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Nombre de messages : 678 Age : 95 Date d'inscription : 07/03/2009
Sujet: Racisme 21/6/2012, 17:32
Rappel du premier message :
Ce mot est employe a toutes les sauces, c est franchement inquietant. Je regardais sur face book, la litanie des donneurs de lecons, contre les racistes du FN, c est a mourir de rire, en plus c est souvent des ignares qui ne connaissent que ce que l on a bien voulu leurs raconter . Je peux certifier qu aux FN beaucoup de gents ne sont pas raciste, il est possible qu il en ai, mais certainement pas plus là qu ailleurs. Plutot que de vouloir toujours faire passer le FN pour un parti raciste , ils feraient bien d aller faire un tour dans les banlieue, ils verraient ou se trouve le racisme. Cette histoire de racisme c est la tarte a la creme , d une certaine partie de ces rigolos qui n ont que cela a la bouche, qui n ont que cet argument pour detourner une discution qu ils sont incapable d avoir autrement que dans le vulgarite, et le mensonge. Ce qui me fait plaisir c est de voir que les Fançais commencent a se reveiller, mais je crains qu il soit trop tard. De toute façon si l on mettait tous les racistes hors de Françe nous perdrions une grande partie de notre population, mais une chose est sur les banlieues seraient vides , car là le racisme reigne en maitre. Je ne suis pas raciste, mais cela ne m empeche pas d ouvrir les yeux, et de voir que notre pays cours a sa perte.
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jaco
Nombre de messages : 678 Date d'inscription : 07/03/2009
Pour les animaux on trouve normal de parler de race, et je ne trouve pas cela désobligeant, ce qu il y de bien c est qu eux sont moins con que nous, et qu ils s en foutent, je me demande a quoi cela ressemble de polémiquer, sur de telles conneries, moi je dis que oui les races existes, et je ne trouve pas désobligeant de parler de race en avance sur d autres , je ne veux pas dire par là qu il y a des races supérieures, mais faut quand même reconnaitre qu un indien d Amazonie n a pas les capacités d un professeur de la Sorbonne, lui est surement moins bête que nous car il a sue garder ses instincts primitifs, qui lui permet de vivre dans un milieu ou l on aurait beaucoup de mal a survivre.. Faut arrêter de polémiquer, sur le mot race, personnellement je ne suis pas traumatise quand on me dis que je suis de race blanche, et croyez moi un noir ne l est pas plus que moi quand on lui dit qu il est de race noire, a part quelques connards dans notre pays , qui ne savent pas quoi inventer pour diviser les habitants de notre France que j aime. j ai honte pour tous ces soit disant Français qui ne savent pas quoi inventer pour diviser notre peuple Vous voyez que le racisme est un mensonge politique pour gagner des vois
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 8/10/2015, 19:19
jaco a écrit:
Pour les animaux on trouve normal de parler de race, et je ne trouve pas cela désobligeant, ce qu il y de bien c est qu eux sont moins con que nous, et qu ils s en foutent, je me demande a quoi cela ressemble de polémiquer, sur de telles conneries, moi je dis que oui les races existes, et je ne trouve pas désobligeant de parler de race en avance sur d autres , je ne veux pas dire par là qu il y a des races supérieures, mais faut quand même reconnaitre qu un indien d Amazonie n a pas les capacités d un professeur de la Sorbonne, lui est surement moins bête que nous car il a sue garder ses instincts primitifs, qui lui permet de vivre dans un milieu ou l on aurait beaucoup de mal a survivre.. Faut arrêter de polémiquer, sur le mot race, personnellement je ne suis pas traumatise quand on me dis que je suis de race blanche, et croyez moi un noir ne l est pas plus que moi quand on lui dit qu il est de race noire, a part quelques connards dans notre pays , qui ne savent pas quoi inventer pour diviser les habitants de notre France que j aime. j ai honte pour tous ces soit disant Français qui ne savent pas quoi inventer pour diviser notre peuple Vous voyez que le racisme est un mensonge politique pour gagner des vois
Des races humaines suivant la couleur de la peau ?
Y-a-t-il des races humaines ? Pourquoi autant de couleurs de peau ? La couleur de peau et les races humainesSommes-nous tous de la même race ? Depuis plusieurs siècles, l’homme a tenté d’ordonner la nature et les êtres vivants en établissant des catégories, des groupes, des ordres. Dans un premier temps les seules différences anatomiques suffisaient à comparer deux populations, ce qui faisait classer les chauves-souris dans l’ordre des oiseaux sur le simple fait que les deux étaient dotés d’organes pour voler… ! Appliquée à Homo sapiens, cette méthode allait marquer pour longtemps les esprits ! La couleur de la peau, notamment, est toujours un sujet de conversation et parfois de conflits entre différentes populations... Les anciennes tentatives de classification de l'espèce humaine basées sur des pratiques culturelles ou anatomiques continuent malheureusement d'alimenter aujourd'hui des théories racistes...
Historique des tentatives de classification humaine Dans la Bible les hébreux classaient déjà les animaux selon des critères pratiques : purs et impurs, comestibles ou pas... En 1684 le médecin français François Bernier fut le premier à imaginer qu’il existait quatre races d’hommes avec une méthode très simple et géographique : à chaque continent son type d’homme. En 1758 Carl Von Linné proposa dans Systema Natura quatre variétés d’Homo sapiens, leur attribuant des caractéristiques peu scientifiques : - les Americanus : rouge, colérique et droit - les Europeus : blanc, sanguin et musculaire - les Asiaticus : jaune pâle, mélancolique et rigide - les Afer : noir, flegmatique et décontracté Il distinguait également deux autres variétés fantaisistes : les monstrosus (êtres velus) et ferus (les enfants sauvages). Carl Von Linné fut malgré tout l'un des premiers à tenter d'établir une recension des espèces.
En 1775, le naturaliste Johann Friedrich Blumenbach proposa, en s'appuyant sur Linné, une nouvelle classification des Homo sapiens : De generis humani varietate nativa. En 1795, il adopta définitivement la taxinomie suivante : la variété caucasienne à peau pâle (l'Europe), la variété mongole (Chine et Japon), la variété éhiopienne à peau sombre (Afrique), la variété américaine, et la variété malaise (Polynésiens, Aborigènes...). La grande nouveauté de Blumenbach c'est qu'il établit une hiérarchie entre les variétés. Il place la variété caucasienne à l'origine des autres selon un critère très personnel : c'est le peuple le plus beau ! Les autres variétés sont une dégénérescence par rapport à cette population originelle (il faut prendre en compte qu'il emploit le mot dégénérescence dans le sens "écart par rapport à"). Il indique toutefois que toutes les variétés d'hommes correspondent à une seule et même espèce : il défend le principe d'unité de l'espèce humaine.
Toutes ces tentatives de classification vont marquer les époques et notre façon de voir le monde. Nous en héritons et elles font partie de notre histoire. Certains utilisent encore ces théories (sans parfois les connaître !) à des fins racistes. La science, la génétique nous prouvent que l'Homo sapiens est une race à part entière, sans sous-catégories... et nous ne pouvons pas faire de classification sur des critères aussi subjectifs que la couleur de la peau, la géographie, la culture ou la beauté d'un individu !
Définition de la race et de l'espèce Dans la classification générale du vivant on parle d’espèce pour regrouper toutes les populations interfécondes et dont la descendance peut elle-même se reproduire. La notion de race se base quant à elle sur la notion de « gènes communs et exclusifs à un groupe d’individus ». François Lebas (Directeur de recherche honoraire de l'INRA) propose la définition suivante : ..."au sein d'une espèce, une race est généralement considérée comme une collection d'individus ayant en commun un certain nombre de caractères morphologiques et physiologiques qu'ils perpétuent lorsqu'ils se reproduisent entre eux..."
Des races humaines ? Aucune population humaine ne possède exclusivement des gènes propres. Les Homo sapiens forment une seule et même espèce. Les différences anatomiques que l’on perçoit, par exemple entre un individu asiatique et un européen, ne sont que l’expression plus ou moins forte de gènes communs. Cette mixité génétique dans l’espèce humaine est tellement importante que si vous avez besoin d’un don d’organe ( un rein par exemple) vous avez autant de chance de trouver un donneur compatible dans votre voisinage qu'à Dakar au Sénégal. Pour André Langaney (ancien directeur du Laboratoire d'Anthropologie du Musée de l'Homme) : "En fait, il n'y a pas de marqueur génétique de la race. On n'a jamais pu en isoler un qui soit présent, par exemple, chez tous les “Noirs” et absent chez tous les “Blancs”. Dès qu'on commence à définir une race, en cherchant des critères de classification, on n'en finit plus. Certains sont allés jusqu'à 450 ! S'il fallait pousser la classification à son terme, il faudrait définir une race par individu, car nous sommes tous différents". Les populations humaines forment un seul et même groupe taxinomique, une seule espèce.
L'espèce humaine, depuis quand ? Les études génétiques démontrent que l'espèce humaine a une origine récente : il y a de très faibles variations génétiques entre les différentes populations humaines. Pour illustrer cette petite différenciation, on peut comparer deux chimpanzés (pris au hasard) et deux humains. Les chimpanzés présentent plus de différences génétiques que les 2 humains entre eux... Leurs origines sont donc plus anciennes que la nôtre... (voir dossier Homme-singe) Le nombre de gènes est sans rapport avec la taille ou l'importance que nous accordons à une espèce : 14 000 pour la mouche Drosophile et... 30 à 40 000 pour l'Homo sapiens... Voir également : les évolutions d'Homo sapiens depuis 200 000 ans. La couleur de la peau : une simple question de gène ! Quelle que soit la couleur de notre peau, nous possédons tous des mélanocytes, produisant de la mélanine (pigment naturel) sous contrôle de nos gènes. Suivant sa concentration, ce pigment fonce plus ou moins notre épiderme. Parallèlement, la quantité et l'intensité des rayons solaires influent sur notre corps qui, pour se protéger, produit plus ou moins de mélanine : c'est le phénomène de bronzage.
Les mélanocytes contrôlent la production de mélanine.
Distribution géographique de la pigmentation. Toutes les nuances sont représentées... Les populations exposées de façon continue au soleil développent un "bronzage permanent" ! Si vous partez à pied d'une région sub-tropicale vers le nord, vous rencontrez, au fur et à mesure, des populations de plus en plus claires, sans rupture... C'est donc graduellement que cette variation se déroule... du brun foncé au blanc-rosé. Il vous est alors impossible de déterminer à partir de quel moment un individu est blanc, noir ou jaune car toutes les nuances sont présentes et s'enchaînent ! Du brun "chocolat" au blanc "cachet d'aspirine" (voir graphique ci-contre), tous les Homo sapiens ont la même origine (voir la galerie d'ancêtres). Elle remonte à environ 7 millions d'années et se situe probablement en Afrique (Toumaï ?). Tout laisse à supposer que notre ancêtre commun avait une peau brune (pour résister au soleil) et de nombreux poils... Malheureusement la peau ne se fossilise pas (!) et il y a peu de chance que nous retrouvions un jour des restes de l'épiderme de nos ancêtres ! Voir les travaux de Nina Jablonski sur les poils et la peau des hommes préhistoriques.
Proportion des couleurs humaines dans la population globale. Peau et pils des hommes préhistoriques Poils et peau à la préhistoire
coco!
Mara-des-bois
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Sujet: Re: Racisme 8/10/2015, 19:30
jaco, qui a trempé son clavier dans le bon sens, sauf le bout des doigts, a écrit:
(...) Faut arrêter de polémiquer, sur le mot race, personnellement je ne suis pas traumatise quand on me dis que je suis de race blanche, et croyez moi un noir ne l est pas plus que moi quand on lui dit qu il est de race noire, a part quelques connards dans notre pays , qui ne savent pas quoi inventer pour diviser les habitants de notre France que j aime. j ai honte pour tous ces soit disant Français qui ne savent pas quoi inventer pour diviser notre peuple Vous voyez que le racisme est un mensonge politique pour gagner des vois
Jaco, je suis rarement -bon, OK? jamais- d'accord avec vous, mais là, "oui". Sauf sur la derniere phrase (on ne se refait pas). Sissi, le racisme existe, il n'est pas un mensonge, ni politique ni social ni historique, et il n'est l'apanage d'aucune race...
Mab
EddieCochran Admin
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Sujet: Re: Racisme 8/10/2015, 21:06
201 -
jaco au verbe racé a écrit:
(...) Faut arrêter de polémiquer, sur le mot race, personnellement je ne suis pas traumatise quand on me dis que je suis de race blanche,(...)
Il a existé autrefois une race, celle des hommes, les vrais. Réplique culte du film Il était une fois dans l'Ouest :
Frank : Morton m'a dit un jour que je ne serai jamais comme lui. Maintenant, je sais pourquoi : moi ça m'ennuie de te savoir vivant. Lui t'aurait ignoré. Harmonica : En somme, tu viens de découvrir que tu n'es pas un homme d'affaires. Frank : Un homme, c'est tout. Harmonica : C'est une race très ancienne. Mais d'autres Morton viendront, qui essaieront de l'éteindre. ( en) Frank : Morton once told me I could never be like him. Now I understand why : Wouldn't have bother red him, knowing you were around somewhere alive. Harmonica : So you found out, you're not a businessman after all? Frank : Just a man. Harmonica : An ancient race. Other Mortons will be along, and they'll kill it off.
Gracieusement piqué sur Wiki.
kalawasa
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Sujet: Re: Racisme 8/10/2015, 23:59
Jaco a écrit:
Faut arrêter de polémiquer, sur le mot race, personnellement je ne suis pas traumatise quand on me dis que je suis de race blanche, et croyez moi un noir ne l est pas plus que moi quand on lui dit qu il est de race noire, a part quelques connards dans notre pays , qui ne savent pas quoi inventer pour diviser les habitants de notre France que j aime. j ai honte pour tous ces soit disant Français qui ne savent pas quoi inventer pour diviser notre peuple
T'as raison, Jaco, mais en période électorale (ce qui toujours le cas ) , la réactivité des politicards est immédiate, sans réflexion . Au bout de quelques jours , ils se rendent compte qu'ils ont commis une erreur stratégique , et bafouillent un salmigondis indigeste et incompréhensible à base d'excuses plates, de repentance inappropriée et culpabilisation crétine , ce qui me fait penser que la Nadine a marqué des points !
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 00:45
203 -
Mara-des-bois impériale a écrit:
(...) Sissi, le racisme existe, il n'est pas un mensonge, ni politique ni social ni historique, et il n'est l'apanage d'aucune race...
Mab
Bien qu'il plaiderait en faveur de son appartenance à une race spécifique : celle des khôns...
Un placard célèbre de Mai 68 l'atteste :
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 00:54
J'ai du mal à vous suivre, cher Eddie : si vous êtes raciste envers les racistes , vous êtes donc raciste, n'est-il pas ? Et ce n'est pas bien !
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 01:07
205 -
kalawasa qui cherche à compriter a écrit:
J'ai du mal à vous suivre, cher Eddie : si vous êtes raciste envers les racistes , vous êtes donc raciste, n'est-il pas ? Et ce n'est pas bien !
Ben quoi ?! Il faut bien choisir son camp, c'est mon cerveau reptilien qui m'y contraint.
Si je disais "Je ne crois pas en Dilleux", paradoxalement cela signifierait bien que je crois quelque chose, non ?
J'aime bien la carte de Fernanda :
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 11:44
Les races humaines ou les types humains (partie 1 sur 7)
Doit-on parler de « races humaines » ou de « types humains » ? Les thèmes à propos des Noirs ou des Blancs sont souvent évoqués, concernant par exemple les États-Unis d’Amérique, et depuis quelques années concernant l’Europe, avec des changements rapides que l’on constate dans la répartition des races dans les Amériques, mais aussi désormais en Europe ou en France. Paradoxalement on constate également que certains réagissent avec agressivité quand les médias relaient des propos qui désignent les groupes humains biologiquement typés par le mot « race ». Nous allons exposer ici les principaux arguments autour desquels se déroule la controverse contre ou pour les « races humaines ».
La vision objective que nous privilégions dans cet article, basée sur les faits, suscitera peut-être chez certains lecteurs des réactions réflexes hostiles plutôt que de les amener à ouvrir les yeux sur les réalités. Certains lecteurs prennent position selon leurs sensibilités idéologiques au lieu de considérer la question des races humaines selon les faits objectivement établis. Chacun est bien-entendu libre d’avoir des convictions quelles qu’elles soient, qu’elles reposent sur des considérations rationnelles ou émotionnelles. Cela est vrai concernant le sujet examiné ici – les races humaines – comme cela est vrai pour tout autre sujet. De sorte que je ne chercherai pas à convaincre qui que se soit qu’il doit accepter les points de vue qui sont exposés dans le présent article. Je souhaite seulement partager avec ceux qui sont à la recherche de la vérité.
Les commentateurs sont donc libres de maintenir contre vents et marées leurs opinions, quelles qu’elles soient, et de montrer par leurs réactions sur ce sujet, comme sur d’autres sujets, que les divergences d’opinion existent, même lorsque sur un sujet donné on tient un discours basé sur les faits et que l’on apporte des preuves irréfutables.
L’article est découpé en sept parties afin de faciliter la lecture :
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 11:45
PARTIE 1 : LES CONFUSIONS À PROPOS DES ESPÈCES, DES RACES ET DU RACISME
Les races humaines et le racisme
Lorsqu’on écoute les conversations on peut constater qu’actuellement en Europe le mot « race » a principalement deux sens : l’un commun et l’autre scientifique.
Depuis quelques décennies la doctrine scientifique qui domine dans les médias européens réserve le mot « race » au domaine animal pour désigner par exemple des variétés obtenues par la sélection des éleveurs (c’est à dire les races d’animaux domestiques comme les chats persans ou birmans etc.) ou des variétés qui sont apparues indépendamment de l’action de l’homme et qui résultent de l’évolution des groupes d’animaux de même espèce géographiquement séparés.
L’une des raisons qui expliquerait que notamment en France le mot « race » est mis à l’écart pour désigner les types humains semble liée à l’idée que le mot « race » crée une ambiguïté avec le mot « racisme ». Ce n’est pas parce que l’on constate l’existence des races humaines qu’on est raciste. Dans le même ordre d’idées ce n’est pas parce que l’on estime qu’il existe des différences entre les sexes que l’on est sexiste. De même ce n’est pas parce que l’on remarque des différences entre les religions que l’on est ennemi des religions.
Le racisme est l’incitation à la haine contre une race, c’est la manifestation de la volonté de détruire une race. La confusion de la perception des races avec le racisme vient de l’idée qu’une classification des groupes raciaux serait aussi semble-t-il considérée par certains comme une incitation à la haine. Il n’en est rien : faire ces constats des différences entre les races n’incite pas à la haine contre certaines races. Constater que par la taille les Scandinaves sont statistiquement 40 % plus grand que les Pygmées est un constat objectif de différence sur un critère prédéfini, ce n’est pas une affirmation raciste. Si des différences existent entre les groupes raciaux, si ces différences peuvent être objectivement constatées, il doit être permis d’exprimer ces faits. Pour cette raison, afin de pouvoir désigner les variétés des groupes humains tout en évitant les accusations de racisme, de nombreux scientifique qui veulent publier les résultats de leurs travaux sans être agressés par des « antiracistes » ont fini par abandonner le mot « race » et emploient plutôt le mot « type ».
Ainsi la règle de bienséance « politiquement correcte », qui s’est imposée ces dernières années en France et en Europe, voudrait que l’on parle plutôt de « types » que de « races » pour différencier des groupes humains biologiques.
De même, dans un autre domaine, mais dans le même ordre d’idées, cette bienséance « politiquement correcte » a introduit l’expression « les gens du voyage ». Par exemple on peut trouver dans les médias des informations du genre : « le vol des métaux a été commis par un groupe de gens du voyage ». On entendant ce genre d’information on peut se demander : « les gens du voyage sont sans doute des gens qui voyagent sans cesse, donc ce sont peut-être les chauffeurs routiers qui ont commis ce vol, à moins que ce ne soit un groupe d’hôtesses de l’air ? ». Pourquoi en général, et pas uniquement dans le cas des « gens du voyage », on propage des expressions « politiquement correctes » ? Le but visé semble être celui d’introduire délibérément une confusion, de masquer la vérité, afin de rendre confus et donc difficile le débat sur les questions de société. Dans la terminologie administrative française ce terme « les gens du voyage » désigne en réalité ce que l’on nomme habituellement les Tsiganes (terme utilisé partout en Europe), les Gitans ou les Manouches (ces deux derniers termes étant utilisés dans les pays francophones), ou les Roms (terme plus récent), qui sont biologiquement un sous-groupe racial qui malgré les métissages garde les spécificités de ses origines indiennes. Les Tsiganes, que l’on rencontre partout en Europe, ont conservé une langue d’origine indienne et par l’ensemble de leurs spécificités culturelles ils correspondent également à la définition d’une ethnie [1]. En France, avec la confusion introduite par l’expression « les gens du voyage », on constate qu’actuellement dans leurs commentaires des faits divers les médias utilisent souvent les interprétations suivantes : l’expression « les gens du voyage » désigne les Tsiganes français, l’expression « les Roms » désigne les Tsiganes roumains. Retenons que les Tsiganes sont à la fois un sous-groupe racial spécifique, du point de vue biologique, et un groupe ethnique, du point de vue culturel. Nous reviendrons plus loin sur la distinction de notions entre « races » et « ethnies ».
Tous les humains sont-ils des Noirs ?
Certains, voulant nier l’existence d’une branche d’humanité spécifiquement européenne, disent que puisque « les recherches admettent que l’Afrique est le berceau de l’humanité cela signifie que chacun d’entre nous est originellement un Africain ». Ce genre de phrase n’a aucun sens car le fait d’avoir les mêmes origines très lointaines n’efface pas les différences qui existent entre deux groupes. Les Blancs européens ont en effet avec les autres races des ancêtres communs mais c’est une règle générale qui englobe tout ce qui est vivant sur cette planète : si on remonte suffisamment loin dans le temps des ancêtres communs existent avec toute vie qui est originaire de notre planète – singe, chameau, chat, mouche, verre de terre, poisson, pommier, herbe, bactérie – puisque « les recherches admettent » qu’à l’origine de toute vie sur cette planète se trouve un organisme unicellulaire qui est apparu dans les mers.
Il existe plusieurs théories sur l’évolution de l’humanité et sur la formation des diverses branches de l’humanité. D’après la théorie le plus souvent mise en avant, on estime actuellement que l’apparition de l’Homo Sapiens date le plus probablement d’il y a environ 200 000 ans et que les branches de l’espèce l’Homo Sapiens ont commencé a se différencier lorsque il y a environ 60 000 ans les groupes humains ont commencé à migrer à travers les continents et ont évolué, par l’effet des mutations génétiques successives, isolés les uns des autres dans plusieurs régions de la planète. En 60 000 ans, l’évolution a eu le temps de façonner des différences génétiques entre les branches de l’humanité auxquelles on a depuis longtemps donné le nom de « races ».
Aujourd’hui les Noirs africains sont aussi distants des Africains d’il y a 60 000 ans que le sont les Blancs européens. Par une succession de mutations génétiques les Noirs africains ont pendant cette période de 60 000 ans suivi une certaine évolution génétique alors que les Blancs européens ont suivi le chemin d’une autre évolution génétique.
La pression exercée pour effacer la conscience de l’existence des races
La question de la race soulève parfois en France des réactions réflexes très hostiles, de sorte que parfois les tribunaux sont appelés à la rescousse dans le but de punir ceux qui parlent trop fort en public de l’existence des races. Lorsque quelqu’un en France parle des Blancs ou des Noirs, lorsqu’il montre qu’il est conscient des différences raciales, on l’accuse souvent de racisme.
L’enseignement public dans les écoles françaises produit des citoyens qui sont persuadés que les races humaines n’existent pas. Dans d’autres pays du monde l’existence des races est un fait que chacun peut ouvertement constater et que l’on prend en compte à tous les niveaux. Par exemple, aux États-Unis d’Amérique, lorsque le FBI diffuse les fiches de signalement concernant les criminels recherchés, la race de chaque individu est précisée car c’est un élément de différenciation, un élément d’identification [2]. Par contre dans les débats internes en France, préciser la race d’un individu semble gênant. En France on utilise des contorsions, pour éviter de parler des races humaines on invente des termes comme « minorités visibles » sans préciser quelle en est la signification, de sorte que l’on introduit avec ce néologisme maladroit la confusion, car il y a des quantités de minorités qui sont visibles : les handicapés moteurs, les chauves, les nains, les riches tape-à-l’œil, les gros, les barbus etc.
D’ailleurs on peut également poser la question de savoir si en France les Blancs sont une « minorité visible » : la question est légitime puisque les statistiques raciales n’existent pas en France, donc on ne peut pas savoir avec certitude a quel moment les Blancs sont devenus ou deviendront une « minorité visible ».
L’espèce et la race
L’homme s’est d’abord surtout intéressé à catégoriser les animaux d’élevage et les animaux domestiques d’après les critères basés sur l’observation. C’était le premier emploi du mot race.
C’est ensuite la zoologie, qui à partir du XVIIIème siècle a entrepris de classifier les êtres, qui a donné la définition générale, applicable aux animaux, mais qui serait applicable à tous les êtres sexués, de ce qu’est l’espèce et de ce qu’est la race :
– L’espèce définit les êtres vivants naturellement interféconds. L’espèce s’applique donc aux êtres à reproduction sexuée.
– La notion de race s’applique à des individus d’une même espèce mais appartenant à un groupe ayant des caractères biologiques héréditaires bien distinct des autres groupes.
Ces notions s’appliquent aux variétés observées dans la faune en général et pas uniquement concernant les animaux d’élevage.
À noter que du point de vue de la biologie, un être humain, un membre de l’espèce humaine, est un animal, autrement dit il n’est pas une plante mais fait partie de la faune. De ce fait le terme de race, utilisé pour les animaux en général, est adéquat pour définir biologiquement des populations de l’espèce humaine.
La différenciation de l’espèce en races est le résultat des mutations génétiques. Les mutations génétiques sont fréquentes. Certaines se propagent et se maintiennent, d’autres disparaissent. Lorsqu’un groupe est isolé les mutations se propagent à l’intérieur de ce groupe. C’est par des mutations successives que les groupes isolés les uns des autres s’éloignent de plus en plus les uns des autres du point de vue des caractéristiques biologiques.
À un moment donné les mutations peuvent aboutir à des différences telles que la reproduction fertile entre deux groupes raciaux n’est plus possible : une nouvelle espèce est apparue.
Précisons que la frontière d’infertilité entre espèces n’apparaît pas toujours de façon instantanée mais peut s’installer de façon progressive au fil des mutations. Lorsque, à partir d’ancêtres communs, l’évolution a donnée deux espèces nouvelles qui sont encore assez proches génétiquement, il peut parfois y avoir des descendants fertiles. Lorsque les mutations génétiques successives ont d’avantage éloigné les espèces alors le mélange fertile n’est plus possible, puis aucun mélange n’est plus possible. Par exemple, entre l’espèce « cheval » et l’espèce « âne », le mélange d’âne et de jument donne le mulet stérile mais la mule est parfois féconde. On peut dire que dans ce cas la séparation en deux espèces est encore en cours de déroulement, n’est pas encore parfaite, et qu’elle aboutira lorsque la frontière d’infertilité sera totalement établie.
L’évolution peut être imagée sous la forme d’une plante dont les branches poussent de telle façon que chaque nouvelle branche est légèrement différente de la précédente, à partir de laquelle elle a bourgeonné. Plus les branches sont éloignées par la succession des ramifications, et plus elles sont différentes, à tel point que certaines ne se ressemblent plus du tout comme si elles poussaient sur des plantes différentes. Les branches qui sont proches peuvent être fécondes entre-elles, si elles se touchent elles peuvent même parfois fusionner entièrement en perdant ce qui les distingue, mais à partir d’une certaine distance la fécondation entre les branches n’est plus possible, elles ne peuvent plus fusionner. Sur cette plante, certaines branches, et même des ramifications entières, se fanent parfois, et disparaissent, pour des raisons diverses, alors que d’autres apparaissent et foisonnent, sans cesse.
Les races animales
Nous avons vu qu’initialement le mot race a été en usage parmi les éleveurs concernant les animaux domestiqués.
La définition du mot race, données par la zoologie, s’applique par extension à toute la faune. Les races existent également parmi les animaux sauvages.
De nombreuses races animales existent sans qu’il y ait eu d’intervention humaine : par exemple les ours bruns, les ours grizzlys, les ours polaires (appelés aussi « ours blancs ») etc. L’apparition des races animales est le résultat de l’évolution séparée : certaines mutations se propagent à l’intérieur d’un groupe alors que d’autres mutations se propagent à l’intérieur d’un autre groupe géographiquement séparé. Tant que la succession des mutations, tout en accentuant les particularités, permet l’interfécondité, on est en présence de races. Comme chez les humains, on constate que les races animales sont susceptibles de disparaître par le métissage lorsque les conditions naturelles qui ont permis leur apparition (isolement géographique) ne sont plus réunies.
Ceci dit, par habitude, sans tenir compte de la définition « espèce/race », les ouvrages de zoologie continuent de nommer les espèces animales sauvages là ou on devrait en toute rigueur parler de races animales sauvages. C’est une habitude de langage. Par exemple pour les ours on parle d’espèce « ours grizzly », d’espèce « ours polaire » etc. alors qu’en fait tous ces ours sont interféconds. Si cette mauvaise habitude de langage était appliquée de façon analogue aux humains on dirait que les Noirs sont une espèce humaine et que les Blancs sont une autre espèce humaine – mais c’est bien entendu faux.
À propos, nous avons pu récemment lire une nouvelle en provenance du Canada : à cause du réchauffement généralisé du climat, les ours grizzlys viennent si loin au nord que les cas de métissage ont déjà été observés entre les ours grizzlys et les ours polaires [3]. Désormais la question se pose de savoir s’il sera possible de maintenir la « pureté raciale » dans les populations d’ours grizzly et d’ours polaires.
L’ours polaire n’est qu’une branche particulière d’ours – si cette race d’ours disparaît, cela ne veut pas dire que de façon générale l’ours disparaîtra de la planète. Cependant – comme cela est expliqué par les défenseurs de la nature et de la biodiversité – il est important que chaque race particulière d’ours survive.
Dans la partie 2 nous examinerons comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles.
coco!
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:06
Patience, Momo, bientôt ce sera l'inverse, grâce aux intellos et aux politicards capitulards !(*)
(*) : j'aime bien ce smiley . Je sens que je vais le mettre à toutes les sauces !
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:19
•Notes :
Précision : les lecteurs qui partagent les idées développées dans mes contributions peuvent utiliser les textes de mes articles pour propager ces idées sur d’autres forums, dans d’autres médias ou autour d’eux. Si vous partagez mes opinions alors vous pouvez traduire mes contributions, vous pouvez utiliser mes textes tels quels, vous pouvez les copier entièrement ou en partie, ou vous pouvez les adapter de la manière qui vous convient. Si j’écris c’est pour que les gens lisent, donc plus il y a de lecteurs meilleur c’est. L’important ici est la propagation des informations et des opinions.
Si les idées qui sont exposées dans cet article vous plaisent assez, alors n’hésitez pas : distribuez ce texte autour de vous, aux personnes connues ou inconnues. Chaque personne qui lit ce texte peut en faire des copies et les distribuer à son tour à d’autres lecteurs potentiels.
Si dès demain vous donnez la copie de cet article à au moins cinq personnes qui ont l’air d’être intelligentes, vous aurez fait beaucoup pour la propagation d’une nouvelle conscience collective. Chacun qui aura reçu ce texte pourra à son tour le distribuer à au moins cinq personnes de plus. Et ainsi de suite. Cette méthode de propagation d’idées est une nouvelle démarche citoyenne : la pyramide des idées.
On constate que l’endoctrinement officiel, qui est constamment appliqué sur la population par des moyens multiples, obtient des résultats notamment par la technique de répétition incessante des idées et des faits que le pouvoir veut favoriser. En parallèle le pouvoir en place cherche, par tous les moyens dont il dispose, à empêcher la propagation des idées qui ne lui conviennent pas.
Tous les citoyens peuvent lutter contre cet endoctrinement officiel en utilisant les circuits qui sont à leur disposition pour propager à leur tour la vérité sur certains faits que le pouvoir en place cherche à masquer.
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:22
Les races humaines ou les types humains (partie 2 sur 7)
Dans la partie 1 nous avons rappelé quelle est la différence entre la race et l’espèce.
PARTIE 2 : LA PROPAGATION DES ESPÈCES HUMAINES ET DES RACES HUMAINES À TRAVERS LES CONTINENTS
Les espèces humaines et les races humaines
Le mécanisme des mutations génétiques, qui forment des races puis des espèces, est le mécanisme général d’évolution et d’apparition des espèces parmi les êtres sexués.
Cela est également vrai, cela est constaté, dans l’histoire de l’humanité. Ainsi si par exemple nous remontons d’une étape avant l’apparition d’Homo Sapiens, l’ancêtre de l’humanité existait déjà. Les scientifiques estiment probable que cet ancêtre direct était Homo Heidelbergensis, une espèce humaine qui a existé avant Homo Neanderthalensis et Homo Sapiens.
Situons les faits dans le temps : les traces de Homo Heidelbergensis ont été identifiées dans la cendre solidifiée d’un ancien volcan en Italie et le Centre national de la recherche scientifique (CNRS situé en France au sud de Paris) a daté la formation des empreintes à il y a 345 000 ans.
À partir de cet ancêtre commun, qui était peut-être l’Homo Heidelbergensis, les mutations génétiques ont fait que d’un coté est apparu un groupe racial qui plus tard deviendra l’espèce Neanderthal, et que de l’autre coté est apparu un groupe racial qui plus tard deviendra l’espèce Sapiens.
On évalue la date de la « séparation » des deux lignées à il y a plusieurs centaines de milliers d’années, après la période où les traces de pas ont été laissées dans la cendre du volcan. Au départ, et pendant longtemps, c’était deux races qui, dans les régions géographiques où les deux groupes étaient au contact, pouvaient se mélanger en donnant une descendance fertile. Au fil du temps, les mutations différentes se sont succédé dans chacun des groupes séparément, et les deux groupes sont devenus génétiquement trop distants pour avoir des descendants communs fertiles, ou même stériles. C’est à ce moment là que l’on peut dire que les deux races sont devenues deux espèces distinctes d’humains : Homo Sapiens (espèce à laquelle appartiennent les humains actuels) et Homo Neanderthalensis (qui a fini par disparaître il y a 30 000 ans).
D’ailleurs les scientifiques ont longtemps eu des doutes et tant qu’ils pensaient qu’il s’agit de deux sous-espèces d’Homo Sapiens, ou races très marquées, ils les désignaient par Homo Sapiens Sapiens et Homo Sapiens Neanderthalensis, mais à présent ils estiment que ce sont deux espèces à part entière (à partir du moment où il ne pouvait plus y avoir de métissages) et ils les désignent par des noms d’espèces Homo Sapiens et Homo Neanderthalensis.
Profitons de l’occasion pour apporter quelques nuances, et peut-être plus que des nuances, dans la version de l’évolution de l’Homme qui est actuellement propagée dans la plupart des circuits d’enseignement. L’arbre d’évolution des espèces humaines, comme celui présenté ci-dessus, ne repose pas en vérité sur des fondations scientifiques solides.
Il faut savoir que pour la période correspondant à l’apparition des premiers Homo Sapiens Sapiens et Homo Sapiens Neanderthalensis on ne dispose que de peu de restes paléontologiques : de l’ordre de deux cents découvertes paléoanthropologiques [4]. Et c’est sur ce faible échantillon que les scientifiques bâtissent leurs théories.
Pour la période antérieure, avant l’apparition de l’Homo Sapiens, ce qui correspond à un intervalle de plusieurs millions d’années, on ne dispose en tout, pour l’ensemble des espèces représentées dans cet arbre d’évolution humaine, que de deux autres grosses centaines de découvertes paléontologiques. Pour certaines de ces espèces humaines ces éléments se limitent à deux ou trois fragments de mandibules ou d’orbites.
Le très faible nombre d’éléments ne permet pas de tirer des conclusions selon des critères scientifiques, qui seraient notamment basés sur la répartition statistique des éléments dans l’espace et dans le temps.
Il existe de nombreuses controverses entre les paléontologues, et des scénarios d’évolution alternatifs existent.
Par exemple, certains travaux scientifiques suggèrent que l’Homo Neanderthalensis n’est pas une branche séparée, parallèle, de l’Homo Sapiens, mais que c’est l’espèce qui en est l’ancêtre direct [5]. Une autre hypothèse concerne la datation de la séparation à partir de l’ancêtre commun : certains scientifiques situent cet évolution plus loin dans le temps à il y a 500 000 ans.
Parmi les scientifiques des opinions sont divergentes sur pratiquement tous les détails présentés dans l’arbre de l’évolution humaine.
De sorte que tout ce que l’on décrit à destination du grand public comme étant l’Histoire de l’humanité, ne peut pas être considéré comme le résultat de travaux établis d’après les critères rigoureusement scientifiques, mais peut être considéré comme une croyance parmi d’autres croyances basées sur des découvertes fortuites.
Une chose semble certaine : lorsque les humains se sont séparés en deux races, qui par la suite de mutations successives allaient s’éloigner tellement que deux espèces distinctes cohabiteraient – Homo Sapiens et Homo Neanderthalensis – ces deux races étaient au départ au contact.
Zone d'expansion de l'Homo Neanderthalensis
La carte ci-dessus représente la zone d’expansion de l’Homo Neanderthalensis – le site du dernier habitat connu a été découvert au sud de la Péninsule ibérique [6].
Pendant une certaine période, les deux groupes raciaux, qui ont cohabité au Proche-Orient et en Europe, pouvaient produire des individus mélangés. Par la suite, alors que les deux groupes ont déjà biologiquement évolué, au point de former depuis longtemps deux espèces distinctes, les mélanges féconds ne pouvaient plus avoir lieu.
Il se peut que des groupes métissés ont coexisté longtemps en parallèle avec les deux races les Sapiens et les Neanderthalensis. Ils étaient probablement peu nombreux et on n’a pas encore découvert des sites paléonthologiques qui pourraient confirmer cette hypothèse. C’est simplement plausible que des cas pouvaient exister. On peut également émettre l’hypothèse que les groupes de métis, génétiquement proches des deux races ou espèces, pouvaient être interféconds avec les Sapiens et les Neanderthalensis même dans la période finale où les Sapiens et les Neanderthalensis n’étaient plus interféconds. Les groupes métissés constituaient en quelque sorte le pont génétique de fécondation entre les Sapiens et les Neanderthalensis pendant que l’évolution génétique les éloignant de plus en plus. C’est une hypothèse qui expliquerait certaines découvertes de squelettes que la datation situe à la fin de la période des Neanderthalensis et qui semblent avoir les caractéristiques du métissage entre les Sapiens et les Neanderthalensis [7]. Ces cas de métissage tardif ne peuvent qu’être des exceptions. C’est l’époque première du contact, lorsque le métissage direct entre les deux races – les Sapiens et les Neanderthalensis – était possible, qui explique que la structure génétique des Sapiens modernes hors d’Afrique, dont les Blancs européens actuels, contient actuellement entre 1 % et 4 % de caractéristiques héritées du Neanderthalensis [8] à l’époque où ce dernier n’était pas encore une espèce séparée.
Quoi qu’il en soit l’Homo Sapiens est donc actuellement la seule espèce humaine. Cette espèce a plusieurs races, c’est à dire des groupes biologiquement différenciables mais interféconds. Le début de la différenciation des races actuelles de l’Homo Sapiens a démarré il y a 60 000 ans lorsque les groupes de l’espèce humaine actuelle ont commencé à s’isoler dans les zones géographiques, à travers les continents, et lorsque les mutations génétiques différentes se sont propagées de façon séparée à l’intérieur de chaque groupe géographiquement isolé.
Les races de l’espèce Homo Sapiens finissent par occuper tous les continents
Comment s’est propagée l’humanité sur la surface de la planète ? Les échantillons paléontologiques sont tellement rares que les scientifiques ne sont pas unanimes sur la réponse. La description des migrations et des évolutions entre les espèces humaines, avant que ne s’affirme l’espèce humaine actuelle, repose d’avantage sur des croyances que sur des probabilités scientifiquement quantifiables. Ensuite l’histoire des migrations des branches de l’espèce humaine actuelle, il y a des dizaines de milliers d’années, repose également sur le hasard de conservation des traces et le hasard de la découverte des ces traces : très peu de sites ont pu être étudiés, de sorte que les conclusions qui peuvent en être extraites s’apparentent moins à une certitude scientifique et plus à une croyance qui décrit un scénario plausible.
Quelle est donc la croyance actuellement la plus propagée ?
La description qui est actuellement présentée comme la plus plausible, même si elle repose sur peu d’indices, est la suivante : l’apparition des espèces humaines les plus anciennes aurait eu lieu en Afrique. Ensuite plusieurs vagues de migration auraient quitté l’Afrique mais s’étaient éteintes : nous avons déjà mentionné les Homo Heidelbergensis qui ont laissé des traces de pas il y a 375 000 ans sur le sol de l’Italie actuelle, les traces les plus anciennes de l’Homo Sapiens Sapiens en dehors d’Afrique datent d’environ 90 000 ans et l’Homo Sapiens Neanderthalensis était présent en Europe déjà il y a 250 000 ans. La vague migratoire d’Homo Sapiens Sapiens, dont la sortie d’Afrique date d’il y a 70 000 à 50 000 ans, aurait réussi à survivre dans une vaste région au centre de l’Asie, quelque part entre l’Iran et l’Inde actuels.
Ce groupe humain asiatique a poursuivi son évolution biologique au fil des mutations génétiques. C’est à partir de ce groupe humain qu’ont eu lieu les migrations sur tous les continents et qui ont abouti à l’humanité actuelle avec ses variantes raciales actuelles : – L’Australie aurait été peuplée il y a 50 000 ans, – Une migration aurait eu lieu vers le centre de l’Afrique il y a 50 000 à 40 000 ans où le métissage avec les populations anciennes aurait abouti aux Noirs actuels, – L’Extrême-Orient asiatique aurait été peuplé il y a 40 000 ans, – Vers l’ouest est parti il y a 40 000 à 30 000 ans un groupe qui s’est scindé en deux : – Les ancêtres des Blancs européens sont passés par le Caucase et l’Oural pour peupler l’Europe (d’où les noms parfois utilisés de « Caucasiens » et « Ouraliens » pour désigner les principales branches raciales européennes), – Les ancêtres des Moyen-orientaux/méditerranéens (que l’on désigne aussi par le terme les « Sémites ») sont passés par le Proche-Orient pour occuper le nord et l’est de l’Afrique,
– L’Amérique aurait été rejointe par le détroit de Béring, qui à l’époque était émergé, il y a 20 000 à 15 000 ans.
Les dates doivent être considérées comme des suppositions généralement admises, mais pas comme des certitudes, car les opinions des scientifiques divergent parfois sur ces détails comme sur d’autres détails.
Cette description des migrations préhistoriques donne les éléments de base de la classification des groupes raciaux humains. Les principaux flux de migration d’il y a 40 000 à 30 000 ans, qui ont déposé des groupes humains entre la péninsule indienne, l’Iran actuel, l’Europe et le bord méditerranéen de l’Afrique, expliqueraient la parenté de filiation raciale proche entre les trois groupes raciaux qui sont formés d’une part par les peuples du centre de l’Asie, d’une autre part par les Sémites et encore d’une autre part par les Blancs européens. C’est pourquoi certains auteurs utilisent le nom de « Caucasoïdes » ou « Caucasiens » pour désigner globalement comme un grand groupe l’ensemble de ces trois groupes raciaux (Moyen/Proche Orientaux, Nord Africains, Blancs européens) et pas uniquement la branche des Blancs européens. Les deux autres grands groupes raciaux ont été désignés par les termes de « Noirs » (Africains) et d’« Asiatiques » (Extrême-orientaux). Notons que le terme « Jaunes », pour désigner les Asiatiques d’Extrême-Orient, est devenu peu utilisé. Selon cette terminologie, et dans une vision macroscopique des races humaines, les trois grandes familles de races sont donc les Caucasoïdes, les Noirs et les Jaunes.
Par ailleurs les anthropologues ont constaté des différences biologiques (morphologiques) entre les divers sous-groupes raciaux.
L’histoire des migrations préhistoriques, les lieux d’apparition des variétés raciales et les aspects anthropologiques ont été les éléments aidant à établir les premières classifications des races humaines.
Après les anthropologues c’est à présent la science génétique qui est en train d’établir une cartographie précise des groupes raciaux humains grâce à des technique de détermination de la proximité génétique entre les groupes raciaux (la méthode de Nei etc.) ce qui permet d’obtenir une classification précise des groupes raciaux en allant aussi loin que l’on veut dans la classification détaillée, des grands groupes vers les sous-groupes.
Nous verrons plus loin quels sont les apports de la génétique dans l’étude des races humaines.
Mais d’abord, pour comprendre quelle est la dynamique des races humaines, revenons dans notre histoire lointaine.
Le peuplement de l’Europe par les Homo Sapiens remonte à il y a 40 000 à 30 000 ans et la géographie – l’isolement sur le continent – explique que cet ensemble européen a suivi sa propre évolution génétique car les mélanges avec les populations au sud de la Méditerranée étaient moins fréquents que les mélanges entre les groupes situés sur le sol européen.
La dernière grande glaciation, qui a culminé il y a 18 000 ans, est un facteur important qui est intervenu dans l’évolution des Blancs européens : les populations européennes, poussées par l’avancée des glaciers, ont migré vers le sud et ont été séparées en deux groupes au sud-est et au sud-ouest, où ces groupes ont au fil des mutations génétiques évolué de façon séparée pendant la longue période pendant laquelle toute la partie centrale de l’Europe était couverte de glaciers difficilement franchissables.
Il faut par ailleurs modérer cette description des premières migrations en ayant à l’esprit que cela est la description des flux majoritaires et que des sous-groupes raciaux minoritaires ont pu suivre les mêmes trajets ou d’autres trajets, et ont pu soit se fondre dans les groupes majoritaires soit garder leurs spécificités en s’aménageant une place à part au sein des territoires occupés par les groupes majoritaires.
Les races humaines dans le contexte européen
Il faut garder à l’esprit que les groupes raciaux ont eu tendance à se mélanger dans les zones de contact.
À partir du moment où Homo Sapiens a occupé l’Europe, produisant au fil des mutations des sous-groupes raciaux que l’on rassemble sous la dénomination de Blanc européens, les Blancs européens étaient la race majoritaire sur ce continent. Mais, à certaines époques, le mélange avec les groupes de Sémites a eu lieu autour de la Méditerranée. Sur les rives nord de la Méditerranée les recherches génétiques on trouvé des filiations anciennes avec les groupes sémites provenant de l’Afrique du Nord. La péninsule ibérique a été identifiée comme un des foyers de ces migrations préhistoriques des Sémites vers les rives nord de la Méditerranée. Cependant les Sémites ont semble-t-il été la part minoritaire de la population préhistorique de la péninsule ibérique.
À l’opposé des groupes de Blancs européens ont migré dans les temps préhistoriques de l’Europe vers la partie nord de l’Afrique [9]. Il semble qu’à certaines époques préhistoriques les Blancs européens étaient présents parmi les populations de certaines régions de ce qui est aujourd’hui appelé le Maghreb. Cette présence subsiste pendant longtemps jusqu’aux temps historiques, elle est attestée bien plus tard, des millénaires après la sédentarisation de ces populations en Afrique du Nord, dans une époque plus proche de la notre, par les écrits égyptiens d’il y a 3 000 ans.
Cette fresque de la tombe de Sethi 1er – de 1294 à 1279 av. J.C. – représente les quatre races connues par les Égyptiens antiques : de gauche à droite, un Libyen, un Nubien, un Syrien et un Égyptien. On constate que le Libyen représenté sur cette fresque antique a les caractéristiques physiques d’un Blanc européen. La Libye antique ne correspondait pas à la Libye d’aujourd’hui. Chez les historiens grecs anciens le nom de Libya (Libye) servait à désigner tout le nord du continent africain, sauf l’Égypte. Avant cela, le pays des Libyens antiques s’appelait chez les Égyptiens d’antiquité par un mot dont la prononciation était proche de Thnou. Les Égyptiens antiques désignaient par ce terme l’ensemble des peuples occupant les territoires bordant la Méditerranée sur la côte nord-ouest de l’Afrique. Ces peuples appartenaient en partie à la branche des Blancs européens.
Aux temps préhistoriques la Méditerranée n’était pas la seule zone où coexistaient des groupes de Blancs européens avec d’autres groupes raciaux.
À partir de la grande période d’essaimage des races, qui s’est achevée il y a 15 000 ans, la répartition géographique des races a varié au fil des migrations secondaires. Nous venons de voir que les groupes de Blancs européens occupaient à l’époque des premiers pharaons des territoires hors du continent européen, sur une partie du pourtour du bassin méditerranéen. Ils occupaient aussi des régions d’Asie, y compris en Extrême-Orient, par exemple dans le Xinjiang.
Le peuplement du Xinjiang par les Blancs dans l’époque préhistorique, et jusqu’au début de l’époque historique, est attesté par des écrits anciens et par des sites archéologiques, mais ces peuples de Blancs européens ont finalement disparu, probablement suite aux invasions et dans le métissage.
Les Blancs européens actuels sont issus de plusieurs rameaux « frères » qui se sont depuis des millénaires mélangés entre-eux sur une zone qui est centrée sur le sol du continent européen. Par l’étude des marqueurs génétiques, transmis de fille à fille et de fils à fils, la science a déterminé comment – au fil des migrations et au fil des millénaires – s’est déroulé cette évolution en sous-groupes raciaux appartenant globalement à la race blanche. Nous y reviendrons plus en détail dans la suite de cet article.
Les Blancs européens préhistoriques ont été évincés des régions extra-européennes, qu’ils peuplaient il y a des millénaires, par la pression des autres groupes humains et seuls certains peuples qui descendent de ces Blancs européens antiques subsistent, identifiables selon des critères anthropologiques (forme du crane, yeux bleus, cheveux clairs etc.) et génétiques, malgré les métissages. Ainsi les traces d’une parenté plus éloignée avec divers groupes extra-européens subsistent jusqu’en Inde et ont été récemment confirmées par des analyses sur le génome.
À présent, le territoire qui peut être défini comme l’aire naturelle des Européens d’origine, le territoire où ils sont encore majoritaires, est uniquement représenté par la bande de territoire qui va de Lisbonne à Vladivostok, en passant au nord de la Mer Méditerranée, de la Mer Noire et de la Mer Caspienne.
Dans la partie 3 nous examinerons les principaux arguments que mettent en avant ceux qui nient l’existence des races humaines.
coco!
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:32
Les races humaines ou les types humains (partie 3 sur 7)
Dans les parties précédentes nous avons examiné quelle est la différence entre la race et l’espèce, comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles.
PARTIE 3 : LES RACES HUMAINES ET LES NÉGATIONNISTES
La race et l’ethnie
Une façon de nier l’existence des races humaines consiste à affirmer que seules les différences ethniques existent entre les groupes humains.
La race recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères biologiques. L’ethnie recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères culturels (langue, religion, repères moraux, habitudes sociales etc.). Ainsi une race humaine peut être subdivisée en ethnies.
Par exemple dans l’expression « les peuples européens » le mot peuples a deux sens possibles : « ethnies » ou « nations ». Si l’on pense aux peuples en tant que groupes humains rassemblés en nations unies sous la forme d’États, entités politiques, alors on a à l’esprit les Français, les Britanniques etc. Si l’on pense aux peuples en tant qu’ethnies, alors on a à l’esprit les Alsaciens, les Corses, les Tchèques, les Polonais, les Basques, les Écossais etc.
Le mot ethnie n’est pas un remplacement du mot race car ces mots recouvrent des notions différentes.
Les différences socioculturelles qui permettent de distinguer les ethnies sont le domaine des ethnologues. Alors que les généticiens et les anthropologues sont capables d’effectuer une classification raciale des humains d’après les critères biologiques.
Il est important de comprendre que les ethnologues ne peuvent pas définir ce que sont les races, car ils ne sont pas qualifiés pour examiner les critères biologiques, puisque le domaine des ethnologues est la culture.
Ce point est important car la confusion est souvent introduite à propos des races en faisant appel à des définitions que les ethnologues donnent des ethnies.
Insistons encore : « ethnies » et « races » ne recouvrent pas les mêmes notions.
Cependant, les caractéristiques culturelles d’une ethnie, favorisent dans certains cas un certain degré d’isolement, de sorte qu’un individu d’une ethnie préfère des contacts avec des individus de la même ethnie, et aura plus facilement des descendants avec un partenaire de la même ethnie que d’une autre ethnie. De sorte que certaines mutations se propagent prioritairement à l’intérieur de certaines ethnies avant de diffuser autour. Ce qui explique que les scientifiques qui sont capables, dans les travaux de recherche sur les caractéristiques génétiques des populations, de distinguer et d’identifier les sous-groupes raciaux en plus des principaux groupes raciaux, constatent fréquemment que les sous-groupes raciaux – identifiés par des caractéristiques biologiques – coïncident en grande partie avec des ethnies – lesquelles sont déterminées par des caractéristiques culturelles.
Est-il permis de comparer les groupes humains ?
Dans certaines périodes de l’histoire la vérité scientifique constitue une gêne face à l’idéologie que les cercles qui se partagent le pouvoir veulent propager. Chacun peut citer l’exemple de Galilée et nous verrons plus loin le cas des généticiens sous le régime stalinien : « les lyssenkistes ». Mais en quoi la vérité scientifique sur les races humaines peut-elle constituer une gêne pour l’ordre établi ?
À l’issue de 2de Guerre mondiale, il semblait primordial de calmer les esprits. Les travaux scientifiques devaient être interprétés dans le sens « nous sommes tous égaux, nous nous valons tous, il ne peut pas y avoir de différences, aucun valeur ne vaut qu’on se batte pour la préserver etc. ». Ainsi par exemple les travaux des ethnologues ont été interprétés dans ce sens.
Peut-on établir une classification des ethnies, certaines sont elles supérieures ou évoluées, d’autres sont-elles inférieures ou primitives ? L’idée qui a été propagée dans le grand public est que toutes les cultures se valent, qu’il est interdit de formuler une quelconque comparaison de valeur entre les cultures et donc entre les ethnies. Les écrits de certains ethnologues ont ainsi bénéficié d’une large publicité et leurs observations ont été interprétées de façon idéologiquement orientée. Mais la vérité est qu’un scientifique indépendant, qui n’écrit pas aux ordres d’une idéologie, n’écrira jamais qu’il n’est pas possible d’établir un classement des cultures.
Il faut comprendre la différence entre le classement absolu et le classement relatif des cultures.
Le classement absolu des cultures ne semble pas être actuellement à la portée des scientifiques. Le préalable, pour effectuer le classement absolu des cultures, serait que les finalités de l’Univers soient connues. Les caractéristiques qui favorisent l’évolution vers les finalités de l’Univers permettraient alors de classer les groupes humains, dont les ethnies ainsi que les races, du plus apte au moins apte.
Le classement relatif est cependant possible.
Chaque culture véhicule son propre système de valeurs, des idéaux qu’elle vise à atteindre. Donc de façon relative, si on place le référentiel de comparaison par rapport à une culture donnée, il est possible, d’après les critères qui définissent le système de valeurs de cette culture, de classer toutes les cultures sur une échelle qui va de « la plus admirée » à celle qui est « la moins admirée ».
Tout individu est le résultat d’une part de son potentiel génétique et d’autre part des influences de son milieu culturel (éducation, enseignements etc.). Tout individu à son propre système de valeurs. La large majorité des individus obéissent à la règle de base de la psychologie, qui veut qu’en général on calque son système de valeurs sur le système de valeurs de la société dont on est le produit. De sorte que la large majorité des individus comparent les groupes humains, et comparent les cultures, en les classant d’après le référentiel des valeurs de la culture à laquelle ils appartiennent.
Il est normal de comparer les groupes humains. Il est normal d’admirer certains groupes et de moins apprécier d’autres groupes. Il est normal de préférer une culture à une autre culture.
Il n’y a rien d’inadmissible dans le fait de placer un mode de vie au-dessus de tous les autres, ou de ne pas être attiré par des individus ou des groupes dont le mode de vie, respectable en soi, est très éloigné du système auquel on est traditionnellement attaché.
La science ne peut pas affirmer que toutes les cultures se valent et que par conséquent nous devons tout accepter. La science ne doit pas être falsifiée dans le but d’imposer l’idéologie de « nous sommes tous égaux, nous nous valons tous, il ne peut pas y avoir de différences, aucune valeur ne vaut qu’on se batte pour la préserver etc. ».
De même la science ne doit pas être falsifiée dans le but d’imposer l’idéologie qui prétend que biologiquement il n’y a pas de différences entre les groupes humains et que donc les races n’existent pas.
Nous verrons plus loin quelles sont les voies suivies par les travaux sur la génétique des races humaines. Avant nous allons examiner quels sont les procédés utilisés pour essayer de dénigrer la validité de ces travaux scientifiques.
La science moderne est capable de mettre en évidence les groupes humains selon les critères biologiques. Cependant dans le contexte de l’idéologie mondialiste, qui veut uniformiser les groupes humains de tout point de vue, dans leurs caractéristiques biologiques et culturelles, des lobbies pro-mondialistes déploient des efforts pour empêcher que les résultats des travaux scientifiques, qui mettent en évidence les différences raciales, ne soient largement portés à la connaissance des citoyens par la diffusion à travers les grands médias.
De sorte que les médias de masse continuent à mettre en avant les scientifiques qui nient l’existence des races et les médias de masse continuent à propager les discours qui dénigrent les travaux scientifiques qui démontrent l’existence des races humaines, c’est à dire qui démontrent que les races correspondent à des groupes humains biologiquement typés.
Certains scientifiques nient alors que d’autres scientifiques confirment l’existence des races humaines
C’est un fait que certains scientifiques nient l’existence des races humaines, et c’est un fait que l’idéologie du mondialisme, qui actuellement dicte les règles dans les cercles au, et autour, du pouvoir politique et médiatique, met en avant ces scientifiques-là. Nous évoquerons ces scientifiques néo-lyssenkistes plus loin dans l’article.
D’autres scientifiques considèrent que les différences entre les branches de l’humanité sont clairement marquées pour qu’on puisse parler de races, identifiables par des caractéristiques biologiques spécifiques que porte chaque groupe racial. Les études scientifiques qui démontrent l’existence des races humaines sont exposées plus loin dans l’article.
La vérité établie devrait pourtant être diffusée sans censure. L’obstruction que l’idéologie des mondialistes et des « antiracistes » cherche actuellement à imposer s’apparente à l’interdiction qui jadis empêchait de constater publiquement que « la Terre est une planète qui gravite autour de l’étoile Soleil ».
Rappelons encore une fois que certains tentent d’étouffer le constat de l’existence des races humaines en essayant de museler par des accusations de racisme ceux qui évoquent la diversité raciale. Rappelons encore une fois que le fait de constater l’existence des races humaines n’est pas une manifestation du racisme. En vérité le racisme c’est l’appel à la haine contre certaines races. Le fait de revendiquer l’appartenance à une race, ce n’est pas du racisme. La preuve en est l’existence en France de nombreuses associations qui ont pour objectif de défendre les intérêts des Noirs. Ces associations sont réunies autour du CRAN (Conseil représentatif des associations noires). Et par exemple lorsque l’article « Les événements du monde noir qui ont marqué l’année 2008 » passe en revue les évènements qui en 2008 concernaient la race noire, en publiant, bien à propos, parmi les illustrations une photo avec la légende « 4 novembre : Barack Obama, Premier Noir à la Maison Blanche », chacun peut constater que parmi les commentaires des lecteurs postés à la fin de l’article, pas un ne dit que cet article, qui s’intéresse exclusivement aux évènements liés à la race noire, contient des idées racistes. Et c’est bien ainsi, car chaque individu a le droit de constater l’existence des groupes raciaux et de s’intéresser aux faits qui concernent ces groupes.
Le néo-lyssenkisme
Il faut réagir lorsque certains affirment à tort que les races humaines n’existent pas puisque « la science n’est pas capable de distinguer les races humaines ». Les anthropologues ont été les seuls spécialistes des la classification raciale mais depuis quelques années la science dispose de moyens nouveaux d’investigation biologique qui démontrent l’existence de groupes raciaux : nous exposerons plus loin les résultats des travaux effectués par les généticiens.
La science est en évolution permanente, parfois elle nie ce qu’étaient ses certitudes d’hier, ce qu’elle n’est pas capable de faire aujourd’hui peut-être le pourra-t-elle demain.
Donc même si la science d’aujourd’hui n’était pas capable de distinguer les races humaines cela ne signifierait pas que les races humaines n’existent pas.
Mais il se trouve que la science actuelle est capable de distinguer les races humaines. Seulement ce fait n’est pas mis en avant. De façon générale, ce qui est mis en avant ce sont les interprétations scientifiques qui contribuent à la propagation de l’idéologie actuellement dominante du mondialisme et de l’universalisme uniformisateur.
Le phénomène analogue de la science interprétée selon les besoins de la cause, a été l’idéologie lyssenkiste qui a été pendant près de 30 ans la science officielle en URSS.
Les idéologues soviétiques avaient besoin de démontrer scientifiquement que les individus sont égaux par nature, c’est-à-dire dans leur hérédité, et que seul l’environnement crée des différences de potentiel entre les individus. Les « preuves scientifiques », qui manquaient aux idéologues soviétiques, furent apportées par Trofim Denissovitch Lyssenko (1898-1976) [10].
Avec ses explications « scientifiques » il avait dès 1935 attiré l’attention de Staline qui l’a mis en position d’engager une campagne systématique contre ses adversaires, qu’il dénonçait comme des ennemis du peuple, et contre la génétique, qu’il qualifiait de science bourgeoise et raciste.
Le lyssenkisme, c’est-à-dire la science officielle soviétique au service d’une idéologie, a tenté d’imposer la croyance qu’il n’y a pas de différences génétiques entre les individus au moment de leur conception et que c’est l’environnement qui façonne au cours de son existence la variante biologiques d’un individu.
De même l’interprétation officielle mise en avant dans la société européenne actuellement, au début du XXIème siècle, tente d’imposer la croyance que génétiquement les différences entre les groupes humains, races ou ethnies, n’existent pas. Ainsi dans les écoles en France, on endoctrine les enfants avec toute sorte d’affirmations fausses comme par exemple que « la seule différence entre les groupes humains est la différence de couleur de peau et donc les races n’existent pas ». De sorte que dans les écoles en France il n’est pas permis d’exprimer la vérité suivante : un Noir albinos n’est pas un Blanc.
On fait croire aux enfants européens que la question des races humaines se réduit à une question élémentaire de pigmentation épidermique.
La vérité est que les groupes humains biologiquement typés sont identifiables selon des critères biologiques, initialement étudiés par les anthropologues, et actuellement mis en évidence par les généticiens.
Dans la partie 4 nous verrons quelle est la contribution de la génétique dans la détermination des races humaines.
coco!
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:35
Les races humaines ou les types humains (partie 4 sur 7)
Dans les parties précédentes nous avons examiné quelle est la différence entre la race et l’espèce, comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles, puis nous avons examiné les arguments de ceux qui nient l’existence des races humaines.
PARTIE 4 : L’ANALYSE DES GÈNES HUMAINS DÉTERMINE LA LIGNÉE ET LES CARACTÉRISTIQUES RACIALES
La génétique constate l’existence des races humaines
Les généticiens et les anthropologues sont capables d’effectuer une classification biologique, c’est à dire la classification raciale, des humains.
Les constatations des anthropologues sont basées sur les considérations observables par chacun, c’est à dire sur les critères morphologiques, anatomiques et physiologiques mesurables (par exemple, couleur de la peau, pilosité, forme du nez etc.). Cette approche scientifique est la plus ancienne.
La science génétique actuelle est capable de constater qu’il existe des hétérogénéités génétiques importantes entre les races et même entre les ethnies (sous-groupes raciaux qui ont été stabilisés, ou isolés des autres sous-groupes, par le cloisonnement qu’établissent les unités culturelles) ou des homogénéités selon les critères que l’on retient. On observe des polymorphismes qui n’existent que dans certaines populations où ils peuvent d’ailleurs être très fréquents. Un autre aspect de la question est que la structure générale de la variabilité génétique (que l’on peut appréhender par les haplotypes) est plutôt stable dans les grands groupes raciaux et ethniques. En résumé : le patrimoine génétique de chaque individu est unique mais marqué par des structures homogènes en fonction du groupe racial ou ethnique auquel l’individu appartient.
Chez l’homme on étudie généralement les haplos du chromosome Y, chez la femme ceux de l’ADN mitochondrial. Ce type d’étude a permis de déterminer l’origine géographique des différentes races et des sous-groupes raciaux et leur répartition démographique dans le temps et dans l’espace.
Voici la carte de répartition des haplogroupes dans le monde : c’est la situation avant les migrations des Européens qui ont démarré au XVIème siècle. Les haplogroupes dans le monde, en 1500 AD.
La biologique a beaucoup progressé par l’étude du génome. En allant plus loin que l’anthropologie, c’est par la génétique que la classification biologique des groupes humains est devenue très précise en introduisant l’identification des sous-groupes raciaux par des haplogroupes. Les haplogroupes principaux sont codifiés par des lettres et des variantes secondaires des haplogroupes sont codifiées par des rajouts de chiffres et de lettres [11]. Les Blancs européens appartiennent aux haplogroupes I, N, R1a, R1b etc.
Les âges approximatifs d’apparition des haplogroupes ont été calculés mais les estimations doivent être considérés avec quelques réserves car la fréquence des mutations est en effet incertaine : de l’ordre de quelques centaines d’années alors que les calculs sont le plus souvent basés sur l’hypothèse d’une mutation qui se maintient tous les 200 ans. Par exemple, d’après ces estimations, les haplogroupes I et K sont apparus dans les mutations qui se sont produites il y a 13 000 à 19 000 ans. Il faut se rappeler que parmi les mutations qui se produisent dans une population, certaines se maintiennent et se propagent à l’intérieur d’un groupe ou au contact d’autres groupes, alors que d’autres disparaissent. Ce qui explique que les principaux groupes raciaux sont constitués de sous-groupes, chacun porteur de variantes. De sorte que ce n’est pas un haplogroupe mais ce sont plusieurs haplogroupes qui caractérisent la race blanche. Les scientifiques ont déterminé l’existence de 23 principales lignées humaines, partagées entre plusieurs groupes raciaux.
Prenons l’exemple des haplogroupes R. L’ensemble des haplogroupes R, qui présentent tous la mutation M45, correspondent assez précisément à la présence géographique des différents groupes qu’on général on qualifie par le terme de « race blanche » et que l’on rencontre de la Scandinavie jusqu’en Inde (les RxR1). Vous pouvez le constater sur la carte ci-dessus. Le vaste sous-groupe des Blancs spécifiques à l’Europe, que nous appelons les Blancs européens, est identifiable par la présence des mutations M17, M343 etc. (les haplogroupes R1a, R1b etc).
À l’intérieur du sous-groupe R, qui est l’un des haplogroupes caractérisant les Blancs européens, il est donc possible d’identifier d’autres sous-groupes. Par exemple la mutation P312 définit un sous-groupe (R1b1b2a1b) qu’on peut classer parmi les Blancs ouest-européens.
Autrement dit : l’examen de certains éléments d’ADN, non pas des éléments pris au hasard, mais des éléments bien défis, qui contiennent l’information pertinente sur l’haplogroupe, permet d’identifier un Blanc européen [12].
Revenons aux migrations qui ont débuté au centre de l’Asie il y a environ 60 000 ans et qui ont abouti à ce que les groupes humains racialement typés soient présents dans les diverses régions de la planète.
L’haplogroupe F (M89) est un haplogroupe du chromosome Y. Il est le résultat des mutations parallèle aux haplogroupe B et C. Il est l’ancêtre des haplogroupes G, H, I, J, K ainsi que de leur descendance.
C’est un halogroupe ancien, apparu avant que ne débutent les migrations d’il y a près de 60 000 ans, qui ont abouti aux différences raciales. Lui ou sa branche de « descendance » caractérisent près de 90 % de la population mâle de la planète. L’haplogroupe F est seulement minoritaire parmi les populations en Afrique, Kazakhstan, Tibet, Mongolie, Japon, Polynésie et chez les aborigènes d’Australie.
La carte ci-dessous, situe approximativement (car l’endroit précis n’est pas déterminé avec certitude) l’apparition de l’haplogroupe F aux environs de l’Iran actuel. La carte est intéressante en ce qu’elle permet de visualiser la migration des haplogoupes, ce qui correspond aux migrations des groupes humains de l’espèce Homo Sapiens génétiquement distincts et ce qui explique qu’au fil de temps, et au fil des mutations, se sont constitués les divers groupes raciaux de l’espèce humaine actuelle (Homo Sapiens) répartis par zones géographiques.
La migration préhistorique des groupes humains de l'espèce Homo sapiens identifiés par leur haplogoupes
Revenons sur le fait que parmi les mutations qui se produisent dans une population, certaines se maintiennent et se propagent alors que d’autres disparaissent.
Chacun connaît le cas de Ötzi, cet Européen préhistorique qui a vécu il y a environ 5000 ans, et dont le corps, momifié et congelé, a été trouvé en 1991 dans les Alpes autrichiennes près d’Ötztal, d’où le nom qu’on lui a attribué.
Quelques uns des prélèvements effectués sur le corps ont permis aux chercheurs de rattacher son ADN à l’une des lignées humaines correspondant aux Blancs européens actuels : la lignée de l’haplogroupe K. Plus précisément Ötzi appartient à la subdivision K1 de l’haplogroupe K [13]. La lignée K est relativement rare parmi les individus du groupe des européens actuels : dans la région de l’Ötztal elle représente actuellement 31 % de la population. Si on remonte au niveau des pays, il est cependant intéressant de noter que la Belgique est le pays qui a le plus haut pourcentage d’haplogroupe K en Europe (environ 13%). La région de Rhénanie a également un pourcentage élevé d’haplogroupe K. Vu sa forte répartition sur un axe qui va du nord et au sud des Alpes, l’haplogroupe K a très probablement un lien avec les Celtes alpins (La Tène) dont l’habitat était situé sur un axe d’échanges nord-sud traversant les Alpes. Cependant, Ötzi appartient à la subdivision K1 de l’haplogroupe K. Dans leurs recherches effectuées sur les Européens d’aujourd’hui, les généticiens n’ont pas encore trouvé la subdivision K1. La subdivision K1 est une lignée qui s’est éteinte ou qui est trop rare et n’a pas encore été repérée dans la population européenne actuelle.
Alors faut-il croire, comme le prétendent allègrement de nombreux articles publiés dans la presse, que « Ötzi n’a pas de descendants parmi les Européens actuels » ? Il ne faut pas oublier que l’analyse concerne l’ADN mitochondrial d’Ötzi et porte donc sur la lignée directe des femmes (lignée matrilinéaire). Ce qui est envisageable en vérité, c’est que la mère d’Ötzi n’a pas eu de descendance féminine directe qui se serait prolongée jusqu’à nos jours, mais cela ne signifie pas que Ötzi n’a pas eu de descendants et rien ne permet d’affirmer qu’il n’a pas de descendants parmi les Européens actuels. Il est tout à fait possible que parmi les Européens actuels certains sont des descendants d’Ötzi, donc qu’ils sont porteurs des gènes transmis par Ötzi, mais ces gènes ne sont pas identifiables parmi les quelques séquences très réduites d’ADN sur lesquelles portent les analyses génétiques par haplotype sur ADN-Y et sur ADNmt.
Les haplogroupes paternels (Y-DNA) et maternels (MtDNA) ne peuvent effectivement pas déterminer le « type racial » d’un individu ni même d’une population : ils permettent de déterminer la filiation raciale uniquement long de la lignée directe d’un sexe, soit la lignée directe des hommes soit celle des femmes. Car les hommes disposent des deux types de ces marqueurs génétiques (l’ADN mitochondrial de la mère (MtDNA) et le chromosome Y du père (Y-DNA)) alors que les femmes possèdent un seul de ces deux marqueurs : l’ADN mitochondrial de la mère (MtDNA). Cette technique de traçage génétique perd toute trace de filiation lorsque par exemple un couple n’a eu que des filles et que chacune de ces filles n’a eu que des garçons : les haplogroupes des enfants de ces garçons ne permettront pas de détecter la filiation avec le couple de leurs arrière-grands-parents car ces derniers ne se situent pas sur la ligne de filiation directe paternelle ou maternelle. Cette technique ne permet donc pas de déterminer la composition raciale d’un individu car elle perd la trace de tous les apports qui se situent en dehors des lignes directes patrilinéaires ou matrilinéaires.
En revanche, une analyse autosomale (qui prend en compte les 22 chromosomes non sexuels et pas seulement les lignées paternelle ou maternelle) permet de définir les différents groupes biologiques humains (les groupes raciaux) qui présentent des recoupements avec les travaux des anthropologistes.
Après l’anthropologie, la génétique offre désormais la possibilité avec l’analyse autosomale de déterminer l’identité raciale d’un individu. Pour cause de difficultés technique – ADN fragmenté par la congélation multimillénaire – l’analyse autosomale du génome d’Ötzi a abouti seulement en 2010, soit près de 20 ans après la découverte de la momie congelée [14].
Retenons pour l’instant que les haplogroupes paternels (Y-DNA) et maternels (MtDNA) permettent uniquement de tracer l’histoire de l’ascendance selon les lignes directes des sexes ce qui aide notamment à déterminer la carte des migrations historiques des groupes raciaux.
Retenons surtout que la science génétique constate l’existence des races humaines.
Voici la carte de répartition des haplogroupes présents parmi les Blancs européens.
Les haplogroupes qui identifient les sous-groupes raciaux qui sont caractéristiques des populations du continent européen
La répartition sur cette carte représente la situation au début du XXème siècle, avant qu’au milieu du XXème siècle ne commencent des flux d’immigration massive en Europe en provenance d’autres continents.
Au chapitre suivant nous allons illustrer quel est l’apport de l’analyse autosomale dans la détermination génétique de la structure raciale d’un individu.
La détermination génétiques du type racial par l’analyse autosomale
Avant d’examiner l’apport de l’analyse génétique autosomale, rappelons nous quelle est l’utilisation de l’analyse génétique sur ADN-Y et sur ADNmt.
L’analyse génétique de l’ADN-Y (Y-DNA) est l’analyse du chromosome Y, qui est transmis de père en fils uniquement : cette analyse fournit les informations sur la lignée patrilinéaire.
L’étude de l’ADNmt (mtDNA), transmis par la mère à chaque enfant, tant mâle que femelle, permet de retracer la ligne maternelle directe (mère, grand-mère maternelle, arrière-grand-mère maternelle, etc).
Nous avons vu que les Blancs européens appartiennent aux haplogroupes, déterminés par l’ADN-Y, suivants : I, N, R1a, R1b etc. Les Noirs appartiennent aux haplogroupes, déterminés par l’ADN-Y, suivants : A, B etc.
Le problème de ces deux types d’analyses sur ADN-Y et sur ADNmt est qu’ils sont limités uniquement aux deux lignées directes – d’une part en remontant sur la succession des mères, et d’autre part en remontant sur la succession des pères – ce qui ne permet pas d’évaluer l’ensemble des apports génétiques.
Prenons un exemple concret.
Une femme de race noire et un homme de race noire s’établissent au sein d’une communauté de race blanche. Eux, et leurs descendants, ont des enfants uniquement avec des géniteurs de race blanche. La femme a une descendance ininterrompue de filles sur 10 générations. L’homme a une descendance ininterrompue de garçons sur 10 générations. Au bout de 10 générations, les descendants se rencontrent et ont un enfant commun.
L’analyse des haplotypes ADN-Y/ADNmt de cet enfant détermine que par la lignée des hommes c’est un descendant de la race noire, et que par la lignée des femmes c’est également un descendant de la race noire. Mais en vérité, après 10 générations de mélange avec les représentants de la race blanche, l’héritage génétique de cet enfant est constitué de seulement 0,2 % d’apports provenant d’ancêtres Noirs. Les 99,8 % de sa structure génétique proviennent d’ancêtres Blancs, par conséquent il est très majoritairement Blanc, on peut tranquillement le classifier parmi les Blancs.
Mais l’analyse génétique ADN-Y/ADNmt n’est pas capable de déterminer au moins l’appartenance majoritaire d’un individu à une race et encore moins les taux plus précis de participation des divers types raciaux dans la structure génétique d’une personne.
Elargissons notre exemple : les médias mentionnent parfois que le Président Obama est Noir et parfois qu’il est métis. En vérité, si l’on considère son ascendance, il est métis, à peu près 50 % de Noir et 50 % de Blanc. Alors que, étant donné que sa femme est à peu près à 100 % de race noire, ses enfants peuvent être décrits comme appartenant à la race noire, puisque leur composition raciale les classe majoritairement parmi les Noirs : leur proportion d’héritage génétique est à peu près 75 % de Noir et 25 % de Blanc.
Une discipline scientifique ancienne est capable de déterminer l’appartenance majoritaire d’un individu à une race : c’est l’anthropologie. Par l’examen d’une série de caractéristiques physiques, l’anthropologie permet de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. Ainsi les experts en criminologie sont capables, par l’examen du squelette, de déterminer avec une forte probabilité quelle est la race dominante de l’individu.
L’analyse génétique autosomale permet également de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. La où l’anthropologie examine les caractéristiques biologiques macroscopiques, l’analyse génétique autosomale examine les caractéristiques biologiques microscopiques tout en apportant plus de précision.
Les médias font souvent la confusion entre les divers types d’analyse génétique et on peut se demander si cela n’est pas intentionnel, dans le but d’attirer avec des titres accrocheurs.
De sorte qu’on arrive aux interprétations aberrantes faites par les journalistes. Par exemple on voit débarquer une troupe de journalistes dans un village grec, au nord d’Athènes, pour déclarer aux habitants présents dans le café : « les analyses génétiques ont prouvé que vous êtes des Noirs ! ». Il y a eu, il y a des siècles ou des millénaires, un cas de métissage, dont la trace a été conservée dans la lignée directe des femmes ou des hommes, mais ces personnes sont pourtant des Blanc à plus de 99, 99999 % de leurs gènes. Seulement les journalistes ignorent ce fait – pour eux c’est important de faire du sensationnel en interpellant les gens devant les caméras par cette affirmation qui, tout en se référant à la science, n’est qu’une tromperie : « Malgré ce que vous croyez, vous n’êtes pas des Blancs, en vérité les analyses génétiques ont prouvé que vous êtes des Noirs ! ». Et pour confirmer leurs dires les journalistes présentent les résultats des analyses génétiques ADN-Y/ADNmt. Les journalistes devraient pourtant savoir que l’étude des haplogroupes paternels (Y-DNA) et maternels (MtDNA) ne peut pas déterminer le « type racial » dominant d’un individu ni même d’une population.
Nous avons mentionné qu’une analyse autosomale (qui prend en compte les 22 chromosomes non sexuels et pas seulement les lignées paternelle ou maternelle) permet de définir les différents groupes raciaux et de recouper en gros les travaux des anthropologistes. L’analyse génétique autosomale est donc capable de déterminer l’ascendance principale d’une personne. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).
Les techniques d’analyse sur le génome et de traitement statistique des données à partir des échantillons de populations étudiées ont été mises au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). Parmi ses contributions, qui permettent la définition des groupes raciaux selon les critères génétiques, on peut citer les méthodes statistiques pour mesurer la distance génétique entre les populations (la distance génétique de Nei) et la méthode de reconstruction des arbres phylogénétiques.
Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine [15].
Dès les premières études sur les groupes de populations basées sur l’analyse autosomale, dans les années 1990, la différentiation en groupes raciaux est apparue comme une évidence. Le graphe suivant – qui résulte d’une étude effectué par les chercheurs de l’équipe conduite par le professeur Luigi Luca Cavalli-Sforza (Stanford University) sur les 9 principaux groupes raciaux (ici, pour les besoins de neutralité de l’étude, ces groupes sont classifiés à priori arbitrairement par leur origine géographique) – schématise le fait que les groupes raciaux sont de point de vue génétique à une certaine distance entre-eux et que les Noirs sont un groupe plus éloigné de l’ensemble des autres groupes. Si l’évolution biologique, cadencée par des mutations génétiques, se poursuivait de façon isolée on verrait dans quelques dizaines de milliers d’années se produire la séparation en deux espèces humaines. Les Noirs sont génétiquement le groupe racial le plus éloigné des autres groupes raciaux
Comme autre exemple d’étude basée sur l’analyse autosomale citons l’étude « Worldwide Human Relationships Inferred from Genome-Wide Patterns of Variation » de 2008, qui à appliqué l’analyse autosomale aux représentants de 51 populations (ethnies) mondiales.
Les résultats de cette étude ont été schématisés sur le graphique suivant où on peut clairement distinguer sept groupes biologiques : Africains sub-sahariens, Moyen-Orientaux/Méditerranéens, Européens, Asiatiques du Sud/Centre, Est-Asiatiques, Océaniens et Amérindiens. Cela correspond globalement aux cinq « races » habituellement définies par les anthropologistes (Noire, Caucasienne, Mongoloïde (ou Asiatique d’Extrême-Orient), Australoïde, Amérindienne) avec une subdivision des Caucasiens en (Européens, Moyen-orientaux/méditerranéens et Asiatiques du Centre/Sud).
Humanité – Une seule espèce, mais sept principaux groupes raciaux
On constate sur cette représentation graphique que l’étude du génome a permis de mettre en évidence une certaine distribution des polymorphismes qui montre la proximité (ou l’éloignement) génétique entre les 51 populations (ethnies) qui ont fait l’objet de l’étude.
Sans doute dans le but de masquer, à l’intention du public français, la signification réelle des conclusions scientifiques, cette analyse a été commentée dans les médias français, de manière à ce que l’idée des races humaines soit éliminée, par : « Humanité – Une seule race, mais sept groupes biologiques ». Pourquoi s’exclamer « Humanité – Une seule race » alors qu’en vérité Homo Sapiens est actuellement l’unique espèce humaine, et c’est bien une espèce, et d’autre part pourquoi parler de « groupes biologiques », de « types humains », de « sous-espèces » etc. alors que cela recouvre toujours la notion bien connue de « races » ? Le titre correct aurait été : « Humanité – Une seule espèce, mais sept groupes raciaux ».
Plusieurs sociétés commerciales proposent des analyses autosomales et, selon les moyens techniques dont elles disposent et selon les dépenses financières que l’on est prêt à consentir, elles peuvent aller plus ou moins loin dans le détail de l’analyse. Ces sociétés présentent le rapport d’analyse en donnant pour le DNA analysé au moins la part des trois principaux regroupements raciaux (Européen, Africain sub-saharien, Est-Asiatique) mais il est possible aussi d’obtenir la répartition plus fine par des sous-groupes raciaux.
La science génétique progresse et cerne de mieux en mieux la question des groupes raciaux humains. C’est un fait qui est délibérément évacué en France où les médias acceptent, sans tenter de le contredire, le dogme propagé par les néo-lyssenkistes que « les races humaines n’existent pas ».
Cette situation française, où les néo-lyssenkistes ont imposé leur dictature, explique qu’il y a peu d’ouvrages en langue française, accessibles sur internet, qui exposent – de façon compréhensible par un public large – comment la science génétique permet de déterminer l’évolution de la répartition raciale des groupes humains, du point de vue chronologique et géographique, et comment elle permet de déterminer la composition raciale d’un individu. Le lecteur anglophone, qui s’intéresse à la question de la génétique appliquée à l’étude des races humaines, pourra commencer à élargir sa connaissance en prenant comme point de départ le document « Race and genetics ».
Dans la partie 5 nous nous intéressons au métissage et à l’évolution des techniques scientifiques utilisées dans la détermination de l’appartenance raciale.
Suite, partie 5 : la science constate l’existence des races humaines.
Mis à jour en novembre 2010.
•Notes :
Précision : les lecteurs qui partagent les idées développées dans mes contributions peuvent utiliser les textes de mes articles pour propager ces idées sur d’autres forums, dans d’autres médias ou autour d’eux. Si vous partagez mes opinions alors vous pouvez traduire mes contributions, vous pouvez utiliser mes textes tels quels, vous pouvez les copier entièrement ou en partie, ou vous pouvez les adapter de la manière qui vous convient. Si j’écris c’est pour que les gens lisent, donc plus il y a de lecteurs meilleur c’est. L’important ici est la propagation des informations et des opinions.
Si les idées qui sont exposées dans cet article vous plaisent assez, alors n’hésitez pas : distribuez ce texte autour de vous, aux personnes connues ou inconnues. Chaque personne qui lit ce texte peut en faire des copies et les distribuer à son tour à d’autres lecteurs potentiels.
Si dès demain vous donnez la copie de cet article à au moins cinq personnes qui ont l’air d’être intelligentes, vous aurez fait beaucoup pour la propagation d’une nouvelle conscience collective. Chacun qui aura reçu ce texte pourra à son tour le distribuer à au moins cinq personnes de plus. Et ainsi de suite. Cette méthode de propagation d’idées est une nouvelle démarche citoyenne : la pyramide des idées.
On constate que l’endoctrinement officiel, qui est constamment appliqué sur la population par des moyens multiples, obtient des résultats notamment par la technique de répétition incessante des idées et des faits que le pouvoir veut favoriser. En parallèle le pouvoir en place cherche, par tous les moyens dont il dispose, à empêcher la propagation des idées qui ne lui conviennent pas.
Tous les citoyens peuvent lutter contre cet endoctrinement officiel en utilisant les circuits qui sont à leur disposition pour propager à leur tour la vérité sur certains faits que le pouvoir en place cherche à masquer.
Renvois :
[11] Le lecteur qui souhaite apprendre d’avantage sur ce que la génétique – par la classification des haplogroupes – à apporté à l’identification des sous-groupes raciaux pourra commencer son étude par l’article « Origine, répartition, âge et relation ethnique des haplogroupes européens et leur sous-groupes ». Le lecteur devra tenir compte du fait que dans les articles qui exposent ce que nous enseigne la répartition des haplogroupes une concession est faite à la dictature du « politiquement correct » : l’utilisation des mots tels que « race » ou « sous-groupes raciaux » est soigneusement évitée. Le mot « ethnie » y est utilisé car il est admis comme étant « politiquement correct ». Mais le mot « ethnie » est pour le moins une ambiguïté dans la classification biologique. Le mot « ethnie » n’est pas un remplacement du mot « race » car ces mots recouvrent des notions différentes. Les différences socioculturelles qui permettent de distinguer les ethnies sont le domaine des ethnologues. Alors que les généticiens et les anthropologues sont capables d’effectuer une classification raciale des humains d’après les critères biologiques. Il est important de comprendre que les ethnologues ne peuvent pas définir ce que sont les races, car ils ne sont pas qualifiés pour examiner les critères biologiques, puisque le domaine des ethnologues est la culture.
Lorsque les ethnologues aboutissent à une classification des groupes humains selon les critères culturels, par définition cette classification est de type ethnique (c’est à dire de type socioculturel). Réciproquement le domaine des généticiens est la biologie est donc lorsque les généticiens aboutissent à une classification des groupes humains selon les critères biologiques, par définition cette classification des groupes appartenant à l’espèce Homo sapiens est de type racial.
[12] Le fait que l’on considère les groupes de gènes appropriés, porteurs d’information sur le typage racial, permet de distinguer des génomes individuels entre eux sur la base de l’appartenance raciale. Le lecteur qui veut en savoir plus pourra, parmi de nombreux rapports de travaux scientifiques, par exemple examiner les conclusions de l’étude « Genetic structure, self-identified race/ethnicity, and confounding in case-control association studies » (Tang et al., American Journal of Human Genetics 76 : 268-275, 2005), consultable en-ligne, et qui a identifié l’appartenance raciale de 3700 sujets avec plus de 99 % de précision sur la base de 326 marqueurs génétiques. Les résultats prouvent qu’il est possible de distinguer les races d’individus par la seule lecture des marqueurs appropriés, et même, de faire la distinction entre sous-groupes raciaux, par exemple, entre chinois et japonais pourtant très proches, avec une précision elle aussi remarquable.
[13] Découvert en 1991 dans le glacier du Similaun (Alpes italiennes) dans un état de conservation exceptionnel, avec ses habits et ses armes, Ötzi est depuis 1998 exposé au musée d’archéologie de Bolzano, en Italie. Il s’agit d’un homme du Néolithique qui vivait il y a environ 5000 ans. En 2000 la dépouille a été décongelée pour permettre aux chercheurs de prélever du matériel dans ses intestins. C’est à partir de ces échantillons que les chercheurs de l’Université de Caminero, dirigée par Franco Rollo, ont obtenu son ADN mitochondrial. Les scientifiques ont séquencé l’ADN mitochondrial d’Ötzi et les résultats (publiés dans la revue Current Biology) montrent qu’il appartient à l’haplogroupe K, embranchement K1. La lignée K est relativement rare parmi les Blancs européens actuels : elle est plus fréquente au sud des Alpes ainsi que dans la région de l’Ötztal, mais aussi en Rhénanie et en Belgique. Ceci en ce qui concerne l’étude de l’ADN mitochondrial d’Ötzi. En ce qui concerne l’analyse autosomale voir la note suivante [14].
[14] En ce qui concerne l’analyse autosomale de l’ADN d’Ötzi la difficulté résidait dans l’état de conservation de l’ADN congelé pendant des millénaires : le séquençage était fragmenté. Des techniques ad hoc ont donc été développées conjointement par Albert Zink et Carsten Pusch : leurs équipes ont en 2010 réussi à produire l’analyse autosomale du matériel génétique d’Ötzi à partir d’un échantillon de tissu prélevé dans les os pelviens de la momie congelée. Le communiqué de presse « Ötzi’s secrets about to be revealed » signale qu’en partant des résultats de cette analyse autosomale des recherches pourront grandement avancer concernant le lignage et les mutations génétiques intervenues entre les Européens préhistoriques et actuels.
[15] Les techniques de mesure de la distance génétique sont améliorées en permanence. L’article « A review of mutation processes and methods of phylogenetic inference », notamment au paragraphe « Genetic distance measures », fait le point sur les techniques disponibles.
coco!
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:37
Les races humaines ou les types humains (partie 5 sur 7)
Dans les parties précédentes nous avons examiné quelle est la différence entre la race et l’espèce, comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles, puis nous examiné les arguments de ceux qui nient l’existence des races humaines, ensuite nous avons vu quelle était l’évolution des techniques scientifiques utilisées dans la détermination de l’appartenance raciale.
PARTIE 5 : LA SCIENCE CONSTATE L’EXISTENCE DES RACES HUMAINES
Chacun constate l’existence des races humaines
Chacun est capable de reconnaître la singularité raciale des humains, même un jeune enfant qui ne peut pas encore élaborer une quelconque interprétation socioculturelle, c’est à dire ethnique. Chacun est capable, sans avoir à procéder aux analyses génétiques, de distinguer les singularités apparentes, les caractéristiques anthropologiques, des races humaines. Ce que toute personne de bon sens admet comme une évidence – l’existence des races humaines – est aujourd’hui prouvé scientifiquement par les généticiens, après avoir été observé par les anthropologues.
Mais les opposants français à l’existence des races trouvent d’autres arguments du type néo-lyssenkiste, et par exemple ils disent : « Il est toujours possible de trouver un Portugais plus proche génétiquement d’un Sénégalais que d’un Danois. Les métissages comme les échanges commerciaux ont toujours eu lieu depuis que l’humanité existe. Donc nous sommes tous métisses et donc les races ne peuvent pas être définies ».
À propos du métissage observez la photo ci-dessous. Selon vous est-il possible de déterminer si le groupe d’humains sur cette photo appartient à la race des Noirs, des Asiatiques ou des Blanc ?
Les néo-lyssenkistes prétendent qu'il n'est pas possible de déterminer si le groupe d'humains sur cette photo appartient à la race des Noirs, des Asiatiques ou des Blancs
Les néo-lyssenkistes prétendent qu'il n'est pas possible de déterminer si le groupe d'humains sur cette photo appartient à la race des Noirs, des Asiatiques ou des Blancs.
Avant de présenter la réponse à cet argument du « métissage généralisé », qui paraît-il signifierait que les races humaines n’existent pas, considérons la question du « métissage généralisé d’uniformisation » qui est présenté par les mondialistes et par les « antiracistes » comme l’étape vers laquelle les citoyens ont le devoir de s’orienter.
Le métissage présenté comme l’idéal à atteindre
Le discours sur le métissage va désormais si loin que l’on présente parfois dans les médias, et dans les programmes d’éducation nationale, le métissage comme l’idéal qu’il convient d’atteindre. Affirmer, comme le propagent dans les discours publics les « antiracistes », qu’« être métissé c’est mieux que de ne pas l’être », c’est établir une différence de qualité entre les types raciaux : ça revient à dire qu’être métis c’est le summum de l’évolution. Mais en même temps les « antiracistes » prétendrent qu’il n’y a pas de différences qualitatives entre les types raciaux. Ce discours des « antiracistes » est donc incohérent.
Le métissage a toujours existé entre les races humaines mais de façon très marginale, dans les zones de contact, et en tant que phénomène marginal le métissage n’était pas une menace pour l’existence des races variées. D’ailleurs les races ont pu apparaître, et ensuite se maintenir dans leurs différences et se développer, justement parce que les branches de l’humanité n’étaient pas globalement exposées au métissage généralisé. Mais pousser au métissage généralisé au nom de l’idéologie mondialiste, universaliste, c’est pousser à l’appauvrissement de l’humanité par la perte de sa diversité pas seulement culturelle mais aussi biologique.
À la prétention que « nous sommes tous métisses donc il n’y a pas de différences » on peut apporter plusieurs réponses.
La perception habituelle des races humaines
Première réponse. Il existe de nombreux critères génétiques différenciateurs. Si on retient au hasard certains critères plutôt que d’autres il se peut que l’on ne constate pas plus de différences entre les groupes de races distinctes que l’on en constate à l’intérieur d’un groupe racialement homogène. Mais puisque au contraire, comme nous l’avons exposé ci-dessus, selon certains autres critères génétiques précis, on constate des différences entre des groupes de races, alors ces critères-là sont des critères génétiques différenciateurs qui permettent l’identification des races [12]. Ces différences, cette identification, ne correspond pas à 100 % d’un groupe d’individus sur le territoire où une race humaine donnée domine, car dans les zones de contact entre des races il y a eu des métissages. Le fait que des individus métis existent à l’intérieur d’un groupe racial globalement typé, c’est-à-dire dans un groupe globalement identifiable même s’il n’est pas à 100 % homogène, ne signifie pas que cette race n’existe pas à cause de la présence en son sein d’un certain pourcentage d’individus métis.
Ce qui compte ce sont les caractéristiques prépondérantes, les caractéristiques qui dominent dans le groupe.
Comme l’a affirmé le général Charles de Gaulle, au sein du groupe racialement typé que sont les Européens, à côté des Blancs européens il peut y avoir d’autres races ou des métis. Le général Charles de Gaulle a estimé que la race blanche fait partie de l’identité des Européens et que la présence parmi les Européens d’individus appartenant à d’autres groupes raciaux ne remet pas en cause cet aspect génétique de l’identité européenne : « à condition qu’ils restent une petite minorité. […] Nous sommes avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » (Cité par A. Peyrefitte. C’était de Gaulle. Ed Gallimard, 2000).
Le général Charles de Gaulle a ainsi exprimé ce qui est l’évidence même : l’identité d’un groupe humain est une question de dosage de ses composants : si la répartition change au point que les caractères dominants changent, alors l’identité change. Le général Charles de Gaulle a par la même occasion exprimé qu’en plus de la culture, la race participe à la définition de l’identité d’un groupe humain.
Notons au passage que la notion de « prépondérance » concerne toutes les caractéristiques qui sont perçues comme participant à la définition de l’identité d’un groupe humain : ainsi même si certains individus parmi les Européens se sentent plus proches d’autres racines culturelles que grecques et latines ou si certains Européens se réfèrent à d’autres valeurs morales que celles héritées de la chrétienté, il est cependant vrai que globalement, dans leur majorité et peut-être même sans en avoir obligatoirement conscience, les Européens sont imprégnés par l’héritage culturel grec et latin et ont des repères moraux issus de la chrétienté. L’identité des Européens est déterminée par ce qui caractérise les Européens de façon majoritaire, et la race blanche, qui est une caractéristique largement majoritaire des Européens, participe à la détermination de cette identité européenne.
Apportons une deuxième réponse à l’affirmation fausse que « nous sommes tous métisses donc il n’y a pas de différences ». Si les métissages ont toujours eu lieu depuis que l’humanité existe, il ne convient pas d’oublier que depuis l’époque où les grands groupes raciaux ont fini par se constituer il y a 15 000 ans ces mélanges ont été marginaux. Alors qu’actuellement, avec la dictature du mondialisme, on cherche à imposer un modèle d’évolution qui force les Européens à accepter une immigration massive en provenance d’autres continents donc un métissage massif. Ce métissage généralisé que veulent les mondialistes conduirait à la disparition de la spécificité biologique et culturelle de ce que sont globalement les Européens.
Troisième réponse sur le métissage : même si dans absolument chacun des Européens il y avait une petite part métissée, il reste que dans la majorité des Européens la plus grande part appartient à la race blanche et c’est cette part dominante qui compte. L’appartenance à une race est une question du dosage des caractéristiques dominantes.
Un taux mineur de métissage ou de mélange ne met pas en cause l’existence d’un groupe racial ou ethnique.
Les négationnistes de l’existence des races humaines sont nombreux en France et en Europe de l’Ouest mais la résistance contre leur propagande mondialiste s’organise.
D’ailleurs, comme cela a été rappelé plus haut dans le présent article, la revendication en France de l’identification raciale des individus a été ces dernières années fortement appuyée par les Noirs dans les associations officiellement réunies autour de CRAN. Des associations nombreuses ont été créées en France pour défendre les intérêts des Noirs. Les Noirs français sont donc capables de s’identifier en tant que Noirs alors que d’après ce que prétendent certains Français la science ne serait pas capable de confirmer l’existence de la race noire : les Noirs français ont-ils des capacités d’observations supérieures à cette science-là ?
Rappelons-le encore une fois, même si ce fait contrarie les convictions idéologiques de certains citoyens : la science est capable de distinguer les groupes humains biologiquement typés, c’est à dire les races humaines [12].
Mais les négationnistes de l’existence des races humaines cherchent en permanence à maintenir leur domination médiatique en Europe et ils inventent en permanence des pirouettes dialectiques pour brouiller les pistes et introduire le doute dans les esprits.
Identification des races humaines par les anthropologues et les généticiens
À ce propos il est à noter que certains négationnistes français du fait de l’existence des races humaines disent que « seules les races animales existent, puisque les races animales ont été codifiées alors que la définition codifiée des caractéristiques des races humaines n’existe pas ».
Tout d’abord observons que la science permet d’établir la classification d’après les caractéristiques génétiques. C’est une possibilité et des travaux ont été effectués en ce sens.
Nous l’avons déjà mentionné et nous y reviendrons. Cependant il faut noter que cela ne présente pas le même intérêt que la classification des races animales.
Il faut en effet savoir que la classification des races animales a été codifiée dans le but de stimuler les efforts des éleveurs afin qu’ils produisent et utilisent selon leurs besoin des animaux de pure race dont les caractéristiques typées sont particulièrement adaptées à certains objectifs de production animale.
Au niveau des groupes humains la recherche de la pureté des races n’aurait pas de sens. Ce qui compte dans un groupe humain, c’est le caractère dominant, majoritaire. Un groupe humain est le reflet de ses composants : le dosage détermine quelles sont les caractéristiques qui s’imposent. Et une fois de plus on doit se rappeler l’observation faite par le général Charles de Gaulle que si parmi les Blancs les autres races sont présentes en Europe cela ne remet pas en cause l’identité des Européens, les autres groupes raciaux ont leur place en Europe : « à condition qu’ils restent une petite minorité. […] Nous sommes avant tout un peuple européen de race blanche ». Donc même s’il y a un certain taux de mélange, c’est la caractéristique dominante qui compte, et on peut dire sans erreur que globalement les Européens sont de race blanche.
Il est donc inutile d’entrer en polémique avec des agitateurs « anti-racistes » qui demandent comment sont codifiés les groupes et les sous-groupes raciaux humains car celui qui tente de leur répondre est aussitôt abusivement qualifié de raciste. Ceci dit, pour les curieux, il faut savoir qu’à l’identique des classifications des races animales, la classification des groupes et des sous-groupes des races humaines a été établie sur des critères biologiques avant même que l’ADN ne soit connu.
Il suffit de consulter n’importe quel des dictionnaires encyclopédiques publiés dans la première moitié du XXème siècle, par exemple un Larousse en plusieurs volumes, pour y trouver la description synthétique de cette classification, parfois avec la représentation de l’arborescence de la répartition des races de l’humanité, avec ses branches, des rameaux et des brindilles répartissant des groupes et des sous-groupes raciaux [16]. C’était le résultat des travaux des anthropologues. Après la 2ème guerre mondiale les descriptions des groupes raciaux humains ont progressivement été réduites et on quasi disparu des dictionnaires de langue française.
L’image suivante montre la description des races humaines qui figure dans l’édition 1948 du Larousse Universel.
Larousse Universel, 1948 La description des races humaines qui figure dans le Larousse Universel de 1948.
Cette codification ancienne des groupes raciaux peut être rapprochée avec l’identification biologique par la science génétique (analyse autosomale etc.). On y découvre les branches de l’humanité et leur degré de proximité ou d’éloignement biologique. Actuellement ce sont les généticiens qui dans leurs travaux obtiennent des éléments de classification. Les premières publications dans ce domaine datent des années 1990.
Parmi les ouvrages marquants de cette période nous pouvons citer « The History and Geography of Human Genes » – qui date de 1994 – dont la couverture est reproduite ci-dessous.
Dans les ouvrages publiées dans les années 1990, par peur des réactions et pour éviter que le financement de leurs recherches ne soit interrompu, les scientifiques établissaient la classification en utilisant le terme de « types humains » ou « sous-espèces humaines ». Dans les années plus récentes, confortés par la convergence des travaux qui confirment le constat, le terme « races humaines » commence à apparaître dans les comptes-rendus des travaux. Ce terme « races humaines » est sans doute plus parlant et en tout cas il est approprié car correspond à la définition zoologique de ce qu’est une race.
Nous avons déjà mentionné que des techniques objectives de détermination de la proximité génétique entre les groupes raciaux a été mise au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). L’étude du génome permet donc d’établir de façon fiable la classification des groupes et des sous-groupes des races humaines : la dernière illustration qui figure dans ce chapitre montre le tableau de classification, basé sur la mesure de la distance génétique, de plusieurs dizaines de principaux groupes et sous-groupes raciaux humains.
Les erreurs dans les classifications anciennes des sous-groupes raciaux viennent du fait que les critères de classification n’étaient pas uniquement biologiques (anthropologiques) : pour essayer de déterminer la filiation des groupes humains, les scientifiques du XIXème et du début du XXème siècle s’appuyaient aussi sur des analyses linguistiques. C’est pourquoi par exemple les sous-groupes raciaux issus des peuples qui dans la préhistoire étaient situées autour de l’Oural, étaient classés comme appartenant une branche distincte des autres Blancs européens.
Il se trouve que les sous-groupes raciaux issus des peuples qui dans la préhistoire étaient situées autour de l’Oural, et qui génétiquement sont une variante appartenant à la famille des Blancs européens, étaient classés en branche raciale séparée car leur famille linguistique est à une certaine distance de la famille linguistique indo-européenne. Aux temps préhistoriques, l’habitat du groupe humain qui est l’ancêtre des Blancs européens était centré sur la vaste région du Caucase. Ce groupe s’est ensuite scindé et la séparation en deux groupes de populations s’est produite pendant que leur vocabulaire commun était encore pauvre – les mots nouveaux ont été inventés par chacun des deux groupes séparément pendant une période pendant laquelle ils n’étaient plus en contact. Pendant cette période d’enrichissement du vocabulaire un groupe était déjà établi dans la région de l’Oural et l’autre groupe était établi dans la région qui aujourd’hui correspond à la Russie méridionale et à l’Ukraine. C’est à partir de ces deux régions que ces deux familles de langues se seraient ensuite répandues en Europe. Les groupes de Blancs européens porteurs de langues ouraliennes sont à présent réduits à quelques ethnies situées autour de l’Oural et en Sibérie ainsi qu’à certains peuples en Europe occidentale : les groupes ouraliens les plus nombreux sont actuellement les Hongrois, les Finlandais, les Estoniens etc. On peut supposer que les peuples de race blanche qui dans la préhistoire étaient présents dans le Xinjiang chinois étaient porteurs de langues qu’aujourd’hui on classifierait dans la famille de langues ouraliennes.
La carte suivante présente la répartition des familles linguistiques au début du XXème siècle.
Répartition actuelle des familles linguistiques
L’avantage des classifications raciales modernes est qu’elles peuvent exclure les biais introduits lorsqu’on fait des rapprochements avec la classification ethnique (à laquelle participe la classification linguistique) : puisque les classifications raciales modernes sont basées uniquement sur les critères génétiques elles ne sont pas sujettes à des interprétations diverses, elles sont objectives. Leur précision dépend essentiellement du nombre d’individus sur lesquels porte l’analyse.
Nous avons déjà vu un graphe présentant la distance génétique entre les principales races (définies par leur région d’origine). La représentation suivante synthétise les conclusions des études effectuées par l’équipe conduite par le professeur Luigi Luca Cavalli-Sforza (Stanford University). Cette représentation graphique est extraite de l’ouvrage « Reconstruction of human evolution : Bringing together genetic, archaeological, and linguistic data » (voir la page 6003). Cet ouvrage montre que la génétique fournit les outils les plus efficaces de classification des groupes raciaux.
Le graphe présente la classification établie selon les distances génétiques entre les sous-groupes raciaux, c’est-à-dire entre les diverses branches de l’espèce Homo Sapiens. Pour les besoins de l’identification dans le cadre de ces études, les sous-groupes raciaux sont ici nommés par leur origine éthno-géographique. Cela signifie que dans ce graphe par exemple « EUROPEAN » désigne les Blancs (donc appartenant à la race d’origine européenne et qui aujourd’hui peuvent être sédentarisés en Europe ou ailleurs, dans les Amériques, en Australie etc.) mais ne désigne pas les Noirs (race d’origine africaine) même ceux qui aujourd’hui habitent en Europe.
De fait trois types de nommage sont utilisés dans les classifications des groupes raciaux : morphologique (d’après une caractéristique physique dominante caractérisant le groupe), géographique (d’après le lieu historique d’apparition du groupe), ethnique (d’après une caractéristique culturelle identifiant majoritairement le groupe). Nous avons déjà constaté qu’il est possible d’utiliser le terme « Jaunes » – qui est de type morphologique – pour désigner le groupe racial des Asiatiques d’Extrême-Orient (terme de désignation géographique). Dans le graphe qui suit, le terme « BANTU » est une désignation etho-linguistique d’un groupe racial.
La désignation des groupes raciaux par des termes géographiques peut être source de confusion. Par exemple « les Européens » peut signifier « les habitants d’Europe » (qui génétiquement, donc racialement, sont aujourd’hui – au XXIème siècle – de plus en plus métissés avec des populations venues notamment d’Afrique) ou peut signifier « les Blancs ».
La distance génétique entre les sous-groupes raciaux
Ce graphe est doublement intéressant.
D’une part il montre quel est le degré de corrélation entre la classification des groupes raciaux selon la proximité génétique (à gauche) et la classification selon la famille linguistique (à droite). On constate que les deux classifications ne coïncident pas entièrement.
D’autre part il permet de constater, en examinant dans la classification génétique à gauche la branche du sous-groupe racial des Caucasoïdes européens, que les Blancs européens sont dans une proche parenté génétique avec les Iraniens, avec les Moyen-Orientaux et les Nord-Africains (ces deux groupes derniers qu’en général on réunit sous l’appellation unique de « Sémites »), et avec les Berbères. La génétique confirme la parenté raciale que les anthropologues ont remarquée il y a plus d’un siècle à propos de la proximité entre les sous-groupes raciaux des Blancs d’Europe et les sous-groupes raciaux des Sémites. Dans cet exemple la différence entre la classification génétique moderne et la classification anthropologique ancienne est surtout une question de vocabulaire.
Le recoupement entre les deux classifications des groupes raciaux humains, celle qui est ancienne établie par les anthropologues et celle la plus récente établie par les généticiens, ne pose pas de difficultés majeures : les quelques écarts mineurs entre les deux classifications sont parfois liés aux anciens mélanges d’interprétation avec les critères ethniques (notamment linguistiques) et parfois ce ne sont que de simples questions de vocabulaire et de degré de détail dans la différenciation des sous-groupes raciaux.
Une fois que l’identification des races humaines est clairement établie par la science, il est possible d’effectuer des études comparatives sur les potentiels qui caractérisent les divers groupes raciaux.
Les travaux scientifiques viennent désormais fréquemment compléter nos connaissances sur ce sujet.
Dans la partie 6 nous verrons que les études scientifiques sont conduites pour déterminer les différences d’aptitudes entre les races et que les études statistiques sont effectuées pour mettre en évidences les différences sociales corrélées aux races.
Suite, partie 6 : les études comparatives des races humaines et l’approche administrative des races humaines.
Mis à jour en novembre 2010.
coco!
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:38
Les races humaines ou les types humains (partie 6 sur 7)
Dans les parties précédentes nous avons examiné quelle est la différence entre la race et l’espèce, comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles, puis nous avons examiné les arguments de ceux qui nient l’existence des races humaines, ensuite nous avons vu quelle était l’évolution des techniques scientifiques utilisées dans la détermination de l’appartenance raciale.
PARTIE 6 : LES ÉTUDES COMPARATIVES DES RACES HUMAINES ET L’APPROCHE ADMINISTRATIVE DES RACES HUMAINES
Études comparatives sur les groupes humains biologiquement typés
Les différentes races humaines correspondent à des caractéristiques biologiques spécifiques. L’étude statistique des critères objectifs met en évidence des différences entre les groupes raciaux. Cela peut concerner l’aptitude à courir vite, le QI etc. On peut toujours objecter en disant « votre étude dit que sur la caractéristique X le groupe racial A obtient de meilleurs résultats que le groupe racial B, mais voici l’individu Joe, qui appartient au groupe racial B et qui obtient d’excellents résultats sur la caractéristique X – votre étude ne vaut donc rien ». Bien entendu il y a toujours un certain nombre d’individus qui ont certaines caractéristiques qui sont éloignés de la typologie moyenne du groupe racial auquel ils appartiennent. L’étude statistique des critères objectifs tient compte de ces écarts : ce sont les courbes gaussiennes représentatives d’un groupe que l’on compare aux courbes établies pour un autre groupe.
Ce sont les aptitudes moyennes d’un groupe, comparées aux aptitudes moyennes d’un autre groupe, qui sont les facteurs – non exclusifs – qui dans certaines études sont pris en compte pour tenter d’expliquer les différentes voies d’évolution prises par les deux groupes.
Sur le sujet des races humaines il existe actuellement en France un dogme qui impose quelles sont les idées interdites et quelle est « la seule vérité » qu’il faut propager. Au sujet des aptitudes comparatives entre les races il y a aussi un dogme qui consiste à affirmer faussement « que toutes les races sont du même niveau, dans tous les domaines ». Lorsque ces dogmes sont contredits par les faits a-t-on le droit d’exprimer ces faits ? L’existence des races n’est pas établie seulement par l’observation subjective simple mais repose sur des critères objectifs scientifiquement définissables. Les études comparatives établissent les différences d’aptitudes entre les races. A-t-on le droit de constater dans un rapport scientifique rendu public que les différences d’aptitudes entre les races humaines sont un fait établi ? On en a le droit exactement comme on a le droit de constater que la planète Terre gravite autour de l’étoile Soleil.
À partir de la détermination scientifique des groupes raciaux les recherches scientifiques étendent désormais leurs champs d’investigation. Des études déterminent la répartition de certaines aptitudes selon la race [17].
De façon analogue à ces recherches, certains États se donnent les moyens d’investigation sociale qui tiennent compte des particularités raciales. Ce fait est illustré au chapitre suivant par un graphe, établi par l’institut américain de recensement, qui établit la répartition du revenu moyen selon l’appartenance à l’un des quatre principaux groupes raciaux américains (« principaux » doit être compris dans le sens « les plus nombreux »).
L’approche administrative de la question raciale
L’opposition de certains à reconnaître l’évidence de l’existence des races humaines est particulièrement forte en France, mais dans la plupart des autres pays du monde l’existence des races humaines est un fait que l’on prend en compte. Par exemple l’administration britannique exige que toutes les entreprises au-delà d’une certaine taille enregistrent systématiquement l’appartenance raciale de l’ensemble des employés [18] (le mot « race » est explicitement utilisé dans les textes de loi britanniques).
Aux États-Unis d’Amérique le Bureau du recensement américain (U.S. Census Bureau) publie périodiquement les statistiques démographiques officielles. La structure raciale de la population américaine est donnée en page 3 du document disponible ici en langue anglaise.
On peut constater dans ce document que les Américains ont établi leurs définitions des principaux groupes raciaux et des sous-groupes raciaux, selon leurs besoins, c’est-à-dire selon les groupes que la population identifie sur le territoire américain.
Dans leurs recensements, les Américains identifient cinq groupes raciaux (« White », « Black or African American », « American Indian and Alaska Native », « Asian », « Native Hawaiian and Other Pacific Islander »), les autres, dont la présence communautaire n’est pas significative sur le territoire américain, sont rangés dans le groupe « Some other race » ce qui signifie « une autre race ».
La classification américaine s’étend en deux dimensions, elle est raciale (exemple « Asian ») et ethnique (exemple « Hispanic » ou « Latino »). La classification américaine de type ethno-racial, permet de déclarer lors des recensements le degré de métissage en combinant au choix des critères de races ou d’ethnies : par exemple les personnes immigrées depuis Cuba se déclarent parfois simultanément « Hispanic » et « Black ».
U.S. Census Bureau fournit une grande variété de données statistiques sur la population américaine qui tiennent compte du critère racial. Le recensement de 2005 a par exemple établi quelle est la répartition selon la race du revenu annuel moyen : Revenu annuel moyen selon la race (États-Unis d'Amérique)
On peut parmi d’autres pays multiraciaux citer le cas du Brésil qui produit également des statistiques raciales – nous y reviendrons.
L’existence des races est donc un fait, perçu par les simples sens humains depuis longtemps, établi depuis peu scientifiquement, et intégré dans la gestion administrative de nombreux États de par le Monde.
Analogie entre homogénéité raciale et homogénéité linguistique
Nous avons vu précédemment que malgré les métissages les races humaines existent est sont identifiables par des procédés scientifiques. Avant de voir quel est l’avenir des races humaines actuelles, nous allons utiliser une analogie pour illustrer le fait qu’une race existe de façon certaine et indéniable même lorsqu’elle est soumise à un faible taux de mélange, de métissage.
C’est l’analogie avec les langues littéraires – allemand, italien, anglais, français etc. – qui par l’illustration de l’identité linguistique apporte un éclairage supplémentaire sur la question de l’identité raciale.
Comme les races, les langues aussi ont des racines communes, les langues aussi sont comme des branches qui sont entre-elles proches ou distantes, ont des airs de famille ou des différences très marquées. Si on n’examine l’évolution des langues littéraires que par exemple sur les trois cents dernières années, on constate qu’elles n’évoluent pas de façon hermétiquement isolée mais qu’elles changent par des apports externes de vocabulaire, de syntaxe et même d’orthographe et de grammaire.
Parce qu’une langue est constituée d’une certaine proportion d’éléments « métissés » – et c’est peut-être le cas de toutes les langues – peut-on prétendre que cette langue n’existe pas, qu’elle n’a pas son identité propre ? Par exemple la langue française, issue des racines linguistiques communes avec d’autres langues, et qui dans sa structure contient des apports récents d’allemand, d’italien, d’anglais etc., peut-elle être reconnue comme une langue individualisées, spécifique, particulière, identifiée ? La réponse est bien évidemment : oui l’identité de la langue française existe. En France les gouvernements successifs le confirment par leurs actions en faveur de la défense de la langue française.
De même existent les races humaines, ces branches issues des racines communes de l’humanité, qui au fil des millénaires, par des évolutions séparées, même si la séparation n’est pas étanche, ont acquis des spécificités.
Dans la partie 7 nous examinerons quelles sont les projections actuelles concernant l’avenir des races humaines : quelles sont les races en voie de disparition et quelles sont les races en état de se maintenir ou de se multiplier pour devenir prépondérantes.
coco!
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 9/10/2015, 16:41
Les races humaines ou les types humains (partie 7 sur 7)
Dans les parties précédentes nous avons examiné quelle est la différence entre la race et l’espèce, comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles, puis nous avons examiné les arguments de ceux qui nient l’existence des races humaines, ensuite nous avons vu quelle était l’évolution des techniques scientifiques utilisées dans la détermination de l’appartenance raciale. Nous avons également vu que les statisticiens déterminent les corrélations entre divers faits sociologiques et l’appartenance aux groupes raciaux.
PARTIE 7 : L’AVENIR DES RACES HUMAINES
L’avenir des races humaines
Lorsque cette question de l’avenir des races humaines était évoquée au XIXème siècle, les penseurs européens expliquaient que la race blanche dispose de l’avantage que constitue la maîtrise des sciences et des techniques. Les penseurs, se référant au principe du « le mieux adapté s’impose au dépens du moins bien adapté », estimaient que grâce à leur maîtrise des sciences et techniques les Blancs européens finiraient par s’imposer sur les continents où les humains indigènes étaient techniquement moins évolués.
Le texte donné en exemple ci-dessous est extrait du bulletin de la Société d’anthropologie de Paris, publié en 1892 : Volume 3, Numéro 3, p. 664, « Disparités et avenir des races humaines » par M. Zaborowsky. Disparités et avenir des races humaines - M. Zaborowsky - 1892
Les Blancs européens, en appliquant leurs sciences dans une organisation plus efficiente de leur société (médecine, agriculture, industrie etc.) devaient évincer les autres races. Telles étaient les prévisions des scientifiques qui se référaient à l’expansion des Blancs européens du XVIème au XIXème siècle.
Les événements du XXème siècle ont montré sur quelles hypothèses erronées étaient basées ses prévisions.
Car les scientifiques de la fin du XIXème siècle n’ont pas prévu que ces mêmes « sciences développées par les Blancs européens » allaient bénéficier aux autres races. Par exemple la diffusion en Afrique des moyens d’hygiène et des techniques médicales a à partir du milieu du XXème siècle très fortement réduit la mortalité infantile alors que les taux de fécondité élevés s’y sont maintenus. Il en a résulté, à partir du milieu du XXème siècle, un taux de croissance très élevé de la population africaine. De plus les flux migratoires du XVème au XXème siècle se sont inversés à partir du milieu du XXème siècle : désormais les autres races migrent en masses vers les zones peuplées par les Blancs européens. Et à partir du milieu du XXème siècle les Blancs européens ont fortement réduit leur taux de fécondité.
Ce taux de fécondité est désormais si faible en Europe (en moyenne moins de 1,5 enfant par femme) que non seulement il ne permet pas le renouvellement endogène de la population mais qu’en plus à terme, d’ici 150 à 250 ans, il conduit à la disparition des habitants autochtones. Le Conseil de l’Europe a produit le rapport intitulé « Les tendances en matière de population en Europe et leur sensibilité aux mesures des pouvoirs publics ».
Ce qui nous intéresse dans ce document est l’image intitulée « Figure 12 : Diminution de la population en Europe » qui est reproduite ci-dessous :
Parmi les races humaines, les Blancs européens sont actuellement en déclin, même en voie d’extinction, partout sur la planète et pas uniquement en Europe.
Aux États-Unis d’Amérique, les projections du Census Bureau (le service gouvernemental du recensement) montrent que les Blancs deviendront minoritaires aux États-Unis d’Amérique à partir de 2042. Ce déclin de la race blanche est doublement accéléré d’une part par le fait que les autres races sont majoritaires parmi les immigrants et d’autre part parce que les autres races ont un taux de fécondité plus élevé.
La même tendance est observée là où les flux d’immigration sont négligeables. Au Brésil, où les flux d’immigration se sont taris à partir du milieu du XXème siècle, les Blancs représentaient 62 % de la population en 1950 et les Noirs étaient donc largement minoritaires. Parmi les groupes raciaux brésiliens, les Noirs maintiennent le taux de fécondité le plus élevé ce qui explique que depuis de 2008 ils forment désormais la majorité de la population brésilienne et les Blancs sont devenus minoritaires. C’est ce que montrent les recensements effectués par IBGE (Instituto Brasileiro de Geografia e Estatística).
Concernant l’évolution de la démographie et la fécondité des populations, il faut comprendre que la notion de « palier démographique » est une erreur largement répandue. L’erreur est dans le fait que le « palier démographique » est présenté comme une règle générale. Nous avons vu ci-dessus, dans le graphe publié par le Conseil de l’Europe, que les Blancs européens ne sont pas sur un « palier démographique » mais sont sur une courbe descendante que l’on pourrait appeler le « toboggan démographique ». À l’opposé, les pays africains de race noire voient leur population globale croître selon une courbe fortement ascendante que l’on pourrait appeler la « rampe de lancement démographique » : la vitesse de croissance des Noirs africains correspond à un doublement de la population tous les 50 ans environ. C’est la moyenne globale des pays subsahariens. Mais par exemple au Niger, le temps de doublement de la population est même inférieur à 25 ans. La vérité est que la « courbe démographique » est le résultat des convergences entre les mentalités (qui produisent la définition consciente ou inconsciente des objectifs poursuivis), les contraintes environnementales (qui fixent les limites matérielles de ce qui est possible), les capacités organisationnelles (qui permettent ou pas d’atteindre les objectifs dans le cadre des limites matérielles) et les aides extérieures (qui permettent de compenser l’insuffisance des capacités organisationnelles propres). Selon les cas la « courbe démographique » d’une population peut pendant certains intervalles prendre l’allure d’un « pallier » mais elle peut aussi prendre d’autres formes.
La Division de la Population du Secrétariat des Nations Unies réunit les statistiques sur la démographie mondiale et notamment sur les taux de fécondité dans les diverses régions de la planète – le graphique suivant en est la synthèse : Certains prétendent que le mondialisme est au niveau de la planète l’étape ultime de l’évolution de l’humanité. Le mondialisme se déroule aux risques de la perte de la diversité et des identités dans un métissage global, métissage culturel et biologique. La diversité des groupes humains – qui est une richesse de l’humanité – risque de disparaître si les flux migratoires de masse, instaurés par les dispositifs politiques mondialistes, se poursuivent à leur rythme actuel. Cependant on constate que le métissage mondialiste qui se déroule sous nos yeux ne sera probablement pas global en ce qui concerne les races : les Noirs notamment se maintiendront en tant que groupe racial majeur.
Le mélange racial ne se produira pas dans toutes les régions de la planète : on constate, c’est un fait, qu’il ne se produit que dans les régions d’immigration de masse. Sur la majorité des territoires de la planète le métissage est minime, marginal, et les groupes raciaux qui y sont présents ne disparaîtront pas dans le métissage.
Le continent Africain n’est pas un territoire qui reçoit de forts flux d’immigration en provenance d’autres continents. C’est au contraire un territoire de forte émigration dirigée quasi exclusivement vers l’Europe. L’Extrême-Orient asiatique est dans le même cas : le territoire chinois est exportateur des flux migratoires, il ne s’y produit pas de mélange avec des forts flux d’immigration qui viendraient s’installer en Chine en provenance d’autres continents. Le Japon est depuis toujours fermé à l’immigration massive. Les populations sur ces territoires sont donc en position de conserver leurs spécificités. L’Europe par contre est un territoire où depuis des décennies les gouvernants ont mis en place les conditions qui favorisent l’immigration forte en provenance d’autres continents.
De sorte qu’en compilant les projections que donnent les démographes (celles qui tiennent compte des fécondités, des migrations transcontinentales en cours et du fait que dans la plupart des États d’Europe aucun moyen efficace n’est mis en place par les gouvernements pour arrêter ces migrations, et du fait que « la courbe démographique » a une forme qui varie selon la population concernée) on obtient la synthèse suivante pour le milieu du XXIIème siècle : – L’Europe réunira entre 3 % et 6 % de la population mondiale selon que l’on retient les projections minimales ou maximales. Ces chiffres témoignent mieux du déclin européen si on rappelle le fait qu’en 1900 l’Europe rassemblait 25 % de la population mondiale et en 2000 environ 12 % de la population mondiale. – L’Afrique réunira entre 35 % et 45 % de la population mondiale selon que l’on retient les projections minimales ou maximales. – L’Europe et les deux Amériques seront des continents peuplés majoritairement de métis et de Noirs alors que les Blancs – ne formant plus qu’entre 0,1 % et 2 % de la population mondiale – subsisteront dans certains îlots régionaux (dans certains pays du centre et de l’est de l’Europe, dans certains États des États-Unis d’Amérique etc.). – L’Asie d’Extrême-Orient et l’Afrique garderont la même structure raciale qu’actuellement. – Les Noirs – présents en Afrique, en Europe et dans les deux Amériques – formeront le groupe racial le plus nombreux, et peut-être majoritaire, de la population mondiale.
Le graphe suivant montre l’évolution de la part des Noirs dans la population mondiale.
Les projections démographiques énumérées ci-dessus peuvent étonner les personnes qui découvrent la démographie des races humaines. Il n’est pas nécessaire d’être un spécialiste des questions démographiques pour vérifier la validité de ces projections. Il faut néanmoins tenir compte de la variété des « courbes démographiques ».
Les courbes du tableau « Part des Noirs dans la population mondiale » sont obtenues par des recoupements entre plusieurs projections démographiques publiées par la Division de la Population du Secrétariat des Nations Unies [19]. Le lecteur dubitatif peut aisément vérifier la validité des données globales présentées par ces courbes en faisant des recoupements entre divers documents mis à disposition par la Division de la Population.
Notamment une vérification simple est à la portée de tous : en totalisant à partir des données parcellaires qui sont mises à disposition par la Division de la Population du Secrétariat des Nations Unies sur le site « Populations Estimates and Projections Section ». Les projections par pays qui y sont disponibles sont des estimations moyennes (c’est-à-dire celles qui sont les plus probables, mais par pays les démographes établissent par ailleurs également des projections basses et hautes qu’ils qualifient de peu probables).
À partir des données parcellaires on détermine la part des Noirs dans la population mondiale en tenant compte du fait que les pays d’Afrique Subsaharienne sont de population noire et pour les autres pays en tenant compte de la répartition raciale de la population lorsque le pays est multiracial et que les statistiques sur les races sont disponibles (Brésil, États-Unis d’Amérique etc.). La courbe du « scénario haut » correspond à l’écart que donnent certaines projections démographiques : par exemple les démographes des Nations Unies estiment que dans les pays d’Afrique Subsaharienne le taux de fécondité pourrait baisser moins vite que ce qui a été retenu dans les hypothèses qui ont été utilisées pour élaborer les projections moyennes.
Chaque humain a le droit d’affirmer qu’il appartient à une race
C’est un fait indéniable que sur cette planète il y a différents groupes humains, appartenant à l’espèce Homo Sapiens, répartis selon des zones géographiques et que ces groupes humains sont identifiables statistiquement par des caractéristiques biologiques qui dominent parmi les individus qui forment ces groupes.
Ces groupes humains se sont formés au fil du temps, en ajoutant aux spécificités physiques visibles, ou décelables par examen biologique, qui définissent les races, des spécificités culturelles, qui définissent les ethnies.
L’existence des races humaines – quel que soit le terme par lequel on les désigne – est un fait indéniable, mesurable et observable scientifiquement et statistiquement, comme l’est de façon analogue l’existence des langues littéraires qui ont également leur existence propre, comme les races humaines, malgré les mélanges partiels.
Le processus de mondialisation, imposé par l’idéologie du mondialisme, est nuisible à la sauvegarde de la diversité des groupes humains du point de vue biologique (les races), du point de vue culturel (les ethnies), du point de vue des civilisations (ensemble des aspects culturels et sociaux d’un groupe humain). Le mondialisme détruit ce qui constitue la véritable richesse de l’humanité : le mondialisme conduit à la destruction de la diversité des civilisations et des cultures ainsi qu’à la destruction de la biodiversité de l’espèce humaine.
En fin de compte, le lecteur aura compris : sous la pression de la bienséance du « politiquement correct », il est actuellement en France conseillé dans les discours publics de remplacer le mot « race » par le mot « type » ou par le terme « minorité visible ».
En dehors de ces conventions de langage, il reste néanmoins que les races humaines, les groupes et les sous-groupes raciaux, différenciés d’après les caractéristiques biologiques, quel que soit le nom qu’on donne à ces groupes – « type » ou « race » – existent. En Europe, et en France, des voix commencent à s’élever pour exiger que l’on cesse d’occulter la vérité et que l’on prenne en considération la question de l’évolution de la structure raciale de la société européenne [20].
Les antiracistes réagissent à cela, en voulant éviter que cette question ne devienne d’actualité dans les grands médias, en prétendant qu’évoquer la question des races humaines c’est faire preuve de racisme. Les antiracistes veulent temporiser afin que l’évolution de la structure raciale, telle qu’elle est souhaitée par les mondialistes, puisse se poursuivre dans la discrétion relative, sens prise de conscience des changements fondamentaux qu’elle met en place, sans heurts que l’opposition ouverte à ce processus pourrait générer.
Pour empêcher la prise de conscience de la spécificité raciale des Européens, les antiracistes s’appuient habituellement sur l’idéologie néo-lyssenkiste selon laquelle tous les groupes humains sont biologiquement égaux et selon laquelle les races humaines n’existent pas.
Cependant reconnaissons que les citoyens ont le droit d’exprimer la vérité basée sur les faits établis.
Lors de recensements les Américains ne se privent pas de ce droit lorsqu’ils se déclarent par exemple « White » ou « Native Hawaiian ». C’est un droit de pouvoir constater l’appartenance des individus à divers groupes raciaux et ce droit n’est pas limité aux Américains, il est universel, et chaque Européen peut aussi exprimer son appartenance à une race, et le plus souvent un Européen pourrait affirmer : « je suis un Blanc européen ».
coco!
Alande
Nombre de messages : 1278 Age : 58 Localisation : Caluire et Cuire Date d'inscription : 19/06/2013
Sujet: Re: Racisme 10/10/2015, 12:14
Tiens...Hier, Coco a eu une chiasse scripturale ou épistolaire !
Zora232
Nombre de messages : 9176 Localisation : Bérbérie Date d'inscription : 19/10/2010
Sujet: Re: Racisme 10/10/2015, 12:43
Alande a écrit:
Tiens...Hier, Coco a eu une chiasse scripturale ou épistolaire !
...erreur monsieur Alande coco est sain , son sphincter peut bloquer la pire des chiasses ;
n est ce pas lui qui s'est demandé : """Est-il permis de comparer les groupes humains ?"""
il n a pas trouvé que oui et n a non plus pas osé le non , moi je trouve cela tres humble de
la part d un homme qui fait partie du peuple que Dieu lui meme a élu
Les Blancs européens, en appliquant leurs sciences dans une organisation plus efficiente de leur société (médecine, agriculture, industrie etc.) devaient évincer les autres races. Telles étaient les prévisions des scientifiques qui se référaient à l’expansion des Blancs européens du XVIème au XIXème siècle.
...vous allez p etre mon rétroquer que son discours est basé sur le mot """ race""" mais ça n est pas du
tout par racisme , voyez vous meme comment il s attaque à la race blanche européenne , à ses
découvertes sataniques , à son expansion à travers le monde , pour moi coco est un vrai gentleman d
'ailleurs rien qu avant hier il assurait détéster le gouvernement Israèlien pour tout ce qu il a fait de ses
fères sèmites les Paléstiniens et que d après son expérience de la guerre algérienne il conseille de
rendre leures terres aux paléstiniens parceque par la guerre Tsahal finira par estérminer les gentils
paléstiniens qui restent encore en vie .
...Quand aux expansionistes europeens heureusement que le Portugal n en fait plus partie parceque
Biloulou est portugais
Alande
Nombre de messages : 1278 Age : 58 Localisation : Caluire et Cuire Date d'inscription : 19/06/2013
Sujet: Re: Racisme 10/10/2015, 13:48
En tout les cas, cela s’attrape ! Un virus ?
Zora232
Nombre de messages : 9176 Localisation : Bérbérie Date d'inscription : 19/10/2010
Sujet: Re: Racisme 10/10/2015, 14:07
Alande a écrit:
En tout les cas, cela s’attrape ! Un virus ?
...je ne pense pas , mais si t'as ressenti q q chose au niveau de ton puant
cul c est que t'as besoin d un gros Zob
...sois poli , je détéste les tarlouzes voyous
Invité Invité
Sujet: Re: Racisme 10/10/2015, 16:51
Zora232 a écrit:
Alande a écrit:
Tiens...Hier, Coco a eu une chiasse scripturale ou épistolaire !
...erreur monsieur Alande coco est sain , son sphincter peut bloquer la pire des chiasses ;
n est ce pas lui qui s'est demandé : """Est-il permis de comparer les groupes humains ?"""
il n a pas trouvé que oui et n a non plus pas osé le non , moi je trouve cela tres humble de
la part d un homme qui fait partie du peuple que Dieu lui meme a élu
Les Blancs européens, en appliquant leurs sciences dans une organisation plus efficiente de leur société (médecine, agriculture, industrie etc.) devaient évincer les autres races. Telles étaient les prévisions des scientifiques qui se référaient à l’expansion des Blancs européens du XVIème au XIXème siècle.
...vous allez p etre mon rétroquer que son discours est basé sur le mot """ race""" mais ça n est pas du
tout par racisme , voyez vous meme comment il s attaque à la race blanche européenne , à ses
découvertes sataniques , à son expansion à travers le monde , pour moi coco est un vrai gentleman d
'ailleurs rien qu avant hier il assurait détéster le gouvernement Israèlien pour tout ce qu il a fait de ses
fères sèmites les Paléstiniens et que d après son expérience de la guerre algérienne il conseille de
rendre leures terres aux paléstiniens parceque par la guerre Tsahal finira par estérminer les gentils
paléstiniens qui restent encore en vie .
...Quand aux expansionistes europeens heureusement que le Portugal n en fait plus partie parceque
Biloulou est portugais
Zora merci !
je suis un homme heureux parce que toi et Eddie vous avez compris pourquoi j'avais publié ce texte !
je sais il est très long et difficile à digérer mais ce qui y est dit représente ce que je pense depuis une éternité !
et cela un Allande lui il ne peut ni le comprendre ni l'accepter !
c'est un raciste notoire et en plus il a toujours était antisémite !
n'est-il pas fier de faire parti des partisans du FN de madame Le Pen !
coco!
Lawrence
Nombre de messages : 11709 Age : 79 Localisation : Marbella Date d'inscription : 20/09/2010
Sujet: Re: Racisme 1/2/2016, 20:07
La vraie classe !!!!!
Zora232
Nombre de messages : 9176 Localisation : Bérbérie Date d'inscription : 19/10/2010
Sujet: Re: Racisme 1/2/2016, 20:50
Zora merci !
je suis un homme heureux parce que toi et Eddie vous avez compris pourquoi j'avais publié ce texte !
je sais il est très long et difficile à digérer mais ce qui y est dit représente ce que je pense depuis une éternité !
et cela un Allande lui il ne peut ni le comprendre ni l'accepter !
c'est un raciste notoire et en plus il a toujours était antisémite !
n'est-il pas fier de faire parti des partisans du FN de madame Le Pen !
coco!
...salam coco ;
...moi aussi je te remercie coco pour la sincerite et la franchise de tes propos ,
quand a notre ami Alande son racisme vient du fait qu il est homophyle
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Racisme 2/2/2016, 01:55
224 -
Quoi, notre camarade Allende est hémophile ! Il doit se faire un sang d'encre maintenant que la Marinade en Chef ne veut plus se débarrasser de l'€uro !!! Ce revirement qui met une doxa frontiste essentielle à la poubelle ne doit pas emballer notre ami !