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"Assises de Tours: ouverture du procès des bébés congelés -- Affaire Courjault -"
Véronique Courjault, une mère de famille de 41 ans, qui a avoué trois infanticides, deux commis à Séoul et un en France, comparaît à partir de mardi devant la cour d'assises d'Indre-et-Loire, à Tours.
Jugée pour "assassinats", elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le procès devrait durer jusqu'au 17 juin.
Incarcérée depuis le 12 octobre 2006, à Orléans, Véronique Courjault sera seule dans le box des prévenus. Son mari, Jean-Louis, 42 ans, a été mis hors de cause après avoir été dans un premier temps mis en examen pour "complicité d'assassinats". Sa femme a toujours dit qu'il "n'était pas au courant".
La découverte le 23 juillet 2006 par le mari de deux bébés dans le congélateur de leur maison à Séoul avait été le point de départ de ce fait divers qui a marqué les Français, mais aussi les Coréens.
Le couple nie d'abord "être les parents" mais est confondu par les tests ADN.
La femme reconnaît trois infanticides. Le premier sur un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en Charente-Maritime, les deux autres sur deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 à Séoul où son mari ingénieur travaillait pour une société américaine.
"Les grossesses qui se passent mal existent", plaide le mari qui aime toujours sa femme. Il s'occupe de leurs deux garçons, âgés de 14 et 12 ans, dans leur maison en Touraine. "Je ne les sentais pas bouger dans mon ventre... Pour moi ça n'a jamais été des enfants", confiera-t-elle aux psychiatres qui avouent se trouver "face à un cas assez exceptionnel".
Le déni de grossesse occupera vraisemblablement une grande partie des débats. "Mais pas tous les débats. Le cas de Mme Courjault ne se résume pas à cette notion", estime aujourd'hui Me Hélène Delhommais, un des conseils de Mme Courjault. Selon l'avocate, sa cliente "a hâte d'être jugée. Elle a beaucoup travaillé avec le psychiatre de la maison d'arrêt pour préparer son procès".
Des armes de guerre volées dans la caserne de Bourg-Léopold
Selon la presse flamande de ce jeudi matin, des voleurs ont dérobé mercredi matin des munitions au domaine militaire de Bourg-Léopold, dans le Limbourg. Il s'agit notamment de roquettes anti-char, utilisables contre des fourgons par exemple. Il pourrait s’agir d’une commande du grand banditisme.
Vos réactions "Et bien je pense qu'une banque ou un transport de fonds va en faire les frais..." de Inou Lire les autres réactions
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Des armes de guerre volées dans la caserne de Bourg-Léopold. ...
Belgique - Faits divers 16:20 La Défense parle d'un "incident grave en matière de sécurité". "Les procédures ont été immédiatement enclenchées et trois enquêtes ont été ouvertes: l'une interne, l'autre confiée à la police et la troisième à la justice", a indiqué jeudi le ministère de la Défense, précisant que le ministre, Pieter De Crem, s'est constitué partie civile en tant que responsable du département. Des voleurs ont en effet dérobé mercredi matin des armes de guerre dans le dépôt de munitions du domaine militaire de Bourg-Léopold, dans le Limbourg. Si le vol ne concernerait pas une quantité importante de matériel, il s'agirait d'armes lourdes: des roquettes anti-char, des grenades, des munitions pour armes à feu et des et des thunderflashes (de gros pétards d'exercice). Les roquettes volées sont en effet bien des roquettes anti-char, des M-72 LAW ("Light Antitank Weapon") qui peuvent transpercer des chars et des bunkers. Elles peuvent également atteindre des hélicoptères volant à basse altitude. Ces armes pourraient donc être utilisées pour attaquer des fourgons blindés. "C’est catastrophique parce que ce sont des munitions assez dangereuses. Les gens qui les ont peuvent avoir des idées mal prévues", a souligné sur Bel RTL Erwin De Staelen, le président du SLFP Défense (syndicat libre).
Ni vu ni connu : le plan De Crem mis en cause Il est étonnant de constater que ce vol important s'est déroulé sans violences et dans la plus grande discrétion. Les militaires ne se sont aperçus de rien. Ce sont des surveillants qui ont donné l'alerte à 08h45 lors d'une ronde de contrôle. Comment est-ce possible dans un lieu que l’on imagine hautement sécurisé ? Cela n'étonne qu'à moitié les syndicalistes. "On sait que sur le terrain, les gens sont stressés et sont démotivés. Et il y a parfois des emplacements où il y a moins de personnel à cause du plan De Crem", a déploré Erwin De Staelen. Le bâtiment où étaient entreposées les armes n'était en effet plus gardé en permanence. Par le passé, huit militaires le surveillaient 24h/24, aujourd'hu, le bunker où étaient entreposées ces armes était protégé par un système électronique. Le vol "reste une énigme", a ajouté le porte-parole, assurant que si l'enquête interne révélait qu'un militaire était impliqué des sanctions seraient prises, qui pourrait aller jusqu'à la démission.
Sans doute une commande des milieux criminels Pour le moment, on ignore encore l'identité des voleurs. Mais la police peut dresser facilement leur profil. Il s'agit sans doute de malfrats issus du grand banditisme. Le vol de ce type de matériel pourrait donc être le fait d'une commande des milieux criminels. Un des porte-parole de la Défense, le commandant Séverin, a confirmé le vol. Le parquet de Hasselt a ouvert une enquête. La Défense n'a pas désiré fournir plus de détails sur le butin volé afin de ne pas compromettre les devoirs d'enquête qui doivent être réalisés. Une enquête a également été ouverte au niveau interne de la Défense. Celle-ci a été remise aux mains de la police fédérale.
Encore une foi un bon musulman qui polue la Belgique.
Fusillade Palais de justice: le suspect arrêté
Le meurtrier présumé d'une juge de paix et d'un greffier, abattus jeudi froidement en pleine salle d'audience à Bruxelles, a été interpellé, affirme ce matin le parquet de Bruxell
Vos réactions "La Justice représente ce qu'il y a de plus fondamental dans une société humaine. Les magistrats doivent pouvoir rendre cette justice sans craindre pour leur vie." Lire les autres réactions
Conférence de presse à 11h
Une conférence de presse se tiendra à 11h. RTLinfo vous tiendra bien entendu informer des éléments apportés lors de celle-ci.
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Le suspect du double meurtre arrêté
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Belgique - Faits divers 10:31 Slon la VRT, il s'agirait d'un Iranien de 47 ans. Il a été identifié par des témoins de la fusillade mortelle. Il aurait été reconnu grâce à une cicatrice sur le visage et une blessure occasionnée lors de la fusillade. L'homme aurait affirmé avoir agi par vengeance. Celle-ci pourrait être liée à une affaire jugée 4 ans auparavant par la magistrate Isabelle Brandon.
> ARRESTATION DU SUSPECT: LES IMAGES DE JEUDI SOIR
> ARRESTATION DU SUSPECT: ECOUTEZ LE RÉCIT
Des tirs en l'air dans le parc de Bruxelles L'homme a été arrêté jeudi vers 19h20 près de la fontaine du Parc royal de Bruxelles, donc en plein centre-ville de la capitale. Lorsque les policiers ont voulu le contrôler, il a brandi une arme et tiré plusieurs fois en l'air. Dans le tumulte qui a suivi, les agents sont parvenus à désarmer l'homme et à le maîtriser. Le suspect a été blessé lors de l'incident. Dans un premier temps, la police avait déclaré que les deux incidents n'avaient "aucun lien". Des perquisitions ont également été effectuées hier par la police en Région bruxelloise. Ce matin, la ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom a félicité la police pour "l'arrestation rapide de l'auteur présumé".
RAPPEL DES FAITS ET PORTRAITS DES VICTIMES
La juge et le greffier abattus froidement Jeudi matin, une magistrate et son greffier avaient été abattus par un homme qui assistait à une audience du tribunal de justice de paix --qui traite notamment de divorces et conflits de voisinage--. L'auteur des coups de feu était parvenu à s'enfuir. L'affaire --une première dans l'histoire de la Belgique après d'autres incidents ayant mis en cause ces dernières années la sécurité des locaux judiciaires-- a suscité un grand émoi dans le pays.
> VIDEO: LES REPORTAGES DU JOURNAL DE 19H
> PORTRAIT DES DEUX VICTIMES
Le récit du drame Christian De Coninck, porte-parole de la police de la zone Bruxelles-Ixelles, a donné une conférence de presse à 14h00 pour expliquer le drame. Un appel, dont l'origine n'est pas connue, a avisé le 101 à 11h23 qu'une fusillade avait éclaté dans une salle d'audience de la Justice de Paix rue Ernest Allard à Bruxelles. Une patrouille est rapidement intervenue sur les lieux. Après avoir sécurisé le périmètre, les agents ont pénétré dans l'immeuble et ont constaté la présence des deux corps sans vie de la juge de paix du 4e canton et de son greffier. L'auteur des coups de feu avait déjà pris la fuite. Il "a été brièvement poursuivi par un des avocats présents mais il a réussi à prendre la fuite à pied dans les rues du quartier", selon le représentant du parquet. Son signalement a été transmis à la police et une chasse à l'homme a été lancée. Coups de hache ? Le parquet dément
Le tueur était vers 11h15 dans la salle d'audience lorsqu'il a ouvert le feu sur le magistrat et son greffier qui étaient en plein travail. "Alors que l'audience s'achevait", le meurtrier, qui venait d'y assister, "a sorti une arme, un revolver, et a tiré en direction de la juge et de son greffier, les tuant tous les deux", a expliqué le porte-parole du parquet de Bruxelles, Jean-Jacques Meilleur. Selon plusieurs médias, l'auteur de la fusillade serait entré, aurait tiré sur le greffier à bout portant, puis lui aurait porté un coup de hache dans le dos. Il aurait touché mortellement au visage la présidente du tribunal de Justice de Paix Isabelle Brandon, rapporte également plusieurs sources. Mais le parquet de Bruxelles a démenti que le greffier ait également reçu un coup de hache. Selon le parquet, seule une arme à feu a été utilisée lors de ces événements dramatiques. D'autre part, selon des élements de l'enquête, l'homme était présent dès le début des audiences ce jeudi et n'aurait prononcé aucune parole avant de commettre son geste. Il a ensuite fui à pied avec son arme (à feu uniquement, donc). Il n'y avait alors dans cette salle, où sont traitées des affaires de voisinage ou de divorce, que les deux victimes et deux ou trois avocats. Au moment de faits, la panique aurait immédiatement gagné les personnes présentes d'après un témoin, révèle Le Soir. Une odeur de poudre régnait dans la salle d'audience. Les témoins se cachaient ou fuyaient après la fusillade.
La première fois dans l'histoire de la Belgique La présidente du tribunal de la justice de paix de Bruxelles tuée par balle s'appelle Isabelle Brandon (une dame proche de la pension de 61 ans), son greffier était M. André Bellemans. Elle avait un "curriculum excellent", a expliqué le ministre de la Justice, Stefaan De Clerck, qui s'est immédiatement rendu sur les lieux. "C'est le drame. Un magistrat, pour la première fois de l'histoire de la Belgique, ainsi que son greffier, ont été tués en pleine salle d'audience, c'est inacceptable", a déclaré M. De Clerck. Ce drame innomable constitue en effet une première en Belgique. Il est d'autant plus étonnant qu'il s'est déroulé dans un tribunal civil, un tribunal de Paix qui traite de conflits mineurs, au contraire d'un tribunal pénal.
> PORTRAIT DES DEUX VICTIMES
L'audience du matin était "une audience normale", a encore rappelé le porte-parole du parquet. Il n'était pas encore établi, trois heures après la fusillade, s'il y avait un lien entre le meurtrier et les affaires jugées par la magistrate. Une minute de silence devait être organisée à 16h00 dans la salle des pas perdus du palais de justice, en présence de magistrats et d'avocats, dont certains étaient très choqués.
> LES COLLEGUES DE LA JUGE LUI RENDENT HOMMAGE
Un précédent à Nieuport en 1996, mais pas de mort Les coups de feu tirés jeudi dans la Justice de paix de Bruxelles ne sont pas les premiers en Belgique. Le 6 février 1996, des coups de feu furent ainsi tirés dans la Justice de paix de Nieuport. Personne n'avait été blessé, le greffier et un avocat parvenant à fuir juste à temps. Un détenu cité devant le juge de paix était alors parvenu à s'emparer de l'arme d'un gendarme avant d'ouvrir le feu pour faciliter son évasion. L'auteur avait été abattu peu après sur la voirie alors qu'il tentait de car-jacker une voiture.
> LA QUESTION DE LA SECURITE AU PALAIS DE JUSTICE A NOUVEAU POSEE
De Clerck rencontrera les acteurs de la Justice
Le Comité ministériel restreint s'est réuni jeudi en fin d'après-midi et a entendu un rapport du ministre de la Justice Stefaan De Clerck sur les événements. Le même ministre de la Justice rencontrera, aujourd'hui, tous les acteurs de la justice.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Bonjour M Biloulou . Si il tue car il n'est pas en accord avec la loi Belge sur la garde des enfants et préfere se reférer a la loi coranique il doit etre muslim .
Depuis Namur, il organisait des attentats en Macédoine et au Kosovo
Un Albanais planifiait depuis Namur des attentats perpétrés en Macédoine et au Kosovo.
Votre région - Namur 9:05 Un politicien albanais a été condamné par le tribunal correctionnel de Namur pour avoir organisé des attentats en Macédoine et au Kosovo depuis Namur où il a vécu sous le statut de réfugié politique entre 97 et 2003. Idajet Beqiri, c’est son nom, a été condamné par contumance à 4 ans de prison, il vit aujourd’hui en Albanie.
Le suspect a voulu se venger d'une expulsion de son appartement
Le suspect arrêté pour le double meurtre d'une magistrate et d'un greffier à Bruxelles a reconnu sa responsabilité et expliqué avoir voulu se venger d'une expulsion de son appartement décidée il y a trois ans par la juge, a indiqué vendredi le parquet de la ville.
Belgique - Faits divers 12:15 Le suspect arrêté pour le double meurtre d'une magistrate et d'un greffier à Bruxelles a reconnu sa responsabilité et expliqué avoir voulu se venger d'une expulsion de son appartement décidée il y a trois ans par la juge, a indiqué vendredi le parquet de la ville. "Selon ses propres déclarations, il était présent dans la salle d'audience, il a sorti une arme et a tiré sur la juge et son greffier" jeudi en fin de matinée, a indiqué le porte-parole du parquet, Jean-Marc Meilleur, lors d'une conférence de presse.
Expulsé de son appartement par décision de la juge 3 ans plus tôt "Il explique que le motif était la vengeance contre la justice en général et la juge de paix en particulier" qui "avait décidé en 2007 de l'expulser de l'appartement qu'il louait, a-t-il ajouté. L'homme, âgé de 47 ans, était depuis sans domicile fixe. Il est connu des services de police pour des faits de violence commis dans les années 1990. Le parquet n'a pas été mesure de préciser à ce stade sa nationalité. Selon une source judiciaire, il est Iranien.
Arrestation: il tirait des coups de feu en l'air Le suspect a été interpellé jeudi soir dans un parc du centre de Bruxelles, après avoir tiré des coups de feu en l'air pour une raison non élucidée. "Il tirait en l'air, soit il voulait être arrêté ou il voulait se suicider", a souligné le porte-parole. Parmi les témoins ayant assisté à la scène et prévenu les forces de l'ordre figurait la ministre belge de l'Intérieur Annemie Turtelboom. Trois policiers sont alors intervenus et l'un d'eux a réussi à désarmer l'homme en lui donnant un coup de matraque sur la main. Le meurtre de sang froid par balles en pleine salle d'audience jeudi d'une juge de paix, chargée de régler des affaires familiales et de voisinage, ainsi que son greffier, est sans précédent en Belgique, où l'affaire a provoqué une vive émotion.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Bonjour M Biloulou . Si il tue car il n'est pas en accord avec la loi Belge sur la garde des enfants et préfere se reférer a la loi coranique il doit etre muslim .
Tu es parfois pénible avec tes raccourcis et préjugés, Messire !
Le corps sans vie d'une journaliste bulgare de 29 ans a été découvert dans son appartement par une patrouille de la police de Bruxelles, indique Le Soir Mag.
Votre région - Bruxelles 9:54 La jeune femme a succombé à une vingtaine de coups de couteau. L'auteur est le petit ami de la victime. Il s'est présenté lui-même à la police. La victime, Anna, a été retrouvée dans son appartement situé dans le quartier européen, à deux pas du Parlement européen. Adrian, le petit ami de la jeune journaliste, s'est rendu dans un commissariat au Luxembourg, l'arme du crime encore en main. Les autorités luxembourgeoises ont aussitôt avisé leurs homologues belges.
Molenbeek: un homme poignardé par un squatteur dans son hall d’entrée
Un homme vivant à Molenbeek a reçu deux coups de couteau mardi soir en sortant de chez lui. Ses jours ne sont pas en danger. La police de la zone Bruxelles-Ouest a interpellé l'auteur, un jeune homme qui depuis plusieurs mois se rendait dans le hall d'entrée de l'immeuble de la victime pour fumer et discuter, a-t-on appris ce jeudi au parquet de Bruxelles.
Votre région - Bruxelles jeu 3 juin, 14:01 Alors qu'il sortait de son immeuble de l'avenue Jean Dubrucq vers 18h15, l'homme victime des coups de couteau s'est adressé au suspect, alors seul dans le hall d'entrée. Visiblement, il connaissait l'auteur présumé des faits car, depuis plusieurs mois, lui et quelques amis occupaient de temps à autre les lieux. Le jeune homme s'est alors soudainement énervé. Il aurait invité plusieurs fois la victime à le frapper. Le plaignant n'arrivant pas à calmer le jeune homme, il s'est éloigné et a ramassé sa mallette. Alors qu'il était en passe de sortir, il a senti une forte douleur dans le dos et le bras gauche. Il a ensuite remarqué que, dans sa fuite, l'auteur tenait un couteau dans sa main droite. La victime et un témoin ont tous deux reconnu le suspect sur photo au commissariat. Il a été intercepté et mis à la disposition du parquet de Bruxelles.
Un fonctionnaire européen retrouvé mort ligoté sur son lit.
Belgique - Faits divers 11:59 Le corps d'un fonctionnaire européen a été découvert jeudi soir, ligoté sur son lit, dans son appartement de Berchem-Sainte-Agathe. Le décès remonterait à deux semaines, rapporte vendredi Le Soir Mag sur son site internet.
Ce sont des voisins, alertés par l'odeur du corps en décomposition, qui ont prévenu la police. La victime, Marc M., 58 ans, se trouvait sous un tas de couverture, ligoté sur son lit. Selon Le Soir Mag, les enquêteurs ne disposent actuellement d'aucun indice pour remonter à un éventuel suspect. La victime n'avait plus donné signe de vie depuis environ deux semaines.
Belgique - Faits divers 20:47 Ce vendredi matin vers 10h00 s’est déroulé un drame familial à Itterbeek (commune flamande de Dilbeek), près de la Région bruxelloise. Selon le bourgmestre Stephaan Platteau, le gendre d'un couple de sexagénaires s'est rendu au domicile de ceux-ci, chaussée de Lennik. Là, il aurait agressé les parents de son épouse à l'arme à feu. Des voisin ont confirmé avoir entendu des déflagrations. Le parquet est descendu sur place. Les victimes sont un couple d'origine arménienne qui habite là depuis 6 mois. L'homme est grièvement blessé au ventre et la mère à la tête, selon Jean-Marc Meilleur, porte-parole du parquet de Bruxelles. Ils sont actuellement soignés dans un hôpital donc le parquet ne veut pas communiquer le nom.
Règlement de comptes pour une affaire de divorce De source communale, il s'agirait d'un règlement de compte dans le milieu arménien. Jean-Marc Meilleur précisait en début de soirée que vraisemblablement, l'épouse de l'agresseur venait de demander le divorce. L'homme est en fuite. L'agresseur aurait peut-être été aidé par son père dans cette affaire, des témoins ayant vu une personne d'une soixantaine d'année conduire la voiture avec laquelle le gendre est arrivé chez ses beaux-parents.
Le tout dernier sondage électoral en date vient de tomber: réalisé par TNS pour De Standaard et la VRT auprès de 1021 personnes, il conforte la tendance affichée jusqu’ici en Flandre. La N-VA de Bart De Wever remporterait ces élections haut la main, avec 25,2% des voix, devant le CD&V.
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Elections législatives: Steven Samyn analyse le dernier ...
Elections législatives: portrait de Marianne Thyssen.
Belgique - Elections 2010 18:36 Le tout dernier sondage électoral en date vient de tomber: réalisé par TNS pour De Standaard et la VRT auprès de 1021 personnes du 21 mai au 1er juin par téléphone, il conforte la tendance affichée jusqu’ici en Flandre. La N-VA de Bart De Wever remporterait ces élections haut la main, avec 25,2% des voix, devant le CD&V. L’électeur flamand (y compris de Hal-Vilvorde, mais pas de Bruxelles) s’est vu poser la question suivante : "S’il y avait des élections aujourd'hui pour la Chambre des représentants, pour quel parti voteriez-vous ?" Le résultat est le suivant : N-VA 25,2% (+9,4% par rapport au sondage d'avril) CD&V 19,0% (-3,2%) Open VLD 13,9% (-3,7%) sp.a 13,8% (-2,1%) Vlaams Belang 11,5% (-2,5%) Groen! 8,2% (+0,1%) Lijst Dedecker 6,6% (-0,8%) Les autres partis ne récoltant ensemble que 1,7%, et 4,5% des sondés ayant refusé de répondre. En termes de popularité, le président de la N-VA Bart De Wever arrive en tête (46%) suivi du ministre-président flamand CD&V Kris Peeters (40%) et de l'ancien ministre sp.a Frank Vandenbroucke (33%). Yves Leterme est 8eme avec 28%. La président du CD&V Marianne Thyssen, candidate annoncée au poste de premier ministre, n'est pas dans le top-10.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
J'ai hésité à placer cette affaire judiciaire dans ce fil qui est plutôt devenu la rubrique des chiens écrasés, maris trompés et autres faits divers, mais je n'ai rien trouvé de plus adapté...
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Brice Hortefeux condamné pour injure raciale (Reuters, il y a 46 min)
Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a été condamné vendredi à 750 euros d'amende et 2.000 euros de dommages et intérêts pour injure raciale lors d'une conversation en 2009 avec un militant UMP d'origine maghrébine.
BRICE HORTEFEUX CONDAMNÉ POUR INJURE RACIALE
Le tribunal correctionnel de Paris a jugé que les propos n'avaient pas vocation à être entendus par d'autres personnes mais n'étaient pas confidentiels pour autant, et qu'ils stigmatisaient les arabes comme étant une source de problèmes.
Il a donc condamné le ministre à une contravention de quatrième classe pour "injure non publique envers un groupe de personnes en raison de leur origine", suivant les réquisitions du parquet qui estimaient que les propos n'étaient pas publics mais bien "outrageants" et "méprisants".
Le Parti socialiste a demandé la démission de Brice Hortefeux, qui a été défendu par le parti majoritaire.
Le ministre de l'Intérieur, absent à l'audience comme au délibéré, était cité à comparaître par le Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples).
"A lui maintenant d'en tirer les conséquences politiques. C'est une grande victoire contre le racisme et les expressions racistes", a déclaré l'avocat de l'association, Pierre Mairat.
L'avocat de Brice Hortefeux a annoncé qu'il ferait appel.
"C'est une décision juridiquement critiquable et M. Hortefeux décide de faire immédiatement appel", a dit Me Nicolas Bénoit.
Les faits se sont déroulés le 5 septembre 2009 sur le campus d'été des Jeunes UMP à Seignosse (Landes), alors qu'on présentait à Brice Hortefeux un jeune militant d'origine maghrébine et membre d'une délégation de l'Auvergne, qui précise cette dernière, n'est pas musulman et mange du cochon.
HORTEFEUX A DONNÉ DES EXPLICATIONS DIVERSES
A la fin de l'échange, aux côtés de Jean-François Copé, président du groupe UMP de l'Assemblée nationale, le ministre dit : "Il ne correspond pas du tout au prototype. Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes." La séquence a été filmée par des caméras de Public Sénat, à l'insu du ministre selon la justice, et diffusée par le site internet du Monde.
La diffusion de ces propos avait provoqué un tollé, la gauche réclamant même la démission du ministre.
Brice Hortefeux avait donné des explications diverses, disant tantôt qu'il parlait du nombre de clichés pris avec lui dans la journée, tantôt qu'il parlait des habitants de l'Auvergne, dont il a fait sa cible électorale.
Le tribunal n'a pas jugé outrageant le terme "prototype", ne reprochant au ministre de l'Intérieur que la seconde partie de sa phrase.
"L'emploi du mot prototype (...) laisse entendre que tous les arabes de France seraient semblables" et assimile une origine géographique à une religion, a dit le président. Cette phrase est donc "de nature à flatter le préjugé" mais elle ne traduit pas du mépris envers une personne d'origine arabe, a-t-il considéré.
En revanche, la suite des propos, dont il est incontestable qu'ils concernent les personnes d'origine arabe selon le tribunal, constituent "un aphorisme incontestablement outrageant sinon méprisant".
Les arabes sont ici "présentées comme facteurs de problèmes du seul fait de leur origine", constate la justice.
Le Parti socialiste a immédiatement réclamé la démission du ministre de l'Intérieur au nom de l'exemplarité.
"Dans la République exemplaire de Nicolas Sarkozy, il ne devrait pas y avoir de place pour un ministre condamné pour injure raciale", a déclaré le porte-parole du PS Benoît Hamon lors d'un point de presse. "La dignité dans cette affaire, c'est d'abord de s'excuser et ensuite de partir", a-t-il ajouté.
En revanche, Dominique Paillé, porte-parole de l'UMP, l'a défendu sur France Info en parlant de "désagréable surprise".
"Je connais l'homme, il n'est absolument pas raciste", a-t-il dit en soulignant qu'il était présent lorsqu'ont été tenus les propos incriminés. "C'est vraiment choquant."
(Clément Guillou, édité par Yves Clarisse)
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C'est non seulement choquant mais surtout du grand n'importe quoi, de la vrai masturbation juridique. Espérons que le cour d'appel rendra à la Justice son honneur perdu.
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Un important trafic organisé d'héroïne démantelé à Arlon
Quelque 12 kilos d'héroïne pure et une somme de 15.000 euros ont été saisis au cours d'une opération menée le 17 mai par une soixantaine de policiers fédéraux et locaux, a indiqué mardi le parquet d'Arlon. La valeur marchande de la drogue est estimée entre 120.000 et 400.000 euros. Il s'agit de la deuxième plus grosse prise d'héroïne en Belgique, selon le parquet d'Arlon.
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Sept mandats d'arrêt et 12 kilos d'héroïne saisis à ...
Belgique - Faits divers mar 8 juin, 21:12 Une soixantaine de policiers fédéraux et de trois zones de l'arrondissement d'Arlon a procédé mi-mai à une dizaine de perquisitions dans le cadre d'un dossier de trafic de drogue à l'échelon européen. Sept personnes, dont deux interpellées aux Pays-Bas, ont été placées sous mandats d'arrêt. Quelque 12 kilos d'héroïne pure et une somme de 15.000 euros ont été saisis.
Une tonne de drogue a circulé Le trafic de drogue a été organisé de 2007 à 2010 tant en Belgique qu'en France ou aux Pays-Bas avec comme plaque tournante Athus, selon le procureur du roi d'Arlon Serge Lipszyc. "Il s'agissait d'une structure pyramide qui avait pour tête un Turc résidant aux Pays-Bas. Le chef de la zone Belgique-Luxembourg était un Portugais", a expliqué le procureur du roi. En 3 ans, "on peut estimer que près d’une tonne a circulé, a été vendu à des femmes, à des hommes, à des jeunes," a expliqué le Procureur du Roi d’Arlon.
Un système bien organisé L'enquête a démarré à la suite de l'interception durant le second semestre de l'année passée d'un mulet en possession de 500 grammes d'héroïne. "Les qualités de drogue démontrent qu'il s'agit d'un système bien organisé", selon le parquet d'Arlon.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
États-Unis (Floride) : 25 ans de prison pour un adolescent de 17 ans
A Fort Lauderdale à la mi-mai, un adolescent de 17 ans a été condamné à 20 ans de prison et 5 ans de probation. La première année se fera dans un centre de jeunesse. Jason Hartley a été reconnu coupable du meurtre de Neica Marie Gibbs. Au moment du drame le 28 juin 2008, la jeune fille avait 14 ans et le jeune homme 15.
Tout s'est passé au parc de maisons mobiles de la famille de Jason au Azalea Trailer Colony Mobile Homes Park à Fort Lauderdale. Les deux adolescents ont décidé de faire l'amour mais comme Jason n'avait aucune expérience, Neica a eu le malheur de rire de lui et du fait qu'il était vierge. Fou de rage, il l'a étranglée avec ses mains, roulé le corps dans une grande toile bleue et jeté le tout dans une poubelle. Ce n'est que trois semaines plus tard que la mère de Jason, Lorraine Boggess a découvert le corps.
Au cours du procès, Jason a déclaré qu'elle lui avait demandé 50$. pour une relation sexuelle mais comme il n'avait pas payé faute d'argent et qu'en plus il était vierge, l'aventure a tourné au vinaigre. Il a bien voulu se déculpabiliser en affirmant que c'était un accident, mais peine perdue. Toutes les preuves étaient contre lui.
Chaînes aux pieds, menottés et dans l'uniforme des détenus, Jason a accepté sa condamnation sans broncher.
20 mineurs d'âge détenus dans des prisons bruxelloises
Les mineurs d’âge poursuivis pour faits de délinquance n’ont pas leur place en prison, pourtant une vingtaine d’entre eux sont actuellement détenus dans les prisons de Forest et de Saint Gilles. Le délégué aux Droits de l’Enfant crie au scandale.
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Des mineurs d'âges sont détenus dans des prisons pour ...
Belgique - Société 14:58 Cela faisait plusieurs mois que Bernard De Vos, délégué général aux Droits de l’Enfant, tentait de connaître le nombre exact de mineurs emprisonnés. Après 1h30 de visites et d’entretiens avec des responsables et trois détenus âgés de 17 ans, il s’est exclamé : "C'est une catastrophe! C'est pire que ce que j'imaginais!".
20 mineurs dans les prisons bruxelloises Selon lui, dix mineurs sont aujourd'hui détenus à la prison de Forest, et autant à Saint-Gilles. Il s'agit soit de jeunes délinquants pour lesquels le juge de la jeunesse s'est dessaisi au profit de la justice pour adultes, ou de mineurs étrangers non accompagnés (MENA) dont l'âge ne peut être clairement établi.
Enfermés avec des multirécidivistes Saluant la bonne volonté du personnel pénitentiaire qu'il a rencontré, M. De Vos a néanmoins estimé que ces jeunes étaient détenus dans des conditions "déplorables et détestables". "Le système est à revoir de fond en comble! ". "Il est clair que ces jeunes sont enfermés pour la plupart suite à des faits graves. Mais il n'y a aucun projet pédagogique, il n'y a pas d'occupation prévue. Ils ne peuvent travailler (dans la prison), et donc gagner un peu d'argent pour cantiner ou téléphoner", a-t-il dénoncé. Selon lui, ces mineurs détenus partagent leur sortie au préau avec les détenus de droit commun. "Certains sont même enfermés avec des adultes, parfois avec des multirécidivistes!"
Des recommandations aux responsables politiques Ces conditions de détention sont bien évidemment contraires à la déclaration internationale relative aux Droits de l’Enfant. Bernard De Vos compte régulariser cette situation au plus vite : "On va travailler sur des recommandations qu’on proposera aux responsables politiques très rapidement".
Belgique - Société 10:20 Il ressort du rapport "World Drug Report" des Nations-Unies qu'Anvers est toujours considérée comme un des points d'accès les plus fréquentés en Europe pour les drogues en provenance d'Afghanistan. Les autres pays pointés du doigt dans ce domaine sont le Portugal, l'Espagne et les Pays-Bas, avec le port de Rotterdam. Ces quatre pays comptabilisent 70% des saisies de cocaïne en 2008. Selon les chiffres de l'ONU, en Belgique, d'après une estimation, 1,2% de la population totale entre 15 et 64 ans consomme de la cocaïne. La Belgique fait moins dans ce domaine que ses pays voisins. La Belgique figure en 7e position du classement des consommateurs européens de cocaïne.
Jusqu'à 6 ans fermes pour les évadés de la prison de Bruges
(28/06/2010)
Lesley Deckers a écopé, quant à elle, de cinq ans de prison dont deux ans fermes pour avoir aidé les détenus à s'évader BRUGES Le tribunal correctionnel de Bruges a condamné lundi 6 des 10 prévenus poursuivis dans le cadre de la spectaculaire évasion de la prison de Bruges à des peines allant jusqu'à 6 ans de prison ferme. Quatre autres prévenus ont été acquittés. Ashraf Sekkaki, Mohamed Johri et Abdelhaq Melloul Khayari s'étaient évadés le 23 juillet dernier de la prison de Bruges au moyen d'un hélicoptère.
Les trois hommes avaient ensuite commis un carjacking et braqué plusieurs banques. Abdelhaq Melloul Khayari, le principal prévenu, s'est donc vu infliger 6 ans de prison ferme pour la prise en otage du pilote de l'hélicoptère, deux carjackings et deux attaques de banques dans la province d'Anvers.
Lesley Deckers a écopé, quant à elle, de cinq ans de prison dont deux ans fermes pour avoir aidé les détenus à s'évader. Elle a également pris part à un carjacking ainsi qu'aux braquages des banques. Le ministre de la Justice devra décider si elle devra retourner effectivement en prison.
Lahoucine El Haddouchi, qui était resté dans la cour intérieure de la prison, s'est vu condamner à quatre ans de prison avec sursis pour la moitié. Redouane Melloul Khayari s'est vu infliger, quant à lui, 18 mois de prison. Mohamed B. de Koekelberg et Nasr-Eddine Sekkaki ont été condamnés chacun à des peines avec sursis pour avoir aider les détenus à s'échapper. Tous devront également indemniser les parties civiles.
Violée à 16 ans par 11 jeunes durant toute une nuit: 6 ans de prison
Le tribunal correctionnel de Bruxelles a condamné mardi, par défaut, un jeune homme de 19 ans à 6 ans de prison ferme pour avoir séquestré, durant une nuit, une jeune fille et pour l'avoir violée. D'autres membres de la bande, mineurs au moment des faits, seront jugés par une chambre spécifiquement en charge des dessaisissements du tribunal de la jeunesse.
Votre région - Bruxelles 20:13 Le 1er août 2009, le jeune prévenu, accompagné de 11 de ses copains, avaient séquestré l'adolescente de 16 ans, dans un bâtiment de la rue de la Chanterelle à Laeken, chez l'un d'eux. Les agresseurs l'avaient enfermée dans la chambre des parents alors que ceux-ci étaient en vacances à l'étranger. Les suspects l'avaient violée, tour à tour, durant toute la nuit. La jeune victime avait raconté qu'ils étaient tous dans la pièce à la regarder et à rigoler alors qu'elle criait de mal. Ce soir-là, la jeune fille rentrait de la foire du midi, vers 20h30. Elle avait repris le métro, direction Delacroix. Un des jeunes auteurs était alors venu s'asseoir à côté d'elle et lui avait posé des questions. Comme elle ne répondait pas, il avait commencé à l'agresser verbalement, puis physiquement lorsqu'elle avait voulu changer de place. Un autre individu avait ensuite rejoint le premier. Ils l'avaient forcée à descendre à la station Gare de l'ouest et à monter dans une voiture avec eux, jusqu'à l'habitation en question. Ils l'avaient ensuite libérée, le lendemain, vers 12h30. La jeune fille avait encore fait l'objet de leur part, ultérieurement, de menaces de mort.
Biloulou
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Battu à mort sur l'A13 : "on va vous tuer devant votre mère" raconte le frère
Monde - France 8:06 "Ils nous ont dit: +on va vous tuer devant votre mère+", a raconté mercredi sur Europe 1 Nabil, frère de l'homme battu à mort dans la nuit de samedi à dimanche dans les Yvelines, lors d'une rixe sur l'autoroute A13. "Ils ne sont pas venus pour comprendre, ils sont venus pour faire la guerre", a ajouté Nabil, la voix étranglée par l'émotion, pour décrire l'arrivée des amis de la conductrice du véhicule avec lequel sa famille avait eu un accident. Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1H00, sur l'A13, au niveau de la commune de Chapet, près des Mureaux, la voiture d'un homme qui partait en vacances en famille est entré en collision avec une Renault conduite par une jeune femme qui a refusé de signer le constat amiable et appelé des amis en renfort. Une dizaine de jeunes gens sont alors arrivés et une bagarre a éclaté au bord de l'autoroute. "A la base, c'est parti d'un accident", a confirmé Nabil, le jeune frère de la victime. "On a voulu faire un constat, ils n'étaient pas de cet avis, a-t-il ajouté. Apparemment, les constats, c'étaient pour les Français, selon eux". "Une fois qu'on a appelé la police, ils ont appelé leurs copains", a-t-il poursuivi. Deux hommes de 21 et 22 ans ont été mis en examen et écroués lundi soir dans cette affaire. Et trois personnes ont été placées mardi soir en garde à vue. A leur arrivée, les individus n'ont pas cherché à comprendre. Selon Nabil, "ils nous ont dit : +on va vous tuer devant votre mère+. C'était ça leur programme : on va les finir". "Ils n'ont pas cherché à savoir ce que la voiture avait de cassé", a-t-il précisé. "Mon frère, c'était un mec bien, a conclu le jeune homme, au sujet de Mohamed, 30 ans, employé d'une imprimerie à Lognes (Seine-et-Marne). Il travaillait. C'était mon exemple-modèle".
Bruxelles: il se défend avec un couteau contre un policier
Mounir, 25 ans et membre d'une bande urbaine, n'a pas hésité à sortir un couteau contre un policier qui tentait de l'arrêter pour avoir fracturé plusieurs voiture.
Belgique - Faits divers 14:46 La police de Bruxelles a arrêté dans la nuit de lundi à mardi un homme de 25 ans surpris par un témoin en train de fracturer une voiture. Mounir M., en liberté conditionnelle et membre d'une bande urbaine, avait déjà fracturé huit véhicules à l'arrivée des forces de l'ordre. Il a tenté de résister à son arrestation en sortant un couteau, a précisé le parquet de Bruxelles.
Il sort un couteau et tente de toucher l'agent Dans la nuit de lundi à mardi, la police a été appelée avenue des Croix de Feu par un témoin qui avait vu un homme fracturer des véhicules. A l'arrivée des agents, le suspect a pris la fuite en direction de la tour japonaise. Quand un des policiers l'a attrapé, Mounir M. a sorti un couteau et tenté de toucher l'agent, qui s'est défendu avec sa matraque. Il est finalement parvenu à maîtriser le suspect avec l'aide son collègue. Le jeune homme a reconnu avoir fracturé trois voitures et prétendu ne pas se souvenir des autres. Il a été mis à disposition du parquet.