On n'insulte pas Barack !

Rappel du premier message :

Banni à vie des Etats-Unis pour avoir traité Obama de "tête de b..."



Un adolescent britannique a été banni à vie du territoire américain pour avoir envoyé un courriel où il insultait le président Barack Obama à l'adresse de la Maison Blanche, ont rapporté lundi les médias d'outre-Manche et d'outre-Atlantique. Le jeune homme traitait le chef d'Etat de "prick", un terme d'argot vulgaire souvent prêté à des personnes méprisées et traduisible par "bite".

"Je ne me souviens pas exactement de ce que j'ai écrit, j'étais saoul", s'est défendu Luke Angel, âgé de 17 ans et originaire de Silsoe. "Mais je crois que j'ai appelé Barack Obama une bite", a-t-il avoué. "La police est venue, m'a pris en photo et m'a dit que j'étais banni pour toujours des Etats-Unis", a raconté l'adolescent, désormais persona non grata. "Ça ne me fait pas grand-chose, mais mes parents ne sont pas très contents", a-t-il commenté.

Luke a écrit son e-mail après avoir vu une émission sur le 11 Septembre à la télévision. Suite à l'intervention du FBI, la Metropolitan Police a demandé à la police du Bedfordshire de se rendre au domicile du jeune garçon pour l'avertir de la mesure prise à son encontre. Sa peine ne sera pas assortie de sanctions judiciaires.

Une représentante du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis a précisé qu'il existait 60 motifs pour interdire à quelqu'un l'entrée sur le sol américain, mais a refusé de s'étendre sur un cas précis.

Sources: 7sur7.be

Citation :

Un juge américain déclare la réforme de santé d'Obama non constitutionnelle

Un deuxième juge fédéral américain a déclaré lundi la réforme de la couverture maladie du président Barack Obama "non constitutionnelle", ouvrant la voie à une nouvelle bataille judiciaire.



Dans sa décision, le juge Roger Vinson, de Floride (sud-est), donne raison aux 26 Etats qui contestaient en justice la constitutionnalité de la réforme, en particulier quand elle requiert que tout Américain soit pourvu d'une assurance maladie en 2014.

"Parce que (cette) obligation individuelle est non constitutionnelle et ne peut être séparée du reste, l'ensemble de la réforme doit être déclarée nulle", explique le juge dans sa décision.

Le magistrat reconnaît néanmoins que "l'existence de problèmes dans (la) couverture santé est admise par chacun dans ce dossier", ainsi que l'existence d'un sentiment partagé du besoin d'"améliorations pour réduire les coûts".

"Mais sans minimiser cette volonté louable dans le vote de la loi, le Congrès doit agir dans le cadre de ses pouvoirs établis par la Constitution", explique le juge.

Sources: news.yahoo.com

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Pétard a écrit:

Obama nie fermement les accusations de la droite insinuant qu'il n'aime pas son chien Bo!

Moi je le comprends le gars Obi, c'est bien mignon un chien d'eau portugais, mais en ce qui concerne une histoire d'O je préfèrerais m'ensabler avec une Portugaise gaulée comme Bo Derek ..



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Citation :

L'acteur Matt Damon se dit déçu par Barack Obama

Jetset Magazine

Matt Damon, dont la mère est enseignante, est loin d'être impressionné par la façon dont Barack Obama gère l'éducation "Ils doivent trouver des gens qui savent comment éduquer les enfants, alors qu'ils essayent juste de trouver des hommes d'affaires ...



L'acteur a fait campagne pour Barack Obama en 2008, mais il avoue être déçu.

Il confie au journal britannique The Independent On Sunday "Je pense qu'il s'est fait complètement roulé par Wall Street. Il y a de gros problèmes dans l'économie américaine. Nous avons toujours ces banques. Elles sont encore plus grosses et gagnent encore plus d'argent que jamais. Le chômage à 10% ? C'est terrible... Ils ont eu leur chance de faire la différence. Ils passeront sans doute les deals nécessaires pour essayer d'être réélus."

Matt Damon, dont la mère est enseignante, est loin d'être impressionné par la façon dont Barack Obama gère l'éducation "Ils doivent trouver des gens qui savent comment éduquer les enfants, alors qu'ils essayent juste de trouver des hommes d'affaires pour venir manager les écoles comme si c'était une entreprise. Ça ne va pas marcher."

Sources: jetsetmagazine.net

Il est temps pour les législateurs américains de s’attaquer à la question du contrôle des armes à feu, a fait valoir Barack Obama dans une tribune publiée dimanche dans un quotidien d’Arizona, plus de deux mois après la fusillade de Tucson. Aussi son administration tiendra-t-elle vendredi une première réunion à ce sujet à laquelle avaient notamment été conviés des représentants de la NRA, le puissant lobby des armes à feu.

Mais, comme on peut le lire dans cet article, le président de la NRA Wayne LaPierre (photo) a décliné cette invitation, justifiant sa décision avec la subtilité qu’on lui connaît:

Citation :

«Pourquoi moi ou la NRA devrions-nous nous asseoir avec un groupe de personnes qui ont passé leur vie à essayer de détruire le deuxième amendement de la Constitution?»

Dans ce groupe de personnes, LaPierre a inclus la secrétaire d’État Hillary Clinton et le ministre de la Justice Eric Holder.

Dans son article de dimanche, le président Obama a plaidé en faveur de la mise en place d’un système de contrôle des antécédents de tous les acheteurs d’armes. Selon lui, il s’agit de la première démarche «de bon sens» à laquelle personne ne devrait s’opposer. Et de préciser :

Citation :

«Je sais que chaque fois que nous essayons de parler de contrôle des armes à feu, cela peut déclencher de grandes controverses. Néanmoins, si le bon sens prévaut, je crois que nous pouvons aller au delà des différends que provoquent la discussion et (au delà) des débats politiques stériles pour trouver un moyen intelligent de rendre notre nation plus sûre et plus forte.»

Le président de la NRA a estimé de son côté que le «dialogue» ne devrait pas porter sur les armes à feu mais sur les «personnes dangereuses».



Merci à Richard Hétu, La Presse

Obama se fait insulter lors d'une émission de télévision !

Le président des États-Unis Barack Obama a été insulté en direct lors d'une émission matinale diffusée sur la chaîne MSNBC.

Citation :

http://fr.news.yahoo.com/obama-fait-insulter-lors-dune-%C3%A9mission-t%C3%A9l%C3%A9vision-142100438.html

Lors de l'émission matinale américaine Morning Joe ce jeudi matin, diffusée sur la chaîne MSNBC, l'éditeur général du magazine TIME Mark Halperin a qualifié le chef d'État américain Barack Obama de "dick". Mark Halperin a alors demandé : "Sommes-nous sur les 7 secondes de modération? J'aimerais commenter le comportement du président. J'ai pensé que c'était une bite".

Citation :

Parti républicain: Barack Obama comparé au commandant du Concordia

De 20min.ch

Le président du parti républicain, Reince Preibus, a comparé Barack Obama au commandant du Costa Concordia.



Commentant les vifs échanges entre les candidats à l'investiture républicaine pour affronter le président démocrate en novembre lors de l'élection présidentielle, Reince Priebus a affirmé à la télévision «CBS» que l'attention allait désormais se déplacer vers Barack Obama.

«Dans quelques mois tout cela va devenir de l'histoire ancienne et nous allons parler de notre propre petit capitaine Schettino, à savoir le président Obama, qui abandonne le navire aux Etats-Unis et s'intéresse plus à faire campagne qu'à exercer son job de président», a estimé le président du Comité National Républicain.

Clarification demandée

Pressé de clarifier ses propos, Reice Priebus a poursuivi: «Je l'ai appelé capitaine Schettino, vous savez, le capitaine qui a fui son bateau en Italie. C'est comme notre propre président qui fuit le peuple américain, ne fait pas son travail et court à travers le pays pour mener sa campagne».

La comparaison de Reince Priebus a été qualifiée de «honteuse» par le parti démocrate. Pour Donna Brazile, une responsable démocrate, les commentaires de Reince Priebus sont "trompeurs, honteux et scandaleux.

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OmbreBlanche qui a Prie(le)bus en marche a écrit:

«Dans quelques mois tout cela va devenir de l'histoire ancienne et nous allons parler de notre propre petit capitaine Schettino, à savoir le président Obama, qui abandonne le navire aux Etats-Unis et s'intéresse plus à faire campagne qu'à exercer son job de président», a estimé le président du Comité National Républicain.

J'ai l'impression que les Rebs s'illusionnent d'un scenario intitulé "Chronique d'un échouage annoncé".
Bon sang, bientôt il ne restera que la Chancelière allemande et le président
chinois comme rescapés du G20 de Cannes !

Citation :

«Obama-Care» : les juges rendront leur verdict en juin

De RFI.fr

Dernière audience marathon à la Cour suprême des Etats-Unis ce mercredi 28 mars 2012, pour l'un des projets phare de la présidence Obama, celui de la réforme du système de santé et notamment l'obligation pour chaque Américain de se doter d'une assurance-maladie.

Les neuf juges ont écouté les derniers arguments des avocats du gouvernement et ceux des opposants qui estiment certaines dispositions de la loi anticonstitutionnelles. Verdict en juin.



La loi aura suscité débats et passion jusqu'au bout de sa discussion à la Cour suprême comme en témoigne cette manifestation à Washington, le 28 mars 2012.

Après trois jours d’audience au cours desquels partisans et adversaires de la loi ont défendu leurs positions, la Cour suprême va devoir choisir d’ici juin, entre trois options.
Dans la première, une majorité des juges estime que le mandat individuel, celui qui forcerait les Américains à acheter une assurance maladie et en cas de refus à payer une amende est constitutionnel : dans ce cas la loi pourrait être appliquée dès 2014 et ce serait une immense victoire pour Obama.

Mais cette option semble improbable car selon les experts juridiques l’avocat du gouvernement n’a pas été particulièrement convaincant.

Si le mandat est rejeté, les juges devront alors décider soit d’annuler la loi dans son ensemble et la renvoyer au Congrès pour qu’il en rédige une autre, soit d’en sauver certains éléments plus populaires et moins controversés. Les juges les plus conservateurs pencheraient en faveur de l’abolition totale et les autres seraient favorables à une loi édulcorée.

Selon un sondage New York Times-CBS, 67 % des Américains sont opposés au mandat individuel et 51 % à la loi en général.