Nicolas Sarkozy et la fin de l’Histoire

Rappel du premier message :

Citation :

Un sociologue et politologue américain du nom de Francis Fukuyama avait annoncé la fin de l’Histoire.

Plus d’histoires, donc plus d’Histoire.

C’était dans les années 1990, et son propos visait la fin des clivages mondiaux du fait de l’effondrement de l’idéologie soviétique. Plus de clivages, puisque la même idéologie, à quelques variantes près, était dorénavant en vigueur partout et pour tous.

Près de 20 ans plus tard, l’Histoire existe toujours, mais l’appel à la fin des clivages, quels qu’ils soient, de Nicolas Sarkozy ne présage-t-elle pas d’une véritable fin, cette fois-ci ?

Dès son arrivée au pouvoir et même avant, Nicolas Sarkozy a commencé par appeler à la fin des clivages politiques : Droite / Gauche, tout cela n’avait plus aucun sens, nous a-t-on expliqué. Dans la foulée, des ministres issus de la Gauche, justement, ont rejoint le gouvernement, pour que le concept devienne réalité. Un parti, même, la Gauche moderne, a été créé, pour donner de la structure à une pratique, un autre, le Nouveau Centre, pour border l’autre côté.

Les clivages, les rebondissements, les oppositions, c’est ce qui fait traditionnellement la différence entre une suite de faits, banale et sans ressort, et un enchaînement d’événements, avec, donc, ces clivages qui sont le ressort des histoires et par extension de l’Histoire.

Voilà pour le politique : plus d’histoires donc plus d’Histoire ?

Sur le versant social, on nous explique également que les clivages et la première de ses manifestations, la grève, sont passés de mode. Ici aussi : plus d’histoires, donc plus d’Histoire ?

Sur la scène européenne, Nicolas Sarkozy s’est opposé à certains de ses homologues, en appelant à des décisions fortes sur le front de la lutte contre la crise. Ah, voilà des clivages ? Pas vraiment : il s’agissait davantage pour le président Sarkozy d’appeler les dirigeants des principaux pays à rejoindre son point de vue. Pas de clivage donc, mais un appel au ralliement.

Comment ? Un utilisateur chevronné du storytelling, l’art de raconter des histoires, saborderait son outil phare ? Ce serait possible : pour Henri IV, Paris valait bien une messe. Mais c’est peu probable.

De quoi s’agit-il alors ? Peut-être de quelque chose de beaucoup plus subtil et de très simple : la contrôle. Traditionnellement, dans une histoire on contrôle l’action, les rebondissements sont imprévus parce qu’on les subit, sauf si on est le scénariste : et là, on ne laisse à l’auditeur qu’une seule participation possible, le commentaire de ce qui se déroule devant ses yeux.

Si c’était le cas, serait-ce un mal ?

http://fr.news.yahoo.com/63/20090525/tpl-nicolas-sarkozy-et-la-fin-de-lhistoi-5cc6428.html

Ungern a écrit:

On a appliqué mon programme sans l'appliquer .

Je suis un "brave type", mais un mec "à limite à pas dépasser"...

Mon truc c'est d'abord la main tendue , avec derrière de façon discrete mais bien efficace des flics pour appliquer la loi républicaine.... avec détermination ....

Bref ,on installe "le paradis" à grand renfort de tv,
et on installe en douce des flics (du genre "méchants").

Si maintenant qq vient foutre le bordel, il faudra pas l'expulser....il va s'enfuir de lui même ....

C'est donc juste l'inverse de la méthode de Sarko .

Et bien tu vois, moi les trucs en douce c'est pas ma "cup of tea", je préfére ma méthode, elle a démontrée ses preuves tant que la volonté demeure!!!

Des tirs par arme à feu contre des policiers à Villiers-le-Bel
(AFP – Il y a 3 heures)

CERGY — Des policiers, qui contrôlaient un véhicule, ont essuyé mercredi soir des tirs par arme à feu à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) sans qu'il y ait de blessés, a-t-on appris jeudi auprès du syndicat de police Alliance.

"Vers 23H40, une équipe des UTEC contrôlait un véhicule place du Bois joli à Villiers-le-Bel lorsqu'une quinzaine d'individus se sont présentés. Ils étaient armés", a expliqué à l'AFP Audrey Vagner, du syndicat Alliance Val-d'Oise.

"Il y a eu des tirs à deux reprises sur les policiers qui ont riposté par un tir de flashball. Il n'y a pas eu de blessé ni d'un côté, ni de l'autre", a-t-elle précisé.

"Les douilles retrouvées sur place permettent de dire qu'ils étaient armés de 12 mm", a ajouté Mme Vagner.

Contacté par l'AFP, la préfecture du Val d'Oise n'a pas souhaité faire de commentaire, "une enquête est en cours". La sûreté départementale a été chargée de enquête.

"Grenoble, Auxerre et maintenant Villiers-le-Bel (...). Ces tirs sont perpétrés par des criminels prêts à tuer pour empêcher l?interpellation d?un malfaiteur!", a dénoncé Alliance Police Nationale dans un communiqué.

"Il est urgent que la Justice se fasse entendre et tape du poing sur la table en sanctionnant lourdement, avec la plus extrême des fermetés, en réponse à cet emballement criminel intolérable", déclare le syndicat.

"Face à la recrudescence de ces actes extrêmement préoccupants, Alliance Police Nationale en appelle à toute la classe politique pour qu'elle se rassemble unanimement en faveur de l'action des forces de sécurité", conclut le syndicat.


Auxerre (89). Une voiture de police visée par un tir d'arme à feu
(Le Télégramme, 5 août 2010 à 16h14)

Un véhicule de police qui circulait dans un quartier d'Auxerre (Yonne) a été la cible d'un tir d'arme à feu dans la nuit de mardi à mercredi. La voiture aurait également été visée par d'autres projectiles. Aucun agent n'a été blessé.

Une enquête a été ouverte au commissariat d'Auxerre après qu'une voiture de police a servi de cible à un tir d'arme à feu dans la nuit de mardi à mercredi.

Le véhicule en question patrouillait dans le quartier Sainte-Geneviève, réputé sensible, lorsque les policiers ont entendu une déflagration. Le pare-brise de la voiture a été brisé en étoile, mais aucun occupant n'a été blessé.

"Arme à feu de petit calibre" selon la préfecture

"Il s'agit d'une arme à feu de petit calibre", a précisé la préfecture de l'Yonne, se basant sur les premiers éléments d'enquête.

D'après le syndicat Alliance Police nationale, la voiture de police aurait essuyé, non pas un un, mais deux impacts : "au niveau du pare-brise et de la carrosserie". Selon l'organisation syndicale, l'arme serait "de type 22 long rifle".

Nouvelles déflagrations après leur sortie du véhicule

Les fonctionnaires de police sont sortis du véhicule après avoir reçu le renfort de la brigade anti-criminalité (BAC). Les hommes en uniforme auraient alors ont essuyé "des projectiles" et "entendu des déflagrations", précise-t-on à la préfecture de l'Yonne.

Selon Frédéric Paillard, secrétaire zonal Bourgogne et Franche-Comté d'Alliance Police nationale, ces déflagrations correspondraient à des "tirs de plombs". "On a franchi un pas qui, pour nous, est grave", estime-t-il.

En représaille à une interpellation houleuse ?

Ces événements surviennent après l'interpellation houleuse d'un jeune homme. Connu des services de police, cet Auxerrois a échappé mardi à un contrôle avant de trouver refuge dans son quartier de Sainte-Geneviève.

En partant à sa recherche, les policiers auraient alors fait face à un groupe d'une dizaine de personnes, "encagoulées et armées de bâtons et de pierres". Ces personnes auraient alors entravé l'intervention des agents, selon Alliance Police nationale. Le jeune homme avait finalement été interpellé.

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J'ai apprécié la stratégie impeccable du plan à long terme concocté par notre bon camarade Ungern. Mais bon, en attendant qu'il produise ses effets s'il était appliqué, comment faire face à la situation actuelle ci-dessus ?

Ungern a écrit:

Du "22" !
Tu vas pas dire !

Avec ce qu'ils gagnent, ils pourraient au moins s'acheter un AK 47 !

Si c'est pour en user comme les Libanos, autant qu'ils restent au 22, ca fera moins cher ne munition!!!!

J'ai jamais vu des gens tirer autant de cartouches sans toucher quoi que ce soit!!! c'etait presque comique au Liban!

Sarkozy suggère à Reding d'accueillir des Roms au Luxembourg



(AFP)–Il y a 5 heures



PARIS — Nicolas Sarkozy a suggéré mercredi à la commissaire européenne Viviane Reding, qui a critiqué les renvois de Roms par la France, d'accueillir des Roms au Luxembourg, son pays d'origine, ont indiqué des sénateurs UMP à l'issue d'un déjeuner avec le chef de l'Etat.


"Il dit qu'il ne faisait qu'appliquer les règlements européens, les lois françaises et qu'il n'y avait absolument rien à reprocher à la France en la matière mais que si les Luxembourgeois voulaient les prendre il n'y avait aucun problème", a rapporté le sénateur de Haute-Marne, Bruno Sido."Il a dit que notre politique était la bonne et qu'il était scandaleux, il s'en expliquera d'ailleurs demain (ndlr: jeudi à Bruxelles lors d'un Conseil européen), que l?Europe s'exprime de cette façon sur ce que fait la France", a poursuivi M. Sido devant la presse.Son collègue de Seine-et-Marne Michel Houel a confirmé que le chef de l'Etat avait indiqué, en substance, que "le commissaire européen habite le Luxembourg, qui est très proche de la France, nous serions très heureux si le Luxembourg pouvait aussi accueillir quelques Roms".M. Houel a ajouté devant la presse que Nicolas Sarkozy ne s'était "pas tout à fait" exprimé comme lui mais que c'était "ce que ça voulait dire".Mardi, la commissaire à la Justice Viviane Reding a vertement dénoncé une circulaire émise en août par le ministère de l'Intérieur, remplacée depuis, qui ciblait expressément les Roms pour les expulsions. "Je pensais que l'Europe ne serait plus le témoin de ce genre de situation après la Deuxième Guerre mondiale", a-t-elle lancé.L'Elysée a fait savoir mercredi que ces propos étaient "inacceptables" mais a prêché l'apaisement en estimant que l'heure était à un "dialogue apaisé" entre Paris et Bruxelles sur ce sujet.

PARIS — Nicolas Sarkozy a suggéré mercredi à la commissaire européenne Viviane Reding, qui a critiqué les renvois de Roms par la France, d'accueillir des Roms au Luxembourg, son pays d'origine,

Il en loupe pas une .... c'est vraiment la grande classe !

OmbreBlanche a écrit:

Sarkozy suggère à Reding d'accueillir des Roms au Luxembourg



(AFP)–Il y a 5 heures



PARIS — Nicolas Sarkozy a suggéré mercredi à la commissaire européenne Viviane Reding, qui a critiqué les renvois de Roms par la France, d'accueillir des Roms au Luxembourg, son pays d'origine, ont indiqué des sénateurs UMP à l'issue d'un déjeuner avec le chef de l'Etat.


"Il dit qu'il ne faisait qu'appliquer les règlements européens, les lois françaises et qu'il n'y avait absolument rien à reprocher à la France en la matière mais que si les Luxembourgeois voulaient les prendre il n'y avait aucun problème", a rapporté le sénateur de Haute-Marne, Bruno Sido."Il a dit que notre politique était la bonne et qu'il était scandaleux, il s'en expliquera d'ailleurs demain (ndlr: jeudi à Bruxelles lors d'un Conseil européen), que l?Europe s'exprime de cette façon sur ce que fait la France", a poursuivi M. Sido devant la presse.Son collègue de Seine-et-Marne Michel Houel a confirmé que le chef de l'Etat avait indiqué, en substance, que "le commissaire européen habite le Luxembourg, qui est très proche de la France, nous serions très heureux si le Luxembourg pouvait aussi accueillir quelques Roms".M. Houel a ajouté devant la presse que Nicolas Sarkozy ne s'était "pas tout à fait" exprimé comme lui mais que c'était "ce que ça voulait dire".Mardi, la commissaire à la Justice Viviane Reding a vertement dénoncé une circulaire émise en août par le ministère de l'Intérieur, remplacée depuis, qui ciblait expressément les Roms pour les expulsions. "Je pensais que l'Europe ne serait plus le témoin de ce genre de situation après la Deuxième Guerre mondiale", a-t-elle lancé.L'Elysée a fait savoir mercredi que ces propos étaient "inacceptables" mais a prêché l'apaisement en estimant que l'heure était à un "dialogue apaisé" entre Paris et Bruxelles sur ce sujet.

Nos amis luxembourgeois ont déjà plein de portugais, on ne va quand même pas leur imposer toute la racaille européenne !

D'abord les roms sont européens et c'est la Roumanie qui fait de la ségrégation sur sa communauté.
D'abord les roumains et après les roms, si ils ont le temps...
Voilà le parfait fonctionnement stupide de cette union européenne.
Une fois les mesures prises dans l'urgence, une connasse blonde se permet de critiquer le "peuple français" comme elle le dit.
Il faudrait rappeler à cette dame que ce même peuple avait dit "NON" au Traité et que ce même peuple...l'emmerde !
Si elle a une plainte à formuler qu'elle le fasse à Sarkozy car après tout, c'est lui qui l'a voulu ce traité simplifié.

andre a écrit:

Nos amis luxembourgeois ont déjà plein de portugais, on ne va quand même pas leur imposer toute la racaille européenne !

Tu as raison et si on devait aussi envoyer notre racaille française de souche...le Luxembourg déborderait

alande a écrit:

D'abord les roms sont européens et c'est la Roumanie qui fait de la ségrégation sur sa communauté.
D'abord les roumains et après les roms, si ils ont le temps...
Voilà le parfait fonctionnement stupide de cette union européenne.
Une fois les mesures prises dans l'urgence, une connasse blonde se permet de critiquer le "peuple français" comme elle le dit.
Il faudrait rappeler à cette dame que ce même peuple avait dit "NON" au Traité et que ce même peuple...l'emmerde !
Si elle a une plainte à formuler qu'elle le fasse à Sarkozy car après tout, c'est lui qui l'a voulu ce traité simplifié.

C'est ce qu'elle a fait non? Moi je ne me sens pas visé ...et vous?
GIBET

GIBET a écrit:

andre a écrit:

Nos amis luxembourgeois ont déjà plein de portugais, on ne va quand même pas leur imposer toute la racaille européenne !

Tu as raison et si on devait aussi envoyer notre racaille française de souche...le Luxembourg déborderait

Bonjour Gibet !

Pssssttt... Gibet.... ne crucifie pas André/Bernard/Bertrand/etc. pour ses propos, c'est juste un clin d'oeil dans mon jardin...

(Cela étant, il y a beaucoup d'autres raisons pour le clouer au pilori ! )

Pour être objectif, voici le texte intégral de sa déclaration :

Brussels, 14 September 2010
Midday briefing in Press Room

"Over the past weeks, the European Commission has been following very closely the developments in France regarding the Roma.
I personally have been appalled by a situation which gave the impression that people are being removed from a Member State of the European Union just because they belong to a certain ethnic minority. This is a situation I had thought Europe would not have to witness again after the Second World War.
I have made crystal clear my doubts about the legality of the French measures in a public statement on 25 August – a statement that was made in full agreement with Commission President Barroso with whom I worked closely on this issue over summer.
Together with Commissioner Andor and Commissioner Malmström, I submitted a preliminary legal analysis of the French measures on 1 September to President Barroso and the College of Commissioners.
This preliminary analysis stressed, inter alia, that France would be in violation of EU law if the measures taken by the French authorities in applying the Free Movement Directive had targeted a certain group on the basis of nationality, race or ethnic origin.
The College of Commissioners discussed the matter intensely last week in Strasbourg.
During a formal meeting with French ministers Eric Besson and Pierre Lellouche, the Commission – Commissioner Malmström and myself – received political assurances that specific ethnic groups had not been targeted in France. Our doubts remained. This is why last Tuesday, following discussion in the Commission college, I sent a further formal letter to French minister Besson to ask for additional details, which should be sent to the Commission swiftly.
I can only express my deepest regrets that the political assurances given by two French ministers officially mandated to discuss this matter with the European Commission are now openly contradicted by an administrative circular issued by the same government.
The role of the Commission as guardian of the Treaties is made extremely difficult if we can no longer have confidence in the assurances given by two ministers in a formal meeting with two Commissioners and with around 15 senior officials on the table from both sides.
And ladies and gentlemen, this is not a minor offence in a situation of this importance. After 11 years of experience in the Commission, I would even go further: This is a disgrace.
Let me be very clear: Discrimination on the basis of ethnic origin or race has no place in Europe. It is incompatible with the values on which the European Union is founded. National authorities who discriminate ethnic groups in the application of EU law are also violating the EU Charter of Fundamental Rights, which all Member States, including France, have signed up to.
I therefore find it deeply disturbing that a Member State calls so gravely into question, by the actions of its administration, the common values and the law of our European Union.
I also take issue with the statements made by the French Secretary of State for European Affairs yesterday questioning the role of the European Commission as guardian of the Treaties. The Commission's role as guardian of the Treaties is one of the foundations of the European Union – a Union which is held together not by force, but by respect of the rule of law agree upon by all Member States, including France.
I take note that the French authorities seem themselves to become aware that the developments of this weekend put them into an untenable situation. I also take note that yesterday afternoon the French Minister of the Interior signed a new circular on the matter eliminating the references to a specific ethnic group, the Roma. We are currently looking into the legal implications of this – it is important that not only the words change, but also the behaviour of the French authorities. I am, therefore, asking the French authorities for immediate and swift explanation of the matter.
The Commission will include all these developments, as well as other relevant documentation, into our final legal analysis of the situation. This legal analysis is done in close cooperation by my services, the services of Commissioners Malmström and Andor, as well as with the Legal Service of the President, and I expect it to be completed in the days to come.
I am personally convinced that the Commission will have no choice but to initiate infringement action against France:
- Infringement proceedings against France for a discriminatory application of the Free Movement Directive.
- And infringement proceedings against France for lack of transposition of the procedural and substantive guarantees under the Free Movement Directive.
I will of course give the French authorities the right to submit comments on the new developments in the course of the next days. But I make it very clear my patience is wearing thin: enough is enough.
No Member State can expect special treatment, especially not when fundamental values and European laws are at stake. This applies today to France. This applies equally to all other Member States, big or small, which would be in a similar situation. You can count on me for that."



Viviane Reding
Vice-President of the European Commission responsible for Justice, Fundamental Rights and Citizenship

Tu es trop dur avec lui !

Et au moins l'honneteté d'attendre la fin de son mandat pour en tirer un bilan, voyons.
Pour ce qui est du prochain chef de l'État, il sera certainement élu avec moins de 40% des suffrages. Là, tu pourras t'en donner à cœur joie.

Alande-Poll station

Nicolas Sarkozy pour une taxe sur les transactions financières



MONDE - Le chef de l'Etat a également annoncé une hausse de 20% au Fonds mondial de lutte contre le Sida, le paludisme et la tuberculose...

A l’Assemblée générale de l’ONU, Nicolas Sarkozy a tenu lundi un discours express. Moins de dix minutes montre en main. Assez pour annoncer une hausse de 20% de la contribution financière de la France au fonds mondial de lutte contre le Sida, le paludisme et la tuberculose au cours des trois prochaines années et plaider pour l’adoption d’une taxe sur les transactions financière pour financer les objectifs du millénaires pour le développement (OMD).

«La crise est sévère chez les pays riches. Elle créé du déficit mais la crise a des conséquences bien pires pour les pays pauvres (...) nous n'avons pas le droit de nous abriter derrière une crise économique pour faire moins», a expliqué Nicolas Sarkozy à la tribune du siège de l’ONU, à New York. «Nous avons pris la décision, alors que nous sommes le deuxième contributeur du Fonds mondial de lutte contre le Sida, le paludisme et la tuberculose (...) d'augmenter notre contribution de 20% les trois prochaines années», a lancé le chef de l’Etat français, dont l’épouse est ambassadrice de bonne volonté du Fonds mondial, appelant tous les autres pays à faire de même. L’aide annuelle française passera donc de 300 millions d’euros par an à 360 millions d’euros par an.

Sources: 20minutes.fr

Le remaniement s'annonce complexe pour Sarkozy, selon BVA

il y a 4 heures 23 min
Reuters

Le remaniement prévu à l'automne s'annonce complexe pour Nicolas Sarkozy car peu de ministres en place trouvent grâce à la fois aux yeux des Français et des sympathisants de droite, selon un sondage BVA diffusé mardi.



Au niveau du bilan comme du souhait de maintien, le gouvernement ne compte que trois champions, Christine Lagarde (Economie), Michèle Alliot-Marie (Justice) et Jean-Louis Borloo (Ecologie), précise cette enquête réalisée pour la matinale de Canal +.

Christine Lagarde devance ses collègues puisqu'elle est jugée efficace par 51% des Français, contre 45%, et par près des trois-quarts (74%) des sympathisants de droite.

Michèle Alliot-Marie et Jean-Louis Borloo obtiennent respectivement 49% et 47% auprès des Français et 66% et 64% auprès des sympathisants de droite.

Sévères avec les "anciens", les Français sont encore plus durs avec les possibles "nouveaux" de ce gouvernement: aucun des candidats putatifs n'est soutenu par une majorité de Français.

Deux, parviennent tout de même à se dégager, suscitant l'intérêt de près de quatre Français sur dix et six sympathisants de droite sur dix: l'ex-Premier ministre Alain Juppé (44% de souhait d'entrée auprès des Français et 57% auprès des sympathisants de droite) et Jean-François Copé (38% et 62%), président du groupe UMP à l'Assemblée.

Ce sondage a été réalisé du 14 au 15 septembre auprès d'un échantillon de 1.068 personnes.

La "fin de l'histoire avec Sarkozy"...mais ce Président est celui qui en a cherché le plus à tout le monde!!
GIBET

Nicolas Sarkozy justifie la manière forte contre les blocages

BONNEVAL, Eure-et-Loir (Reuters) - Nicolas Sarkozy a justifié jeudi l'emploi de la manière forte pour débloquer les dépôts de carburant, accusant les manifestants qui en barrent les accès de prendre les Français en otage.

En déplacement dans l'Eure-et-Loir, il a également fustigé les auteurs des violences survenues ces derniers jours en marge de manifestations de jeunes à Lyon, déclarant que "les casseurs n'auront pas le dernier mot".



"On ne peut pas être le seul pays au monde où, quand il y a une réforme, une minorité veut bloquer les autres. Ce n'est pas possible, ce n'est pas ça la démocratie", a-t-il ajouté.

Évoquant la participation des lycéens aux manifestations, il a déclaré qu'elle n'était "pas très raisonnable" si l'on tient compte du fait qu'"il y en a un sur deux qui vivra jusqu'à 100 ans".

"Ces lycéens-là, ce qu'on ne leur dit pas, c'est que la réforme elle est faite pour eux, parce que je l'affirme, c'est parce qu'on fera la réforme des retraites qu'ils n'auront pas à payer deux fois, une fois pour eux, une fois pour leurs parents", a-t-il encore déclaré.

"L'injustice serait d'avoir un système où, après toute une vie de travail, on ne soit pas certain que sa retraite sera payée", a-t-il dit.

"Je suis persuadé que les Français le comprennent au fond d'eux-mêmes. Ce n'est pas en bloquant, en empêchant les gens d'aller travailler, qu'on va faciliter les choses parce que si on empêche les entreprises comme la vôtre de travailler, qui va payer ? C'est votre emploi !"

Sources: News.yahoo.com

Le frère de Sarkozy profiterait-il de la réforme des retraites?



© reuters


Selon le site d'informations Mediapart, relayé par Le Point, Guillaume Sarkozy, frère aîné du Président français, assureur, ferait partie des grands bénéficiaires de la réforme des retraites.


Le député André Gerin a perturbé le vote de la réforme des retraites à l'Assemblée en prétendant une collusion entre la réforme et le business du frère du Président. Une affaire qui commence à faire du bruit. © reuters

Guillaume Sarkozy n'a fait aucun commentaire.


Si cela paraît énorme, de nombreuses coïncidences stratégiques ont été relevées : les nouvelles mesures d'âge devraient accentuer la baisse du niveau de pensions publiques, et donc le besoin de recourir à des assureurs privés. Aussi grosse soit-elle, l'affaire a atteint les sphères de l'Assemblée Nationale, où un malaise était palpable au moment du vote de la réforme perturbé par les accusations du député communiste André Gérin.

Alliance contre nature
Si cela paraît roccambolesque, les faits présentés par Mediapart et Le Point sont assez éloquents. Morceaux choisis. Délégué général du groupe Malakoff-Médéric, un groupe de retraite complémentaire et de prévoyance, Guillaume Sarkozy sera dès janvier 2011 président du conseil de surveillance de Sevriena (le nom de la société est provisoire), un fonds de pension à l'américaine, typique d'un système de retraites par capitalisation. Autrement dit, un fonds d'investissement réservé à l'épargne salariale et à l'assurance retraite "supplémentaire". Sevriena est une "joint-venture" - coentreprise - issue d'un partenariat entre Malakoff-Médéric, et la Caisse nationale de prévoyance (CNP Assurances), premier assureur de personnes en France. Or le groupe privé CNP Assurances se trouve être depuis 1991 une filiale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), un groupe public, "au service de l'intérêt général et du développement économique". Pour Mediapart, c'est donc une "alliance contre nature".

Insinuations ridicules
Grâce à la baisse prévue de 8% du niveau des pensions de retraites en France, le Conseil d'orientation sur les retraites estime que le marché de la retraite par capitalisation représentera un pactole de 40 à 110 milliards d'euros par an à horizon 2020. Selon Mediapart, le fait même que le projet Sevriena soit à l'étude depuis deux ans tend à prouver que les instigateurs du projet étaient bien informés sur le contenu de la réforme qui favoriserait le développement d'un système par capitalisation. "Nous ne contestons pas les faits, nous en contestons l'interprétation", martèle Yann Charron, directeur général adjoint chez Malakoff-Médéricn dans LePoint.fr. "Il est ridicule d'insinuer que Guillaume Sarkozy aurait bénéficié d'informations, n'importe qui aurait pu parier sur le développement de la capitalisation, au regard de l'évolution démographique du pays !" explique Yann Charron.

Malaise
"Nous sommes un groupe paritaire et mutualiste, à but non lucratif. Et nous continuerons à appliquer les mêmes règles avec cette filiale (Sevriena), à savoir que les résultats financiers qui reviendront au groupe Malakoff-Médéric seront réinvestis au seul service de nos clients. Je rappelle que Guillaume Sarkozy est salarié de Malakoff-Médéric, il n'en est pas actionnaire et encore moins propriétaire, mais délégué général. Il n'a ni actions ni retraite chapeau ou je ne sais quoi," rappelle simplement Yann Charron. Le frère du Président ne s'est pas exprimé sur le sujet. Adepte ou non des théories du grand complot étatique, ces faits démontrent le malaise actuel de la société française. (7sur7)


29/10/10 11h05

Pauvres anti sarko.

Quand ont est cons il faut bien trouver quelque chose.

222 -

Citation :

"Nous sommes un groupe paritaire et mutualiste, à but non lucratif. Et nous continuerons à appliquer les mêmes règles avec cette filiale (Sevriena), à savoir que les résultats financiers qui reviendront au groupe Malakoff-Médéric seront réinvestis au seul service de nos clients

Ce soir à C dans l'air sur la 5, répondant à une question "SMS" d'un téléspectateur qui s'interrogeait sur le bien fondé de la polémique en devenir initiée par Médiapart, M. Malvys des instances dirigeantes de la CFDT a répondu que ces allégations étaient infondées et, vexé, rappelait que Malakoff-Médéric (M-M) était une organisation paritaire [Ndlr : les organisations syndicales sont sociétaires co-gérants ] et que les retraites administrées par M-M étaient des retraites par répartition.

La pub dans le métro : Du/Dubon/Dubonnet retraduite en Com/Commun/Communiste s'appliquerait-elle à l'inélégant député médiapartiste ?

Qui se souvient des pubs de la CNP avec la musique de la valse n° 2 de la Suite pour orchestre de jazz n° 2 de Chostakovitch (reprise par le violoneux André Rieu si bien que 9 personnes sur 10 ignorent le nom du compositeur) ?

EddieCochran a écrit:

222 -

Qui se souvient des pubs de la CNP avec la musique de la valse n° 2 de la Suite pour orchestre de jazz n° 2 de Chostakovitch (reprise par le violoneux André Rieu si bien que 9 personnes sur 10 ignorent le nom du compositeur) ?

Et toi te rappelles-tu du prénom d'Alzheimer?

GIBET a écrit:

Et toi te rappelles-tu du prénom d'Alzheimer?

Oui : Creutzfeldt-Jakob !