On n'insulte pas Barack !

Banni à vie des Etats-Unis pour avoir traité Obama de "tête de b..."



Un adolescent britannique a été banni à vie du territoire américain pour avoir envoyé un courriel où il insultait le président Barack Obama à l'adresse de la Maison Blanche, ont rapporté lundi les médias d'outre-Manche et d'outre-Atlantique. Le jeune homme traitait le chef d'Etat de "prick", un terme d'argot vulgaire souvent prêté à des personnes méprisées et traduisible par "bite".

"Je ne me souviens pas exactement de ce que j'ai écrit, j'étais saoul", s'est défendu Luke Angel, âgé de 17 ans et originaire de Silsoe. "Mais je crois que j'ai appelé Barack Obama une bite", a-t-il avoué. "La police est venue, m'a pris en photo et m'a dit que j'étais banni pour toujours des Etats-Unis", a raconté l'adolescent, désormais persona non grata. "Ça ne me fait pas grand-chose, mais mes parents ne sont pas très contents", a-t-il commenté.

Luke a écrit son e-mail après avoir vu une émission sur le 11 Septembre à la télévision. Suite à l'intervention du FBI, la Metropolitan Police a demandé à la police du Bedfordshire de se rendre au domicile du jeune garçon pour l'avertir de la mesure prise à son encontre. Sa peine ne sera pas assortie de sanctions judiciaires.

Une représentante du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis a précisé qu'il existait 60 motifs pour interdire à quelqu'un l'entrée sur le sol américain, mais a refusé de s'étendre sur un cas précis.

Sources: 7sur7.be

Heureusement que le président Sarkozy ne se sert pas de ce genre d'armes...

Democratie et liberté d'expression....

Biloulou a écrit:

Heureusement que le président Sarkozy ne se sert pas de ce genre d'armes...

Il devrait... cela nous débarrasserait de bon nombre d'emmerdeurs...

TSUR a écrit:

Democratie et liberté d'expression....

Bof! Toi, tu grimpes aux rideaux pour bien moins. Quant à la liberté d'expression... c'est certainement pas ta cause fétiche!

5 -

Citation :

"Mais je crois que j'ai appelé Barack Obama une bite", a-t-il avoué

Jeune gland, vas !

Biloulou a écrit:

Heureusement que le président Sarkozy ne se sert pas de ce genre d'armes...

... Il n'aurait plus d'electeurs.



Mab

7 -

Biloulou a écrit:

Heureusement que le président Sarkozy ne se sert pas de ce genre d'armes...

C'est indubitable, un pov' nœud est infoutu de tirer ce type de ficelle. De plus la bite ne fait plus le moine.

EddieCochran a écrit:

7 -

Biloulou a écrit:

Heureusement que le président Sarkozy ne se sert pas de ce genre d'armes...

C'est indubitable, un pov' nœud est infoutu de tirer ce type de ficelle. De plus la bite ne fait plus le moine.

mais souvent Satan l'habite ce moine ...

Faut-il douter que les résultats d’un récent sondage sur la religion de Barack Obama ont contribué à la décision du président d’assister à un service religieux ce matin à Washington avec sa famille, pour la première fois depuis cinq mois? Les Obama se sont rendus à pied à l’église épiscopale St. John près de la Maison-Blanche.

Un Amère-loque sur cinq croit à tort que le président est musulman, selon un sondage réalisé par le Pew Research Center.

11 -

Citation :

Un Amère-loque sur cinq croit à tort que le président est musulman, selon un sondage réalisé par le Pew Research Center.

C'est donc un dimanche noir pour les détracteurs. Sait-on ce que les O'Blackamama ont donné au denier du culte ?

Citation :

Sait-on ce que les O'Blackamama ont donné au denier du culte ?

Bien sûr!

Une cenne noire US:

Pétard a écrit:

TSUR a écrit:

Democratie et liberté d'expression....

Bof! Toi, tu grimpes aux rideaux pour bien moins. Quant à la liberté d'expression... c'est certainement pas ta cause fétiche!

Faut bien que je me paie ta tronche de canard.

parce que toi tu confonds se foutre de la gueule du monde et ecrire...un jour viendra ou quelqu'un te mettra queque chose sur le coin de la gueule.
Mais je suppose que t'est bien planqué derriére ton clavier. Comme pas mal d'autres sur LP.

Pétard a écrit:

Les Obama se sont rendus à pied à l’église épiscopale St. John près de la Maison-Blanche.

Ca ne veut strictement rien dire.
Je reste tres soupçonneuse quant à la confession d'Obama; les cathares aussi priaient autant dans les eglises que dans les champs, le lieu importait peu.
Ouais, mefiance, Barak pourrait bien etre un heretique cathare...


Mab

Mara-des-bois a écrit:

.. mefiance, Barak pourrait bien etre un heretique cathare...
Mab

C'est vrai ça, que ça laisse un doute! Depuis quand qu'un Épiscopalien se rend à l'église pedibus cum jambis?

C'est pas clair ça. On sent l'arnaque, la manipulation...

Mara-des-bois a écrit:

Ouais, mefiance, Barak pourrait bien etre un heretique cathare...
Mab

Déjà qu'il a une couleur... à demi-cramé...

C'est un Mac ramé

Un Mac ?
Tais-toi, petit malheureux, tu ne sais pas les dangers qui tu encours à en dire du mal !

Biloulou a écrit:

Un Mac ?
Tais-toi, petit malheureux, tu ne sais pas les dangers qui tu encours à en dire du mal !

Absolument-toutafe !

Agence France-Presse
Washington

L'administration du président américain Barack Obama a été en proie à des luttes intestines en élaborant la nouvelle stratégie pour l'Afghanistan en 2009, rapporte le célèbre journaliste Bob Woodward dans un livre dont la presse publie mercredi des extraits.

Dans cet ouvrage à paraître lundi et intitulé «Obama's wars» (Les guerres d'Obama), l'auteur décrit les dissensions survenues au sein de l'équipe chargée des questions de sécurité nationale à la Maison-Blanche, alors que Barack Obama cherchait une solution au conflit afghan, et affirme que ces querelles se poursuivent.

Coups fourrés, incidents, insultes, le livre dépeint une atmosphère houleuse dans les hautes sphères de l'administration. Le vice-président Joe Biden, partisan d'un allègement de la présence en Afghanistan, aurait eu des propos peu amènes envers l'envoyé spécial des États-Unis dans le pays, Richard Holbrooke, «l'enfoiré le plus prétentieux que je connais».

Selon Bob Woodward, qui a eu accès au président directement et à des responsables de son administration, M. Obama, estimant qu'il n'avait le soutien de l'opinion que «pour deux ans» sur la question afghane, s'est opposé à tout engagement «à long terme» visant à faire du pays une démocratie moderne.

«Tout ce que nous faisons doit être centré sur la question de savoir comment nous allons en arriver à réduire notre présence», a expliqué le président, selon un extrait du livre publié dans le Washington Post, journal pour lequel Woodward a longtemps travaillé.

«Il faut que ce plan détermine comment nous allons nous en sortir et quitter l'Afghanistan», a ajouté le président.

Barack Obama a dévoilé en décembre dernier sa nouvelle stratégie, prévoyant une augmentation des effectifs américains de 30 000 hommes pour venir à bout des talibans, avant un début de retrait à l'été 2011.

Il a rejeté une demande du Pentagone d'un renfort de 40 000 hommes, écrit Bob Woodward, relatant des réunions d'Obama avec le secrétaire à la Défense Robert Gates et Hillary Clinton, la chef de la diplomatie.

«Je ne veux pas que ça dure dix ans. Je ne veux pas m'engager à long terme dans la construction d'un pays. Je ne veux pas dépenser mille milliards de dollars», a déclaré le président à ces deux responsables en octobre 2009.

De son côté, le New York Times note que la date butoir de juillet 2011 a été fixée en fonction de considérations de politique intérieure.

«Je ne peux pas laisser cette guerre s'éterniser et je ne peux pas perdre tout le parti démocrate», a ainsi déclaré M. Obama au sénateur républicain Lindsey Graham, selon un extrait cité par le journal.

Le New York Times rapporte que la question afghane a entamé le sang froid proverbial de M. Obama, alors qu'il était pressé de toutes parts d'élaborer la nouvelle stratégie.

«J'en ai fini avec ça!», aurait-il explosé, alors que l'armée lui demandait une énième fois davantage de troupes.

La Maison-Blanche n'avait pas réagi à la publication de ces extraits mercredi matin.

En sus de ces questions internes, le livre évoque la présence en Afghanistan d'une «armée secrète» de la CIA de 3 000 hommes, des Afghans principalement, chargés de traquer et tuer des talibans.

Le texte rapporte que l'administration américaine disposerait de renseignements indiquant que le président Hamid Karzaï serait maniaco-dépressif et suivrait un traitement.

Bob Woodward, 67 ans, s'est rendu célèbre pour avoir déclenché en 1972 le scandale du Watergate ayant entraîné la démission du président Richard Nixon.

En fait, si, on l'insulte copieusement, l'Obama!





Agence France-Presse
Grand Junction

Une affiche géante sur laquelle sont dessinées quatre caricatures de Barack Obama, en tant que kamikaze islamiste, homosexuel, bandit mexicain et mafieux, a provoqué une vague de critiques aux États-Unis à l'approche des législatives de novembre.

Sous les caricatures colorées du président américain, le slogan: «Vote démocRAT» (Votez démocRATe). L'affiche est collée sur un immense panneau de Grand Junction, une ville du Colorado, dans l'ouest des États-Unis.

L'affiche a attiré l'attention des médias du monde entier.

«C'est au-delà du répugnant et c'est un manque de respect», a estimé Martelle Daniels, une responsable locale du parti démocrate, parlant d'un acte «raciste et homophobe».

Sous les caricatures du président sont dessinés des rats, chacun comportant une inscription: «IRS», l'administration chargée des impôts, «EPA», l'Agence de protection de l'environnement, ou encore «FED», la banque centrale américaine.

Chuck Pabst, un responsable républicain de la ville, a estimé dans le journal Grand Junction Sentinel que l'affiche était de mauvais goût. «C'est répréhensible et elle manque de respect», a-t-il dit. «Ridiculiser quelqu'un de cette façon, c'est puéril».

Le comté de Mesa, dans lequel se trouve Grand Junction, est acquis aux républicains et les conservateurs y sont de plus en plus nombreux avec notamment plusieurs organisations ultra-conservatrices du Tea Party.

L'affiche est l'oeuvre de l'artiste Paul Snover, actif dans de nombreux sites internet du Tea Party. Il n'a pas pu être joint par l'AFP dans l'immédiat, mais a indiqué au Grand Junction Daily Sentinel qu'il n'avait pas le droit de révéler qui l'avait payé pour réaliser l'affiche.

Dennis Lucas, un homme d'affaires de Grand Junction, propriétaire du panneau d'affichage, a dit de son côté ne pas pouvoir dire à qui il avait été loué.

Encore un doublon!