Crétin un jour, crétin toujours!

Aïe, ce n'est plus de la science ni de la théologie, on verse dans la philosophie, au secours !
De plus tu viens au niveau des personnes : l'investisseur, l'interrogateur, le rephraseur... alors qu'on voguait dans les étoiles (soupir).
Si, si, interroge, récolte, vautre-toi dans les dividendes... et enrichis ton entreprise !

Vautour ! Capitaliste ! Néolibéral !

Biloulou a écrit:

Zed a écrit:

Dire que le mental “ émergea ” de la matière n’explique rien.
Si l’univers était simplement un mécanisme et si le mental était solidaire de la matière, nous n’aurions jamais deux interprétations différentes d’un même phénomène observé.
Les concepts de vérité, de beauté et de bonté ne sont inhérents ni à la physique ni à la chimie. Une machine ne peut pas connaître, et encore bien moins connaître la vérité, avoir soif de droiture et chérir la bonté.
Si l’univers était uniquement matériel et l’homme uniquement une machine, il n’y aurait pas de science enhardissant les savants à postuler la mécanisation de l’univers. Les machines ne peuvent ni se mesurer, ni se classifier, ni s’évaluer elles-mêmes. Cette oeuvre scientifique ne pourrait être exécutée que par une entité ayant statut supramachinal.
Combien il est stupide de supposer qu’un automate pourrait concevoir une philosophie de l’automatisme, et ridicule de penser qu’il pourrait prétendre se former un tel concept de ses compagnons automates.

Excellent, Zed, excellent... ça me semble très pertinent.

Comme j'aime a le dire, le mécanisme mental partiellement évolué de l’homme est assez peu doué de sagesse et de logique. La vanité de l’homme dépasse souvent sa raison et échappe à sa logique.

Biloulou a écrit:

Aïe, ce n'est plus de la science ni de la théologie, on verse dans la philosophie, au secours !
De plus tu viens au niveau des personnes : l'investisseur, l'interrogateur, le rephraseur... alors qu'on voguait dans les étoiles (soupir).
Si, si, interroge, récolte, vautre-toi dans les dividendes... et enrichis ton entreprise !
Vautour ! Capitaliste ! Néolibéral !

Je poursuis :

Affameur de peuples ! Exploiteur ! Ennemi de la classe laborieuse !

Mais encore : si tu t'intéresses sérieusement à la question, il faut l'aborder l'esprit ouvert et la curiosité acérée.
Ainsi, par exemple, évite d'utiliser le vocable anglais "Aliens" alors que depuis une éternité les textes fondateurs de notre civilisation occidentale les désignent par Elohim (ceux qui viennent des cieux) et par d'autres noms dans les mythes fondateurs de toutes les autres grandes civilisations.
Les mots ont une charge, les remplacer sans nécessité, même par des équivalents en apparence bien choisis, peut déformer le sens du message.

Et alors ta petite entrprise va prospérer, tu verras.

PS - et peut-être aussi... si j'osais... ne laisse pas ton esprit critique se dresser à chaque brique apportée, attends que la construction ait un certain volume pour le laisser intervenir car chaque brique solidifie l'ensemble...

Si je suis néolibéral, tu es physicien ! Depuis quand les mots auraient une charge ? C'est positif de penser ainsi ?

Bien voilà, en tant que néolibéral décrété par votre Arrogance, je fais des affaires quand je fais des effets. Démonstration. Aliens est un mot plusse tendance que Elohim (surtout que les féministes trouveraient à redire ; il serait plus prudent de parler d'Elothem, contenant le him et le her, n'est-ce pas ? - doux Jésus des entrailles bénies, c'est ce type-là, quasiment une race, qui veut me faire des leçons de poids et de mesures). Et toc !

Auparavant, j'utilisais le mot savant Ouraniens. On ne me comprenait pas. Fallait faire référence à la mythologie grec pour se faire entendre, alors que c'est tellement plus facile de remonter aux racines cinématographiques : dans le premier cas on est assis avec un livre à éplucher, on devine de suite la fatigue déchainée. Dans le deuxième cas, on est encore assis, mais on n'a rien à comprendre, il s'agit de regarder, et la part darwiniste de l'animal humain fait tout le reste : excite-le, de la queue frétillera. (C'est ce que font déjà les spermatozoïdes, ce modeste début de l'Homme. Né pour s'agiter, disait un penseur de jadis que parfois je rencontre dans mon miroir - c'est mon côté Alice, ce côté féminin qui fréquente les lapins, ce pourquoi je peux en poser aux autres : tel est pris qui est acquis. Ne devrions-nous bon, nous les métaphysiciens, dire plutôt : qui est à quoi ? Je te laisse pétrir la pâte, je te laisse le pain et je prends les jeux.)

Écoute-moi bien, garçon. Tu me demandes d'être ouvert, c'est une proposition pédophile ou c'est ton côté Jack l'éventreur ? Ado, je m'ouvrais déjà à cette folle suggestion d'un imaginaire indompté, à savoir qu'il y avait un chainon manquant dans la Genèse entre Dieu et l' Homme. Je voulais pour preuve ce passage douteux que diable du Livre : créé à son image. Je ne pouvais croire en cette ressemblance, ni que Dieu est mauvais artisan. Il fallait trouver un autre coupable. Rien n'est plus étrangers à la Terre que des Aliens, des Ouraniens, des Extraterrestres, des E.T., bref, des Elohim, des " Descendus du ciel " (mais un canard sauvage aussi est descendu du ciel avant d'amerrir avec une grâce glissante et caquetante - qui est staccatante chez le pélican, qui n'est guère plus élégant lors de l'envol, à l'évidence des êtres naissent-ils pour qu'on s'en moque).

Voili voilà, pourrais-je dire pour imiter quelqu'un, mais ne suis-je qu'un perroquet ? Autant l'ara. (Cette longue queue le rend si sympathique...)

HugoLotte a écrit:

Si je suis néolibéral, tu es physicien ! Depuis quand les mots auraient une charge ? C'est positif de penser ainsi ?

Mais depuis que les hommes les ont créés pour représenter des sens depuis en plus finement au fur et à mesure que le langage... s'affinait !
Et ai fil des temps les mots ont acquis une charge émotive propre au groupe qui avait vécu les évènements liés à ces mots, pardi !

Kog, l'Éternel, a écrit:

Bien voilà, en tant que néolibéral décrété par votre Arrogance, je fais des affaires quand je fais des effets. Démonstration. Aliens est un mot plusse tendance que Elohim (surtout que les féministes trouveraient à redire ; il serait plus prudent de parler d'Elothem, contenant le him et le her, n'est-ce pas ? - doux Jésus des entrailles bénies, c'est ce type-là, quasiment une race, qui veut me faire des leçons de poids et de mesures). Et toc !
Auparavant, j'utilisais le mot savant Ouraniens. On ne me comprenait pas. Fallait faire référence à la mythologie grec pour se faire entendre, alors que c'est tellement plus facile de remonter aux racines cinématographiques : dans le premier cas on est assis avec un livre à éplucher, on devine de suite la fatigue déchainée. Dans le deuxième cas, on est encore assis, mais on n'a rien à comprendre, il s'agit de regarder, et la part darwiniste de l'animal humain fait tout le reste : excite-le, de la queue frétillera. (C'est ce que font déjà les spermatozoïdes, ce modeste début de l'Homme. Né pour s'agiter, disait un penseur de jadis que parfois je rencontre dans mon miroir - c'est mon côté Alice, ce côté féminin qui fréquente les lapins, ce pourquoi je peux en poser aux autres : tel est pris qui est acquis. Ne devrions-nous bon, nous les métaphysiciens, dire plutôt : qui est à quoi ? Je te laisse pétrir la pâte, je te laisse le pain et je prends les jeux.)

Ben voilà, tu as tout dit ou presque : Ouraniens évoque la mythologie grecque et la pierre blanche, ET évoque Spielberg et le vert, Aliens évoque des êtres gris venus d'ailleurs.... et Elohim n'évoque pas mais désigne ceux qui viennent du ciel... mais avec malgré tout une suggestion de lumière à la boutonnière.
Alice évoque lapin, lapin évoque lapine, ce que Alice était peut-être et même chaudement, va savoir...

Kog, obtus - en géométrie ça veux dire grand-ouvert, a écrit:

Écoute-moi bien, garçon. Tu me demandes d'être ouvert, c'est une proposition pédophile ou c'est ton côté Jack l'éventreur ? Ado, je m'ouvrais déjà à cette folle suggestion d'un imaginaire indompté, à savoir qu'il y avait un chainon manquant dans la Genèse entre Dieu et l' Homme. Je voulais pour preuve ce passage douteux que diable du Livre : créé à son image. Je ne pouvais croire en cette ressemblance, ni que Dieu est mauvais artisan. Il fallait trouver un autre coupable. Rien n'est plus étrangers à la Terre que des Aliens, des Ouraniens, des Extraterrestres, des E.T., bref, des Elohim, des " Descendus du ciel " (mais un canard sauvage aussi est descendu du ciel avant d'amerrir avec une grâce glissante et caquetante - qui est staccatante chez le pélican, qui n'est guère plus élégant lors de l'envol, à l'évidence des êtres naissent-ils pour qu'on s'en moque).

À littéraire moqueur, littéraire et demi et aux trois quarts moqueur. Je t'offre deux phrases de Trinh Xuan Thuan :
"La science du XXIe siècle sera spirituelle ou elle ne sera pas" avec un clin d'oeil à Malraux.
"La mélodie de l'univers est tellement parfaite qu'elle est comme une fugue de Bach. C'est inimaginable sans un Principe Créateur." Le clin d'oeil devait être à Jean-Sébastien.

Quel hymne magnifique à ces deux inséparables que sont le scientifique et le spirituel !

Ci-dessus, c'est en ton honneur que je fais le perroquet qui, par sa belle queue, ressemble au spermatozoïde... et comme lui a tant de choses à dire...

[Leçons de Belzébuth à son petit-fils, Monghol de son prénom.]

Mais depuis que les hommes les ont créés pour représenter des sens depuis en plus finement au fur et à mesure que le langage... s'affinait ! Et ai fil des temps les mots ont acquis une charge émotive propre au groupe qui avait vécu les évènements liés à ces mots, pardi !

Ah... ah ben oui, arregorde ça, toé : la charge émotive. Je l'avion égaré dans mon savoir, stella.

Peut-être que j'ai un certain problème avec l'émotif, va savoir, j'ai aussitôt pensé au poids des mots quand j'ai eu à insister auprès d'un lecteur : tenons compte du poids des mots - avais-je écrit, je suppose. Néanmoins, restons esthètes : voir écrit " la charge des mots " et " le poids des mots ", je me nous demande laquelle des deux expressions est la plusse belle. Tu auras loisir de me rétorquer que la beauté ne garantit pas la vérité. (Je te répondrai que la laideur désoblige l'érection. Et (Frère) toc, mon faux jésuite !)

Kog, l'Éternel, a écrit:

Je te la revaudrai, celle-là, mec conique.

Ben voilà, tu as tout dit ou presque : Ouraniens évoque la mythologie grecque et la pierre blanche

De kossé, " la pierre blanche " ? Tu voulais écrire " marquer d'une pierre blanche " ? Pourquoi ne l'as-tu pas écrit, paresseux incontinent qui m'obligea à réfléchir plus que nécessaire ?!

(De grâce, ne répète jamais que j'aie tout dit, ce faisant, il ne me resterait plus qu'à me taire. Oh ! Était-ce ce que tu n'avais pas dit ?)

ET évoque Spielberg et le vert, Aliens évoque des êtres gris venus d'ailleurs...

Ouais... Ce n'est pas fou ou presque. Je reste suspendu, Ouranien est plus long qu'Alien, écrire E.T. (pour ne pas à devoir écrire l'interminable Extraterrestre) est de sacrifier à la mode, pas mon genre, la mode (elle change d'une saison à l'autre, je préfère m'accrocher à ce qui perdure, ça ressemble plus à de la vérité). Élohim, alors.

et Elohim n'évoque pas mais désigne ceux qui viennent du ciel... mais avec malgré tout une suggestion de lumière à la boutonnière.

Nous parlons du passé, faut se référer à la mémoire (dans les deux sens du mot). Est-ce que l'écriture (la cunéiforme) existait quand les Élohim sont intervenus ? Non. Ou alors ce serait une écriture qui s'est perdue, peut-être parce qu'elle ne fut pas utilisée par les premiers " hommes ". Voilà pourquoi je parlais d'évoquation. Tu préfères parler de désignation, comme pour bien distinguer les Élohim, jusque dans leur nature, tout à fait physique. N'est-ce pas ?

Alice évoque lapin, lapin évoque lapine, ce que Alice était peut-être et même chaudement, va savoir...

Pfff ! Je te laisse à tes fantasmes ! (Oserais-je lui demander s'il n'en pincerait pas pour notre Alice ?...)

Kog, obtus - en géométrie ça veux dire grand-ouvert, a écrit:

Bah sûr, c'est immédiatement ce qui venait à l'esprit du lecteur ! Mais je prends le " grand ouvert ", du moment que personne ne songera au rapprochement avec "fisheye ".

"La science du XXIe siècle sera spirituelle ou elle ne sera pas" avec un clin d'oeil à Malraux.

Elle était déjà bien partie pour ça dès les Eighties et la saga du boson de Higgs nous plonge au fin fond de la Matière, là où l'Esprit a ses assises. Un être spirituel ne se dévoile (sans se chosifier jamais) dans l'action, et la seule qu'il sait commettre. C'est un agent - de qui/de quoi ? ne me pose pas des questions impertinentes, qui mettent à mal mon ignorance !

"La mélodie de l'univers est tellement parfaite qu'elle est comme une fugue de Bach. C'est inimaginable sans un Principe Créateur." Le clin d'oeil devait être à Jean-Sébastien.

Dis-moi donc une fois, mossieu, de quelle manière étonnante un être imparfait pourrait-il considérer la perfection en quoi que ce soit ? Mmm ? Revenons à la relativité. Si tu considères deux galaxies qui se font l'amour (se pénètrent, héhé !), songeant à la possible vie qui s'agit dans chacune des galaxies... me demande, moi, si les Aliens/E.T./Élohim de là-bas, voyant s'accomplir leur Fin du Monde à eux, si ces gens-là auraient une petite pensée pour la perfection cosmologique.

Je vais dire comme Leibnitz : nous vivons dans le meilleur des Mondes accessibles. L'Univers est comme on le découvre parce qu'il ne pouvait en être autrement. Quand on reculera les limites de notre ignorance, nous pourrons encore faire le même constat. Ainsi que lors de maturité intellectuelle subséquente. Et ainsi de suite jusqu'à l'infini. (Je crois que c'est le piège de l'Infini qui nous bloque à jamais la compréhension du Tout, donc l'accès à " Dieu ". C'est comparable à l'éternité, si nous avions à attendre éternellement, ce serait l'attente la plus absurde qui soit. De même est-ce éminemment absurde de penser vaincre l'ignorance, c'est-à-dire ouvrir grandes les portes sur Dieu en Personne.)

Ci-dessus, c'est en ton honneur que je fais le perroquet qui, par sa belle queue, ressemble au spermatozoïde... et comme lui a tant de choses à dire...

Mieux vaut lire ça que d'être sourd !! (En vérité je le dis, il n'y a pas honneur en cela mais bête jalousie. J'avais parlé de " belle queue ", le Coquin ne voulut pas être en reste. Ah là là, cette mâle concurrence ! Elle m'a toujours inspiré de couper quelque chose. Mais quoi ?

Dans le doute s'abstenir - surtout de couper !

Aîe aîe, aîe... on ne peut nier que l'univers soit en expansion !

Ara Norenzayan a écrit:

«Nos résultats suggèrent que la pensée analytique pourrait être une raison pour laquelle les scientifiques tendent à être athées» note Norenzaya. Ils montrent aussi que, comme les religieux le craignent, le fait d’être exposé à la science pourrait éroder la croyance, non pas seulement avec des découvertes scientifiques comme l’évolution, mais seulement en favorisant la pensée analytique.

C'est curieux, à l'envers de Ara Norenzayan, je constate plutôt que les scientifiques ne tendent pas à être athées mais à croire en un dieu à l'opposé de Zeus...

Citation :

Charles Darwin et Albert Einstein sont aussi connus pour leur incroyance en un Dieu surnaturel, tout comme de nombreux scientifiques de nos jours.

C'est simplement admirable comme ces hommes, qui ont vécu bien avant moi, ont pressenti ma conception de Dieu !

C'est simplement admirable comme ces hommes, qui ont vécu bien avant moi, ont pressenti ma conception de Dieu !

Tu vois, Celtibère, toi et moi, on ne fait que copier sur les autres. Voilà le désagrément de ne pas être né le premier, alors est-il vrai qu'on est unique, car sans comparaison.

Des aveux publics, j'en prends et j'en laisse. Une personnalité publique a souvent quelque chose à perdre, aussi ménage-t-elle ses mots (je ne crois pas que les Einstein et Darwin - surtout ce dernier, vivant à l'époque victorienne, alors que la Croix luttait encore d'influence avec le Glaive), je ne crois pas qu'ils étaient en position pour tout dire, tout de go, n'étant pas des provocateurs, ne désirant pas se créer une popularité en scandalisant.

Ce qu'on donne en pâture au public (via les médias) et ce qu'on conserve par devers soi, écartillé entre le Moi et le Surmoi...

HugoLotte a écrit:

C'est simplement admirable comme ces hommes, qui ont vécu bien avant moi, ont pressenti ma conception de Dieu !

Tu vois, Celtibère, toi et moi, on ne fait que copier sur les autres. Voilà le désagrément de ne pas être né le premier, alors est-il vrai qu'on est unique, car sans comparaison.
Des aveux publics, j'en prends et j'en laisse. Une personnalité publique a souvent quelque chose à perdre, aussi ménage-t-elle ses mots (je ne crois pas que les Einstein et Darwin - surtout ce dernier, vivant à l'époque victorienne, alors que la Croix luttait encore d'influence avec le Glaive), je ne crois pas qu'ils étaient en position pour tout dire, tout de go, n'étant pas des provocateurs, ne désirant pas se créer une popularité en scandalisant.
Ce qu'on donne en pâture au public (via les médias) et ce qu'on conserve par devers soi, écartillé entre le Moi et le Surmoi...

C'est joliment dit mais ça gomme la quintessence du mystère : comment ces deux hommes d'exception ont pu pressentir notre pensée au point de la formuler avant nous ?
Certes, ils nous ont épargné l'opprobre et le scandale qui accompagne les idées d'avant-garde, ils nous ont évité la croix et le glaive... mais ça n'enlève rien au prodige.

Fusion des eccéités brisant la barrière du temps ? Réalisation du Grand Projet ? Va savoir....

Mince alors, je pensais que le bison était futé !!!!!

comment ces deux hommes d'exception ont pu pressentir notre pensée au point de la formuler avant nous ?

Si les gènes instruisent le corps (et l'esprit itou) via l'ADN, est-ce que les mèmes n'accompliraient pas le même travail auprès de l'esprit seul ?

Darwin et Einstein (pour en rester à ces deux-là, deux gouttes dans une mer de semblables) sont parvenus à regarder dans la même direction parce qu'ils avaient empruntés un chemin qui menait à cet horizon. Mais c'est vaste, un horizon, on peut être cent à le contempler et pas deux ne s'en font le même dessin mental ni mémoriel. Néanmoins, cent personnes regardaient dans la même direction.

Je ne peux pas me prononcer sur le " dieu " de Darwin et d'Einstein, je ne peux donc pas ni comparer ni différencier. Je ne doute cependant pas que chaque homme avait sa " foi ". Pour un puriste, l'un ou l'autre aurait pu apparaitre hérétique.

HugoLotte a écrit:

comment ces deux hommes d'exception ont pu pressentir notre pensée au point de la formuler avant nous ?

Si les gènes instruisent le corps (et l'esprit itou) via l'ADN, est-ce que les mèmes n'accompliraient pas le même travail auprès de l'esprit seul ?
Darwin et Einstein (pour en rester à ces deux-là, deux gouttes dans une mer de semblables) sont parvenus à regarder dans la même direction parce qu'ils avaient empruntés un chemin qui menait à cet horizon. Mais c'est vaste, un horizon, on peut être cent à le contempler et pas deux ne s'en font le même dessin mental ni mémoriel. Néanmoins, cent personnes regardaient dans la même direction.
Je ne peux pas me prononcer sur le " dieu " de Darwin et d'Einstein, je ne peux donc pas ni comparer ni différencier. Je ne doute cependant pas que chaque homme avait sa " foi ". Pour un puriste, l'un ou l'autre aurait pu apparaitre hérétique.

Bon, tu as pris au sérieux mon hypothèses d'un voyage vers le futur qui aurait permis à Darwin et Einstein de partager notre (ma?) conception de Dieu et de la formuler en leur temps, bien avant nous...
C'est gagné pour toi et loupé pour moi. Ainsi soit-il !