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L'ex-gouverneur de l'Utah candidat à l'investiture républicaine
L'ancien gouverneur de l'Utah, Jon Huntsman lancera officiellement le 21 juin sa candidature à l'investiture du Parti républicain (opposition) en vue de l'élection présidentielle de novembre 2012 aux Etats-Unis.
Jusqu’à tout récemment, Jon Huntsman travaillait pour Barack Obama à titre d’ambassadeur des États-Unis en Chine. À compter du 21 juin, l’ex-gouverneur de l’Utah tentera officiellement de déloger son ancien patron de la Maison-Blanche. Ce jour-là, le républicain deviendra officiellement candidat à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2012, comme on peut le lire dans cet article.
Considéré comme un modéré, Huntsman est le fils du fondateur milliardaire de la société Huntsman, un groupe international spécialisé dans la fabrication et la distribution de produits chimiques et pétrochimiques. Âgé de 50 ans, il est le deuxième mormon après Mitt Romney à se lancer dans la campagne présidentielle de 2012.
Huntsman annoncera sa candidature au parc de la Statue de la Liberté, le même endroit où Ronald Reagan avait lancé sa campagne présidentielle de 1980.
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Biloulou
Nombre de messages : 54566 Date d'inscription : 27/10/2008
Le Secret Service assure que cette déclaration du guitariste Ted Nugent, un supporteur de Mitt Romney, au sujet de Barack Obama et de son administration «vile» et «maléfique» fera l’objet d’un suivi approprié :
Citation :
«Si Barack Obama est réélu en novembre, ou bien je serai mort ou en prison à la même date l’an prochain… Nous devons investir le champ de bataille et leur couper la tête en novembre.»
Nugent a fait cette déclaration samedi lors d’une entrevue diffusée en marge de la réunion annuelle de la National Rifle Association, le lobby des armes à feu.
Barack Obama a rencontré un petit groupe de chômeurs hier à Elyra, en Ohio. (Photo The New York Times)
Citation :
«Je ne suis pas né avec une cuillère d’argent dans la bouche. Michelle non plus. Mais quelqu’un nous a donné une chance.»
- Barack Obama, tentant de convaincre les cols bleus d’Ohio qu’il comprend leurs problèmes contrairement à son riche adversaire républicain qu’il n’a pas nommé.
Et bien non. Et en plus des tealibans, le GOP est au prise avec une faction au service de l'Oeuvre avec laquelle il est obligé de composer.
Avec un peu de chance, l'Iran aura en face d'elle un adversaire tout aussi théocratique qu'elle-même si Mitt l'emporte sur Barack aux prochaines élections.
Considérant l'«évolution» de la pratique politique sur la planète en général et en particulier, faudra admettre que les prochaines générations ne sortiront pas de l'auberge de sitôt!
Considérant l'«évolution» de la pratique politique sur la planète en général et en particulier, faudra admettre que les prochaines générations ne sortiront pas de l'auberge de sitôt!
Parce que tu crois que pour les generations precedentes ce fut le nirvana ?
American Crossroads, le Super PAC fondé par le propagandiste républicain Karl Rove, tente dans une nouvelle pub de retourner contre Barack Obama son image de président cool :
Aaaaah ces bon amis de Biloulou, ce grand propagateur de la parole GOPiste diplômé de la faculté Bernays de l'université Fox News!
Ses camarades de promotion nous en montrent toute une ici:
Parlons des Soviétiques et de la Tchécoslovaquie…
Deux des conseillers de Mitt Romney ont participé ce matin à une conférence téléphonique pour critiquer la politique étrangère de Barack Obama avant un discours de Joe Biden sur ce sujet.
Tout le monde a certes le droit de commettre des erreurs, mais les conseillers de Romney auraient sans doute été pris plus au sérieux s’ils n’avaient pas fait allusion à la «Tchécoslovaquie» et aux «Soviétiques» en critiquant le président démocrate.
Aux ÉU comme en France les élections présidentielles se jouent sous la fausse prémisse d'un combat gauche/droite... Il ressemble plus à un affrontement entre la droite et plus encore que la droite... mais enfin...
Entéka:
Karl Rove a publié hier sa première carte électorale de la campagne présidentielle, carte qui sera révisée chaque semaine jusqu’à l’élection. Si les pronostics du stratège républicain pour 2012 sont aussi bons qu’en 2008 – il avait prédit la marge exacte de la victoire de Barack Obama sur John McCain -, les républicains devraient s’inquiéter.
En accordant d’emblée à Barack Obama 284 des 538 grands électeurs du Collège électoral – il en faut 270 pour remporter la présidence – contre 172 à Mitt Romney, Rove est plus généreux envers le président que certains stratèges démocrates. Il étonne notamment en plaçant le Nevada parmi les États qui penchent vers Obama et la Caroline-du-Sud parmi les États où la course est trop serrée pour prédire un gagnant.
Rappelons que le président n’est pas élu au suffrage universel direct mais indirect. Chacun des 50 États dispose d’un nombre de grands électeurs proportionnel à sa démographie (grosso modo), grands électeurs qui sont attribués par les États au candidat qui remporte le plus grand nombre de voix sur leur territoire.
Cela étant, Rove n’est pas plus généreux envers Obama que le sondeur démocrate Mark Blumenthal, qui a présenté hier sa première carte électorale (grosse différence: il donne la Floride et ses 29 grands électeurs à Obama) :
Parmi les slogans informels qui ont marqué la première campagne présidentielle de Barack Obama, certains résumaient en un seul mot – «Changement», «Espoir» – le slogan officiel du candidat démocrate : «Le changement auquel nous pouvons croire».
En 2012, le slogan officiel du président sortant, dévoilé aujourd’hui après une quête assez longue, ne contiendra qu’un seul mot – «Forward» (En avant) – résumant un thème central de la campagne d’Obama, qui exhortera les électeurs à ne pas revenir en arrière en appuyant un candidat républicain (Mitt Romney) qui préconise à ses yeux des politiques semblables à celles de George W. Bush.
En dévoilant son slogan, le camp démocrate a également présenté une vidéo de sept minutes à la gloire du mandat de Barack Obama
Il y a deux semaines, Richard Grenell est devenu le porte-parole de Mitt Romney pour les questions de sécurité nationale. Plusieurs commentateurs ont interprété la nomination de cet ancien directeur des communications de la mission américaine auprès de l’ONU comme un message de tolérance de la part du candidat républicain. Car Grenell est ouvertement gai.
Or Grenell a annoncé aujourd’hui sa démission, mettant sa décision sur le compte de «discussions hyper-partisanes sur des questions personnelles».
Il faut savoir que des groupes et des commentateurs conservateurs ont réagi négativement à la nomination de Grenell, comme on peut le lire dans ce billet publié dans un blogue du Washington Post. Je cite notamment le commentaire d’un collaborateur de l’hebdomadaire National Review :
Citation :
«Supposons que Barack Obama se prononce – comme le souhaiterait Grenell – en faveur du mariage gai à l’occasion de son discours d’investiture à la convention du Parti démocrate. Combien de temps Richard Grenell mettrait-il avant d’abandonner le camp Romney pour passer dans celui d’Obama?»
Il semble également que Grenell n’ait pas apprécié que le camp Romney lui ait demandé de garder le silence au même moment où une question touchant à son expertise – la mort d’Oussama ben Laden – occupe l’avant-scène aux États-Unis.
Richard Hétu, La Presse
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Or Grenell a annoncé aujourd’hui sa démission, mettant sa décision sur le compte de «discussions hyper-partisanes sur des questions personnelles».
Il est grand temps en France d'ouvrir un Grenelle du gay !
Le Canada l'a déjà fait. C'est un pays à la sylve étendue qui a très bien compris que pour un développement durable de la filière boy bois il fallait encourager la constitution de couples gays : pendant que l'un est un peuplier, l'autre fait le boulot (phonétique).
Le flamboyant Newt Gingrich a mis un terme, ce mardi, à sa campagne pour l’investiture républicaine. Dommage. Il était parmi les plus divertissants des candidats. Surtout dans son comportement avec les médias. Voici un petit florilège de ses meilleurs/pires moments, compilés par le site Politico.com:
Autre roi du spin, Romney s’arroge le mérite du retour de Detroit
Mitt Romney veut faire oublier son opposition à l'aide financière de l'État à Detroit.
Dans un éditorial publié le 18 novembre 2008 dans le New York Times, Mitt Romney écrivait que l’aide financière de l’État fédéral à General Motors et Chrysler préconisée par George W. Bush et Barack Obama signifierait la fin du secteur automobile.
Hier, dans une interview accordée à une chaîne de télévision d’Ohio, l’ancien gouverneur du Massachusetts a secoué son écran magique, s’arrogeant une grande part du mérite du sauvetage de Detroit. Il a rappelé qu’il avait suggéré dans le même éditorial que les deux géants se déclarent volontairement en faillite pour renaître de leurs cendres, ce qui s’est éventuellement produit :
Citation :
«Et finalement quand cela est arrivé, et que l’aide a été accordée, les compagnies se sont remises sur leurs pieds. Je m’attribuerai donc beaucoup de mérite pour le retour de cette industrie.»
QS: Faut avouer que comme spinneur il est pas mal! Presque aussi imaginatif et malin que le camarade Biloulou.
Une superbe démonstration de la différence entre les performance économiques des présidences GOP et DEM... Entre les années BaBush papa & puppy et les Clinton/Obama...
Julia est le personnage fictif d’une infographie intitulée «La vie de Julia» et mise en ligne sur le site de la campagne de Barack Obama. L’infographie montre ce que serait la vie de cette femme issue de la classe moyenne américaine avec les mesures du président démocrate, s’il est réélu. Et elle compare les principales étapes de cette vie, de 3 à 67 ans, à ce qui attendrait Julia si Mitt Romney était élu.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Julia est le personnage fictif d’une infographie intitulée «La vie de Julia» et mise en ligne sur le site de la campagne de Barack Obama. L’infographie montre ce que serait la vie de cette femme issue de la classe moyenne américaine avec les mesures du président démocrate, s’il est réélu. Et elle compare les principales étapes de cette vie, de 3 à 67 ans, à ce qui attendrait Julia si Mitt Romney était élu.