Gastronomie et oenologie

Rappel du premier message :

oui Eddie, mais c'est Naïce    vous avez le soleil, la mer ........... ça se paie d'une façon ou d'une autre

tandis que moi, j'ai les vaches, les cochons, les poules (ah, les poules,  vous aussi je crois ............ pardon )

les citrons, pour moi, ils sont sur l'arbre, et pas traités  

1015 -

kalawasa, souvenirs d'antan, a écrit:

Cher Eddie, je vous avoue que je n'y comprends strictement rien à la hiérarchie gendarmesque, mais je
vous avoue également que j'ai passé de très bons moments avec les pandores...mais ça, c'était avant !

Cher Kalawasa, nous partageons des espériences analogues, puisque moi aussi, avé ou sans les pandores,
j'ai passé de très bons moments, et c'est vrai, ça, c'était avant !

Je vais essayer dès que je trouve un ours bien luné qui accepte de me céder un peu de son ail.
Promis juré, on ne peut pas laisser passer ça !

Koreus.com


Les crêpes en 1954.

Le titre de ce fil, "... et ognologie" justifie amplement cette diversion envoyée par Lady Armelle !

kalawasa a écrit:

Je suis subjugué...Je n'aurais jamais pensé qu'un ognon pût être aussi beau . Tu féliciteras Armelle de ma part !

Ah oui, ça m'a également surpris.
Je le dirai à Armelle de ta part aussi, promis !

quand je faisais mon potager, je ne semais pas mes pommes de terre, je les plantais (pas assez la main verte pour le semis )

le plus dur, ce n'est pas de semer ou de planter, c'est de récolter

Marieden a écrit:

le plus dur, ce n'est pas de semer ou de planter, c'est de récolter

Sachez que, Madame, quand la nation est en danger, on ne recule pas devant l'effort ! Semez ou plantez : on s'en fout ! Il faut sauver la Patrie !

kalawasa a écrit:

Marieden a écrit:

le plus dur, ce n'est pas de semer ou de planter, c'est de récolter

Sachez que, Madame,  quand la nation est en danger, on ne recule pas devant l'effort ! Semez ou plantez : on s'en fout ! Il faut sauver la Patrie !

bon........... d'accord

Le cidre ne fait plus recette..

Ç'est l'acteur de poids dans la pomme à cidre. La coopérative Agrial gère 60% de la production cidricole française. Alors quand elle décide de changer son fusil d'épaule, c'est tout un secteur qui est bouversé. Il y a encore quelques années, elle incitait encore ses adhérents à planter massivement des pommiers. Aujourd'hui, marche arrière toute. La coopérative demande aux producteurs de réduire la voilure. Et met 3 millions d'euros sur la table pour les y inciter.

En moyenne, Agrial demande aux producteurs de lui apporter 12% de pommes en moins par rapport aux récoletes des quatre années précédentes. L'enveloppe proposée par la coopérative vise à encourager les producteurs à arracher une partie de leurs vergers. Parallèlement, les modalités des contrats liant les producteurs à Agrial changent: la collecte ne se fait plus sur une surface de vergers mais sur un volume de pommes. Pas de pénalités pour les pommes en plus mais un tarif dégressif.

Les producteurs font évidemment grise mine. Thomas Pelletier, président de la Fédération Nationale des Producteurs de Fruits à Cidre (FNPFC) explique ainsi à L'Agriculteur normand  que cette "politique" va entraîner « une baisse de chiffre d’affaires de 5 millions d’euros pour les producteurs ». Du côté d'Agrial, on invoque une concurrence étrangère plus féroce et surtout un désamour des consommateurs pour le cidre. "Avant de produire, il faut vendre. Quand le marché n'est pas là, ça pose un certain nombre de difficultés. Soit on dit à certains de nos collègues, on ne travaille plus avec toi, soit on est solidaire dans l'ensemble de la filière et on trouve des solutions

kalawasa a écrit:

En moyenne, Agrial demande aux producteurs de lui apporter 12% de pommes en moins par rapport aux récoletes des quatre années précédentes.

C'est mignon, "recoletes"


Mab, attendrie

1030 -

kalawasa qui juge que l'oligarchie cidricole se fout de not' poire, a écrit:

Le cidre ne fait plus recette..
(...)surtout un désamour des consommateurs pour le cidre. "Avant de produire, il faut vendre. Quand le marché n'est pas là, ça pose un certain nombre de difficultés. (...)

Il faut que le futur gouvernement et le Primat des Gaules décrètent quatre chandeleur par an, ça ravigorera la conso de cidre.

Entre nous, les brutes d'Agrial sont plutôt bouchées.

1032 -

kalawasa, qui trouve que le sens du commerce se paume, a écrit:

J'ai l'impression qu'il y a un problème de marketing avec le cidre . Vous ne trouvez pas ? J'aime bien une bolée de temps en temps, mais personne ne m'y fait penser !

Cher Kalawasa,

Je suis 200% d'accord avé vous. Je me suis déjà rendu compte que certaines crêperies de la Côte
ne proposaient pas spontanément la bolée de cidre pour accompagner leurs crêpes et encore
moins leurs galettes!

Je me lance dans la mercatique pour elles, ça donnera une bolée d'air frais :

Après l'hôtellerie collaborative (type AirBnB), la restauration collaborative ? Celle-ci se développe fortement, notamment par des sites comme "VizEat"....

Le groupement des professionnels de l'hôtellerie-restauration GNI-Synhorcat a déposé plainte contre deux hôtes de plateformes collaboratives de repas entre particuliers. La profession dénonce la prolifération de restaurants «clandestins».

Pour Didier Chenet, président du groupement professionnel de l'hôtellerie-restauration GNI-Synhorcat, la coupe est pleine. Cela fait près de deux ans qu'il assiste avec inquiétude à l'essor des «Airbnb» de la fourchette et autres «Uber» de la restauration, ces plateformes collaboratives qui proposent aux particuliers d'aller dîner chez l'habitant, à des tarifs ultra-compétitifs. «Pour nous, il ne s'agit pas du tout de consommation collaborative, les hôtes font du commerce», insiste auprès du Figaro le représentant de la profession. Dans son viseur, entre autres, VizEat, l'un des pionniers du «social dining» créé début 2014 en France et présent aujourd'hui dans 110 pays. La plateforme compte plus de 20.000 hôtes, dont environ 5000 dans l'Hexagone, selon Didier Chenet. «Nous maintenons que ce sont des restaurants clandestins!»

Il était temps que des chercheurs sérieux fassent enfin le lien entre ces nectars divins et la religion !

L'ALCOOL, BREUVAGE SACRÉ

Patrick McGovern, professeur d'archéologie biomoléculaire à l'université de Pennsylvanie, précise que la date où l'être humain a "commencé à conserver ou fabriquer des breuvages enivrants" reste impossible à connaître précisément.

Les boissons alcoolisées, selon Patrick McGovern, relevaient aussi du sacré: "communiquer avec les dieux ou les ancêtres implique presque toujours l'usage d'une boisson alcoolisée, que ce soit le vin de l'eucharistie, la bière offerte à la déesse sumérienne Ninkasi, le grog viking ou l'élixir des tribus amazoniennes ou africaines", affirme l'enseignant.

La consommation d'alcool a les vertus de ralentir le métabolisme, de favoriser le stockage des graisses et la digestion. Un produit auquel les grands singes ont pris goût... et que l'Homme apprécie encore.

1036 -

Citation :

C'est prouvé le Beur bouche les artères

Si c'est le cas, merci de le clarifier.

C'est plus que correct ... de mémoire (pas très fiable) c'est minimum 7 euros le kg chez nous