Sarko, le nain mesquin .

Rappel du premier message :

Sarko le nain,
vient de perdre son procès contre "le coupable" De Villepin .


Sarko le mesquin,
va en appel contre cette decision on ne peut plus motivée .



On dit qu'il n'y a aucun grand homme pour son valet de chambre .
Ici tout tout le monde peut voir la médiocrité du personage .

99 -

Citation :

il paraît que "la" france a dit qu'il allait y avoir des "sanctions" contre l'iran qui veut enrichir de l'uranium
je me demande c'est qui "la" france qui a dit ça
parait aussi que "les" usa ont dit pareil

seraient pas un peu barges tous ces types qui se prennent pour un pays qui parle???
je dis ça parce qu'il y a des français qui aimeraient bien pouvoir se balader dans le monde sans qu'on les assimile à "la" france qui racconte des âneries à la télé

Cher Jam, votre ire dirigée vers une posture de la parole politique publique que vous dénoncez pose autre problème très particulier à la France depuis l'avènement de la V° République : celui de la "sacralisation" du concept gaullien de la politique étrangère relevant exclusivement du domaine réservé du Président de la République.

En soi, que le premier magistrat de la République puisse incarner celle-ci et donc incarner la France dans le cadre des relations internationales n'a rien d'incongru ou d'anticonstitutionnel ou de contraire au droit naturel.Le principe du regard du Chef de l'Etat sur la politique étrangère a été instauré par Jules Grévy qui succédant à Mac-Mahon donna sa marque à la III° République. L'avocat jurassien posa la tradition qui voulut que le Président de la République choisissait sur proposition du Président du Conseil à qui serait confié maroquin du ministère des Affaires Etrangères. L'économie de ce principe était qu'en matière de politique avec l'Etranger les plus hautes instances de l'Etat se coordonnent pour s'exprimer d'une même voix. Il était indispensable que la mise au diapason reposât sur une parfaite harmonie d'atomes crochus entre le ministre des Affaires étrangères et le Président de la République. Le pragmatisme et le bon sens, pour une fois, prévalut dans le fonctionnement de l'Etat. Cette pratique fondée sur la tutelle exercée par l'Elysée sur la Quai d'Orsay marqua la Genèse du principe du domaine réservé de la Présidence de la République en matière de politique extérieure.

Ce point d'histoire étant précisé, remontons sur la barge du courant politique actuel et constatons, pour dénoncer cette anomalie avec vigueur, que la politique étrangère ou internationale de la France n'est jamais invitée dans les programmes électoraux dont débattent les candidats lors des élections présidentielles. Curieusement l'électorat français ne semble pas être heurté par la criante l'absence de débat sur les relations extérieures de la France alors qu'il s'agit à l'évidence d'une question politique cruciale et de toute première importance, d'autant que, dans cette hystérie actuellement nourrie par la mondialisation des économies et des modes de vie et de pensée dans laquelle nous baignons, la politique extérieure devrait logiquement se trouver au cœur des préoccupations de nos concitoyens.

L'état d'esprit infantilisant dans lequel on a engoncé la culture politique française mythifie une sorte de ligne Maginot subconsciente préservant la franco-francitude de toute atteinte ou influence extérieures à nos frontières, au point que même les nuages toxiques de Tchernobyl s'arrêteraient sur le Rhin.

Nous citoyens sommes co-responsables avec l'intelligentsia, la classe politique, la Haute administration et les élus de cette néfaste anémie de démocratie.
L'ignarerie, probablement autant liée au déficit éducationnel en matière d'instruction civique qu'à une certaine médiocrité aliénée à un dédain du peuple cultivés par nos élites et le personnel politique, pourrait être une explication plausible à cet abandon de souveraineté populaire, nonobstant le fait que rien ne s'oppose à ce que chaque citoyen fasse un effort personnel pour acquérir une base suffisante en connaissances du fonctionnement des institutions de son pays ainsi que des grandes idées de philosophie politique qui alimentent les débats de société essentiels, mais ici il faut choisir entre la télé réalité, Voici et Gala, le chaud bize, les séries QQ et policières à la téloche, l'Internet porno, le foot et les JO, les sports d'hiver, les vacances à la mer, le bistrot et la console de jeux.

Il serait opportun qu'une revendication s'élève pour exiger que, comme du temps de la république athénienne, le débat politique au sein de la Nation porte aussi - et j'allais dire surtout en matière d'élections présidentielles et européennes - sur des questions de politique étrangère, une politique de moins en moins étrangère à la manière dont s'organisent notre vie quotidienne et notre place en Europe et dans le monde.


Ce qui nous permettrait de savoir que la voix de la France serait aussi la nôtre et d'être à l'aise en tongs et panta-court bide en avant dans le marcel lorsque nous draguons l'habitante pendant nos pérégrinations hors des frontières nationales...

Cher Eddies, vous êtes sûrement un génie ( et j'ose encore me questionner sur la question)

Mais vous êtes si humble, sûrement un poète, pouète pouète pouète

Vous savez ce que vous êtes? Un journaliste de la Une.


Désolé de vous insulté, mais vous avez un tel potentiel qui meure. Vous gagneriez tant a être connu.


Le Québec serait subjugué devant autant de savoir parler. C'est un art[/b][/i]

101 -
Du haut de ma hune électronique je viens d'apercevoir une nouvelle
pleine de poésie pour celles et ceux qui aiment les bêtes mystérieuses et étranges.

En voici un exemplaire qui a un énorme potentiel de pouvoir. celui-ci vit majoritairement dans les îles australes, mais ici dans nos latitudes sous-boréales de saison - il neige à Paris - nous avons au Jardin des Plantés jusqu'à Lagarde un spécimen européen le Diantre de Hongrie :

Citation :

Le diable de Tasmanie ou sarcophile (littéralement : qui aime la viande (épicée)) (Sarcophilus harrisii) est une espèce de marsupial ne vivant plus que sur l'île de Tasmanie en Australie et en Île de France pour sa variété européenne. Il avait disparu du « continent » australien environ 400 ans avant l'arrivée des premiers colons européens en 1788. Longtemps considéré comme une menace pour le bétail, il a été chassé impitoyablement jusqu'à ce qu'il soit protégé en 1941. Depuis les années 1990, un grand nombre de représentants de l'espèce sont victimes d'une tumeur cancéreuse transmissible (Devil facial tumour disease) par morsure qui réduit fortement sa population, c'est le fameux baiser du diable ; la dernière victime connue est un certain James Zé Liar qui vit sous perfusion de jus de pomme. Il est caractérisé par sa fourrure noire, l'odeur forte qu'il dégage lorsqu'il est stressé, son hurlement fort et inquiétant qui sonne ainsi "kassetoipofkon", ses tics nerveux et son tempérament agressif envers ses congénères quand il mange. Cette espèce est la seule survivante du genre Sarcophilus mais il existe encore d'autres marsupiaux carnivores (Dasyurus lepenus). De la taille d'un petit chien, il est de constitution trapue et épaisse, avec une grande tête et une queue boudinée flanquée d'un périnée très bien musclé. La graisse corporelle étant emmagasinée dans la queue, cette dernière sera souvent plus étroite chez un sujet malade. Fait inhabituel pour un marsupial, ses pattes antérieures sont légèrement plus longues que les postérieures. Le diable peut courir à 13 kilomètres à l'heure sur de courtes distances, au-delà il risque un malaise vagual. L'espérance de vie moyenne, de cinq ans dans la nature, peut être plus longue en cas de réélection. On ne connait pas le nombre exact de la population du diable de Tasmanie (entre 20 000 et 75 000 individus). A noter que 1 à 2% meurent écrasés sur les routes...

Source Diable de Tasmanie
http://kimcat1b58.over-blog.com/
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Je sens qu'à partir de maintenant vous vous défausserez pour éviter de faire la bise à kékun que vous savez être être un sarkophile de la première heure...

" Un nain sur une montagne restera toujours un nain. "

Bernard75 a écrit:

"

Je suis indigné par une telle image !

Carla a eu plus d'un amant d'accord ,
mais ils n'étaient pas tous "nains" !

INFLUENCE

Les chasses présidentielles reprennent du fusil

NOUVELOBS.COM | 08.02.2010 | 17:55


Sur invitation du président, une trentaine de privilégiés sont régulièrement conviés aux "battues de l'Etat", tombées en désuétude sous Chirac.



Tapisserie du château de Chambord AFP
Un château, des invités triés sur le volet, des armes et du gibier… On se croirait tout droit sorti d'un film en costume. Et pourtant. Vendredi 5 février, c'est le spectacle que l'on pouvait "admirer" dans les jardins du Domaine de Chambord.
Pierre Charon, ami et conseiller du président de la République fraîchement nommé –le 16 décembre dernier- "Président de l'Établissement de Chambord", chargé des chasses présidentielles, remet au goût du jour la tradition monarchique des " battues d'Etat".
Jacques Chirac les avait délaissées, craignant que le faste ne soit montré du doigt et que la chasse provoque un tollé des écologistes.

Cérémonial


Au programme officiel, petit déjeuner, cérémonie du tableau de chasse en grandes pompes entourée de la Garde républicaine et luxueux diner dans la grande salle du Château, pour les 30 invités du président. Officieusement ces rencontres discrètes sont le lieu de tractations, d'accords, de stratégies entre les "VIP de la République". Grands patrons du CAC 40, parlementaires, préfets, ministres, chefs d'Etat étrangers, arpentent les 160 hectares de forets.
Selon un article du Monde, daté du 18 décembre dernier, Martin Bouygues et Albert Frère, l'ancien procureur général près la cour d'appel de Paris Yves Bot, le directeur général de la police nationale Frédéric Péchenard, et le socialiste Michel Charasse y aurait été vus.

Discrétion et confidences



Pierre Charon explique dans l'Express qu'il "rapporte à Nicolas Sarkozy ce qu'il picore à Chambord". "Les hutus et les tutsi sont là" s'amuse encore le conseiller.
Preuve de l'attrait que génèrent les battues, "des gens qui ne m'adressaient plus la parole me reparlent" confie l'ami du président, lui-même chasseur depuis l'âge de 25 ans.
La consigne est donnée : aucun nom, aucune photo, un cadre idéal pour mettre en confiance les invités.
Rendez-vous est fixé, le 12 février prochain, fusil à la main. Chaque année, une quinzaine de journées de chasse sont offertes au nom du Président de la République à ses invités, pour un budget resté silencieux.
Nouvelobs.com a tenté de joindre Pierre Charon ainsi que la communication du château de Chambord mais nos demandes sont restées sans réponses.

Citation :

Villepin compare Sarkozy à un porc...

Lors d'un déplacement dans le Finistère, digne d'une campagne électorale, Dominique de Villepin s'est laissé aller à quelques blagues à l'égard de son rival, Nicolas Sarkozy. Notamment en tenant un porcelet dans ses bras.

Tenant un porcelet devant une nuée de journalistes, Villepin s'est laissé aller à ce petit commentaire: "Il ne vous rappelle pas quelqu'un? Moi aussi!" Un moment immortalisé par une vidéo publiée sur le site du Télégramme de Brest. On entend alors une voix dire "Il ne s'appelle pas Nicolas?". "Non, tempère la vedette du récent procès Clearstream, après un court silence. Regardez, il est sympathique."

Un peu plus tard, dans une atmosphère de campagne, la caravane Villepin a également créé une jolie bousculade sur le marché de Lesneven. Fidèle d'entre les fidèles, le député du Morbihan, François Goulard, n'a pu s'empêcher une bonne blague. Selon le Télégramme, il a lancé à un journaliste qui tendait son micro à un cochon: "Vous interviewez Lefebvre?" Ambiance...

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/villepin-sarkozy-ennemis-comme-cochons_849248.html?XTOR=EPR-181

Citation : Tenant un porcelet devant une nuée de journalistes, Villepin s'est laissé aller à ce petit commentaire: "Il ne vous rappelle pas quelqu'un? Moi aussi!"

Voilà qui est bien lamentable...

Pour
quelqu'un qui soit disant cultive la "classe" voilà une remarque pas
très digne de son rang. Bref, il ne suffit pas de se dire aristocrate
pour avoir la noblesse, Mr DE Villepin. Vous n'êtes qu'un grossier
personnage et un rustre. Finalement, le porc dans cette image n'est pas
celui qu'on croit...

Sarko aurait été beaucoup plus poli lui !

C'est pas son habitude de dire des gros mots !

Il a le respect de la fonction présidentielle !

OmbreBlanche a écrit:

Villepin compare Sarkozy à un porc...

En m'attardant sur la photo...
Ah ?! Il y a un troisième frère Bogdanoff ?

109 -

Citation :

Villepin compare Sarkozy à un porc

Je suis consterné de constater combien l'espèce humaine est prompte à se montrer offensante à l'égard des suidés ! Pauvres bêtes, elles chez qui tout est si bon.

c'est la classe ce Villepin y a pas à dire !!

j'ose dire qu'il est aussi bête qu'il est grand

Citation :

j'ose dire qu'il est aussi bête qu'il est grand

Bonjour Chère Mariden,

Attention, par ricochet cette vilaine allusion à la haute taille risquerait de froisser l'excellent Mike-Hubert et moi-même... Cochon qui s'en dédit.

OmbreBlanche a écrit:

Citation :

Augustin Legrand "Sarko est tellement con"

Augustin Legrand, des enfants de Don Quichotte a déclaré dans une interview à Siné Hebdo " On va réussir à casser l'ignorance, communiquer, expliquer aux gens qu'on se fait enculer cent fois plus qu'on peut l'imaginer. C'est ça qui va pousser les gens à l'insurrection, je vois pas comment ça va pas venir. Avec un un mec comme Sarko, tout est possible. Il est tellement con, tu te souviens des banlieues au Kärcher, il est capable de faire une énorme connerie qui mette le feu aux poudres."

Il faut rappeler qu'Augustin Legrand est désormais candidat Europe Ecologie pour les régionales en Ile de France. Augustin Legrand dit ne rien regretter dans ses propos, même après la diffusion de l'hebdomadaire satirique. L'Elysée n'a pas commenté ces propos, ni infirmé les rumeurs d'attaque en justice pour délit d'offense du président de la République.

http://www.lesindiscrets.com/article-8257-augustin-legrand-sarko-est-tellement-con.html

en revanche il suffit de regarder ce monsieur pour comprendre a quel point il est intelligent.

OmbreBlanche a écrit:

Sylvette a écrit:

http://www.lesindiscrets.com/article-8257-augustin-legrand-sarko-est-tellement-con.html



en revanche il suffit de regarder ce monsieur pour comprendre a quel point il est intelligent.

Oh, vous savez, chère Sylvette, avec cette gauche "bobo" il ne faut s'étonner de rien... ils sont tellement convaincus de détenir la "vérité" que si vous êtes de droite, vous êtes certainement une "sinistre réactionnaire sans cœur"... c'est ce qu'ils disent, bien sur.

Ils se disent "aimer les gens", ils entendent défendre les sans-papiers et les mal-logés mais la réalité, c'est que quand ils voient un SDF s'installer dans la cour de leur résidence pour passer la nuit, ils sont les premiers à appeler les flics pour qu'il dégage.

Cette gauche là, Sylvette, se dit "proche du peuple"... en réalité, elle n'est que démagogie et hypocrisie...

Bonsoir Ombre.

Oui, je connais tres bien, nous avons les memes.

EddieCochran a écrit:

Attention, par ricochet cette vilaine allusion à la haute taille risquerait de froisser l'excellent Mike-Hubert et moi-même... Cochon qui s'en dédit.

Excellente mémoire aussi, sans flagornerie aucune !

EddieCochran a écrit:

Citation :

j'ose dire qu'il est aussi bête qu'il est grand

Bonjour Chère Mariden,

Attention, par ricochet cette vilaine allusion à la haute taille risquerait de froisser l'excellent Mike-Hubert et moi-même... Cochon qui s'en dédit.

bonjour Eddie

aucune intention de vouloir froisser qui que ce soit mais il suffit de lire le titre de ce "fil" pour dire que l'auteur de ce "fil" n'a pas eu peur de froisser qui que ce soit

118 -
Bonjour Chère Marieden,

Je sais bien que vous ne vouliez froisser personne, rassurez-vous. Je ne suis qu'un grand vanneur à toutes les sauces.

Par contre pour l'immense Mike-Hubert je ne sais pas...

OmbreBlanche a écrit:

marieden a écrit:

c'est la classe ce Villepin y a pas à dire !!

j'ose dire qu'il est aussi bête qu'il est grand

Bien sur, Villepin n'a pas été grossier.

Mais il ne suffit pas d'être grossier pour être vulgaire. Et vulgaire, Villepin l'a été avec cette remarque pour le moins déplacée.

On pouvait s'attendre d'un aristocrate une certaine grandeur, une certaine hauteur, or au lieu de cela il se complait dans les petites phrases et les sous-entendus débiles qui n'amusent qu'une galerie de bouseux et de journaleux de bas étage.

Comme quoi si l'on peut-être bien né et de haut lignage, la noblesse n'est pas donnée avec la particule. Celle-ci s'acquiert avec l'usage et le comportement.

Que représente t-il au juste, ce Napoléon d'opérette ? Lui qui, finalement n'a été que le sous-fifre de Chirac, un simple exécutant, énarque et technocrate. Il entend parler au nom du peuple ? Que connait-il du peuple, lui qui n'a jamais été candidat à aucun suffrage ?

Il croit représenter la France ?

Quelle prétention !

otez moi un doute.........c'est bien ce même Villepin qui se dit harcelé par le Président ?

je vous suis tout à fait Ombre