Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter.
Merci de votre compréhension.
"Assises de Tours: ouverture du procès des bébés congelés -- Affaire Courjault -"
Véronique Courjault, une mère de famille de 41 ans, qui a avoué trois infanticides, deux commis à Séoul et un en France, comparaît à partir de mardi devant la cour d'assises d'Indre-et-Loire, à Tours.
Jugée pour "assassinats", elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le procès devrait durer jusqu'au 17 juin.
Incarcérée depuis le 12 octobre 2006, à Orléans, Véronique Courjault sera seule dans le box des prévenus. Son mari, Jean-Louis, 42 ans, a été mis hors de cause après avoir été dans un premier temps mis en examen pour "complicité d'assassinats". Sa femme a toujours dit qu'il "n'était pas au courant".
La découverte le 23 juillet 2006 par le mari de deux bébés dans le congélateur de leur maison à Séoul avait été le point de départ de ce fait divers qui a marqué les Français, mais aussi les Coréens.
Le couple nie d'abord "être les parents" mais est confondu par les tests ADN.
La femme reconnaît trois infanticides. Le premier sur un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en Charente-Maritime, les deux autres sur deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 à Séoul où son mari ingénieur travaillait pour une société américaine.
"Les grossesses qui se passent mal existent", plaide le mari qui aime toujours sa femme. Il s'occupe de leurs deux garçons, âgés de 14 et 12 ans, dans leur maison en Touraine. "Je ne les sentais pas bouger dans mon ventre... Pour moi ça n'a jamais été des enfants", confiera-t-elle aux psychiatres qui avouent se trouver "face à un cas assez exceptionnel".
Le déni de grossesse occupera vraisemblablement une grande partie des débats. "Mais pas tous les débats. Le cas de Mme Courjault ne se résume pas à cette notion", estime aujourd'hui Me Hélène Delhommais, un des conseils de Mme Courjault. Selon l'avocate, sa cliente "a hâte d'être jugée. Elle a beaucoup travaillé avec le psychiatre de la maison d'arrêt pour préparer son procès".
Tabassé à mort par deux ados sur un quai: personne n'a réagi...
Le meurtre d'un quinquagénaire tabassé par deux jeunes en pleine journée sur le quai d'une gare, sous les yeux de plusieurs témoins, a relancé le débat en Allemagne sur le courage civique. La chancelière allemande elle-même, Angela Merkel a appelé à plus de courage.
Monde - Europe 16:37 Le meurtre d'un quinquagénaire tabassé par deux jeunes en pleine journée sur le quai d'une gare, sous les yeux de plusieurs témoins, a relancé le débat en Allemagne sur le courage civique. Dominik Brunner aurait-il eu la vie sauve si des témoins étaient intervenus samedi sur le quai d'une station de train urbain de Munich (sud), pour empêcher deux jeunes de 17 et 18 ans de le rouer de coups?
Environ 15 personnes auraient assisté à l'agression Quinze personnes, selon la police, ont assisté de près ou de loin à ce meurtre, parti d'une altercation entre quatre adolescents et les deux agresseurs qui tentaient de les racketter. "Pourquoi personne n'est-il venu en aide à Dominik Brunner?", s'interrogeait mercredi le quotidien Bild sur son site internet. Le journal citait notamment deux personnes, dont un jeune Français, qui affirmaient que personne n'était venu porter secours à cet homme d'affaires, désormais considéré comme un héros.
"Je me suis senti si impuissant à ce moment-là" "Lorsque je suis arrivé sur le quai en face, les deux jeunes étaient déjà en train de tabasser l'homme et de lui donner des coups de pied", a raconté Gabriel, 16 ans, originaire de Chartres (France) au journal. "Environ 15 personnes se trouvaient à côté et ne sont pas intervenues", a-t-il ajouté. "Je me suis senti si impuissant à ce moment-là et j'ai vu comment ils l'ont frappé pendant une à deux minutes".
Pas d'indices suffisant pour une enquête pour non-assistance à personne en danger Le Parquet de Munich a tempéré, disant ne pas disposer d'indices justifiant une enquête pour non-assistance à personne en danger. Rien ne permet de dire avec certitude que 15 personnes se trouvaient sur le quai au moment des faits, a assuré une porte-parole, Barbara Stockinger. Il pouvait y en avoir eu plus ou moins, s'est-elle contenté de préciser.
Angela Merkel appelle au courage civique La chancelière Angela Merkel a appelé les Allemands à faire preuve de courage civique, renouant avec son prédécesseur Gerhard Schröder qui avait appelé à "un soulèvement des gens biens" après une série d'agressions racistes à la fin des années 90. Selon la radio publique bavaroise Bayerischer Rundfunk, M. Brunner avait demandé de l'aide aux gens qui se trouvaient sur le quai. Sans succès. La police a toutefois reçu plusieurs appels de téléphones portables signalant ce qui se passait sur le quai de gare.
Une minute de silence Le responsable de la cellule policière chargée de l'enquête, Markus Kraus, a également expliqué au quotidien Süddeutsche Zeitung que les quatre jeunes adolescents avaient demandé de l'aide aux passagers descendus à la même station. "Néanmoins, nous ne savons pas ce que ces gens ont effectivement su et dans quelle mesure ils auraient pu intervenir", selon lui. Le maire de Munich, Christian Ude, a décidé d'une minute de silence dans les transports de la capitale bavaroise. Pour rendre hommage au courage de Dominik Brunner mais aussi pour avertir les usagers que "celui qui veut faire l'expérience de la solidarité, doit aussi la pratiquer". Dominik Brunner a été tué de 22 coups et coups de pied portés à la tête et dans le haut du corps par deux jeunes qui s'en étaient pris auparavant à quatre adolescents de 13 à 15 ans. Il s'était interposé dans le train, proposant ensuite au quatre jeunes de descendre avec eux à la station et de les escorter. Les deux agresseurs ont suivi le groupe et s'en sont pris au quinquagénaire. Dominik Brunner est mort peu après à l'hôpital.
Tabassé à mort par deux ados sur un quai: personne n'a réagi...
Insérer une réaction Cet article vous fait réagir ? Vous souhaitez partager votre opinion avec les internautes ? Postez ici vos réactions à propos de cet article. Les réactions sont modérées par la rédaction de RTL info.
16/09/09 à 16h58Anonyme 734469 origine des agresseurs?
16/09/09 à 16h53Anonyme 616706 Si ca arrivait sous mes yeux, je reagirait pas non plus. J'ai pas envie de risquer 10 mois de prison avec sursis parce que j'aurait soit disant essayé de faire justice mmoi-même...
Pas d'indices suffisant pour une enquête pour non-assistance à personne en danger Le Parquet de Munich a tempéré, disant ne pas disposer d'indices justifiant une enquête pour non-assistance à personne en danger. Rien ne permet de dire avec certitude que 15 personnes se trouvaient sur le quai au moment des faits, a assuré une porte-parole, Barbara Stockinger. Il pouvait y en avoir eu plus ou moins, s'est-elle contenté de préciser.
Deux stations de métro fermées suite à une agression au couteau
Les stations bruxelloises de métro "Porte de Hal" et "Hôtel des Monnaies" ont été fermées mercredi depuis 16H10 sur ordre de la police fédérale, après une agression au couteau commise dans une rame.
Votre région - Bruxelles 19:06 L'agression a débuté e présence de voyageurs dans la rame qui circulait en direction de Arts-Loi, à hauteur de la station Porte de Hal. L'agresseur et la victime se sont retrouvés sur le quai. L'auteur du coup de couteau a pris la fuite à pied par l'une des quatre sorties de la station. La victime, qui a été sérieusement blessée, s'est elle réfugiée dans une rame de métro. Le chauffeur de cette rame a été prévenu de l'incident par des voyageurs et s'est arrêté à la station suivante, à l'arrêt "Hôtel des Monnaies". La victime, qui se trouvait dans un état critique, a été prise en charge sur place par les services de secours puis emmenée en ambulance à l'hôpital. La rame de métro a été bloquée sur place pour permettre aux ambulanciers d'intervenir. La police a ordonné la fermeture pour une durée qui reste indéterminée des deux stations empruntées par l'agresseur et la victime. Le parquet était attendu sur place mercredi en début de soirée. Les rames du métro bruxellois continuent à circuler normalement sur cette ligne mais ne desservent plus les stations 'Porte de Hal' et 'Hôtel des Monnaies' en direction uniquement de l'arrêt "Arts-Loi". Les voyageurs qui désirent s'arrêter à ces stations sont invités à reprendre le métro dans l'autre sens. La police a procédé à l'audition de témoins et devrait saisir les images de caméras de surveillance de la rame et de la station où s'est produite l'agression.
Meurtre d'un membre d'une bande urbaine à Anderlecht : un suspect arrêté
Un jeune homme de 19 ans a été interpellé, mercredi matin, et placé, en fin d'après-midi, sous mandat d'arrêt dans le cadre d'un meurtre d'un autre jeune majeur de 19 ans, tué mardi soir au couteau à Anderlecht.
Votre région - Bruxelles 18:13 Le suspect, Lenny R., a été appréhendé à son domicile à Ixelles. Il est passé aux aveux. Le meurtre a été commis mardi peu avant 19 heures, à proximité de la rue de Fiennes et de la place Bara à Anderlecht. Une patrouille de policiers qui passait dans les environs a trouvé au sol la victime, qui présentait une sérieuse blessure à la gorge. Le jeune homme, d'origine africaine, saignait abondamment. La victime était couchée sur le côté. Consciente, elle n'a pas parlé aux policiers. Les policiers ont saisi au sol à quelques mètres de la victime un couteau à steak ensanglanté. Le jeune homme, Jonathan L., est décédé des suites de sa blessure à l'hôpital. Selon des témoins, la victime a été impliquée dans une bagarre avec un autre jeune. La victime et le meurtrier se trouvaient au sein d'un groupe de jeunes quand ils se sont disputés. D'après des témoins toujours, la victime a été frappée à la tête par une bouteille puis blessée à la gorge par un couteau. Le jeune homme blessé a titubé durant une cinquantaine de mètres jusqu'au coin de la rue avant de s'effondrer. Un membre du groupe est resté près de la victime et a compressé la plaie jusqu'à l'arrivée des secours. Les autres membres du groupe, y compris l'auteur du coup de couteau, ont pris la fuite. La victime était membre d'une bande urbaine, tout comme son agresseur. Ce dernier a été identifié à partir des déclarations d'un témoin.
Un véhicule flashé à 167 km /h sur une avenue limitée à 50 à Molenbeek
Les caméras automatiques ont contrôlé pas moins de 645.143 véhicules durant le mois d'août sur la zone de la police de Bruxelles-Ouest (Koekelberg, Ganshoren, Jette, Berchem-Sainte-Agathe et Molenbeek-Saint-Jean).
Votre région - Bruxelles 13:33 Celle-ci a verbalisé 238 conducteurs pour excès de vitesse, 188 autres pour franchissement d'un feu rouge et enfin 37 pour avoir commis les deux infractions simultanément. Le service trafic de la police locale a contrôlé un total de 23.363 véhicules et constaté 1.204 infractions d'excès de vitesse. La vitesse maximum mesurée par les policiers était de 117 km/h à l'avenue de l'Exposition à Jette où la limite autorisée est de 50 km/h. Une caméra automatique a flashé un véhicule qui circulait à 167 km/h sur le boulevard Louis Mettewie à Molenbeek-Saint-Jean, où la vitesse est également limitée à 50 km/h.
La police effectuera de nouveaux contrôles les 18 et 30 septembre à Koekelberg, les 21 et 29 septembre à Ganshoren, les 23 et 28 septembre à Jette, les 17 et 25 septembre à Berchem-Sainte-Agathe et les 22 et 24 septembre à Molenbeek-Saint-Jean.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
La croisade d'un ex-policier contre les PV (AFP - 16/09/2009 | Mise à jour : 09:24)
Philippe Vénère dénonce une «répression aveugle et systématique de certaines infractions au code de la route». Crédits photo : AFP
L'ancien commissaire de police Philippe Vénère dénonce dans un livre la politique du tout répressif menée, selon lui, par les pouvoirs publics, et donne des conseils pour contester les amendes.
Un livre contre les contraventions et le «tout répressif» des pouvoirs publics dans la sécurité routière signé … d'un ancien policier. L'initiative semble assez inattendue. Retraité de la police, en poste au tribunal de police de Paris entre 1992 et 1996 en charge du contentieux routier, Philippe Vénère, ancien commissaire au parcours atypique et controversé, publie jeudi un livre aux Éditions Max Milo intitulé «Manuel de résistance contre l'impôt policier». Sous-titre : «comment contester vos contraventions». Parallèlement, il lance un blog (pas encore en ligne à l'heure où nous écrivons, ndlr) dédié à ce qu'il nomme une «croisade qui va m'attirer des ennuis».
Dans son livre, l'ancien commissaire qui a fait sa carrière à la police judiciaire parisienne, et ne nie pas «la nécessité de respecter le code de la route», fustige une «politique du ‘tout répressif'des pouvoirs publics» et s'interroge : cette politique «ne recherche-t-elle que la sécurité du citoyen ou bien sert-elle d'autres objectifs ?». «À mon époque, explique-t-il aujourd'hui dans Le Parisien, on ne faisait pas du contentieux de masse et le président du tribunal refusait de tenir le rôle de machine à composter des PV. J'étais officier du ministère public et je recevais souvent des gens complètement paumés dans mon bureau. Face aux conducteurs de bonne foi, je classais souvent les poursuites pour ne pas encombrer le tribunal avec des affaires qui n'en valaient pas la peine. Ils repartaient en se disant : On m'a enfin écouté et compris». Il écrit que «contester, par les voies de la loi, reste le droit inaliénable du citoyen» et entend «pointer du doigt les aberrations du système policier et judiciaire» face à une «répression aveugle et systématique de certaines infractions au code de la route».
Sans toujours argumenter, il ajoute que ce ne sont pas 20 millions de procès-verbaux (PV) qui ont été dressés par les forces de l'ordre en 2007, reprenant les chiffres officiels du ministère de l'Intérieur, mais deux fois plus car, selon lui, on ne prend pas en compte ceux de la police municipale. Il fait valoir que c'est le «chiffre d'affaires» qui est «avant tout recherché» et affirme que des quotas de PV sont demandés aux forces de l'ordre, ce qui est nié par le ministère de l'Intérieur. Au passage, il égratigne les «pervenches» parisiennes, chargées des PV, et les fourrières dont il dénonce le rendement ainsi que le permis à point, une «inégalité», celle «de l'argent».
«Je ne suis pas Don Quichotte»
Enfin, il donne une série de conseils afin que l'automobiliste puisse se défendre, publiant des lettres type de contestation d'infractions facilement accessibles, par ailleurs, sur Internet. «Je ne suis pas Don Quichotte», déclare Philippe Vénère, policier atypique, et aux méthodes parfois contestées du temps où il était en fonction. «Mais trop c'est trop», ajoute celui qui a été maître de conférences à l'Université Paris VIII. «Nous sommes dans un pays de libertés, n'importe quel criminel a le droit de se défendre. Pourquoi pas le simple contrevenant face à un rouleau compresseur ?». Quand aux objections qu'on pourrait lui apporter, notamment celle de la baisse du nombre de morts sur les routes, il les balaie. C'est, dit-il dans Le Parisien, «grâce à une répression accrue sur les stupéfiants, l'alcool, les grands excès de vitesse, les feux rouges. Les PV pour stationnement illégal ou les petits excès de vitesses ont été multipliés par deux depuis huit ans alors qu'ils n'ont pas d'incidence sur l'accidentologie».
Selon un sondage* rendu public par sa maison d'édition, près de 53 % des personnes interrogées estiment que le permis à point est une « mesure de répression ». Plus de 81 % disent ne pas avoir contesté un PV, près de 58 % ne sachant pas comment le faire. 51,3 % déclarent avoir changé leurs habitudes de conduite et de stationnement après avoir payé un PV.
* Sondage réalisé pour la sortie de l'ouvrage par LH2 les 11 et 12 septembre par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.009 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
"Renault admet avoir triché en 2008, mais écarte Flavio Briattore de toute implication"
Convoquée le 21 septembre devant le conseil mondial du sport automobile de la FIA, Renault devra répondre des accusations de tricherie portées par son ancien pilote Nelson Piquet Jr.
Le conseil mondial de la FIA peut imposer à Renault des sanctions allant jusqu'à l'exclusion définitive de la F1.
Flavio Briattore a affirmé la semaine dernière n'être au courant de rien.
"(L'écurie Renault) ne contestera pas les récentes allégations de la FIA concernant le Grand Prix de Singapour 2008", écrit l'équipe dans un communiqué publié sur son site internet ( www.ing-renaultf1.com ).
"L'écurie indique également que son directeur général, Flavio Briatore, et son directeur exécutif de l'ingénierie, Pat Symonds, ont quitté l'écurie."
La sortie de piste de Nelson Piquet Jr lors du GP de Singapour avait entraîné l'intervention de la voiture de sécurité alors que Fernando Alonso venait de passer aux stands pour effectuer un ravitaillement.
Parti en fond de grille, l'Espagnol était alors ressorti juste derrière la "safety car" et s'était installé aux commandes du Grand Prix grâce à cette longue neutralisation de la course en profitant des arrêts aux stands des autres pilotes.
Nelson Piquet, dont le père a été triple champion du monde, a assuré vendredi qu'il n'avait fait que dire la vérité à la FIA.
L'écurie Renault et Flavio Briatore ont annoncé vendredi dernier qu'ils avaient porté plainte au civil en France contre Nelson Piquet et son père pour "dénonciation calomnieuse" et "tentative de chantage".
- Faits divers10:34 Des conducteurs qui ne veulent pas payer d'amendes ont trouvé un nouveau truc: copier la plaque d'immatriculation d'un véhicule semblable ou presque au leur. Ils peuvent ainsi circuler sans crainte des radars, puisque l'amende sera envoyée au propriétaire de la plaque originale, peut-on lire dans la "Gazet van Antwerpen".
Il négocie le meurtre de son épouse pour 5000 euros
Un serveur de 37 ans de Bilzen a été placé sous mandat d'arrêt pour tentative d'assassinat sur sa femme, dont il est en instance de divorce.
Belgique -10:33 Il a payé trois hommes 5.000 euros pour qu'ils tuent son épouse. Après le meurtre, il leur aurait donné 25.000 euros supplémentaires. La femme a toutefois été mise au courant du projet dimanche soir par l'un des trois hommes engagés par son mari. L'homme comparaîtra vendredi devant la chambre du conseil de Tongres, expliquele journal flamand, Het Belang van Limburg.
Ce week-end, une jeune fille, a reconnu son agresseur lors d'une promenade sur le réseau du Ravel. Immédiatement, elle en a averti son frère qui a retrouvé l'homme caché dans les fourrés. L'homme a été arrêté. Il a déjà avoué deux agressions.
Vos réactions "D'accord avec Farfadet, 10 ans de prison ne serviront à rien, si ce n'est qu'il va retenir toutes ses pulsions et les assouvir à sa sortie! " de Claudia
Belgique - 11:00 Ce week-end, une jeune fille, a reconnu son agresseur lors d'une promenade sur le réseau du Ravel. Immédiatement, elle en a averti son frère qui a retrouvé l'homme caché dans les fourrés. L'homme a été arrêté. Il a déjà avoué deux agressions. Après avoir appelé le 101, les forces de l'ordre ont arrêté ce Ransartois de 27 ans. Fiché depuis 2002, il a reconnu avoir été l'auteur d'au moins 2 faits de viol.
Depuis le mois de février, plusieurs aggressions, principalement des vols et viols ont été commis sur le Ravel et ses alentours (Châtelet, Jumet, Gosselies, Ransart).Une quinzaine de jeunes femmes (âgées entre 13 et 34 ans) auraient été abusées, révèle la Dernière Heure.
Fortis: le parquet-général de Gand attend les résultats de l'enquête
Belgique - 12:26 Le parquet général de Gand s'est refusé jeudi matin à tout commentaire au sujet des informations des médias faisant état de l'inculpation de l'avocat de l'Etat Me Christian Van Buggenhout et de Ivan Verougstraete, président de la Cour de Cassation, dans le cadre de l'enquête pénale relative à d'éventuelles fuites liées à l'arrêt Fortis à la fin de l'année dernière. Le parquet général a précisé qu'il attendait les résultats complets de l'enquête menée par le conseiller-juge d'instruction Henri Heimans. Ce n'est qu'une fois en possession des résultats de cette enquête que le parquet général prendra position, a indiqué jeudi le porte-parole Dominique Debrauwere. Le parquet général décidera alors si les personnes citées dans le cadre de l'enquête seront poursuivies. En raison du privilège de juridiction des magistrats, un éventuel procès devrait se dérouler devant la Cour d'appel de Gand. La défense peut cependant encore demander des devoirs d'enquêtes supplémentaires au préalable. L'enquête menée par le juge Heimans devrait se terminer ce mois-ci encore. (GFR)
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Fortis: le parquet-général de Gand attend les résultats de l'enquête
Apparement ils sont arrivés : c'est tout l'édifice judiciaire belge qui est ébranlé...
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Fortisgate: Christian Van Buggenhout et Ivan Verougstraete inculpés (20:27 - 16/09/2009 - L'Echo.be)
Christian Van Buggenhout, l’avocat de l’Etat belge dans l’affaire Fortis et Ivan Verougstraete, président de la Cour de cassation
L’avocat de l’Etat belge dans l’affaire Fortis, Christian Van Buggenhout et Ivan Verougstraete, président de la Cour de cassation ont été inculpés par le conseiller général du parquet de Gand, Henri Heimans, pour violation du secret professionnel. Une information confirmée par l'avocat de Van Buggenhout.
Bruxelles (L'Echo) - Nouveaux rebondissements sont intervenus mercredi dans les dossiers judiciaires relatifs à la saga Fortis.
Christian Van Buggenhout, l'avocat de l'État belge, et Ivan Verougstraete, le président de la Cour de cassation, ont tous les deux été inculpés hier par un juge d'instruction gantois dans le cadre des fuites entourant l'arrêt rendu, le 12 décembre 2008, par la Cour d'appel de Bruxelles, ordonnant la suspension de la vente de Fortis.
Différentes parties semblaient avoir été mises au courant de la teneur de cet arrêt avant même qu'il ne soit rendu. Selon toute vraisemblance, Christian Van Buggenhout aurait été informé du contenu de l'arrêt par une amie de la juge Christine Schurmans. Cette dernière, également inculpée, s'était désistée avant l'arrêt du 12 décembre.
Parallèlement à cela, il semble que la justice reproche à Ivan Veroug-straete d'avoir informé lui-même un avocat de Fortis. Appelé à témoigner, en mars 2009, devant la Commission d'enquête «Fortisgate», Christian Van Buggenhout avait refusé de prêter serment, et donc de témoigner, enjoint par son bâtonnier de ne pas violer le secret professionnel.
Coups de couteau entre bandes urbaines à Bruxelles
Plusieurs faits de violence ont eu lieu ces derniers jours à Bruxelles. Hier encore, une agression au couteau a été commise dans le métro bruxellois. Les auteurs ainsi que la victime seraient membres de bandes urbaines.
Votre région - Bruxelles 19:37 Une agression au couteau a été enregistrée peu après 16h00, mercredi, dans une station du métro bruxellois. Filmée par les caméras de surveillance, l'altercation a opposé un jeune à une bande d'individus âgés d'une vingtaine d'années. Des coups de couteau se sont perdus. La victime s'est alors jetée dans un wagon pour échapper à ses agresseurs. "Une fois dans le métro, la victime a été repérée par des voyageurs. Ceux-ci ont tout de suite prévenu le conducteur. La procédure d'activation de secours a alors permis qu'une ambulance se charge du jeune homme à la station de métro suivante", a déclaré Jean-Pierre Alvin, porte-parole de la STIB.
Les auteurs des faits ont, eux, pris la fuite. Pour des constatations d'usage, les stations "Porte de Halle" et "Hôtel des Monnaies" ont été fermées pendant plusieurs heures.
Agression mortelle la veille La veille, une autre altercation au couteau avait eu lieu à moins d'un kilomètre de là, place Bara. Là, un jeune Africain de 19 ans est décédé de ses blessures. Il s'agissait également d'une agression au couteau commise par une bande urbaine. "Ce sont des groupes de jeunes qui se regroupent souvent suivant des considérations ethniques. Ils en viennent souvent aux mains ou aux armes les uns contre les autres pour des raisons d'affirmation territoriale", a indiqué Gaetan Van Goidsenhoven, bourgmestre d'Anderlecht.
A la STIB, on tient à rassurer. Il s'agissait hier de la première agression à l'arme blanche en 2009. Malgré cela, il est inquiétant de voir le phénomène des bandes urbains prendre une certaine ampleur.
Un Belge intercepté à Tenerife avec 1.400 kg de haschisch
Monde - Europe 16:00 Un belge de 51 ans qui vit à San Miguel de Abona, à Tenerife, a été interpellé vendredi matin à Arico, ainsi qu'un comparse marocain, pour trafic de drogues, indique samedi un quotidien espagnol. La police a pu intercepter le duo alors qu'il quittait la plage à bord d'une camionnette. La garde civile y a trouvé 1.400 kilos de haschisch. Le Marocain a tenté de prendre la fuite mais il est tombé et s'est cassé la hanche.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Evere : il agresse l'entraîneur de son fils et blesse un mineur d'âge
(20/09/2009) Le père reprochait à l'entraîneur de ne pas avoir sélectionné son fils pour une rencontre. Il a sorti un couteau. Un joueur s'est interposé et a été blessé au thorax. Ses jours ne sont pas menacés BRUXELLES Le père d'un joueur de football a été placé samedi sous mandat d'arrêt pour avoir agressé, vendredi soir vers 19 heures, l'entraîneur de son fils, sur un terrain de football situé près de la place Saint-Vincent à Evere, a indiqué dimanche le parquet de Bruxelles et la police locale de Bruxelles-Nord. Un jeune qui s'interposait a été blessé au cours de l'incident.
Le père reprochait à l'entraîneur de ne pas avoir sélectionné son fils pour une rencontre qui devait se dérouler le lendemain, samedi. Il a sorti un couteau qu'il a porté en direction de l'entraîneur. Un joueur, mineur d'âge, s'est interposé et a été blessé au thorax. Ses jours ne sont pas menacés. Plusieurs témoins ont assisté à la scène.
Le père, K.R., âgé de 55 ans, originaire de l'ex-Yougoslavie, a été inculpé des chefs de coups et blessures envers un mineur qui est en incapacité de travail, et de port d'arme prohibée.
La jeune victime était toujours hospitalisée dimanche et n'avait pas encore pu être auditionnée, a précisé le parquet.
Tragédie à Woluwe: il tue son bébé et la grand-mère
Une grand-mère et sa petite-fille d'un an et demi ont été retrouvées mortes ce lundi dans un appartement de Woluwe-Saint-Lambert. La mère de l'enfant (17 ans), grièvement blessée, a été admise à l'hôpital. Le père de la petite (18 ans), actuellement en centre fermé pour homicide, est suspecté d'être le tueur. Il bénéficiait d'une permission ce week-end.
Témoignages
Dans le quartier, c'est la première fois qu'un tel drame se produit. "Normalement c'était tranquille ici. Le quartier est très tranquille", expliquait une riveraine sur RTL-TVI. Mais pour un jeune voisin du même immeuble, ce drame est moins étonnant : "Il y avait tout le temps des scènes de ménage" chez eux. "On les entend crier tous les soirs, se frapper apparemment, se lancer des trucs..."
Belgique - Fais divers 21:25 C'est la stupeur dans ce quartier habituellement calme de Woluwe-Saint-Lambert. Ce lundi, une grand-mère et sa petite fille âgée d'un an et demi ont été retrouvées mortes dans un appartement au n°37 de l'avenue du mistral. La mère de la petite, âgée de 17 ans, a, elle, survécu. Grièvement blessée, elle a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger. Il s'agirait d'un drame familial dont l'auteur serait le père de l'enfant, un jeune homme de 18 ans déjà connu des services de police. Et pour cause : inculpé pour homicide, il est enfermé au centre fermé de Wauthier-Braine. Il s'en serait pris à son ex-compagne, à leur fille et à la grand-mère du bébé lors d'une visite. Il aurait bénéficié d'une permission pour le week-end. En effet, hier déjà, la police était descendue sur les lieux, alertée par la mère de l'enfant. Le père de l'enfant venait de l'agresser. Selon De Standaard qui révélait les faits ce lundi, le jeune homme suspectait sa compagne (ou ex-compagne) de "le tromper". Une fois le travail de la police scientifique terminé, les corps ont été emmenés pour autopsie. On ignore toujours les causes du décès des deux victimes. L'auteur présumé est quant à lui en fuite et est activement recherché. Le parquet n'a pas confirmé les informations au conditionnel. Interrogé par nos soins, Olivier Maingain (MR-FDF), bourgmestre de Woluvé-Saint-Lambert, n'a rien dit de plus, expliquant que le parquet s'exprimerait sur les circonstances de ce drame en temps voulu
Il s'agit d'un jeune Africain de 18 ans qui a déjà un lourd passé judiciaire.
La jalousie serait le mobile de ce meurtre crapuleux. Le suspect est le papa du bébé. Sa compagne, la maman de la petite donc, a échappé de peu à la mort. Blessée, elle a été hospitalisée.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008