Le Monde selon Barack...

Rappel du premier message :




Avec le sénateur de l'Arizona, le Président Obama a déclaré qu'il trouvera ensemble les bonnes solutions pour "réparer le pays". Il a ajouté qu'il comptait remercier son ancien adversaire pour le "remarquable service" qu'il a déjà rendu. Alors qu'on lui demandait s'il comptait aider la future administration, John McCain a répondu: "évidemment".

Puis, Obama a énoncé les principales mesures qu'il comptait prendre dès sa prise de fonctions qui aura lieu le 20 janvier prochain.

D'abord, il compte bien respecter et poursuivre le plan de sauvetage de 700 milliards de dollars en faveur des banques américaines.

Pour lui, la priorité c'est de mieux réguler le système financier mais sans étouffer "l'esprit d'entreprise et de prise de risques du capitalisme américain", seulement pour "rétablir un certain équilibre".

Il a également appelé à ne pas redouter l'aggravation du déficit public en ces temps de crise économique. "Nous ne devons pas nous inquiéter pour le déficit l'an prochain ou même l'année d'après. (...) Le plus important est d'éviter une récession plus grave."

La seconde priorité du Président Obama sera de tout faire pour aider les propriétaires en difficulté qui risquent de voir leur logement saisi. Ainsi, il mettra sur pied des négociations avec les banques et les emprunteurs pour que les gens puissent rester chez eux.

Concernant les questions de sécurité, Obama a assuré que dès sa prise de fonctions, il œuvrerait avec ses conseillers et l'armée à la réduction du contingent américain en Irak, à l'augmentation des troupes en Afghanistan et à "éradiquer al-Qaïda une fois pour toute".

Enfin, il a promis qu'il fermerait définitivement la prison de Guantanamo, à Cuba et qu'il restaurerait la stature morale de l'Amérique dans le monde.

Il a aussi assuré que la capture d'Oussama Ben Laden serait considérée comme un objectif prioritaire.

je comprends qu'il ait déclenché autant de grèves, les augmentations de salaires ne correspondaient pas

Sylvette a écrit:

"La GReve" (c'etait bien lui?)

de nos jours il dirait "La GRise"

mais paix à son âme

Zed
j'en perd mon latin avec tous ces zéros

COURRIER INTERNATIONAL - L'OPINION DU JOUR

• Nous ne sommes pas tous connectés à Obama

"Le 22 janvier dernier, j'ai reçu un courriel du président Barack Obama qui commençait par ces mots : 'Cher ami, merci d'avoir participé à la cérémonie d'investiture qui a réuni le plus grand nombre de personnes dans l'histoire de notre nation. […] Alors que notre tâche de reconstruire l'Amérique ne fait que débuter, je compte sur toi pour conserver cet esprit d'unité intact. […] Nous allons au-devant d'immenses défis, mais nous allons y faire face comme une seule nation. […] Merci pour tout ce que tu fais.' Ce message m'a laissé comme un goût amer", écrit le critique littéraire Leon Wieseltier dans The New Republic.

"Tout cela était de la plus grande platitude. Notre président doit-il vraiment se montrer aussi littéral dans l'espoir de raviver le sens civique de ses concitoyens ?" s'interroge-t-il. "Qui plus est, je me demande parfois si Obama ne prend pas ses désirs d'unité pour la réalité. Si la récession nous a appris une chose, c'est que nous ne sommes pas une seule et même nation. Les intérêts de Wall Street ne sont pas les mêmes que ceux des Américains moyens."

"Mais là n'est pas tout le problème, car la nouvelle habitude du président américain de communiquer par courriel avec ses concitoyens soulève bien d'autres questions", souligne Leon Wieseltier. "L'une de ces questions concerne notamment l'impact des nouvelles technologies sur notre conception des relations humaines. Certes, nous sommes aujourd'hui tous connectés, mais quelle est donc la qualité de cette connexion ? L'idée de pouvoir mener une conversation nationale semble aujourd'hui renforcée par les nouvelles technologies, mais une nation converse-t-elle vraiment ? Enfin, utiliser le courrier électronique ou des sites Internet comme YouTube pour communiquer revient bien moins cher que d'envoyer une véritable lettre à tous les citoyens américains. Le nombre de personnes qui peuvent être jointes en un instant est tout bonnement époustouflant, mais il ne s'agit là que de marketing, rien de plus", estime Leon Wieseltier.

"J'ai voté pour Obama, je lui ai même versé quelques dollars, mais je ne me sens pas faire partie de son orbite pour autant. De plus, le fait que dans ses messages le président des Etats-Unis s'adresse directement à moi aboutit à l'effet inverse de celui espéré. Trop de personnalisation équivaut parfois à une dépersonnalisation." Bref, conclut le chroniqueur : "La machine Obama est peut-être tout excitée à l'idée d'avoir une connexion avec moi, mais, pour ma part, je ne me sens absolument pas connectée à elle."

++++++++++++++++++++++++++++++++

Dont acte

Citation :

Philosophiquement, le Président Obama veut rénover le modèle américain en instillant une révolution des mentalités pour pousser la population à miser sur l'énergie verte et à renoncer à son mode de vie dispendieux, basé sur l'endettement.

« Les gens verront que le président agit vite pour que nous investissions dans les énergies renouvelables, que nous réduisions notre dépendance vis-à-vis du pétrole étranger et que nous prenions des mesures pour rendre une meilleure couverture maladie accessible à des millions d'Américains», dit son porte-parole Robert Gibbs.

http://www.lefigaro.fr/international/2009/02/24/01003-20090224ARTFIG00319-barack-obama-fixe-le-cap-devant-le-congres-.php

Oui, il est urgent de procéder à une révolution des consciences.

Nous n'avons plus les moyens de sur-consommer comme on l'a fait jusqu'à présent. Aux Etats-Unis, comme dans n'importe quel pays industrialisé, mais encore davantage là-bas.

Ce n'est ni bon pour la planète ni bon pour nos économies.

Obama fixe le cap. J'espère qu'il sera suivi et qu'il fera des émules.

¥_zed_¥ a écrit:

marieden a écrit:

c'est dans quel département ça ???

Si je ne m'abuse, un trillion est = a un milliard de milliards, et si je sais encore compter, le seul pays ou continent qui détient une telle sommes, s'appel la Planète, et encore, faudra peut-être emprunter a nos amis E.T

Ooooh vous tout-de-suite, vous exagerez, c'est deja bien assez gros comme ca: c'est mille milliards.

Enfin bon, il y a quelques jours justement, lors d'un reportage, ils expliquaient que presque tout le monde faisait cette erreur.

OmbreBlanche a écrit:

Citation :

Philosophiquement, le Président Obama veut rénover le modèle américain en instillant une révolution des mentalités pour pousser la population à miser sur l'énergie verte et à renoncer à son mode de vie dispendieux, basé sur l'endettement.

« Les gens verront que le président agit vite pour que nous investissions dans les énergies renouvelables, que nous réduisions notre dépendance vis-à-vis du pétrole étranger et que nous prenions des mesures pour rendre une meilleure couverture maladie accessible à des millions d'Américains», dit son porte-parole Robert Gibbs.

http://www.lefigaro.fr/international/2009/02/24/01003-20090224ARTFIG00319-barack-obama-fixe-le-cap-devant-le-congres-.php

Oui, il est urgent de procéder à une révolution des consciences.

Nous n'avons plus les moyens de sur-consommer comme on l'a fait jusqu'à présent. Aux Etats-Unis, comme dans n'importe quel pays industrialisé, mais encore davantage là-bas.

Ce n'est ni bon pour la planète ni bon pour nos économies.

Obama fixe le cap. J'espère qu'il sera suivi et qu'il fera des émules.

NNP joue au professeur maintenant? Qu'est-ce qu'ils font tous devant lui comme des gamins? Charlie Rangel en premiere ligne, bien sur.

En tout cas, au 2eme rang, il y en a un qui semble en avoir eu son plein!

Biloulou a écrit:

COURRIER INTERNATIONAL - L'OPINION DU JOUR

• Nous ne sommes pas tous connectés à Obama

"Le 22 janvier dernier, j'ai reçu un courriel du président Barack Obama qui commençait par ces mots : 'Cher ami, merci d'avoir participé à la cérémonie d'investiture qui a réuni le plus grand nombre de personnes dans l'histoire de notre nation. […] Alors que notre tâche de reconstruire l'Amérique ne fait que débuter, je compte sur toi pour conserver cet esprit d'unité intact. […] Nous allons au-devant d'immenses défis, mais nous allons y faire face comme une seule nation. […] Merci pour tout ce que tu fais.' Ce message m'a laissé comme un goût amer", écrit le critique littéraire Leon Wieseltier dans The New Republic.

"Tout cela était de la plus grande platitude. Notre président doit-il vraiment se montrer aussi littéral dans l'espoir de raviver le sens civique de ses concitoyens ?" s'interroge-t-il. "Qui plus est, je me demande parfois si Obama ne prend pas ses désirs d'unité pour la réalité. Si la récession nous a appris une chose, c'est que nous ne sommes pas une seule et même nation. Les intérêts de Wall Street ne sont pas les mêmes que ceux des Américains moyens."

"Mais là n'est pas tout le problème, car la nouvelle habitude du président américain de communiquer par courriel avec ses concitoyens soulève bien d'autres questions", souligne Leon Wieseltier. "L'une de ces questions concerne notamment l'impact des nouvelles technologies sur notre conception des relations humaines. Certes, nous sommes aujourd'hui tous connectés, mais quelle est donc la qualité de cette connexion ? L'idée de pouvoir mener une conversation nationale semble aujourd'hui renforcée par les nouvelles technologies, mais une nation converse-t-elle vraiment ? Enfin, utiliser le courrier électronique ou des sites Internet comme YouTube pour communiquer revient bien moins cher que d'envoyer une véritable lettre à tous les citoyens américains. Le nombre de personnes qui peuvent être jointes en un instant est tout bonnement époustouflant, mais il ne s'agit là que de marketing, rien de plus", estime Leon Wieseltier.

"J'ai voté pour Obama, je lui ai même versé quelques dollars, mais je ne me sens pas faire partie de son orbite pour autant. De plus, le fait que dans ses messages le président des Etats-Unis s'adresse directement à moi aboutit à l'effet inverse de celui espéré. Trop de personnalisation équivaut parfois à une dépersonnalisation." Bref, conclut le chroniqueur : "La machine Obama est peut-être tout excitée à l'idée d'avoir une connexion avec moi, mais, pour ma part, je ne me sens absolument pas connectée à elle."

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Dont acte

Si la R.P. de Bush 43 laissait a desirer, celle de NNP est excessive. Il nous arrive par tous les moyens, la television (a longueur de journee), sur le net (jour et nuit) et pour ses pauvres supporters, par emails! A quand son portrait dans tous les bureaux et toutes les maisons?

L'Americain moyen (celui qui n'en a franchement pas grand chose a faire de la politique) a de quoi etre sature.

Sylvette a écrit:

¥_zed_¥ a écrit:

marieden a écrit:

c'est dans quel département ça ???

Si je ne m'abuse, un trillion est = a un milliard de milliards, et si je sais encore compter, le seul pays ou continent qui détient une telle sommes, s'appel la Planète, et encore, faudra peut-être emprunter a nos amis E.T

Ooooh vous tout-de-suite, vous exagerez, c'est deja bien assez gros comme ca: c'est mille milliards.

Enfin bon, il y a quelques jours justement, lors d'un reportage, ils expliquaient que presque tout le monde faisait cette erreur.

En fait l'erreur vient de cette explication qu'en donne Wikipédia. Regardez

• Dans les pays utilisant l'échelle longue (monde entier à l'exception de la plupart des pays anglophones et du Brésil), un trillion représente le nombre 10¹⁸, c'est-à-dire 1 000 000 000 000 000 000, soit un milliard de milliards (10⁹x10⁹).
  Un trillion est alors égal à un million à la puissance trois, d'où le terme.
  

Le préfixe correspondant à ce nombre dans le Système international d'unités (SI) est l'exa.

• Dans les pays utilisant l'échelle courte un trillion représente le nombre 10¹², c'est-à-dire 1 000 000 000 000. Il est appelé billion dans l'échelle longue.
  

Cet usage du trillion est notamment utilisé en informatique pour désigner la capacité de stockage des serveurs les plus gros.


Facile a comprendre, un trillions c'est un milliard de milliards ou mille milliards ou un million a la puissance 3, et peut aussi s'appeler Billion. Tout dépend de la longueur de l'échelle et si c'est un pays anglophone ou le Brésil.

Personnellement je trouve cette définition la plus logique

{Un trillion est alors égal à un million à la puissance trois, d'où le terme.}

D'une facilite deconcertante, non?

Alors la question primordiale, me semble-t-il, est tout-de-meme la suivante: La serait peut-etre le vrai probleme!!! pardon, la serait peut-etre NOTRE vrai probleme!!!

(au fait, bien sur, je plaisantais en 128!)

Sylvette a écrit:

NNP joue au professeur maintenant? Qu'est-ce qu'ils font tous devant lui comme des gamins? Charlie Rangel en premiere ligne, bien sur.

Il s'agit d'enjeux cruciaux pour l'avenir, chère Sylvette...

N'avez-vous pas encore compris les enjeux ?

Le crédit, la société du "tout-fric", les requins financiers de Wall Street, les lobbies pétroliers... et j'en passe... c'est fini tout cela. Nous ne sommes plus dans les années 80.

Il y a des Américains à la rue, aujourd'hui, parce qu'ils n'ont pas pu payer les charges de leur maison, d'autres qui se laissent crever parce qu'ils sont trop pauvres pour bénéficier de soins de santé corrects.

Obama incarne l'espoir pour tous les délaissés du système, ma chère Sylvette.

Et les exclus outre-Atlantique, ils sont de plus en plus nombreux... oui, les USA se relèveront de cette crise. Mais en changeant de cap. Fini le "dollar-roi". Fini le "tout-money", fini le règne du "tout-consommable".

Il est temps de réveiller les gens et qu'ils se posent la question: quel monde veulent-ils vraiment pour eux et pour leurs enfants ?

OmbreBlanche a écrit:

Sylvette a écrit:

NNP joue au professeur maintenant? Qu'est-ce qu'ils font tous devant lui comme des gamins? Charlie Rangel en premiere ligne, bien sur.

Il s'agit d'enjeux cruciaux pour l'avenir, chère Sylvette...

N'avez-vous pas encore compris les enjeux ?

Le crédit, la société du "tout-fric", les requins financiers de Wall Street, les lobbies pétroliers... et j'en passe... c'est fini tout cela. Nous ne sommes plus dans les années 80.

Il y a des Américains à la rue, aujourd'hui, parce qu'ils n'ont pas pu payer les charges de leur maison, d'autres qui se laissent crever parce qu'ils sont trop pauvres pour bénéficier de soins de santé corrects.

Obama incarne l'espoir pour tous les délaissés du système, ma chère Sylvette.

Et les exclus outre-Atlantique, ils sont de plus en plus nombreux... oui, les USA se relèveront de cette crise. Mais en changeant de cap. Fini le "dollar-roi". Fini le "tout-money", fini le règne du "tout-consommable".

Il est temps de réveiller les gens et qu'ils se posent la question: quel monde veulent-ils vraiment pour eux et pour leurs enfants ?

Quel enjeux, prendre l'argent des contribuables pour le donner aux riches?
C'est le robins des bois a l'envers cette histoire là.

¥_zed_¥ a écrit:

Quel enjeux, prendre l'argent des contribuables pour le donner aux riches?
C'est le robins des bois a l'envers cette histoire là.

Au contraire, Obama a dit qu'il allait taxer les plus riches aux USA.
Ce qui est normal.

Il n'a jamais parlé de faire payer les contribuables les plus modestes...

OmbreBlanche a écrit:

¥_zed_¥ a écrit:

Quel enjeux, prendre l'argent des contribuables pour le donner aux riches?
C'est le robins des bois a l'envers cette histoire là.

Au contraire, Obama a dit qu'il allait taxer les plus riches aux USA.
Ce qui est normal.

Il n'a jamais parlé de faire payer les contribuables les plus modestes...

D'accord, mais ou tu penses qu'il va prendre les 40 milliards que GM a besoin pour {semble t-il} rester en vie {je dirais plus, rester mourrant plus longtemps}?

Et là on ne parle pas encore des banques et des autres. Bientôt Mc-do va demander des milliards, sinon plus de big-mac.

Spending, Tax Priorities Shift in Obama Plan



The $3.6 trillion blueprint is one of the most ambitious policy prescriptions in decades, with a shift toward government activism and tax increases on rich families and businesses.

Sylvette a écrit:

and tax increases on rich families

Quand on est riche on peut payer, Sylvette.

Il faut être un peu solidaire, aujourd'hui...

Sylvette a écrit:

D'une facilite deconcertante, non?

Alors la question primordiale, me semble-t-il, est tout-de-meme la suivante:

NNP sait-il bien ce qu'est un trillion?

La serait peut-etre le vrai probleme!!! pardon, la serait peut-etre NOTRE vrai probleme!!!

(au fait, bien sur, je plaisantais en 128!)

comme Krazucki (la vidéo), ils ne savent pas de quoi ils parlent

NNP (notre Nouveau President) a su ce qu'il faisait en mettant ses enfants a l'ecole privee. Voyons comment il gerera la tentative des elus Democrates d'oter toute chance a 1,700 enfants pauvres du District de Columbia de pouvoir s'inscrire eux aussi en prive grace a des subventions (programme mis en place par les Republicains avec le soutien de Sen. Dianne Feinstein, une Democrate de Californie) rejetant ainsi les ecoles washingtoniennes aux standards desastreux. Le fameux elitisme socialiste?

Evidemment les syndicats des enseignants ont horreur du choix. TOus les enfants devraient aller a l'ecole publique, la ou plus de 80% des enseignants votent a gauche et la ou il est si facile d'embrigader les nouvelles generations.

FEBRUARY 25, 2009, 11:49 P.M. ET

Obama's School Choice

Democrats want to kill vouchers for 1,700 poor kids.

President Obama made education a big part of his speech Tuesday night, complete with a stirring call for reform. So we'll be curious to see how he handles the dismaying attempt by Democrats in Congress to crush education choice for

1,700 poor kids in the District of Columbia.

The omnibus spending bill now moving through the House includes language designed to kill the Opportunity Scholarship Program offering vouchers for poor students to opt out of rotten public schools. The legislation says no federal funds can be used on the program beyond 2010 unless Congress and the D.C. City Council reauthorize it. Given that Democrats control both bodies -- and that their union backers hate school choice -- this amounts to a death sentence.

Republicans passed the program in 2004, with help from Democratic Senator Dianne Feinstein, and it has been extremely popular. Families receive up to $7,500 a year to attend the school of their choice. That's a real bargain, given that D.C. public schools spend $14,400 per pupil on average, among the most in the country.

...

Mais non, nous assurait Shansaa, la gauche n'existe pas aux Etats Unis. Et non, il n'a jamais ete, comme je le disais a l'epoque le plus liberal de tous les Senateurs (Nomme tel en 2008 au vu de ses votes par une organisation apolitique (une vraie elle). L'Europe essaye de se sortir de ce petrin et lui y saute a pieds joints!

FEBRUARY 26, 2009, 6:54 P.M. ET

Budget Would Add THousands to Gouvernment Workforce

By BRAD HAYNES
President Barack Obama's budget outline proposes adding thousands of permanent and temporary jobs to the government's workforce at a time of rising unemployment in the private sector.

After initial review of the Mr. Obama's budget outline, the Partnership for Public Service, a nonprofit dedicated to research and advocacy for the federal workforce, made a rough early estimate of 160,000 new full-time hires for the federal government in 2009 – the highest level in recent history. The workforce impact would be several times larger with the addition of state and local employees, contract workers, grant recipients and indirect growth in the private sector.

The unemployment rate currently stands at 7.6%. The Federal Reserve projects that the unemployment rate could climb as high as 8.8% by the end of the year. The White House budget projects 7.9% unemployment next year falling off to 5% by 2014.

The budget outline released Thursday uses the term "job" or "jobs" nearly 100 times in a 140-page document. During the recent debate over the economic recovery plan, Mr. Obama said the package would create or save three and a half million jobs, and he projected that at least 90% of those jobs would come from private industry. But the budget outline released Thursday calls for substantial increases in the federal workforce as well, particularly if temporary hires are counted.

"Even as our budget makes hard choices to bring our deficit down, now is the time to act boldly and wisely by making investments in industries like the green energy industry, and essential public services that will put people back to work and get our economy on the road to recovery," said White House spokeswoman Jen Psaki.

...

et qui va les payer?

OmbreBlanche a écrit:

Sylvette a écrit:

and tax increases on rich families

Quand on est riche on peut payer, Sylvette.

Il faut être un peu solidaire, aujourd'hui...

D'abord et avant tout, et bien que Ombre Blanche ait trouve opportun de decouper le texte, il est important de remettre en place tous les elements pas seulement celui qui le fait jubiler. Donc:

The $3.6 trillion blueprint is one of the most ambitious policy prescriptions in decades, with a shift toward government activism and tax increases on rich families and businesses.

1) Government activism, en l'occurence imposition du socialisme aux Etats Unis. Pour moi, une abheration. D'ailleurs il ne fait que tres peu ses preuves meme ailleurs, la Suede? et encore elle est en train de changer alors pourquoi?

2) ensuite une augmentation des impots sur les familles riches (mentionnees par O.B. , d'accord) ET sur les entreprises (non relevees en meme temps que les "familles riches" pour sans doute une tres bonne raison...)

- Alors qu'on se le dise, le fait que les familles riches (Riches, Riches dirait Muriel Robin) paient plus d'impots m'est indifferente, quoi que, quoi que, je ne perde pas de vue le fait que ces "familles riches" (on s'est cru oblige d'ajouter familles - ca attenue un peu le cote lutte des classes de la chose ); je ne perds pas de vue, disais-je donc, que chez ces "gens-la" (aurait dit Brel) on depense, on depense meme beaucoup: maisons, appartements, voitures, bateaux, avions, hotels, restaurants, jouaillerie, electronics, etc. etc. etc...

S'ils achetent ca fait marcher l'economie et si l'economie marche, ca permet a des entreprises de tourner, a des gens d'etre employes, etc. etc. etc...

- Maintenant, il semblerait que NNP pense qu'a partir de $ 250,000.00 une "famille" soit riche, la je trouve cela deja plus genant. Evidemment, compare a un Smicard, ca peut paraitre ainsi. Toutefois, toutefois, une bonne partie des familles generant ce genre de revenus se trouvent avoir a leur tete des couples, ayant fait des etudes, ayant un bon "job" mais, mais n'ayant pas fini de rembourser leur pret immobilier, continuant de payer leurs etudes, de payer les mensualites sur leurs 2 voitures (ben oui, 2 "jobs", deux voitures), achetant les vetements necessaires a leur presentation dans leur "job" (mot favori de NPP ces jours-ci), payant les frais d'ecole privee de leurs enfants, mettant de cote pour leur retraite, etc. etc. etc... A la fin du compte, pas des gens riches, des gens qui comptent comme ceux qui gagnent beaucoup moins, toutefois des gens qui achetent.

S'ils achetent ca fait marcher l'economie et si l'economie marche, ca permet a des entreprises de tourner, a des gens d'etre emplyoes, etc. etc. etc...

- Finalement, les entreprises, alors la, a mon sens, une augmentation des impots est la pire des choses a faire - il me semble bien que ce soit un des gros problemes dans certains pays d'Europe . Elle a pour resultat, la reduction des benefices, le manque de reinvestissement, l'arret de l'engagement de personnel, l'etouffement de l'expansion etc. etc. etc...

...........Finalement, les entreprises, alors la, a mon sens, une augmentation des impots est la pire des choses a faire - il me semble bien que ce soit un des gros problemes dans certains pays d'Europe . Elle a pour resultat, la reduction des benefices, le manque de reinvestissement, l'arret de l'engagement de personnel, l'etouffement de l'expansion etc. etc. etc...


l'augmentation des impôts pour les entreprises, c'est la délocalisation assurée

Bonjour Marie
Pas encore au lit?Pour le prince charmant,c'est trop tard,il dort déjà

Citation :

A l'issue d'une réunion avec le secrétaire au Trésor, Timothy Geithner, et plusieurs représentants du Congrès, Barack Obama a présenté, mercredi soir, ses recommandations pour un renforcement de la régulation financière en vue de la préparation du G20 de Londres.

« Bien que le libre marché soit une clef du progrès, il ne doit pas nous donner carte blanche pour obtenir tout ce que l'on veut, de quelque manière que ce soit », a souligné le président américain en appelant à un « sérieux contrôle » des institutions financières pour éviter la réédition de nouvelles crises.

Bien que la Maison-Blanche soit restée assez vague sur le contenu précis de ses recommandations en cours d'élaboration, elle a évoqué une série de sept grands principes :

renforcement du contrôle de la Fed sur les institutions pour lesquelles elle devient le prêteur en dernier ressort,

modernisation de la structure réglementaire,

promotion de la transparence,

supervision uniforme basée sur des données actualisées,

renforcement de la responsabilité des dirigeants financiers en cas de « trahison de la confiance publique »,

couverture de l'ensemble des institutions financières,

rôle leader des Etats-Unis dans la fixation des standards de régulation.

http://www.lesechos.fr/info/inter/4836174.htm

Voilà comment doit être repensé, envisagé, le capitalisme aujourd'hui.

Deux mots clefs: responsabilité et régularisation.

Et aussi moralité. Le temps des patrons voyous doit être aboli.

Il est temps d'assainir l'économie si nous voulons éviter les erreurs du passé.

Bravo, M. Obama.

Bonjour Sylvette
Et bonne journée à toi et Scotty , et au chienchien.
Je dois partir,soyez sages.

Et bonjour à OmbreBlanche qui vient de s'intercaller.