Hommage au Peuple Juif

En France, le petit peuple ne connaît pas beaucoup les Juifs.

Dis-moi, cher Dragon, pour avoir un aperçu intimiste de la juiverie (je ne parle pas ici de judaïté, c'est une toute autre notion), faut-il passer par Will Eisner et Woody Allen ?

Aurais-tu mieux à me proposer, me fren ?

(De grâce, ne me propose pas les auteurs évangéliques, je les ai déjà trop fréquentés, ces ANONYMES ! Parions que ce sont les nègres du IIIe siècle, en préparation de Nicée I, qui sont les " vrais " auteurs du Nouveau Testament que nous lisons aujourd'hui. Un scénario concocté en salle de concertation par certains Pères de l'Église, les vraies éminences grises de cette religion qui fait tant envie à la pisse-copie islamique.)

Restons sérieux. C'est-à-dire efficients.

coco! a écrit:

En marge de la cérémonie strasbourgeoise, M. Valls a précisé qu'il avait "donné instruction aux préfets pour que la police et la gendarmerie soient tout particulièrement mobilisées vis-à-vis des édifices et des écoles juives". "Nous allons mener une action très déterminée aussi sur internet puisque c'est là où se propage aujourd'hui le nouvel antisémitisme", a-t-il ajouté.

Je salue bien sûr ces heureuses initiatives et fais mien ce triste constat de M. Valls s'agissant de l'antisémitisme qui se développe sur le net ! Nous ne pouvons que le déplorer chaque jour un peu plus ... y compris sur LP hélas.

Tel l'Hydre de Lerne, l'antisémitisme posséde des têtes multiples qui se régénérent lorsqu'on les pense tranchées, elles exhalent leur poison sans cesse !

On estime à seulement 500000 le nombre de juifs en France sur une population globale de 64 millions. Il est évident qu'affranchir de taxes diverses cette très faible partie de la population n'impacterait en rien l'économie nationale bien au contraire. Ce serait même un signe juste et fort de reconnaissance à l'endroit de cette élite qui, par ailleurs, apporte tant quotidiennement à la Nation.

HugoLotte a écrit:

En France, le petit peuple ne connaît pas beaucoup les Juifs.

Dis-moi, cher Dragon, pour avoir un aperçu intimiste de la juiverie (je ne parle pas ici de judaïté, c'est une toute autre notion), faut-il passer par Will Eisner et Woody Allen ?

Aurais-tu mieux à me proposer, me fren ?

(De grâce, ne me propose pas les auteurs évangéliques, je les ai déjà trop fréquentés, ces ANONYMES ! Parions que ce sont les nègres du IIIe siècle, en préparation de Nicée I, qui sont les " vrais " auteurs du Nouveau Testament que nous lisons aujourd'hui. Un scénario concocté en salle de concertation par certains Pères de l'Église, les vraies éminences grises de cette religion qui fait tant envie à la pisse-copie islamique.)

Restons sérieux. C'est-à-dire efficients.

Oui soyons sérieux Cher Ours et dans cette perspective, je te livre quelques références essentielles ici bas.

La sociologue Clara Lévy écrit : " les écrivains juifs contemporains de langue française utilisent leur expérience, notamment biographique, comme matériau littéraire ’’. Elle ajoute même : " On peut noter, chez les écrivains juifs contemporains, une volonté assez générale d’insérer les épisodes racontés au sein d’un mouvement historique plus large. Autrement dit, même les ouvrages consacrés à la période la plus contemporaine sont émaillés de références à de lointains événements, puisés dans la Bible ou l’histoire juive ; même les histoires les plus individuelles et les plus ponctuelles sont systématiquement contextualisées dans une optique collective de long terme. [×××] Un certain nombre de similitudes thématiques peuvent être mises en évidence. La ressemblance la plus évidente entre tous ces textes concerne leur intense tonalité nostalgique, la mémoire, le souvenir, le témoignage.’’

On peut cependant noter des différences entre littérature sépharade et ashkénaze, du fait d’une histoire et d’un ressenti différents.

De nos jours, à New York, Saint-Pétersbourg, Londres ou Tel Aviv, une nouvelle génération d’écrivains yiddish apparaît. Côté orthodoxe également, une nouvelle lignée d’auteurs yiddish émerge avec, chose étonnante et inattendue, une nouvelle vague de romans d'espionnage devenus un genre populaire parmi les communautés hassidiques.

Depuis plus d’un demi siècle, la littérature juive américaine très féconde, plutôt ashkénaze, est regroupées sous l’appellation ‘’d’école de New York’’. Parallèlement, depuis vingt ou trente ans, on constate en France une floraison du genre autobiographique juif : Albert Cohen le "précurseur", Albert Memmi, Jean Daniel, Jean-Luc Allouche, Georges Perec, Pierre Goldman et bien d’autres. Cependant, il n’existe pas vraiment d’école française de la littérature juive même si ses auteurs sont nombreux et que leurs sujets sont souvent communs. La littérature juive contemporaine s’est investie dans pratiquement tous les espaces du roman avec des figures telles que Romain Gary, Patrick Modiano, Gilles Rozier, Philip Roth. Elle comprend aussi plus largement les domaines de connaissance où de grands auteurs se sont illustrés et sont devenus des référence dans la philosophie (Alain Finkielkraut, André Gluksman, Vladimir Jankélévitch), l’histoire (Marc Bloch, Jules Isaac, Raoul Hilberg), la politique (Raymond Aron, Hanna Harent), la psychologie (Boris Cyrulnik), les sciences humaines (Shmuel Trigano, Jacques Tarnero), l’antisémitisme (Léon Poliakov), la Shoah (Primo Lévy, Samuel Pisar ou Eli Wiesel) et bien d’autres encore. La liste n’est pas exhaustive, loin s'en faut.

Cette contribution prolifique à la littérature mondiale a été récompensée 12 fois par la plus haute distinction, le Prix Nobel : en 1910 avec Paul Heyse (Allemagne), 1927 avec Henri Bergson (France), 1958 avec Boris L. Pasternak (Russie), 1966 avec Shmuel Yosef Agnon (Israël), 1966 avec Nelly Sachs (Allemagne), 1976 avec Saul Bellow (Canada), 1978 avec Isaac Bashevis Singer (USA), 1981 avec Elias Canetti (Grande Bretagne), 1987 avec Joseph Brodsky (USA), 1991 avec Nadine Gordimer (Afrique du Sud), 2002 avec Imre Kertesz (Hongrie), 2005 avec Harold Pinter (Grande Bretagne).

Un beau palmarès en somme.

Ungern, tes propos sont une nouvelle fois ignobles !

Je suis à l'aéroport et je m'envole pour Rome avec Ono, je n'ai hélas pas le temps de te répondre aujourd'hui mais je suis scandalisé par ton allusion aux "marrons du feu" s'agissant de cette question.

Ungern a écrit:

Et à part çà,je croyais que vous étiez triste quand les murs tombaient .
Au même titre qu'un maçon portugais voyant s'écrouler l'oeuvre de sa vie .

Toi aussi tu as entendu les sanglots de Biloulou quand on abattait le mur de sa salle de bains (pour qu'il puisse y entrer avec son pied ) ?



Anonyme -franchement, la, je prefere-

S'agissant de la forme à donner à une juste réparation financière, une idée serait de s'inspirer des privilèges accordés aux Utes d'Utah et du Colorado. En effet, ces groupes d'indiens connus pour tailler des pipes de cérémonie dans de l'albâtre saumon ainsi que dans une pierre à pipes noire très rare que l'on ne trouve que dans les torrents qui descendent des pentes sud-est des monts Uinta, jouissent de privilèges fiscaux bien identifiés dans le jeu, le tourisme et l'exploitation du pétrole et du gaz. Ainsi, les valeurs immobilières et les investissements en dehors des réserves ont permis aux Utes de prospérer dans d'excellentes conditions. Le casino Ute Sky et les activités touristiques et de détente annexes, associés aux activités entourant le lac Capote témoignent de l'excellence de cette formule.

Et mon ami Hugo ne pourra que se féliciter de la mise en oeuvre de cette idée originale sachant que chaque printemps, les Utes pratiquent les danses traditionnelles de l'Ours. Rappelons que la danse de l'Ours est vieille de plusieurs siècles et que chaque année aussi se pratique la danse du Soleil. Cette cérémonie a une importance spirituelle forte pour les Utes. Observons enfin que les Utes pratiquent à Uniontown en Pennsylvanie une sorte de « confirmation ». Chaque semaine dans les rues de la ville on peut voir des danses de la pluie et entendre des chants tribaux. Les citoyens embrassent leurs pairs en criant « Iutes ! » lorsqu'ils rencontrent les natifs.

Bien ... je suis à l'hôtel Impérial et Ono, entièrement nue, dort profondément à côté de moi ... sur la terrasse de notre suite, j'en profite pour humer l'ambiance exquise de la nuit de la cité romaine. J'ai même cru apercevoir dans la rue deux nonnes rejoignant le Saint Siège à cette heure tardive : force est de constater qu'ailleurs, à Doha ou à Paris par exemple, il est bien difficile de croiser ainsi des nonnes au milieu de la nuit.

Et mon ami Hugo ne pourra que se féliciter de la mise en oeuvre de cette idée originale sachant que chaque printemps, les Utes pratiquent les danses traditionnelles de l'Ours. Rappelons que la danse de l'Ours est vieille de plusieurs siècles.

T'es un vrai copain, qui rappelle à tous l'âge que j'ai, à cause de l'âge que je n'ai plus. Fichtre ! Je te revaudrai ça, sybarite !!

Parions que la première fois qu'un des deux frères Utes concernés, celui qui ne dormait pas, apercevant l'" ours dansant ", que celui-là en fait se grattait le dos contre un arbre, oh que ça faisait du bien, parions donc que, cet indien étant poète, il en fit une balade qui devint une légende, afin de traverser les siècles. Et cela est effectivement de coutume depuis plus d'un demi-millénaire. Comme le temps passe vite, chaque fois que je néglige d'en égrener les années au chapelet de ma nostalgie !

(Comme tu vois, Dragon, l'Ours est retourné à l'avatar sous lequel tu le connus, voilà un peu jadis - tu bandais alors dépassé l'horizontale... tiens, on dirait que je me suis déjà vengé ! Vieux, le salaud, mais rapide encore sur la détente !)

Koganwel a écrit :

Citation :

... (Comme tu vois, Dragon, l'Ours est retourné à l'avatar sous lequel tu le connus, voilà un peu jadis - tu bandais alors dépassé l'horizontale... tiens, on dirait que je me suis déjà vengé ! Vieux, le salaud, mais rapide encore sur la détente !) ...

Oui, Vieil et Cher Ami, nous retournons toujours aux sources un peu à l'instar de ces Utes qui taillent des pipes dans les pierres rares des torrents. Ainsi et en observant le corps nu de ma compagne, je me fais cette observation à l'instant même et à moi-même : " Mais quel rapport existe-t-il donc entre Ono et une Ute du Colorado si ce n'est cette farouche propension à remonter le torrent pour nous tailler les meilleures pipes en jouissant de la douceur de l'écume ! ... ou suis-je moi-même fait en albâtre saumon ? "

Plus aucune nonne en vue depuis la terrasse de cette suite qui fut témoin de notre romaine orgie de fin d'après-midi ... Où sont-elles donc toutes ces nonnes ? Sont-elles à l'instant même chevauchées par des prélats libidineux et vieillissants ou préparent-elles déjà tout simplement les premiers offices dans la fraîcheur du petit matin ?

Cette ville décidément m'inspire ! Sa nuit m'inspire ! ... Un peu comme Saigon que nous évoquions ensemble jadis ! Il y a d'immenses ressources poétiques dans ces cités magiques ! ... Doha ne m'inspire pas ... rien à faire même en me forçant : pas assez de fantômes sans doute, pas assez de tumultes, pas assez de nonnes, trop de rien peut-être ...

Mara-des-bois a écrit:

Toi aussi tu as entendu les sanglots de Biloulou quand on abattait le mur de sa salle de bains (pour qu'il puisse y entrer avec son pied ) ?
Anonyme -franchement, la, je prefere-

Traîtresse médisante... espèce de fille, va !

Biloulou a écrit:

Traîtresse médisante... espèce de fille, va !

Je reconnais une basse vengeance, parce que tu fais parfois semblant de ne pas comprendre ce qu'ecrit Shansaa (il est bien mon "parfois", non ? ) et que justement, nous autres filles ne sommes pas si nombreuses ici.


Mab -mais j'aurais presque honte si je me laissais aller-

Biloulou a écrit:

Mara-des-bois a écrit:

Toi aussi tu as entendu les sanglots de Biloulou quand on abattait le mur de sa salle de bains (pour qu'il puisse y entrer avec son pied ) ?
Anonyme -franchement, la, je prefere-

Traîtresse médisante... espèce de fille, va !

C'est bien caractéristique de la race féminine.

Ce n'est pas à un bon mâle que viendrait l'idée de te "casser les pieds"

Charly a écrit:

Ce n'est pas à un bon mâle que viendrait l'idée de te "casser les pieds"

"Bon" et "mâle" dans la meme phrase, ça flaire la mauvaise foi !


Mab

Mara-des-bois a écrit:

Charly a écrit:

Ce n'est pas à un bon mâle que viendrait l'idée de te "casser les pieds"

"Bon" et "mâle" dans la meme phrase, ça flaire la mauvaise foi !


Mab

Ungern a écrit:

Salut André,
Je ne voudrais pas t'interrompre dans tes rêves de baisouilles tarifiées,
mais tu n'as pas répondu à mes questions .

Pour rappel sur le point principal,actuellement on estime que la population juive séfarade représente 65 % des juifs français .
Or ils étaient très minoritaires avant les désastres (prévisibles) coloniaux .

Tu ferais bénéficier les uns des malheurs des autres ?
Et les autres victimes de guerre et de l'extermination : le même principe ne s'appliquerait pas à eux ?

Ungern,

Après le petit déjeuner sur la terrasse, Ono tient à visiter le Saint Siège, j'ai donc peu de temps pour te répondre ce matin. Son besoin de spiritualité universelle l'honore comme l'a honorée hier sa grande émotion à se recueillir dans la Grande Synagogue avant le rituel shopping.

Une réponse rapide donc : la reconnaissance de la souffrance ne saurait s'évaluer en pourcentages ou en taux de ceci ou cela. Bien sûr que mes frères séfarades peuvent parfois dérouter mais n'ont-ils pas droit, eux aussi, à une juste et légitime reconnaissance pour autant ? Mon vieil ami Mosché Sarfati me disait l'autre jour : " Que de chemin déjà parcouru depuis les années 60 depuis ce jour de mon retour du Maroc ! ... mais il en reste plus encore ! ". Méditons cette réflexion de ce vieux sage.

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

Traîtresse médisante... espèce de fille, va !

Je reconnais une basse vengeance, parce que tu fais parfois semblant de ne pas comprendre ce qu'ecrit Shansaa (il est bien mon "parfois", non ? ) et que justement, nous autres filles ne sommes pas si nombreuses ici.
Mab -mais j'aurais presque honte si je me laissais aller-

Mab, être taquiné avec classe et esprit est un plaisir gourmand et la reconaissance d'être pris en considération, ceci dit sans honte ni vanité.
C'est vrai, les filles sont peu nombreuses, les unes parties pour des raisons personnelles que je comprends et regrette, d'autres qui sont toujours là mais qui se font rares pour des raisons connues aussi...
Oeuvrons à des jours meilleurs ?

(Tu veux bien laisser ma copine Shansaa tranquille ? Je ne savais pas que tu mangeais de ce gaz... pain là...)

Durand cette visite du Saint Siège fort pénible et fastidieuse faite sous une chaleur de plomb, une autre idée m'est venue. En effet, Ono et moi avons constaté une grave erreur de gestion de ce complexe touristique très prisé des badauds dont nous faisions ce matin partie : la gratuité des entrées . Il apparait que seuls quelques marchands rentabilisent le centre de profit en bout de parcours après la sortie de la basilique et de la crypte par la vente d'images pieuses, de crucifix de mauvaise qualité ou de modèles réduits de Jean Paul II fabriqués sans doute en Chine.

Au vu du nombre de ces entrées, il me semblerait intéressant de rendre payant l'accès et d'installer des forfaits incluant la vente de boissons fraîches aux différents points les plus intéressants : devant la momie de Jean XXIII, sous la nef devant l'autel de JP II puis sous la crypte ( et il a du s'en passer des belles sous ces voûtes ! ... " Combien de nonnes ont du être ainsi culbutées ! " me fit observer Ono tout émoustillée ).

Le produit de cette bonne gestion pourrait être utilement versé à la constitution du fond d'indemnisation visant à la juste réparation financière, objet même de ce fil.

Ungern,

D'autres formules de financement sont bien sûr possibles. Ainsi, Ono envisage demain matin avant notre départ de Fiumicino d'aller visiter la fontaine de Trevi où, comme tu le sais sans doute, il est de coutume de jeter une pièce de monnaie par le bras droit en tournant le dos à la fontaine avant de quitter Rome. Selon les autorités romaines qui collectent ces pièces plus de deux millions d'euros par an sont ainsi récoltés à l'aide de longues perches et d'un aspirateur spécialement dédié à cette opération.

Pour ma part, j'aimerais emmener Ono cette nuit afin que telle Anita Ekberg dans la Dolce Vita elle puisse prendre son bain dans la fontaine en robe du soir ...

Fille du fleuve jaune, Ono est le dernier objet de ma tendresse !

Cette passion n'est point l'ouvrage de l'aveugle hasard. Les dieux ont compris que le fils de Vénus que je suis, tendait avec effort la corde de son arc : " Faible enfant, me dirent-ils, que prétends-tu faire de cette arme ? " Jaloux les dieux m'ont prévenu avant le check in à CDG : " Contente-toi d'allumer avec ton flambeau cette fille et ne compare jamais tes triomphes aux nôtres."

Impavide, j'ai donc défié les dieux et tout de go je les ai hélés : " Sans doute que vos arcs peuvent tout blesser mais c'est le mien qui vous blessera tant il est bandé par le désir ! ". La flèche qui excite l'amour est dorée et sa pointe en est aiguë et brillante : Ono est là devant moi ce soir encore nue avec un simple bandeau rassemblant négligemment ses cheveux épars. Plusieurs amants ont voulu lui plaire mais elle a rejeté leur hommage, elle savait m'être promise.

Avant d'aller nous restaurer ce soir, j'ai envie de lui crier : " Je t'en conjure ... Arrête, nymphe, arrête ! La brebis fuit le loup, la biche le lion et devant l'aigle la timide colombe vole épouvantée mais c'est l'amour qui nous précipite dans les draps ! "

Ungern a écrit:

C'est à combien la passe ?

C'est compris dans le voyage ou c'est en supplément ?

Ungern est dans une mauvaise passe, voire dans une impasse !