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Révélations sur la collusion entre la police et les musulmans à Barbès
lundi 9 novembre 2009, par Maxime Lépante
Depuis cinq semaines, Riposte Laïque dénonce les prières musulmanes qui ont lieu chaque vendredi dans les rues du quartier Barbès. Ces jours-là, le boulevard Barbès, la rue des Poissonniers et la rue Léon sont occupés par les musulmans, et leurs trottoirs interdits aux non-musulmans pendant toute la prière des musulmans. La rue Polonceau et la rue Myrha, quant à elles, sont totalement confisquées sur plus de 100 mètres : barrées à chaque extrémité par les islamistes des mosquées Polonceau et Myrha, les véhicules et les piétons sont empêchés de les emprunter, et les habitants de ces rues ne peuvent plus ni entrer ni sortir de chez eux pendant toute la durée de la prière. (1)
Nous avons rapporté que cette situation intolérable dure depuis plus de 10 ans, et nous nous sommes élevés contre l’inaction coupable des autorités françaises – aussi bien de la Mairie du 18e arrondissement et de la Mairie de Paris que de la Préfecture de Paris et du gouvernement français – qui laissent un quartier entier de Paris être dirigé par les musulmans.
Aujourd’hui, nous sommes en mesure d’apporter des révélations choquantes sur la collusion entre la police et les musulmans à Barbès. Car la situation est bien plus grave que ce que nous dénoncions lors des semaines passées : en effet, non seulement la police n’agit pas contre les musulmans bloqueurs de rues, mais encore elle soutient ces derniers contre les non-musulmans, et les laisse délibérément contrôler tout le quartier Myrha-Polonceau pendant la prière du vendredi.
Les barrières bloquant la rue Myrha.
1) Un accord secret entre l’imam de la mosquée Myrha et le commissaire du 18e arrondissement de Paris :
Le 21 septembre 2009, France Ô a diffusé à 20h35 un reportage intitulé "Mosquées de Paris" (rediffusé le mardi 22 septembre à 15h15), dans lequel un passage est consacré à la mosquée de la rue Myrha et au blocage de la rue du même nom. (2)
Dans ce reportage, l’imam actuel de la mosquée de la rue Myrha (mosquée Khalid Ibn Walid), Hamza Sallah, déclare ceci :
– Il y a une quinzaine d’années, donc, j’ai demandé au commissaire de l’époque, si mes souvenirs sont bons c’était monsieur Maucourant, qui était divisionnaire ici dans le 18, et je lui ai posé la question, je lui ai dit « moi, il faut que vous me fermiez la rue, je ne veux pas d’incidents », donc il a fait… donc ensemble nous avons pris la décision de fermer la rue, à midi, pendant l’heure des prières, où on met des barrières, mais ce n’est pas suffisant. »
Dans le même reportage, Hamou Bouakkaz, adjoint au maire de Paris, chargé de la démocratie locale et de la vie associative, élu conseiller de Paris le 16 mars 2008, membre du groupe socialiste, radical de gauche et apparentés, apporte les précisions suivantes :
– Les arrangements comme ça avec le commissariat du coin, c’est des arrangements qui sont portés par personne, si le commissaire s’est pas couvert, et… le commissaire demain on veut le changer, l’arrangement il est foutu… Aujourd’hui, c’est un modus vivendi qui paraît rationnel… Si l’arrangement, ça fait 17 ans qu’il dure, pourquoi ne pas le formaliser dans une convention officielle ? Parce que faudra écrire des choses que les gens veulent pas écrire. Ils veulent pas écrire que ils vont mettre des barrières pour que la pratique du culte se fasse, qu’ils vont empêcher les voitures de passer… parce que sinon, ils, comment dire, ils banaliseraient, ils autoriseraient une occupation illicite du domaine public. »
Ainsi, un accord secret a été passé entre la police et les musulmans de Barbès, il y a déjà une quinzaine d’années, au terme duquel la police laisse les musulmans bloquer la rue Myrha chaque vendredi pendant la prière ! Blocage qui, de l’aveu même de l’adjoint au maire de Paris, constitue une occupation illicite du domaine public ! Ainsi, dans le quartier islamisé de Barbès, la police cautionne-t-elle un comportement illégal !
En 2004, le commissaire divisionnaire Roland Maucourant, artisan de cet accord secret avec les musulmans du 18e arrondissement, a été remplacé par le commissaire divisionnaire Alain Gibelin, sans que rien ne change sur le terrain : le commissaire Gibelin accepte donc lui aussi que les musulmans bloquent les rues du quartier Barbès chaque vendredi pour leur prière ! (3)
2) Complicité des policiers avec les musulmans bloqueurs de rues :
Au début de l’extrait du reportage de France Ô sur les "Mosquées de Paris", on peut voir une voiture de police, arrêtée devant les barrières de la rue Myrha, dont les occupants discutent paisiblement avec les musulmans bloqueurs. Toute personne qui s’est trouvée dans le quartier Myrha-Polonceau le vendredi a pu constater que les policiers ne prennent aucune mesure pour libérer les rues confisquées par les musulmans : l’auteur a vu, le vendredi 9 octobre, des policiers verbaliser des voitures au début de la rue de Laghouat, à seulement 20 mètres des barrières de la rue Myrha ! Ainsi, au moment-même où des rues entières sont volées par des musulmans en plein centre de Paris, les policiers, au courant de ce délit, ne trouvent-ils rien de plus urgent à faire que de continuer leur train-train quotidien, sans intervenir pour mettre fin à cette occupation illicite du domaine public !
Mais il y a plus grave : le vendredi 23 octobre 2009, au croisement de la rue Myrha et de la rue Léon, l’auteur a entendu un policier déclarer, depuis la fenêtre de son fourgon arrêté devant les barrières, à une femme qui s’apprêtait à traverser la rue Léon couverte de tapis de prières surmontés de musulmans, ceci :
– Non c’est pas à vous là quand même, non c’est pas à vous maintenant ! » (4)
La femme ainsi apostrophée par le policier lui répondit : « Ben tout ça c’est bien beau, mais je travaille aussi », puis elle se lança dans un exercice d’équilibriste pour franchir la rue Léon en marchant dans les interstices de bitume entre les tapis.
Le policier, à la fenêtre du fourgon, vient de déclarer à cette femme qu’elle n’a pas à traverser la rue Léon pendant que les musulmans y prient !
Ainsi, des policiers du 18e arrondissement admonestent-ils des non-musulmans qui veulent simplement pouvoir se déplacer dans le domaine public ! Ainsi des policiers du 18e arrondissement prennent-ils fait et cause pour les musulmans bloqueurs de rues !
Et il ne s’agit pas là d’un cas isolé : des femmes qui s’étaient fait refouler de la rue Myrha par les employés de la mosquée, et qui voulaient porter plainte auprès des policiers, se sont vu répondre par ceux-ci : « Mais c’est normal, c’est la grande prière ! » (5)
3) Les policiers laissent les musulmans gérer la circulation à leur place :
Au commencement de la rue des Poissonniers, sur le boulevard Barbès, c’est une autre scène qui a lieu chaque vendredi : des employés de la mosquée, portant sur le bras gauche un brassard orange marqué "Sécurité", règlent la circulation à la place de la police.
Un membre de la police musulmane parallèle, réglant la circulation au début de la rue des Poissonniers.
De chaque côté de l’embranchement de la rue des Poissonniers, deux islamistes, à grands gestes désordonnés, font signe aux voitures de passer, et crient aux piétons « Attention à la voiture qui passe ! ». Un responsable de la mosquée, portant, accroché sur son gilet, un petit panneau sur lequel est écrit au marqueur noir "Sécurité de la mosquée", vient de temps à autre régler lui aussi la circulation.
La "Sécurité de la mosquée" en action sur le territoire français.
Voici une vidéo montrant cette police musulmane parallèle en action :
Police musulmane à Barbès (6 novembre 2009) [1:51]
https://www.youtube.com/watch ?v=wZU6KYgz-14
Ainsi la police nationale délaisse-t-elle le quartier Barbès chaque vendredi à midi, et le livre-t-elle à une police musulmane parallèle, qui se voit confier, en toute illégalité, la sécurité et la circulation de tout un quartier parisien !
4) Appel :
Une fois de plus, nous lançons un appel aux autorités de l’État : quand donc mettront-elles fin à l’occupation illégale des rues du quartier Barbès par les musulmans ? Quand donc exigeront-elles que la police du 18e arrondissement fasse respecter la loi de la France dans ces rues ? Quand donc la Mairie de Paris, la Préfecture de Police, le gouvernement de la France, se décideront-ils à prendre la défense des citoyens français, face aux agissements délictueux des musulmans dans le quartier Myrha-Polonceau ?
Auteur
Message
Zed
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Sujet: Re: riposte laique 13/12/2010, 22:15
Si les muslims veulent qu'on respecte leur prophète, hé bien alors qu'ils le changent pour un respectable.
Jésus, moralement acceptable.
Moìses, moralement acceptable.
Gandhi, moralement acceptable.
Lao Tsu, moralement acceptable.
Confucius, moralement acceptable.
Mahomet, moralement inacceptable (tueur réclamant sang et guerre, surmonté d'une pédophilie louangé)
Branmakmorn06
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Sujet: Re: riposte laique 19/12/2010, 14:42
La Licra joue de la « reductio ad hitlerum » pour empêcher qu’on parle de l’islamisation de la France vendredi 17 décembre 2010, par Djamila Gérard
Le Mrap de Mouloud Aounit a été le premier du trio de groupuscules « antiracistes » professionnels vivant aux crochets des subventions publiques à réagir aux « Assises sur l’islamisation ». Ses deux concurrents n’ont pas tardé à suivre.
SOS-Racisme n’a pas encore communiqué sa réaction sur son site internet, mais il compte bien s’inviter à la fête des piailleurs gauchistes et islamistes qui organisent diverses manifestations samedi prochain. C’est au détour d’une dépêche AFP qu’on l’apprend : « Dans un communiqué distinct, SOS Racisme a également appelé à manifester à la même heure à proximité, Place des Fonds Verts. »
La Licra n’appelle pas à manifestation samedi – peut-être pour cause de shabbat ? – mais s’est tout de même fendue d’un communiqué pour ne pas être en reste : http://www.licra.org/communique/assises-internationales-islamisation
On y trouve les insultes usées jusqu’à la corde (« fascistes », « racisme ») ainsi que les diffamations habituelles (« appel à la haine », « obsession xénophobe »). Evidemment, aucune justification de ces accusations, et d’ailleurs la Licra pourtant si procédurière se garde bien de lancer une procédure juridique ou de menacer de le faire. Idem dans son communiqué à l’encontre de Marine Le Pen alors qu’autres pseudo-« antiracistes » disent avoir porté plainte.
La Licra n’en appelle même pas la mairie de Paris ou la préfecture de police à la censure des assises, contrairement au Mrap, aux élus de gauche ou aux groupuscules de l’islam politique. Elle se contente de « dénoncer les agissements » et de prévenir :
« La licra s’opposera avec la plus grande fermeté à la volonté de ces associations ou partis politiques d’imposer à des fins strictement haineuses le thème de l’islamisation dans le débat public, comme ce fut le cas vendredi 10 décembre à Lyon dans l’intervention de Marine Le Pen et comme ce sera à nouveau la cas samedi 18 décembre lors de ces assises. »
« La plus grande fermeté » d’Alain Jacubowicz et de son groupuscule de flics de la pensée pourrait nous faire sourire si cette phrase ne traduisait pas à la fois un déni de réalité et une volonté de censure des plus totalitaires.
En effet, la Licra veut tout simplement que « le thème de l’islamisation » n’entre pas « dans le débat public ». Ainsi, la Licra montre que ce ne sont pas les organisateurs des Assises qu’elle vise – et d’ailleurs elle ne leur fait aucun reproche précis –, mais bien certains problèmes de société qu’elle veut censurer à tout prix, même s’ils crèvent les yeux de tous les Français.
On retrouve là l’attitude qu’a eu Alain Jacubowicz, président de la Licra, face à Eric Zemmour : il ne s’agissait pas de savoir si la corrélation entre immigration et délinquance est une réalité ou non, mais de refuser de chercher à le savoir et, encore plus, d’interdire à Eric Zemmour ou à quiconque d’en parler sur les ondes de la télévision et de la radio.
Comme la Licra ne peut pas combattre les organisateurs des Assises ou Eric Zemmour sur le terrain de la vérité factuelle, elle tombe donc, comme nous l’avons vu, dans l’insulte et la diffamation, allant même jusqu’à la fameuse « reductio ad hitlerum » comme le démontre ce passage de son communiqué :
« Ceux qui parlent aujourd’hui de l’islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 30. »
C’est tout de même idiot et ignoble que la Licra, qui vient de reprocher à Marine Le Pen d’avoir soi-disant comparé l’occupation illégale de rues de Paris et d’autres villes à l’Occupation nazie, utilise – mais cette fois pour de vrai et explicitement – une comparaison fallacieuse et diffamatoire de même nature que celle qu’elle prête à tort à Marine Le Pen.
On mesure là toute la contradiction rhétorique dans laquelle s’enferme la Licra, puisqu’elle en arrive à dire n’importe quoi pour nier la réalité. Cette bouffonnerie prêterait à sourire si elle n’était pas une odieuse récupération de la Shoah et de ce qui l’a précédée.
Car évidemment, la comparaison ne tient pas une seconde la route ! Les Juifs des années 30 ne priaient pas dans la rue pour forcer les pouvoirs publics à leur construire des synagogues gigantesques, ils n’exigeaient pas des repas casher dans les cantines républicaines, ils ne demandaient aucun « accommodement déraisonnable » dans les entreprises et les administrations, ils ne commettaient pas d’attentats ni ne menaçaient de le faire, et ils n’étaient pas largement sur-représentés à la barre des tribunaux ou dans les prisons.
Le terme « judaïsation » n’est pas du tout comparable à l’« islamisation », non seulement en raison de tout cela, mais tout simplement parce que le judaïsme n’est aucunement conquérant et prosélyte ! Ni dans ses textes fondateurs, ni dans la pratique et les dogmes de ses fidèles, alors que c’est le cas dans le Coran, dans la conduite de Mahomet (qui rappelons-le a exterminé des centaines de Juifs !), dans la persécution des juifs et des chrétiens en terre d’islam (et désormais dans nos villes et nos banlieues), et évidemment dans tous les faits d’islamisation dénoncés par Riposte Laïque ou d’autres médias.
Cette comparaison est même une insulte à tous les Juifs de France dont les familles furent victimes de l’antisémitisme des années 30 et de la seconde guerre mondiale. Elle est également insultante pour les victimes du nouvel antisémitisme d’origine islamique et coranique. C’est bien dans les endroits où l’islamisation est la plus importante qu’on chasse les Juifs des écoles de la République, et désormais des quartiers, comme ils furent chassés de l’Afrique du Nord ou d’autres terres musulmanes.
Les condamnations des propos de Marine par le Crif et le Consistoire de Paris relèvent de la même cécité. Mais la hiérarchie catholique de France n’est pas en reste, quand on voit comment des évêques se comportent face à des actes anti-chrétiens contre leurs ouailles ou contre leurs églises de la part de jeunes issus de l’immigration musulmane : ils s’empressent d’aller cirer les babouches aux imams et au CFCM !
Cette sainte alliance de la dhimmitude des responsables ou prélats juifs et catholiques de France a de quoi inquiéter leurs fidèles respectifs victimes de l’islamisation. Et ceux-ci ne pourront guère compter sur la Licra pour les défendre contre le racisme puisqu’en tirant sur les pompiers, elle se range désormais du côté des incendiaires.
Djamila GERARD
Branmakmorn06
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Sujet: Re: riposte laique 19/12/2010, 14:44
Espagne : des musulmans portent plainte contre un professeur pour avoir parlé de jambon en classe Par Jeannot le 19 décembre 2010
L’histoire a été publiée dans le journal “El Diario de Cádiz” : un élève musulman a dénoncé son professeur pour avoir parlé de “jambon” en classe. Et la famille a porté plainte, au motif que le jeune garçon aurait été offensé.
Le professeur faisait une leçon sur le climat et a illustré son cours d’une anecdote, en parlant des jambons du village de Trevelez, qui arrivent à maturation plus tôt, en raison du climat froid et sec.
Selon l’article de journal, l’élève aurait demandé au professeur de ne pas parler de jambon, car, étant musulman, il se sentait offensé. En apprenant les faits, la famille se serait rendue à la police nationale pour déposer plainte.
Selon “El Diario de Cádiz”, le professeur serait accusé de mauvais traitements et de comportement raciste et xénophobe.
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Sujet: Re: riposte laique 19/12/2010, 14:45
Danemark : Un professeur battu et mordu pour avoir serré la main d’une élève Par Melba le 24 octobre 2009
Tendre la main va devenir un geste déplacé maintenant ? Il faudrait plutôt que ces hommes musulmans apprennent à respecter nos usages, à contrôler leurs instincts et à contenir leurs colères s’ils veulent vraiment vivre avec nous.
Vollsmose, Danemark- La police danoise a indiqué jeudi qu’un père palestinien a frappé un enseignant d’école primaire et lui a mordu l’oreille parce qu’il avait tendu la main à sa fille.
L’enseignant danois d’origine marocaine âgé de 47ans, avait invité le père et sa fille à une réunion se tenant à l’école dans la ville de Vollsmose mercredi où il a été «frappé à plusieurs reprises et mordu à l’oreille”, selon la police.
“Le père, un Palestinien, apparemment devenu furieux que l’enseignant ait accueilli sa fille en lui serrant la main, a déclaré Joergen Andersen, le commissaire de police d’Odense la ville voisine.
Le père de 33 ans qui est musulman, a déclaré que le professeur était allé ”trop loin et avait offensé son honneur”, indique Andersen.
“L’homme n’est apparemment pas un intégriste”, précise Andersen. Mais il “n’a pas supporté cette poignée de main entre le professeur et sa fille”.
Le père a dit à la police qu’il avait “perdu son sang-froid” à cause de ce qu’il considérait comme un comportement “indécent” de la part de l’enseignant.
A noter que les deux hommes sont musulmans et parlent l’arabe. En fait, le père aurait commencé par crier sur l’enseignant en arabe.
Selon Danish News, c’est l’usage au Danemark pour les enseignants de serrer la maisn aux élèves en les accueillant ou de leur donner une tape dans le dos. Dans cette école, pratiquement tous les élèves sont issus de l’immigration. Selon le directeur de l’école 90% des parents sont des immigrants et peu nombreux sont ceux qui refusent de serrer la main.
Source : IOL (AFP) via Islam in Europe
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Branmakmorn06
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Sujet: Re: riposte laique 19/12/2010, 14:47
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Branmakmorn06
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Sujet: Re: riposte laique 19/12/2010, 14:48
Invité Invité
Sujet: Re: riposte laique 19/12/2010, 15:27
Bran a écrit:
“L’homme n’est apparemment pas un intégriste”, précise Andersen. Mais il “n’a pas supporté cette poignée de main entre le professeur et sa fille”.
Qu'est ce qu'il aurait fait s'il avait été fondamentalement tracassé par sa religion...
Enfin, j'ai quand meme un faible pour le pauvre drole offensé par les jambons qui maturent plus vite à cause du climat...
Mab
Branmakmorn06
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Sujet: Re: riposte laique 21/12/2010, 09:24
TOUTES LES INTERVENTIONS
Timo Vermeulen : Aux Pays-Bas, c’est de plus en plus dur pour les juifs et les homosexuels mardi 21 décembre 2010
https://www.youtube.com/v/UxyhnLNoey4 Permettez-moi de me présenter brièvement a vous : je suis Timo, l’un des membres de la DDL (Dutch Defense League). Certains d’entre vous me connaissent déjà grâce à ma participation dans l’organisation de la réunion internationale d’Amsterdam pour la défense de la liberté d’expression et contre la charia en Europe.
C’est un grand honneur de parler ici aujourd’hui, en tant que représentant d’une petite organisation, d’un petit pays, devant les délégués d’organisations pour lesquelles nous avons une profonde admiration pour leur courage et leurs efforts dans la lutte contre le néo-barbarisme.
La Hollande, un pays comme la France, était autrefois connu à travers le monde pour sa tolérance et sa liberté. La Hollande est un pays connu pour sa profonde tolérance et ses droits individuels, dans le respect de l’intérêt de la collectivité. Un pays qui respecte toutes les religions et modes de vie. Un pays qui a toujours pris les devants pour défendre les dissidents. Est-ce encore le cas ? Non. C’est de l’histoire ancienne.
En Hollande, les homosexuels sont persécutés. Dans plusieurs villes les homosexuels sont victimes de harcèlement avec des menaces, des crachats, humiliés et même battus. Les homosexuels quittent en grand nombre les villes. Même à Amsterdam, autrefois connue comme la capitale gay du monde, il est difficile pour les homosexuels à mener une vie normale.
Les politiciens sont en entrain de suggérer des mesures de substitution comme faire passer des policiers pour des homosexuels ou des juifs en kippa, pour arrêter ceux qui commettent ces délits au lieu de traiter avec le groupe incriminé directement. Oui, les citoyens juifs aussi ont des raisons d’imaginer que les années trente sont de retour.
Parce que les juifs ne sont pas plus en sécurité dans les rues, et surtout les juifs orthodoxes. Des rapports secrets à Amsterdam montrent que les juifs sont agressés en raison du fait qu’ils sont juifs, insultés, et accueilli avec le salut nazi. L’Ex-ministre Bolkestein a récemment averti la communauté juive en Hollande qu’il serait mieux pour eux d’émigrer, parce que le gouvernement néerlandais ne pourra probablement pas garantir leur sécurité dans l’avenir.
Le taux de criminalité aux Pays-Bas a augmenté de façon explosive ces dernières années. Les criminels marocains sont sur-représentés dans les prisons néerlandaises, ( Les Marocains forment la plus grande communauté immigrée en Hollande) et une étude a révélé que le pourcentage de crimes qui peut leur être attribué est six fois plus élevé que celui des autochtones. Les types de crime sont en mutation : de plus en plus violents, beaucoup des victimes subissent de graves blessures ou traumatismes, ou même meurent.
L’image de la rue dans de nombreuses villes néerlandaises est dominé par des jeunes voyous. Ces jeunes regardent toute notre société occidentale d’une manière très irrespectueuse. Les femmes dans les rues sont souvent agressées avec des remarques sexuelles, appelé « putes », ou pire encore, brutalement violées. Des filles hollandaises sont enlevées dans les rues, drogués, violés, soumises au chantage et contraintes à une vie de prostitution.
La sécurité des reporters et journalistes n’est plus garantie. Des équipes de cameramen sont chassés de zones de non-droit d’une manière violente, et les journaux sont très souvent menacés de nos jours pour qu’ils modifient ce qu’ils publient.
Les pompiers et les ambulanciers ne sont pas en mesure de faire leur travail sans une escorte de police. Et parfois, les victimes subissent des complications ou meurent du fait que des services d’urgence font l’objet de harcèlement constant pendant leur travail.
Je n’ai pas à vous dire quel groupe opérant à partir d’une certaine idéologie est responsable de cela, et je suppose que ces faits vous sont bien familiers. Le mot utilisé précédemment "néo-barbarism" est évidemment un synonyme de l’islam radical.
Ni les parents, ni les imams, ni la communauté ne contrôlent ou corrigent ces « jeunes ». Ils haussent les épaules et nous disent qu’ils ne contrôlent pas la situation. « Ces jeunes sont le produit de leur environnement. »
Pour nous, ce fut la raison du début de notre action.
Comme je le disais au début, notre organisation la Ligue de Défense Hollandaise a organisé une manifestation internationale en Octobre dernier. Nous avons eu à faire face aux menaces de la Gauche et des Musulmans et aux manœuvres délibérées de sabotage venant des autorités. Notre action à Amsterdam montre qu’une jeune organisation, si elle est composée de gens motivés et organisés, peut capter l’attention d’un pays entier.
L’action d’Amsterdam fut un énorme succès médiatique avant même que la manifestation ait eu lieu, et la publicité liée à l’événement lui-même ne fit que rajouter aux retombées médiatiques. Notre but était déjà atteint. La DDL est fière de coopérer activement avec nos amis européens. Nous étions à Berlin début Octobre, nous sommes aujourd’hui ici dans cette belle ville de Paris, et nous serons en Février, aux côtés de nos alliés anglais, lors de la manifestation dans la ville fortement islamisée de Luton.
Une coopération internationale est essentielle pour défendre notre cause, et nous devons être là, les uns pour les autres, ensembles dans notre effort collectif pour défendre la Liberté et la Démocratie sur notre continent.
Aujourd’hui, nous sommes au pied d’une montagne. C’est une énorme montagne, cela nous prendra de temps pour arriver au sommet. Mais nous DEVONS la gravir. Ensemble, nous pouvons soutenir les uns les autres, partager nos connaissances, et être là les uns pour les autres quand c’est nécessaire. Ce n’est qu’ainsi que nous serons en mesure d’atteindre le sommet et de dire les uns aux autres : "C’est une vue magnifique, n’est-ce pas ?"
Invité Invité
Sujet: Re: riposte laique 21/12/2010, 09:35
( Les Marocains forment la plus grande communauté immigrée en Hollande) et une étude a révélé que le pourcentage de crimes qui peut leur être attribué est six fois plus élevé que celui des autochtones. Les types de crime sont en mutation : de plus en plus violents, beaucoup des victimes subissent de graves blessures ou traumatismes, ou même meurent.
Idem Molenbeek.
Branmakmorn06
Nombre de messages : 1603 Age : 65 Localisation : Monaco Date d'inscription : 14/09/2010
Sujet: Re: riposte laique 21/12/2010, 10:25
De Caroline dite Marianne: Au peuple seul appartient la Victoire.
Le peuple souverain s’est avancé, les tyrans descendront au cercueil
Depuis quelques jours, la pression montait : allait-on interdire nos Assises ? Delanoë et les autres charognards avait tellement bien fait dans ce sens que l’inquiétude était palpable mais la foi en notre bonne étoile restait la plus forte et elle ne nous a pas lâchés.
Levée du bon pied à une heure où la nuit rend encore tous les chats gris, je suis partie guillerette retrouver mes compatriotes en direction de la porte de Charenton où il fallait être hier, avec une chaleureuse pensée pour ceux qui ne pouvaient s’y rendre. Depuis quelques jours le dépit de ces derniers était palpable mais heureusement un lien bienvenu a permis de compenser cette frustration. J’apprendrais plus tard que 400 000 personnes s’y sont connectées !
Je suis surprise en arrivant : mais où sont donc les contre manifestants promis ? On nous avait pourtant garanti des attaques sanglantes et intempestives, des représailles apocalyptiques et d’ailleurs pour la circonstance je m’étais munie d’armes défensives : deux paquets de lardons « Belle France » (si, si) et des amulettes protectrices thaïlandaises.
Devant la salle, impossible de rater les camionnettes bleues sagement alignées dans l’attente inutile d’un hypothétique combat de rue. Etait-ce l’heure matinale, les frimas, le gros dodo réparateur qui suit les deals nocturnes ou la peur de nos jeunes à nous ? Toujours est-il que les racistes hargneux n’étaient point là. Tant pis, je testerai mes amulettes une autre fois.
Arrivée tôt j’ai pu choisir ma chaise : 3e rang, pile devant la tribune, une bonne place de fayotte ! Très vite la salle s’est remplie dans une ambiance joyeuse malgré des horizons personnels plus qu’éloignés. Il est un fait que l’heure n’est plus aux traditionnelles bagarres à la gauloise. Les yeux pétillants, les sourires francs et complices, les embrassades chaleureuses des gens heureux de se retrouver ou de se connaitre, le plaisir d’être en bonne compagnie, celle qui partage d’un même cœur l’Amour de son pays, de ses valeurs, de son Histoire.
Posant le ton le 1er, Pascal Hilout, qui ne se départit plus jamais de son célèbre saucisson, brandi comme le Durandal de la lutte contre les forces funestes ultra hallalisées.
L’arrivée du 2e intervenant, Jacques Philarcheïn fait naitre des frémissements angoissés dans la salle par le seul qualificatif de « marxiste » annonçant sa venue. Bigre, un gaucho pur et dur au milieu des « odieux nazis racistes d’extrême droite » que nous sommes, qu’allait-il donc nous raconter ? Ses premiers mots rassurent immédiatement, non ce n’est pas une erreur de casting : Marx n’a jamais soutenu l’islamisation et l’immigration et il a toujours fustigé les violences urbaines. Il nous explique avec objectivité ce qu’est cette nouvelle culture du misérabilisme qu’on essaie de nous inculquer. Son intervention se termine sous des applaudissements nourris, ce qui sera d’ailleurs le dénominateur commun de tous les invités.
Christine Tasin nous lit ensuite un discours de Halim Akli, un kabyle à qui on a refusé son visa. On y apprend qu’en Algérie Barbie et Blanche-Neige sont voilées, Walt Disney doit se retourner dans sa tombe. Il paraitrait que le nom d’Allah est apparu sur une raie et que ça a provoqué pas mal de bordel. Tu m’étonnes…
Un petit clip nous est passé pour nous mettre en jambes, on y voit des individus bizarres, des dhimmis ça s’appelle. Pas mal d’oreilles doivent siffler.
Marie-José Letailleur, une habitante de Champs sur Marne vient ensuite témoigner de la construction d’une mosquée en 2007, faisant naître une génération spontanée de centaines de barbus et de voilées menaçant les commerçants, accostant les jeunes filles et proposant aimablement des BD prosélytes aux enfants. C’est gentil. Elle nous raconte les douces prières d’amour entendues du balcon entre 13h et 23h, les enfants récalcitrants sortant en pleurs de la mosquée. Elle fait bien rire l’assistance avec l’histoire de cette femme excédée criant de son balcon sa propre prière « allah, allah, allah soupe !!! ». Elle nous apporte un peu d’espoir en nous apprenant que les habitants ont finalement eu gain de cause et que la mosquée a été fermée.
Un syndicaliste arrive ensuite pour nous rapporter que les certaines femmes se plaignent de devoir se voiler en entreprise parce qu’elles côtoient des collègues masculins, elles ne le font pas de gaieté de cœur, c’est leur mari qui leur impose, faute de quoi elles resteront cloîtrées à la maison. Il nous explique le dilemme intenable entre les salariés qui revendiquent des salles de prières et autres accommodements et ceux, majoritaires, qui ne revendiquent rien mais sont systématiquement lésés puisque eux continuent de travailler pendant les pauses cultuelles des autres. Ils n’ont aucune compensation et doivent en silence accepter le hallal exigé par les purs croyants. Il parait que certaines entreprises françaises refusent aux non musulmans de prendre leurs congés en été pendant le ramadan pour permettre aux musulmans de pouvoir prendre les leurs. Les infidèles doivent fournir un certificat de conversion s’ils souhaitent pouvoir en faire autant… J’insiste, c’est bien en France que ça se passe. Hululements indignés dans la salle.
A ce stade, des murmures impatients se font entendre : « il est où Oskar ? », « est-ce qu’Oskar est arrivé ? », « Oskar a pu prendre son train ? ». La température monte.
Le bruxellois Aldo Mungo témoigne de la déchéance de la Belgique : certaines villes sont devenues à 100% musulmanes avec un « nouvel ordre moral ». Amen. On lit l’émotion sur son visage, un voile défaitiste tombe sur l’assistance, il nous dit que dans certaines entreprises le repas de midi a été supprimé pour tous durant le ramadan et que la Belgique n’est désormais qu’un vaste guichet social. Il est très chaleureusement applaudi. Gorge nouée, Aldo m’a touchée en plein cœur.
Timo Vermeulen nous raconte les persécutions dont sont victimes les homosexuels en Hollande, il parait qu’on leur crache dessus. Il glace la salle d’effroi quand il nous raconte que le gouvernement hollandais à demandé aux juifs de quitter le pays parce qu’il n’est pas à même de les protéger et que ce serait mieux pour tout le monde, pour la tranquillité du pays, tout ça. Un peu comme on demande aux femmes violées de se taire pour ne pas faire de vagues et ne pas stigmatiser ses violeurs et sa communauté. C’est donc à la victime de faire profil bas et de laisser la place afin de la céder à ses bourreaux. J’en frissonne encore.
A propos de viol d’ailleurs, les filles hollandaises en savent quelque chose, on les enlève, on les viole puis on les prostitue. Les pompiers sont menacés et tués par les musulmans et les gauchistes… J’ai envie de vomir.
Le Danemark ne s’en sort pas mieux : là bas les morts de toutes confessions sont tournés vers la Mecque, c’est plus simple pour gérer les cimetières et ça évite de gérer les demandes spécifiques. Là encore les juifs sont priés de quitter le pays pour ne pas gêner les musulmans, de toute façon s’ils restent il ne faudra pas qu’ils se plaignent, on les aura prévenus qu’on ne pouvait rien pour eux. Oui, ça se passe comme ça en Europe maintenant, c’est l’Eurabia. A ce stade, le peuple de France se met à crier debout « LIBERTE ! LIBERTE ! LIBERTE ! ».
Pierre Cassen, toujours prêt à nous faire plaisir nous annonce que l’appel du maire demandant aux Français de venir manifester dehors est resté lettre morte, le peuple était au nombre de… zéro. Rires. Quant aux contre-manifestants appelés par Forsane machin chose, ils étaient… 24 !!! La foule s’esclaffe et applaudit. On saura plus tard que les journalistes (plus de 50 accrédités tout de même) auront eu pourtant plus à cœur de filmer les pauvres 24 victimes du froid que de rendre compte de nos Assises, sans doute pas assez haineuses à leur goût. L’herbe leur a été coupée sous le pied : le contenu n’était pas celui qu’ils attendaient. Ça doit en faire de la bave à ravaler.
On apprend par Tom Trento venu de Floride que les postes clés aux EU sont confiés désormais à des anti-américains. Selon lui la menace de l’islam militant est plus dangereuse que tout ce qu’Hitler a pu tenter. Gloups.
L’assistance se vautre de rire ensuite (ça fait du bien) quand Michèle Vianès nous dit que l’homme perd 1/3 de sa raison quand il est en érection. Une théorie facile à vérifier mais il fallait que ce soit dit, ne serait-ce que pour détendre -si j’ose dire- l’atmosphère. La mainmise sur la sensualité de la femme est la cause de tous les maux. Libérons la femme et tous nous vivrons libres, ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre.
Sur le financement contesté des mosquées, il parait que les fidèles n’ont pas le droit de donner de l’argent, on comprend mieux pourquoi ce sont nos impôts qui les paient. Les seuls prélèvements qu’on fait aux « muzz » sont ceux permettant d’acheter les futurs convertis. Vu le nombre de convertis on se dit qu’ils doivent quand même pas mal débourser. Heureusement qu’il y a les allocations familiales pour les aider dans ce sens. Elle nous cite ensuite Voltaire « Nous devons braver le diable qui n’existe pas et combattre les vrais diables fanatiques qui eux n’existent que trop ».
Oskar, fraichement arrivé, est la cible des photographes, chacun y va de son flash. Il est à 2 places de moi, je manque de me pâmer comme une pucelle. J’immortalise moi aussi ce moment.
Avant la pause déjeuner au saucisson-jambon-rillettes et Cabernet, nous vibrons aux mots d’un jeune kabyle, béret sur la tête, qui justifie l’absence de représentation des kabyles dans cette nouvelle guerre par leur intégration totale à la société française. Ils sont 100% français et s’expriment donc en tant que Français. Imparable. Tonnerre d’applaudissements.
La pause me permet de retrouver quelques visages familiers : certains aperçus le 18 juin, d’autres à la Bourse, ils se souviennent de la Marianne enveloppée d’un drapeau tricolore et me surnomment désormais « Caroline-Marianne ». Je rougis. Je palabre avec un petit groupe rencontré chez Marie-Neige Sardin, la libraire résistante (une vraie Marianne, elle) le 25 septembre dernier. Les revoir me fait chaud au cœur. Le Cabernet aussi. Oskar est à 1m et continue de se faire flasher pour excès de popularité.
Reprise des festivités avec Elena Tchoudinova dont l’intervention a été retardée suite à un petit problème de traduction. Elle nous enjoint de stopper l’invasion haineuse nous-mêmes puisque les dirigeants en sont incapables.
Une charmante petite vidéo sur les prières nous est offerte en pâture. Le peuple est déchainé, les hululements sont rageurs.
René Marchand évoque le Liban et la ruse du ramadan, cette technique policière destinée à distinguer le vrai musulman du faux. Il nous rappelle que partout où l’islam a sévi, il a emporté la civilisation précédente et que si nous continuons de le percevoir comme une simple religion nous sommes cuits. Il cite Victor Hugo « Le plus haut symbole du peuple, c’est le pavé. On marche dessus jusqu’à ce qu’il vous tombe sur la tête« . Le peuple rit et applaudit.
Une citation du Seigneur des Anneaux que nous rappelle Elisabeth Sabaditsch-Wolff nous somme de décider de ce qu’il nous reste à faire durant le temps qui nous est imparti. Oui, nous comprenons que le danger n’est désormais plus à nos portes, il a commencé à tourner la poignée. Il parait qu’en Allemagne toute personne critiquant la charia ou une fatwa est désormais punie. Rene Stadtkiewitz insiste sur le fait que « la dictature de la pensée islamiste n’est pas tombée du ciel, elle est venue des gens de chez nous ». Il est ovationné quand il nous dit dans sa langue « comme Allemand, je dis que nous n’avons pas le droit de recommencer les erreurs du passé ! ».
A cet instant je sais que ces Assises resteront à jamais dans ma mémoire.
Pierre intervient de nouveau et avec son plus beau sourire nous informe que le 1000e billet d’entrée a été vendu et que la retransmission internet en est à son 50 000e visiteur. Explosion de joie, renforcée par l’arrivée imminente de la star du jour : Oskar Freysinger.
Le peuple de France se lève et scande « OS-KAR ! OS-KAR ! OS-KAR ! ». Les femmes sont à moitié évanouies. J’en suis. Je me sens comme une ado béate à un concert de Justin Bieber. Promis, je ne me moquerai plus jamais de ces jeunes groupies hurlantes qui font des cœurs avec leurs mains. Ma voisine et moi sommes déchaînées, nous frôlons l’hystérie et poussons des petits cris ridicules mais sincères. Je regretterais presque de n’avoir pas amené de briquet. Oh, my god, quelle ambiance de folie !
Le bel Oskar (je sais, j’insiste) nous offre 33,42mn de bonheur avec un discours brillant, truffé d’humour et délicieusement incisif. Nous buvons ses paroles que nous soulignons d’acclamations enthousiastes. C’est donc ça l’hystérie collective…
Paré d’un gilet pare-balles et accompagné de gardes du corps, Oskar nous enseigne que « le sens de la vie et dans l’Homme et pas autour de lui », nous confirme que la gauche idéalise des valeurs qu’elle aurait vomi si elles venaient du christianisme, qu’il n’y a qu’en Europe que les gens croient que tout le monde sera gentil si on est gentil alors que dans les autres pays on considère cela comme de la faiblesse. Il nous explique le fonctionnement de la Suisse, très différent du nôtre et nous achève en disant que les Suisses votent plus en une année que nous dans toute notre vie. L’espoir viendrait-il du pays des montagnes, des cloches des vaches et du chocolat ?
Oskar nous salue d’un grand sourire, nous sommes debout, à ses pieds, et le supplions à pleine voix de devenir notre président.
Le calme revient avec Arnaud Gouillon qui témoigne de la vie des Kosovars qu’il connait bien, de ces Serbes persécutés qui ont vu se construire 400 mosquées en 10 ans et à qui dans le même temps on a détruit 150 de leurs églises dont certaines avaient plus de 1 000 ans et faisaient partie du patrimoine de l’Humanité. On se demande à quoi sert l’Unesco. Il nous prévient que ce que nous vivons, c’est ce que les Serbes ont vécu dans les années 80-90. Nous sommes atterrés mais il nous revigore par ces mots « nous ne sommes pas le dernier carré de la résistance, nous en sommes l’avant-garde ! ». Vivats du peuple.
Pierre intervient cette fois pour nous faire part des menaces de représailles qu’on reçu les élus UMP qui avaient prévu de venir à nos Assises. Encore un flagrant délit de totalitarisme et d’atteinte à la liberté d’expression.
La féministe Anne Zelensky nous dit l’importance d’adhérer à des idées plutôt qu’à des individus et qu’elle a plus de fierté aujourd’hui à combattre auprès des Identitaires que de continuer à faire partie d’une gauche lâche et collaboratrice et des groupes de pseudo féministes qui n’en sont plus. Renaud Camus quant à lui évoque « la France qui est une vieille fille qui élève les enfants des autres ». L’image amuse l’assistance. Fabrice Robert résume la situation de l’Europe par ces mots « les dirigeants accepteraient de se faire lapider du moment qu’ils pourraient vendre les pierres ». S’ensuivent 3 vidéos des actions du BI dont celle de la ville de Rezé arborant de nouveaux panneaux bilingues « impasse des Allocations Abusives » ou « rue de la Lapidation ».
A ce stade nous apprenons que 217 000 personnes regardent la retransmission. Cris de joie cette fois encore.
Christine Tasin et Pierre Cassen bouclent ces Assises historiques. Christine prédit une révolution si 2012 ne fait pas changer les choses et nous lit un Manifeste que nous plébiscitons dans l’allégresse.
La Victoire désormais nous appartient. En ce 18 décembre 2010 nous sommes entrés dans l’Histoire alors que la neige tombait à gros flocons dehors, nous avons fracassé la porte pour accéder à la Liberté, la nôtre. Mieux encore, à ces Assises nous avons fait l’Histoire. Le Peuple était là, dans la salle et en dehors, partout avec nous et les sceptiques finiront par nous rejoindre parce que nous sommes du bon côté, celui du cœur, celui qui combat le diable islamique gorgé de haine.
Je quitte l’espace Charenton – dont je remercie vivement la résistance des employés aux menaces de mort – le cœur léger, heureuse d’avoir apposé ma signature au bas de cette page d’Histoire.
Je tiens à dire un immense merci à tous ceux qui ont parlé et à tous ceux qui les ont écoutés.
Branmakmorn06
Nombre de messages : 1603 Age : 65 Localisation : Monaco Date d'inscription : 14/09/2010
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 10:39
LA LIBERTE QUI CAPITULE
« La liberté qui capitule, ou le pouvoir qui se dégrade, n’obtient point merci de ses ennemis » (Chateaubriand – « Mémoires d’outre-tombe ») De Joseph Castano Rien ne saurait mieux actualiser la situation à laquelle nous sommes désormais confrontés, que ces mots de Chateaubriand. Il a fallu que Marine LE PEN soit crédité de 27% d’opinions favorables, que 17% des électeurs déclarent vouloir voter pour elle au premier tour de la présidentielle de 2012, et une émission télévisée « A vous de juger » dont elle est sortie grandie en dépit de journalistes déstabilisants… pour qu’un consensus virtuel de diabolisation de l’intéressée s’établisse aussitôt au sein de la nomenklatura politico-médiatique française. Il a fallu, trois jours plus tard, vendredi 10 décembre, une phrase sortie d’un discours d’une heure trente, pour que du virtuel l’on passe au concret et que, de Martine Aubry à JF Copé, en passant par le MRAP, la Ligue des Droits de l’Homme, le Collectif Contre l’Islamophobie en France (qui ont porté plainte pour « incitation à la haine raciale », rien que ça !) et les associations prétendues humanitaires, s’instaure une polémique parfaitement réfléchie consistant à condamner et fustiger sans la moindre retenue le « vrai visage » de Marine Le Pen. Quelle était cette phrase : «Il y a quinze ans on a eu le voile, il y avait de plus en plus de voiles. Puis il y a eu la burqa, il y a eu de plus en plus de burqa. Et puis il y a eu des prières sur la voie publique (...) maintenant il y a dix ou quinze endroits où de manière régulière un certain nombre de personnes viennent pour accaparer les territoires. Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit d’en parler, on pourrait en parler… Certes, y a pas de blindés, y a pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même… « Si nous ne pouvons plus rien pour les morts d'hier, nous pouvons encore empêcher les souffrances demain, et c'est notre rôle ». Et c’est ce mot « occupation » qui a déclenché un raz de marée politico-médiatique… ce seul mot qui a permit à nos « élites » de crier « haro sur l’extrême droite ! » et de se lancer à l’assaut du processus de « dédiabolisation » entrepris par le FN, que le politologue, Dominique Reynié, analyse de la sorte : « Les Français ne perçoivent plus seulement le FN comme un parti d’extrême droite mais comme un parti populiste et populaire transcendant la droite et la gauche ».
Dès lors, récriminations, amalgames, délation, médisance et démagogie ont pris le pas sur toute autre considération. L’occasion était trop belle de porter un coup « fatal » à « l’extrême droite » et de réfréner l’ardeur des électeurs tentés par le vote FN… Et, en quelques heures, une levée de boucliers que l’on croyait révolue envahit les ondes, les journaux et enrichit les commentaires… Pensez-donc ! « La « bête immonde » est revenue ! »… « C’est bien la fille de son père ! »… et voilà que les « moralistes » s’en donnent à cœur joie. Pour le Parti socialiste, Marine Le Pen montre le « vrai visage de l'extrême droite française ». Ses déclarations « relèvent de la haine et de l'ignorance ». Il s'agit d'une « provocation de plus destinée à attiser la haine », s'est indigné le secrétaire national Patrick Mennucci. Harlem Désir, député PS européen, issu du trotskisme et Pierre Moscovici, député du Doubs, ont estimé que les propos de Marine Le Pen pourraient relever des tribunaux. « On ne peut pas transiger sur les valeurs avec le Front national », a déclaré ce dernier en marge de la convention du PS sur « l'égalité réelle », dans le XIIIe arrondissement de Paris. « Marine Le Pen, parfois certains la présentent comme le visage humain du Front national ou une simple droite républicaine un peu plus radicale : ce dérapage rappelle que le Front national fonctionne à la provocation et que c'est un parti dont le patrimoine génétique n'est pas inscrit dans les valeurs républicaines », a expliqué Moscovici. Pour l'ancien ministre des Affaires européennes, Marine Le Pen, par ses propos sur les musulmans, « a rappelé qu'elle était porteuse d'une logique profondément discriminatoire et donc pour moi anti-républicaine ». Martine Aubry s'est dite « choquée » par ces déclarations. Interrogée par l'AFP en marge de la convention sur « l'égalité réelle », la patronne du PS a déclaré : « Marine Le Pen reprend les accents de son père dans des buts purement clientélistes et en renvoyant aux marges de notre République des hommes et des femmes qui ont toute leur place et qui ont le droit de croire comme on a le droit de ne pas croire ou d'avoir une autre religion ». Dans un communiqué commun, Kader Arif, Stéphane Le Foll, Bruno Le Roux, membres du Bureau national, et Faouzi Lamdaoui, membre du Conseil national du Parti socialiste, estiment que la vice-présidente du FN a « dépassé le racisme primaire et l'islamophobie populiste »… « Marine Le Pen sort l'oriflamme fasciste, elle déborde son père sur le terrain de l'extrémisme. Le lepenisme jette le masque et montre, au grand jour, le visage hideux qu'il veut donner à notre pays », ajoutent-ils. Que de haine dans ces propos ! Arnaud Montebourg a évoqué samedi 11 décembre 2010 la mémoire de son grand-père, un « Arabe d'Algérie qui aimait et servait la France ». Le député socialiste répondait à « l'injure » de Marine Le Pen en ces termes : « Je veux répondre à Mme Le Pen en évoquant la mémoire de mon grand-père, un Arabe d'Algérie qui a combattu l'armée d'occupation nazie parce qu'il servait et aimait la France »… « Cette déclaration est une injure à ceux qui, arabes, africains, musulmans ou non, sont morts pour la France, ceux-là même qui ont libéré le territoire national pendant que votre père, madame le Pen, trouvait des circonstances atténuantes à l'occupation nazie ». Pour votre gouverne, Monsieur Montebourg, sachez que le père du signataire de ce texte, après avoir été démobilisé en 40 suite à la victoire éclair allemande, s’est engagé en 42 au sein de l’Armée d’Afrique dans les Tabors marocains, ces mêmes hommes qui ont conquis de haute lutte Monte-Cassino. De novembre 1942 à mai 1945, la France métropolitaine a fourni 580 000 hommes (1,7% de la population) aux armées de la libération, contre 134 000 Algériens (1,2% de la population indigène) et 120 000 Pieds-noirs (12% de la population française d’Algérie). Le taux de mobilisation des Français d’Algérie fut donc dix fois supérieur à celui des indigènes. Quant aux pertes par rapport aux effectifs, elles furent de 8% chez les Pieds-noirs et de 5% chez les Algériens. Ce sont les Français d’Algérie (que vous méprisez par ailleurs) qui ont payé de très loin le plus lourd impôt du sang pour la libération de la France. N’oubliez jamais cela et revoyez votre copie Monsieur le candidat aux Primaires socialistes ! Quant au Parti Communiste, le secrétaire national Pierre Laurent déclare : « Le PCF demande la condamnation des propos injurieux et racistes » de Marine Le Pen… « Le Front national est une formation politique xénophobe dont le discours fascisant, raciste et négationniste a été de nombreuses fois condamné par la justice », ajoute-t-il. Il considère également que « le service public audiovisuel ne doit pas se déshonorer en faisant la promotion d'un discours raciste et xénophobe qui fait honte à notre pays »… « En comparant les prières de rue des musulmans à l'Occupation pendant la seconde guerre mondiale, continue le responsable communiste, Marine Le Pen déplace les frontières de l'ignoble. Ses déclarations soulèvent le cœur »… « Le Pen père et fille sont prêts à toutes les provocations, surtout les plus répugnantes pour assouvir leur soif de pouvoir », estime-il. « Ils ont pour seul mot d'ordre la haine de l'autre, ce qui n'est jamais que la haine de l'Homme ». Belle leçon de morale d’un parti que l’on surnomme « le parti aux 100 millions de morts » !
Ce même jour, Marine Le Pen a précisé à Reuters, qu’elle n'avait pas fait référence spécifiquement à l'occupation allemande pendant la Seconde guerre mondiale mais à toute forme d'occupation. « Mes propos ne constituent en aucune manière un dérapage mais bien une analyse tout à fait réfléchie basée sur une banale constatation d’une réalité physique et juridique »…« J'aurais pu aussi parler de l'occupation par les Anglais à l'époque de Jeanne d'Arc », a-t-elle déclaré. « Ce que j'ai dit, c'est que ceux qui pratiquent les prières sur la voie publique se comportent comme des occupant », a-t-elle encore précisé. Accordant un entretien à l'AFP dans lequel elle enfonce un clou déjà bien planté. « S’agissant du terme « Occupation », je persiste et je signe mais ceux qui ont cru pouvoir déformer cette hyperbole, en indiquant que j’aurais comparé les musulmans aux nazis sont des menteurs et des manipulateurs »… « Oui, il y a occupation et il y a occupation illégale », estime-t-elle. « Je réitère qu'un certain nombre de territoires, de plus en plus nombreux, sont soumis à des lois religieuses qui se substituent aux lois de la République ». « J'ai bien dit qu'il ne s'agissait pas d'une occupation militaire (…) « Il n’y a dans la constatation d’une occupation ni atteinte à la liberté de culte », « ni islamophobie », « ni discrimination (...) J'ai voulu glorifier l'esprit de résistance qui fait qu'on doit s'opposer à l'occupation du territoire. Cela a été le cas dans toute notre histoire », ajoute-t-elle avant de se placer en gardienne de la tolérance : « J'entends de plus en plus de témoignages sur le fait que dans certains quartiers, il ne fait pas bon être femme, ni homosexuel, ni juif, ni même français ou blanc ».
Et la raison de cette profusion de déclarations haineuses, c’est le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé qui, le 11 décembre lors du conseil national de son parti, nous la donne en déclarant : « Nous sommes en danger du point de vue électoral. Le FN connait incontestablement une montée régulière depuis ces derniers mois. »…
Voilà l’aveu flagrant qui a déclenché cette tempête médiatique ! Ne soyons, dès lors, guère surpris de l’attitude de ce dirigeant qui, redoutant qu’un 21 avril 2002 à l’envers se reproduise, a clairement défini la nouvelle stratégie inspirée par la nature du danger immédiat que représente le FN… stratégie également mise en œuvre par les partis de gauche dans l’attente d’une nouvelle « union sacrée »… ce qui rend vivante la déclaration de ce grand Français que fut le Bachaga Boualam : « En France on punit ceux qui sonnent le tocsin et on laisse en liberté ceux qui allument l’incendie ». Cependant, les uns et les autres devraient s’inspirer de la conduite et des déclarations du ministre algérien des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, qui vient de relancer l'interdiction de pratiquer la prière, celle du vendredi notamment, en des endroits publics, situés, pour être plus précis, à proximité des mosquées. Il arrive, en effet, que pendant la prière hebdomadaire du vendredi, plusieurs dizaines de fidèles s'agglutinent à l'extérieur des mosquées pour accomplir leur devoir religieux à même les trottoirs. Ce genre de constat est visible notamment dans les mégapoles du pays, à l'instar d'Alger où les mosquées ne désemplissent pas chaque vendredi. « Seulement, ce n'est pas là une raison, insiste le ministre des Affaires religieuses, pour tolérer les rassemblements des fidèles au niveau des endroits environnants aux lieux de culte. » Il a indiqué : « Seul l'intérieur des mosquées est fait pour les prières et si celui-ci est rempli de pratiquants, les autres fidèles n'ont qu'à prier chez eux et non pas dehors ».
Faut-il juste rappeler que le fait de prier en des lieux publics a toujours été une pratique interdite, en Algérie, par la loi en vigueur. Néanmoins, les autorités ont jusque-là fait preuve de souplesse vis-à-vis de l'application de cette loi. Ghlamallah semble désormais décidé à en finir avec cette souplesse, en faisant valoir l'application de la loi dans toute sa rigueur. C'est du moins ce qu'il a soutenu, le 19 juillet 2010, lors d'un point de presse qu'il a animé à Dar El Imam de Mohammadia (El Harrach) où il a présidé la cérémonie de clôture de deux journées d'étude organisées à l'intention des nouveaux imams et morchidate. (Source : quotidien francophone « Le Temps »).
Et pendant que les islamo-collabos continuent de déverser leur trop plein de haine et de lyncher Marine Le Pen, les rues de certaines villes françaises sont condamnées à l'heure de la prière, sans autorisation préfectorale ; la circulation est effectuée par des individus qui subtilisent les fonctions des agents de la circulation, en mettant en travers de la chaussée leur propre véhicule. Il est interdit à ce moment à toute personne, non musulmane, de passer à pied dans cette zone sous peine d'insultes et d'agressions. Et pendant ce temps… les islamistes montent au créneau et montrent leur vrai visage : celui du fascisme politico-religieux, sans que les « bonnes consciences » que nous venons d’entendre, ne réagissent ou s’émeuvent le moins du monde… Sur leur site, ils laissent passer les commentaires les plus extrémistes, comme celui-ci, qui prend toute sa saveur, après le premier attentat suicide commis sur un pays européen, en Suède « Si ils cautionnent le clash, on va la jouer comme du temps du prophète (saws) ! Envoyons leur des hommes qui aiment la mort plus que eux n’aiment la vie. » En conclusion, si le FN ne cesse de grimper dans les sondages, ne doit-on pas voir là le désaveu du peuple français envers la politique de Nicolas Sarkozy ?
N’est-ce pas le signe d’un échec contre sa politique aggravant le chômage, l’immigration et l’insécurité ?
En réalité, les électeurs ne sont-ils pas lassés de ces hommes politiques qui se partagent régulièrement le pouvoir et qui, inexorablement, enfoncent la France dans un abîme de calamités ? Et ces matamores devraient s’inspirer de cette mise en garde de Chateaubriand où l’on pourrait bien attribuer le rôle de l’innocent à Marine Le Pen : « Ce n’est pas de tuer l’innocent comme innocent qui perd la société, c’est de le tuer comme coupable ». A méditer…
José Joseph CASTANO
Branmakmorn06
Nombre de messages : 1603 Age : 65 Localisation : Monaco Date d'inscription : 14/09/2010
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 11:36
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 12:49
Il a raison, ce monsieur. Du moins sur ce sujet-là. Qui et comment plaider le contraire ?
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 12:58
Evidemment que ces propos sont justes. C'est du pur bon sens . Mais nos politiques sont à 100 000 lieues de la réalité. Comme le montre un des textes posté par Bran, ils n'envisagent le problème que sous l'angle électoraliste... Je dois aussi ajouter que mes voisins (maghrebins et musulmans) m'ont souhaité un joyeux Noël (n'oublions pas ceux là: qu'on ne leur présente pas la note des fumiers) et moi je n'ose pas leur souhaiter "aïd saïd" quand l'occasion se présente, de peur d'heurter leur discrétion (pourtant j'adore frimer en parlant arabe)
Invité Invité
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 14:25
Citation :
Evidemment que ces propos sont justes. C'est du pur bon sens .
Cités, et surtout édités, hors-contexte, venant d'un politicien populiste d'extrême-droite, sur une chaîne qui prône une hégémonie christo-fondamentaliste sur la politique américaine, l'homophobie, la femme au foyer, le sectarisme religieux, l'établissement d'une théocratie, le retour des femmes à la maison et des noirs dans les champs et la fessée pour les enfants...
Ah oui, j'oubliais...
D'après ces gens, Obama est un demi-singe né au Kenya et la NBA, les pompiers, les policiers et les médecins ont déclaré la guerre à Christmas! Sans compter que Darwin doit être sorti des manuels scolaires, remplacé par la Bible dans les cours d'histoire.
Mais en deux phrases, il a tout dit des zôtres, de lui et de ses interlocuteurs!
Sidérant!
Branmakmorn06
Nombre de messages : 1603 Age : 65 Localisation : Monaco Date d'inscription : 14/09/2010
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 14:40
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 14:42
Pétard a écrit:
Citation :
Evidemment que ces propos sont justes. C'est du pur bon sens .
Cités, et surtout édités, hors-contexte, venant d'un politicien populiste d'extrême-droite, sur une chaîne qui prône une hégémonie christo-fondamentaliste sur la politique américaine, l'homophobie, la femme au foyer, le sectarisme religieux, l'établissement d'une théocratie, le retour des femmes à la maison et des noirs dans les champs et la fessée pour les enfants...
Ah oui, j'oubliais...
D'après ces gens, Obama est un demi-singe né au Kenya et la NBA, les pompiers, les policiers et les médecins ont déclaré la guerre à Christmas! Sans compter que Darwin doit être sorti des manuels scolaires, remplacé par la Bible dans les cours d'histoire.
Mais en deux phrases, il a tout dit des zôtres, de lui et de ses interlocuteurs!
Sidérant!
Personne n'est dupe: tu as d'ailleurs bien souligné les mots "ces propos".
Branmakmorn06
Nombre de messages : 1603 Age : 65 Localisation : Monaco Date d'inscription : 14/09/2010
Sujet: Re: riposte laique 27/12/2010, 14:45
Personne n'est dupe, reste a savoir de qui?
Entre une extreme droite qui fait son electorat sur les valeurs d'une nation dont elle ne detient pas l'exclusivité et des demeurés qui ne revent que de la destruction de l'occident qu'il haissent tout en l'enviant! Mon choix est fait!
Branmakmorn06
Nombre de messages : 1603 Age : 65 Localisation : Monaco Date d'inscription : 14/09/2010
Sujet: Re: riposte laique 28/12/2010, 10:35
Eurabia : La planification de l'islamisation de l'Europe L’analyse qui suit sur l’islamisation de l’Europe a été écrite en 2009 par Michael Mannheimer, journaliste allemand.
Elle permet de comprendre les origines de la situation qui risque de mener à des guerres civiles en Europe, où les peuples n'accepteront jamais d'être livrés à une dictature du clergé.
« Grâce à vos lois démocratiques, nous prendrons le pouvoir. Grâce à vos lois religieuses, nous allons vous gouverner » a dit un imam d’Izmir.
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L’islamisation de l’Europe est en plein essor et la majorité des Européens se trouvent impuissants face à cette situation. Ils ne sont informés ni de la véritable nature de l’islam, ni du contexte des prétentions politiques islamiques sur le territoire de l’Europe.
Les musulmans ne sont pas venus pour s’intégrer dans la société européenne. Leur objectif est la transformation de l’Europe en terre d’islam où seule la charia, la loi de l’islam, sera appliquée. Je vais vous parler d’une série de documents contenant des informations importantes sur les aspirations expansionnistes des musulmans et de leurs complices appartenant à l’élite occidentale, et ces informations vous permettront de leur opposer une nécessaire résistance.
Partie 1 : Le contexte politique, idéologique et religieux sur lequel s’appuie l’islamisation de l’Europe
Les plans de la gauche pour l’islamisation - et leurs réalisations incessantes jusqu’à maintenant.
Au début des années 1990, les représentants du parti allemand « Bündnis90/Les Verts » (Coalition90/Greenpeace) pour une Europe franco-allemande et l’un de leurs politiciens vedettes, Daniel Cohn-Bendit, annonçait la couleur ainsi :
« Nous, les Verts, devons lutter afin que le maximum d’étrangers viennent s’installer en Allemagne. Quand ils seront en Allemagne nous devrons lutter pour qu’ils obtiennent le droit de vote. Quand cet objectif sera atteint nous aurons alors le nombre suffisant d’électeurs pour changer cette république ».
Jürgen Trittin, le ministre fédéral pour l’Environnement, la Protection de la nature et la Sécurité nucléaire, sous les ordres du chancelier Schröder (1998-2005), puis après octobre 2005, ministre fédéral de la Protection des consommateurs, Alimentation et Agriculture a conservé l’idéologie du Mouvement Pacifiste de 1968 (le fameux « esprit soixante-huitard ») jusqu’à nos jours. Encore maintenant, il est fidèle à son adhésion au mouvement maoïste d’alors, la « Fédération communiste » (Kommunistischen Bund KB, avec leur slogan : « Plus jamais ça, Allemagne ! »), et à ce sujet il affirme :
« Ce n’est pas la faute de la jeunesse, et je crois qu’il y a davantage de choses pour lesquelles nous devons lutter aujourd’hui… ».
Dans le contexte de cette déclaration, l’opinion de Trittin au sujet des élections démocratiques est intéressante. En effet, Trittin est moins intéressé par une représentation des majorités au Parlement que par la prise du pouvoir par son parti, grâce aux :
« minorités agissantes et au contrôle de l’opinion ».
Ceci n’est rien d’autre qu’une stratégie post-communiste pour propager le dogme léniniste de la dictature du prolétariat, de la part d’un politicien allemand important. C’est par cela même que les communistes ont justifié les décennies d’oppression de leurs concitoyens par une minorité radicale, arrogante, et surtout complètement fascisante d’extrême gauche. Dès lors, et avec les grands succès obtenus jusqu’à maintenant par la même stratégie du contrôle de l’opinion publique, Trittin a esquissé un plan plus pertinent concernant les relations de pouvoir réel dans les pays européens. Même les analystes des sciences politiques n’ont jamais été capables de parvenir à ce but avec leurs grandes théories. Certes, les pouvoirs parlementaires sont actuellement entre les mains des partis conservateurs européens, cependant, ce contrôle de l’opinion des masses dont parle Trittin, et le pouvoir qui en découle, est entièrement dans les mains des minorités gauchistes parfaitement organisées, (mot-clé : cartel de l’opinion de la gauche fasciste) qui jusqu’à présent ne rencontrent aucune contradiction sur la décision de ce qui est politiquement correct et ne l’est pas, mais nous reviendrons là-dessus.
Des politiciens déchus se cherchent un nouveau peuple, Ou comment une satire politique se transforme finalement en réalité.
Penchons-nous d’abord sur la tête « pensante » des Verts (Greenpeace), l’Allemand Joschka Fischer, longtemps chef de son parti et ancien ministre allemand des Affaires étrangères. Dans sa jeunesse, ce sympathisant de la RAF (la célèbre Fraction de l’armée rouge, des communistes révolutionnaires) en lutte contre les policiers, militait contre son propre pays et détestait le modèle occidental. Il adhérait aux mêmes slogans que son ami et compagnon de route Cohn-Bendit. Fischer affirme : « Je découvre de plus en plus à quel point je suis demeuré un marxiste », et il dévoile les véritables intentions politiques derrière l’immigration massive dans son livre au titre révélateur : Risiko Deutschland (L’Allemagne : Le risque) (1994). Le quotidien Die Welt résume ainsi ce livre :
«L’Allemagne doit être encerclée de l’extérieur, et à l’intérieur, par des flux migratoires, on doit hétérogénéiser [sa population] jusqu’à la diluer.» (Deutschland muss von aussen eingehegt, und innen durch Zustrom heterogenisiert, quasi « verdünnt » werden).
En clair, l’idée d’une fraude électorale de proportions historiques était née et elle serait mise en œuvre par la suite, insidieusement et facilement mais néanmoins sans aucune hésitation. En 1960, seulement 600 000 musulmans vivaient en Europe, en 2010 ils sont 30 millions, et la plus grande immigration de masse de l’Histoire continue sans ralentir. Chaque année, un million d’immigrés musulmans affluent en Europe. Tout cela s’effectue dans la légalité, par les regroupements familiaux, et les réfugiés politiques qui viennent demander l’asile politique fuyant leurs pays musulmans où les droits humains sont piétinés. Encore et encore, ils reçoivent les mêmes droits que les résidents, sans être obligés d’acquérir les moindres rudiments de la culture, de l’éducation et des compétences professionnelles nécessaires pour s’adapter à une société européenne hi-tech.
Mais ils ne sont pas venus pour s’intégrer dans cette société occidentale, c’est d’ailleurs interdit par leur foi, ainsi que le leur rappellent leurs leaders religieux, très organisés, et qui ont depuis longtemps pris le contrôle des musulmans en Europe. Leur principal objectif politique est de réaliser ce que leur commande leur foi, ce qu’Allah commande : gouverner les Infidèles dans le monde entier. C’est ce qui est écrit dans le coran, c’est cela que leur prophète Mahomet commande aussi. Et c’est également cela que chaque musulman s’efforce de réaliser dans tous les pays européens, indépendamment des partis auxquels ils appartiennent par ailleurs.
La domination du monde est le but principal de l’islam
Que ce soit Vural Öger (député allemand du SPD d’origine turque) ou Boumediene (ancien chef de l’Etat algérien) ou Izbetbegovic (ex-Président bosniaque) ou Erbakan (ancien premier ministre turc) … chacun d’entre eux connaissait parfaitement le plan de conquête et employait tout le pouvoir qu’il avait pour l’accomplir.
Seuls les bien-pensants occidentaux et l’élite de gauche refusent avec insistance de reconnaître la volonté islamique de domination du monde, car ils suivent naïvement la devise des bien-pensants et des personnes de bonne volonté qui croient que ce qui est immoral ne peut tout simplement pas exister. Mais il faut le dire à tous ceux qui refusent d’accepter la réalité: les musulmans ne se soucient pas de ce que les non-musulmans pensent de l’islam. Ce que l’islam implique, ce qu’il signifie vraiment, chaque musulman le comprend parfaitement. Disons-le clairement, les idéaux occidentaux ou toutes autres valeurs morales, sont considérés [par les musulmans] comme un tas de déchets. Khomeiny l’a formulé sans ambigüité :
« Gouverner le monde est le but de l’islam. »
Cette déclaration pourrait être confirmée par tous ceux qui connaissent l’islam. Bassam Tibi, orientaliste et homme scientifique germano-syrien ajoutait :
«Partout, où vivent des musulmans, l’Islam se proclame l’unique propriétaire légitime (les avis dissidents ne sont pas valides).»
Même le chef de la police de Cologne - tenu par l’obligation de neutralité liée à sa fonction - a conclu sobrement suite à l’ouverture des frontières et sur la base du taux de natalité élevé des musulmans que l’Etat allemand sera conquis en 2030. Puisque l’islam aspire à la domination du monde, il pourrait y avoir une guerre civile sanglante en Allemagne et en Europe.
Son collègue à Vienne, Alfred Ellinger, président de l’Association des criminologues autrichiens (Vereinigung Österreichischer Kriminalisten), prévoit la même chose. Dans un commentaire sur l’état de l’Europe par rapport à l’islam, il écrit:
«Tout musulman a le devoir de défendre son territoire contre les attaques des infidèles et en même temps de détruire le monde des infidèles de manière à ce que l’Islam domine le monde entier. Le djihad ne prend fin que lorsque toutes les personnes ont soit accepté la foi islamique, ou soit se soumettent à son autorité. La frontière de l’Islam est la frontière du monde».
Tout comme le Turc Metin Kaplan - qu’on appelle ironiquement le “Calife de Cologne”, fondateur du groupe militant musulman «L’état-caliphat», qui entretient une haine envers les Juifs et Israël. Reconnu demandeur d’asile, il a proclamé dans d’innombrables sermons la création d’une “théocratie islamique allemande” et prophétise la prochaine domination islamique sur le monde. […]
Adolph Hitler qui avait une connaissance minimale de l’islam collaborait avec le Grand Mufti de Jérusalem, dans le but notamment d’établir un camp de la mort pour les Juifs vivant en Palestine. Néanmoins, il était capable de saisir la portée du désir de domination du monde islamique mieux que la plupart de nos contemporains européens éduqués.
« Si nous étions devenus des mahométans, nous serions, aujourd’hui, les maîtres du monde »
Partout dans le monde, les musulmans œuvrent à la prise du pouvoir, et ni une soi-disant opinion de la gauche ou des Verts ne pourra les retenir. Nargess Eskandari-Grünberg, une politicienne musulmane appartenant à la coalition Bündnis90/Greenpeace a répondu ceci lors d’une assemblée sur l’éducation et l’intégration quand un citoyen s’est plaint du nombre élevé d’étrangers vivant à Hausen, le quartier de Francfort où il habite:
« L’immigration est un fait à Francfort et si ça ne vous plait pas, vous pouvez déménager ailleurs. »
Cette Nargess Eskandari-Grünberg, née à Téhéran en 1965, a fui son pays en tant que réfugiée politique en 1985, et s’est alors installée en Allemagne.
Comment les politiciens européens, avec l’aide des électeurs musulmans, prennent des décisions politiques contre leurs propres peuples
Entretemps, l’influence des musulmans sur la politique européenne et sur le pouvoir politique est devenue énorme. Souvenez-vous de Gerhard Schröder (audio de Schröder: “Oui, je suis un marxiste!”), quand il fut réélu de justesse au poste de chancelier avec une très mince majorité. Se retrouvant devant la menace d’une possible défaite aux élections, Schröder misa sur le vote turc en promettant que, sous sa direction, l’entrée de la Turquie dans l’UE serait irrévocablement acceptée. Ce message visait les 600.000 immigrants musulmans naturalisés, dont la majorité était d’origine turque. C’est sur eux que Schröder avait placé ses espoirs et son approche fut couronnée de succès. Grâce aux électeurs turcs-allemands lui ayant donné la majorité de leurs voix, Schröder, du parti SPD et les Verts ont été en mesure d’obtenir une majorité avec un avantage de seulement 6.027 voix, juste assez pour être réélu à la Chancellerie et ceci contre la volonté du peuple allemand, car sans les voix des immigrés naturalisés turco-allemands, Gerhard Schröder aurait perdu cette élection avec une marge considérable de plus d’un demi-million de votes.
Imaginez ceci : Que les hommes politiques gouvernent contre la volonté de leur propre peuple.
C’est exactement ce que Cohn-Bendit voulait, et c’est le même plan qui a été mis en œuvre dans toute l’Europe par le puissant cartel de gauche appelant à une “dilution” de l’électorat des Européens de souche, et dont on peut voir maintenant les résultats.
Le changement de groupes de population n’est pas une invention nouvelle. Comme moyen “non-militaire” de solution définitive, ce changement a été réalisé dans des contrées étrangères déjà occupées et le peuple conquis a vu sa population d’origine remplacée au fil du temps par éviction “douce”, lentement, jusqu’à ce que la population d’origine n’y soit plus. Un bel exemple dans l’histoire récente est le Nord de Chypre. Occupé depuis 1974 par la Turquie, des centaines de milliers de Turcs d’Anatolie y ont été transférés. Le résultat aujourd’hui est que le rapport entre les Chypriotes grecs et turcs a radicalement changé en faveur de la minorité provenant de la Turquie.
Un autre exemple, celui du Tibet : cette immense région autonome de 1,2 millions de kilomètres carrés (l’Allemagne en comparaison est de seulement 350.000 kilomètres carrés) est passée sous l’occupation chinoise dans les années 1950. Depuis lors, la Chine a veillé à ce que des millions de Chinois s’installent au Tibet, de sorte que dans l’intervalle, les Tibétains sont devenus minoritaires dans leur propre pays. Dans ces deux cas, la redistribution des groupes de population a été guidée par l’autorité de la puissance occupante, et le résultat est logiquement à l’avantage du groupe ethnique de cette puissance occupante.
L’Europe, par contre, n’est pas occupée par une puissance extérieure, mais malgré cela, le continent se trouve dans les affres de l’un des plus grands bouleversements démographiques de son histoire par le biais de l’arrivée de nouveaux groupes ethniques, musulmans pour la plupart, qui arrivent à remplacer progressivement les Européens de souche. L’originalité est que ce bouleversement a été orchestré par ses propres politiciens européens et a été programmé de longue date, tout en allant à l’encontre des intérêts et des besoins des Européens de souche.
Non seulement ces politiciens n’ont pas demandé la permission à leurs électeurs sur cette question, mais en plus ils n’ont pas voulu réagir aux protestations croissantes de la population européenne, parce qu’une telle immigration de masse a conduit au fait que l’Europe telle que les Européens l’ont connue jadis, est de moins en moins reconnaissable.
Dans de nombreux endroits, les Européens sont devenus des étrangers dans leur propre pays, et dès le début, ils n’ont pas voulu de cette immigration massive. Cette politique d’immigration porte en elle tous les signes d’un concept totalitaire de gouvernance de la part de l’élite politique de l’Europe, et nous rappelle les mouvements de population géants dans l’Union soviétique et la Chine communiste sous Staline et Mao. Ces changements étaient décidés par un minuscule cercle politique, et réalisés sans la moindre consultation des peuples indigènes concernés.
En bref : l’extrême gauche et les Verts en Europe qui sévissent dans certains secteurs clés, tels que l’élargissement de la communauté européenne, l’immigration, la nationalité et les médias, ont agi comme agiraient des forces d’occupation étrangère. Cependant, vu que ceux qui portent l’entière responsabilité de cette immigration de masse ont été incapables de convaincre leurs électeurs européens du bien-fondé de leur idéologie politique, ils ont entrepris d’organiser l’occupation de leurs pays par des hordes de gens parlant des langues étrangères, avec une religion et une culture étrangères. Et leur intention demeure de « diluer » les Européens afin de leur retirer, progressivement, tout pouvoir.
Tout ceci n’est en réalité qu’une forme nouvelle de « purification ethnique ». En outre, on distingue certains signes pervers : il n’y a pas de forces d’occupation extérieures, mais plutôt une petite minorité très déterminée, interne aux populations indigènes européennes, et cette minorité au pouvoir peut d’ores et déjà, mais surtout à long terme, remplacer sa propre population par une autre qui lui promettrait un plus fort soutien dans ses objectifs politiques.
Le grand plan de la gauche et des Verts produit d’ores et déjà les résultats escomptés : à Bruxelles, à Milan ou à Oslo, le prénom Mohammed est désormais le plus commun donné aux nouveaux nés. En Angleterre le prénom le plus courant était Jack, c’est dorénavant Mohammed. En Hollande, en 2004, 56 pour cent des enfants et des jeunes dans les grandes villes sont des étrangers, la plupart sont musulmans.
En Suisse, les projections statistiques pour 2040 indiquent que la population sera à 76 pour cent musulmane, dans l’hypothèse où la politique migratoire de ce pays alpin ne serait pas inversée. Selon une étude autrichienne, en 2051, le tiers des élèves autrichiens sera musulman. Une étude des Archives islamistes de Soest (2006) concernant les développements de la population allemande prévoit qu’en 2045, il y aura en Allemagne 51.72 millions de musulmans et seulement 45 millions d’Allemands de souche. Ces chiffres sont déjà soigneusement évalués par les autorités musulmanes en ce qui concerne leur prise de pouvoir dans ce pays le plus important d’Europe.
Partie 2 : faits concernant l’islamisation du Danemark
Pendant des décennies le Danemark était un des rares exemples au niveau mondial d’une société pacifique avec un système social fonctionnant presque à la perfection. Tant en Europe qu’ailleurs, ce petit pays était le modèle à imiter car il avait une forte conscience écologique, un des meilleurs systèmes éducatifs et un taux de criminalité extrêmement bas. Pendant des décennies ces faits étaient la pierre angulaire de la politique voulue par les Sociaux-Démocrates danois.
Cependant, dans les années 90, un certain désenchantement a commencé à se faire sentir, en parallèle avec une soudaine explosion de l’immigration en provenance des pays musulmans. Les Danois constatèrent avec effroi qu’un nombre important de musulmans vivaient déjà dans leurs villes les plus importantes et que ceux-ci avaient peu ou pas du tout l’intention de s’intégrer à la société danoise. Par contre, il devenait de plus en plus évident que les leaders musulmans commençaient à s’attaquer au style de vie des Danois, utilisant un langage de plus en plus brutal pour exprimer leur mépris envers la prétendue « décadence occidentale ».
Graduellement, mais hélas trop lentement, les Danois ont commencé à comprendre qu’avec les musulmans, ils avaient accueilli des gens, qui non seulement n’acceptaient pas les valeurs de base des Danois (liberté de l’individu, liberté d’expression, égalité des sexes, tolérance envers les autres groupes ethniques) mais qui de plus attaquaient ces valeurs avec une hostilité toujours croissante. À la place de la soi-disant « décadence occidentale », ils voulaient mettre en place le modèle de société archaïque de l’islam, espérant l’imposer tôt ou tard au Danemark comme étant le seul modèle souhaitable de croyance et de justice.
Au Danemark, tout comme dans les autres pays du « territoire de la guerre » l’islam cherche à noyauter massivement le pays dans le but, à moyen terme, de transformer cet état libéral en un état islamique. Sur son site Internet, le Parti Islamique du Danemark déclare déjà que la prise du pouvoir est imminente au Danemark. Le seul et unique programme de ce parti est de faire du Danemark un pays islamique en donnant les postes clés à des musulmans. Par ailleurs, ils ont menacé qu’un traitement « inadéquat » des enfants musulmans rencontrerait des réactions violentes de la part des musulmans vivant au Danemark.
Généralités
A l’instar des autres pays occidentaux, les Danois subissent les agressions et les émeutes des immigrés musulmans. […]
Le message envoyé par les musulmans au Danemark, à la France et à tous les autres pays est : « Nous serons les futurs dirigeants de ce pays » ! […]
A cause du racisme musulman, des populations indigènes du Groënland, les Kalaalits, qui sont Danois depuis des siècles sont obligés de changer de domicile. Les Kalaalit n’osent plus marcher dans leurs rues parce que des musulmans leur jettent des pierres ou les attaquent régulièrement de différentes manières. Le motif de ces agressions est incompréhensible et en même temps, surréaliste : de nombreux adeptes de cette “religion de paix” voient les natifs du Groenland comme étant des “infidèles” ou même comme des bêtes sauvages ne bénéficiant aucunement de la protection des droits de l’Homme.
[…] Johanne Christiansen, l’une des femmes de la communauté Kalaalit ayant accepté l’assistance de l’Etat pour déménager, dit : « Je ne pouvais plus supporter d’être la cible de leurs constantes attaques ». Elle était harcelée par des Somaliens et des Arabes. « Ils n’ont absolument aucun respect envers nous ». Les musulmans disent aux Kalaalits qu’il « faudrait carrément uriner sur eux car le Danemark est devenu leur pays ».
A l’exception d’un ou deux journaux locaux danois, les principaux journaux européens n’ont jamais évoqué ces faits. Au contraire, le Süddeutsche Zeitung, champion du déni de réalité d’une « soi-disant menace d’islamisation » de l’Europe, affirme régulièrement que ceux qui mettent en garde contre l’islamisation de l’Europe font erreur, sont racistes, xénophobes, et sont accusés de toutes sortes de vilenies.
[…] Le Spiegel (l’un des rares journaux qui ose encore émettre quelques critiques sur l’islam, mais qui croit, cependant, qu’un islam « modéré » ne serait pas un mal) affirme : « La violence, la terreur et les pressions croissantes des islamistes menacent les chrétiens orientaux. Dans certains pays, ces minorités mal-aimées luttent avec difficultés pour survivre, ou cherchent leur salut dans l’exil ».
Faits étudiés dans le détail
•Coûts sociaux exorbitants des musulmans au Danemark. […] La plupart des immigrés sont originaires de Turquie, Somalie, Pakistan, Liban, et Irak, ils constituent 5 pour cent de la population mais reçoivent 40 pour cent de l’aide sociale. La contribution per-capita, en impôts et au PIB par les immigrés (dont 80 pour cent sont originaires de pays musulmans) est de 41 pour cent inférieure à celle des Danois, per capita. •Taux extrêmement élevé de criminalité chez les musulmans au Danemark. 70 pour cent des crimes commis à Copenhague sont le fait de musulmans. (Note du traducteur : ici M. Mannheimer fait référence au livre de Nicolaï Sennels : Parmi les criminels musulmans L’expérience d’un psychologue à Copenhague - dont des extraits sont traduits sur Bivouac - et à sa conclusion : « L’intégration des musulmans dans les sociétés européennes est impossible »). •Les statistiques en Allemagne sont identiques à celles du Danemark. (Note du traducteur : se reporter au livre publié en septembre 2010 par Thilo Sarrazin). […] L’une des conséquences de ces violences est la chute des prix de l’immobilier dans certaines zones urbaines occupées par des musulmans. […] C’est seulement récemment que le Copenhagen Post a finalement déclaré que la capitale danoise était une « zone de guerre ». […] En ce qui concerne les viols des femmes non-musulmanes, les statistiques montrent des chiffres exorbitants et qui sont similaires aux chiffres observés en Suède et en Norvège. •Persécutions des Juifs et des Chrétiens au Danemark. L’église d’Aarhus a dû payer sa « protection » après avoir embauché des gardes musulmans contre le harcèlement et le vandalisme. Les Arabes veulent tuer des Juifs afin de gagner la reconnaissance des autres musulmans. Les Juifs danois ont dû demander la protection de la police. Les enfants juifs doivent changer d’écoles car ils sont malmenés par les enfants musulmans. •Refus de s’intégrer par les musulmans au Danemark. Les musulmans veulent rester entre eux. A l’école, ils terrorisent les autres enfants. Les mariages forcés et les crimes d’honneur sont en constante progression. Le Danemark capitule et les conditions de vie ressemblent de plus en plus à une guerre civile. Le journaliste allemand, critique de l’islam, Udo Ulfkotte, fait ici une description détaillée des zones de non-droit et de trafics au Danemark. […] •Terrorisme et soutien des actes de terreur par les musulmans. La candidate du parti des Verts danois conseille aux terroristes d’attaquer les soldats danois. […] La politicienne Palestino-Danoise Asmaa Abdol-Hamid appelle tous ses frères musulmans à tuer des soldats danois partout où ils se trouvent. Abdol-Hamid est venue avec toute sa famille en 1986 au Danemark, où l’asile lui a été généreusement octroyé et où elle a reçu une éducation de haut niveau. Par ailleurs, une récompense de 30 000 dollars est offerte par un groupe musulman danois à quiconque tuerait un Juif au Danemark. •Au Danemark, les musulmans réclament le pouvoir. Copenhague : tentatives de meurtres contre les critiques de l’islam: le 21 octobre 2007, l’organisation SIAD est attaquée par des groupes ultra violents de gauchistes, armés de barres de fer, lors d’une manifestation, il y a eu plusieurs blessés graves parmi les membres de SIAD, mais aucun commentaire n’apparaît dans les médias. Par ailleurs, les apostats ou les convertis au christianisme sont menacés de mort.
Partie 3 : Résumé de l’islamisation au Danemark
Les musulmans veulent diriger l’Europe.
De la liste des faits analysés, il en ressort trois choses :
Premièrement, en prenant en compte tous les immigrants au Danemark, si on relie l’activité criminelle à la religion, les immigrés musulmans se démarquent très largement.
Deuxièmement, les immigrés musulmans sont en constante recherche de prise du pouvoir au Danemark. Ce ne sera pas un changement normal de gouvernement, comme dans les démocraties normales, mais plutôt une transformation complète de ce pays chrétien-démocrate en un pays islamique où s’appliqueront les lois de la charia - un Danemark musulman. Et les musulmans dans tous les autres pays européens poursuivent ce même but dans les pays où ils vivent désormais comme des immigrants.
Troisièmement, il semble que le problème musulman du Danemark ne soit pas limité au Danemark. Chaque pays occidental dans lequel vit une importante diaspora islamique doit se battre contre des problèmes similaires ou identiques. Car l’Islam n’est pas une religion - et surtout pas une “religion de paix» - mais plutôt un totalitarisme avec une revendication absolue à la domination du monde qui s’est camouflé avec succès depuis 1400 sous le déguisement de la « religion».
Ce qui rend ceci si difficile à comprendre, entre autres choses, est ce gigantesque vide de connaissances de l’islam chez les non-musulmans. Mais également le fait que nous croyons à un modèle de citoyen du monde de bonne volonté et qu’il nous semble impensable que l’islam soit une exception aussi exagérément marquée parmi les grandes religions. Le Bouddhisme, le Christianisme, le Judaïsme, l’Hindouisme et le Taoïsme présentent ici et là des lacunes, cependant ces religions sont tolérantes et pacifiques de façon inhérente. Sans exception, elles enseignent toutes à leurs adeptes que les choses positives accomplies dans cette vie auront des conséquences positives pour la vie future.
L’endoctrinement de l’islam est mortifère et impose de tuer avec sauvagerie les « infidèles ».
L’islam est donc une exception : son but ultime est de capturer tout le pouvoir sur terre, et tous les autres buts sont subordonnés à celui-ci. L’interdiction de tuer ne concerne que les musulmans, mais en aucun cas les « infidèles ». La paix de l’islam sera atteinte seulement lorsque la domination mondiale sera atteinte. […]
Le communisme avait construit une image idéale de l’Homme, où tous les hommes seraient égaux, et ils ont échoué en raison de cette perception irréelle. Par ailleurs, l’islam construit aussi une image irréelle de l’Homme, car il s’imagine que tous les gens finiront par croire en un Dieu - le dieu de l’islam - et cette image ne coïncide pas avec la réalité de l’infinie diversité psychologique, intellectuelle et créative de chaque être humain. L’espèce humaine est infiniment plus diverse, sophistiquée, intelligente, créative, chaotique, et imprévisible que l’image archaïque de l’Homme offerte par les fondateurs analphabètes de l’islam.
Le « Dar al Islam », ce concept musulman du monde futur dans lequel tous seraient soumis à l’islam, n’est rien de plus qu’une utopie irréaliste - et même surréaliste - qui n’adviendra jamais. Cependant, aussi longtemps que les musulmans luttent pour leur futur rêvé et divisent artificiellement le monde entre « Croyants » et « Infidèles », le mot islam restera associé à la guerre, la terreur et la violence. Cette guerre perpétuelle contre les non musulmans, le djihad, est déclarée devoir religieux pour chaque musulman.
Une audio de Khomeiny dit :
« Les Chrétiens et les Juifs disent « Tu ne tueras point » ! Mais nous, nous disons, que tuer possède la même valeur morale que la prière pour atteindre notre but.»
Mais il y a plus grave encore: l’islam appâte les tueurs à gages, avec la promesse de l’entrée présumée au paradis où des dizaines de vierges attendent les “djihadistes”, et leur feront goûter aux plaisirs sexuels permanents. Et si un musulman a des problèmes avec sa conscience au sujet du meurtre d’un «infidèle», il reçoit l’aide et le soutien religieux directement du coran.
Le coran dit : « Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’Il puisse montrer sa propre puissance. » (sourate 8.17)
En clair : leur dieu islamique, le “Tout Miséricordieux”, non seulement attend de ses fidèles qu’ils tuent les “infidèles”, mais en plus il prend soin de fournir la thérapie nécessaire pour traiter directement avec la situation. Leur dieu veille à ce que la conscience de ses tueurs à gages soit libérée de toute responsabilité personnelle pour leurs meurtres, en prenant cette responsabilité sur lui-même.
On a pu observer chez les génocidaires du siècle passé (Hitler, Staline, Mao, Pol Pot) que « l’Etat » disait : « Ce n’est pas vous qui avez tué, moi, l’Etat, je suis le tueur commanditaire. Vous êtes seulement mon instrument ».
Quand l’Autorité le commande (surtout si l’autorité est un dieu), cela est plus facile de commettre un meurtre.
Aucune autre religion au monde n’a instauré une culture si perverse du meurtre, aucune autre religion au monde n’enseigne systématiquement à ses adeptes comment tuer les adeptes des autres religions, aucune autre religion au monde considère avec une intention diabolique la non responsabilité des actes commis, ce qui, de fait, immunise les musulmans contre tout sentiment de culpabilité envers les meurtres des innocents, et tout cela est écrit dans leurs « Saintes écritures ». Au point que si Satan existait, alors le nom de sa religion serait l’islam et son prophète serait Mahomet.
[…] Le coran ordonne de tuer et de violer les infidèles dans 206 versets ainsi que la propagation de la foi par l’épée. Dans 1800 autres passages, le prophète Mahomet lui-même ordonne à chaque musulman de se référer aux Hadiths et à la Sunna.
Conclusion : des personnes mauvaises, il en existe dans toutes les religions, mais seul l’islam est capable de transformer une bonne personne, en une personne diabolique.
[…] La notion de liberté religieuse doit être reconsidérée d’urgence. Si les textes sacrés d’une quelconque religion, sa fondation et les déclarations de ses prophètes violent de façon aussi flagrante la Déclaration des droits de l’Homme de l’ONU, comme c’est le cas pour l’islam, alors il faut lui retirer le statut de « religion ».
[…] On ne doit désormais plus permettre que l’islam invalide les systèmes légaux historiques des États comme cela arrive depuis déjà trop longtemps dans la plupart des pays occidentaux. En outre, des lois religieuses ne doivent en aucun cas supplanter les lois constitutionnelles. Nous devons formuler ainsi:
La loi constitutionnelle prévaut sur la loi religieuse ! Il n’y a pas de si, de mais, ni de et.
Partie 4 : Qui sont les Occidentaux qui facilitent l’islamisation
Sans le soutien actif des intellectuels occidentaux, des pasteurs, politiciens, artistes, journalistes et auteurs, l’islamisation de l’Europe ne pourrait rencontrer aucun succès.
Les politiciens qui permettent l’islamisation
Jacob Hougaard, employé à la Commission pour l’Intégration à Copenhague, demande sur un ton très sérieux d’accroître la visibilité de l’islam dans les écoles danoises et sur les lieux de travail, et affirme dans une audio : « L’islam doit devenir une composante de la vie publique ».
Il raffine le défi jusqu’à demander que les vacances scolaires coïncident avec les fêtes musulmanes, il demande des toilettes séparées pour les musulmans et exige que les employeurs du secteur privé respectent les cinq prières quotidiennes et la possibilité d’obtenir des repas halal.
Uffe Ellemann-Jensen, ex-ministre danois des Affaires étrangères, appartient lui aussi au parti des « apaiseurs pacifistes » de gauche et il a violemment critiqué la republication des caricatures du 7 février 2006, demandant même la démission du rédacteur en chef du Jyllands-Posten.
[…] Stefan Meller ministre des Affaires étrangères de Pologne fait des courbettes et s’excuse officiellement pour la republication des caricatures par un journal indépendant, dans un geste de soumission rapide et immédiat envers tous les musulmans du monde.
[…] Zbigniew Nosowski, rédacteur en chef du mensuel Wiez, renchérit avec une critique du gouvernement polonais : « Cette publication était une provocation amplifiée par la couverture médiatique. Les provocations des journalistes peuvent être utiles lorsqu’elles dénoncent des faits non détectables par d’autres moyens. La seule information communiquée par les caricatures était … le niveau d’ignorance concernant le fait religieux ».
[…] Erdogan, le Premier ministre turc, co-auteur du Manifeste de son parti, a également sévèrement condamné la publication des caricatures, mais pourtant ces caricatures sont bien peu de choses comparées au Manifeste de son parti politique écrit en 1997, dont il est co-auteur, qui demande la totale annihilation des Juifs. C’est un point de vue correct des choses selon le coran et son contenu antisémite, et c’est islamiquement correct selon les déclarations de Mahomet. Mais cet appel au génocide n’est jamais critiqué par les associations musulmanes, ni par les théologiens de l’islam. […]
Le silence des médias
À ce jour, les médias occidentaux “de qualité” ont gardé le silence sur cette déclaration d’Erdogan - une déclaration qui n’est pourtant pas moins grave que celles d’Hitler et d’Ahmadinejad. Coïncidence ? Jamais de la vie ! Si les rédacteurs avaient été en mesure de dénicher de telles déclarations dans les archives, venant d’un président américain ou israélien, ils auraient certainement fait les manchettes du monde durant des semaines !
L’appel monstrueux d'Erdogan au génocide des Juifs de ce monde ne semble pas valoir la moindre ligne pour la plupart des médias, mais pour Erdogan, cela ne semble également poser aucun problème moral. Par contre, oser une critique de son prophète Mahomet qui a demandé à ses disciples plusieurs fois d’anéantir les Juifs, et qui avait lui-même tué d’innombrables Juifs, cela provoque chez lui un grand trouble. Il est bien connu que les assassinats de non-musulmans sont permis dans l’Islam. Cependant, celui qui évoque cette licence islamique de tuer, celui qui l’appelle par son nom, est considérée par l’islam comme ayant commis une offense impardonnable aux prophètes et la religion. C’est toute l’hypocrisie, et la hiérarchie des principes moraux de cette “religion de paix.”
Aussi, j’accuse la grande majorité des médias de complicité abjecte avec le totalitarisme islamique et avec ses principaux religieux ou politiques, qu’elle soit intentionnelle ou pas.
Les raisons de cette complicité (souvent intentionnelle) sont :
•Haine envers la société composée de citoyens occidentaux •Anti-américanisme •Antisémitisme •Une ignorance crasse des tenants et aboutissants de l’islam. Les journalistes en tant que facilitateurs de l’islamisation
La presse occidentale ne reconnaît aucun tabou : si le sujet est la chrétienté, le pape, les politiciens occidentaux ou non occidentaux, les artistes, les pays, des scientifiques, des idéologies ou des idéologues, des religions ou des sectes. Tout peut être analysé, critiqué, caricaturé - et la liberté de le faire est une bonne chose.
Cependant Hendrik Zörner, porte-parole de l’association des journalistes allemands (Deutscher Journalistenverband -DJV) a lui aussi critiqué avec véhémence la reproduction des caricatures danoises, faisant référence au « Code de la presse », selon lequel : « La publication par le mot et l’image, qui par sa forme et son contenu peut porter atteinte aux sensibilités religieuses d’un groupe de personnes, viole les stipulations écrites dans ce Code.» (Numéro 10 du code allemand de la presse) […]
Régis Debray, dans une interview publiée par le Nouvel Observateur, s’aligne lui aussi sur un scénario international de subjugation à l’islam, et demande ni plus ni moins un autocontrôle par chacun dans la formulation de ses propres opinions en ce qui concerne l’islam, il soutient : « Nous ne pouvons projeter nos formes de pensées et notre système culturel sur une autre culture qui a son histoire et où la religion joue un rôle structurel, comme c’était le cas pour nous il y a trois siècles ». […]
Les écrivains en tant que facilitateurs de l’islamisation
Kurt Tucholsky, écrivain allemand, affirmait en 1919 : « Ce qui est permis dans une satire ? Tout. »
Cependant, un siècle plus tard, un prix Nobel de la paix et de littérature, l’Allemand Günter Grass, a soutenu au sujet des caricatures, qu’il s’agit «d’une provocation consciente et planifiée par un journal danois d’extrême droite ». M. Grass avait auparavant évoqué sa « compréhension » des attentats contre les tours jumelles à New York et s’était reconnu une certaine sympathie envers les terroristes musulmans. […]
Grass va si loin dans son amitié pour l’islamo-fascisme qu’il a proposé, à l’occasion de la candidature de Lübeck en tant que «capitale culturelle de l’Europe», que l’une des églises de Lübeck soit transformée en mosquée. Ce qui serait prêché dans cette mosquée ne semble pas l’intéresser particulièrement. Mais rappelons maintenant la nature des textes coraniques prêchés dans ces mosquées dans le monde entier :
« Quand vous rencontrez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. » (sourate 47.4) « Tuez les infidèles partout où vous les trouverez. » (sourate 2.187) « Et s’ils retournaient à l’infidélité, saisissez-les et mettez-les à mort, partout où vous les trouverez. » (sourate 4.91) « Ô Croyants ! Ne prenez jamais comme amis ni des Juifs ni des Chrétiens. » (sourate 5.54) « Ô Croyants ! Combattez les infidèles qui vous avoisinent ; qu’ils vous trouvent toujours sévères à leur égard.» (sourate 9.124) […]
(Note du traducteur : citations du coran de la traduction authentique de Kasimirsky, préface par Mohammed Arkoun ; versets de Médine, donc abrogeants).
Les psychanalystes en tant que facilitateurs de l’islamisation
Horst-Eberhard Richter, très célèbre psychanalyste allemand, chef de file du Mouvement pour la paix et figure de proue des Verts, comme Grass, Richter a vu dans le conflit des caricatures un problème de l’Occident, je cite : « L’Occident doit renoncer à toutes provocations et faire preuve d’humilité, nous devons davantage estimer l’identité culturelle des pays musulmans ». […]
Dans son essai : « Islamophobie - symptôme d’une anxiété pathologique », il pose la question rhétorique ainsi : «L’islamophobie est-elle un symptôme d’anxiété pathologique ? »
[…] Afin de clarifier et d’écarter les doutes, l’un des plus connus et respectés psychanalystes allemands, qui prétend s’opposer à la misogynie et au totalitarisme, considère la critique du théo-fascisme et de la suprématie des mâles de l’islam, comme une maladie… ex-cathedra, pour ainsi dire. Le mot qui tue : « islamophobie » ne peut avoir un autre sens. […]
La gauche en tant que facilitatrice de l’islamisation
[…] Etant donné que les gens de gauche refusent généralement le débat sur l’aspect inhumain et totalitaire de l’islam, ils ont abandonné le champ politique de la critique de l’islam à d’autres, qu’ils diabolisent et accusent d’être « hostiles aux étrangers ». Cependant, cette stratégie de diabolisation de la droite employée par la gauche est finalement devenue un boomerang idéologique, parce que dans le long terme, la constante association des termes «hostile aux étrangers» et «critique de l’islam», rend maintenant impossible pour la gauche, même dans les cas les plus évidents, de participer activement à la discussion sur l’islam. Dans ce cas, cette accusation d’«hostilité envers les étrangers» peut se refermer sur eux de toute sa force. La gauche bien-pensante se sera mise dans un cercle vicieux duquel elle n’aura pas où s’échapper, et à la fin, c’est l’islam qui sera le véritable vainqueur.
Les convertis en tant que facilitateurs de l’islamisation
Au Danemark, une tendance à la conversion à la «religion de paix» peut aussi être observée. Comme en Allemagne et d’autres pays occidentaux, une grande partie des quelques 4.000 convertis à l’islam danois se sont installés dans la gauche et les partis verts de la politique. Ce fait est clairement observable dans une étude de l’Université de Copenhague.
Selon cette étude, les personnes sondées converties à l’islam sont ouvertement opposées au modèle occidental de démocratie, et désirent que l’islam soit la forme de gouvernance dans leur pays. Ce retournement interne des valeurs de la gauche d’antan par les convertis à l’islam est stupéfiant :
- d’un athéisme “communistement correct”, à une religion où le moindre doute sur son dieu et son prophète est punissable de mort, et qui veut mettre de force le monde entier sous la bannière d’Allah ;
- de la demande d’égalité entre homme et femme, à une religion de l’apartheid entre les sexes, lorsque, conformément à la loi des manuscrits religieux (Coran et Sunna) l’assujettissement de la femme avec pratiquement aucun droit, est scellé une fois pour toutes ;
-de l’égalité pour toutes les personnes, à l’égalité de toutes les personnes partageant les mêmes idées, les musulmans. En revanche, toutes les autres personnes, selon le Coran, selon Mahomet et selon les agents de la «religion de paix” peuvent être tuées en toute bonne conscience.
[…] On est en droit de se demander si lors de leur conversion à la « religion de paix », ces Occidentaux ont été informés qu’il n’existe pas de retour à leur vie pré islamique, et qu’en cas d’apostasie ils seraient tués, comme l’affirme Mahomet : « Tuez quiconque quitte l’islam ». (Sourate 4.91)
Conclusion : après avoir échoué l’apaisement d’Hitler, les «pacifistes» occidentaux récidivent.
[…] La théorie de l’apaisement est absurde car l’expérience historique montre que les régimes voyous, sans exception, ont dû être vaincus par la force. Ce fut le cas avec Hitler, avec les Khmers Rouges au Cambodge, et avec le régime cannibale d’Idi Amin Dada en Ouganda, qui s’était d’ailleurs converti à l’islam. […]
Non, la seule conclusion correcte suite à la Seconde guerre mondiale doit être : « Plus jamais de tolérance pour l’intolérance. »
[…] Cependant, il faut que les « pacifistes » et les ennemis de la liberté occidentale comprennent bien une chose : le crocodile islamique les mangera les premiers !
La faillite collective de l’élite occidentale
[…] Là où la prise de conscience et la défense sont concernées, non seulement les juristes et les politiciens ont misérablement failli à leur tâche, mais pire : par leur passivité envers la menace mortelle que constitue l’islam contre nos pays, ils ont brisé le serment de loyauté envers leurs peuples et que leur fonction et la constitution leur imposent, et qui est, avant toute autre considération, de protéger leurs populations contre ce danger mortel.
Alors que faire ?
Quiconque veut empêcher Eurabia d’advenir, ne peut compter ni sur la justice ni sur la politique, mais doit devenir très actif, selon les suggestions suivantes :
•Ne jamais voter pour un politicien pro-islam. Annuler tout abonnement à des journaux ou magasines favorables. •Les lecteurs doivent envoyer, en masse, des lettres de protestations contre les articles et commentaires qui qualifient les critiques de l’islam de gens dangereux « d’extrême droite », et contre les articles qui nient le fait que l’islamisation de l’Europe est bel et bien en train de se produire. •Submerger d’e-mails et de lettres les radios et télés qui produisent des émissions islamophiles. •Etablir des avertissements de masse contre les juges qui détournent nos lois et qui favorisent cette immigration massive. •Ne plus jamais voter pour des maires et des partis qui se sont engagés dans la construction de mosquées, et largement diffuser les noms des élus complices. •Envoyez des lettres de protestations aux mairies, préfectures et partis politiques. •Organisez des sit-ins et autres petites ou grandes manifestations partout où cela est possible. •Informez les relations et les amis sur l’islam, par des textes d’informations sur la vraie nature de l’islam, et par e-mails. •Partagez vos connaissances sur l’islam avec vos amis, clients, relations… •Quand vous votez (aux niveaux, local, national ou européen) ne votez que pour ceux qui ont officiellement mentionné le caractère dangereux de l’islam et s’opposent aux menaces. •Soutenez et encouragez les politiciens, journalistes, intellectuels, artistes et autres citoyens, assez courageux pour oser critiquer l’islam en acceptant la stigmatisation insultante « d’extrême droite » que les musulmans ou la gauche vont, comme d’habitude, coller sur leur nom. Tout a été dit, mais une seule vérité est inébranlable : « Celui qui ne combat pas, a déjà perdu la bataille ».
Sources : Gate of Vienna, article original en allemand ici
Branmakmorn06
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Sujet: Re: riposte laique 29/12/2010, 10:35
Enseigner dans des classes « musulmanes » Enseigner en banlieue en charité et vérité
– un témoignage de Jean-François Chemain – [les noms et prénoms ont été changés, non les situations]
____Dans mon collège de banlieue, une large majorité des élèves porte un patronyme arabe assorti, comme il se doit, d’un prénom musulman. Il faut y ajouter les Turcs et les élèves originaires d’Afrique noire, quasiment tous musulmans. Rien d’original à cela. Ce qui l’est plus, c’est le nombre de noms européens accolés à des prénoms musulmans, tels Ibrahim Dupont, Djamila Martinelli, Youssef Lopez ou encore Mohamed Schmitt. Pères d’origine chrétienne, ayant abjuré pour une union – souvent éphémère – avec une disciple du Prophète. “Éphémère”, car la plupart de ces mariages mixtes, je le constate, se sont soldés par un échec saignant, mais le résultat en est là : des petits musulmans !
____L’inverse est aussi fréquent, même si moins visible : on distingue moins aisément les enfants issus d’un père musulman et d’une mère chrétienne, car alors il n’y a plus la moindre trace, dans leur identité, de la partie chrétienne. Cela va bien plus loin qu’un prénom sur une carte d’identité. J’observe que ces élèves issus de mariage mixtes, même s’ils se sont soldés par une rupture, se définissent comme purement musulmans. La jeune Da Silva, élève de 4e, m’annonce que « bien sûr » elle va fêter l’Aïd et être absente le lendemain. Le petit Schmitt, en 6e, se présente comme « arabe » et, lorsque je lui fais remarquer qu’il a aussi des origines alsaciennes dont personne avant moi ne lui a jamais parlé, il se vexe et me demande de ne plus les évoquer. Il rêve d’être pâtissier, pour faire des pâtisseries orientales, bien sûr. Quant à Kristina Duval, de 3e, elle a porté le survêtement de l’équipe algérienne durant toute la coupe du monde de football. On pourrait multiplier les exemples.
____Voilà pour l’observation “statique”. Si l’on y ajoute une perspective “dynamique”, il faut constater que nombre de mes élèves musulmans “de souche” ne sont pas en France depuis longtemps. Le flux n’est pas tari et pas seulement, tant s’en faut, pour des raisons de misère ou de persécution politique. La famille B. est venue de Tunisie, il y a seulement deux ans –le père, sous-officier, estimant l’avenir de ses trois fils plus assuré en France. Le plus jeune, fort sympathique, ne voit cependant pas pourquoi on compte ici les années depuis la naissance du Christ. Hichem D. est pour sa part originaire d’Algérie, où son père dirigeait une entreprise. Arrivé lui aussi il y a deux ans, il conteste nombre de mes enseignements, au nom de ce qu’on lui a appris dans son pays d’origine, et m’explique sans méchanceté que, chrétien, je suis promis à l’enfer, quelles que soient par ailleurs mes qualités personnelles, qu’il juge indéniables. J’ai récemment bénéficié d’une formation sur ces ENAF (élèves nouvellement arrivés en France), qui sont si nombreux que l’éducation Nationale a cru bon de créer pour eux ce bel acrostiche au bon goût de pâté (halal, bien sûr).
____Dans un environnement aussi islamisé, l’espace laissé aux autres confessions est des plus réduit. Force est, de toute façon, de constater qu’à côté de l’islam, il n’y a rien. La petite Vanessa Durand, une élève de 5e que j’aide à faire ses devoirs, m’avoue avec émotion être la “petite amie” de Rachid, un autre de mes élèves. Il vient d’exiger d’elle qu’elle se convertisse. Cela lui pose quelques cas de conscience quoique, baptisée, elle n’ait jamais reçu la moindre formation catéchétique, ni mis les pieds dans une église. Thomas, élève de 3e, a de telles difficultés dans ma matière qu’il s’écrie, en me rendant sa copie : « Monsieur, si j’ai la moyenne, Champagne ! ». Ni une ni deux, le gentil Sofiane, avec ses oreilles en feuille de chou et son sourire distrait, lui rétorque : « Tu n’y penses pas, le Champagne, c’est péché ! Prends donc plutôt du Champomy ! ». A quoi Rachida ajoute que « de toute façon, le Champagne ce n’est pas bon avec le couscous ». Pour se préparer à son futur métier de boucher, il a naturellement effectué son stage en entreprise dans une boucherie. halal, comme il se doit. J’ai, parmi mes élèves, un seul exemple de catholique fervent, en la personne de Tristan, un petit Indien, qui ne craint pas d’affirmer sa foi, à grand péril. Cela lui a valu cette remarque d’Aïcha : « Tu n’as qu’à te taire, parce que dans cette classe on est vingt musulmans sur vingt-quatre élèves ! ». Je l’ai vu tomber un soir dans un guet-apens à la sortie du collège, cinq de ses condisciples l’ayant attendu pour le rosser (la fameuse « hagra »), avant d’aller jeter des pierres dans les carreaux de sa maison.
____Immigration toujours massive, mariages mixtes à sens unique, prosélytisme incessant, intolérance, l’islam envahit nos banlieues avec les mêmes gros bouillons que naguère l’eau de l’Atlantique les 3e classes du Titanic. Comme sur le paquebot qui allait sombrer, on danse sur le pont des premières. Tout est-il perdu ? Cela dépend de nous seuls. Pas du gouvernement, ni de l’Union européenne, ni de notre voisin. Non, de vous, de moi. Car il n’est pas difficile pour le croyant de voir à l’œuvre, dans cette pâte humaine d’apparence homogène, l’Esprit Saint qui pourrait bien faire des miracles. Certains vont me dire : « Vous êtes un utopiste, un doux rêveur qui vit dans ses illusions ». Ce à quoi je répondrai deux choses : d’abord, « je décris ce que je vois tous les jours » ensuite, « si vous avez une autre solution réaliste et compatible avec le christianisme que vous professez, je suis preneur ».
____Il m’est quotidiennement donné de mesurer combien ces jeunes ont soif d’amour, d’en recevoir autant que d’en donner. Tout, pour eux, est placé sur le plan d’un affectif hyper-développé. Ils ont besoin de dire au professeur : « je vous aime », comme d’en recevoir des marques d’affection. On peut certes mettre cela sur le compte d’un naturel qui n’est souvent guère bridé par des contraintes reçues de l’éducation. Ils sont spontanés, c’est le moins qu’on puisse dire, aussi bien pour tutoyer l’adulte, voire l’insulter, que pour lui faire des déclarations d’amour. Mais plus profondément, on sent combien leur culture n’est pas celle de l’amour. Je suis frappé par le nombre de ces enfants issus de couples désunis. Cela ne leur est bien sûr pas réservé, car le divorce est un fléau largement partagé, en banlieue autant que dans les « beaux quartiers », mais la violence dans les situations et les rapports, est ici exacerbée.
_____Je manque de place pour en donner beaucoup d’exemples, et mentionnerai juste ce père divorcé venu “casser la gueule” de son ex-femme devant le portail du collège, mettant KO la sœur de cette dernière (il fallut appeler les pompiers), pendant que le fruit de cette union malheureuse – un de mes élèves de 6e– en profitait pour fuguer. Comment s’étonner des difficultés de couples qui, trop souvent, ne sont pas fondés sur l’amour ? Une de mes élèves de 3e, d’origine albano-algérienne, a été retirée du collège le jour de ses 16 ans, promise au mariage. Deux de ses camarades m’ont annoncé, guillerettes, qu’elles seraient pour leur part unies dès leurs 16 ans à un cousin du bled, choisi par leurs parents, et qu’elles n’avaient ni l’une ni l’autre encore jamais vu. C’est lui, on l’imagine, qui viendra en France. Violences en famille, donc. Mais aussi violences en classe, dans le quartier, avec cet enchaînement infini des insultes et des coups, dont on ne saurait plus dire qui a commencé, mais que la loi du talion, prescrite par le Coran, impose de poursuivre indéfiniment. Violences contre les camarades d’autres religions, les petits chrétiens, appelés « sale porc », ou « sale chien », les petits bouddhistes ayant plutôt droit à « sale singe » parce que, c’est bien connu, ils mangent du singe.
_____La racine de toute cette violence me paraît être la conception d’un Dieu lui-même violent, aux antipodes de notre Dieu d’amour. Il est certes difficile, dans un collège public, d’en témoigner directement, mais je constate combien l’amour manifesté au quotidien, par de petits mots, de petits gestes anodins, peut bouleverser ces jeunes qui n’y sont pas préparés. Un converti de l’islam, très impliqué dans l’évangélisation de ses anciens coreligionnaires, m’a témoigné de ce que nombre de conversions prennent leur source dans l’attitude d’un adulte –et cela peut être un enseignant– qui dans leur jeunesse leur a fait éprouver la dimension d’amour de notre Dieu. Je ne nie pas que la violence, et notamment contre les chrétiens, est au cœur de la culture de ces jeunes, dont certains se retrouveront bientôt dans ces bandes qui nous conduisent à croire en l’imminence d’une guerre civile. Je veux toutefois témoigner de ma certitude que la France chrétienne, loin d’être un concept politique vide de sens, ne peut que résulter de l’effort commun de Français authentiquement chrétiens. Malgré que nous en ayons, et au risque de passer pour un naïf, je suis certain que nous ne pourrons relever le formidable défi que nous lance l’islam, religion de haine et de violence, qu’en mobilisant les énormes ressources de notre foi. Le talon d’Achille de l’islam, c’est l’amour, et nous ne vaincrons qu’en aimant les musulmans, malgré leur violence, malgré leur haine à notre endroit.
_____C’est à cette certitude que m’amène chaque jour mon combat de première ligne. Je lisais récemment l’interview d’un haut responsable musulman parisien, qui assimilait l’évangélisation au terrorisme. Les dirigeants musulmans ont une peur bleue qu’on annonce à leurs ouailles le Dieu d’amour, alors ne nous gênons pas. De toute façon, il n’y a pas d’autre solution : caritas in veritate, l’amour dans la vérité.
Branmakmorn06
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Sujet: Re: riposte laique 29/12/2010, 15:19
L'esclavage des Blancs par les musulmans d'Afrique du Nord, une histoire occultée Repris du site Rebelles.info
Une présentation, par Thomas Jackson, de l'ouvrage de l'historien Robert C. Davis, Christian Slaves, Muslim Masters: White Slavery in the Mediterranean, the Barbary Coast, and Italy, 1500-1800, Palgrave Macmillan, 2003, 246 pages, 35 dollars US.
A faire lire aux adeptes de la repentance qui croient que seuls les Blancs sont ontologiquement racistes et ont des comptes à rendre à l'histoire pour l'éternité, et que les Autres ont une histoire glorieuse et le droit légitime de réclamer des réparations éternelles aux Blancs.
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L'histoire oubliée des Blancs réduits en esclavage, les Blancs ont oublié ce dont les Noirs se souviennent
Dans son exposé instructif sur l'esclavage barbaresque, Robert C. Davis remarque que les historiens américains ont étudié tous les aspects de l'esclavage des Africains par les Blancs mais ont largement ignoré l'esclavage des Blancs par les Nord-Africains.
Christian Slaves, Muslim Masters [Esclaves chrétiens, maîtres musulmans] est un récit soigneusement documenté et clairement écrit de ce que le Prof. Davis nomme «l'autre esclavage», qui s'épanouit durant approximativement la même période que le trafic trans-atlantique, et qui dévasta des centaines de communautés côtières européennes. Dans la pensée des Blancs d'aujourd'hui, l'esclavage ne joue pas du tout le rôle central qu'il joue chez les Noirs, mais pas parce qu'il fut un problème de courte durée ou sans importance. L'histoire de l'esclavage méditerranéen est, en fait, aussi sombre que les descriptions les plus tendancieuses de l'esclavage américain. Le Prof. Davis, qui enseigne l'histoire sociale italienne à l'Université d'Etat de l'Ohio, projette une lumière perçante sur ce coin fascinant mais négligé de l'histoire.
Un commerce en gros
La côte barbaresque, qui s'étend du Maroc à la Libye moderne, fut le foyer d'une industrie florissante de rapt d'êtres humains depuis 1500 jusqu'à 1800 environ. Les grandes capitales esclavagistes étaient Salé au Maroc, Tunis, Alger et Tripoli, et pendant la plus grande partie de cette période les marines européennes étaient trop faibles pour opposer plus qu'une résistance symbolique.
Le trafic trans-atlantique des Noirs était strictement commercial, mais pour les Arabes, les souvenirs des Croisades et la fureur d'avoir été expulsés d'Espagne en 1492 semblent avoir motivé une campagne de rapt de chrétiens, ressemblant presque à un djihad. «Ce fut peut-être cet aiguillon de la vengeance, opposé aux marchandages affables de la place du marché, qui rendit les esclavagistes islamiques tellement plus agressifs et initialement (pourrait-on dire) plus prospères dans leur travail que leurs homologues chrétiens», écrit le Prof. Davis. Pendant les XVIe et XVIIe siècles, plus d'esclaves furent emmenés vers le sud à travers la Méditerranée que vers l'ouest à travers l'Atlantique. Certains furent rendus à leurs familles contre une rançon, certains furent utilisés pour le travail forcé en Afrique du Nord, et les moins chanceux moururent à la tâche comme esclaves sur les galères.
Ce qui est le plus frappant concernant les raids esclavagistes barbaresques est leur ampleur et leur portée. Les pirates kidnappaient la plupart de leurs esclaves en interceptant des bateaux, mais ils organisaient aussi d'énormes assauts amphibies qui dépeuplèrent pratiquement des parties de la côte italienne. L'Italie était la cible la plus appréciée, en partie parce que la Sicile n'est qu'à 200 km de Tunis, mais aussi parce qu'elle n'avait pas de gouvernement central fort qui aurait pu résister à l'invasion.
De grands raids ne rencontraient souvent aucune résistance. Quand les pirates mirent à sac Vieste dans le sud de l'Italie en 1554, par exemple, ils enlevèrent un total stupéfiant de 6.000 captifs. Les Algériens enlevèrent 7.000 esclaves dans la baie de Naples en 1544, un raid qui fit tellement chuter le prix des esclaves qu'on disait pouvoir «troquer un chrétien pour un oignon». L'Espagne aussi subit des attaques de grande ampleur. Après un raid sur Grenade en 1556 qui rapporta 4.000 hommes, femmes et enfants, on disait qu'il «pleuvait des chrétiens sur Alger». Pour chaque grand raid de ce genre, il a dû y en avoir des douzaines de plus petits.
L'apparition d'une grande flotte pouvait faire fuir toute la population à l'intérieur des terres, vidant les régions côtières. En 1566, un groupe de 6.000 Turcs et corsaires traversa l'Adriatique et débarqua à Fracaville. Les autorités ne purent rien faire, et recommandèrent l'évacuation complète, laissant aux Turcs le contrôle de plus de 1300 kilomètres carrés de villages abandonnés jusqu'à Serracapriola.
Quand les pirates apparaissaient, les gens fuyaient souvent la côte pour aller dans la ville la plus proche, mais le Prof. Davis explique que ce n'était pas toujours une bonne stratégie: «Plus d'une ville de taille moyenne, bondée de réfugiés, fut incapable de soutenir un assaut frontal par plusieurs centaines de corsaires, et le reis [capitaine des corsaires] qui aurait dû autrement chercher les esclaves par quelques douzaines à la fois le long des plages et dans les collines, pouvait trouver un millier ou plus de captifs opportunément rassemblés en un seul endroit pour être pris.»
Les pirates revenaient encore et encore pour piller le même territoire. En plus d'un bien plus grand nombre de petits raids, la côte calabraise subit les déprédations suivantes, de plus en plus graves, en moins de dix ans: 700 personnes capturées en un seul raid en 1636, un millier en 1639 et 4.000 en 1644. Durant les XVIe et XVIIe siècles, les pirates installèrent des bases semi-permanentes sur les îles d'Ischia et de Procida, presque dans l'embouchure de la baie de Naples, d'où ils faisaient leur choix de trafic commercial.
Quand ils débarquaient sur le rivage, les corsaires musulmans ne manquaient pas de profaner les églises. Ils dérobaient souvent les cloches, pas seulement parce que le métal avait de la valeur mais aussi pour réduire au silence la voix distinctive du christianisme.
Dans les petits raids plus fréquents, un petit nombre de bateaux opéraient furtivement, tombant sur les établissements côtiers au milieu de la nuit de manière à attraper les gens «paisibles et encore nus dans leur lit». Cette pratique donna naissance à l'expression sicilienne moderne, pigliato dai turchi, «pris par les Turcs», ce qui veut dire être attrapé par surprise en étant endormi ou affolé.
La prédation constante faisait un terrible nombre de victimes. Les femmes étaient plus faciles à attraper que les hommes, et les régions côtières pouvaient rapidement perdre toutes leurs femmes en âge d'avoir des enfants. Les pêcheurs avaient peur de sortir, ou ne prenaient la mer qu'en convois. Finalement, les Italiens abandonnèrent une grande partie de leurs côtes. Comme l'explique le Prof. Davis, à la fin du XVIIe siècle «la péninsule italienne avait alors été la proie des corsaires barbaresques depuis deux siècles ou plus, et ses populations côtières s'étaient alors en grande partie retirées dans des villages fortifiés sur des collines ou dans des villes plus grandes comme Rimini, abandonnant des kilomètres de rivages autrefois peuplés aux vagabonds et aux flibustiers».
C'est seulement vers 1700 que les Italiens purent empêcher les raids terrestres spectaculaires, bien que la piraterie sur les mers continua sans obstacles. Le Prof. Davis pense que la piraterie conduisit l'Espagne et surtout l'Italie à se détourner de la mer et à perdre leurs traditions de commerce et de navigation, avec des effets dévastateurs: «Du moins pour l'Ibérie et l'Italie, le XVIIe siècle représenta une période sombre dont les sociétés espagnole et italienne émergèrent comme de simples ombres de ce qu'elles avaient été durant les époques dorées antérieures.»
Certains pirates arabes étaient d'habiles navigateurs de haute mer, et terrorisèrent les chrétiens jusqu'à une distance de 1600 km. Un raid spectaculaire jusqu'en Islande en 1627 rapporta près de 400 captifs. Nous pensons que l'Angleterre était une redoutable puissance maritime dès l'époque de Francis Drake, mais pendant tout le XVIIe siècle, les pirates arabes opérèrent librement dans les eaux britanniques, pénétrant même dans l'estuaire de la Tamise pour faire des prises et des raids sur les villes côtières. En seulement trois ans, de 1606 à 1609, la marine britannique reconnut avoir perdu pas moins de 466 navires marchands britanniques et écossais du fait des corsaires algériens. Au milieu des années 1600, les Britanniques se livraient à un actif trafic trans-atlantique de Noirs, mais beaucoup des équipages britanniques eux-mêmes devenaient la propriété des pirates arabes.
La vie sous le fouet
Les attaques terrestres pouvaient être très fructueuses, mais elles étaient plus risquées que les prises en mer. Les navires étaient par conséquent la principale source d'esclaves blancs. A la différence de leurs victimes, les navires corsaires avaient deux moyens de propulsion: les esclaves des galères en plus des voiles. Cela signifiait qu'ils pouvaient avancer à la rame vers un bateau encalminé et l'attaquer quand ils le voulaient. Ils portaient de nombreux drapeaux différents, donc quand ils naviguaient ils pouvaient arborer le pavillon qui avait le plus de chances de tromper une proie.
Un navire marchand de bonne taille pouvait porter environ 20 marins en assez bonne santé pour durer quelques années dans les galères, et les passagers étaient habituellement bons pour en tirer une rançon. Les nobles et les riches marchands étaient des prises attractives, de même que les Juifs, qui pouvaient généralement rapporter une forte rançon de la part de leurs coreligionnaires. Les hauts dignitaires du clergé étaient aussi précieux parce que le Vatican payait habituellement n'importe quel prix pour les tirer des mains des infidèles.
A l'approche des pirates, les passagers enlevaient souvent leurs beaux vêtements et tentaient de s'habiller aussi pauvrement que possible, dans l'espoir que leurs ravisseurs les rendraient à leur famille contre une rançon modeste. Cet effort était inutile si les pirates torturaient le capitaine pour avoir des informations sur les passagers. Il était aussi courant de faire déshabiller les hommes, à la fois pour rechercher des objets de valeur cousus dans leurs vêtements et pour voir si des Juifs circoncis ne s'étaient pas déguisés en chrétiens.
Si les pirates étaient à court d'esclaves pour les galères, ils pouvaient mettre certains de leurs captifs au travail immédiatement, mais les prisonniers étaient généralement mis dans la cale pour le voyage de retour. Ils étaient entassés, pouvant à peine bouger dans la saleté, la puanteur et la vermine, et beaucoup mouraient avant d'atteindre le port.
Dès l'arrivée en Afrique du Nord, c'était la tradition de faire défiler les chrétiens récemment capturés dans les rues, pour que les gens puissent se moquer d'eux et que les enfants puissent les couvrir d'ordures. Au marché aux esclaves, les hommes étaient obligés de sautiller pour prouver qu'ils n'étaient pas boiteux, et les acheteurs voulaient souvent les faire mettre nus pour voir s'ils étaient en bonne santé. Cela permettait aussi d'évaluer la valeur sexuelle des hommes comme des femmes; les concubines blanches avaient une valeur élevée, et toutes les capitales esclavagistes avaient un réseau homosexuel florissant. Les acheteurs qui espéraient faire un profit rapide avec une forte rançon examinaient les lobes d'oreilles pour repérer des marques de piercing, ce qui était une indication de richesse. Il était aussi habituel de regarder les dents d'un captif pour voir s'il pourrait survivre à un dur régime d'esclave.
Le pacha ou souverain de la région recevait un certain pourcentage d'esclaves comme une forme d'impôt sur le revenu. Ceux-ci étaient presque toujours des hommes, et devenaient propriété du gouvernement plutôt que propriété privée. A la différence des esclaves privés, qui embarquaient habituellement avec leur maître, ils vivaient dans les bagnos ou «bains», ainsi que les magasins d'esclaves du pacha étaient appelés. Il était habituel de raser la tête et la barbe des esclaves publics comme une humiliation supplémentaire, dans une période où la tête et la pilosité faciale étaient une part importante de l'identité masculine.
La plupart de ces esclaves publics passaient le reste de leur vie comme esclaves sur les galères, et il est difficile d'imaginer une existence plus misérable. Les hommes étaient enchaînés trois, quatre ou cinq par aviron, leurs chevilles enchaînées ensemble aussi. Les rameurs ne quittaient jamais leur rame, et quand on les laissait dormir, ils dormaient sur leur banc. Les esclaves pouvaient se pousser les uns les autres pour se soulager dans une ouverture de la coque, mais ils étaient souvent trop épuisés ou découragés pour bouger, et se souillaient là où ils étaient assis. Ils n'avaient aucune protection contre le brûlant soleil méditerranéen, et leur maître écorchait leur dos déjà à vif avec l'instrument d'encouragement favori du conducteur d'esclaves, un pénis de bouf allongé ou «nerf de bouf». Il n'y avait presque aucun espoir d'évasion ou de secours; le travail d'un esclave de galère était de se tuer à la tâche -- principalement dans des raids pour capturer encore plus de malheureux comme lui -- et son maître le jetait par-dessus bord au premier signe de maladie grave.
Quand la flotte pirate était au port, les esclaves de galères vivaient dans le bagno et faisaient tout le travail sale, dangereux ou épuisant que le pacha leur ordonnait de faire. C'était habituellement tailler et traîner des pierres, draguer le port, ou les ouvrages pénibles. Les esclaves se trouvant dans la flotte du Sultan turc n'avaient même pas ce choix. Ils étaient souvent en mer pendant des mois d'affilée, et restaient enchaînés à leurs rames même au port. Leurs bateaux étaient des prisons à vie.
D'autres esclaves sur la côte barbaresque avaient des travaux plus variés. Souvent ils faisaient du travail de propriétaire ou agricole du genre que nous associons à l'esclavage en Amérique, mais ceux qui avaient des compétences étaient souvent loués par leurs propriétaire. Certains maîtres relâchaient simplement leurs esclaves pendant la journée avec l'ordre de revenir avec une certaine quantité d'argent le soir sous peine d'être sévèrement battus. Les maîtres semblaient attendre un bénéfice d'environ 20% sur le prix d'achat. Quoi qu'ils faisaient, à Tunis et à Tripoli, les esclaves portaient habituellement un anneau de fer autour d'une cheville, et étaient chargés d'une chaîne pesant 11 ou 14 kg.
Certains maîtres mettaient leurs esclaves blancs au travail dans des fermes loin à l'intérieur des terres, où ils affrontaient encore un autre péril: la capture et un nouvel esclavage par des raids de Berbères. Ces infortunés ne verraient probablement plus jamais un autre Européen pendant le reste de leur courte vie.
Le Prof. Davis remarque qu'il n'y avait aucun obstacle à la cruauté: «Il n'y avait pas de force équivalente pour protéger l'esclave de la violence de son maître: pas de lois locales contre la cruauté, pas d'opinion publique bienveillante, et rarement de pression efficace de la part des Etats étrangers». Les esclaves n'étaient pas seulement des marchandises, ils étaient des infidèles, et méritaient toutes les souffrances qu'un maître leur infligeait.
Le Prof. Davis note que «tous les esclaves qui vécurent dans les bagnos et qui survécurent pour écrire leurs expériences soulignèrent la cruauté et la violence endémiques pratiquées ici». La punition favorite était la bastonnade, par lequel un homme était mis sur le dos et ses chevilles attachées et suspendu par la taille pour être battu longuement sur la plante des pieds. Un esclave pouvait recevoir jusqu'à 150 ou 200 coups, qui pouvaient le laisser estropié. La violence systématique transformait beaucoup d'hommes en automates. Les esclaves chrétiens étaient souvent si abondants et si bon marché qu'il n'y avait aucun intérêt à s'en occuper; beaucoup de propriétaires les faisaient travailler jusqu'à la mort et achetaient des remplaçants.
Le système d'esclavage n'était cependant pas entièrement sans humanité. Les esclaves recevaient habituellement congé le vendredi. De même, quand les hommes du bagno étaient au port, ils avaient une heure ou deux de temps libre chaque jour entre la fin du travail et avant que les portes du bagno ne soient fermées pour la nuit. Durant ce temps, les esclaves pouvaient travailler pour une paie, mais ils ne pouvaient pas garder tout l'argent qu'ils gagnaient. Même les esclaves du bagno étaient taxés d'une somme pour leurs logements sales et leur nourriture rance.
Les esclaves publics contribuaient aussi à un fonds pour entretenir les prêtres du bagno. C'était une époque très religieuse, et même dans les plus horribles conditions, les hommes voulaient avoir une chance de se confesser et -- plus important -- de recevoir l'extrême-onction. Il y avait presque toujours un prêtre captif ou deux dans le bagno, mais pour qu'il reste disponible pour ses devoirs religieux, les autres esclaves devaient contribuer et racheter son temps au pacha. Certains esclaves de galères n'avaient donc plus rien pour acheter de la nourriture ou des vêtements, bien que durant certaines périodes des Européens libres vivant dans les villes barbaresques contribuaient aux frais d'entretien des prêtres des bagnos.
Pour quelques-uns, l'esclavage devenait plus que supportable. Certains métiers -- en particulier celui de constructeur de navire -- étaient si recherchés qu'un propriétaire pouvait récompenser son esclave avec une villa privée et des maîtresses. Même quelques résidents du bagno réussirent à exploiter l'hypocrisie de la société islamique et à améliorer leur condition. La loi interdisait strictement aux musulmans de faire le commerce de l'alcool, mais était plus indulgente avec les musulmans qui le consommaient seulement. Des esclaves entreprenants établirent des tavernes dans les bagnos et certains eurent la belle vie en servant les buveurs musulmans.
Une manière d'alléger le poids de l'esclavage était de «prendre le turban» et de se convertir à l'islam. Cela exemptait un homme du service dans les galères, des ouvrages pénibles, et de quelques autres brimades indignes d'un fils du Prophète, mais ne le faisait pas sortir de la condition d'esclave. L'un des travaux des prêtres des bagnos était d'empêcher les hommes désespérés de se convertir, mais la plupart des esclaves semblent ne pas avoir eu besoin de conseil religieux. Les chrétiens pensaient que la conversion mettrait leur âme en danger, et elle signifiait aussi le déplaisant rituel de la circoncision adulte. Beaucoup d'esclaves semblent avoir enduré les horreurs de l'esclavage en les considérant comme une punition pour leurs péchés et comme une épreuve pour leur foi. Les maîtres décourageaient les conversions parce qu'elles limitaient le recours aux mauvais traitements et abaissaient la valeur de revente d'un esclave.
Rançon et rachat
Pour les esclaves, l'évasion était impossible. Ils étaient trop loin de chez eux, étaient souvent enchaînés, et pouvaient être immédiatement identifiés par leurs traits européens. Le seul espoir était la rançon.
Parfois, la chance venait rapidement. Si un groupe de pirates avait déjà capturé tant d'hommes qu'il n'avait plus assez d'espace sous le pont, il pouvait faire un raid sur une ville et ensuite revenir quelques jours plus tard pour revendre les captifs à leurs familles. C'était généralement à un prix bien plus faible que celui du rançonnement de quelqu'un à partir de l'Afrique du Nord, mais c'était encore bien plus que des paysans pouvaient se le permettre. Les fermiers n'avaient généralement pas d'argent liquide, et pas de biens à part la maison et la terre. Un marchand était généralement prêt à les acquérir pour un prix modique, mais cela signifiait qu'un captif revenait dans une famille qui était complètement ruinée.
La plupart des esclaves ne rachetaient leur retour qu'après être passés par l'épreuve du passage en pays barbaresque et de la vente à un spéculateur. Les riches captifs pouvaient généralement trouver une rançon suffisante, mais la plupart des esclaves ne le pouvaient pas. Les paysans illettrés ne pouvaient pas écrire à la maison et même s'ils le faisaient, il n'y avait pas d'argent pour une rançon.
La majorité des esclaves dépendait donc de l'ouvre charitable des Trinitaires (fondé en Italie en 1193) et de celle des Mercedariens (fondé en Espagne en 1203). Ceux-ci étaient des ordres religieux établis pour libérer les Croisés détenus par les musulmans, mais ils transférèrent bientôt leur ouvre au rachat des esclaves détenus par les Barbaresques, collectant de l'argent spécifiquement dans ce but. Souvent ils plaçaient des boîtes à serrure devant les églises avec l'inscription «Pour la récupération des pauvres esclaves», et le clergé appelait les riches chrétiens à laisser de l'argent dans leurs voux de rédemption. Les deux ordres devinrent des négociateurs habiles, et réussissaient habituellement à racheter les esclaves à des meilleurs prix que ceux obtenus par des libérateurs inexpérimentés. Cependant, il n'y avait jamais assez d'argent pour libérer beaucoup de captifs, et le Prof. Davis estime que pas plus de 3 ou 4% des esclaves étaient rançonnés en une seule année. Cela signifie que la plupart laissèrent leurs os dans les tombes chrétiennes sans marque en-dehors des murs des villes.
Les ordres religieux conservaient des comptes précis de leurs succès. Les Trinitaires espagnols, par exemple, menèrent 72 expéditions de rachats dans les années 1600, comptant en moyenne 220 libérations chacune. Il était habituel de ramener les esclaves libérés chez eux et de les faire marcher dans les rues des villes dans de grandes célébrations. Ces défilés devinrent l'un des spectacles urbains les plus caractéristiques de l'époque, et avaient une forte orientation religieuse. Parfois les esclaves marchaient dans leurs vieux haillons d'esclaves pour souligner les tourments qu'ils avaient subis; parfois ils portaient des costumes blancs spéciaux pour symboliser la renaissance. D'après les archives de l'époque, beaucoup d'esclaves libérés ne se rétablissaient jamais complètement après leurs épreuves, particulièrement s'ils avaient passé beaucoup d'années en captivité.
Combien d'esclaves ?
Le Prof. Davis remarque que des recherches énormes ont été faites pour évaluer aussi exactement que possible le nombre de Noirs emmenés à travers l'Atlantique, mais qu'il n'y a pas eu d'effort semblable pour connaître l'ampleur de l'esclavage en Méditerranée. Il n'est pas facile d'obtenir un compte fiable -- les Arabes eux-mêmes ne conservaient généralement pas d'archives -- mais au cours de dix années de recherches le Prof. Davis a développé une méthode d'estimation.
Par exemple, les archives suggèrent que de 1580 à 1680 il y a eu une moyenne de quelques 35.000 esclaves en pays barbaresque. Il y avait une perte régulière du fait des morts et des rachats, donc si la population restait constante, le taux de capture de nouveaux esclaves par les pirates devait égaler le taux d'usure. Il y a de bonnes bases pour estimer les taux de décès. Par exemple, on sait que sur les près de 400 Islandais capturés en 1627, il ne restait que 70 survivants huit ans plus tard. En plus de la malnutrition, de la surpopulation, de l'excès de travail et des punitions brutales, les esclaves subissaient des épidémies de peste, qui éliminaient généralement 20 ou 30% des esclaves blancs.
Par un certain nombre de sources, le Prof. Davis estime donc que le taux de décès était d'environ 20% par an. Les esclaves n'avaient pas accès aux femmes, donc le remplacement se faisait exclusivement par des captures. Sa conclusion: «Entre 1530 et 1780, il y eut presque certainement un million et peut-être bien jusqu'à un million et un quart de chrétiens européens blancs asservis par les musulmans de la côte barbaresque». Cela dépasse considérablement le chiffre généralement accepté de 800.000 Africains transportés dans les colonies d'Amérique du Nord et, plus tard, dans les Etats-Unis.
Les puissances européennes furent incapables de mettre fin à ce trafic. Le Prof. Davis explique qu'à la fin des années 1700, elles contrôlaient mieux ce commerce, mais qu'il y eut une reprise de l'esclavage des Blancs pendant le chaos des guerres napoléoniennes.
La navigation américaine ne fut pas exempte non plus de la prédation. C'est seulement en 1815, après deux guerres contre eux, que les marins américains furent débarrassés des pirates barbaresques. Ces guerres furent des opérations importantes pour la jeune république; une campagne est rappelée par les paroles «vers les rivages de Tripoli» dans l'hymne de la marine. Quand les Français prirent Alger en 1830, il y avait encore 120 esclaves blancs dans le bagno.
Pourquoi y a-t-il si peu d'intérêt pour l'esclavage en Méditerranée alors que l'érudition et la réflexion sur l'esclavage des Noirs ne finit jamais? Comme l'explique le Prof. Davis, des esclaves blancs avec des maîtres non-blancs ne cadrent simplement pas avec «le récit maître de l'impérialisme européen». Les schémas de victimisation si chers aux intellectuels requièrent de la méchanceté blanche, pas des souffrances blanches.
Le Prof. Davis remarque aussi que l'expérience européenne de l'asservissement à grande échelle fait apparaître le mensonge d'un autre thème gauchiste favori: que l'esclavage des Noirs aurait été un pas crucial dans l'établissement des concepts européens de race et de hiérarchie raciale. Ce n'est pas le cas; pendant des siècles, les Européens vécurent eux-mêmes dans la peur du fouet, et un grand nombre assista aux défilés de rachat des esclaves libérés, qui étaient tous blancs. L'esclavage était un sort plus facilement imaginable pour eux-mêmes que pour les lointains Africains.
Avec un peu d'efforts, il est possible d'imaginer les Européens se préoccupant de l'esclavage autant que les Noirs. Si les Européens nourrissaient des griefs concernant les esclaves des galères de la même manière que les Noirs font pour les travailleurs des champs, la politique européenne serait certainement différente. Il n'y aurait pas d'excuses rampantes pour les Croisades, peu d'immigration musulmane en Europe, les minarets ne pousseraient pas dans toute l'Europe, et la Turquie ne rêverait pas de rejoindre l'Union Européenne. Le passé ne peut pas être changé, et les regrets peuvent être pris à l'excès, mais ceux qui oublient paient aussi un prix élevé.