lettres ouvertes à HugoLotte ...

Cher Hugo,

Nous autres esthètes (nous sommes si peu nombreux ici ... vous, moi, ...) regardons le monde avec exigence et sans perplexité.

C'est la raison pour laquelle, j'ai écrit ces quelques lignes à votre attention il y a quatre ou cinq jours alors qu'une légère brise de la savane caressait mon corps lassivement allongé au bord de l'hôtel Hilton d'Abuja ... corps fourbu par quelques heures de travail acharné et surtout par quelques autres aux côtés d'une Yoruba élancée et à forte poitrine, étudiante dans l'université voisine.

Si vous aviez été là peut-être vous aurais-je proposé de partager cette Yoruba et même de lui dermander d'aller rechercher une autre de ses amies pour troubler notre moment de détente sous cette légère brise ... à moins bien sûr que, comme il est de coutume ici, nous serions allés nous promener dans l'incontournable jardin de l'amour de ce lieux enchanteur ? Qui sait ?

Je vous laisse rêver ...

Très amicalement à vous.

Cher Hugo, je crains que nous ne soyons les seuls poètes dans ce monde de brutes et d'agités ...

Ungern a écrit:

Ca rime avec quoi "Yoruba" ?

Zobuba et là ça se partage

AS : (comme on écrit PS à la fin d'un texte) ça va faire jaser ! Jason et la toison bouclée.

Cher Dragon, bonjour.

« Nous autres esthètes (nous sommes si peu nombreux ici ... vous, moi, ...) regardons le monde avec exigence et sans perplexité. »

Exigeant, je le suis, plus pour moi que pour les autres (ainsi fait, je suis moins déçu).

Sans perplexité je ne le fus jamais, parachuté dans la réalité humaine comme derrière les lignes ennemies, la perplexité m'est quotidienne. C'est à cause de l'aspect « enchevêtré » des rapports humains (que tu connais fort bien aussi - laisse-moi te tutoyer, je risquerai moins de dépasser ma pensée, bercée par des assonances peu journalière : quand l'Ours sort de sa thébaïde en smoking, il joue un rôle, c'est fâcheux - pour moi d'abord, je sais être à côté de mes souliers). Enchevêtrement : confusion, désordre, imbroglio... Voilà pour mon « sans perplexité », état d'âme qui n'est pas la mienne, sauf en de rares circonstances quand la complicité est présente, tu le sens, tu t'y abandonnes. C'est suave. Hélas bien rare.

« alors qu'une légère brise de la savane caressait mon corps lassivement allongé au bord de l'hôtel Hilton d'Abuja ... corps fourbu par quelques heures de travail acharné »

Tu vois, me voilà perplexe, et cela dès la première lecture ! Je ne suis pas sans te connaitre un peu - et ce qui m'échappe est décanté, remontant peu à peu à la surface (c'est figuratif, bien sûr : quand la lumière pénètre peu à peu les ombres du tableau, se gardant une petite gêne, l'ignorance est alors bienséance, l'autre peut nous surprendre sans nous décevoir déjà). Ton job est intellectuel, mmm ? Il est vrai, cependant, qu'un cerveau en ébullition est de la dépense d'énergie, ne l'ignorent que ceux qui ne pratiquent pas la chose. Fourbuvons-nous, pour boire ensuite, détendus, en attente de... Que disais-tu ?

« et surtout par quelques autres aux côtés d'une Yoruba élancée et à forte poitrine, étudiante dans l'université voisine. »

Voilà une raison supplémentaire et autre ! Et je suis encore perplexe ! Qu'est-ce qui t'as fourbu le plus et le mieux ? Ce détail va me permettre plus tard de me situer au niveau de l'« esthétisme » que tu veux partager avec moi, te faisant connaitre le mien à partir de tes exemples. La différence se dévoilera d'elle-même.

(Je préfère les petites poitrines, et de beaucoup. Un effet pervers de mon habitude de regarder les femmes dans les yeux ? Lors des heures consommatrices, cette surabondance localisée n'a jamais amplifié mon plaisir.)

« Si vous aviez été là peut-être vous aurais-je proposé de partager cette Yoruba »

J'ai la communion sexuelle très égocentrique - et ce n'est point jalousie ou égoïsme, ou crainte de mal performer, en comparaison de ce que réaliserait mon compagnon d'arme (carnée) : je n'ai pas appris à vivre le sexe, je prends comme on délaisse, car on laisse ensuite, contentés. Pas dans ma nature. J'assume ma part et un peu de celle de l'autre car il y a eu communion. Chacun repart avec un peu de l'autre. Que quelqu'un le fasse différemment, ça me convient : être et laisser être.

« et même de lui dermander d'aller rechercher une autre de ses amies pour troubler notre moment de détente sous cette légère brise ... »

Espérons que des heures se profilent devant nous ! Les préludes à l’amour, c’est de tricoter une ambiance tant physique que psychique : on sait fort bien ce qui s’en vient, mais rien n’interdit de le préparer. En amour, la quantité est d’aimer comme on peut ; la qualité, d’aimer comme on veut. Prendre son pied avec sa verge, c'est un manque à gagner.

« à moins bien sûr que, comme il est de coutume ici, nous serions allés nous promener dans l'incontournable jardin de l'amour de ce lieux enchanteur ? Qui sait ? »

Comme prélude à une intimité sous les deux espèces ? Suis-je normal, Dragon, d'avoir besoin de rencontrer d'abord une
femme au niveau supérieur ? Là réside mon esthétisme coutumier, celui qui concourt, une fois nourri, à me combler mieux.

Sous la véranda, faisant une session de cigarette (quelques bouffées), j'observe aller mes cinq Félines, ces femmes à la
démarche singulière qui n'a rien du déhanchement du mannequin, cette « félinité » controuvée, mensonge de jambes. Ce
n'est pas sexuel, c'est gestuel. Un frisson de l'âme, c'est beau.

« Je vous laisse rêver ... »

Rêver... Hélas, c'est le plus beau de ma vie. Le plus certain - comme l'orgasme peut être ce qu'on a obtenu de plus vrai de l'autre. Rêver, c'est mettre en scène un plaisir sans les contraintes du budget, sans le compteur qui tourne, car chez les agités, le temps est de l'argent (qu'on leur doit avant même de commencer !).

L'esthétisme, c'est toucher l'autre... du regard. Il y en a un autre aussi, entre les deux oreilles. Celui-là aime versifier. Je préfère regarder.

Me croyais-tu de cet esthétisme-là ?

*Chez les agités "le temps c'est de l'argent"*

*Chez les bérlusconiens "Avec de l'argent on se paie du très bon temps"

Citation :

Sous la véranda, faisant une session de cigarette (quelques bouffées), j'observe aller mes cinq Félines, ces femmes à la
démarche singulière qui n'a rien du déhanchement du mannequin, cette « félinité » controuvée, mensonge de jambes. Ce
n'est pas sexuel, c'est gestuel. Un frisson de l'âme, c'est beau.

Cher Hugo,

Si je peux parfaitement être indulgent pour une femme qui n'a que peu d'entregent, il est en revanche indispensable que son entrejambe soit bien garni de même que son soutien gorge.

Je me permets donc de t'abandonner les petits seins que tu affectionnes tant.

Pourquoi abandonner notre cher Hugo ? Sachant que les femmes aux petits seins sont très féssues c'est son droit vu qu'icelles avec de gros seins sont très rarement féssues .
Vous vous contredisez Mr André sans fesses généreuses pas d'entre jambe bien garni comme vous aimer .

Citation :

... corps fourbu par quelques heures de travail acharné et surtout par quelques autres aux côtés d'une Yoruba élancée et à forte poitrine, étudiante dans l'université voisine.

Zora232 a écrit:

Pourquoi abandonner notre cher Hugo ? Sachant que les femmes aux petits seins sont très féssues c'est son droit vu qu'icelles avec de gros seins sont très rarement féssues .
Vous vous contredisez Mr André sans fesses généreuses pas d'entre jambe bien garni comme vous aimer .

Détrompez-vous Zora la qualité et la quantité de la pilosité ne sont pas proportionnelles au caractère fessue des sujets ... une expérience approfondie de l'Asie vous le démontrerait très aisément.

andre a écrit:

Zora232 a écrit:

Pourquoi abandonner notre cher Hugo ? Sachant que les femmes aux petits seins sont très féssues c'est son droit vu qu'icelles avec de gros seins sont très rarement féssues .
Vous vous contredisez Mr André sans fesses généreuses pas d'entre jambe bien garni comme vous aimer .

Détrompez-vous Zora la qualité et la quantité de la pilosité ne sont pas proportionnelles au caractère fessue des sujets ... une expérience approfondie de l'Asie vous le démontrerait très aisément.

Je n'ai pas à me détromper André j'espère que vous n'ignorez pas que la qualité de la pilosité prime sur toutes les autres qualités de la beauté de la femelle ( féminine pour défenseurs des droits de l'Homme) . J'y irais bien en asie , cela me coutera beaucoup de chameaux pour y aller l'avion , le big hotel , les femmes c'est trop onéreux et c'est pas cascher!

Les afghanes sont beaucoup et de très loin plus intéréssantes , les bérbères aussi .

Un secret ; pour nous les bérbères une femme qui s'est fait enculer une fois est considérée comme moins d'une chienne , alors les asiatiques qui sucent tout en se faisant gommhoriser , c'est au suivant ...

Vous n'ignorez pas !

Vous êtes vulgaire Zora ... mais avec de telles origines comment cela pourrait en être autrement ?

Citation :

Ton job est intellectuel, mmm ? Il est vrai, cependant, qu'un cerveau en ébullition est de la dépense d'énergie, ne l'ignorent que ceux qui ne pratiquent pas la chose. Fourbuvons-nous, pour boire ensuite, détendus, en attente de... Que disais-tu ?

Job intellectuel ? pas vraiment et même de moins en moins. Je me révèle être un manuel, un tactile même Cher Hugo.

" Le métier des intellectuels est de chercher la vérité au milieu de l'erreur. " comme se plut à le dire le regretté Romain Rolland

Mais dites-moi Cher Hugo, n'avais-tu jadis une amie très chère qui répondait au sobriquet de "Sylvette" ? ... Qu'en as-tu fait ? Est-elle à la retraite maintenant ou pire encore ?

andre a écrit:

Mais dites-moi Cher Hugo, n'avais-tu jadis une amie très chère qui répondait au sobriquet de "Sylvette" ? ... Qu'en as-tu fait ? Est-elle à la retraite maintenant ou pire encore ?

Sylvette :

andre a écrit:

Vous êtes vulgaire Zora ... mais avec de telles origines comment cela pourrait en être autrement ?

J'ignore pas que la vérité est vulgaire et c'est pas votre origine barbare qui vous empéchera de mettre un présérvatif meme avec cette femme que vous insultez sur votre autre fil ( miss caca )mr la vértu

Moi y jamais connu le présérvatif , moi pas baiser avec les putes moi etre propre ...

Modérez vos expréssions , restez poli on est pas au bordel Epargnez moi vot'réponse .

Branmakmorn06 a écrit:

Les animaux "baisent" leurs femelles avant sans doute bien plus de respect que certains presque humains!

Les hommes et les femmes, eux font l'amour l'un avec l'autre pas contre l'autre!!!!

Il a raison Bran les animaux "baisent "leures femelles avant ( comprenez avec) sans doute bien plus de respect que certains prèsque humains qui se méttent d'abord un présérvatif avant de baiser leurs femmes dont ils doutent maladies et autres sida , doute réciproque puisque c'est la femme qui exige que son époux s'en présérve tout en se présérvant elle meme de ce monstre malade potentiel .Sont pas folles ces Dames et sont pas fous ces méssieurs mieux etre moins qu'un chien que de choper le sida ou toutes autres maladies .

Les hommes et les femmes eux font l'Amour , l'un avec l'autre pas l'un contre l'autre . Bran.

Je sais que Dieu a créé des idiots qui ne veulent pas comprendre.

Zora.

Exusez baiser ; c'est de Bran faut pas trahir sa mémoire littéraire

Zora232 a écrit:

Branmakmorn06 a écrit:

Les animaux "baisent" leurs femelles avant sans doute bien plus de respect que certains presque humains!

Les hommes et les femmes, eux font l'amour l'un avec l'autre pas contre l'autre!!!!

Il a raison Bran les animaux "baisent "leures femelles avant ( comprenez avec) sans doute bien plus de respect que certains prèsque humains qui se méttent d'abord un présérvatif avant de baiser leurs femmes dont ils doutent maladies et autres sida , doute réciproque puisque c'est la femme qui exige que son époux s'en présérve tout en se présérvant elle meme de ce monstre malade potentiel .Sont pas folles ces Dames et sont pas fous ces méssieurs mieux etre moins qu'un chien que de choper le sida ou toutes autres maladies .

Les hommes et les femmes eux font l'Amour , l'un avec l'autre pas l'un contre l'autre . Bran.

Je sais que Dieu a créé des idiots qui ne veulent pas comprendre.

Zora.





Exusez baiser ; c'est de Bran faut pas trahir sa mémoire littéraire

Je ne sais pas si ma mémoire littéraire ou non pourrait se penser trahie,Zora,le musulman honteux, l'antisèmite haineux ,l'homophobe compléxé et le misogyne craintif, mais ce qui est sur c'est que ta propre syntaxe peut en etre assurée!!!




D'un autre coté, la trahison de la parole donnée tout comme le mépris envers les femmes ne sont que les avatars de votre génome et des restes faisandés de ce qui fut votre civilisation!

« Job intellectuel ? pas vraiment et même de moins en moins. Je me révèle être un manuel, un tactile même Cher Hugo. »

Le meilleur job intellectuel, André, se concrétise loin de la paperasse, il préfère les ailes aux chaines. Dragon tu es ; souviens-toi du « Baobab », il m'a appris l'essentiel, tes mots en réponse le montrant.

« " Le métier des intellectuels est de chercher la vérité au milieu de l'erreur. " comme se plut à le dire le regretté Romain Rolland »

Même en remontant les chauds et satinés Champs-Alignés d'une Asiate (au pis-aller d'une Yoruba), l'Obélisque en route vers l'Étoile, l'occurrence est intellectuelle. Tu introspectes encore en ces moments-là de ton écriture parce que tu le faisais durant l'acte.

Tahitienne et moi n'aimions pas un imbécile.

Branmakmorn06 a écrit:

Zora232 a écrit:

Branmakmorn06 a écrit:

Les animaux "baisent" leurs femelles avant sans doute bien plus de respect que certains presque humains!

Les hommes et les femmes, eux font l'amour l'un avec l'autre pas contre l'autre!!!!

Il a raison Bran les animaux "baisent "leures femelles avant ( comprenez avec) sans doute bien plus de respect que certains prèsque humains qui se méttent d'abord un présérvatif avant de baiser leurs femmes dont ils doutent maladies et autres sida , doute réciproque puisque c'est la femme qui exige que son époux s'en présérve tout en se présérvant elle meme de ce monstre malade potentiel .Sont pas folles ces Dames et sont pas fous ces méssieurs mieux etre moins qu'un chien que de choper le sida ou toutes autres maladies .

Les hommes et les femmes eux font l'Amour , l'un avec l'autre pas l'un contre l'autre . Bran.

Je sais que Dieu a créé des idiots qui ne veulent pas comprendre.

Zora.





Exusez baiser ; c'est de Bran faut pas trahir sa mémoire littéraire

Je ne sais pas si ma mémoire littéraire ou non pourrait se penser trahie,Zora,le musulman honteux, l'antisèmite haineux ,l'homophobe compléxé et le misogyne craintif, mais ce qui est sur c'est que ta propre syntaxe peut en etre assurée!!!




D'un autre coté, la trahison de la parole donnée tout comme le mépris envers les femmes ne sont que les avatars de votre génome et des restes faisandés de ce qui fut votre civilisation!

Tu dois etre le fils d'une Yoruba Bran !

Tu dois etre le fils d'une Yoruba Bran !


Bah, ca dépends, si les Yoruba's sont rousses aux yeux verts avec la peau laiteuse et couverte de taches de rousseurs, ca peut le faire, sinon, c'est qu'un de mes grands popas aura trempé son pinceau dans des rivages indigènes!!!!


Maintenant si les gènes tiennent du père, il te faudra chercher plus prés d'Alicante ou de Barcelone!!!


MAis bon, dans les deux cas, on vient d'humains, quoi!!!!

« Mais dites-moi Cher Hugo, n'avais-tu jadis une amie très chère qui répondait au sobriquet de "Sylvette" ? ... Qu'en as-tu fait ? Est-elle à la retraite maintenant ou pire encore ? »

Je te parlais d'introspection, voilà tantôt. Cet exercice appliqué a fait décomposer un certain passé, le laissant derrière, une cote résolue (comme la cote 344 à Verdun) plutôt qu'une casemate à conquérir encore. Je suis las de donquichotter les moulins à vent (j'ai mes propres chimères avec qui jouter, la plume remplaçant la lance).

Quand j'ai appris d'une expérience, je passe à la suivante. Tout peut s'arrêter, jusqu'à mourir, même l'amour, jamais le besoin d'apprendre encore. La rancune n'apprend pas, elle attend son dû. C'est une mendiante.

(Mais rassure-toi, je dorlote quelques petites perversités en banque, pour les opérations crapuleuses. J'écris cette comptabilité en braille : comme toi, je suis tactile... un faux aveugle. Ne sommes-nous pas deux ricaneurs ?)