AFGHANISTAN: le combat continue !

Rappel du premier message :




Ces deux brigades s'ajouteront ainsi à celle qui sera déployée en janvier dans les provinces environnant Kaboul.

Au départ, le commandant des forces internationales dans le secteur, le général américain David McKiernan, avait demandé l'envoi de quatre brigades et de divers éléments de soutien logistique, soit un effectif de plus de 20000 hommes.

Mais Robert Gates a préféré se montrer raisonnable et a mis en garde contre l'envoi d'un trop grand nombre de soldats dans un pays en proie aux guerres civiles et insurrections contre des forces étrangères.

Il a rappelé, à juste titre, que l'histoire des des forces étrangères en Afghanistan n'a jamais été très positive. Et qu'elles sont toujours considérées par les Afghans comme des occupants venus dans leur propre intérêt.

Aussi, l'important, aujourd'hui, c'est d'accélérer la formation de l'armée afghane parce que, pour les Afghans, le combat contre les talibans c'est aussi leur avenir.

Il est urgent d'établir un "vrai partenariat", estime Robert Gates qui a déclaré que jusqu'à présent, c'est surtout la guerre en Irak qui a empêché le déploiement de nouvelles troupes en Afghanistan.

Mais les choses vont changer avec l'amélioration de la sécurité et la récente signature d'un accord avec Bagdad prévoyant le départ des troupes de combat américaines des villes irakiennes d'ici juin 2009 et du pays d'ici 2011.

JACKLELOUP a écrit:

Mais il liquide plus de talibans que l'OTAN .

Ouais ...
Peut être ....


Mais pour ce qui est de dégommer les civils,
l'OTAN est imbattable !

Ungern a écrit:

Ouais ... Peut être ....
Mais pour ce qui est de dégommer les civils,
l'OTAN est imbattable !

Bonjour Ungern !

Tu as des chiffres ?

Par exemple, combien de tués civils par l'OTAN et par les talibans ?

Biloulou a écrit:

Par exemple, combien de tués civils par l'OTAN et par les talibans ?

Je l'ai toujours dit :

Quande les cannibales bouffent les missionaires,c'est "normal" .
Quand c'est l'inverse,c'est une "news" qui me fait m'indigner ...

J'ai toujours été logique ...

Oui.
Cela étant, quels sont les chiffres qui rendent l'OTAN imbattable (sic) à dégommer les civils ?

a) Il y a le minimum minimorum cad ceux qu'ils reconnaissent,
b) et il y a les "faux talibans" ;quand on est Taliban on est généralement armé, si on descend 100 talibans et qu'on récupère seulement 60 flingues... y a 40 talibans de trop ...

c) et le mardi matin le canard était toujours vivant !

(Bon, ça va, oublie ma question... )

Parce que "au Vietnam",quand on faisait le "body count" (duquel dépendait ls permissions pour la troupe et les promotions pour les cadres),on comptabilisait les viellards,les femmes et les enfants,et quelques fois les buffles d'eau ...

Sans compter qu'on se revendait les cadavres d'occasion pour permettre aux copains de gonfler eux aussi leurs stats ...

Hamid Karzaï contraint à un second tour
(Bruno Fanucchi | 20.10.2009, 07h00)

Deux mois jour pour jour après le premier tour de l’élection présidentielle afghane, le 20 août, les résultats officiels ne sont toujours pas connus et personne ne sait encore s’il y aura ou non un second tour pour départager le président sortant Hamid Karzaï et son ancien ministre des Affaires étrangères devenu son principal rival, le docteur Abdullah Abdullah.

Dans son rapport publié hier sur les fraudes, la Commission des plaintes électorales, qui a examiné plus de 3 000 réclamations, a ordonné l’invalidation des bulletins de 210 bureaux de vote sur les 25 450 qui avaient été ouverts sur l’ensemble du pays. Un rapport d’enquête dont la Commission indépendante électorale seule habilitée à proclamer les résultats est obligée de tenir compte. Du même coup, le président Karzaï (qui était crédité jusqu’à présent de 54,6 % des voix, selon des résultats préliminaires) verrait son score chuter sous la barre fatidique des 50 % aux alentours de 48 % et serait donc contraint à un second tour. Le docteur Abdullah, qui avait été le premier à dénoncer des « fraudes massives » et à réclamer un second tour, verrait en revanche son score remonter de 27,8 % à environ 32 %.

Soupçons de corruption

« Il semble que tout le monde ne soit pas prêt à accepter les résultats », confiait dimanche à Kaboul Bernard Kouchner, après avoir longuement rencontré plusieurs fois les deux adversaires dans une ultime tentative de conciliation pour que la communauté internationale, qui s’est tant engagée financièrement et militairement depuis huit ans en Afghanistan, puisse sauver la face sans avoir l’air de soutenir un pouvoir soupçonné de corruption et de triche électorale. Convaincre Karzaï d’accepter les résultats revus après décompte de près d’un million et demi de bulletins frauduleux, et donc l’organisation d’un second tour, n’était pas chose aisée. Et rien ne semble encore gagné. S’il doit y avoir un second tour, il faudra nécessairement l’organiser dans les deux semaines suivant la proclamation des résultats du premier tour et, en tout cas, avant les neiges du redoutable hiver afghan qui paralysent la moitié du pays.

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Ainsi donc la réélection (et pas l'élection) de Hamid Harzaï semble être mise en cause par la Commission électorale. Le plus élémentaire bon sens, apparemment inconnu de Monsieur Bruno Fanucchi, auteur de cet article, commanderait de dire que les candidats seraient contraints à un second tour et pas uniquement le président sortant. Mais bon, c'est peut-être trop demander à un journaliste...

Extrait d'un article très fouillé d'une page entière sur la situation en Afghanistan paru dans "Le Soir" d'hier, lundi 19 octobre 2009

Les talibans veulent négocier.
L'essentiel :

• Les talibans d'Omar auraient compris qu'ils ne peuvent gagner le conflit sur le terrain militaire.
• Un dialogue est possible, sauf avec Hekmatyar, un véritable serial-killer.
• Depuis samedi, les talibans du Waziristan sont assiégés par 30.000 soldats réguliers. 100.000 civils ont fui la zone.

Envoi d'une seconde équipe d'instructeurs en Afghanista


La Belgique va envoyer avant la fin de l'année une seconde équipe d'instructeurs chargée d'encadrer une unité de l'armée afghane. C'est ce qu'a indiqué vendredi le ministre de la Défense, Pieter De Crem, à l'issue d'une réunion de l'OTAN à Brastislava.
Cette équipe de 35 personnes se déploiera "fin novembre, début décembre" dans le nord de l'Afghanistan, a précisé M. De Crem à l'Agence BELGA. Elle sera chargée d'encadrer l'état-major de la brigade chapeautant un "kardak" (bataillon) déjà coaché par une autre équipe d'une septantaine d'instructeurs belges dans la région de Kunduz. L'envoi de cette seconde équipe avait été décidé par le gouvernement début avril, à la veille du dernier sommet de l'OTAN à Kehl (Allemagne) et Strasbourg (France). La date de son départ n'avait jusqu'ici pas été annoncée avec précision. Après ce déploiement, la contribution belge à la force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF) s'élèvera alors à près de 600 hommes sur les 68.000 que compte la force de l'OTAN. (NLE)

Présidentielle afghane:les talibans appellent au boycott du second tour


Les talibans ont appelé samedi à boycotter le second tour de l'élection présidentielle afghane prévu le 7 novembre, ordonnant à "tous les moudjahidine" de s'en prendre à ce "processus américain".









Monde - International 8:45 Les talibans ont appelé samedi à boycotter le second tour de l'élection présidentielle afghane prévu le 7 novembre, ordonnant à "tous les moudjahidine" de s'en prendre à ce "processus américain", dans un courriel transmis à l'AFP. "L'Emirat islamique (d'Afghanistan, ndlr) informe à nouveau le peuple que personne ne doit participer à ce processus américain", c'est-à-dire le scrutin du 7 novembre, et qu'"il faut boycotter ce processus", ont indiqué les talibans.
Les talibans avaient déjà appelé à boycotter le premier tour du 20 août, qualifié d'"imposture orchestrée par les Américains", et menacé de représailles tout électeur qui se risquerait à voter ce jour-là. La participation avait atteint 38,7%, mais parfois moins de 5% dans les bastions des insurgés.

"Tout électeur blessé sera responsable de sa situation"
Les talibans préviennent que "les moudjahidine sont totalement préparés à vaincre ce processus" et que "tout électeur blessé sera responsable de sa situation".
"Tous les moudjahidine doivent se mobiliser pour vaincre ce processus, lancer des attaques contre les bases ennemies, empêcher les gens de participer à l'élection et bloquer la circulation des véhicules gouvernementaux et civils sur toutes les routes à partir de la veille de l'élection", selon le document.
Ces menaces sont diffusées alors que la campagne électorale pour le second tour, qui opposera le président sortant Hamid Karzaï à l'ancien ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah, a commencé samedi, et prendra fin le 5 novembre.

3 hélicoptères se sont "écrasés

<table id=Table6 border=0 cellSpacing=1 cellPadding=2 width=420><tr><td id=tdMainHeader class=tdHeadline width="96%"></TD> <td class=tdAudio width="2%"></TD> <td class=tdVideo width="2%"></TD></TR></TABLE>7 soldats US 3 civils US sont morts dans le crash

<table border=0 cellSpacing=0 borderColor=#c0c0c0 cellPadding=2 width="1%" align=left imageTableTakeCare> <tr><td></TD></TR> <tr><td style="TEXT-ALIGN: center; FONT-FAMILY: Arabic Transparent; FONT-SIZE: 10pt; FONT-WEIGHT: bold">غموض يحيط بأسباب سقوط المروحيات الأميركية (رويترز-أرشيف) </TD></TR></TABLE> لقي أربعة جنود أميركيين مصرعهم وأصيب اثنان آخران في تصادم مروحيتين جنوب أفغانستان, وذلك طبقا لبيان من قوات المساعدة الدولية (إيساف) بقيادة حلف شمال الأطلسي (ناتو). وذكر البيان أن تحقيقا يجرى حول الحادث, مشددا على عدم وجود ما سماها نيرانا معادية.

En Afghanistan aussi, les gens sont fiers d’aller voter

Un regard de l’intérieur, celui de Taiba Rahim, une Afghane vivant en Suisse et engagée dans la construction d’écoles en Afghanistan.

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/0c286b2a-c3b5-11de-b464-9dd0f334f274/En_Afghanistan_aussi_les_gens_sont_fiers_daller_voter.

«Depuis l’élection présidentielle du 20 août, pas un jour ne passe sans son lot de commentaires et analyses sur ce scrutin, et ses conséquences pour l’Afghanistan, alors qu’un second tour opposera bientôt le chef de l’Etat sortant Hamid Karzaï à son adversaire Abdullah Abdullah. J’ai rencontré nombre de mes compatriotes, dont plusieurs venant de ma région d’origine, dans les zones reculées du centre de l’Afghanistan. Nous avons parlé de tout avec chaleur et autour d’une tasse de thé. Ce qui m’a énormément frappé, c’est la passion avec laquelle le sujet des élections était alors abordé. Mes interlocuteurs étaient des gens modestes, souvent pauvres, qui passent leurs journées à surveiller les troupeaux dans leur champ. Leur vie est d’ordinaire rythmée par des soucis simples: assurer qu’il y ait un peu de nourriture à la maison chaque jour et éviter d’être emporté par la violence insoutenable qui marque le quotidien des Afghans depuis trente ans. Or, là, presque tous parlaient politique. Presque tous se disaient fiers d’aller voter. Les années de guerre nous ont dépossédé de notre histoire, de notre identité et de notre faculté de penser aux lendemains. Je sais aujourd’hui que le salut de mon pays ne viendra pas de l’extérieur. La communauté et les troupes internationales sont venues avec des solutions toutes faites, sans concertation réelle avec la population. Certes, comme tout autre pays, nous aurons besoin de soutien, mais nous devons prendre notre destin en main. Cela passe par un accès à l’éducation. Aujourd’hui encore, plus de 80% de la population afghane est analphabète. Or, une population qui ne sait ni lire ni écrire, n’est pas en mesure de se construire une identité. Malgré la guerre, il n’y a jamais eu autant de filles et garçons scolarisés dans l’ensemble de l’Afghanistan qu’aujourd’hui. La leçon que j’en tire est que tout processus de changement doit être généré localement pour espérer prendre racine et durer. Or les élections, j’en suis le témoin, sont une nouvelle étape sur le chemin tortueux de notre développement.»

Huit soldats américains tués en Afghanistan dans des attentats

Ce redoublement de violences intervient alors que le président Barack Obama doit se prononcer dans les prochaines semaines sur la demande de renforts formulées par le général Stanley McChrystal, commandant des forces américaines et de l'Otan en Afghanistan.

Des familles de soldats tués en Afghanistan portent plainte

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/10/29/01016-20091029ARTFIG00359-les-familles-de-soldats-tues-en-afghanistan-portent-plainte-.php

Les familles de deux des neuf soldats français tués dans l'embuscade, tendue par les talibans le 18 août 2008, dans la vallée d'Uzbin en Afghanistan, ont décidé de porter plainte. «C'est une décision mûrement réfléchie. Depuis plus d'un an, nous nous posons beaucoup de questions sur ce qui s'est passé là-bas (...) Or nous avons très peu de réponses», a déclaré Joël Le Pahun, père d'une des deux victimes, Julien, grenadier-voltigeur au 8è RIPMa de Castres, dans le Tarn, décédé alors qu'il était à peine âgé de 20 ans. «Nous sommes en droit de connaître la vérité». Le quotidien précise que leur avocat, Me Gilbert Collard, va déposer plainte contre X pour «mise en danger délibérée de la vie d'autrui» devant le tribunal aux armées de Paris (TAP). La seconde plainte devrait être déposée par l'ex-épouse du sergent Rodolphe Penon, 40 ans, infirmier de 2è REP, basé à Calvi en Haute-Corse, qui agit au nom des deux enfants du défunt.

«Des manquements dans la chaîne de commandement»

http://www.leparisien.fr/faits-divers/des-manquements-dans-la-chaine-de-commandement-29-10-2009-691820.php

Père de quatre enfants, Joël Le Pahun, 47 ans, a perdu son fils aîné, Julien, dans l’embuscade, deux jours avant que le jeune homme ne fête ses 20 ans. Il est décidé à porter plainte pour «connaître la vérité».

Joël Le Pahun : "Cette initiative soulèvera peut-être de l’incompréhension chez certains, des critiques chez d’autres. Je m’y prépare. Cette plainte ne vise pas le président de la République, son gouvernement ou le chef d’état-major des armées. Elle n’est pas non plus dirigée contre l’institution militaire. Elle vise des individus qui n’ont pas, à notre sens, assumé leurs responsabilités, qui n’ont pas su gérer la mission qu’ils devaient mettre en place. Nous soupçonnons l’existence d’une série de manquements dans la chaîne de commandement. Un haut gradé a lui-même évoqué un excès de confiance. La justice doit enquêter."

Ce matin nos paras sont rentrés content mais interdit de faire des commentaire . Tous ceux de notre famille sont de retour donc ce WE c'est une grande fête a la campagne Wallonne

Tu vois Charly il y a encore des moments ou l'on peut être fier d'êtres nés Wallon.

JACKLELOUP a écrit:

Ce matin nos paras sont rentrés
Tu vois Charly il y a encore des moments ou l'on peut être fier d'êtres nés Wallon.

Donc quand ils sont rentrés du Rwanda et qu'il en manquait "10" on devait être honteux ?


Ce qui est pour moi surtout honteux ,c'est bien au contraire qu'on ait envoyé sans raison nos troupes dans un endroit où il n'avaient de toutes évidences rien à faire,un endroit que tout le monde maintenant essaye d'évacuer en faisant le moins de vagues possibles, tout en laissant derrière soi plus de bordel qu'il n'y en avait avant qu'ils arrivent .

WELCOME BACK.....

La France négocie une voie vers l'Afghanistan.

En juillet, le chef de l'État kirghiz est revenu sur sa décision après avoir obtenu un triplement du loyer versé par les Américains, soit 180 millions de dollars par an, assorti d'aides diverses. Cet accord, qui expirera le 30 septembre 2010, n'inclut pas cependant le maintien des détachements français (35 hommes plus un avion ravitailleur KC135) et espagnol (une cinquantaine d'hommes et un avion ravitailleur) basés à Manas depuis l'ouverture de la base. Les 8 et 13 octobre, Français et Espagnols ont dû plier bagages. En attendant une solution qui lui permettrait de regagner le Kirghizstan, le détachement français stationne actuellement sur la base aérienne française de Douchanbé, au Tadjikistan. La base de Douchanbé (240 hommes) est elle aussi un centre de transit pour les forces françaises et belges qui combattent en Afghanistan.

Les militaires français soulignent que l'implantation d'un détachement à Manas offre trois avantages : un point d'entrée nord vers l'Afghanistan, une capacité d'emport plus importante pour des raisons techniques et une meilleure coordination avec les opérations de ravitaillement alliées.

Citation :

Talibans : «La principale menace se trouve au Pakistan»



INTERVIEW - Thierry Mariani, représentant spécial de Nicolas Sarkozy pour l'Afghanistan, estime qu'il faut «encourager» Islamabad pour ses actions menées dans les zones tribales.

Au vu des fraudes massives lors du premier tour de la présidentielle afghane, la tenue d'un second tour a-t-elle un sens ?
Oui, parce que la commission mise en place par l'ONU a permis de corriger les résultats initiaux et de donner, au bout de deux mois, une photo crédible de la situation. Ce mécanisme devrait fonctionner au second tour, d'autant que les candidats savent désormais que les fraudes ne sont plus d'usage.

Le Pakistan a-t-il une chance de reprendre le contrôle des Zones tribales au Pakistan ?
Il est trop tôt pour répondre, mais les choses semblent évoluer dans le bon sens. Sous la pression des attentats qui ont frappé l'armée, les autorités d'Islamabad affichent une volonté de reprendre le contrôle de leur territoire. Nous devons absolument les encourager parce que la principale menace se trouve aujourd'hui au Pakistan.

Quels sont les risques pour les républiques voisines d'Asie centrale ?
Le Tadjikistan, le Kirghizstan, l'Ouzbékistan et le Turkménistan, qui sont des pays islamiques, laïcs et plus ou moins autoritaires, craignent que les talibans, menacés dans le nord de l'Afghanistan, tentent de se réfugier sur leurs territoires. L'autre risque, c'est qu'ils soient déstabilisés par le trafic de drogue. Au Turkménistan par exemple, le gouvernement nie l'existence d'un tel danger, mais n'en a pas moins créé l'an dernier un bureau antinarcotiques qui emploie 700 personnes.

http://www.lefigaro.fr/international/2009/10/31/01003-20091031ARTFIG00091-talibans-la-principale-menace-se-trouve-au-pakistan-.php

Citation :

Afghanistan : Abdullah menace de boycotter le second tour
Abdullah Abdullah, principal adversaire du président sortant Hamid Karzaï, a indiqué qu'il boycottera le second tour de l'élection présidentielle afghane si certaines conditions garantissant un scrutin régulier ne sont pas remplies d'ici la fin de la journée de samedi.

Citation :

Afghanistan : scrutin légitime même en cas de boycott
D'après la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, un éventuel boycott du second tour de l'élection présidentielle afghane par Abdullah Abdullah n'aurait pas de conséquences sur la légitimité de l'élection.

Tiens, tu n'aurais pas oublié tes inévitables valises ?

D'autant plus que ces gens sont habitués à vivre dans des grottes .


Chez nous ils pourraient vivre dans les égouts ou est leur place.

Concernant les Talibans, qui se sont réfugiés pour la plupard au Pakistan.

Il y a toujours la solution d'Arnaud Amalric

« Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens. »