Le Monde selon Barack...

Rappel du premier message :




Avec le sénateur de l'Arizona, le Président Obama a déclaré qu'il trouvera ensemble les bonnes solutions pour "réparer le pays". Il a ajouté qu'il comptait remercier son ancien adversaire pour le "remarquable service" qu'il a déjà rendu. Alors qu'on lui demandait s'il comptait aider la future administration, John McCain a répondu: "évidemment".

Puis, Obama a énoncé les principales mesures qu'il comptait prendre dès sa prise de fonctions qui aura lieu le 20 janvier prochain.

D'abord, il compte bien respecter et poursuivre le plan de sauvetage de 700 milliards de dollars en faveur des banques américaines.

Pour lui, la priorité c'est de mieux réguler le système financier mais sans étouffer "l'esprit d'entreprise et de prise de risques du capitalisme américain", seulement pour "rétablir un certain équilibre".

Il a également appelé à ne pas redouter l'aggravation du déficit public en ces temps de crise économique. "Nous ne devons pas nous inquiéter pour le déficit l'an prochain ou même l'année d'après. (...) Le plus important est d'éviter une récession plus grave."

La seconde priorité du Président Obama sera de tout faire pour aider les propriétaires en difficulté qui risquent de voir leur logement saisi. Ainsi, il mettra sur pied des négociations avec les banques et les emprunteurs pour que les gens puissent rester chez eux.

Concernant les questions de sécurité, Obama a assuré que dès sa prise de fonctions, il œuvrerait avec ses conseillers et l'armée à la réduction du contingent américain en Irak, à l'augmentation des troupes en Afghanistan et à "éradiquer al-Qaïda une fois pour toute".

Enfin, il a promis qu'il fermerait définitivement la prison de Guantanamo, à Cuba et qu'il restaurerait la stature morale de l'Amérique dans le monde.

Il a aussi assuré que la capture d'Oussama Ben Laden serait considérée comme un objectif prioritaire.

Citation :

"Barack Obama accusé par l'opposition d'endoctriner la jeunesse..."

Les conservateurs américains resteront toujours aussi cons...



Avant même de prononcer son discours mardi 8 septembre devant les élèves d'un collège d'Arlington, dans la banlieue de Washington, Barack Obama a suscité une vive polémique.

Le président américain, selon le texte du discours mis en ligne par la Maison Blanche, devait inviter les élèves à se sentir responsable de leurs études, être assidus, et à écouter leurs professeurs.

Citation :

"Nous avons besoin que chacun d'entre vous développe ses talents, son intelligence, pour vous aider à résoudre vos problèmes les plus difficiles. Si vous ne le faites pas, si vous abandonnez l'école, vous ne vous abandonnez pas seulement vous-même, vous abandonnez aussi votre pays"

, devait-il annoncer mardi à partir de 12h00 (16h00 GMT).

Groupes conservateurs et républicains ont immédiatement dénoncé une opération d'endoctrinement.

Ils ont tiré parti d'un document envoyé par le ministère de l'Education aux établissements scolaires, proposant une liste d'activités de classe à l'occasion du discours, comme écrire au président pour l'aider à remplir ses objectifs en matière d'éducation.

Le ministère a depuis modifié ce document, reconnaissant que sa formulation était maladroite.

Mais la polémique est lancée.

Elle donne aux républicains une nouvelle occasion de s'opposer à Barack Obama au moment où le président, en baisse dans les sondages, s'efforce de convaincre l'opinion du bien-fondé de son projet de réforme d'assurance-santé.

Le président du Parti républicain de Floride, Jim Greer, s'est dit "absolument horrifié que l'argent du contribuable soit dépensé pour répandre l'idéologie socialiste du président Obama", et certains directeurs d'écoles ou collèges ont annoncé qu'ils ne diffuseraient pas la retransmission du discours.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/20090908.OBS0442/polemique_autours_dun_discours_dobama_sur_leducation.html

Les conservateurs américains ne changeront visiblement leurs méthodes et resteront toujours aussi autistes...

Citation :

Barack Obama devait inviter les élèves à se sentir responsable de leurs études, être assidus, et à écouter leurs professeurs.

En quoi le fait de dire à un élève d'être responsable, assidu en classe et écouter ses professeurs, c'est répandre l'idéologie "socialiste"... là, faut qu'on m'explique...

Je trouve, au contraire, très bien qu'un président prenne le temps de s'adresser à la jeunesse de son pays et qui incarne l'espoir de la nation et la motive par des paroles justes, sages et sensées.

Obama, c'est d'abord un style. Un style fait à la fois de fermeté, de vision et de proximité avec ses concitoyens.

Alors que sa popularité globale a décliné, il garde encore une image personnelle et politique qui, malgré ce que l'on peut croire, reste forte.

Barack Obama a su redonner aux Américains confiance dans l'institution de la présidence. En revanche, le niveau de confiance dans les autres institutions a beaucoup baissé.

Alors, je crois que tout dépendra de la manière dont Obama inscrira sa sa présidence dans la lignée des grandes transformational presidencies que les États-Unis ont pu connaître dans le passé (à l'image d'un Roosevelt, par exemple).

Le "New Beginning" de Reagan comme le "New Deal" de Roosevelt ont mis en place de nouveaux régimes. Qu'en sera t-il de la présidence Obama ?

A mon avis, il y a un nouveau progressisme.

Même pendant les huit années de Clinton, ce dernier était l'otage des conservateurs. Il faisait encore partie intégrante de l'ère Reagan. Aujourd'hui, c'est une nouvelle ère, l'ère la plus progressiste en matière politique depuis 1964 avec Lyndon Johnson.

Pour l'instant, le leader transformationnel semble emporter la conviction sur le terrain de la politique étrangère et sur celui du terrorisme, mais la résistance de l'ère ancienne est plus forte sur le terrain économique et social.

C'est là qu'il doit réussir son challenge.

Sincèrement, j'y crois... ce gars là est génial et je pense qu'il apportera beaucoup à l'Amérique.

Dubitatif, OmbreBlanche pipant mot a écrit:

En quoi le fait de dire à un élève d'être responsable, assidu en classe
et écouter ses professeurs, c'est répandre l'idéologie "socialiste"... là, faut qu'on m'explique...

Ce serait tout simplement le cas si les enseignants autorisés à être écoutés
étaient les hussards roses de la Fédération.
Mais attention celui qui est écouté n'est pas nécessairement entendu...
L'idéologie est un long fleuve méandreux et tumultueux qui n'arrive pas forcément jusqu'à la mer.
S'il y arrive, il s'y noit.

EddieCochran a écrit:

S'il y arrive, il s'y noit.

Pas forcément.

Et si on lui apprend à nager ?

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OmbreBlanche en faisant la planche a écrit:

Pas forcément.

Et si on lui apprend à nager ?

C'est sûrement pour ce faire qu'on dit que certains fleuves ont des bras.

C'est sûrement pour ce faire qu'on dit que certains fleuves ont des bras. (Eddies)


Fleuves ou fleurtes, j'ai pas bien compris

530 -

Citation :

Fleuves ou fleurtes, j'ai pas bien compris

Aucune importance, les deux ont un rapport - si j'ose dire - avec la drague.

Citation :

"Réforme de santé : Barack Obama à l'épreuve du Congrès"



Le président américain, chahuté au cours d'un été marqué par un débat houleux sur la réforme santé et de mauvais sondages, va se présenter mercredi soir devant le Congrès pour tenter de reprendre la main sur l'une de ses grandes priorités législatives.

"Nous allons construire une Amérique où la réforme de la santé apporte davantage de stabilité et de sécurité à chaque Américain", a déclaré lundi le locataire de la Maison-Blanche dans un discours aux accents de campagne à l'occasion de la fête du Travail ("Labor day") à Cincinnati dans l'Ohio.

"Le débat a du bon car c'est important. Nous devons faire cela bien. Mais tout débat doit avoir une fin", a-t-il prévenu en laissant préfigurer un discours au cours duquel il devrait affirmer fermement devant les parlementaires la nécessité de parvenir à un compromis sur la réforme santé.

Le discours au Congrès interviendra au lendemain de la rentrée parlementaire, après un mois d'août marqué par une première baisse de la cote de popularité de Barack Obama.

Dès le 6 août, à la veille de son 200e jour à la présidence, la popularité du premier homme des États-Unis est tombée à 50%, le taux le plus bas depuis son investiture.

Depuis, sa cote reste à des niveaux comparables.

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-09-09/systeme-de-sante-barack-obama-a-l-epreuve-du-congres/924/0/375421

Le moment est important pour Barack Obama.

Du résultat de ce projet, dépendra le reste de son mandat. Et le pari n'est pas simple... il s'agit de plier les compagnies d'assurances qui ne veulent pas assurer les gens modestes à moins 20 ou 30 % en dessous de ce que paient les autres.

Ces mêmes compagnies dont certaines ont été sauvées par le Fédéral.

Elles seront donc, à mon avis, contraintes et forcées de se conformer au projet d'Obama.

A mon avis, cela va passer.

Citation :

"Obama met des lycéens en garde contre les vices de Facebook et YouTube"



Le président américain a prévenu mardi les jeunes Américains des dangers des sites sociaux, rappelant que les informations sur leur vie privée pourraient revenir les hanter quelques années plus tard.

Lors d'une séance de questions-réponses avec un groupe de lycéens âgés de 14 et 15 ans, un jeune ambitieux a demandé au président américain de lui donner un conseil pour lui succéder.

"D'abord, quelques conseils pratiques", a commencé Barack Obama. "Première chose, je veux que tout le monde ici soit très prudent avec ce que vous mettez sur Facebook, car à l'ère YouTube, tout ce que vous faites pourra vous être présenté plus tard dans votre vie".

"Et quand vous êtes jeunes, vous faites des erreurs et des choses stupides. J'ai entendu beaucoup d'histoires de jeunes qui mettent des choses sur Facebook puis postulent à un emploi, mais l'entreprise a alors fait des recherches", a-t-il ajouté.

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/medias/20090909.REU2101/obama_met_des_lyceens_en_garde_contre_les_vices_de_face.html

Encore une fois, il a raison.

Si un président ne le dit pas aux jeunes, qui le dira ?

Facebook et Youtube sont des outils intéressants et amusants, mais encore faut-il savoir les utiliser. Beaucoup trop de jeunes Américains ne font pas attention et se retrouvent piégés.

C'est important de les mettre en garde.

Citation :

"Réforme de la santé :
Le temps des chamailleries est fini, il faut agir !"



Le président américain presse le Congrès d'agir immédiatement pour réformer le système de santé et refuse de "perdre (son) temps" avec ceux qui s'opposent systématiquement au projet, dans un discours crucial qu'il doit prononcer ce mercredi soir devant le parlement.

"Le temps des chamailleries est révolu. Le temps des petits jeux est terminé. Le moment est venu d'agir", dit M. Obama dans ce discours très attendu, selon des extraits publiés par la Maison Blanche.

Dans cette allocution prévue à 20H00 (minuit GMT), M. Obama devait relever l'esprit de coopération qu'ont montré certains. Mais il a aussi observé au cours des derniers mois "le même spectacle partisan qui ne fait que renforcer le mépris que de nombreux Américains ont envers leur propre gouvernement".

Il dit qu'il continuera à rechercher le compromis dans les semaines à venir. "Mais sachez ceci: je ne perdrai pas mon temps avec les calculateurs pour lesquels il est de meilleure politique de tuer ce plan que de l'améliorer", a-t-il dit, sans désigner explicitement ses adversaires républicains.

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-09-10/reforme-de-la-sante-obama-presse-le-congres-d-agir-sans-attendre/924/0/375709

Il dit qu'il continuera à rechercher le compromis dans les semaines à venir. "Mais sachez ceci: je ne perdrai pas mon temps avec les calculateurs pour lesquels il est de meilleure politique de tuer ce plan que de l'améliorer", a-t-il dit, sans désigner explicitement ses adversaires républicains.

Quelle logique ou alors quel manque de candeur!

1) il continuera a rechercher le compromis
2) il ne perdra pas son temps avec les calculateurs
3) les calculateurs sont les Republicains

Si les seuls avec lesquels Barack Obama souhaite rechercher le compromis sont les Democrates Bleus (sans lesquels son plan n'a aucune chance), ou est passee sa promesse electorale de travailler de facon bi-laterale avec les Republicains?

Le gouvernement Obama, un gouvernement socialiste? Qui oserait maintenant soutenir le contraire? Apres 8 mois a la Maison Blanche.

Mais juste au cas ou: un conseiller de Barack Obama suggere maintenant une redistribution des ressources energetiques (en anglais)

ALLONS SYLVETTE, UN DESSIN OU MÊME UN REBUS.......... PAS À VOUS....









LE BUT EST DE FAIRE PASSER UNE RÉFORME SOCIALE INDISPENSABLE POUR CHACUN ET ELLE PASSERA !!!

Laquelle passera?

Citation :

«Je ne signerai pas un projet de loi qui ajoute le moindre centime à notre déficit»





Dans un discours émouvant prononcé devant les deux chambres du Congrès, le président américain a dénoncé les mensonges de ceux qui s'opposent à son projet.

«Nous ne sommes pas venus ici pour avoir peur du futur. Nous sommes venus ici pour le forger», a-t-il lancé sous les applaudissements nourris du camp démocrate, qui s'est levé plus de 25 fois pour l'acclamer debout, tandis que les Républicains restaient généralement assis sans applaudir.

«Depuis cent ans et l'époque de Théodore Roosevelt, maints présidents ont tenté de réformer la santé…Mais je suis résolu à être le dernier !», a poursuivi le président.

«Je n'accepterai pas le statu quo. Pas cette fois, pas aujourd'hui», a martelé Barack Obama après avoir noté que le Congrès était d'accord très proche du but, puisqu'un accord existait sur 80% du projet. «Tout le monde sait qu'il faut une réforme», a dit le président.

Promettant de protéger les petites entreprises, qui n'ont pas actuellement les moyens de se doter d'une couverture maladie trop onéreuse. «Je ne signerai pas un projet de loi qui ajoute le moindre centime à notre déficit. Les économies seront faites dans le système existant, a-t-il insisté, jugeant que l'augmentation du coût des assurances privées et la mauvaise gestion de Medicare, l'assurance d'Etat qui couvre les personnages âgées, étaient responsables de l'essentiel du déficit»

Cette question du financement de la réforme, reste sans aucun doute le principal levier sérieux sur lequel les Républicains pourraient encore jouer.

Obama a aussi tenu à rectifier tous les «mensonges» proférés sur sa réforme par ses adversaires conservateurs, de la désinformation sur son intention supposée de créer des tribunaux de la mort pour personnes âgées à la fausse rumeur selon laquelle la couverture maladie s'étendrait aux immigrés illégaux. «Je ne perdrai pas mon temps avec les calculateurs qui pensent qu'il est de meilleure politique de tuer ce plan plutôt que l'améliorer», a-t-il averti.

L'avertissement semble clairement indiquer que les Démocrates iront de l'avant avec un plan ambitieux si les Républicains choisissent l'obstruction.

Reconnaissant que «l'individualisme des Américains, leur scepticisme farouche pour tout gouvernement excessif» est «un trait fondamental» et remarquable du peuple américain, Obama a souligné que l'empathie extraordinaire de Ted Kennedy pour ses semblables n'était pas «quelque chose de républicain ou de démocrate, mais également une partie de ce caractère» national.

Il a souligné qu'en 1935 pendant la grande crise, ou en 1965, pendant le vote de l'assurance Medicare pour les retraités, le Congrès s'était réuni dans l'adversité pour voter des lois sociales historiques, comprenant qu'«une insuffisance de gouvernement peut-être parfois aussi dangereuse qu'un excès de gouvernement».

Une manière d'appeler, sans illusion mais avec force ses adversaires, au compromis historique.

http://www.lefigaro.fr/international/2009/09/10/01003-20090910ARTFIG00298-reforme-de-la-sante-obama-revient-en-premiere-ligne-.php

JACKLELOUP a écrit:

Il tire la gueule.

C'est un tueur...

"Les USA ne faibliront jamais dans la traque d'Al-Qaïda"


Après avoir observé un moment de silence, Barack Obama a affirmé vendredi la détermination des Etats-Unis à combattre Al-Qaïda, le jour où il préside pour la première fois au deuil national observé pour le huitième anniversaire des attentats du 11-Septembre.




Monde - International 16:40 Barack Obama a affirmé vendredi la détermination des Etats-Unis à combattre Al-Qaïda, le jour où il préside pour la première fois au deuil national observé pour le huitième anniversaire des attentats du 11-Septembre. "Nous ne fléchirons jamais dans la défense de notre pays, nous ne faiblirons jamais dans la traque d'Al-Qaïda et des extrémistes qui lui sont alliés", a dit le président américain, au cours d'une des commémorations organisées à la mémoire des victimes des attentats terroristes les plus graves jamais perpétrés sur le sol américain, au Pentagone, près de Washington. "Renouvelons ici notre détermination à combattre ceux qui ont perpétré cet acte barbare et qui continuent à nous vouloir du mal", a-t-il dit.
Barack Obama a aussi exprimé l'immensité de la peine causée par les attentats: "Les saisons qui passent ne peuvent pas diminuer la douleur et le manque infligés ce jour-là; le temps qui passe, le ciel noir ne pourront jamais atténuer la signification de cet instant".
Moment de silence
Plus tôt, à 08H46, l'heure exacte à laquelle un premier avion détourné avait percuté l'une des tours du World Trade Center à New York, le président avait observé un moment de silence à la Maison Blanche . Après qu'un Marine en tenue d'apparat eut fait tinter un carillon à trois reprises, M. Obama, vêtu de sombre, et son épouse Michelle, en robe noire, ont incliné leur tête et observé ce moment de silence entourés d'environ 150 membres de l'administration.
Puis M. Obama a redressé le chef et porté sa main sur le coeur quand a retenti la sonnerie aux morts. La pluie battante qui tombait sur Washington vendredi a cessé quelques instants seulement avant que M. Obama et son épouse n'apparaissent sur la pelouse de la Maison Blanche.
C'est la première fois que Barack Obama, qui n'était en 2001 qu'un parlementaire de l'Illinois, préside à la journée de deuil observée à la mémoire des quelque 3.000 personnes tuées dans le plus grave attentat terroriste jamais perpétré sur le sol américain.
Que faisait Obama le 11/09 ?
Barack Obama était en voiture à Springfield et se rendait à une séance de travail du parlement local ce jour-là à Chicago quand il a entendu les premières informations sur ces événements qui devaient changer le cours de l'histoire américaine et de la présidence de son prédécesseur George W. Bush.
Il avait ensuite passé l'après-midi dans son bureau à regarder les images de la tragédie.

Donc, il croit a l'existence d'al-qaida.

Alors, Jam , est vraiment un des rares a en douter.

Citation :

“We will never falter !”.



Premier 11 septembre pour le président Obama et premier discours à la nation pour cette journée d’hommage et de deuil national.

C’est depuis le Pentagone près de Washington, que le président américain s’est adressé à ses compatriotes, les exhortant à garder la force de continuer.

“ 8 mois de septembres ont passés dit-il, près de 3000 jours, presque un jour pour chaque vie qui a été prise. Les saisons qui passent ne peuvent pas diminuer la douleur et le manque infligés ce jour-là. Ni le temps qui passe, ni les ciels noirs ne pourront jamais atténuer la signification de cet instant. Renouvelons ici notre détermination à combattre ceux qui ont perpétré ces actes barbares et qui continuent à nous vouloir du mal. Nous ne fléchirons jamais dans la défense de notre pays, nous ne faiblirons jamais dans la traque d’Al-qaïda et des extrémistes qui lui sont alliés.”

Le président a ensuite déposé une couronne de fleurs en mémoire aux 184 victimes du Boeing d’American Airlines qui s’est écrasé contre le bâtiment du Pentagone.

http://fr.euronews.net/2009/09/11/premier-11-septembre-pour-obama/

Voilà un beau discours digne d'un chef déterminé !

Nous ne fléchirons jamais dans la défense de notre pays, nous ne faiblirons jamais dans la traque d’Al-qaïda et des extrémistes qui lui sont alliés.”

Il va acheter des pistolets a eau pour jouer avec les islamistes.

Citation :

"Obama accuse les républicains de vouloir torpiller sa présidence"



Barack Obama a accusé certains républicains de s'opposer à son projet de réforme du système de santé uniquement dans l'intention de torpiller sa présidence, au cours d'une interview diffusée dimanche sur la chaîne de télévision CBS.

"Je pense qu'actuellement nous en sommes à une situation politique où certains au sein du parti républicain pensent que la meilleure chose à faire est simplement de tuer la réforme, que c'est là une bonne politique", a affirmé Barack Obama dans cette interview enregistrée vendredi. "Je crois que nous aurons suffisamment de votes pour faire passer non pas juste une quelconque loi sur la santé, mais une bonne loi sur la santé qui aide le peuple américain, réduise les coûts, permette à long terme de contrôler le déficit (du budget)", a-t-il poursuivi.

"Une réplique des années 1993-1994"

Les républicains affirment s'opposer aux réformes de Barack Obama à cause de leur coût important, évalué à 900 milliards de dollars, et accusent les démocrates de vouloir mettre en place un contrôle du gouvernement sur la santé. Barack Obama a affirmé que pour beaucoup il s'agit simplement de torpiller sa présidence en faisant échouer les réformes comme ils le firent la dernière fois qu'un jeune démocrate arriva à la Maison-Blanche avec des idées semblables, faisant allusion à Bill Clinton. "Je pense qu'il y en a certains qui conçoivent ça comme une réplique des années 1993-94", a-t-il affirmé.

"Vous savez bien : un jeune président arrive, il propose un système de santé. Ça échoue et alors les républicains utilisent ça pour gagner les élections au Congrès lors de l'élection d'après... Je pense que certains sont en train de vouloir dépoussiérer ce scénario", a-t-il ajouté. Barack Obama a réitéré par ailleurs qu'il assumerait toute la responsabilité d'un échec si ses réformes ne mettaient pas un frein aux dépenses vertigineuses de l'assurance maladie aux États-Unis.

http://www.lepoint.fr/presidentielle-americaine/2009-09-14/reforme-du-systeme-de-sante-obama-accuse-les-republicains-de-vouloir-torpiller-sa-presidence/1781/0/376886

"Obama accuse les républicains de vouloir torpiller sa présidence"

Comme les Democrates ont torpille celle de Bush 43?

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Les républicains affirment s'opposer aux réformes de Barack Obama à cause de leur coût important, évalué à 900 milliards de dollars, et accusent les démocrates de vouloir mettre en place un contrôle du gouvernement sur la santé. Barack Obama a affirmé que pour beaucoup il s'agit simplement de torpiller sa présidence en faisant échouer les réformes comme ils le firent la dernière fois qu'un jeune démocrate arriva à la Maison-Blanche avec des idées semblables, faisant allusion à Bill Clinton. "Je pense qu'il y en a certains qui conçoivent ça comme une réplique des années 1993-94", a-t-il affirmé.

Alors, reprenons:

Barack Obama a affirmé que pour beaucoup il s'agit simplement de torpiller sa présidence en faisant échouer les réformes comme ils le firent la dernière fois qu'un jeune démocrate arriva à la Maison-Blanche avec des idées semblables, faisant allusion à Bill Clinton. "Je pense qu'il y en a certains qui conçoivent ça comme une réplique des années 1993-94", a-t-il affirmé.

Ben oui parce que:

Les républicains affirment s'opposer aux réformes de Barack Obama à cause de leur coût important, évalué à 900 milliards de dollars, et accusent les démocrates de vouloir mettre en place un contrôle du gouvernement sur la santé.

C'est pas si difficile que ca a comprendre si? Rien de personnel, rien de raciste, une ENORME divergence d'idees.

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"Je crois que nous aurons suffisamment de votes pour faire passer non pas juste une quelconque loi sur la santé, mais une bonne loi sur la santé qui aide le peuple américain, réduise les coûts, permette à long terme de contrôler le déficit (du budget)", a-t-il poursuivi.

et apres on se demande pourquoi des Joe Wilson perdent leur sang-froid!

Toujours au sujet de:

Le point: "Obama accuse les républicains de vouloir torpiller sa présidence" et de

Moa: Comme les Democrates ont torpille celle de Bush 43?
Je me demande si la bonne devise de Jam "C'est celui qui le dit qui l'est" ne pourrait pas etre facilement reformatee pour l'occasion en "C'est ceux qui le disent qui l'ont fait!"

car enfin, c'est marrant, enfin bon, surprenant, tout de meme que la raison primodiale officielle pour laquelle les Democrates haissaient tant Pres. Bush et ont tout fait pour le detruire etait: LA GUUUERRE!

Ils souhaitaient que nos "boys" rentrent chez eux. Et qu'est-il arrive?

Nos "boys" sont en Afghanistan, la ou Barack Obama les y laisse. Alors que comprendre?

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Peut-etre et meme surement:

- que ce plan de remaniement social est prevu depuis des decenies (comme le fait est en train de faire surface)
- que le Sen. Kennedy en ait voulu a Carter de ne pas l'avoir instaure (comme ca l'est maintenant dit depuis sa mort)
- que l'extreme gauche americaine (n'oublions pas que Barack Obama avait ete nomme l'annee precedant son election, le Senateur le plus a gauche de tous les Democrates, que son grand ami Kennedy etait lui aussi un extra liberal, comme l'est egalement Howard Dean - le candidat malheureux au primaire bien que soutenu par Eddie ) est bel et bien prete a tout pour instaurer cet "agenda" pour le moins socialiste.

aujourd'hui on s'apprête à rendre un juste hommage au journaliste qui lança ses chaussures à la tête de Bush, comme tant d'américains rêvent de le faire eux-mêmes.

en revoyant ces images, diffusées presque en boucle par la télévision à l'occasion de la libération dudit journaliste, il faut toutefois reconnaître que Bush s'est bien sorti de cet incident. Il a montré non seulement de très bons réflexes, mais surtout un sang froid et une maîtrise assez extraordinaire, car apres tout il pouvait penser qu'on ne lui envoyait pas des chaussures mais plutot des grenades, dans un pays où - grâce à lui et à cette terrible faute que fut l'invasion de l'Iraq - des bombes explosent tous les jours et où des américains se font tuer tous les deux jours.

on le voit évitant ces chaussures et reprendre aussitôt sa position et posture officielles, sourire aux lèvres, avec un geste d'apaisement de la main envers le service d'ordre ou son entourage (on ne distingue pas bien à qui ce geste s'adresse mais il est là). c'est à peine s'il parait se demander ce qui est arrivé, il parait avoir pris la mesure du danger et avoir compris qu'il ne s'agissait que d'un geste symbolique.

de plus il ne parait pas avoir poursuivi le journaliste de sa vindicte personnelle et selon toute vraisemblance, n'a pas interféré dans la décision du tribunal qui a condamné le journaliste.

Bush a été, de toute l'histoire des Etats-Unis, le président le plus catastrophique, sans doute, tant en matière économique/sociale qu'en matière diplomatique - même s'il s'était vers la fin séparé de son entourage initial ultra-conservateur, et qu'il avait compris que ces fanatiques étaient aussi lunatiques...aussi désastreux qu'a été son mandat, il faut lui reconnaître son sang-froid.

Faut-il comprendre Cercle puisque vous ne critiquez que la guerre en Iraq, vous souteniez, meme si de facon tacite, la guerre en Afghanistan? Car enfin, si vous avez poste sur ce fil, c'est qu'il doit bien y avoir un rapport avec Barack Obama.