FAITS DIVERS

Rappel du premier message :

GRETZARMAINVILLIERS (Seine-et-Marne)
Bijouterie braquée
HIER vers 15 heures, la bijouterie du 57, rue de Paris a été victime d'un hold-up. Deux hommes encagoulés et armés ont fait irruption dans la boutique. Dans un premier temps, ils ont menacé la vendeuse avec leur fusil et, dans la seconde qui a suivi, ils ont brisé les vitrines où étaient exposés les montres, bagues, colliers, boucles d'oreilles, bracelets, etc.
Un hold-up éclair au cours duquel aucun coup de feu n'a été tiré. Le montant du préjudice était hier soir en cours d'évaluation. Sur place dans l'après-midi, les techniciens de la police judiciaire ont effectué des prélèvements et procédé à l'enquête de voisinage.

NANDY(Seine-et-Marne)
Automobiliste agressé
UN ARTISAN qui circulait avant-hier vers 17 h 30, à bord d'une voiture de société, sur la D 50 entre Seine-Port et Nandy a été agressé par deux hommes. Pour le faire stopper, ils l'ont pris en sandwich entre une première voiture qui s'est placée juste devant lui, l'obligeant à s'arrêter, et un second véhicule qui empêchait toute fuite. Deux hommes encagoulés sont sortis des voitures et l'ont menacé avec un pistolet. L'un deux, particulièrement menaçant, a ouvert la porte arrière. Mais il n'a rien trouvé sur la banquette. Les malfaiteurs sont quand même repartis avec l'ordinateur de la victime et son GPS, placés à l'avant de son véhicule. L'homme, qui n'a pas été blessé, a déposé plainte dans la soirée

Citation :

Un adolescent de 13 ans aux mains baladeuses mis en examen pour des attouchements sur onze collégiennes

De 20minutes.fr

Un adolescent de 13 ans a été mis en examen jeudi pour des agressions sexuelles présumées sur onze jeunes filles de son collège de Gâtine (Loir-et-Cher), rapporte La République du Centre ce vendredi.

Ce sont des parents des victimes, âgées de 11 à 14 ans, qui ont déposé plainte le mois dernier alors que leurs filles subissaient des «gestes déplacés» de la part du jeune homme depuis la rentrée de septembre. «Les adolescentes ont expliqué avoir subi des attouchements sur les parties intimes, lors de la récréation ou même en classe. Le garçon agissait par surprise», explique le quotidien.

Des messages inspirés de films X

L’adolescent leur envoyait également des SMS «aux contenus pour le moins salaces». «Il a indiqué avoir entendu ces termes dans des films pornographiques, vus sur les téléphones portables d'autres élèves. Il ne semble pas prendre conscience de la gravité de ces mots», a indiqué une source proche du dossier à La République du Centre.

S’il a reconnu la plupart des accusations devant le juge pour enfants, le jeune homme a justifié ses actes «par ses rapports très conflictuels avec les filles concernées», s’estimant également victime d’un complot. Exclu de son collège, il a été placé dans un établissement de la Protection judiciaire de la jeunesse avec une obligation de soins ainsi qu’une interdiction d'entrer en contact avec les victimes.

> Si aujourd'hui on ne peut même plus jouer à "touche-pipi" avec ses copines du collège, où va t-on ...

Ben moi, je viens de signer mon nom dans la neige, alors si tu veux toucher a mon pipi libre a toi (mais essaye de rien effacer, c'est des années de pratiques hein)

Les conclusions des experts sont formelles : Le canibale s'est suicidé après avoir bouffé son pied en se jetant dans un bain d'eau de Javel !



L'horreur aux assises de Colmar


le
17 janvier 2012 à 07h48 , mis à jour le
17 janvier 2012 à 13h39

La cour d'assises de Colmar juge depuis mardi, dix personnes appartenant pour la plupart au même "clan familial", accusées de séquestrations, de violences et, pour trois d'entre elles, d'assassinat.


Tout cela sur une période s'étalant de 1992 à 2008. Depuis mardi et jusqu'au 10 février, dix personnes appartenant pour la plupart au même "clan familial" sont sur le banc des accusés de la cour d'assises de Colmar.

Le 29 juillet 2008, le corps de Sylvie Mutschler, 32 ans, est découvert dans le Grand Canal d'Alsace. Outre la mort par noyade, l'autopsie met en évidence de nombreuses traces de coups, plus ou moins récents. Le 2 août, Bernard Boulanger, aujourd'hui âgé de 59 ans, se présente à la gendarmerie pour signaler la disparition d'une amie. Ses explications sont embrouillées, il est placé en garde à vue. Au fil de leur enquête, les gendarmes mettent au jour le fonctionnement criminel présumé d'un clan familial dominé par la figure de Gérard Ehret, 53 ans. Il apparait que cet homme et ses proches se sont fait une spécialité de prendre sous leur coupe des personnes vulnérables, handicapées mentales ou physiques, et de les violenter pour détourner à leur profit leurs allocations.

Victime du patriarche ou bourreau ?

Sylvie Mutschler et son mari Daniel Eckert auraient été enlevés à leur domicile de Ranspach-le-Haut (Haut-Rhin) en novembre 2004 par Gérard Ehret et son frère Jean-Claude, et séquestrés dans une caravane en Meuse. Début 2005, ils auraient été ramenés en Alsace, et, pendant plus de trois ans, séquestrés à Mulhouse, Wittenheim et Roppentzwiller, ils auraient subi d'innombrables violences de la part de Gérard Ehret, de son ex-épouse, de son épouse, de son fils et de sa compagne. En avril 2008, Daniel Eckert parvient à s'échapper. Il dénonce les faits à sa belle-mère et à la gendarmerie de Saint-Louis, qui malheureusement ne le prend pas au sérieux. Cette fuite aurait précipité la décision du clan Ehret de se débarrasser de Sylvie Mutschler, en tentant une première fois de la noyer, puis en y parvenant, courant juillet 2008.

Un des enjeux du procès sera de déterminer le déroulement et les responsabilités des trois protagonistes de l'assassinat -Gérard Ehret, son fils Edmond Welcker (25 ans) et Bernard Boulanger-, chacun se rejetant jusqu'à présent la faute. De manière générale, les jurés auront à évaluer la part de culpabilité de chacun, alors que les accusés semblent vouloir faire "front commun" contre Gérard Ehret pour "lui faire porter la plus lourde responsabilité de cette affaire", selon son avocat Me Ange Bujoli. On peut s'attendre, selon lui, "à une confrontation entre le père et le fils, comme cela a été le cas dans le cabinet du juge d'instruction", où les deux hommes se sont battus.

Plusieurs accusés apparaissent dans le dossier à la fois comme victime du patriarche et bourreau: ainsi Bernard Boulanger, qui quittera le box des accusés pour le banc des parties civiles lorsqu'il s'agira d'évoquer les violences qu'il a lui-même subies de 1992 à 1999. Une enquête ouverte sur ces faits en 1995 a été classée sans suite par le parquet de Colmar en 1999. Planeront aussi sur ce procès quelques fantômes, comme cet homme trouvé mort dans un bain de javel au domicile de Gérard Ehret en 1986. Des morceaux de ses pieds avaient été découverts dans son estomac mais l'enquête avait conclu au suicide.

Ce pistolet caché dans son rectum


En Caroline du Nord, la police a envoyé un suspect à l’hôpital pour des vérifications cliniques. Elle le soupçonne d’avoir introduit en prison un pistolet caché (photo de la pièce à conviction) dans son rectum.


L’addition judiciaire sera lourde pour Michael Leon Ward (22 ans) de Canton en Géorgie. Arrêté pour excès de vitesse en Caroline du Nord, il n’avait pas de permis de conduire. La police a découvert dans son véhicule de la drogue et diverses autres substances. L’homme est recherché pour meurtre et vol à main armée. Tout logiquement, il a été directement envoyé en prison. Et là, il a livré une dernière surprise aux policiers.
Appelant les gardiens dans sa cellule, il leur a expliqué avoir été victime d’une tentative de meurtre. Selon lui, il venait de trouver un pistolet. Vérification faite, l’arme venait de faire un passage par les toilettes. Les autorités le soupçonnent donc d’avoir caché le revolver, de belle taille, dans son intimité. Les mesures indiquées sur la photo ne sont pas en centimètres... mais en pouces. Dernière précision: l'arme n'était pas chargée.



Enculé !

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Ungern a écrit:

Je pense que nos estimées cyber-sexologues sont à plus d'une giclée de se tromper de cible en désignant les hôtesses comme l'objet de la frénésie auto-jouissive extravertie de ces messieurs.

Considérant le pourcentage impressionnant de mecs qui bandent en rêvant au carrosse de ferraille de leurs rêves, je pencherais plutôt pour l'hypothèse qui voudrait que ce sont les agressives conduites intérieures nippones qui feraient monter la purée mousseline avé amour plutôt que les potiches PIPées des stands...

Il y a des pauvres tâches de bonhommes qui ne savent vraiment plus quoi foutre de leurs dix doigts pour se rendre intéressants. Probablement des gaziers qui manquent de liquidités pour se payer une belle bagnole.

Citation :

Un curé pas très catholique

De courrierinternational.com

Il avait annoncé à ses ouailles qu’il partait se recueillir une semaine en retraite. En fait, don Massimo Donghi était en croisière en famille à bord d’un paquebot de luxe – le tristement célèbre Costa Concordia.



Les paroissiens de Besana Brianza ont découvert le pieux mensonge de leur curé par Facebook, indique Libero. A peine à terre, la nièce de l’ecclésiastique a rassuré ses amis : elle avait pu monter sur une chaloupe avec sa mère et son oncle – don Massimo, responsable du culte,de la catéchèse et de l’Union pastorale des jeunes de Besana Brianza. Dieu, dans sa grande mansuétude, a sauvé toute la famille.

Ben quoi, il est normal que ces cités flottantes (enfin, quand tout va bien...) aient leur aumônier, non ? Deo gratias...

Biloulou a écrit:

Ben quoi, il est normal que ces cités flottantes (enfin, quand tout va bien...) aient leur aumônier, non ? Deo gratias...

> Il aurait simplement dit qu'il partait en vacances avec sa famille, cela aurait été sans doute plus honnête de sa part plutôt que d'inventer une pseudo-histoire de "retraite" spirituelle...

En Italie, les curés sont assimilés fonctionnaires et payés par l'Etat. Ils ont droit à des congés comme n'importe quel autre salarié.

Maintenant il risque de ne plus être crédible.

Comme quoi, il ne faut jamais mentir. Ça finit toujours pas vous retomber dessus.

Citation :

Publié le 06/02 à 16h02

Avec la bénédiction de son mari, une Allemande a couché à 72 reprises (à la moyenne de 3 fois par semaine) avec son voisin pour tomber enceinte. Cela dit, ce n'est jamais arrivé. Pourquoi? Parce le voisin s'est découvert stérile... alors qu'il est pourtant père de deux enfants, raconte El Corriere sur son site.

Frank Maus, le voisin, a reçu 2500 dollars pour s'acquitter de sa tâche. Cela dit, cela ne devrait pas le consoler d'apprendre qu'il n'est pas le père de ses deux enfants

Pire: il va être attaqué en justice par le premier couple pour adultère, préjudice moral et financier, explique la même source....

Citation :

Un juge condamne un délinquant... à lire un livre

De Gentside.com

En Belgique, un juge a imposé la lecture d'un roman à un homme qu'il venait de condamner.



Peter D'Hondt est un juge du tribunal de police de la ville flamande de Termonde en Belgique. Ce magistrat s'est distingué vendredi dernier en condamnant un chauffard... à lire un roman très précis. Le livre en question, Tonio, a été écrit par l'écrivain néerlandais A. F. Th van der Heijden et raconte le calvaire d'un père de famille dont le fils a été tué dans un accident de la route.

Le prévenu condamné à feuilleter le bouquin faisait des dérapages avec son voiture à proximité d'un rond-point. Selon le journal belge Le Soir, il a expliqué au tribunal qu'il avait suivi des cours pour cette pratique de pilotage et qu'il voulait les mettre en pratique. "Mais comment donc pouvez-vous vous livrer à de telles choses alors que ce pays est parmi ceux qui en Europe, affichent le nombre le plus élevé de morts par accident de la route ?", s'est insurgé le juge cité par la même source. Le magistrat a demandé alors au délinquant s'il a une femme et des enfants et s'il veut croupir quatre ans en prison. Ce dernier a répondu logiquement non à la seconde question et a précisé qu'il a une vie de famille.

Peter D'Hondt a donc décidé de condamner l'apprenti-pilote à une amende, à une interdiction de trois ans de conduite dont 32 mois de sursis probatoire. Le juge énumère ensuite les conditions de cette mise à l'épreuve : une bonne conduite sur le réseau routier, pas d'excès de vitesse, suivre des cours pour gérer l'agressivité au volant, un travail d'intérêt général de 20 heures comme volontaire auprès de victimes d'accidents de la route... et la lecture de ce roman de 632 pages.

OmbreBlanche a écrit:

(...) Le prévenu condamné à feuilleter le bouquin faisait des dérapages avec son voiture à proximité d'un rond-point. (...)

En flamand dans le texte ?

Le directeur mythomane de l'aéroport Limoges démasqué
(La Charente Libre, le 9 février 2012 à 07h40)



Photo CL

Le 1er novembre dernier, Philippe Gaillard (Repro CL) avait pris ses fonctions de directeur de l'aéroport international de Limoges. Il vient tout juste d'être démis de ses fonctions par la chambre de commerce et d'industrie (CCI) de Haute-Vienne, gestionnaire de l'aéroport, comme le révèle Le Populaire du Centre.

L'homme s'était en effet inventé un CV dans lequel il mentionnait un passé militaire, affirmant avoir participé en tant que pilote de chasse à «à peu près toutes les guerres» de ces dernières années: les deux guerres du Golfe, en ex-Yougoslavie et au Liban. Sur son CV, il présentait évidemment un casier vierge alors que les tribunaux de Pontoise, Agen, Périgueux ou Bordeaux avaient déjà jugé et condamné à des peines de prison ferme cet homme pour toute une série de délits: dégradations de biens par incendie, faux et usage de faux, escroquerie, abus de confiance, vols...

En 1998, la cour d'appel d'Agen l'avait condamné pour s'être fait passer pour un policier. En 1996, il aurait falsifié des documents militaires. Il aurait, depuis 1994, date de sa première condamnation, passé au total deux années cumulées derrières les barreaux. Sa compétence, estiment pourtant certains commentateurs, «laisse pantois».

À la tête de l'aéroport, il aurait «exercé un boulot formidable». C'est une femme qui, après avoir vu sa photo sur le site internet de l'aéroport, a dénoncé l'usurpateur et a permis de démasquer le mythomane. La lettre recommandée l'informant de sa fin de période d'essai lui a été envoyée mardi.

Il saute d'un pont... mais l'eau a gelé
(Le Figaro.fr et AFP, le 08/02/2012 à 20:31)


Un homme de 34 ans a été sauvé aujourd'hui par le froid intense qui sévit actuellement en Alsace: alors qu'il voulait se suicider en sautant d'un pont dans le centre-ville de Mulhouse (Haut-Rhin) il s'est écrasé contre la glace et n'a été que légèrement blessé, selon les pompiers.

L'homme a sauté en début d'après-midi d'une hauteur d'environ trois mètres mais la glace du canal en contrebas n'a pas cédé sous son poids. Il a été légèrement blessé aux membres inférieurs et aux poignets. Les pompiers ont dû se sécuriser pour aller récupérer la victime, ils l'ont installée dans un brancard et l'ont fait glisser jusqu'au bord.

Une fois sauvé l'homme a en outre averti les forces de l'ordre qu'il avait laissé le gaz allumé chez lui, selon la police qui a pu se rendre sur place pour sécuriser les lieux.

L'Alsace connaît depuis plusieurs jours des températures polaires et de nombreuses pièces d'eau sont gelées. Le préfet du Bas-Rhin a d'ailleurs rappelé à la population qu'il était rigoureusement interdit de s’aventurer sur des étendues d’eau gelées.

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Chaud ou froid, faut savoir ce qu'on veut, même pour mourir...

Citation :

Jeudi 9 février 2012 à 05:31
Des alarmes pour les femmes de chambre des hôtels de New York
Les femmes de chambre des hôtels de New York vont être bientôt dotées d'alarmes personnelles, une mesure prise à la suite de l'affaire Strauss-Kahn, l'ancien patron du FMI accusé d'agression sexuelle par une employée du Sofitel de la ville.

Citation :

NEW DELHI (Reuters) - Trois ministres d'un Etat de l'Inde ont été contraints à la démission après avoir été filmés en train de regarder une vidéo pornographique sur un téléphone portable en pleine séance du parlement du Karnataka.