Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles

Rappel du premier message :

745-

Ce fut très momentané et jamais revendiqué à titre définitif.....

Tu as déjà vu une pyramide à Jaffa (sauf d'oranges) ?

Biloulou a écrit:

J'attends que Uderzo et Goscinny s'expriment sur l'occupation de la Palestine par les Libanais, les Égyptiens et les Jordaniens, entre autres....

Lawrence a écrit:

ALLONS UNGERN,
NOUS PARLONS D'UN POINT DE DÉTAIL, C'EST UN PEU COMME LA DROGUE, 5% PROVOQUENT ET 95 % PASSENT LE CAP !!!
Tu devrais le savoir.....

Si un aussi fin connaisseur de tout ce qui se passe au Moyen-Orient l'affirme, c'est qu'il est d'une extrême urgence de prendre les mesures les plus énergiques à l'égard du Liban...

Ungern a écrit:

1.000 excuses ; j'ai des problèmes i.net ....

Un coup du Mossad, sans doute ?

(Heureux de te relire ! )

Biloulou a écrit:

Lawrence a écrit:

ALLONS UNGERN,
NOUS PARLONS D'UN POINT DE DÉTAIL, C'EST UN PEU COMME LA DROGUE, 5% PROVOQUENT ET 95 % PASSENT LE CAP !!!
Tu devrais le savoir.....

Si un aussi fin connaisseur de tout ce qui se passe au Moyen-Orient l'affirme, c'est qu'il est d'une extrême urgence de prendre les mesures les plus énergiques à l'égard du Liban...

Yep!

Je crois que la saisie des armes est un prélude à un regrettable incident de frontière,lequel aurait pour effet mutatis mutandis de repousser à plus tard,c'est à dire à jamais une négociation de paix avec les palestiniens .

C'est un peu d'une certaine façon les guerres puniques : on est tout le temps en guerre,mais l'enjeu du combat est souvent ailleurs ...

Michel Aoun vous répond :

Le chef du Courant Patriotique Libre le général Michel Aoun a commenté les informations faisant état de l'interception par les Israéliens d'un navire transportant des armes, affirmant:" Quelle que soit la cargaison de ce navire, armes ou poteries, nous sommes libres de posséder des armes contre "Israël". Est-ce qu'Israël a occupé la Palestine par les bonbons? Ils ont eu recours aux avions de combat, aux bombes intelligentes, aux assassinats du peuple. Si nous ne cherchons pas d'armes de l'Iran, nous pouvons les acheter de la Chine, de la Corée, voire des trafiquants d'armes américains. Est-ce que le monde est chargé de défendre l'usurpation israélienne de la terre et des droits palestiniens? Si je pouvais le faire, j'aurais acheté des armes pour la cause palestinienne, non pour l'intérieur libanais.

Réagissant aux propos du patriarche maronite Nasrallah Sfeir selon lesquels les armes du Hezbollah et l'Etat de droit ne peuvent pas coexister, le député aouniste a indiqué qu'on ne peut pas vivre à la frontière avec "Israël" avec faiblesse. Est-ce qu'il veut qu'on vive comme des réfugiés sur notre terre? Où est-ce que les armes du Hezbollah l'ont menacé pour que je prenne parti en sa faveur? Pourquoi ne parle-t-il pas de la corruption, pourtant il détient toutes les informations? Pourquoi soutient-il la corruption et les corrupteurs dans le pays?, a-t-il ajouté.

Dans un point de presse tenu mercredi à Rabieh, il a regretté que certains politiciens adoptent des déclarations contradictoires sur le volet gouvernemental, appelant au calme parce que les consultations se poursuivent.

Aoun a accusé la coalition du 14 mars d'entraver la formation du gouvernement vu qu'elle refuse de lui donner son quota à la base des résultats des élections législatives, se moquant de la logique inverse de la majorité, qui veut lui donner un nombre inférieur de portefeuilles ministériels, alors que son bloc parlementaire a augmenté de six députés en comparaison aux législatives précédentes.

Il a également réitéré son droit de nommer qui il veut à la tête des portefeuilles ministériels.

Dans son discours à la presse, le chef du CPL a insisté sur le sujet de la corruption. Selon lui, la corruption constitue la rouille de tous les régimes, qu'ils soient confessionnels, majoritaires, minoritaires ou consensuels, "là où la corruption existe, on ne peut point construire un pays indépendant et souverain, toutes les institutions succombent.

Qui déroute l'opinion publique? Qui bénéficie du régime de la corruption et prétexte que le vrai problème réside dans le confessionnalisme, ou dans les prérogatives ou dans la distribution des portefeuilles? C'est un sujet de distraction auquel je ne répondrai pas, parce qu'on veut nous distraire des problèmes sérieux dont souffre le pays", a-t-il ajouté.

Quand on site "Aoun",il faut toujours mettre en indice qui lui a envoyé le dernier chèque au porteur ...

Citation :

Quand le Proche-Orient dit non à Obama



En faisant une mauvaise lecture du conflit israélo-palestinien, l'administration Obama a dilapidé une partie importante de son prestige au Proche-Orient, où elle promettait une «paix durable».

Le président américain et sa secrétaire d'État ont essuyé des refus à chacune de leurs demandes. Israël a dit non à un arrêt total de la colonisation juive en Cisjordanie. Les pays arabes ont dit non à des mesures vers une normalisation avec l'État hébreu. Et les Palestiniens ont dit non à une reprise immédiate des négociations de paix avec les Israéliens après l'étrange sortie d'Hillary Clinton, qui a jugé «sans précédent» samedi dernier l'offre du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou d'un gel partiel des colonies.


«Les petites tribus - les Israéliens, les Arabes et les Palestiniens - ont dit non à la grande puissance sans avoir à en payer le prix ou en subir les conséquences. Et c'est une situation inconfortable pour une grande puissance», déclare Aaron David Miller, ancien négociateur américain au Proche-Orient sous cinq secrétaires d'État.

Les mots «cafouillage», «dérapage» et «gaffe» ont été employés pour qualifier la sortie d'Hillary Clinton à Jérusalem. Selon Miller, la secrétaire d'État américaine n'avait pas tort sur le fond. En consentant à limiter l'expansion des colonies aux 3000 logements déjà autorisés par son gouvernement, le premier ministre Nétanyahou a vraiment fait une offre «sans précédent».

Mais, après avoir réclamé pendant des mois un gel de la colonisation, Hillary Clinton ne pouvait se vanter d'une telle promesse sans consterner les Palestiniens et leurs alliés arabes. Le lendemain, elle a tenté de rassurer ces derniers en affirmant que les États-Unis considéraient toujours les implantations israéliennes en Cisjordanie comme étant illégitimes. Mais le mal était fait.

La secrétaire d'État doit sans doute porter une part du blâme pour le désarroi dans lequel se trouve l'administration Obama au Proche-Orient. Après avoir confié les négociations à un émissaire spécial, George Mitchell, elle s'est immiscée la semaine dernière dans ce dossier avec la subtilité d'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Résultat: le processus de paix entre Israël et les Palestiniens, l'une des principales priorités de politique étrangère de l'administration américaine, est au point mort.

Mais Barack Obama est celui qui a donné le ton et l'orientation à la politique américaine au Proche-Orient. Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas est le premier dirigeant étranger qu'il a appelé au téléphone après son investiture, un signal de sa volonté de se démarquer de l'approche franchement pro-israélienne de l'administration Bush. Et le nouveau président en a remis à ce chapitre en réclamant le gel total des activités de colonisation, un point sur lequel il a insisté lors de son fameux discours au Caire.

Or, il était illusoire d'espérer que le gouvernement israélien se plie à cette demande, selon Aaron David Miller, qui voit dans la stratégie d'Obama l'illustration de sa méconnaissance du dossier israélo-palestinien.

«Il a été conditionné à croire que les activités de colonisation représentent l'obstacle principal à un accord de paix. Ce ne l'est pas, dit Miller. L'obstacle principal à la paix est l'absence d'un accord sur le statut de Jérusalem, les frontières et les réfugiés.»

Et quelles sont les chances d'en arriver un jour à une entente sur ces questions? Même avant les cafouillages américains des derniers jours, Aaron David Miller les considérait minces ou inexistantes. «L'administration Obama fait face à un défi colossal», dit-il.

http://www.cyberpresse.ca/international/etats-unis/200911/07/01-919429-quand-le-proche-orient-dit-non-a-obama.php

Livni place Rabin : ''Nous pouvons déterminer le sort du pays, mais le choix sera difficile''
La chef de l'opposition Tsipi Livni a pris la parole, place Rabin à Tel-Aviv. Elle a affirmé que ''l'illusion de tranquillité est trompeuse. Nous sommes assis sur un volcan. Nous sommes assis sur un volcan. Mais contrairement au volcan, phénomène naturel incontrôlable, nous avons une emprise sur notre avenir et nous pouvons fixer ce qui se passera ici (...) C'est possible, à condition de comprendre que nous avons à faire un choix difficile entre un Etat juif sûr en terre d'Israël, ou la terre d'Israël dans son intégralité mais sans Etat juif''.

Citation :

L'Irak adopte un code électoral pour le scrutin de janvier



BAGDAD - Le parlement irakien a fini par adopter dimanche une loi électorale très attendue qui ouvre la voie à la tenue, en janvier, d'un scrutin législatif politiquement crucial après des années de tensions intercommunautaires.

Le compromis conclu, approuvé par 141 des 196 députés présents lors de la session de dimanche, retransmise en direct à la télévision, prévoit toutefois d'éviter de prendre une décision dès maintenant sur le sort futur de Kirkouk.

Kirkouk est l'un des points chauds du pays où la tension entre Kurdes, d'une part, et les Arabes et Turkmènes qui s'opposent à son annexion par le Kurdistan, de l'autre, peut dégénérer en violences à tout moment.

A Washington, Barack Obama a salué l'adoption de la loi électorale par le parlement qui devrait permettre, selon lui, de d'entamer le retrait des forces américaines d'Irak d'ici septembre 2010.

Soucieuse de remédier à la détérioration de la situation en Afghanistan, l'administration américaine espère achever d'ici fin 2011 le retrait des soldats déployés en Irak.

La loi électorale modifie par ailleurs le mode de scrutin en permettant aux électeurs de voter pour des candidats - en vertu d'un système dit "à liste ouverte" - et non plus pour un parti.

Selon certains analystes politiques, ce système pourrait bénéficier au Premier ministre Nouri al Maliki, qui cherchera à tirer profit auprès des électeurs de la baisse de la violence dans le pays.

"Être capables d'organiser les élections en temps voulu (...) est une victoire de la volonté du peuple irakien et une réponse forte aux terroristes et aux membres de l'ancien régime qui veulent troubler la sécurité et torpiller le processus politique", a déclaré Maliki.

http://www.lexpress.fr/actualites/2/l-irak-adopte-un-code-electoral-pour-le-scrutin-de-janvier_827078.html

Qui pour succéder à Mahmoud Abbas ?
Jim Jarrassé

Je pense que seul Marwan Barghouti est capable de réunir la Fatah et le Hammas !
Lawrence

Coup de théâtre, jeudi dernier, à Ramallah. Cinq ans après la mort du chef historique Yasser Arafat, son successeur Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne depuis janvier 2005, annonce qu'il renonce à briguer un nouveau mandat. Officiellement, la décision du dirigeant du Fatah, 74 ans, est irrévocable. Son entourage affirme même qu'il pourrait démissionner avant l'élection présidentielle, prévue le 24 janvier 2010. Mais Israël et les Etats-Unis appellent à ce qu'il reste.

Officieusement, on murmure surtout parmi ses adversaires politiques que le président tente ici un coup de bluff. «C'est une mise en garde, un avertissement, une sorte de ‘je-vous-avais-prévenus'», suggère un haut diplomate européen. Le but de la manœuvre : mettre la pression sur la relance du processus de paix aux Etats-Unis et à Israël, qui redoutent l'arrivée d'un président moins modéré à la tête de l'Autorité palestinienne.

«Je crois que Mahmoud Abbas lui-même ne sait pas ce qu'il veut», tranche Jean-Paul Chagnollaud, professeur de sciences politiques à l'université de Cergy-Pontoise, et spécialiste de la question palestinienne. «Mahmoud Abbas en a vraiment assez. En cinq ans, il n'a jamais rien obtenu sur le plan du processus de paix. La situation est bloquée au niveau interne depuis 2007 et la prise de contrôle du Hamas à Gaza. Et sur le plan international, Barack Obama n'a pas réussi à faire bouger les choses. Un geste américain pourrait donc l'amener à revenir sur sa décision».

Pas de successeur naturel
Reste à savoir qui, au Fatah, est susceptible de remplacer l'héritier d'Arafat et membre fondateur du mouvement. D'autant que Mahmoud Abbas reste secrétaire général de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). Pour le moment, aucun candidat ne s'est officiellement déclaré. Mais certains ont l'étoffe et l'envie d'y aller.

A commencer par Marwan Barghouti. Très populaire en Cisjordanie aussi bien qu'à Gaza, il purge depuis 2004 en Israël une peine de prison à perpétuité pour meurtre, ce qui lui vaut le surnom de «Mandela palestinien». «C'est un personnage charismatique qui est resté très actif politiquement », estime Denis Bauchard, conseiller spécial à l'Ifri. Ex-chef du Fatah en Cisjordanie et principal leader de la seconde Intifada, sa libération a été plusieurs fois évoquée par Tel Aviv, notamment en échange de celle du soldat israélien Gilad Shalit. Sans jamais aboutir.

Autre candidat éligible : Salam Fayad, actuel premier ministre, proche de l'administration Bush et ex-ministre des Finances. Ancien économiste au FMI et à la Banque mondiale, «c'est un vrai homme d'Etat», selon Denis Bauchard. «Il a beaucoup œuvré pour le développement économique de la Cisjordanie. Mais il lui manque une légitimité historique et une base politique car il ne fait pas partie de l'appareil de l'OLP et du Fatah».

Le Hamas en embuscade
Après avoir gagné la bataille des personnes, le candidat du Fatah devra gagner celle contre le Hamas. Car le mouvement islamiste pourrait bien jouer les trouble-fête. Il a d'ores et déjà annoncé qu'il contestait la date du 24 janvier pour tenir les élections. Elles pourraient être reportées au 28 juin, à condition que le Hamas joue le jeu. En attendant, selon Jean-Paul Chagnollaud, «un comité de transition pourrait être mis en place».

Le Hamas, renforcé politiquement après la guerre de Gaza, est quasiment au coude-à-coude dans les sondages avec le Fatah. «C'est un danger évident », confirme Denis Bauchard. «Un homme politiquement correct comme Ismaël Haniyeh (ancien premier ministre et cadre historique du parti, ndlr) est parfaitement capable de se présenter». L'ère des divisions interpalestiniennes est loin d'être révolue.

Lawrence a écrit:

Qui pour succéder à Mahmoud Abbas ?
Jim Jarrassé

Je pense que seul Marwan Barghouti est capable de réunir la Fatah et le Hammas !
Lawrence

Tout à fait d'accord .

Il n'y a pas un autre chef terroriste moins... moins terroriste qui ferait l'affaire ?

C'est le seul qui a une "aura" suffisante tant auprès du Hamas que de l'OLP .

Salut Biloulou,


Bien d'anciens soit disant terroristes sont devenus chefs d'état et cela dans tous les pays du monde, Israël y compris !!!

Biloulou a écrit:

Il n'y a pas un autre chef terroriste moins... moins terroriste qui ferait l'affaire ?

Lawrence a écrit:

Salut Biloulou,
Bien d'anciens soit disant terroristes sont devenus chefs d'état et cela dans tous les pays du monde, Israël y compris !!!

Bonjour Lawrence !

Les époques changent, ce que l'on pouvait admettre il y a 60 ans, si je suis bien ton regard, (*), n'est plus admissible dans le monde d'aujourd'hui.
Les erreurs commises à cette époque-là ne doivent pas servir de prétexte à les répéter aujourd'hui.

(*) - Peut-être consentirais-tu à me dire quelles actions terroristes du passé et commises par qui, sont comparables et excusables, à tes yeux, aux crimes ignobles du "Tanzim - Brigades des martyrs d'Al-Aqsa", entre autres ?

Ungern a écrit:

C'est le seul qui a une "aura" suffisante tant auprès du Hamas que de l'OLP .

Bonjour Ungern !

Certes, et la fin justifie les moyens, dit-on.
Ma question est : est-ce que l'objectif visé ici est suffisamment noble et élevé pour justifier que l'on abdique de tout sens moral pour l'atteindre ?

That is the (my) question...

C'est pas la question qu'il faut poser là ....

Plusieurs premier ministre israélien ont en personne (pas par ordres interposés) eu du sang sur les mains,qui plus est du sang "illégal" soit en ayant transgressé les ordres soit en ayant participé à une action terroriste style "bombe sur un marché",etc ...

Alors faut faire non pas dans la dentelle,mais dans le pragmatique .
Savoir qu'au tour de la table c'est tous des ordures et que pas un ne rachète l'autre,
et ensuite discuter .

Si on veut la paix demain,il faut créer un état palestinien quel qu'il soit sur n'importe quel bout de territoire ,même si il est tronçonné .

Mais ça va entrainer la guerre civile immédiatement et des deux côtés !

Donc si on veut la paix,il faut la faire sur des bases "saines" .
Les bases saines c'est ce que je dis depuis toujours ; La Ligne verte (mais avec accomodations puisqu'il n'y a plus moyen de retourner en arrière autour de Jérusalem à tout le moins .

Mais le tout peut très bien commencer par une reconnaissance par les deux ou trois intervenants des torts qu'ils ont fait aux autres .
Ca coute rien,ça n'engage pas le futur,et ça sert d'assise stable et surtout irreversible .

Actuellement Israël est en position de force ,mais elle ne le sera pas toujours; elle file vers des problèmes tant internes qu'externes :
avec les arabes israéliens ,entre les juifs sionistes et les autres,entre la gauche et la droite ,entre la vieille génération et la nouvelle .
La dette de l'histoire (la colonisation de la Cisjordanie et le sort des palestiniens va avoir un effet de bombe à retardement comme le nazisme pour les allemands des années 60 .

Alors je pense qu'il est temps d'arrêter les conneries pour tout lemonde .

Parce que,en cas d'explosion,l'explosion va s'étendre jusque chez nous de proche en proche .

Alors moi je veux pas mourir ni pour le Kotel,ni la Mosquée d'Omar .

D'autant plus que si on me les confiaient toutes les deux,non seulement il n'y aurait aucun problème,mais en plus,on se ferait un pognon bête sur l'affaire ,avec tout le monde content ...

Ungern a écrit:

C'est pas la question qu'il faut poser là ....[...]

Et tu t'en poses une autre.
Et vu l'intérêt presque ludique que tu as pour la question, les connaissances que tu as rassemblées, l'éventail restreint de solutions que tu envisages et l'exercice toujours aléatoire de la prospective, c'est avec un plaisir certain que je lis la réponse que tu apportes à ta question.

Ma question était différente : "est-ce que l'objectif visé ici est suffisamment noble et élevé pour justifier que l'on abdique de tout sens moral pour l'atteindre ?"

(Je te cite : "Donc si on veut la paix,il faut la faire sur des bases "saines". À mon point de vue, libérer des criminels crapuleux pour leur donner le pouvoir n'est pas une base saine. Je n'ai jamais pu accepter ce qu' a été fait en Irlande, en Afrique su Sud, quel que soit l'avenir, bon ou mauvais, de ces contrées-là, pas plus que ce que Zapatero se préparait à faire avec l'ETA... )

Je te dirai que je suis pour les principes .
Tant que les principes veulent dire quelque chose,
et tant qu'ils signifient quelque chose pour le futur .

Se sacrifier jusqu'au dernier pour créer une legende qui nous survivra et qui finira par lever une ou deux générations plus tard le peuple contre l'oppresseur,ça a un sens .

Perdre la vie d'un seul homme dans un combat sans espoir sans but et sans honneur,c'est pour moi criminel .

Toute solution au PO qui n'est pas honorable,stable et viable sera l'équivalent du Traité de Versailles : un sursis de 20 ans .

Déjà je ne vois pas laquelle prendre tant il y a des dingues aux intérets divergents des 2 côtés .

Alors si il y a une solution,quelle qu'elle soit,il faut sauter dessus quels qu'en soient les acteurs ,et quoi qu'ils aient faits .





PS: Effectivement,tu as tout à fait raison ,
Il y a une grande part de "kriegspiel ludique"
dans mon intérêt sur la question ....

Citation :

Proche-Orient: la rencontre Netanyahu-Obama, "une base décisive"



JERUSALEM - Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a affirmé mercredi soir à Tel-Aviv que la rencontre lundi à Washington du Premier ministre Benjamin Netanyahu et du président américain Barack Obama a créé "une base décisive" pour la relance des pourparlers israélo-palestiniens.

"Cette rencontre a été bonne, importante et constructive. Elle a levé de nombreux obstacles et créé une base décisive pour la reprise des négociations qui nous permettront de parvenir à un accord avec nos voisins, les Palestiniens", a déclaré M. Barak lors d'une cérémonie officielle.

Le ministre, qui dirige le parti travailliste, a ajouté que l'accord en question "permettrait aux deux peuples de coexister dans deux Etats, mettrait fin au conflit et à notre domination sur un autre peuple".

M. Barak a par ailleurs estimé qu'"il serait judicieux au moment qui s'y prêtera d'engager également des pourparlers avec la Syrie. Nous devons toujours préserver nos intérêts primordiaux et notre sécurité, mais il ne faut pas négliger les signaux sur la volonté de paix émanant de Damas".

http://www.lexpress.fr/actualites/1/proche-orient-la-rencontre-netanyahu-obama-une-base-decisive_827731.html

Citation :

Benjamin Netanyahu voit Sarkozy mais fuit les journalistes



PARIS - Benjamin Netanyahu a rencontré mercredi Nicolas Sarkozy mais a fui la presse à l'heure où la menace du président palestinien Mahmoud Abbas de ne pas briguer un nouveau mandat braque de nouveau les projecteurs sur le blocage du processus de paix au Proche-Orient.

Le président français a reçu le Premier ministre israélien pendant une heure et quarante minutes dans ses appartements privés du palais de l'Elysée.

C'est aussi la durée, à la minute près, de l'entretien que Benjamin Netanyahu avait eu deux jours auparavant avec le président américain Barack Obama, à Washington.

Il y est dit que les deux dirigeants ont évoqué "les moyens de relancer sans délai le processus de paix" et "marqué leur accord pour déployer tous les efforts dans ce but". Il est aussi dit qu'ils ont parlé du dossier nucléaire iranien.

Nicolas Sarkozy a insisté pour réclamer le gel de la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens, condition, estime-t-il, d'une relance du processus de paix.

Le président français, qui recevra vendredi son homologue syrien Bachar al Assad, a aussi apporté son soutien à Mahmoud Abbas en lui demandant mardi de poursuivre son action "au service des Palestiniens et de la paix".

http://www.lexpress.fr/actualites/2/benjamin-netanyahu-voit-sarkozy-mais-fuit-les-journalistes_827726.html

Un ancien vice-ministre iranien est incarcéré en Israël, selon des sites web iraniens

L'ancien vice-ministre iranien de la Défense Ali Reza Asgari, porté disparu depuis près de trois ans, a été enlevé par des agents israéliens et est aujourd'hui retenu en Israël, ont rapporté dimanche plusieurs sites web iraniens d'information.

Ali Reza Asgari, général à la retraite qui a servi dans les rangs des Gardiens de la révolution, a disparu lors d'un voyage privé en Turquie en décembre 2006.

En mars 2009, un ancien responsable du ministère allemand de la Défense a déclaré que M. Asgari fournissait des informations considérables à l'Ouest sur le programme nucléaire iranien.

Des responsables iraniens et la famille du disparu ont eux affirmé qu'il avait été enlevé.

Selon des informations diffusées dimanche sur un site internet baptisé Alef, les renseignements allemands et britanniques auraient aidé des agents israéliens pour enlever Ali Reza Asgari et l'emmener en Israël. Le site est proche d'un parlementaire iranien conservateur.

Le ministère israélien des Affaires étrangères s'est refusé à tout commentaire. AP

Citation :

Nicolas Sarkozy veut se tailler un premier rôle pour la paix



Nicolas Sarkozy se rêve en artisan de la paix.

Le président français aurait proposé, la semaine dernière au Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, une conférence internationale de paix pour le Proche-Orient à Paris.

Selon le quotidien israélien Haaretz d'hier, elle réunirait les principaux acteurs de la région : les présidents palestinien Mahmoud Abbas, syrien Bachar al-Assad, égyptien Hosni Moubarak, libanais Michel Sleimane, ainsi que le roi de Jordanie Abdallah II. Joint hier par 20 Minutes, l'Elysée s'est refusé à tout commentaire. Au Quai d'Orsay, on se bornait à noter qu'« il serait utile que les différentes parties se parlent ».

Nicolas Sarkozy ne s'est jamais caché de vouloir faire avancer les choses au Proche-Orient. Lors de son voyage d'État en Israël en juin 2008, il avait tenu un discours offensif, appelant à la création d'un Etat palestinien, seul capable d'« éteindre la haine ». Une conférence de paix à Paris aurait aussi l'immense avantage de légitimer l'Union pour la Méditerranée. Une création du Président pour « qu'un jour, les enfants de la Méditerranée cessent de se haïr », mais qui a peu fait parler d'elle sinon pour les dépenses astronomiques de l'Elysée à l'occasion du sommet de juillet 2008.

http://www.20minutes.fr/article/363467/Monde-Nicolas-Sarkozy-veut-se-tailler-un-premier-role-pour-la-paix.php

Pourquoi pas ?

Si l'action de Nicolas Sarkozy peut être passée au crible des critiques au sein de son propre pays, une chose qu'on ne peut pas lui nier, c'est de s'engager au niveau international pour un meilleur monde possible.

Ce qui est d'ailleurs, le domaine réservé de tout président de la République.

"Nicolas Sarkozy, artisan de la paix"... oui, j'ai envie de le croire... bien qu'en l'état actuel des choses, cela semble impossible. Mais pourquoi pas ? Tous les efforts qui pourront être entrepris dans la quête de la paix seront toujours les bienvenus.

Il peut faire avancer les choses, après tout... au fond, "nul n'est jamais prophète en son pays", alors pourquoi pas ?

La fête du Sacrifice approche, les vols de bétail se multiplient au sud d'Israël

Alors qu'à Gaza et en Judée-Samarie, les Palestiniens s'apprêtent à célébrer la fête du Sacrifice de l'Aïd el-Kebir, en Israël c'est une autre sorte d'activité qui occupe les éleveurs de bétail du sud : ils doivent en effet faire face à une hausse drastique sans précédent de vol de bestiaux et de moutons. La tradition musulmane veut en effet que la fête passe par la consommation d'une grande quantité de viande...

SACRÉ ABRAHAM.... IL ADORAIT LE MOUTONS MAIS AUSSI LES BREBIS SES SERVANTES......

Raids aériens israéliens dans la bande de Gaza










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Monde -10:16
L'aviation israélienne a attaqué dans la nuit de mercredi à jeudi un bâtiment et deux tunnels dans la bande de Gaza à la suite de tirs de roquettes palestiniennes, a annoncé une porte-parole de l'armée.
Les avions israéliens ont visé un bâtiment où des Palestiniens produisaient des armes à Khan Younes dans le sud de la bande de Gaza, ainsi que deux tunnels utilisés pour la contrebande avec l'Egypte dans le secteur de Rafah, a ajouté la porte-parole.
Ces opérations ont été menées à la suite d'une quinzaine de tirs de roquettes et d'obus de mortiers vers le territoire israéliens depuis le 22 octobre.
Selon un bilan de l'armée israélienne, environ 270 roquettes et obus de mortier ont été tirés contre Israël depuis la fin, en janvier dernier, de l'offensive de l'armée israélienne contre le mouvement islamiste Hamas dans la bande de Gaza.