors je ne sais pas comment sont les blancs aux USA, mauis au Canada, j'en connais de foutus penibles.
Mab -non mais*-
* Je l'ai dejà dit, non ?
Je grognais pas, je constatais. Si je m"étais mal exprimé à prime abord, je suis désolé. Je note cependant que ta réaction semble encore plus explosive que la mienne...
Mais bon... T'as beau. Parait que pour quelques temps encore, la France est toujours un pays libre bien que sur le point de tomber sous la férule de la charia.
Parait que pour quelques temps encore, la France est toujours un pays libre bien que sur le point de tomber sous la férule de la charia.
Ca, ça m'etonnerait. Les salafistes en France aimeraient bien vivre ailleurs. Pas de burka, le halal fait froncer les sourcils, les passe-droits pour question de religion (canine, sport...) ont de moins en moins la côte -oui, on prefere desormais le bio et le local pour nos chers petits-, on leut pourrit la vie à ces pauvres abrutis.
Bon, il y a bien encore des profs d'histoire qui mouille un peu leur pantalon en abordant certains chapitres, mais les baffes sur enseignants ne sont pas en augmentation.
Contrairement à Kog, j'ai le sentiment que l'islam se debat plus qu'il ne convainc. Les intellectuels musulmans sont de leur epoque, ils ne souffrent que de l'ignorance de leurs freres en religion, pas d'une maladie de proselytisme. Par contre, côté politique, le monde musulman propose une sacrée brochettes de tarés qui ne connaissent de valable que leur religion... Ils sont horriblement mal vus en Europe.
Alors effectivement, la gauche ne rassure pas les gens du cru, mais on l'ecoute fort peu, on ets surtout content de ne plus avoir le Petit Nicolas matin midi et soir à la radio, la télé, sur le net et dans les journaux; il faut dire que lorsqu'elle -la gauche au pouvoir et qui ne sait visiblement qu'en faire...- pretend qu'un journal satirique devrait se taire pour ne pas exciter trois imbéciles et deux tordus, elle oublie qu'en proposant le vote des etrangers, elle secoue au moins autant la société française, et que celle ci le possede dejà... le droit de vote.