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L'ex-gouverneur de l'Utah candidat à l'investiture républicaine
L'ancien gouverneur de l'Utah, Jon Huntsman lancera officiellement le 21 juin sa candidature à l'investiture du Parti républicain (opposition) en vue de l'élection présidentielle de novembre 2012 aux Etats-Unis.
Jusqu’à tout récemment, Jon Huntsman travaillait pour Barack Obama à titre d’ambassadeur des États-Unis en Chine. À compter du 21 juin, l’ex-gouverneur de l’Utah tentera officiellement de déloger son ancien patron de la Maison-Blanche. Ce jour-là, le républicain deviendra officiellement candidat à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2012, comme on peut le lire dans cet article.
Considéré comme un modéré, Huntsman est le fils du fondateur milliardaire de la société Huntsman, un groupe international spécialisé dans la fabrication et la distribution de produits chimiques et pétrochimiques. Âgé de 50 ans, il est le deuxième mormon après Mitt Romney à se lancer dans la campagne présidentielle de 2012.
Huntsman annoncera sa candidature au parc de la Statue de la Liberté, le même endroit où Ronald Reagan avait lancé sa campagne présidentielle de 1980.
Certainement de la prop ou de la manip de ma part, on laisse Romney parler tout seul! Il est crevant de mauvaise foi, le koncierge!
La mémoire défaillante de Romney
Même s’il s’est excusé pour des coups pendables qui «pourraient être allés trop loin», faits que je n'ai pas signalés pour ne pas horripiler le camarade Filoulou, Mitt Romney a confié à Neil Cavuto de Fox News qu’il ne se souvient pas de l’épisode d’intimidation auquel il a participé sur le campus de son High School en 1965 et dont fait mention le Washington Post dans cet article.
L’ancien gouverneur du Massachusetts a ajouté lors de son entretien avec Cavuto qu’il ne pouvait certainement pas se douter de l’orientation sexuelle de l’élève dont il a coupé les cheveux de force parce que ce sujet n’était pas discuté dans les années 1960. Vraiment? L’homophobie n’existait pas il en 1965?
Sur un sujet un peu plus actuel, Romney a déclaré à Cavuto que son opposition au mariage gai ne l’empêchait pas d’être en faveur de l’adoption d’enfants par des couples homosexuels.
Barack Obama a peut-être pris un risque politique en se prononçant en faveur du mariage gai, mais il n’a pas hésité hier à exploiter ce changement de position pour galvaniser ses troupes, collecter des fonds et accuser dans une vidéo son rival républicain probable, Mitt Romney, de vouloir ramener les États-Unis en arrière sur la question de l’«égalité».
«Même le président Bush supportait les partenariats civils», peut-on voir dans la vidéo.
Spoiler:
De leur côté, Romney et les dirigeants républicains du Congrès ont tenté d’éviter le sujet, comme on peut le lire dans ce compte rendu du New York Times. Dans un discours au Nebraska, l’ancien gouverneur du Massachusetts n’y a fait aucune allusion, exprimant ses seuls commentaires sur la sortie du président en réponse à des questions de journalistes. Le président de la Chambre des représentants, John Boehner, a déclaré pour sa part aux journalistes que seul le dossier de l’emploi importait à ses yeux. Des groupes conservateurs ont néanmoins annoncé leur intention de mener une campagne vigoureuse contre le président sur le mariage gai.
Ironiquement, c’est Romney qui a passé la journée sur la défensive au lendemain de l’annonce de Barack Obama à la suite d’une histoire d’intimidation vieille de près de 50 ans mettant en scène un élève de son High School «taquiné perpétuellement pour sa non-conformité et son homosexualité présumée», pour citer les mots d’un article du Washington Post sur le sujet. En entrevue, Romney s’est excusé pour ses farces stupides de jeunesse tout en déclarant qu’il ne se souvenait pas d’avoir coupé les cheveux du jeune homme pendant que d’autres l’immobilisaient.
La Maison-Blanche a tout de même tenu à faire savoir hier que Joe Biden s’était excusé auprès d’Obama pour lui avoir forcé la main sur la question du mariage homosexuel. Dimanche, le vice-président s’était dit «tout à fait à l’aise» avec le mariage gai, déclenchant une tempête médiatique et politique que le président a voulu apaiser mercredi. Selon son entourage, le président avait lui-même l’intention d’annoncer son changement de position sur cette question au cours de la semaine prochaine.
P.S. : Obama a récolté une somme record de 15 millions de dollars pour sa campagne hier soir lors d’une activité de collecte de fonds organisée par l’acteur George Clooney à Los Angeles. Étaient également présents parmi les donateurs : Jeffrey Katzenberg (Dreamworks), Jack Black, Robert Downey Jr., Salma Hayek, Tobey Maguire, Barbra Streisand et son mari James Brolin, et les designers Diane Von Furstenberg et Trina Turk. Aucun représentant de l'Oeuvre n'a été aperçu.
«Romney a un bilan presque parfait de couardise, d’obscurcissement et de mensonges purs et simples. Cela démontre un grand irrespect pour l’intelligence du public.»
- Le chroniqueur de l’hebdomadaire Time Joe Klein, revenant sur les déclarations de Mitt Romney cette semaine sur le sauvetage de Detroit (dont il revendique aujourd’hui une bonne part du mérite), sur le mariage gai (il s’est déjà vanté d’être à la gauche de Ted Kennedy sur la question des droits des homosexuels) et sur l’épisode d’intimidation d’un élève soupçonné d’être gai (il ne s’en souvient pas).
Mitt Romney a tenté de rallier les électeurs évangéliques, samedi, dans le cadre d'un discours prononcé dans une université chrétienne ultra-conservatrice au cours duquel il a affirmé son opposition au mariage homosexuel. Le candidat à l'investiture républicaine a très peu fait allusion à la foi mormone qui a défini sa vie lors de son allocution.
Spoiler:
M. Romney s'est exprimé à la Liberty University, en Virginie, qui a été fondée en 1971 par le défunt révérend Jerry Falwell, un important leader évangélique conservateur. L'institution est devenue une destination de choix pour les politiciens républicains qui veulent s'adresser à la droite religieuse.
L'équipe de campagne de l'ancien gouverneur du Massachusetts, qui avait planifié ce discours longtemps avant que le mariage entre personnes de même sexe ne devienne un thème politique majeur de la campagne, a vu cette occasion comme une opportunité de s'adresser au type d'auditoire socialement conservateur qui s'est méfié de Mitt Romney pendant la longue lutte à l'investiture.
Pour le candidat, le défi est double. Ses anciennes prises de position, incluant l'appui au droit à l'avortement, passent mal. Sa foi personnelle est également problématique, car de nombreux évangéliques ne considèrent pas les mormons comme des chrétiens.
Les chrétiens évangéliques représentent une partie importante de la base électorale républicaine. La plupart d'entre eux ont appuyé des rivaux républicains comme l'ancien sénateur de la Pennsylvanie Rick Santorum.
Le candidat républicain présumé à la présidence a reçu des applaudissements nourris à une occasion lors de son discours de 20 minutes, qui survenait quelques jours après que le président Barack Obama soit devenu le premier président américain à soutenir le mariage homosexuel.
«Le mariage est une relation entre un homme et une femme», a déclaré M. Romney à une foule d'étudiants en liesse qui doivent suivre un code de conduite strict considérant les relations sexuelles hors mariage et l'homosexualité comme des péchés.
De son côté, le président Obama ne semblait pas vouloir revenir sur la question du mariage homosexuel, samedi.
Dans son allocution hebdomadaire à la radio et sur Internet, il n'a pas mentionné cette prise de position historique. Il a plutôt réitéré son appel aux législateurs du Congrès pour accepter une «liste d'épicerie» de crédits d'impôts et d'autres initiatives qui, a-t-il soutenu, créeront des emplois et aideront les familles de la classe moyenne à faire face à une économie moribonde.
Ayant passé une partie de la semaine dans les États de la Côte ouest pour amasser de l'argent en vue de financer sa réélection, M. Obama s'est présenté à la Maison-Blanche, samedi, pour honorer des policiers ayant reçu des distinctions.
Il s'agissait de sa première apparition conjointe avec le vice-président Joe Biden après que celui-ci, indiquent des adjoints, se soit excusé pour avoir précipité la question du mariage entre personnes du même sexe sous les projecteurs médiatiques de la campagne présidentielle. Il aurait alors forcé à la main au président pour que celui-ci donne son appui aux unions de conjoints de même sexe.
L'appui présidentiel au mariage homosexuel devrait solidifier encore davantage les appuis des républicains socialement conservateurs en faveur de Mitt Romney.
À l'époque où il était gouverneur du Massachusetts, celui-ci avait présenté un amendement constitutionnel pour interdire les mariages homosexuels. M. Romney affirme soutenir un amendement constitutionnel fédéral pour interdire les unions entre conjoints de même sexe.
Malgré tout, M. Romney est connu pour avoir été en faveur de l'octroi de certains droits en faveur des homosexuels. Il est en autres pour l'adoption de certains avantages pour les unions civiles entre homosexuels, incluant l'adoption.
Dire qu'ils veulent ramener les amerèreloques au moyen-âge serait plus approprié! Leurs props sont donc des plus modernes.
Le Moyen Age aux Usa ne devait pas comporter beaucoup de fusils. Peut etre des arcs, des fleches pour aller avec, des tomahawks, des pierres (et des peaux de bete dans les tipis), mais vraisemblablement pas de fusils.
Le Moyen Age aux Usa ne devait pas comporter beaucoup de fusils. Peut etre des arcs, des fleches pour aller avec, des tomahawks, des pierres (et des peaux de bete dans les tipis), mais vraisemblablement pas de fusils.
Mab, enfin je crois...
On n'en est pas à une contradiction près avec les Tealibans!
(New York) C'est entendu: Mitt Romney ne devrait pas être jugé pour une histoire d'intimidation remontant à sa jeunesse. L'affaire a beau se rapprocher de l'agression homophobe, elle s'est produite en 1965, alors que le fils du gouverneur du Michigan n'avait que 18 ans.
Spoiler:
Aujourd'hui âgé de 65 ans, le prétendant républicain à la Maison-Blanche n'aurait ainsi qu'à exprimer du regret pour se racheter et prouver qu'il ne correspond plus au stéréotype du fils à papa qui se croit tout permis. Il pourrait même ajouter un message bien senti contre l'intimidation à l'école, un sujet d'actualité aux États-Unis, où Bully, le documentaire-choc de Lee Hirsch, est encore à l'affiche dans plusieurs villes.
Mais Mitt Romney dit ne plus se souvenir de cette histoire d'intimidation racontée la semaine dernière par le Washington Post. Son trou de mémoire est peut-être encore plus troublant que les faits rapportés par le quotidien.
Selon cinq de ses anciens camarades de classe, Mitt Romney avait pris pour cible John Lauber, un étudiant «sans cesse importuné en raison de son non-conformisme et de son homosexualité présumée», selon la description du Post. Au retour d'un congé de trois semaines, le futur politicien s'était indigné de voir Lauber se promener dans le campus de la Cranbrook School de Bloomfield Hills, dans le Michigan, avec des cheveux teints en blond et une mèche lui tombant sur un oeil.
Romney avait donc convenu avec des amis, quelques jours plus tard, de surprendre le jeune homme dans une pièce et de lui couper les cheveux. «Quand ils sont tombés sur Lauber, ils l'ont plaqué et cloué au sol. Pendant que Lauber, les larmes aux yeux, hurlait au secours, Mitt Romney a coupé ses mèches blondes à l'aide de ciseaux», a raconté le Post.
Quarante-sept ans plus tard, les cinq sources du quotidien américain se disent remplies de remords d'avoir participé à cette agression ou d'y avoir assisté sans intervenir pour aider la victime.
Le reportage du Post contenait d'autres épisodes peu glorieux de l'adolescence de Mitt Romney. Celui-ci s'était notamment moqué d'un professeur presque aveugle en lui faisant croire qu'une porte close était ouverte. Il avait également l'habitude de crier «Atta girl!» («Bravo, ma fille!») lorsqu'un autre étudiant soupçonné d'être homosexuel prenait la parole en classe.
Publié au lendemain du revirement de Barack Obama sur le mariage gai, l'article du Washington Post a mis Mitt Romney sur la défensive, le forçant à présenter des excuses. «Vous savez, au High School, j'ai fait des choses stupides, et si quelqu'un a pu en être blessé ou offensé, alors je m'en excuse», a-t-il déclaré lors d'une entrevue sur Fox News.
L'ancien gouverneur du Massachusetts a cependant déclaré qu'il ne se souvenait pas d'avoir coupé les cheveux de John Lauber ou même d'avoir soupçonné le jeune homme d'être homosexuel.
«Dans les années 60, ce n'était pas quelque chose dont on parlait», a-t-il affirmé en faisant allusion à l'orientation sexuelle de son ancien camarade de classe.
La réaction de Mitt Romney ne met pas seulement en cause son honnêteté, mais également son empathie. L'ancien étudiant de la Cranbrook School a sans doute changé au cours des décennies. Mais l'adulte qu'il est devenu est encore capable de comportements ou de commentaires bizarres ou troublants. N'a-t-il pas décidé un jour de rouler pendant 12 heures - de Boston au Canada - avec un pauvre chien malade arrimé au toit de sa voiture, faute de place à l'intérieur de la voiture familiale?
N'a-t-il pas dit aimer «pouvoir congédier les gens qui m'offrent des services»? N'a-t-il pas affirmé ne pas trop s'en faire «pour les plus pauvres»?
Ces décisions ou déclarations malhabiles ne reflètent peut-être pas la pensée ou la nature de Mitt Romney. Mais elles ont contribué à façonner son image, qui est celle d'un politicien manquant de sensibilité.
Et voilà que Mitt Romney emploie les mots «farce» et «plaisanterie» pour qualifier des comportements qui démontrent une bonne dose de cruauté. Même à 65 ans, il ne semble pas comprendre que ces termes le font passer pour un sans-coeur.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
La montée des religions Lise Payette / Journal de Montréal lundi 13 février 2006
http://www.vigile.net/06-2/14.html#1
Ils étaient quelques centaines, manifestant dans le calme et le froid. Sans la présence des caméras, la plupart d'entre nous n'aurions jamais su qu'ils étaient descendus dans la rue pour protester contre les caricatures de Mahomet publiées au Danemark et pour lesquelles une bonne partie du monde est sens dessus dessous.
La majorité des leaders musulmans de Montréal avaient demandé à leurs fidèles de s'abstenir de manifester. Ils ont été entendus. Nous leur savons gré d'avoir choisi la voie de la mesure.
Il est évident que ce qui se passe ailleurs sème le doute dans une société libre et tolérante comme l'est devenue celle du Québec. Nous avons encore tout frais à la mémoire les ornières d'ignorance que la religion catholique nous a imposées pendant si longtemps et la lutte qu'il a fallu mener pour sortir de cette noirceur devenue insupportable au fur et à mesure que les fenêtres sur le monde se sont ouvertes.
Forcément, nous comprenons mal pourquoi les musulmans, arrivés chez nous avec un Dieu qui ressemble terriblement à Celui que nous avons chassé il n'y a pas si longtemps, ne profitent pas de la liberté qu'ils trouvent ici pour faire la même chose? Visiblement, nous n'en sommes pas là.
Dieu fait peur
Qu'Ils viennent du Moyen-Orient ou qu'Ils viennent des États-Unis d'Amérique, ceux qu'on appelle Dieu font peur. Ces Dieux qui encouragent la guerre, les assassinats, l'intolérance et la vengeance, ces Dieux fous qui montent les hommes les uns contre les autres ne sont pas les bienvenus chez nous. Ces Dieux qui se prétendent tous uniques devront cohabiter dans la paix et le respect ou disparaître.
Il n'y a pas que le Dieu de l'Islam qui prend beaucoup de place. Celui de nos voisins du Sud a repris du poil de la bête avec l'arrivée de George W. à la tête de l'État. Si nous le sentons moins, c'est parce que les Américains ne viennent pas chercher refuge au Québec comme les peuples du Moyen-Orient et que pour le moment, leurs preachers et leur Dieu restent de leur côté de la frontière. Mais le ton des prières monte aussi et les interdits se font de plus en plus nombreux. La noirceur s'épaissit.
Là, comme au Moyen-Orient, la religion et la politique vont la main dans la main. On commence à remplir le crâne des enfants de religion dès qu'ils sont à l'école, comme on le faisait avec nous autrefois. On mêle Dieu à toutes les sauces, se réclamant de son appui pour tout le mal qu'on accomplit en son nom. Toutes les destructions sont permises, allant du World Trade Center à la guerre d'Irak en criant : mon Dieu est plus fort que le tien !
Le rêve du Québec
Au Québec, on ne veut plus jouer à ces jeux de guerre et de haine. Collectivement, on cherche une autre voie, celle du coeur, celle du partage, celle de la paix entre les hommes et les femmes de bonne volonté.
On cherche une façon de devenir la Suisse des guerres religieuses comme la Suisse a été la terre d'accueil durant la dernière guerre mondiale. Nous préférons sans doute choisir la neutralité face à la folie destructrice qui semble s'emparer des humains quand Dieu prend trop de place et qu'Il exige toujours davantage.
Il ne faut pas chercher à nous imposer des dieux dont nous ne voulons pas. Chaque citoyen a le droit de croire à ce qu'il veut.
Nous lui serions reconnaissants de garder son Dieu dans son coeur et de ne pas l'imposer aux autres.
Rappeler Dieu à l'ordre, quand il le faut, c'est le devoir de l'Homme.
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Dire qu'ils veulent ramener les amerèreloques au moyen-âge serait plus approprié! Leurs props sont donc des plus modernes.
Le Moyen Age aux Usa ne devait pas comporter beaucoup de fusils. Peut etre des arcs, des fleches pour aller avec, des tomahawks, des pierres (et des peaux de bete dans les tipis), mais vraisemblablement pas de fusils.
Mab, enfin je crois...
je crois que les premiers fusils datent du XIV ème siècle... mais je suis pas sûr
Et puis, fais donc attention Mab: tu parles là d'être proches de l'homme, mais sans âme et avec des plumes... ils ne pouvaient pas concevoir cette magistrale technologie... ce qui s'en rapproche le plus ça devait être un bâton en feu... mais je ne suis pas sûr qu'ils connaissaient le feu
Évidemment, les Messagers-de-la-bonne-parole de leurs contrôleurs insinueront «prop» et «désinfo» mais finalement, ce n'est qu'un point de vue étayé par la réalité des faits. Les Messagers-de-la-bonne-parole n'en ont rien à foutre des faits, seul compte leur crédo!
Pub choc : Obama revient sur Bain Capital
Citation :
«Nous voyons Mitt Romney comme un destructeur d’emplois», dit un des anciens employés.
«Ils ont fait autant d’argent qu’ils le pouvaient en fermant (l’usine), ils ont déclaré faillite sans se soucier des familles ou des communautés. C’était comme voir un vieil ami mourir au bout de son sang», dit un autre.
«S’il dirigeait le pays comme il a dirigé notre compagnie, je ne le voudrais pas là. Il serait tellement déconnecté des gens ordinaires de ce pays», conclut un autre.
Le candidat à l'investiture républicaine pour la présidentielle américaine du 6 novembre Ron Paul a annoncé lundi son retrait de la campagne, laissant seul en lice le favori Mitt Romney.
«Nous ne dépenserons plus de fonds de campagne dans des primaires dans des États qui n'ont pas encore voté», a-t-il écrit dans un communiqué tout en assurant qu'il allait continuer à «prendre des positions, à gagner des délégués et à délivrer un message fort à la convention nationale du parti républicain affirmant que la liberté est la marche à suivre pour l'avenir».
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Ron Paul a annoncé lundi qu'il se retirait de la course à l'investiture républicaine. Mitt Romney, le favori, devient le seul candidat en lice. L'équipe de campagne de Barack Obama l'accuse d'être un «destructeur d'emplois».
L'équipe de campagne de Barack Obama considère d'ores et déjà Mitt Romney comme l'unique adversaire et a déjà commencé à lui lancer des piques. Elle a donné la parole à d'anciens ouvriers d'une aciérie ayant fait faillite sous sa responsabilité et qui l'accusent d'être un «destructeur d'emplois» et même un «vampire».
Dans une vidéo diffusée sur internet et qui sera également télévisée dans les Etats d'Iowa, du Colorado, de Pennsylvanie, d'Ohio et de Virginie, des Etats qui pourraient décider du résultat de la présidentielle du 6 novembre, l'équipe Obama réfute l'argumentation de M. Romney selon qui son expérience dans le monde de l'entreprise fera de lui un bon président pour l'emploi des Américains.
Depuis qu'il a lancé sa campagne, M. Romney assure que son expérience d'entrepreneur et de «créateur d'emplois» est ce dont les Etats-Unis ont besoin pour relancer le marché du travail. Le taux de chômage officiel aux Etats-Unis est de 8,1%, soit trois points de plus qu'avant le début de la crise en 2008.
«Etant donné que l'argument central de Romney est qu'il est un magicien qui peut faire croître l'économie, cela vaut le coup d'examiner de quoi cette magie retourne», a affirmé la directrice adjointe de la campagne de M. Obama, Stephanie Cutter.
Au lendemain de la diffusion d’une pub de Barack Obama mettant en cause le rôle de Mitt Romney dans la fermeture d’une aciérie de Kansas City, le fondateur de Bain Capital réplique avec un spot vantant le rôle de sa société d’investissement-capital dans la création d’une autre aciérie dans l’Indiana :
- George W. Bush, dévoilant ce matin sa préférence pour l’élection présidentielle de 2012 à un journaliste avant que ne se referme la porte de l’ascenseur dans lequel il se trouvait.
«Je ne suis pas exactement familier avec ce que j’ai dit mais je maintiens ce que j’ai dit, quoi que j’aie pu dire.»
- Mitt Romney, répondant aujourd’hui à une question à propos de sa référence à l’ancien pasteur de Barack Obama, Jeremiah Wright, lors d’une interview accordée à Sean Hannity en février, après avoir condamné ce type d’attaque.
Mitt Romney promet aux amèreloques plus d'opportunités de «chasser, canarder... leurs familles» !
Copie d'écran tirée de MittRomney.com
Plus précisément:
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Mitt Romney (à gauche) et William Bain Jr. dans les bureaux de Bain & Company à Boston, en 1990. Depuis la semaine dernière, l'équipe électorale de Barack Obama a diffusé dans plusieurs États-clés deux publicités critiquant le bilan de Mitt Romney à la tête de Bain Capital, le fonds d'investissement que celui-ci a fondé en 1994.
(New York) S'il faut se fier à quelques-unes de ses plus récentes publicités, Barack Obama aimerait bien réserver à Mitt Romney le sort que les alliés de George W. Bush ont infligé à John Kerry en 2004: retourner contre le candidat adverse son principal argument électoral.
Spoiler:
«Je m'appelle John Kerry et je suis prêt à servir», avait déclaré le sénateur du Massachusetts en exécutant le salut militaire avant d'entamer son discours d'investiture, lors de la convention démocrate à Boston, le 29 juillet 2004.
Entouré d'anciens compagnons d'armes, le candidat démocrate annonçait ainsi son intention de mettre en avant ses années de service au Vietnam, histoire de convaincre l'électorat de sa capacité d'assumer le rôle de commandant en chef en pleine «guerre au terrorisme».
Réunis au sein d'un groupe appelé Swift Boat Veterans for Truth et financés par de riches supporteurs de George W. Bush, des vétérans du Vietnam avaient eu tôt fait de lancer une redoutable campagne de dénigrement des faits d'armes d'un John Kerry complètement désarçonné.
Huit ans plus tard, Barack Obama et ses alliés démocrates n'ont pas attendu la convention républicaine à Tampa pour s'attaquer au passé d'entrepreneur de Mitt Romney, sur lequel ce dernier mise pour se poser en sauveur de l'économie américaine.
Depuis la semaine dernière, l'équipe électorale du président a diffusé dans plusieurs États clés deux publicités critiquant le bilan du candidat républicain à la tête de Bain Capital, le fonds d'investissement que celui-ci a fondé en 1994 et quitté en 1999. Dans ces messages, d'anciens employés d'entreprises rachetées par la société de Boston traitent Romney de «destructeur d'emplois», de «vampire» et de «contraire de Robin des Bois», entre autres.
Selon l'une de ces pubs, Bain Capital et ses investisseurs ont retiré 100 millions de dollars d'une opération qui a occasionné le licenciement de 250 travailleurs d'une entreprise (SCM) et la mise en faillite d'une autre (Ampad).
Mitt Romney, comme il fallait s'y attendre, a dénoncé les publicités de Barack Obama, en les assimilant à une «attaque contre la libre entreprise». Même des démocrates proches des milieux financiers ont exprimé leur malaise devant la stratégie du président. Le maire de Newark, Cory Booker, a notamment retenu l'attention en affirmant que la campagne du président contre Bain Capital lui donnait la «nausée».
Barack Obama a défendu sa stratégie au début de la semaine.
«La raison pour laquelle [ces arguments] sont valides pour la campagne est que mon adversaire, le gouverneur Romney, vante son expérience dans les affaires comme son principal atout pour devenir président», a déclaré le président en conférence de presse à Chicago.
«Si votre principal argument pour faire croître l'économie est que vous saviez comment faire faire beaucoup d'argent aux investisseurs, vous ne comprenez pas ce dont il s'agit dans ce poste. Mon métier est de prendre en compte tout le monde, pas seulement certaines personnes. Mon métier est de faire en sorte qu'une entreprise prospère, non seulement maintenant, mais dans 10 ou 20 ans», a-t-il ajouté.
46%
La course à la Maison-Blanche est serrée entre Barack Obama et Mitt Romney, selon trois sondages nationaux publiés au cours des 48 dernières heures. Le baromètre de Gallup accordait hier aux deux candidats 46% des intentions de vote. Dans celui de NBC News/Wall Street Journal, le président récolte 47% des intentions de vote contre 43% pour son rival. Les résultats d'un sondage ABC News/Washington Post sont semblables: 49% pour Obama contre 46% pour Romney.
6%
Le taux de chômage aux États-Unis aura chuté à 6% à la fin du premier mandat présidentiel de Mitt Romney, si ce dernier est élu. L'ancien gouverneur du Massachusetts a formulé cette promesse lors d'une interview accordée à l'hebdomadaire Time et publiée hier. En mai dernier, il avait déclaré que tout taux de chômage supérieur à 4% ne méritait pas qu'on se réjouisse. Le taux de chômage a baissé à 8,1% en avril aux États-Unis.
Donald Trump participera mardi à Las Vegas à une activité de collecte de fonds avec Mitt Romney
Mitt Romney ne craint pas de s’afficher aux côtés du birther le plus en vue aux États-Unis, Donald Trump, avec lequel il participera à deux activités de collecte de fonds au cours des prochaines semaines, dont l’une aura lieu mardi à Las Vegas.
Dans une entrevue au site internet The Daily Beast, The Donald a répété jeudi sa conviction que Barack Obama est né au Kenya. Il a notamment fait allusion à un document publicitaire dans lequel l’agent littéraire de l’auteur de Dreams From My Father le décrivait par erreur en 1991 comme un natif du Kenya. Je cite Trump :
Citation :
«C’est ce qu’il a dit à son agent littéraire… Il ne savait pas qu’il briguerait la présidence. Maintenant ils disent que c’était une erreur. C’est comme sa grand-mère kenyane qui a dit qu’il était né au Kenya, et elle a pointé du doigt l’hôpital au bout de la rue, et après que les gens eurent lancé les hauts cris, elle a dit: “Oh, je veux dire Hawaii”. Give me a break.»
Comme on peut le lire dans cet article, un porte-parole de Romney a déclaré que le prétendant républicain ne doutait pas qu’Obama est né en Hawaii et qu’il n’était pas responsable des opinions de Trump. Insatisfait de cette mise au point, le camp d’Obama a déclaré que Romney venait de prouver une fois de plus qu’il n’était pas capable de se dissocier des opinions les plus extrémistes de certains de ses supporteurs.
Mitt Romney ne se formalise pas de la conviction de Donald Trump selon laquelle Barack Obama est né au Kenya.
Mitt Romney a confirmé hier qu’il n’a pas l’intention de larguer Donald Trump, même si ce dernier a de nouveau soutenu la semaine dernière que Barack Obama est né au Kenya. À vous de juger si la réponse que l’ancien gouverneur du Massachusetts a donnée hier à une question sur le sujet tient la route :
Citation :
«Vous savez, je ne suis pas d’accord avec tous les gens qui m’appuient et je suppose qu’ils ne sont pas d’accord avec tout ce que je crois. Mais j’ai besoin d’obtenir 50,1% ou plus (des suffrages) et j’apprécie d’avoir l’aide de plusieurs bonnes personnes.»
Romney et Trump doivent participer ce soir à une activité de collecte de fonds à Las Vegas. L’équipe du prétendant républicain organise en outre auprès de ceux qui verseront 3$ à sa campagne un tirage au sort dont le gros lot est un souper avec Romney et Trump.
P.S. : N’en déplaise aux partisans de Ron Paul, Romney sera en mesure ce soir de revendiquer l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de novembre, la primaire ayant lieu aujourd’hui au Texas devant lui permettre d’atteindre le chiffre magique de 1 144 délégués nécessaire pour devenir l’adversaire de Barack Obama.