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"Assises de Tours: ouverture du procès des bébés congelés -- Affaire Courjault -"
Véronique Courjault, une mère de famille de 41 ans, qui a avoué trois infanticides, deux commis à Séoul et un en France, comparaît à partir de mardi devant la cour d'assises d'Indre-et-Loire, à Tours.
Jugée pour "assassinats", elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le procès devrait durer jusqu'au 17 juin.
Incarcérée depuis le 12 octobre 2006, à Orléans, Véronique Courjault sera seule dans le box des prévenus. Son mari, Jean-Louis, 42 ans, a été mis hors de cause après avoir été dans un premier temps mis en examen pour "complicité d'assassinats". Sa femme a toujours dit qu'il "n'était pas au courant".
La découverte le 23 juillet 2006 par le mari de deux bébés dans le congélateur de leur maison à Séoul avait été le point de départ de ce fait divers qui a marqué les Français, mais aussi les Coréens.
Le couple nie d'abord "être les parents" mais est confondu par les tests ADN.
La femme reconnaît trois infanticides. Le premier sur un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en Charente-Maritime, les deux autres sur deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 à Séoul où son mari ingénieur travaillait pour une société américaine.
"Les grossesses qui se passent mal existent", plaide le mari qui aime toujours sa femme. Il s'occupe de leurs deux garçons, âgés de 14 et 12 ans, dans leur maison en Touraine. "Je ne les sentais pas bouger dans mon ventre... Pour moi ça n'a jamais été des enfants", confiera-t-elle aux psychiatres qui avouent se trouver "face à un cas assez exceptionnel".
Le déni de grossesse occupera vraisemblablement une grande partie des débats. "Mais pas tous les débats. Le cas de Mme Courjault ne se résume pas à cette notion", estime aujourd'hui Me Hélène Delhommais, un des conseils de Mme Courjault. Selon l'avocate, sa cliente "a hâte d'être jugée. Elle a beaucoup travaillé avec le psychiatre de la maison d'arrêt pour préparer son procès".
Liège : chasse à l'homme à la clinique de l'Espérance
Des infirmières ont cru qu'une dame poignardée le 6 mai dernier avait échappé à son agresseur présumé venu lui rendre visite dans sa chambre d’hôpital. Or, il semble s'agir d'une fausse alerte.
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Chasse à l'homme dans un hôpital de Saint-Nicolas, près ...
Votre région - Liège 19:57 Le 6 mai dernier, une dame se fait agresser au couteau dans sa maison, indique Vincent Jamoulle pour RTL-TVi. Ce jour-là, son agresseur met le feu à l’habitation de la dame, via une bombonne de gaz qui s’y trouvait. Depuis lors, l’homme est recherché par la police, qui a d’abord suspecté le mari de la victime car la séparation des deux époux se passait très mal, notamment. Cependant, le mari de la victime détenait un alibi. Pour des raisons non communiquées, la police a ensuite soupçonné une autre personne d’avoir commis l’agression.
A nouveau menacée ? Il semble que non
Aujourd’hui, un nouvel épisode est venu s’ajouter au calvaire de la victime. Depuis l’agression, elle se faisait soigner à la clinique de l'Espérance, à Montegnée. Les infirmières avaient été briefées quant à la situation : elles étaient donc en mesure de reconnaître la personne soupçonnée d’avoir agressé la victime qu’elles soignaient. Ce vendredi, vers 15 heures, une personne correspondant à la description donnée a été repérée dans les couloirs de la clinique. Vers 19h, cependant, il a été confirmé qu'il ne s'agissait en réalité pas de cette personne.
La police avait directement été prévenue par les infirmières, et avait déployé une vingtaine de policiers, des chiens pisteurs, ainsi que le peloton anti-banditisme. Ils ont ratifié tout l’hôpital, sans trouver la personne recherchée. Plus de peur que de mal, donc, pour cette dame qui récupérait de sa violente agression.
Des vandales ont mis le feu à deux voitures dans la nuit de vendredi à samedi à Laeken. Les flammes se sont rapidement propagées à quatre autre véhicules qui étaient sur le même parking.
Votre région - Bruxelles sam 15 mai, 11:51 Des vandales ont bouté le feu à deux véhicules sur un parking privé d'une copropriété à Laeken. Les faits se sont déroulés aux alentours de 5h du matin. Le feu s'est rapidement propagé à quatre autres véhicules qui se trouvaient tout près des deux voitures incendiées. Un témoin nous a indiqué que "cette copropriété est généralement calme mais qu'il y a une recrudescence de faits en tout genre. Des incidents isolés et une multiplication de graffiti sur les murs qui mettent à mal la tranquilité du quartier".
Il nous a aussi été indiqué que d'autres colonnes de fumée avaient été aperçues à 200 ou 300 mètres du premier foyer, sans que l'on ne sache à l'heure actuelle quelle en était la cause.
Onze voitures incendiées en trois nuits: un pyromane à Bruxelles ?
Au cours des trois dernières nuits, onze véhicules ont été incendiés dans les communes bruxelloises de Laeken, Evere et Schaerbeek. Il n'est pas exclu selon le parquet qu'un pyromane soit à l'origine de ces différents incendies.
Votre région - Bruxelles 14:19 Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1H15, un véhicule BMW 320 a été incendié à la rue Stroobants, à Evere. L'auteur a brisé une vitre latérale et bouté le feu à l'intérieur. Les pompiers ont pu éteindre l'incendie mais le véhicule a été endommagé. Samedi, la police de Bruxelles avait indiqué que six véhicules avaient été incendiés avenue des Pagodes à Laeken. Deux d'entre eux ont été entièrement ravagés par les flammes et les quatre autres ont été sérieusement endommagés.
Que des faits criminels Le parquet a encore indiqué dimanche qu'au cours de la même nuit trois autre véhicules ont été la proie des flammes dans les environs de la rue de la Tour japonaise à Laeken. Dans la nuit de jeudi à vendredi, un dernier véhicule a été la proie des flammes à Schaerbeek. Il s'agit également pour ce dernier fait d'un incendie criminel.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Huang Guangyu, ex-plus grande fortune de Chine, condamné à 14 ans de prison
Huang Guangyu, fondateur de la chaîne chinoise de distribution de matériel électrique Gome et ancienne plus grande fortune de Chine, a été condamné à 14 ans de prison par un tribunal de Pékin, a annoncé mardi Chine Nouvelle.
Huang a été condamné pour "pots-de-vin, délit d'initié et pratiques d'affaires illégales", a précisé l'agence officielle.
Les autorités ont également saisi pour 200 millions de yuans (près de 24 millions d'euros) d'actifs que détenait Huang, autrefois connu sous le nom de "boucher des prix" pour ses tarifs battant toute concurrence.
Un boulanger bruxellois fait fuir ses agresseurs à coups de "nunchaku" (vidéo)
Vendredi dernier, sur le coup de 17h00, deux hommes entrent dans la boulangerie pâtisserie Van Schoor à Schaerbeek avec l’intention de braquer le commerce. Mais c’était sans compter sur la témérité de Marc Van Schoor, le patron, qui a réussi à les mettre en fuite à coups de rouleaux à pâtisserie !
Votre région - Bruxelles 13:24 Vendredi 14 mai, à 17h00, deux hommes entrent dans la boulangerie Van Schoor à Schaerbeek le visage dissimulé derrière des lunettes de soleil et une casquette pour l’un, une capuche pour l’autre. Le premier se dirige directement vers la caisse tandis que le second « essaie d’attraper ma femme », nous expliquait Marc Van Schoor, 62 ans, le boulanger patron de ce commerce de l’avenue Jan Stobbaerts, près de la place Meiser.
"Mon rouleau à tarte nunchaku" « C’est au moins la 10ème fois en 38 ans » que sa boulangerie est braquée, nous dit-il. Mais contrairement aux dernières fois, où son épouse de 64 ans était seule présente dans le magasin, M. Van Schoor était cette fois présent. Hors de lui, le sexagénaire s’est alors emparé d’un double rouleau à pâtisserie relié par une corde, « un rouleau à tarte nunchaku », comme il l’a décris à la rédaction de RTLinfo. Il frappe alors à plusieurs reprises les voleurs alors que ceux-ci, apeurés, se précipitent vers la sortie. « C’était la première fois que j’avais l’occasion de me défendre », explique-t-il, non sans reconnaître que si les voyous avaient été armés, ils auraient certainement riposté.
"J'ai attendu la police pendant 1h15" Après avoir mis ses agresseurs en fuite, le courageux boulanger téléphone à la police pour porter plainte. « Mais je les ai attendus 1h15 ! Ca m'a un peu gêné donc je me suis dit que j’allais contacter la presse. » Et comme sa caméra de surveillance avait filmé toute la scène, M. Van Schoor nous l’a fournie, non sans l’avoir donnée à la police dès vendredi en espérant que les deux agresseurs pourront être reconnus. Voici la vidéo de cet acte héroïque :
Des jeunes attaquent un chauffeur avec leur pit-bull et une barre de fer
Votre région - Hainaut 8:13 Un chauffeur routier d'Ecaussines a été victime d'une violente agression gratuite, a révélé ce matin le quotidien La Nouvelle Gazette. Trois jeunes l'ont obligé à descendre de son camion et l'ont frappé à coups de barre de fer. Ils ont ensuite lâché un pit-bull sur la victime. Le chauffeur a réussi à prendre la fuite et à rejoindre la carrière de Monceau-sur-Sambre où il a reçu les premiers secours.
Suite à une dispute à la sortie de l’école, un adolescent de 15 ans a reçu plusieurs coups de couteau d’un autre mineur d’âge cet après-midi à Verviers. Le jeune blessé lutte contre la mort tandis que l'auteur présumé a été interpellé.
Votre région - Liège 17:38 Un drame s’est joué cet après-midi à Verviers. Une dispute à la sortie de l’école aurait mal tourné : un adolescent de 15 ans a reçu plusieurs coups de couteau de la part d’un autre mineur. Juste avant les faits, ils discutaient dans la rue, à proximité d'un arrêt de bus situé en Crapaurue à Verviers. Vers 17h30, l’adolescent blessé était encore en train de subir une opération. Ses jours sont en danger.
Il s’effondre devant un café
Lorsqu’il a reçu les coups de couteau de son agresseur, l’adolescent a traversé la rue et s'est effondré devant un café. C’est là que des passants ont appelé les secours. Le jeune garçon a alors été transféré à l'hôpital le plus proche.
L’auteur présumé a été interpellé
L'auteur présumé a été interpellé et entendu par la police. Un juge de la jeunesse va vraisemblablement être saisi des faits. Un médecin légiste a été désigné pour suivre l'état de la victime et la nature de ses blessures.
Une plantation de cannabis découverte derrière la mosquée de Marchienne-au-Pont
L'incendie d'un bâtiment annexe à la mosquée de Marchienne-au-Pont a permis de découvrir une plantation de cannabis vendredi soir. Aucune interpellation n'a cependant encore eu lieu.
Cette info en vidéo
Une centaine de pieds de cannabis sont partis en fumée ...
Votre région - Hainaut 13:21 Le feu a pris vers 21 heures dans un hangar, situé le long de la rue de Châtelet et jouxtant l'arrière de la mosquée de Marchienne-au-Pont (Charleroi). A leur arrivée, et alors qu'aucun occupant ne s'y trouvait, les pompiers de Charleroi et la police ont constaté que se trouvait là une plantation d'environ 150 plants de cannabis. Ce type de plantation nécessitant une forte demande d'électricité, on suppose que c'est la surcharge électrique qui aura été à l'origine de l'incendie. L'occupant des lieux n'avait pas encore été entendu ce samedi matin.
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Votre région - Bruxelles 12:45 Une vaste opération policière a eu lieu à Anderlecht mardi matin. Elle a mobilisé près de 550 policiers, ce qui en fait l'opération de perquisition la plus importante en Belgique à ce jour. La cible: les milieux mafieux de la drogue, où 24 personnes ont été arrêtées lors de 88 perquisitions. Selon la police, qui a donné une conférence de presse, ce n'est que le début d'une vaste opération de démantèlement du trafic de drogue à Bruxelles.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Disparus de l'Isère : desruction de cadavres ? (RTL info, 29 mai 2010, Màj 17h20)
Disparus de l'Isère : une enquête est lancée sur la destruction d'ossements
Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, a ordonné une enquête interne à la suite de l'autorisation donnée en 1998, par le parquet de Grenoble, de détruire douze cadavres non identifiés.
Parmi ces corps, des ossements d'enfants découverts en 1985 dans une grotte de Vercors, pouvant être liés à une disparition. Ludovic Janvier, 6 ans et demi, n'avait en effet jamais été retrouvé en 1983, à Saint-Martin-d'Hères.
La mère de l'enfant exprime sa frustration, car des analyses ADN pratiquées avec les moyens modernes permettraient aujourd'hui d'identifier si oui ou non les ossements sont ceux de son fils.
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
T'as zigouillé un mes,t'as une prescription généralement trentenaire ; au bout de 30 ans ,t'es tranquille .
Mais si t'as planqué le cadavre,la prescription généralement trentenaire aussi, court toujours, mais elle ne débute qu'à partir du moment où on a découvert le cadavre !
Namur: une arme, de la drogue et des permis saisis
Une gigantesque opération policière s'est déroulée, dans la nuit de samedi à dimanche sur l'ensemble de l'arrondissement judiciaire de Namur. Plusieurs centaines de véhicules ont été contrôlés, a indiqué dimanche la commissaire Anne-Francoise Helle.
Votre région - Namur 8:02 Une vaste opération policière a eu lieu dans tout l'arrondissement judiciaire de Namur. 368 personnes ont été contrôlées. 25 PV ont été dressés pour conduite en état d'ivresse. A ceci se rajoute une saisie d'arme, quatre saisies de drogue, une saisie de véhicule, 14 saisies de permis de conduire et deux arrestations pour détention de stupéfiants. Ces chiffres ne tiennent cependant pas compte de la zone de Namur, les résultats n'ayant toujours pas été communiqués dimanche en début de matinée.
Plus de 135 policiers sur le terrain L'opération visait la conduite sous influence, la criminalité contre les personnes et les biens et la sécurité routière en général. Pas moins de 110 policiers issus des différentes zones locales et 25 policiers fédéraux avaient été appelés sur le terrain. Ils ont été appuyés par la centre d'information et de communication (CIC) de Namur, un renfort du détachement canin et un hélicoptère.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Un rapport policier luxembourgeois évoque un financement occulte de Balladur
AFP, Mise a jour : 02/06/2010 09:53
Un rapport de synthèse de policiers luxembourgeois évoque, dans une note versée dans l'enquête sur un espionnage informatique présumé à la Direction des Constructions navales (DCN), un financement occulte de la campagne d'Edouard Balladur en 1995, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier.
Ce rapport de synthèse des policiers luxembourgeois rappelle que le président Nicolas Sarkozy a "directement" supervisé, lorsqu'il était ministre du Budget d'Edouard Balladur entre 1993 et 1995, la constitution de la société Heine, basée au Luxembourg et par laquelle transitaient les commissions, légales jusqu'en 2000, sur des contrats d'armement.
"Nous soulignons qu'Edouard Balladur était candidat à l'élection présidentielle en 1995 face à Jacques Chirac et était soutenu par une partie du RPR, dont Nicolas Sarkozy et Charles Pasqua", ajoutent les policiers.
Selon eux, "une partie des fonds qui sont passés par le Luxembourg reviennent en France pour le financement de campagnes politiques françaises".
La chambre du conseil de Bruxelles a rendu mardi une ordonnance de non-lieu dans l'affaire Salik, rapporte mardi Le Vif/L'Express sur son site internet. Elle a décidé d'octroyer un non-lieu général "pour absence de charges".
Belgique - Faits divers 19:30 Fin des années 90, l'homme d'affaires bruxellois Pierre Salik avait été accusé de subornation de témoin et de corruption du juge consulaire au tribunal de commerce de Bruxelles Emile Deraeymaeker, dans le cadre de la faillite de "Kid Cool", une ligne de prêt-à-porter, rappelle levif.be.
Outre l'homme d'affaires, le parquet avait également cité en vue de leur renvoi devant le tribunal correctionnel deux filles de M. Salik, ledit juge, de même que Patrick Abraham, ex-partenaire économique de Pierre Salik, avec lequel il était entré en dispute dans le cadre de cette faillite.
"La Chambre du conseil a jugé que les faits de corruption sont prescrits et que les faits de faux en écritures ne sont pas avérés: elle constate que les affirmations mensongères ne sont pas suffisantes et que l'intention frauduleuse reste floue même si le dossier, ajoute-telle, révèle de manière plus que vraisemblable que le juge E. de Reymaeker a voulu favoriser le groupe Salik", nous a expliqué Me Masset, avocat de Patrick Abraham.
Fusillade près du Palais de Justice à Bruxelles: un juge de paix et son greffier tués
Belgique - Faits divers 13:02 Un drame presque inimaginable vient de se dérouler à la justice de paix, à moins de 100 de l'ancien Palais de Justice de Bruxelles. Une présidente du tribunal de la justice de paix et son greffier ont été tués par balle (info confirmée de source judiciaire), rue Ernest Allard. Le tueur, peut-être une personne rendue furieuse par une décision du juge, s'set enfui à pied et n'a pas encore été capturé. La police est à ses trousses. L'homme était à 11h15 dans la salle d'attente lorsqu'il a ouvert le feu sur le magistrat et son greffier. Ces deux personnes sont décédées.
Important dispositif de sécurité Nous avons joint une personne travaillant dans une école non loin de là, l'Institut Notre-Dame de Joie. Elle nous a rapporté un important dispositif de sécurité et l'arrivée du ministre de la Justice, Stefaan De Clercq, sur les lieux du drame où se trouveraient aussi deux ambulances et un véhicule d'un servie d'urgence médicale. Les élèves des écoles ne peuvent pas remonter la petite rue où s'est actuellement déroulé ce drame. Nos équipes télé sont sur place. Plus d'infos dans les minutes et heures à venir sur RTLinfo.be, ainsi que dans le Journal de 13h.
Conférence de presse à 14h Le porte-parole de la police de Bruxelles-Ixelles s'est, lui, refusé à tout commentaire. Le parquet de Bruxelles organise un point presse exceptionnel à 14 heures dans le bâtiment Portalis afin de préciser les circonstances exactes des faits.
Belgique - Politique 16:04 Le Parti Populaire s'est déclaré "indigné" par le meurtre d'un juge de Paix et d'un greffier survenu jeudi matin au Palais de Justice de Bruxelles. "Tout cela n'arrive pas par hasard", a dit son co-président, Mischaël Modrikamen, à l'agence Belga. Pour le PP, "ce drame odieux est révélateur du mépris croissant pour les forces de l'ordre et les juges de notre pays". "Seule l'application de la tolérance zéro, le rétablissement de l'état de droit partout et pour tous, le respect des forces de l'ordre et une justice efficace qui sanctionne effectivement la délinquance, permettront d'inverser la vapeur", affirme le parti dans un communiqué. "Il faut en terminer avec les imprécations et mener une politique volontariste afin de mettre un terme au sentiment d'impunité", ajoute-t-il. Pour M. Modrikamen, "tout cela n'arrive pas par hasard". Le meurtre est selon lui "le résultat du laxisme" des pouvoirs politiques en place. "En dessous de trois ans ferme, on ne fait plus de prison dans ce pays", déplore-t-il notamment. (MDP)
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Fusillade près du Palais de Justice à Bruxelles: le récit du double meurtre
Inimaginable. Inquiétant. Une première dans notre pays: une juge de paix et son greffier ont été tués par balle sur leur lieu de travail, à la justice de paix de Bruxelles, à quelques dizaines de mètre du Palais de Justice. Le tueur est touours en fuite, il s'agirait d'un Albanais. Voici le déroulement des faits en détail.
Stefaan De Clercq: "Sécuriser chaque salle d'audience est impossible"
Notre journaliste Olivier Pierre a interrogé le ministre de la Justice. "Nous allons organiser à 4h une rencontre avec magistrats et avocats pour rendre hommage à leurs confrères et expliquer les circonstances du drame (...) C'est inacceptable. Nous allons continuer dans la lutte contre cette criminalité inacceptable à Bruxelles (...) Toutefois, sécuriser chaque salle d'audience où les juges de Paix travaillent, est impossible. Devoir mettre un policier dans chaque salle d'audience est, en soi, inacceptable (...) Ce n'est pas en apportant plus des sécurisation dans ces bâtiments que nous allons résoudre ce problème", a déclaré le ministre. "L'inimaginable s'est produit"
Le procureur général de Bruxelles, Marc de le Court, a jugé jeudi que "l'inimaginable s'est produit" après le double assassinat survenu jeudi matin à la justice de paix de Bruxelles. "Il est choquant et inacceptable que quelque chose de la sorte se produise", a jugé le procureur général, "et en plus dans une justice de paix, la justice la plus proche de la population et qui cherche des solutions à mesure humaine". "Cela témoigne d'un grand mépris pour la vie humaine ainsi qu'une volonté aveugle pour imposer la loi du plus fort. Nous céderons pas face à cela", a ajouté le haut magistrat.
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Fusillade à la justice de paix: hommage à la juge et ...
Belgique - Faits divers 18:12 Christian De Coninck, porte-parole de la police de la zone Bruxelles-Ixelles, a donné une conférence de presse à 14h00 pour expliquer le drame. Un appel, dont l'origine n'est pas connue, a avisé le 101 à 11h23 qu'une fusillade avait éclaté dans une salle d'audience de la Justice de Paix rue Ernest Allard à Bruxelles. Une patrouille est rapidement intervenue sur les lieux. Après avoir sécurisé le périmètre, les agents ont pénétré dans l'immeuble et ont constaté la présence des deux corps sans vie de la juge de paix du 4e canton et de son greffier. L'auteur des coups de feu avait déjà pris la fuite. Il "a été brièvement poursuivi par un des avocats présents mais il a réussi à prendre la fuite à pied dans les rues du quartier", selon le représentant du parquet. Son signalement a été transmis à la police et une chasse à l'homme a été lancée. La police devrait diffuser plus tard dans la journée une description du suspect, peut-être accompagnée d'un portrait robot.
> VIDEO: LES SUJETS DU JOURNAL DE 13H
Coups de hache ? Le parquet dément
Le tueur était vers 11h15 dans la salle d'audience lorsqu'il a ouvert le feu sur le magistrat et son greffier qui étaient en plein travail. "Alors que l'audience s'achevait", le meurtrier, qui venait d'y assister, "a sorti une arme, un revolver, et a tiré en direction de la juge et de son greffier, les tuant tous les deux", a expliqué le porte-parole du parquet de Bruxelles, Jean-Jacques Meilleur. Selon plusieurs médias, l'auteur de la fusillade serait entré, aurait tiré sur le greffier à bout portant, puis lui aurait porté un coup de hache dans le dos. Il aurait touché mortellement au visage la présidente du tribunal de Justice de Paix Isabelle Brandon, rapporte également plusieurs sources. Mais le parquet de Bruxelles a démenti que le greffier ait également reçu un coup de hache. Selon le parquet, seule une arme à feu a été utilisée lors de ces événements dramatiques. D'autre part, selon des élements de l'enquête, l'homme était présent dès le début des audiences ce jeudi et n'aurait prononcé aucune parole avant de commettre son geste. Il a ensuite fui à pied avec son arme (à feu uniquement, donc). Il n'y avait alors dans cette salle, où sont traitées des affaires de voisinage ou de divorce, que les deux victimes et deux ou trois avocats. Au moment de faits, la panique aurait immédiatement gagné les personnes présentes d'après un témoin, révèle Le Soir. Une odeur de poudre régnait dans la salle d'audience. Les témoins se cachaient ou fuyaient après la fusillade.
La première fois dans l'histoire de la Belgique La présidente du tribunal de la justice de paix de Bruxelles tuée par balle s'appelle Isabelle Brandon (une dame proche de la pension de 61 ans), son greffier était M. André Bellemans. Elle avait un "curriculum excellent", a expliqué le ministre de la Justice, Stefaan De Clerck, qui s'est immédiatement rendu sur les lieux. "C'est le drame. Un magistrat, pour la première fois de l'histoire de la Belgique, ainsi que son greffier, ont été tués en pleine salle d'audience, c'est inacceptable", a déclaré M. De Clerck. Ce drame innomable constitue en effet une première en Belgique. Il est d'autant plus étonnant qu'il s'est déroulé dans un tribunal civil, un tribunal de Paix qui traite de conflits mineurs, au contraire d'un tribunal pénal. L'audience du matin était "une audience normale", a encore rappelé le porte-parole du parquet. Il n'était pas encore établi, trois heures après la fusillade, s'il y avait un lien entre le meurtrier et les affaires jugées par la magistrate. Une minute de silence devait être organisée à 16h00 dans la salle des pas perdus du palais de justice, en présence de magistrats et d'avocats, dont certains étaient très choqués.
[b]> DECLARATIONS DU MINISTRE DE LA JUSTICE[/b]
> LES COLLEGUES DE LA JUGE LUI RENDENT HOMMAGE
Un Albanais mécontent ? Le suspect serait d'origine albanaise et impliqué dans un dossier de garde d'enfants qu'il se disputait avec la mère. Il aurait été mécontent d'une décision de la présidente du tribunal de justice de Paix du 4e canton. Mais selon le parquet de Bruxelles, "aucun élément ne permet à ce stade d'affirmer qu'il aurait été mécontent d'une décision de justice". De même, le parquet s'est refusé à confirmer la nationalité de l'auteur présumé, qui serait albanaise selon plusieurs sources. D'autres affirment que l'auteur aurait fui blessé, ce que le parquet a également refusé de confirmer.
Un précédent, mais pas de mort Les coups de feu tirés jeudi dans la Justice de paix de Bruxelles ne sont pas les premiers en Belgique. Le 6 février 1996, des coups de feu furent ainsi tirés dans la Justice de paix de Nieuport. Personne n'avait été blessé, le greffier et un avocat parvenant à fuir juste à temps.
Un détenu cité devant le juge de paix était alors parvenu à s'emparer de l'arme d'un gendarme avant d'ouvrir le feu pour faciliter son évasion. L'auteur avait été abattu peu après sur la voirie alors qu'il tentait de car-jacker une voiture.
Important dispositif de sécurité Nous avons joint une personne travaillant dans une école non loin de là, l'Institut Notre-Dame de Joie. Elle nous a rapporté un important dispositif de sécurité et l'arrivée du ministre de la Justice, Stefaan De Clercq, sur les lieux du drame où se trouveraient aussi deux ambulances et un véhicule d'un servie d'urgence médicale. Le chef de corps de la police de Bruxelles, Guido Van Wymersch, est arrivé immédiatement après les faits, tout comme le premier président de la cour d'appel, Antoon Boyen. Ils étaient accompagnés par le directeur-général de la police fédérale judiciaire Glenn Audenaert et par le procureur du roi de Bruxelles, Bruno Bulthé. Les élèves des écoles ne peuvent pas remonter la petite rue où s'est actuellement déroulé ce drame. Mais on a appris de source sûre que les élèves de l'Institut Notre-Dame de Joie sont tous sortis par la sortie de secours de l'école vers 15h00.
> LA QUESTION DE LA SECURITE AU PALAIS DE JUSTICE A NOUVEAU POSEE
Leterme se réunit avec Turtelboom et De Clerck
Le premier ministre Yves Leterme se réunit à 15 heures avec la ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom et le ministre de la Justice Stefaan De Clerck à propos de cette fusillade. Le porte-parole du premier ministre sortant a précisé que le chef du gouvernement rendra hommage aux deux victimes à l'issue de cette réunion, à 16 heures.
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Un suspect arrêté après une fusillade dans le parc de Bruxelles
Belgique - Faits divers 22:24 Une fusillade a éclaté jeudi vers 19 heures dans le parc de Bruxelles, a fait savoir la police locale. Un homme qui tirait en l'air, a été blessé et arrêté. Selon la police bruxelloise, il n'y a aucun lien entre cet incident et la fusillade du Palais de Justice. L'incident s'est produit vers 19h20 près de la fontaine du parc. Lorsque les policiers ont voulu contrôler un individu, ce dernier a brandi une arme et a tiré en l'air. Dans le tumulte qui a suivi, les agents sont parvenus à désarmer l'homme et à l'appréhender. L'individu a été blessé lors de cette intervention. On ne connaît pas la gravité de ses blessures. Et la police ne peut donner aucune information quant à son identité. Plus de détails seront communiqués demain/vendredi. (230)
Des armes de guerre volées dans la caserne de Bourg-Léopold
Selon la presse flamande de ce jeudi matin, des voleurs ont dérobé mercredi matin des munitions au domaine militaire de Bourg-Léopold, dans le Limbourg. Il s'agit notamment de roquettes anti-char, utilisables contre des fourgons par exemple. Il pourrait s’agir d’une commande du grand banditisme.
Vos réactions "Et bien je pense qu'une banque ou un transport de fonds va en faire les frais..." de Inou Lire les autres réactions
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Des armes de guerre volées dans la caserne de Bourg-Léopold. ...
Belgique - Faits divers 16:20 La Défense parle d'un "incident grave en matière de sécurité". "Les procédures ont été immédiatement enclenchées et trois enquêtes ont été ouvertes: l'une interne, l'autre confiée à la police et la troisième à la justice", a indiqué jeudi le ministère de la Défense, précisant que le ministre, Pieter De Crem, s'est constitué partie civile en tant que responsable du département. Des voleurs ont en effet dérobé mercredi matin des armes de guerre dans le dépôt de munitions du domaine militaire de Bourg-Léopold, dans le Limbourg. Si le vol ne concernerait pas une quantité importante de matériel, il s'agirait d'armes lourdes: des roquettes anti-char, des grenades, des munitions pour armes à feu et des et des thunderflashes (de gros pétards d'exercice). Les roquettes volées sont en effet bien des roquettes anti-char, des M-72 LAW ("Light Antitank Weapon") qui peuvent transpercer des chars et des bunkers. Elles peuvent également atteindre des hélicoptères volant à basse altitude. Ces armes pourraient donc être utilisées pour attaquer des fourgons blindés. "C’est catastrophique parce que ce sont des munitions assez dangereuses. Les gens qui les ont peuvent avoir des idées mal prévues", a souligné sur Bel RTL Erwin De Staelen, le président du SLFP Défense (syndicat libre).
Ni vu ni connu : le plan De Crem mis en cause Il est étonnant de constater que ce vol important s'est déroulé sans violences et dans la plus grande discrétion. Les militaires ne se sont aperçus de rien. Ce sont des surveillants qui ont donné l'alerte à 08h45 lors d'une ronde de contrôle. Comment est-ce possible dans un lieu que l’on imagine hautement sécurisé ? Cela n'étonne qu'à moitié les syndicalistes. "On sait que sur le terrain, les gens sont stressés et sont démotivés. Et il y a parfois des emplacements où il y a moins de personnel à cause du plan De Crem", a déploré Erwin De Staelen. Le bâtiment où étaient entreposées les armes n'était en effet plus gardé en permanence. Par le passé, huit militaires le surveillaient 24h/24, aujourd'hu, le bunker où étaient entreposées ces armes était protégé par un système électronique. Le vol "reste une énigme", a ajouté le porte-parole, assurant que si l'enquête interne révélait qu'un militaire était impliqué des sanctions seraient prises, qui pourrait aller jusqu'à la démission.
Sans doute une commande des milieux criminels Pour le moment, on ignore encore l'identité des voleurs. Mais la police peut dresser facilement leur profil. Il s'agit sans doute de malfrats issus du grand banditisme. Le vol de ce type de matériel pourrait donc être le fait d'une commande des milieux criminels. Un des porte-parole de la Défense, le commandant Séverin, a confirmé le vol. Le parquet de Hasselt a ouvert une enquête. La Défense n'a pas désiré fournir plus de détails sur le butin volé afin de ne pas compromettre les devoirs d'enquête qui doivent être réalisés. Une enquête a également été ouverte au niveau interne de la Défense. Celle-ci a été remise aux mains de la police fédérale.