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| Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 13/5/2009, 13:38 | |
| Rappel du premier message :745- Ce fut très momentané et jamais revendiqué à titre définitif.....Tu as déjà vu une pyramide à Jaffa (sauf d'oranges) ? - Biloulou a écrit:
- J'attends que Uderzo et Goscinny s'expriment sur l'occupation de la Palestine par les Libanais, les Égyptiens et les Jordaniens, entre autres....
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 19/11/2009, 11:04 | |
| Raids aériens israéliens dans la bande de Gaza [url=https://librespropos.1fr1.net/javascript: window.print();] [/url] Monde - 10:16 L'aviation israélienne a attaqué dans la nuit de mercredi à jeudi un bâtiment et deux tunnels dans la bande de Gaza à la suite de tirs de roquettes palestiniennes, a annoncé une porte-parole de l'armée. Les avions israéliens ont visé un bâtiment où des Palestiniens produisaient des armes à Khan Younes dans le sud de la bande de Gaza, ainsi que deux tunnels utilisés pour la contrebande avec l'Egypte dans le secteur de Rafah, a ajouté la porte-parole. Ces opérations ont été menées à la suite d'une quinzaine de tirs de roquettes et d'obus de mortiers vers le territoire israéliens depuis le 22 octobre. Selon un bilan de l'armée israélienne, environ 270 roquettes et obus de mortier ont été tirés contre Israël depuis la fin, en janvier dernier, de l'offensive de l'armée israélienne contre le mouvement islamiste Hamas dans la bande de Gaza. |
| | | chat noir
Nombre de messages : 5160 Age : 66 Localisation : NANTERRE Date d'inscription : 18/11/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 21/11/2009, 09:26 | |
| La diplomatie arabe de Sarkozy en panne Le président a eu beau se déplacer en personne pour arracher un accord, rien n'y a fait. L'Arabie Saoudite refuse d'acheter des réacteurs nucléaires français. Pour le webzine arabe Elaph, Paris commence à payer le prix d'une politique hasardeuse qui a refroidi ses traditionnels alliés au Moyen-Orient.L e président français est reparti d’Arabie Saoudite, après sa visite [des 17 et 18 novembre], avec des sentiments oscillants entre l’inquiétude et l’amertume. Car la seule chose qu’il a réussi à arracher à ses hôtes, ce sont des formules de politesse. Il a bien essayé de profiter de son voyage pour encourager ceux-ci à signer d’importants contrats, mais ils se sont contentés de promettre d’“étudier” ses propositions.
Les revers de fortune aussi bien personnels que professionnels continuent de poursuivre Nicolas Sarkozy. Son étoile ne brille plus comme au moment de son arrivée au palais de l’Elysée en mai 2007, quand les Européens comptaient sur lui pour sortir la France de l’immobilisme des années Chirac. Désormais, son activisme n’impressionne plus ni en France ni à l’étranger.
L’insistance de Nicolas Sarkozy pour se faire accompagner par des chefs d’entreprise lors de ses voyages irrite beaucoup de monde en France. Certains y voient un abus de pouvoir. Aucun de ses prédécesseurs n’avait joué aussi ouvertement à l’agent commercial pour des sociétés dirigées par des amis. Or ceux-ci comptent beaucoup sur le marché saoudien, riche en argent et en opportunités. A l’occasion de ce voyage, Paris espérait notamment conclure un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil, portant sur un montant de plus de 40 milliards de dollars, mais Riyad semble faire doucement marche arrière sur le sujet. Et il faut savoir qu’une proposition semblable avait déjà été rejetée par Abou Dhabi.
Loin de parler des sommes faramineuses en jeu, les journalistes qui ont pu capter des confidences ont compris que les Saoudiens étaient loin d’être enchantés par la politique moyen-orientale de la France. Ils lui reprochent de vouloir tout et son contraire. Elle voudrait obtenir d’énormes marchés en Arabie Saoudite, alors qu’elle a par ailleurs œuvré à la réduction de l’influence de celle-ci au Proche-Orient, en poussant le régime syrien à se monter du col face aux pays arabes modérés [Arabie, Egypte, Jordanie] et en réconfortant d’autres pays dont on connaît la propension à contrecarrer Riyad, ouvertement ou par des voies détournées [allusion au Qatar].
Les Arabes regrettent le temps où la France était leur plus fidèle allié occidental, comme ce fut le cas pendant quarante années sous les prédécesseurs de M. Sarkozy. Les rapports avec les pays du Golfe restent froids, malgré les efforts français de les réchauffer à partir du Qatar. Un léger froid s’est installé avec Abou Dhabi depuis que Paris n’a pas donné suite au souhait de Mohamed bin Zayed Al-Nahyan [le prince héritier des Emirats arabes unis] de faire une halte à Paris sur sa route vers Washington. Côté français, il a dû se contenter d’une entrevue avec l’ambassadeur de France alors les Américains lui ont réservé un accueil de quasi-visite d’Etat, avec des rencontres au plus haut niveau, y compris avec Barack Obama. La même attitude a dicté la conduite du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner qui, lors d’une réception organisée par l’ambassade de France à Riyad, a décrit la situation saoudienne en termes fort peu diplomatiques, ce qui lui a valu une réponse cinglante d’un des responsables saoudiens présents.
http://www.courrierinternational.com...rkozy-en-panne | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 21/11/2009, 09:35 | |
| En fait,le nain,n'aura vendu une centrale nucléaire qu'au dingue ... Entre malades ....
Espérons que le dingue reste contrôlable ... Parceque la Lybie est plus près de nous que l'Iran,et les enmerdements décroissent avec le carré de la distance selon une loi universelle ... | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 21/11/2009, 12:22 | |
| - chat noir a écrit:
- La diplomatie arabe de Sarkozy en panne
Avez-vous remarqué cette nappe en vichy qui se déplace toute seule au premier plan ? C'est de la magie, on se croirait chez Patrick Sébastien ! | |
| | | chat noir
Nombre de messages : 5160 Age : 66 Localisation : NANTERRE Date d'inscription : 18/11/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 22/11/2009, 07:43 | |
| Insolite, humour, conspiration... Chats et matous pour la Palestine!
Les chats aiment la Palestine et n'aiment pas le sionisme. Peut-être nos amis félins sont-ils des antisémites? Israël emprisonne un chat pour assistance à des prisonniers Palestiniens Politicaltheatrics (USA), 19 novembre 2009 Dans une prisonisraélienne du Nakab (Negev), ce désert non loin de l'Egypte, un chat aété placé en confinement solitaire comme punition pour les services etl'aide qu'il a apportés à des prisonniers sanctionnés par un placementà l'isolement. Selon les fonctionnaires Israéliens, lechat aidait les prisonniers en transportant de petits objets (par ex.des lettres, du pain, etc.) d'une cellule à l'autre. Il s'avère que ce chat apportait ses services aux détenus depuis plusieurs mois avant d'être récemmentrepéré et l'administration pénitentiaire a donc décidé de placer lechat en confinement solitaire - comme elle le fait avec lesprisonniers. Des dizaines de chats vivent dans les cellules et les locaux occupés par des prisonniers Palestiniens dansplusieurs prisons israélienneqs et, apparemment, les chats essayent deles aider. Vendredi 20 Novembre 2009
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 29/11/2009, 13:02 | |
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| | | emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 30/11/2009, 13:55 | |
| Dubaï : mieux vaut ne pas être un étranger endetté http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2009/11/dubai-mieux-vaut-ne-pas-etre-u.html
La prison en cas d'insolvabilité ! Plusieurs ressortissants français en ont fait l’amère expérience. L’un d’entre eux est toujours interdit de quitter l’émirat d’Abou Dhabi, après avoir purgé une peine de prison pour «insolvabilité». A sa libération, son passeport lui a été retiré par les autorités locales. Son élargissement n’était intervenu qu’après une «intervention politique de haut-niveau» des autorités françaises. Ces dernières années, un autre Français avait été envoyé en prison, à Dubaï cette fois, toujours au motif qu’il n’avait pu rembourser ses dettes.
Attirés par le boom des Emirats, des milliers d’étrangers se sont installés depuis dix ans à Dubaï et à un degré moindre à Abou Dhabi. Si, pour certains, la réussite a été au bout de l’aventure, pour de nombreux autres, le rêve a viré au cauchemar. Depuis que la crise financière frappe de plein fouet Dubaï, chaque jour de nombreux ressortissants étrangers, souvent endettés, n’ont d’autre choix que de quitter l’émirat à toute hâte. Ils partent en laissant leur véhicule à l’aéroport de Dubaï… de peur que la justice locale ne les appréhende. | |
| | | EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 1/12/2009, 00:50 | |
| 451 - chatnoir - p. 45 Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles Sam 21 Nov 2009 à 9:26 - Citation :
- L’insistance de Nicolas Sarkozy pour se faire accompagner par des chefs d’entreprise lors de ses voyages irrite beaucoup de monde en France. Certains y voient un abus de pouvoir.
Aucun de ses prédécesseurs n’avait joué aussi ouvertement à l’agent commercial pour des sociétés dirigées par des amis. Or ceux-ci comptent beaucoup sur le marché saoudien, riche en argent et en opportunités. A l’occasion de ce voyage, Paris espérait notamment conclure un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil,(...) Bien que ce texte se présente tout à fait dans les cordes de certains journalistes bien français, j'ai recherché des infos sur la source : - Citation :
- ELAPH
Le site web Créé en 2001, à Londres, ce site arabe publie quotidiennement en langues arabe et anglaise des articles politiques, sociaux, culturels et économiques sur le monde arabe, ainsi qu’une revue de presse et des articles publiés dans les médias arabes ou occidentaux. Région:Moyen-Orient/Pays:Royaume-Uni/Ville:Londres/Site Internet: http://64.27.100.63/elaphweb/ (arabe)/Mise à jour: Permanente ou quotidienne/Site payant: non/Archives:oui/Newsletter:non/Forums:non. C'est l'usage du mode indéfini et les contre vérités grossières à être partisanes qui bien qu'écrites de l'étranger finissent par fleurer mauvais le climat médiocre de la politique intérieure française qui m'ont interpellé et qui motivent ce billet. Que dans l'esprit des lecteurs de ce message il soit clair que ce que j'écris ici ne laisse en aucun cas préjuger de mon sentiment personnel portant sur le chef de l'Etat et sur la politique économique extérieure du gouvernement. J'use simplement de mon droit à avoir une opinion libre et éclairée, du moins j'essaie. Un droit qui ne s'use que si l'on ne s'en sert pas. 1 - L’insistance de Nicolas Sarkozy pour se faire accompagner par des chefs d’entreprise lors de ses voyages irrite beaucoup de monde en FranceQui - hormis les opposants politiques traditionnels bien connus - compose typologiquement et en nombre d'individus ce "beaucoup de monde en France" qui s'irrite du fait que des chefs d'entreprise accompagnent le Président pour faire de la retape commerciale à l'étranger? Le bon peuple d'en-bas ? Probablement, mais pour une part probablement infîme. Que le chef de l'Etat joue les VRP internationaux est un acte devenu tellement banal que personne ne s'y arrête ; on peut même penser que l'étonnement des Français proviendrait de ce que le Président ne le fasse point. Il me semble que nous serions confrontés à une info méritant que l'on s'y arrête si, comme l'allègue Elaph, le chef d'Etat actuel avait bien besoin d'insister auprès du monde économique pour qu'un cortège de dirigeants d'entreprises veuille bien le suivre dans ses tournées à l'étranger. Postulons un instant que le principe d'une telle insistance est avérée : il importerait d'en rechercher la ou les raisons. On peut envisager la lourdeur bilancielle de charge financière, la fréquence trop rapprochée des déplacements, la redondance avec les initiatives de prospection de clientèle propres aux boîtes, l'inopportunité mercatique pour l'entreprise, la fronde anti gouvernementale de certains dirigeants d'entreprise ? Voici des pistes qui s'offrent d'elles-mêmes aux investigations des journalistes spécialisés et que nous aimerions voir explorer. L'article nous laisse dans le vague, il faut chercher ailleurs par nous-mêmes. 2 - Certains y voient un abus de pouvoir.Peut-on parler d'abus de pouvoir ? Si nous partons du principe que les dirigeants d'entreprise conservent la possibilité de refuser la proposition de l'Elysée - en réalité d'une entité dépendant du Ministère de l'Economie et des Finances - l'abus de pouvoir supposé n'est qu'un pétard mouillé. Mais on peut toujours soupçonner le pouvoir en place via ses réseaux et quelques officines discrètes d'assortir parallèlement à ses demandes officielles des "conseils" en privé - càd des pressions - qui forceraient la main des chefs d'entreprise. Ça parait hasardeux que des politiques menacent - même par la bande comme dirait Madame Claude - des acteurs économiques puissants, la mise est à terme toujours perdante. L'abus de pouvoir allégué par le journaliste d'Elaph me semble ici un effet de style et de manches - de manchette de journal devrais-je écrire. 3 - Aucun de ses prédécesseurs n’avait joué aussi ouvertement à l’agent commercialL'hôte actuel du Château serait-il plus actif que ses prédécesseurs à jouer les super vendeurs du commerce extérieur français. Il faudrait faire des comparaisons chiffrées et les apprécier contextuellement. A mi-mandat présidentiel le calcul ne pourrait pas être significatif, tout au plus indiquerait-il éventuellement une tendance, mais qui resterait à vérifier par la suite. En période de crise économique mondiale est-il critiquable pour un président de la République de se démener d'avantage pour le commerce extérieur qu'en période de situation économique apaisée ? Il faudra juger sur le résultat. Ce qui m'effraie c'est de penser que toute cette énergie pourrait accoucher de pas grand chose. 4 - pour des sociétés dirigées par des amisLa référence faite à "des sociétés dirigées par ses amis" est intéressante car d'une part elle entre dans la logique de la démonstration orientée (normal pour n Oriental) de monsieur Sultan Al-Qahtani et d'autre part elle est à relativiser si ce n'est à écarter. Et puis les amis, normalement un politique avisé s'en méfie, il n'y a que les amis qui trahissent... Depuis le traité de Maastricht la physionomie de l'économie française, précédemment articulée sur un mode dirigiste étatique, s'est restructurée sur le modèle anti-monopolistique et libéral fortement ouvert à la concurrence interne et externe. Du coup, les directeurs des grands opérateurs historiques de l'économie française ne sont plus exclusivement des énarques désignés en Conseil des ministres. Quand bien mêmes ils seraient énarques de formation ils ne sont plus sous la tutelle directe de l'Etat mais ont des comptes à rendre à un conseil d'administration ou un conseil de surveillance. Avant les énarques dirigeants étaient des camarades de promotion des gouvernants formés à la même école ; à présent ils sont bien souvent des membres du cercle hétéroclite des gens en vue qui ne sortent pas exclusivement du giron de l'Etat. A ce club restreint des opérateurs historiques d'obédience étatique se sont joints de grands groupes privés, généralement dirigés par des personnes non formées à l'ENA et qui ne sont pas nécessairement de nationalité française. Les directions ont changé dans leur composition et dans leur mode de fonctionnement, mais sans pour autant parvenir à éliminer cette plaie du capitalisme français qui est la consanguinité des conseils d'administration ou de surveillance. C'est le système "barbichette" (je te tiens...tu me tiens...), tout le monde fricote avec tout le monde, le Pdg d'une boîte est dans le conseil d'administration d'un de ses actionnaires dont le Pdg est lui-même actionnaire du précédent. Il règne une connotation quasi mafieuse dans un tel réseau tricotant des conflits d'intérêts et des allégeances croisées en permanence. Pas vraiment des amis, plutôt des grooms gérant les ascenseurs à renvoyer ou à réceptionner. 5 - Or ceux-ci comptent beaucoup sur le marché saoudien, riche en argent et en opportunités. A l’occasion de ce voyage, Paris espérait notamment conclure un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civilIl nous est dit que ces amis chefs d'entreprises irrités de l'abus de pouvoir présidentiel, qui se font prier pour faire partie de la suite présidentielle en prospection, comptent néanmoins avec empressement et en tout illogisme sur les tenants d'un pouvoir abusif afin de faire en leur nom de l'entrisme commercial auprès des émirs des mille et un ennuis d'Arabie et d'ailleurs dans ce Golf pas clair du tout. Faudrait savoir : ces danseurs de tango veulent-ils vendre ou ne le veulent-ils pas ? S'ils veulent vendre on ne voit pas pourquoi ils iraient au taf à reculons. Le plus cocasse est que lesdits amis du Président aient focalisés leurs espoir sur la signature de contrats touchant le nucléaire civil. Autant que je sache, le nucléaire civil français reste très inféodé à l'Etat français. La dirigeante d'Areva est réputée sympathisante du chef de l'Etat, mais elle est loin d'être une amie, pour preuve elle ne gagne que 930 K€ par an, la dernière position des salaires du patronat "d'Etat" (le nouveau président d'EDF, est donné à 2 M€ au 3ème rang, le premier rang, Suez-GDF, émarge à 3,2 M€). Areva est assez grande pour mener une politique commerciale de grosse bagarre avec les Allemands, les Américains et les Russes pour prospecter les marchés. Evidemment, comme pour ses concurrents, elle doit en référer au pouvoir politique en place. On estime que la cohorte commerciale accompagnant les voyages présidentiels à l'étranger représente selon les circonstances quelques dizaines à trois centaines d'entreprises. Le nucléaire est au mieux l'affaire d'une demi-douzaine de grosses sociétés. Il reste donc une majorité écrasante d'autres sociétés commerciales qui n'a rien à voir avec le nucléaire. La bonne information serait de connaître les contrats passés ou en voie d'être négociés par ces acteurs médiatiquement plus discrets. Cette info n'est jamais publiée, ce ne sont pas les statistiques annuels du commerce extérieur et de la douane qui peuvent nous éclairer car elles sont globales et regroupées par secteur d'activité sans que l'on puisse identifier nommément les sociétés concernées (avec des approximations dans les catégories, par ex. de nombreux types d'armements sont répertoriés comme "biens d'équipement" (sic !)). -------------------- Je pense que le citoyen et a fortiori le contribuable devraient être tenus au courant de la portée effective, des fruits et des échecs de ces contacts commerciaux noués sous le concours de l'Etat. La transparence est un acte de bonne gouvernance démocratique et constitue également une démarche pédagogique particulièrement utile à instruire des journalistes prompts à manier les approximations et les fantasmes à la mode. Alors Mesdames et Messieurs de la comm du Château, nous sommes tout ouïe ! | |
| | | chat noir
Nombre de messages : 5160 Age : 66 Localisation : NANTERRE Date d'inscription : 18/11/2008
| Sujet: The guardian accuse la CIA 18/12/2009, 23:34 | |
| Un rapport publié par "the Guardian" britannique accuse la CIA de superviser et participer aux tortures des Palestiniens qui sont détenus sans procès .La plupart des Palestiniens qui avaient été torturés en Cisjordanie ont été des partisans du Hamas, qui a remporté les élections palestiniennes en 2006,
Le rapport indique que des chefs de la sécurité qui ont été formés par la CIA se sont retrouvés parmi les élus du Fatah .
Un diplomate occidental rapporte ,selon le Guardian, que la CIA a tissé immanquablement de très forts liens avec l'autorité de Abbas au point que le service de sécurité préventive et les services secrets de l'autorité Palestinienne sont devenus la propriété exclusive des américains (la CIA).
Entre 400 et 500 partisans de Hamas croupissent ds les geôles de la CIA-autorité en Cisjordanie occupée...
D'après le rapport ,la torture odieuse infligée aux prisonniers Palestiniens détenus en Cisjordanie inclut les coups dès le début. Les prisonniers sont battus sévèrement sans relâche ,jurons, humiliation ,traitements dégradants ,avec leur maintien dans des positions très douloureuses mains et pieds attachés pendant des périodes prolongées dans le but de provoquer de sérieux dommages psychologiques chez le détenu ..puis les priver de sommeil.. ..Les tortionnaires de la CIA et les agents de Abbas utilisent également la musique violente et assourdissante ...alors que le détenu est attaché ds une position humiliante et douloureuse ...
Aussi entasser plusieurs prisonniers à la fois dans des cellules très étroites ... .......ou bien l’isolement ,qui interdit aux détenus tout contact avec leur famille... ...
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| | | EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 19/12/2009, 01:52 | |
| 453 - - chat noir a écrit:
- Sujet: The guardian accuse la CIA Ven 18 Déc 2009 à 23:34
Pour que le lectorat du forum puisse se faire une opinion plus éclairée à défaut d'être irréfutablement exacte, voici l'article original du Guardian daté du 17 déc 2009 à mettre en transparence avec celui du site Mejliss el kalam* publié par notre excellent Ami Chat noir que je salue. http://www.guardian.co.uk/world/2009/dec/17/cia-palestinian-security-agents/print - Citation :
CIA working with Palestinian security agentsUS agency co-operating with Palestinian counterparts who allegedly torture Hamas supporters in West Bank
Ian Cobain in Ramallah guardian.co.uk, Thursday 17 December 2009 18.16 GMT
Palestinian security agents who have been detaining and allegedly torturing supporters of the Islamist organisation Hamas in the West Bank have been working closely with the CIA, the Guardian has learned.
Less than a year after Barack Obama signed an executive order that prohibited torture and provided for the lawful interrogation of detainees in US custody, evidence is emerging the CIA is co-operating with security agents whose continuing use of torture has been widely documented by human rights groups. The relationship between the CIA and the two Palestinian agencies involved – Preventive Security Organisation (PSO) and General Intelligence Service (GI) – is said by some western diplomats and other officials in the region to be so close that the American agency appears to be supervising the Palestinians' work. One senior western official said: "The [Central Intelligence] Agency consider them as their property, those two Palestinian services." A diplomatic source added that US influence over the agencies was so great they could be considered "an advanced arm of the war on terror". While the CIA and the Palestinian Authority (PA) deny the US agency controls its Palestinian counterparts, neither denies that they interact closely in the West Bank. Details of that co-operation are emerging as some human rights organisations are beginning to question whether US intelligence agencies may be turning a blind eye to abusive interrogations conducted by other countries' intelligence agencies with whom they are working. According to the Palestinian watchdog al-Haq, human rights in the West Bank and Gaza have "gravely deteriorated due to the spreading violations committed by Palestinian actors" this year. Most of those held without trial and allegedly tortured in the West Bank have been supporters of Hamas, which won the Palestinian elections in 2006 but is denounced as a terrorist organisation by the PA – which in turn is dominated by the rival Fatah political faction – and by the US and EU. In the Gaza Strip, where Hamas has been in control for more than two years, there have been reports of its forces detaining and torturing Fatah sympathisers in the same way. Among the human rights organisations that have documented or complained about the mistreatment of detainees held by the PA in the West Bank are Amnesty International, Human Rights Watch, al-Haq and the Israeli watchdog B'Tselem. Even the PA's human rights commission has expressed "deep concern" over the mistreatment of detainees. The most common complaint is that detainees are severely beaten and subjected to a torture known as shabeh, during which they are shackled and forced to assume painful positions for long periods. There have also been reports of sleep deprivation, and of large numbers of detainees being crammed into small cells to prevent rest. Instead of being brought before civilian courts, almost all the detainees enter a system of military justice under which they need not be brought before a court for six months.[Mejliss en rajoute, alors que c'est déjà bien suffisant] According to PA officials, between 400 and 500 Hamas sympathisers are held by the PSO and GI. Some of the mistreatment has been so severe that at least three detainees have died in custody this year. The most recent was Haitham Amr, a 33-year-old nurse and Hamas supporter from Hebron who died four days after he was detained by GI officials last June. Extensive bruising around his kidneys suggested he had been beaten to death. Among those who died in GI custody last year was Majid al-Barghuti, 42, an imam at a village near Ramallah. While there is no evidence that the CIA has been commissioning such mistreatment, human rights activists say it would end promptly if US pressure was brought to bear on the Palestinian authorities. Shawan Jabarin, general director of al-Haq, said: "The Americans could stop it any time. All they would have to do is go to [prime minister] Salam Fayyad and tell him they were making it an issue.. Then they could deal with the specifics: they could tell him that detainees needed to be brought promptly before the courts." A diplomat in the region said "at the very least" US intelligence officers were aware of the torture and not doing enough to stop it. He added: "There are a number of questions for the US administration: what is their objective, what are their rules of engagement? Do they train the GI and PSO according to the manual which was established by the previous administration, including water-boarding? Are they in control, or are they just witnessing?" Sa'id Abu-Ali, the PA's interior minister, accepted detainees had been tortured and some had died, but said such abuses had not been official policy and steps were being taken to prevent them. He said such abuses "happen in every country in the world". Abu-Ali sought initially to deny the CIA was "deeply involved" with the two Palestinian intelligence agencies responsible for the torture of Hamas sympathisers, but then conceded that links did exist. "There is a connection, but there is no supervision by the Americans," he said. "It is solely a Palestinian affair. But the Americans help us." The CIA does not deny working with the PSO and GI in the West Bank, although it will not say what use it has made of intelligence extracted during the interrogation of Hamas supporters. But it denies turning what one official described as "a Nelson's eye to abuse". The CIA's spokesman, Paul Gimigliano, denied it played a supervisory role over the PSO or GI. "The notion that this agency somehow runs other intelligence services … is simply wrong," he said. "The CIA … only supports, and is interested in, lawful methods that produce sound intelligence." Concern about detainee abuse is growing in the West Bank despite an effort by the international community to create Palestinian institutions that will guarantee greater security as a first step towards creating a Palestinian state. More than half of the PA's $2.8bn (£1.66bn) budget came from international donors last year; more than a quarter was swallowed up by the ministry of the interior and national security. Human Rights Watch and al-Haq have said that in raising the security capacity of the PA, donor countries have a responsibility to ensure it observes international human rights standards. At the heart of the international effort is the creation of the Palestinian national security force, a 7,500-strong gendarmerie trained by US, British, Canadian and Turkish army officers under the command of a US general, Keith Dayton. Many Palestinians blame Dayton for the mistreatment of Hamas sympathisers, although the general's remit does not extend to either of the intelligence agencies responsible. Some in Dayton's team are said to have been warned by senior CIA officers that they should not attempt to interfere in the work of the PSO or GI. Privately, some of them are said to fear that the mistreatment of detainees, and the anger this is arousing among the population, may undermine their mission. One source said: "I know that Dayton and his crew are very concerned about what is happening in those detention centres because they know it can jeopardise their work." C'est compliqué l'Orient et ça l'est encore plus quand les idéologues et les barbouzes compliquent la situation sur fond(s) de corruption. Le lien vers Mejliss el kalam; http://www.mejliss.com/showthread.php?p=4598216 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 4/1/2010, 16:15 | |
| HUM.......
La Cia peut compter sur les espions jordaniens. Imprimer
Collaboration antiterroriste. Un huitième homme, un agent de renseignement jordanien, a été tué dans l'attentat suicide perpétré le 30 décembre sur une base secrète de l'est de l'Afghanistan et qui visait des agents de la Cia, nous apprend le Washington Post.
L'attentat suicide revendiqué par les Talibans a tué sept agents américains, et Ali Bin Zeid, un membre du GID (le General Intelligence Department), lointain cousin du roi Abdallah de Jordanie, qui a accueilli sa dépouille à Amman, le week-end dernier.
Cet attentat suicide, qui visait la base opérationnelle avancée Chapman, dans la province de Khost, donne « un rare aperçu d'une collaboration » entre les services américains et leurs homologues jordaniens, ajoute le Washington Post.
Mensonges d'Etat, le dernier film de Leonardo DiCaprio, le suggérait. En Irak, les services jordaniens ont coopéré avec la Cia, dès avant la chute de Saddam Hussein en avril 2003.
Ils firent profiter aux Américains de leurs excellentes connaissances des tribus de l'ouest irakien, qui allaient composer le gros de la guérilla, à partir de l'été 2003. Ensuite, ce sont ces mêmes moukhabarats jordaniens qui ont aidé à la liquidation d'Abou Moussab al-Zarqaoui, le leader d'Al Qaida en Irak en juin 2006.
Pour ce faire, le GID avait mis sur pied une cellule spéciale appelée « L'Epée de la vengeance ». Né en Jordanie, Zarqaoui avait commandité plusieurs attentats contre des hôtels d'Amman à l'automne 2005, qui avaient causé la mort de plus de 80 personnes.
Ce n'est donc pas un hasard si les services jordaniens aident les Américains en Afghanistan. Entre Amman et Washington, la coopération anti terroriste est ancienne et profonde. Les services jordaniens sont réputés parmi les meilleurs au Moyen-Orient, en raison précisément de leur proximité avec la Cia, et dans certaines affaires avec le Mossad israélien.
CQFD.......... (pour Bran) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 7/1/2010, 15:31 | |
| Ce silence de plusieurs jours concernant les "echanges" entre Gazaouis et Egyptiens. Lawrence, n'etes-vous pas outre? La colère des Palestiniens de Gaza contre l'EgypteLE MONDE | 07.01.10 | 10h31Les soldats égyptiens casqués et arme à la main sont nerveux. Une douzaine d'entre eux sont postés à faible distance de la ligne de démarcation avec Gaza. Le terminal de Rafah a été ouvert lundi, mais, ce mercredi 6 janvier, le maigre trafic des passagers, que l'Egypte autorise en général une fois par mois, est interrompu.- Spoiler:
La tension qui ne cesse de monter entre le gouvernement du Mouvement de la résistance islamique (Hamas), qui contrôle Gaza, et l'Egypte, depuis que Le Caire a entrepris de construire une barrière métallique souterraine pour endiguer le flot de marchandises acheminées par les tunnels de contrebande, vient de dégénérer. Un échange de tirs entre gardes-frontières égyptiens et policiers du Hamas a fait un mort et une demi-douzaine de blessés côté égyptien, et une quinzaine de blessés côté palestinien.
CORDON OMBILICAL
L'incident s'est produit à un peu plus d'un kilomètre de là, à la porte Salahuddin, le long du "couloir de Philadelphie" qui marque la frontière entre les deux territoires. Des manifestants palestiniens s'étaient rassemblés pour protester contre la construction de la barrière égyptienne. Les slogans hurlés par les adolescents palestiniens se sont accompagnés de jets de pierres, auxquels ont répondu des tirs de semonce, et puis tout s'est embrasé.
Les gardes-frontières égyptiens avaient été rendus nerveux par la perspective de l'arrivée imminente d'un convoi humanitaire international à destination de Gaza, bloqué dans le port égyptien d'Al-Arich mercredi soir.
Chez les Gazaouis, l'incompréhension le dispute à une sourde appréhension devant l'avenir : l'"économie des tunnels" est le cordon ombilical de la bande de Gaza.
A Rafah, Ghazi Hamad, responsable de tous les points de passage officiels reliant Gaza à Israël et l'Egypte, se désole : "Nous espérons que nos frères égyptiens vont renoncer, insiste-t-il, qu'ils vont se souvenir que nous sommes comme eux des Arabes et des musulmans et qu'ils doivent nous aider, parce que la relation entre nos deux territoires est stratégique."
Dans la ville de Gaza, Ahmad Youssef, conseiller politique du premier ministre du Hamas, Ismaïl Haniyeh, ne décolère pas : "Pourquoi les Egyptiens apportent-ils leur concours aux efforts des Israéliens pour nous étrangler ? Dans tout le monde arabe, on nous soutient, sauf en Egypte. J'espère que les Egyptiens vont comprendre que cette attitude nuit à leur image."
M. Youssef remarque que "les gens" en concluent que Le Caire cède aux pressions des Etats-Unis et d'Israël.
L'EGYPTE INQUIÈTE DE L'INFLUENCE DU HAMAS
Cette vox populi sonne juste : l'administration américaine a manifestement décidé de rappeler à l'Egypte qu'en échange de son aide annuelle de quelque 1,7 milliard de dollars, elle attend du Caire une attitude plus ferme contre la contrebande d'armes, laquelle emprunte aussi le réseau des tunnels. L'Egypte se fait d'autant moins prier qu'elle s'inquiète depuis longtemps de l'influence du Hamas.
Le régime du président égyptien Hosni Moubarak a, d'autre part, été ulcéré par l'attitude du mouvement, qui, contrairement au Fatah de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a refusé de signer un plan de réconciliation interpalestinien négocié par l'Egypte.
Omar Shaban, qui dirige à Gaza le centre d'analyses Pal Think, n'a aucun doute : il y a bien, selon lui, une coordination entre Israël, l'Egypte et les Etats-Unis contre le Hamas : "L'Egypte n'avait pas besoin de construire un tel mur, au risque de précipiter une nouvelle catastrophe humanitaire à Gaza, pour adresser un message politique au Hamas. Si elle le fait, c'est parce que tout cela fait partie d'un plan plus vaste."
Pour compenser à terme cet étranglement de la frontière, Israël, assure-t-il, va relâcher l'étreinte du blocus, dans le cadre d'un accord avec le Hamas sur la libération du soldat israélien Gilad Shalit. Cette perspective reste incertaine.
La réalité, les adolescents de Rafah l'observent en grimpant sur les monticules de terre qui bordent la frontière: la "machine de guerre" égyptienne, cette gigantesque foreuse qui creuse la terre pour y enfouir des panneaux d'acier de 18 mètres de hauteur, poursuit son travail de sape contre les tunnels de Gaza. Laurent Zecchini
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| | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 7/1/2010, 15:39 | |
| - chat noir a écrit:
- Un rapport publié par "the Guardian" britannique accuse la CIA de superviser et participer aux tortures des Palestiniens qui sont détenus sans procès .La plupart des Palestiniens qui avaient été torturés en Cisjordanie ont été des partisans du Hamas, qui a remporté les élections palestiniennes en 2006,
Le rapport indique que des chefs de la sécurité qui ont été formés par la CIA se sont retrouvés parmi les élus du Fatah .
Un diplomate occidental rapporte ,selon le Guardian, que la CIA a tissé immanquablement de très forts liens avec l'autorité de Abbas au point que le service de sécurité préventive et les services secrets de l'autorité Palestinienne sont devenus la propriété exclusive des américains (la CIA).
Entre 400 et 500 partisans de Hamas croupissent ds les geôles de la CIA-autorité en Cisjordanie occupée...
D'après le rapport ,la torture odieuse infligée aux prisonniers Palestiniens détenus en Cisjordanie inclut les coups dès le début. Les prisonniers sont battus sévèrement sans relâche ,jurons, humiliation ,traitements dégradants ,avec leur maintien dans des positions très douloureuses mains et pieds attachés pendant des périodes prolongées dans le but de provoquer de sérieux dommages psychologiques chez le détenu ..puis les priver de sommeil.. ..Les tortionnaires de la CIA et les agents de Abbas utilisent également la musique violente et assourdissante ...alors que le détenu est attaché ds une position humiliante et douloureuse ...
Aussi entasser plusieurs prisonniers à la fois dans des cellules très étroites ... .......ou bien l’isolement ,qui interdit aux détenus tout contact avec leur famille... ...
Battre quelqu'un sans relache, ca doit devenir lassant (même si c'est des arabo-musulmans de palestine)
Pauvres tortionnaires | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 7/1/2010, 15:48 | |
| Les soldats égyptiens casqués et arme à la main sont nerveux. Une douzaine d'entre eux sont postés à faible distance de la ligne de démarcation avec Gaza. Le terminal de Rafah a été ouvert lundi, mais, ce mercredi 6 janvier, le maigre trafic des passagers, que l'Egypte autorise en général une fois par mois, est interrompu.
La tension qui ne cesse de monter entre le gouvernement du Mouvement de la résistance islamique Hamas, qui contrôle Gaza, et l'Egypte, depuis que Le Caire a entrepris de construire une barrière métallique souterraine pour endiguer le flot de marchandises acheminées par les tunnels de contrebande, vient de dégénérer. Un échange de tirs entre gardes-frontières égyptiens et policiers du Hamas a fait un mort et une demi-douzaine de blessés côté égyptien, et une quinzaine de blessés côté palestinien.
CORDON OMBILICAL
L'incident s'est produit à un peu plus d'un kilomètre de là, à la porte Salahuddin, le long du "couloir de Philadelphie" qui marque la frontière entre les deux territoires. Des manifestants palestiniens s'étaient rassemblés pour protester contre la construction de la barrière égyptienne. Les slogans hurlés par les adolescents palestiniens se sont accompagnés de jets de pierres, auxquels ont répondu des tirs de semonce, et puis tout s'est embrasé.
Les gardes-frontières égyptiens avaient été rendus nerveux par la perspective de l'arrivée imminente d'un convoi humanitaire international à destination de Gaza, bloqué dans le port égyptien d'Al-Arich mercredi soir.
Chez les Gazaouis, l'incompréhension le dispute à une sourde appréhension devant l'avenir : l'"économie des tunnels" est le cordon ombilical de la bande de Gaza.
A Rafah, Ghazi Hamad, responsable de tous les points de passage officiels reliant Gaza à Israël et l'Egypte, se désole : "Nous espérons que nos frères égyptiens vont renoncer, insiste-t-il, qu'ils vont se souvenir que nous sommes comme eux des Arabes et des musulmans et qu'ils doivent nous aider, parce que la relation entre nos deux territoires est stratégique."
Dans la ville de Gaza, Ahmad Youssef, conseiller politique du premier ministre du Hamas, Ismaïl Haniyeh, ne décolère pas : "Pourquoi les Egyptiens apportent-ils leur concours aux efforts des Israéliens pour nous étrangler ? Dans tout le monde arabe, on nous soutient, sauf en Egypte. J'espère que les Egyptiens vont comprendre que cette attitude nuit à leur image."
M. Youssef remarque que "les gens" en concluent que Le Caire cède aux pressions des Etats-Unis et d'Israël.
L'EGYPTE INQUIÈTE DE L'INFLUENCE DU HAMAS
Cette vox populi sonne juste : l'administration américaine a manifestement décidé de rappeler à l'Egypte qu'en échange de son aide annuelle de quelque 1,7 milliard de dollars, elle attend du Caire une attitude plus ferme contre la contrebande d'armes, laquelle emprunte aussi le réseau des tunnels. L'Egypte se fait d'autant moins prier qu'elle s'inquiète depuis longtemps de l'influence du Hamas.
Le régime du président égyptien Hosni Moubarak a, d'autre part, été ulcéré par l'attitude du mouvement, qui, contrairement au Fatah de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a refusé de signer un plan de réconciliation interpalestinien négocié par l'Egypte.
Omar Shaban, qui dirige à Gaza le centre d'analyses Pal Think, n'a aucun doute : il y a bien, selon lui, une coordination entre Israël, l'Egypte et les Etats-Unis contre le Hamas : "L'Egypte n'avait pas besoin de construire un tel mur, au risque de précipiter une nouvelle catastrophe humanitaire à Gaza, pour adresser un message politique au Hamas. Si elle le fait, c'est parce que tout cela fait partie d'un plan plus vaste."
Pour compenser à terme cet étranglement de la frontière, Israël, assure-t-il, va relâcher l'étreinte du blocus, dans le cadre d'un accord avec le Hamas sur la libération du soldat israélien Gilad Shalit. Cette perspective reste incertaine.
La réalité, les adolescents de Rafah l'observent en grimpant sur les monticules de terre qui bordent la frontière: la "machine de guerre" égyptienne, cette gigantesque foreuse qui creuse la terre pour y enfouir des panneaux d'acier de 18 mètres de hauteur, poursuit son travail de sape contre les tunnels de Gaza.
Laurent Zecchini Article paru dans l'édition du 08.01.10 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 7/1/2010, 15:53 | |
| ah alors si vous les redites! |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 7/1/2010, 15:54 | |
| Heuu... c'est l'article publié par Sylvette deux messages plus haut, non ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 7/1/2010, 15:57 | |
| |
| | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 10:44 | |
| AFP | 16.07.2009 | 17:45 "Le Parquet a ouvert une enquête et examine si l’exposition dans une vitrine de ce nain de jardin faisant le salut hitlérien" contrevient à la loi allemande qui interdit les signes ostentatoires nazis, a indiqué Wolfgang Träg, porte-parole du Parquet de Nüremberg (sud-est de l’Allemagne). Les enquêteurs devront déterminer si cette oeuvre d’art n’est pas en fait une critique du régime nazi, comme l’affirme l’artiste, a-t-il ajouté. Ottmar Hörl, l’artiste, s’est déclaré "un peu surpris" par la procédure. "Jusqu’à présent tout le monde avait compris qu’il s’agissait juste d’une représentation de la race maîtresse", a affirmé malicieusement M. Hörl. Les saluts hitlériens, les croix gammées, ainsi que les autres signes disctinctifs nazis sont interdits en Allemagne depuis la Seconde Guerre mondiale. Le nain de jardin est très particulièrement prisé par les Allemands. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 10:45 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 10:50 | |
| Ce nain de jardin (Feriez-vous une "fixette", Bernard comme dirait Biloulou?) semble plutot faire un salut militaire, non? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 10:52 | |
| Regardez bien le second cliché chère Sylvette ... non ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 10:54 | |
| dans le message suivant, oui, la, nous sommes d'accord. Enfin.... c'est le nouveau look germanique? |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 11:02 | |
| Un point de vue bien précis et poliquement correct sur Israël et les "territoires" a été insidieusement imposé par une "propaganda" bien huilée et cela d'autant mieux que les collabos spontannés et inconsciemment suicidaires ne manquent pas dans notre classe politique et nos médias.
D'une manière plutôt innatendue, le journal bruxellois Le Soir a eu le courage du publier dans son édition du mercredi 6 janvier 2010 une autre interprétation aux bases juridiques et factuelles qui semblent solides et pourtant généralement soigneusement occultées.
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Les droits d'Israël sur les territoires « contestés »
Carte blanche à Danny Ayalon Vice-ministre israélien des Affaires étrangères
Les récentes accusations proférées par Catherine Ashton, la haute représentante pour les Affaires étrangères de l'Union européenne, ont une fois de plus focalisé l'attention de la communauté internationale sur Jérusalem et les localités juives de Cisjordanie. Il convient toutefois de préciser que le concept relatif aux droits israéliens sur ce qui est généralement défini « territoire occupé » ne recouvre pas une réalité plus conforme, en l'occurrence, à la définition de « territoires contestés ».
En effet, la zone connue sous le nom de Cisjordanie ne peut être tenue pour « occupée » dans le sens juridique du mot, vu qu'elle n'a jamais été reconnue comme souveraine avant la conquête israélienne. Contrairement à certaines allégations, il n'a jamais existé d'Etat palestinien, et aucun pays n'a jamais établi pour capitale Jérusalem, en dépit du fait que l'actuelle capitale d'Israël s'est trouvée pendant plusieurs siècles sous domination musulmane.
Le terme de Cisjordanie fut employé pour la première fois en 1950 après l'annexion de ce territoire par la Jordanie, afin de le différencier du reste des territoires situés sur la rive orientale du Jourdain (la Transjordanie). Les confins de la Cisjordanie furent établis un an avant l'accord d'armistice israélo-jordanien qui mit fin à la guerre déclenchée en 1948, au cours de laquelle cinq armées arabes envahirent le tout récent Etat juif. Ce fut sur l'insistance de la Jordanie que la ligne d'armistice de 1949 fut promue non pas en frontière internationalement reconnue, mais seulement en ligne provisoire de démarcation des forces armées. L'accord d'armistice spécifiait en effet: « Aucune disposition de cet accord ne viendra en aucun cas léser les droits, les revendications et les positions des parties concernées par la résolution de la question palestinienne, les dispositions de cet accord étant exclusivement dictées par des considérations militaires »
Cette frontière est devenue la célèbre « Ligne verte » qui doit son nom au fait que durant les pourparlers d'armistice les officiers des armées respectives utilisaient un crayon de couleur verte pour tracer la frontière sur leur carte.
Après la guerre de Six-Jours, les tentatives réitérées des armées arabes de détruire Israël et la conquête de la Cisjordanie et d'autres territoires par l'Etat juif, les Nations unies entendirent résoudre durablement le conflit israélo-arabe. La Résolution 242 du Conseil de sécurité est probablement l'un des documents les plus mal interprétés par la communauté internationale. Certes, nombre de peuples, les Palestiniens en particulier, se sont efforcés de promouvoir l'idée que ce document exigeait la restitution de tous les territoires conquis par Israël au-delà de la Ligne verte, mais la réalité était tout autre. La résolution 242 préconisait « la paix dans des frontières sûres et reconnues», sans mentionner l'emplacement exact de ces frontières.
Il importe de comprendre les intentions des auteurs de cette résolution avant de prendre en compte les interprétations qu'elle a inspirées.
La résolution 242 du Conseil de sécurité est l'un des documents les plus mal interprétés par la communauté internationale
Eugène V. Rostow, qui était en 1967 sous-secrétaire d'Etat chargé des affaires politiques et qui fut l'un des rédacteurs de cette résolution, déclara en 1990 : « La résolution 242 du Conseil de sécurité et la résolution ultérieure 338 sont fondées sur deux principes : Israël se chargera d'administrer le territoire (de la Cisjordanie) jusqu'à ce que les pays arabes voisins fassent la paix; une fois cette paix conclue, Israël devra se retirer sur des frontières sûres et reconnues qui ne seront pas nécessairement les mêmes que celles des lignes de démarcation de 1949. »
Lord Caradon, qui était à la même époque ambassadeur du Royaume-Uni à l'ONU et l'un des principaux rédacteurs de la résolution qu'il présenta au Conseil de sécurité, déclara sans équivoque en 1974 qu'« il aurait été erroné d'exiger qu'Israël se retire sur ses positions du 4 juin 1967, ces dernières étant indésirables et artificielles ».
Quant à l'ambassadeur américain à l'ONU dans les années 70, l'ancien juge à la Cour suprême Arthur Goldberg, il s'exprima de façon plus explicite en déclarant en 1973 : « La résolution porte surie retrait de territoires occupés sans en définir l'étendue. (Ce retrait) devant être limité à une évacuation partielle des territoires occupés compte tenu du fait que les frontières précédentes d'Israël s'avéraient particulièrement vulnérables. »
Même Vassily Kuznetsov, alors ambassadeur de l'Union soviétique à l'ONU et qui milita contre le texte final de cette résolution, reconnaissait qu'elle accordait à Israël le droit de « retirer ses forces uniquement sur des lignes considérées comme appropriées ».
Après la guerre de 1967, au moment où des Juifs commencèrent à se réinstaller dans leur patrie historique de Cisjordanie, c'est-à-dire en Judée et Samarie - noms portés par ces territoires depuis 2000 ans avant d'être renommés par les Jordaniens -, la question de l'implantation de localités juives surgit. Rostow lui-même n'avança aucun obstacle juridique à l'installation de Juifs dans ces territoires. Il soutenait que le mandat britannique sur la Palestine s'appliquait toujours à la Cisjordanie. « Le droit des Juifs à s'installer en Palestine, à l'ouest du Jourdain, autrement dit en Israël, en Cisjordanie et à Jérusalem, est irréfutable. Ce droit n'a jamais été résilié et ne pourra l'être que par un accord de paix consenti par Israël et ses voisins. » Depuis, aucune résolution internationale contraignante n'a nié aux Juifs le droit de s'installer sur ce territoire.
Et pourtant, la perception selon laquelle Israël occupe des terres dérobées à leurs occupants palestiniens légitimes censés être les seuls à posséder des droits nationaux, légaux et historiques sur ce territoire s'est largement répandue. Avec pour conséquence une conception erronée sur le plan moral et factuel, d'autant que plus ce narratif gagne du terrain, moins les Palestiniens se montrent disposés à négocier avec Israël.
Il s'ensuit que les propos du genre de ceux de Lady Ashton sont non seulement fallacieux, mais éloignent plus encore toute solution négociée du conflit.
L’ESSENTIEL
• La ligne verte entre Israël et les territoires contestés est une ligne d'armistice entre l'Etat d'Israël et la Jordanie et non pas une frontière internationalement reconnue. • Les résolutions internationales prônent des pourparlers entre les parties afin d'établir enfin des frontières sûres et reconnues entre Israël et ses voisins. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 11:08 | |
| S'ils sont peu nombreux, il existe tout de meme des journalistes courageux. |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles 16/1/2010, 12:05 | |
| Tous les traités internationaux interdisent la capture de territoire par la guerre . Les résolutions des nations unies sont toutes pour qu'Israël évacue les territoires occupés . Parmi les territoires occupés il y en a qui de toutes façons sont clairement non contestables,c'est le Golan . Or le Golan est occupé et loti . Il se passe en fait exactement la même chose sur le Golan qu'en Cisjordanie ; c'est le même vol de terres avec des arguments chaquye fois diférents et aussi malhonnètes les uns que les autres .
Ici,toutes les cartes expliquées du plan machiavélique allemand de 40 .
Et chacune des étapes est logique et explicable ....
http://palestine1967.site.voila.fr/comparaison/C.comparaison.Franceoccupee.htm | |
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