Le Monde selon Barack...

Rappel du premier message :




Avec le sénateur de l'Arizona, le Président Obama a déclaré qu'il trouvera ensemble les bonnes solutions pour "réparer le pays". Il a ajouté qu'il comptait remercier son ancien adversaire pour le "remarquable service" qu'il a déjà rendu. Alors qu'on lui demandait s'il comptait aider la future administration, John McCain a répondu: "évidemment".

Puis, Obama a énoncé les principales mesures qu'il comptait prendre dès sa prise de fonctions qui aura lieu le 20 janvier prochain.

D'abord, il compte bien respecter et poursuivre le plan de sauvetage de 700 milliards de dollars en faveur des banques américaines.

Pour lui, la priorité c'est de mieux réguler le système financier mais sans étouffer "l'esprit d'entreprise et de prise de risques du capitalisme américain", seulement pour "rétablir un certain équilibre".

Il a également appelé à ne pas redouter l'aggravation du déficit public en ces temps de crise économique. "Nous ne devons pas nous inquiéter pour le déficit l'an prochain ou même l'année d'après. (...) Le plus important est d'éviter une récession plus grave."

La seconde priorité du Président Obama sera de tout faire pour aider les propriétaires en difficulté qui risquent de voir leur logement saisi. Ainsi, il mettra sur pied des négociations avec les banques et les emprunteurs pour que les gens puissent rester chez eux.

Concernant les questions de sécurité, Obama a assuré que dès sa prise de fonctions, il œuvrerait avec ses conseillers et l'armée à la réduction du contingent américain en Irak, à l'augmentation des troupes en Afghanistan et à "éradiquer al-Qaïda une fois pour toute".

Enfin, il a promis qu'il fermerait définitivement la prison de Guantanamo, à Cuba et qu'il restaurerait la stature morale de l'Amérique dans le monde.

Il a aussi assuré que la capture d'Oussama Ben Laden serait considérée comme un objectif prioritaire.

bon, je vais faire de la pub pour un autre site
http://thepeoplescube.com/red/viewtopic.php?t=3048

je le met là parce que c'est en anglais et que ça cause d'obama
je sais pas si le site c'est des gentils ou des méchants mais en tout cas, c'est pas des tristes

Citation :

"Rentrée difficile pour le président Obama"

Dur d'être président, n'est-ce pas, M. Obama... ?



Rentrée difficile en perspective pour Barack Obama.

Alors que la guerre en Afghanistan, dont il a fait une priorité, est de moins en moins populaire, le président américain, lui-même en chute dans les sondages, va devoir batailler en septembre sur son projet de réforme de la santé, très contesté par les républicains et même certains démocrates.

La rentrée s'annonce chargée et semée d'embûches pour M. Obama, qui va notamment devoir s'employer pour défendre son plan de réforme de la santé, destiné à fournir une assurance-maladie aux quelque 50 millions d'Américains qui en sont dépourvus. La réforme pourrait contraindre les assureurs privés à réduire leurs primes d'assurance pour faire face à la concurrence de la nouvelle assurance publique.

Le projet se heurte à l'opposition farouche des républicains et de certains démocrates "conservateurs", et la Maison Blanche aura sans doute fort à faire pour le maintenir en vie.

Barack Obama est également confronté à un scepticisme croissant sur la guerre en Afghanistan. Le président américain a déjà envoyé près de 20.000 soldats supplémentaires dans le pays, où le niveau des effectifs américains s'élèvera à environ 68.000 hommes à la fin de l'année.

Selon un récent sondage Washington Post-ABC, les Américains ne sont plus que 49% à soutenir la guerre en Afghanistan. Et le conflit pourrait devenir encore plus impopulaire si les pertes de l'armée américaine, confrontée aux rebelles talibans, augmente fortement.

La situation en Irak inquiète également. Le mois de septembre risque d'être difficile dans ce pays, frappé par une recrudescence de la violence, alors que les forces combattantes américaines devront l'avoir quitté d'ici un an.

Autre dossier de la rentrée pour M. Obama: l'Iran. Le président américain a donné jusqu'au 15 septembre à Téhéran pour répondre aux gestes d'ouverture américains sur le dossier du nucléaire iranien. L'Iran est soupçonné de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert de programme nucléaire civil.

L'administration américaine a promis, en l'absence de réponse positive, de rechercher de nouvelles sanctions internationales, mais cette option n'a pas les faveurs de la Russie et de la Chine, deux partenaires commerciaux de Téhéran.

http://qc.news.yahoo.com/s/capress/090831/monde/20090831_usa_obama_rentree_1

...
Dur d'être président, n'est-ce pas, M. Obama... ?

Citation :

"Barack Obama rend hommage aux musulmans qui enrichissent la culture américaine"



Le président des Etats-Unis a salué mardi soir les musulmans américains, qui enrichissent la culture du pays, lors d'un dîner organisé à la Maison Blanche en l'honneur du Ramadan.

"La contribution des musulmans aux Etats-Unis est trop ancienne pour pouvoir en faire l'inventaire car les musulmans sont très impliqués dans nos réseaux communautaires et nationaux", a déclaré Barack Obama, lors de l'iftar, qui rompt la journée de jeûne, en présence de membres de son cabinet, du corps diplomatique et du Parlement.

Le président américain a ainsi rendu hommage à "une religion formidable et à son engagement pour la justice et le progrès".

http://fr.news.yahoo.com/3/20090902/twl-usa-obama-ramadan-diner-224d7fb.html

OmbreBlanche a écrit:

Citation :

"Barack Obama rend hommage aux musulmans qui enrichissent la culture américaine"



Le président des Etats-Unis a salué mardi soir les musulmans américains, qui enrichissent la culture du pays, lors d'un dîner organisé à la Maison Blanche en l'honneur du Ramadan.

"La contribution des musulmans aux Etats-Unis est trop ancienne pour pouvoir en faire l'inventaire car les musulmans sont très impliqués dans nos réseaux communautaires et nationaux", a déclaré Barack Obama, lors de l'iftar, qui rompt la journée de jeûne, en présence de membres de son cabinet, du corps diplomatique et du Parlement.

Le président américain a ainsi rendu hommage à "une religion formidable et à son engagement pour la justice et le progrès".

[url=http://fr.news.yahoo.com/3/20090902/twl-usa-obama-ramadan-diner-224d7fb.html

http://fr.news.yahoo.com/3/20090902/twl-usa-obama-ramadan-diner-224d7fb.html[/quote][/quote[/url]]

Une religion "formidable": c'est un journaliste qui a ecrit ca? A quand une religion "super" ou "top"?

et évidemment, il choisit, pour la photo, une gamine qui est voilée, libre de ses actes !

Citation :

"Un président au creux de la vague"



Regard ailleurs, tête rentrée dans les épaules, traits tirés par de maigres vacances interrompues par la mort du sénateur Ted Kennedy, tel est apparu Barack Obama tandis qu'il s'envolait mercredi pour quelques jours de repos supplémentaires à Camp David.

Ce nouveau break ne sera pas un luxe.

Une rentrée lourde de défis attend le président à partir de lundi. La principale bataille d'Obama concernera la réforme de la santé. S'il échoue, cela pourrait hypothéquer le reste de son mandat.

Après un état de grâce de six mois, marqué par une euphorie planétaire et des discours historiques, des jours et des décisions difficiles se profilent. La violence des attaques menées par les républicains cet été sur le dossier de la réforme de la santé, avec un écho évident, a montré à quelle vitesse le vent était susceptible de tourner et de faire fondre la popularité présidentielle, tombée de 61 % en mars à 54 % ces jours-ci.

Pour avoir lancé ses réformes sur tous les fronts, au motif qu'elles sont liées par le même projet de redéfinition en profondeur de la société améri­caine, le président a pris un risque.

Autre dossier en suspens, qui va nécessiter des efforts acharnés pour convaincre : celui de l'énergie verte et de la réduction des émissions de gaz carbonique. Le camp républicain et les nombreux lobbys pétroliers ou gaziers opposés à la «révolution énergétique» ont commencé à pousser leurs pions en coulisses. Signe qui en dit long : la discussion au Congrès vient d'être repoussée à fin septembre. L'épineux chapitre du chômage, qui pourrait atteindre 10 % et nuire aux démocrates pendant les élections de mi-mandat, fait aussi partie des soucis d'Obama. Même si le plan de relance de l'économie semble porter des fruits encourageants, comme l'a noté jeudi le vice-président Joe Biden.

Pour ajouter au casse-tête, Barack Obama va devoir faire face, fin septembre, à l'offensive de ses partenaires européens français, allemands et même britanniques, qui, dans une lettre commune rendue publique jeudi, appellent le G20 à transformer les limitations sur les bonus des banquiers en «règles obligatoires». Un degré de régulation étatique qui ne plaît pas vraiment outre-Atlantique, où Obama est déjà accusé d'être «socialiste».

Sur le front extérieur, c'est le conflit afghan, de plus en plus meurtrier, qui fait problème. Des voix issues essentiellement du camp présidentiel se font entendre pour dresser des comparaisons avec le Vietnam et prévoir un enlisement catastrophique. Un son­dage de CNN publié mardi indique que 57 % des Américains sont désormais opposés à l'intervention américaine en Afghanistan. Il sera d'autant plus difficile, pour Obama, de dire oui aux demandes de troupes fraîches de ses généraux.

Si on ajoute à tous ces dossiers l'offensive présidentielle sur l'éducation du 8 septembre prochain, la question du nucléaire iranien et le casse-tête de l'héritage de Bush en matière d'antiterrorisme, on comprend le «coup de fatigue» qui semble saisir le jeune président.

Ce dernier va devoir retrouver un peu de la magie qui lui collait aux semelles pour naviguer par gros temps et agir. Pour avoir lu l'his­toire politique de son pays, et notamment celle de ses deux héros, Lincoln et Washington, Obama sait que la grandeur politique se forge dans l'adversité.

http://www.lefigaro.fr/international/2009/09/04/01003-20090904ARTFIG00009-les-epineux-dossiers-de-la-rentree-d-obama-.php

C'est le métier qui rentre...

Cette fois, Obama y est. Fini l'état de grâce. Fini l'euphorie. L'heure des beaux discours et des belles promesses, les envolées lyriques, c'est terminé.

Les Américains veulent des résultats, du concret.

Si le premier métis élu à la Maison Blanche veut vraiment laisser une "trace" dans l'histoire, c'est à lui de jouer désormais.

Le rêve était si beau, il serait dommage pour lui d'abandonner un costume qui se serait avéré finalement trop étroit...

...

Si on ajoute à tous ces dossiers l'offensive présidentielle sur l'éducation du 8 septembre prochain, la question du nucléaire iranien et le casse-tête de l'héritage de Bush en matière d'antiterrorisme, on comprend le «coup de fatigue» qui semble saisir le jeune président.

...

Ah? il a herite de ca aussi? Enfin bon, si l'on considere que les premiers actes terroristes contre des citoyens ou des interets americains remontent au moins a la presidence Carter, il y a un moment que l'heritage se repasse.

Citation :

"Noam Chomsky, comment il juge Obama..."



L'intellectuel américain, professeur de linguistique au MIT de Boston, a soutenu Barack Obama, le percevant comme "le moins pire des deux maux".

Ce qui ne l'empêche pas, sans jamais avoir sombré dans l'obamania, de porter un regard critique sur le nouveau président américain et les Etats-Unis.

Citation :

"Barack Obama annonce des mesures pour les retraites"



Le président américain affirme que son administration doit mettre en place des dispositions pour améliorer le système des retraites et des fonds de pension, durement touchés par la crise financière.

La crise financière aurait fait perdre environs 2.000 milliards de dollars en épargne retraite, a-t-il affirmé. Les Américains n'ont pas de système de retraite public, mais des systèmes d'épargnes définis et cautionnés par l'employeur, des "plans 401(k)" en grande majorité. Les salariés acceptent qu'une partie de leur salaire soit reversé sur ces plans et utilisés en bourse, ce sont les fameux fonds de pension américains.

Faciliter la souscription à des plans retraite

Le président américain a aussi affirmé que la moitié de la population active n'avait pas accès à un plan de retraite dans son entreprise. De plus, moins de 10% d'entre eux avaient souscrit un plan individuel, tels les comptes retraite individuel.

Il a déclaré que son administration allait faciliter la souscription automatique dans les petites entreprises aux plans 401(k) ou à des comptes retraite personnels, sur le schéma des grandes entreprises.

Il souhaite aussi que plus de 100 millions de foyers puissent reverser à leur retraite les excédents d'impôts qu'ils ont payés plus facilement.

Le président a annoncé qu'il compte permettre aux employés qui ne prennent pas leurs congés payés de les transformer en épargne retraite supplémentaire. Enfin, il a déclaré qu'un effort de l'administration allait être mis en œuvre pour débroussailler le maquis des retraites et la publication d'un guide plus clair sur le sujet.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/ameriques/20090905.OBS0054/barack_obama_annonce_des_mesures_pour_les_retraites.html

Bonne initiative.

Il ne reste plus qu'à la mettre en application.

Sylvette a écrit:

Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle...

C'est, au contraire, une grande mesure sociale et historique pour le pays.

Citation :

"Impliqué dans un scandale, le conseiller pour les emplois verts, Van Jones, démissionne"



Van Jones, un ancien militant californien des droits civiques, a démissionné, a annoncé dimanche la Maison Blanche.

La presse américaine évoque des probables pressions des républicains après une controverse sur ses déclarations à propos du 11-Septembre.

L'ancien conseiller était effectivement au centre d'une polémique.

Sa signature avait en effet été remarquée au bas d'une pétition se demandant si les responsables du gouvernement de l'ex-président George W. Bush "n'avaient pas volontairement permis les événements du 11-Septembre afin d'avoir un prétexte pour déclarer la guerre", rapporte le Washington Post.

Il aurait également eu des mots "crus" pour qualifier les républicains lors d'un discours avant d'entrer en fonction à la Maison Blanche, toujours selon le quotidien.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jTWsOkOOf19GAymEENZNmK0-PDQA

OmbreBlanche a écrit:

Sylvette a écrit:

Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle...

C'est, au contraire, une grande mesure sociale et historique pour le pays.

Ce qui est drole est qu'il se croit encore en campagne electorale notre president et qu'en essayant de remonter dans les sondages, il fait des promesses aux retraites, les memes qui s'il reussit son plan, risquent de se retrouver tres rapidement sans assurance.

Et puis si j'ai envie d'en rire (avant d'en pleurer ), c'est mon droit, pour autant que je sache, vous n'etes pas de ceux qui ont a subir les consequences des actes de ce gouvernement. Ah mais.

Enfin, la seule chose historique dont on soit certains, c'est le deficit qu'il va nous laisser... Vous voulez aider les Americains a le payer?

Sylvette a écrit:

Enfin, la seule chose historique dont on soit certains, c'est le deficit qu'il va nous laisser... Vous voulez aider les Americains a le payer?

Vous ne voulez donc pas d'une grande Sécurité Sociale Universelle à la Française ?

Non merci pas vraiment:

Confusion autour de la hausse du forfait hospitalier
C.J. et B.F. (lefigaro.fr) avec AFP et AP
06/09/2009 | Mise à jour : 23:29

Le gouvernement envisage d'augmenter fortement le tarif de l'hospitalisation. Mais aucune décision n'a encore été prise, ont tempéré des ministres. Certains médicaments pourraient aussi être moins remboursés.

Une piste de travail, et peut-être un peu plus. Ce dimanche, plusieurs représentants de la majorité ont alterné les déclarations contradictoires après la parution d'une information du Journal du dimanche laissant entendre que le forfait hospitalier allait augmenter de 25%. Catégorique, Xavier Darcos a ainsi confirmé que le gouvernement était «obligé de faire cet ajustement» afin de faire face à un déficit de la Sécurité sociale qui devrait atteindre, en raison de la crise, le niveau record de 20 milliards d'euros en 2009.

....

Citation :

"Obama dans Newsweek : "Rappeler le rôle de l’Etat"



Le président américain Barack Obama estime qu'il est temps de défendre le rôle positif de l’Etat dans la vie des Américains.

Une ligne politique qui est loin d'être acceptée par tous.

Les Américains ont toujours éprouvé une saine méfiance à l’égard de l’Etat, mais le portrait d’Obama en socialiste masqué, acharné à démanteler les libertés civiles, tel qu'en dresse certains, est à ce point fantaisiste que la Maison Blanche a tardé à prendre l’affaire au sérieux.

Aujourd’hui, pourtant, Obama en paye le prix. Le soutien à la réforme de l’assurance santé connaît une chute vertigineuse, et sa cote de confiance avec lui — 52 % dans le dernier sondage Pew Research Center.

Une certaine panique commence à naître même chez les Démocrates à l’approche des élections de l’an prochain au congrès.

Lorsqu’un président dont le parti est au pouvoir passe sous les 53 % de bonnes opinions, l’histoire récente suggère que le prix à payer à la chambre peut être substantiel — 20 sièges ou plus. En 1994, la dernière fois où fut à l’ordre du jour la réforme de l’assurance santé, les Républicains avaient emporté 54 sièges, dans le sillage de l’échec d’Hillary Clinton à faire passer la réforme.

La bataille d'Obama est loin d'être gagnée.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/20090907.OBS0279/dans_newsweek__rappeler_le_role_de_letat.html

Le role principal de l'etat? proteger les citoyens de tout attaque exterieure.

Le reste, l'education, la sante, l'economie, les syndicats.. le moins d'interference, le mieux Ca limite l'envie d'augmenter les impots, de restreindre les libertes et d'imposer une ideologie (de facon, faut-il le preciser, qui ne peut etre qu'unilaterale de la part du parti au pouvoir).

Chère Sylvette,

Dieu sait si je suis pour la liberté d'entreprise mais comment font les pauvres gens dans le plus riche pays du monde pour survivre à une maladie ou à la vieillesse quand la vie n'a pas été tres aimable evec eux...
Doivent ils comme les pauvres immigrés de Marbella travailler jusqu'au dernier jour !!!

Sylvette a écrit:

Le role principal de l'etat? proteger les citoyens de tout attaque exterieure.

Le reste, l'education, la sante, l'economie, les syndicats.. le moins d'interference, le mieux Ca limite l'envie d'augmenter les impots, de restreindre les libertes et d'imposer une ideologie (de facon, faut-il le preciser, qui ne peut etre qu'unilaterale de la part du parti au pouvoir).

Comme toute autre commodite, les assurances medicales doivent etre en competition.

De la part du gouvernement:

- Certaines reglementations (prises de facon bi-laterales) pour, par exemple, limiter l'envol des primes

- Des avantages fiscaux aux dirigeants de societes (particulierment des PME) pour que celles-ci offrent une assurance a tous les employes le desirant. (je rappelle que beaucoup de jeunes, a tort d'ailleurs refusent de s'assurer meme s'ils en ont financierement les moyens, mais meme ca c'est leur droit)

- en aucun cas, mettre en place une machine poussive et couteuse, basee sur des dizaines de milliers de fonctionnaires - payes par les contribuables evidemment s'ils sont fonctionnaires... mais j'insiste tout de meme parce qu'une fois ces personnes en place, c'est a l'infini (une assurance privee, on peut en changer et on peut intenter proces), entre les patients et le corps medical.

Juste en passant...

Il y a une vingtaine d'années la compagnie d'assurances médicales allemande DKV s'est implantée en Belgique.
D'emblée elle a affiché ses ambitions en proposant à l'État de racheter l'INAMI (salariés) et l'INASTI (indépendants), l'équivalent de la Sécu en France.

De mémoire, pour des prestations équivalentes ses frais de gestion étaient environ 25% de ceux des deux organismes officiels...

Après d'âpres discussions sa propostion a finalement été rejetée pour des raisons de partage de la main mise politique sur ces organismes.

Le régime local de sécurité sociale [modifier]


La Reichsversicherungsordnung de 1911 était une mutuelle complémentaire obligatoire.

Aujourd'hui encore, le taux de couverture base de la sécurité sociale alsacienne-mosellane est de 90 % (80 % pour les médicaments remboursées à 35 % ailleurs en France) et de 100 % pour l'hospitalisation (pas de forfait journalier). Ce régime complémentaire est équilibré (alternance entre périodes déficitaires et excédentaires)^[18] et payé uniquement par une cotisation sociale supplémentaire des salariés alsaciens et mosellans (1,8 % du salaire brut au 1.1.2006)^[19]. En contrepartie, les mutuelles facultatives sont moins chères que dans le reste de la France.



quand quelque chose fonctionne bien il faut en prendre de la graine mais surtout............ changer le nom de la mutuelle !!!!!

pardon ce message ne concerne pas les USA mais je ne suis pas hors sujet, c'est quand même la sécu

Citation :

"Barack Obama accusé par l'opposition d'endoctriner la jeunesse..."

Les conservateurs américains resteront toujours aussi cons...



Avant même de prononcer son discours mardi 8 septembre devant les élèves d'un collège d'Arlington, dans la banlieue de Washington, Barack Obama a suscité une vive polémique.

Le président américain, selon le texte du discours mis en ligne par la Maison Blanche, devait inviter les élèves à se sentir responsable de leurs études, être assidus, et à écouter leurs professeurs.

Citation :

"Nous avons besoin que chacun d'entre vous développe ses talents, son intelligence, pour vous aider à résoudre vos problèmes les plus difficiles. Si vous ne le faites pas, si vous abandonnez l'école, vous ne vous abandonnez pas seulement vous-même, vous abandonnez aussi votre pays"

, devait-il annoncer mardi à partir de 12h00 (16h00 GMT).

Groupes conservateurs et républicains ont immédiatement dénoncé une opération d'endoctrinement.

Ils ont tiré parti d'un document envoyé par le ministère de l'Education aux établissements scolaires, proposant une liste d'activités de classe à l'occasion du discours, comme écrire au président pour l'aider à remplir ses objectifs en matière d'éducation.

Le ministère a depuis modifié ce document, reconnaissant que sa formulation était maladroite.

Mais la polémique est lancée.

Elle donne aux républicains une nouvelle occasion de s'opposer à Barack Obama au moment où le président, en baisse dans les sondages, s'efforce de convaincre l'opinion du bien-fondé de son projet de réforme d'assurance-santé.

Le président du Parti républicain de Floride, Jim Greer, s'est dit "absolument horrifié que l'argent du contribuable soit dépensé pour répandre l'idéologie socialiste du président Obama", et certains directeurs d'écoles ou collèges ont annoncé qu'ils ne diffuseraient pas la retransmission du discours.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/20090908.OBS0442/polemique_autours_dun_discours_dobama_sur_leducation.html

Les conservateurs américains ne changeront visiblement leurs méthodes et resteront toujours aussi autistes...

Citation :

Barack Obama devait inviter les élèves à se sentir responsable de leurs études, être assidus, et à écouter leurs professeurs.

En quoi le fait de dire à un élève d'être responsable, assidu en classe et écouter ses professeurs, c'est répandre l'idéologie "socialiste"... là, faut qu'on m'explique...

Je trouve, au contraire, très bien qu'un président prenne le temps de s'adresser à la jeunesse de son pays et qui incarne l'espoir de la nation et la motive par des paroles justes, sages et sensées.