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 L'orientalisme comme art de vivre ...

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andre
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andre

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MessageSujet: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty28/8/2011, 11:36

Rappel du premier message :

Il viendra un temps où la terre sera bien ennuyeuse à habiter, quand on l’aura rendue pareille d’un bout à l’autre, et qu’on ne pourra même plus essayer de voyager pour se distraire un peu... Je fis ce jour là, vers six heures, un mouillage très bruyant, au milieu d’un tas de navires qui étaient là, et tout aussitôt je fus envahi. Envahi par un Orient empressé qui arrivait vers moi à pleine barque, à pleine jonque, comme une marée montante : des hommes et des femmes sublimes m'observant en longue file ininterrompue, sans cris, sans contestations, sans bruit, chacun avec une révérence si souriante. Sur leur dos ils apportaient tous des petits paniers, des petites caisses, des récipients de toutes formes, inventés de la manière la plus ingénieuse pour s’emboîter, pour se contenir les uns les autres et puis se multiplier ensuite jusqu’à l’encombrement, jusqu’à l’infini; il en sortait des choses inattendues, inimaginables; des paravents, des souliers, du savon, des lanternes, des cigales en vie chantant dans des petites cages, de la bijouterie et des souris blanches apprivoisées, des soupes et des ragoûts dans des écuelles, tout chauds et tout prêts à m'être servis par portions. Là aussi des porcelaines, des légions de potiches, de théières, de tasses, de petits pots et d’assiettes ... En un tour de main, tout cela, déballé, étalé par terre avec une prestesse prodigieuse et un art de l'arrangement convenu. Chaque vendeuse accroupie à la singe, les mains touchant les pieds, derrière son bibelot et toujours souriant, toujours cassée en deux par des révérences à mon endroit. Et moi très amusé, très en gaîté, piétinant dans les tas, prenant les mentons des marchandes, achetant de tout, semant à plaisir mes piastres blanches ...

L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Baie-d-halong
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andre




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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty17/9/2011, 10:03

Souvenirs de Chine ...

Ce matin-là, le temple taoïste Wong Tai Sin baignait dans des effluves d'encens qui me prenaient à la gorge. Les fidèles en grand nombre étaient agenouillés face au temple, brassant de mystérieux bâtonnets dans des cylindres en bambou dont le son se répercutait sur les parois irrégulières du temple. Instinctivement, j'avais toujours coutume de m'intégrer à ces rituels collectifs et alors même que je manipulais avec maladresse les mystérieux oraculaires, j'ai croisé le regard de Yen. Je suis resté muet comme foudroyé par l'apparition d'une telle beauté, pétrifié par l'indéfinissable trouble qui m'envahit soudain.

D'une voix incroyablement douce, elle me dit simplement : " If you wish, tonight we meet at home ... "

Cela fut comme une prière, il n'y avait pas d'intonation significative laissant percevoir un racolage amoureux, il s'agissait d'autre chose, d'un rendez-vous mystérieux que son attitude dissimulait à peine et dont je ne pouvais soupçonner l'ampleur. J'ai compris que j'aurais alors droit à l'interprétation des présages de l'oraculaire. Elle se leva calmement, et sans autre mot elle disparut silencieusement à l'extérieur du complexe religieux, elle avait laissé tomber un minuscule papier. Je ramassai le papier, c'était son adresse.

Le soir même alors que je cherchais cette adresse au milieu d'enseignes multicolores illuminant le ciel et du brouhaha indescriptible marquant le congé dominical de travailleuses philippines dans un pathétique rituel, mon coeur sautait d'impatience dans Hong Kong à l'idée de retrouver enfin Yen. Bien sûr les magnifiques jonques des temps anciens avec leurs grandes voiles rouges ont disparu de la rade mais les Tankas, ces mystérieux "boat people" couvrent toujours les plans d'eau dans leurs jonques immobiles, garées à l'écart des lumineux restaurants flottants.

J'étais envahi d'un malaise indéfinissable. Ce n'était pas physique, j'avais plutôt l'âme sans dessus dessous. J'étais euphorique à l'idée de revoir Yen et je sentais une certaine passion incontrôlable à l'idée d'être près d'elle, de subir le charme de ses yeux, de la toucher peut-être. Je n'avais pas l'impression de me rendre à un rendez-vous galant. J'avais un sentiment d'excitation mêlé d'une certaine crainte, une espèce d'euphorie précédant l'accomplissement d'un grand exploit, d'un rituel initiatique ou le viol d'un tabou. C'était cela, je crois, comme si j'allais assister à un rituel jusque là inconnu de moi. Et je revoyais inlassablement ces étranges talismans qui m'avaient sidéré sur le parvis du temple Wong Tai Sin, les yeux mystérieusement bridés de Yen. J'avais l'impression de rêver, voyageur égaré par hasard aux confins de l'Asie, et qui s'apprêtait à pénétrer une nouvelle fois les mystères de l'Orient. J'imaginais déjà voir apparaître Yen dans son cheongsam tout blanc. Mon coeur battait d'impatience je le sentais, j'allais vivre un moment de complète transcendance.

Je m'avançai enfin vers l'endroit indiqué. Il y avait une petite porte qui menait au fond d'une cour. J'ouvris la porte avec hésitation, c'était une petite pièce sombre et inquiétante, des objets hétéroclites, des restes de nourritures jonchaient les meubles et planchers. J'aperçus au bout de la pièce et en contrebas de celle-ci, une étrange lumière qui filtrait à travers les persiennes d'une porte diminutive. L'inquiétude me gagna, je n'avais pas imaginé une rencontre avec la belle et mystérieuse Yen dans un endroit aussi sordide. Mon coeur battait. Je ressentais une sorte d'angoisse, une crainte indéfinissable, mais une pulsion me poussait vers l'aventure. Je ne savais plus si j'allais à la rencontre de Yen ou si j'étais victime d'une étrange conspiration asiatique, dans les méandres de la Triade, la pègre chinoise. Soudain une étrange lumière blanche me frappa au visage. La pièce était basse, de sorte qu'il me fallait m'y déplacer sur mes genoux. Je n'apercevais au premier abord rien de précis, l'étrange lumière blanche enveloppait les objets d'un halo qui leur donnait un contour imprécis. Je me glissai doucement à l'intérieur de la pièce en me déplaçant lentement et en tentant d'habituer mes yeux à cette étrange lueur. Les détails de la pièce se précisaient.

Il n'y avait pas de meubles. J'apercevais quelques caisses empilées, des objets disséminés ici et là puis dans un coin de la pièce, un petit autel rouge et or dédié je crois à Tien-Hau la déesse de la mer où brûlaient des bougies qui projetaient des ombres mystérieuses sur les objets, sur une forme humaine d'une totale blancheur, dépouillée de tout vêtement, étendue nonchalamment à même les planches rustres du plancher et qui se confondait étrangement à la lumière ambiante. C'était Yen qui me fixait de ses yeux perçants. Elle était immobile, impassible, comme une offrande à une insatiable déité. Je m'approchai jusqu'à la toucher. Ses grands yeux étaient empreints d'une certaine tristesse, son regard sur moi était comme celui d'une chatte. Sans me quitter des yeux, elle glissa lentement le long de mon corps, dégageant les encombrants tissus qui m'emprisonnaient jusque là; avec des gestes d'une extrême lenteur elle touchait mes chairs de ses doigts délicats qui glissaient sur ma peau avec précision faisant vibrer tous mes sens. Avec une délicatesse indescriptible, elle semblait les préparer ainsi à un cérémonial inexplicable. Lorsque je fus totalement nu, elle me renversa délicatement sur le sol et lentement, avec une maîtrise insoupçonnée, elle entreprit d'explorer toutes les parcelles de mon corps se servant pour cela de ses doigts, de ses lèvres, de sa langue, de ses dents. Dans une succession d'étapes, elle explorait ainsi toutes les cellules de mon corps, les aspérités de mon visage, mordillant, léchant, aspirant mon nez, mes paupières, ma langue, croquant mes chairs, mon thorax, titillant mes fragiles papilles, faisant glisser son corps sur mon corps, aspergeant mon plexus solaire d'une salive onctueuse, faisant frissonner mes chairs, et gonfler mon sexe qui allait se buter provoquant et hautain sur son corps, sur toutes les parcelles de son corps, son corps élastique qui se lovait avec dextérité en une lente translation vers le bas.

Tout le temps de ce voyage initiatique, ses étranges yeux bridés n'avaient pas quitté mes yeux les fixant avec une insistante provocation. Je la voyais lentement disparaître sous ses cheveux noirs qui s'accrochaient comme des larves à mes chairs humectées, glissant lentement, inexorablement vers mon sexe rigide et combatif comme un serpent venimeux. Elle s'empara doucement de mon sexe et le glissa calmement dans sa bouche, le manipulant d'un mouvement de va-et-vient lent et régulier, ses yeux toujours fixés à mes yeux, elle attendait avec grâce et détermination l'expulsion subite du venin dans sa bouche largement gonflée d'air. J'avais perdu le sens des lieux, de la situation, mon corps explosait comme le mont Taichan et se vidait de ses laves chaudes et visqueuses, les cris qui sortaient de mon thorax emplissaient l'espace et se réverbéraient sur mes fragiles tympans. Cela dura une éternité, je sentais toujours la douce chaleur de sa bouche maintenant immobile qui couvait mon sexe en plein débordement, les yeux de Yen disparaissaient sous mes yeux, je m'endormais calmement dans une inexplicable agonie, j'allais je le sentais succomber avec bonheur à la torpeur d'où je n'espérais plus renaître.

A mon réveil, Yen avait disparu et je me résignai à reprendre un sampan pour rejoindre mon hôtel.
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andre

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty17/9/2011, 11:38

Cette rencontre magique avec Yen m'invite à constater que l'éphémère peut être éternel ...
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Zed

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty17/9/2011, 11:48

Biloulou a écrit:
Mara-des-bois a écrit:
Biloulou a écrit:
Il y a des perverses sans coeur qui mériteraient être les deux...
Tu serais pret à perdre une des rares femmes de Libres Parlotes ?
Tu preches pour un forum gay, dis voir...
Mab
J'ai pas dit une femme-tronc, quand même... Razz

(Et Roselyne, ça compte pour des prunes ?) Laughing



Quand il parle de femme-tronc, il fait référence a ta blondeur. Neutral


C'est un filou ce Biloulou Twisted Evil
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Zed

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty17/9/2011, 11:55

andre a écrit:
Cette rencontre magique avec Yen m'invite à constater que l'éphémère peut être éternel ...



Ce qu'il y a de bien avec l'effet-mère, c'est que ça repositionne la femme geek

Tu m'as né pour finalement ne plus être Rolling Eyes
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Biloulou

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty17/9/2011, 12:09

andre a écrit:
Cette rencontre magique avec Yen m'invite à constater que l'éphémère peut être éternel ...
Comme quoi la monnaie japonaise ne laisse pas de jade les matérialistes éperdus d'orientalisme....
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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty17/9/2011, 13:29

Biloulou a écrit:
andre a écrit:
Cette rencontre magique avec Yen m'invite à constater que l'éphémère peut être éternel ...
Comme quoi la monnaie japonaise ne laisse pas de jade les matérialistes éperdus d'orientalisme....

La seule monnaie qui circula entre Yen et moi ce soir là, fut celle de mon charme personnel. Yen n'eut pas besoin de dollars HK ou de yuans pour se donner ainsi comme elle le fit sans réserve.
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andre

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty18/9/2011, 08:37

Ma première rencontre avec Tey ...

En Asie plus que partout ailleurs, l'être humain est de toutes les choses la plus précieuse. Ma rencontre avec Tey s'est inscrite immédiatement dans l'excellence et j'ai senti dès notre première rencontre que le Yin et le Yang avaient décidé de nous apporter à l'un et à l'autre l'exquise sensation de l'intemporalité.

Ce jour là, ce qui aurait pu être une simple méprise, une improbable impasse se transforma en moments d'une rare intensité.

Alors que j'étais un peu songeur au bar de mon hôtel ce que je pris d'abord pour une très jeune femme vint s'asseoir à une portée de regard. Sa jupe très courte découvrait des jambes nues interminables et parfaitement galbées. J'eus, presque par réflexe, la certitude qu'il allait se passer quelque chose de beau entre nous. La barmaid répondit à mon ordre et en silence prépara un bloody mary parfaitement ordonné et décoré d'une tige de céleri et d'une rondelle de citron à l'attention de cette inconnue. Le choix du bloody mary que je tins à offrir à Tey fut-il prémonitoire en ce qu'il comporta cette tige et cette rondelle ? Je l'ignore encore.

Tey porta avec élégance ce brevage à sa bouche d'une beauté presque enfantine et d'une sensualité inouie et m'offrit un sourire juvénile et un léger mouvement de la main pour me remercier. Très vite, nous nous retrouvâmes dans l'ascenseur qui conduisait à ma chambre au troisième étage de cet hôtel renommé et à l'ambiance très feutrée, presque britannique. Déja aiguisé, je serrais sa fine taille et j'esquissais des caresses discrètes sur ce précieux corps en murmurant des mots d'amour.

Si tôt arrivés dans la chambre, Tey disparut dans la salle de bain pour réapparaître 7 ou 8 minutes plus tard. J'étais moi-même bien sûr déjà nu sur ce grand lit qui allait devenir la scène de notre nuit d'amour. Quelle ne fut pas surprise lorsque je vis apparaître devant moi non pas une jeune femme sensible mais un jeune androgyne asiatique !

Avec précision, Tey s'approcha de moi afin de saisir ma tige de Jade, déjà dure comme jamais, de sa main droite tandis que ma main gauche explorerait déjà ce corps différent au sexe solide et droit.

C'est à califourchon sur moi étendu sur le drap de soie que Tey vint s'installer pour me oindre le corps de sa bouche sensuelle avant de frotter ses muqueuses sur les miennes. Je retardais la pénétration pour profiter pleinement de ces instants d'exception car ce mélange d'innocence ingénue et de grande expérience avait attisé ma convoitise pour ce que je crus être une jeune femme une heure plutôt au bar de cet hôtel.
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chat noir

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty18/9/2011, 08:54

.
Ah!!!! ces hotels où ils se passent tant de choses mystérieuses
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Lawrence

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty18/9/2011, 09:17

chat noir a écrit:
.
Ah!!!! ces hotels où ils se passent tant de choses mystérieuses




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N'oublie pas d'entendre le valet d'étage ce soir au 20.00h !!!!
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andre

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty18/9/2011, 12:25

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty18/9/2011, 12:29

chat noir a écrit:
.
Ah!!!! ces hotels où ils se passent tant de choses mystérieuses

Tu voulais sans doute dire : "Ah, ces hotels de passe où s'enchosent tant de miss rieuses !" ?



Mab
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EddieCochran
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EddieCochran


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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty19/9/2011, 01:21

85 -

andre se forgeant une devise a écrit:
....
La seule monnaie qui circula entre Yen et moi ce soir là, fut celle de mon charme personnel.
Yen n'eut pas besoin de dollars HK ou de yuans pour se donner ainsi comme elle le fit sans réserve.

Rien d'aussi efficace que de prendre langue avé une experte du cru en matière de pompe à finances
pour comprendre pourquoi l'indice boursier nippon s'appelle le NIQUAI !
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Biloulou

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MessageSujet: Re: L'orientalisme comme art de vivre ...   L'orientalisme comme art de vivre ... - Page 4 Empty14/4/2016, 12:00

Lawrence a écrit:
chat noir a écrit:
.
Ah!!!! ces hotels où ils se passent tant de choses mystérieuses

Justement, Lawrence remet ça !
Voici sa dernière réalisation :




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