FAITS DIVERS

Rappel du premier message :

GRETZARMAINVILLIERS (Seine-et-Marne)
Bijouterie braquée
HIER vers 15 heures, la bijouterie du 57, rue de Paris a été victime d'un hold-up. Deux hommes encagoulés et armés ont fait irruption dans la boutique. Dans un premier temps, ils ont menacé la vendeuse avec leur fusil et, dans la seconde qui a suivi, ils ont brisé les vitrines où étaient exposés les montres, bagues, colliers, boucles d'oreilles, bracelets, etc.
Un hold-up éclair au cours duquel aucun coup de feu n'a été tiré. Le montant du préjudice était hier soir en cours d'évaluation. Sur place dans l'après-midi, les techniciens de la police judiciaire ont effectué des prélèvements et procédé à l'enquête de voisinage.

NANDY(Seine-et-Marne)
Automobiliste agressé
UN ARTISAN qui circulait avant-hier vers 17 h 30, à bord d'une voiture de société, sur la D 50 entre Seine-Port et Nandy a été agressé par deux hommes. Pour le faire stopper, ils l'ont pris en sandwich entre une première voiture qui s'est placée juste devant lui, l'obligeant à s'arrêter, et un second véhicule qui empêchait toute fuite. Deux hommes encagoulés sont sortis des voitures et l'ont menacé avec un pistolet. L'un deux, particulièrement menaçant, a ouvert la porte arrière. Mais il n'a rien trouvé sur la banquette. Les malfaiteurs sont quand même repartis avec l'ordinateur de la victime et son GPS, placés à l'avant de son véhicule. L'homme, qui n'a pas été blessé, a déposé plainte dans la soirée

Accusé de viol à 11 ans

> Un garçon a sexuellement abusé de sa voisine âgée de 6 ans. Toute la famille de l'adolescent semble être impliquée dans cette terrible agression.

Citation :

http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/26562896

«Un garçon de 11 ans et sa sœur de 12 ans ont été mis en examen pour viol, jeudi à Versailles», révèle «Le Parisien». L’adolescent a violé sa voisine, une fillette de 6 ans, avec l’aide de sa sœur. La mère des deux enfants aurait tenté de les protéger en faisant disparaître les preuves.

Alors qu’elle s’amusait sur un terrain de jeux près de sa maison, Sylvie (prénom d’emprunt) disparaît. Sa mère s’inquiète et se rend chez la fille avec qui jouait Sylvie. Cette dernière lui affirme que Sylvie est chez elle et qu’elle regarde un DVD. Sylvie souhaite rester. Sa maman lui demande d’être de retour dans une demi-heure. «Le soir, Sylvie se plaint de douleurs au ventre et raconte que le garçon lui a donné un coup de poing, ses deux sœurs lui ayant interdit d’en parler sous peine de mort», explique le quotidien français. Quelques jours plus tard, Sylvie finit par raconter ce qu’elle a enduré à sa mère.

Celle-ci dépose plainte. La fillette raconte son calvaire à la brigade de protection de la famille des Yvelines. Les deux filles lui auraient proposé de jouer à cache-cache dans leur chambre. Leur frère ainsi qu’une petite nièce de 2 ans s’y trouvaient déjà. «Dans le lit, les deux filles lui ont tenu les bras et les jambes. Le frère l’a frappée avant de la déshabiller et de la violer», raconte «Le Parisien». La mère des enfants aurait ordonné à Sylvie de se taire et aurait jeté une partie de ses vêtements.

Un lourd passé familial

La mère et ses enfants ont été interpellés hier. Le fils a reconnu partiellement les faits qui lui étaient reprochés. Les deux sœurs affirment qu’elles n’ont rien vu, tandis que leur mère nie tout. Cette famille des Yvelines a un lourd passé. Le fils avait déjà été suivi par un juge pour violence. Ses deux sœurs, quant à elles, ont été violées par leur oncle.

Est-ce que son prénom commence par "An" et se termine par "dré" ?

Il tue son amie enceinte et la congèle

> Le corps d'une femme enceinte a été retrouvé vendredi près de Paris dans un congélateur, après l'appel à la police d'un homme, disant être son compagnon.

Citation :

http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/16111762

L'homme, âgé de 36 ans, a appelé les services de police pour annoncer qu'il avait frappé sa femme et l'avait tuée quelques jours plus tôt, précisant que le corps de la victime se trouvait dans le congélateur de leur appartement, à Villeneuve-le-Roi (région parisienne), a précisé une source proche de l'enquête, confirmant une information du journal «Le Parisien».

Il a également déclaré aux services de police qu'il avait quitté la France, et se trouvait en République démocratique du Congo (RDC).

Sur ses indications, le corps sans vie de sa compagne, âgée de 25 ans et enceinte de huit mois, a été retrouvé dans le congélateur.

Selon une source judiciaire, les conjoints, tous deux originaires de RDC, seraient en situation irrégulière en France et vivaient dans un immeuble insalubre.

Le premier enfant du couple, âgé de 18 mois et qui avait été confié à une voisine par le père, a été placé dans un foyer sur décision du parquet de Créteil (près de Paris), selon cette même source.

L'autopsie du corps de la jeune femme, qui devait avoir lieu samedi, a été repoussée à lundi, selon la source proche de l'enquête.

> Il tenait certainement à conserver le produit dans son emballage d'origine...

Et le prématuré va bien ?
(Là, j'ai dû me forcer...)

Puni, l’enfant meurt dans le lave-linge

> Un petit garçon de 3 ans, Bastien, est mort vendredi 26 novembre, après que son père l’a placé dans le lave-linge pour le punir ...

Citation :

http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/28/1226502-seine-et-marne-puni-l-enfant-meurt-dans-le-lave-linge.html#xtor=RSS-6

Christophe Champenois, le père de 33 ans, conteste les faits. Il a néanmoins été mis en examen pour meurtre sur mineur de moins de 15 ans et a été écroué dimanche soir.

Il est suspecté d’avoir mis son fils dans le lave-linge pour le punir d’un mauvais comportement à l’école.

La mère, Charlène, a également été mise en examen pour "non-empêchement de commission d’un crime" et "non-assistance à personne en danger" et a aussi été écrouée.

C’est elle qui aurait sorti le petit de la machine encore en marche et l’aurait porté chez ses voisins en disant qu’il était tombé dans les escaliers.

La vérité est venue de la bouche de Maud, 5 ans, la grande sœur de Bastien, qui a expliqué au voisin ce que son père avait fait.

Selon divers témoignages, il semblerait que le père avait pour habitude de punir l’enfant de manière cruelle en l’enfermant des heures dans un placard ou, lorsqu’il n’était encore qu’un nourrisson, en le déposant dans une couverture sur le rebord de la fenêtre. Plusieurs membres de la famille le soupçonnaient également de frapper sa femme, soumise à ce mari violent.

La mère de Charlène, anéantie comme l’ensemble de la famille, aurait par ailleurs confié que cet enfant n’était pas désiré.

OmbreBlanche a écrit:

(...) La mère de Charlène, anéantie comme l’ensemble de la famille, aurait par ailleurs confié que cet enfant n’était pas désiré.

Il ne faudra pas longtemps pour qu'on transforme cet horrible fait divers en un plaidoyer pour l'avortement, une autre horreur...

Congélo... lave-linge... on ne peut plus se passer de l'électro-ménager !

607 -

Biloulou a écrit:

Congélo... lave-linge... on ne peut plus se passer de l'électro-ménager !

Il est donc possible de les répertorier parmi les aides pédagogiques propices à l'élevage de ses enfants. Il faudra envisager d'adapter le gabarit aux mensurations des ados et tenir compte de la montée de l'obésité dans nos pays survitaminés.

> Un foetus a été retrouvé ce vendredi dans les toilettes pour femmes de la bibliothèque de la faculté de droit de Nice.

Citation :

A Nice : un foetus retrouvé dans les toilettes de la fac de droit

http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/02/1230278-nice-un-foetus-retrouve-dans-les-toilettes-de-la-fac-de-droit.html#xtor=RSS-6

Le foetus avait été placé dans un bocal et se trouvait dans un sac poubelle. C'est un agent de nettoyage qui a fait la macabre découverte.

Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade des mineurs de la Sûreté départementale.

Zed a écrit:

C'est triste qu'une jeune fille soit obligée d'en venir là.

J'imagine son calvaire. Mais je suis un homme, c'est pas le genre de chose qui peut m'arriver, .

On voit k't'as pas été avec Coco dans le D'jebel !
Tes couilles on les aurait aussi mises dans un bocal !
Fais pas le malin mec !

> Fait rare dans une affaire de violences conjugales, c'est l'épouse qui est poursuivie et le mari la victime.

Citation :

Lourdes - Elle cogne son mari à coups de poêle !

http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/03/1230709-elle-cogne-son-mari-a-co…

Elle n'a pas de chance, Josiane. Depuis le divorce avec le père de ses trois filles, elle ne « tombe que sur des alcooliques violents ».

La présidente Gadoullet lui fait remarquer que ses ex-compagnons peuvent dire la même chose. Car cette forcenée du coup de poêle tape volontiers dans la gourde. Comme le soir de la dispute avec son mari. « J'avais bu avec lui, mais je buvais beaucoup moins que lui. » Et en plus, que du rosé : 6 ou 7 verres. Elle explique que son mari, épousé seulement six mois plus tôt, la battait déjà depuis quelques mois.

Ce soir-là, l'ancien compagnon de l'épouse est venu dîner à la maison. La dispute a commencé après son départ. « Mon mari m'a insulté et m'a frappé », explique-t-elle. Alors, elle a voulu lui faire comprendre que ça suffisait. Elle a attrapé une poêle et a donné plusieurs coups au visage de son mari.

Elle explique ensuite que son mari l'a collé à terre et a tenté de l'étrangler. C'est à ce moment-là qu'elle a saisi une lampe et a frappé à deux reprises sur le crâne de son époux. Son mari a été coupé au cuir chevelu et au visage.

Aucune trace de violence sur elle

Le problème, c'est que la police n'a pas relevé la moindre trace d'ecchymoses ni de strangulations sur elle. Rien ne prouve qu'elle a été victime de violences et qu'elle y a répondu, en légitime défense.

Comme l'indique Baptiste Porcher, substitut du procureur : « La seule personne qui présente des marques de violences, c'est monsieur ».

Ensuite, pour couronner le tout, elle a mis le feu à son appartement, avec les conséquences dramatiques que cela aurait pu avoir.

Son conseil, Me Allos, s'appuie sur le rapport d'expertise psychiatrique. « Elle soufre d'un trouble de la personnalité qui a altéré son discernement. » Il explique qu'un certificat médical datant de quatre jours après la dispute atteste qu'elle a eu des ecchymoses aux bras.

Le tribunal a condamné sa cliente à 10 mois dont 5 avec sursis, mise à l'épreuve pendant 18 mois, avec obligations de soins, d'avoir une résidence et interdiction d'entrer en contact avec la victime.

Boudiou, ça c'est une femme de caractère !

613 -

Citation :

Elle cogne son mari à coups de poêle !

J'ai la curieuse impression d'avoir déjà entendu parler de ça, là-bas dans
le S-O ; ça doit être génétique dans le coin...
(Une femme à poêle Tefal ne devrait pas être trop collante)

EddieCochran a écrit:

613 -J'ai la curieuse impression d'avoir déjà entendu parler de ça, là-bas dans le S-O ; ça doit être génétique dans le coin...
(Une femme à poêle Tefal ne devrait pas être trop collante)

Oui... mais bon, mamie avec une poêle Tefal en fonte lourde d'antan ? J'ai des doutes...

> Une sexagénaire a été dévorée vendredi à l'aube par une meute de 25 rottweilers qu'elle élevait dans sa maison à Radonice-nad-Ohri, petit village situé à 65 km au nord-ouest de Prague, a-t-on appris auprès de la police locale.

Citation :

Une sexagénaire bouffée par ses chiens en République Tchèque

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1360933/2011/12/09/Une-sexagenaire-tuee-par-une-meute-de-25-rottweilers.dhtml

"Vers 6 heures, les chiens se sont rués sur leur propriétaire. Elle est morte sur le coup, des suites de très graves blessures", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police, Daniel Vitek.

Appelés par la fille de la victime, les policiers ont ensuite capturé au total 25 chiens, dont 17 chiots, avant de les placer dans un refuge pour animaux.

Le policier n'était pas immédiatement en mesure de dire si la victime se consacrait à l'élevage professionnel de ces chiens de combat.
Selon la télévision tchèque TV Nova, les animaux étaient "maltraités et affamés". "Une enquête a été lancée pour déterminer toutes les circonstances de l'affaire", a conclu M. Vitek. (belga)

> Mais que pouvait-elle faire dans une maison, seule, avec 25 "monstres" ?

Un rottweiler, ce n'est pas le genre de chien qu'on élève pour servir de compagnie à mémère... je pencherais plutôt sur un trafic destiné à des combats clandestins ou des choses du même ordre.

OmbreBlanche a écrit:

> Mais que pouvait-elle faire dans une maison, seule, avec 25 "monstres" ?
Un rottweiler, ce n'est pas le genre de chien qu'on élève pour servir de compagnie à mémère... je pencherais plutôt sur un trafic destiné à des combats clandestins ou des choses du même ordre.

Il se passe plus ou moins la même chose sur LP...

Biloulou a écrit:

OmbreBlanche a écrit:

> Mais que pouvait-elle faire dans une maison, seule, avec 25 "monstres" ?
Un rottweiler, ce n'est pas le genre de chien qu'on élève pour servir de compagnie à mémère... je pencherais plutôt sur un trafic destiné à des combats clandestins ou des choses du même ordre.

Il se passe plus ou moins la même chose sur LP...

> Les rottweilers qui rôdent sur LP ne sont pas vraiment dangereux. Ils aboient beaucoup, ce sont des grandes gueules, mais n'ont pas les dents assez longues ...

OmbreBlanche a écrit:

> Les rottweilers qui rôdent sur LP ne sont pas vraiment dangereux. Ils aboient beaucoup, ce sont des grandes gueules, mais n'ont pas les dents assez longues ...

J'espérais que tu me rassures, voilà qui est fait.
Merci !

Lundi à Carcassonne, le bambin a devancé la rentrée scolaire
(RTL et AFP, le 04/01/2012 à 09h30, par Michèle Daniau)


Des passants ont alerté la police lorsqu'ils ont vu le garçon tout seul devant son école fermée

Le petit garçon de 4 ans, Léo, errait sous la pluie devant son école lundi matin à Carcassonne dans le Languedoc-Roussillon. Pour cause, l'établissement scolaire était fermée car les cours ne reprenaient que le lendemain. Des passants ont alerté les policiers. Léo leur explique qu'il s'est levé, habillé et qu'il a pris son petit-déjeuner tout seul. Personne ne l'aurait averti qu'il n'y avait pas cours ce jour-là. "Maman travaille et papa dort", a-t-il précisé aux enquêteurs très surpris. Les policiers ont décidé de faire un tour au domicile de l'enfant où ils sont tombés sur un père de 27 ans, mécontent d'être réveillé.

Vers 9 heures 30 lundi, le petit Léo est accueilli au commissariat. Les policiers lui offrent un chocolat chaud, lui demandent des détails sur ses parents, son domicile. L'enfant, dont la famille vient tout juste de déménager, réussi finalement à conduire les forces de l'ordre chez lui.

Le père du garçon, âgé de 27 ans, n'a guère apprécié d'être réveillé par la police. Cet habitant de Carcassonne a même été conduit au commissariat pour une audition. Le parquet a aussi reçu un signalement des faits. La mère a quitté son travail pour revenir chercher son enfant.

Mardi, Léo a pu effectuer sa "vraie" rentrée.

Biloulou a écrit:

Lundi à Carcassonne, le bambin a devancé la rentrée scolaire
(RTL et AFP, le 04/01/2012 à 09h30, par Michèle Daniau)
Des passants ont alerté la police lorsqu'ils ont vu le garçon tout seul devant son école fermée (...)

Enquête faite, le papa a fait la grasse matinée (vous n'avez rien contre, j'espère) parce qu'il avait congé ce jour-là et Léo avait décidé de partir à l'école malgré tout parce qu'il était pressé de retrouver ses petits camarades !

Moralité : méfions-nous encore et toujours des "scoops" des journaleux, avides d'inventer des évènements qui créent le scandale et alimentent les mauvaises émotions du public... et qui font vendre leur papier sale.

(Et que dire de tous ceux qui, dans les forums, s'empressent de répercuter de tels scoops malintentionnés pour pouvoir ensuite crucifier la presse....)