Gastronomie et oenologie

Rappel du premier message :

La pêche est ouverte dans les lacs de montagne...

Mmmmmmm..Juste grillées dans un beurre clarifié, avec un verre de riesling minéral !

faut boire beaucoup de bière aujourd'hui !

par exemple de la Goudale, ou de la trois monts, ou de la Divine ou de la Mythique

quantat a écrit:

faut boire beaucoup de bière aujourd'hui !

par exemple de la Goudale, ou de la trois monts, ou de la Divine ou de la Mythique

et comme il faut boire beaucoup, on pourrait s'en prendre une de chaque

Oui c'est une excellente idée

Il faut en revanche à tout prix éviter la Leffe (très mauvaise pour la santé, l'économie française et son impact écologique est un désastre)

en fait, j'aime bien la bière sauf que je n'ai droit à aucune goutte d'alcool donc si je bois de la bière, elle sera sans alcool. Pour un connaisseur comme vous, j'imagine que c'est un sacrilège.

Marieden a écrit:

en fait, j'aime bien la bière sauf que je n'ai droit à aucune goutte d'alcool donc si je bois de la bière, elle sera sans alcool. Pour un connaisseur comme vous, j'imagine que c'est un sacrilège.

Pas du tout !!
Mon amour immodéré de la bière m'a conduit il y a quelques années au seuil d'un trouble neurologique extrêmement grave ... j'ai donc dû me résoudre à ne pas dépasser la limite de trois unités d'alcool par jour (l'équivalent de 3 Heineken ou de deux Perlfort blondes ou d'une Chimay bleue)... donc je bois pas mal de bières sans alcool (trois à cinq/jour )
Les meilleurs sont allemandes (j'ai oublié le nom et elles sont introuvables en France; on les trouve facilement en Espagne en revanche)
La San Miguel 0° est pas mal du tout...

230 -

quantat, la mousse avant tout, a écrit:

[(...)donc je bois pas mal de bières sans alcool (trois à cinq/jour )
Les meilleurs sont allemandes (j'ai oublié le nom et elles sont introuvables en France; (...)

Ça tombe bien, j'ai justement un échantillonnage à vous proposer :

La Erdinger !! elle est TRES bonne... je crois que la Franziskaner également ...et la Paulaner aussi La quatrième m'est inconnue (seigneur pardonne moi mes lacunes)
Je discutais de la Erdinger en Espagne avec un serveur -je parle pas Espagnol mais je peux me débrouiller quand je suis très motivé) : il disait qu'il préférait même la sans alcool à l'originale ...il lui trouvait "un sabor espécial"

232 -

quantat a écrit:

(...)
Je discutais de la Erdinger en Espagne avec un serveur -je parle pas Espagnol mais je peux me débrouiller quand je suis très motivé) : il disait qu'il préférait même la sans alcool à l'originale ...il lui trouvait "un sabor espécial"

Ce n'était pas lui par hasard votre serveur ?

La Bückler en France titre quand même 1,2°
Je ne comprends pas d'ailleurs pourquoi : en Espagne elle est à 0,5° ...
Je lui préfère la "pure malt" de Kronenbourg (alors que je n'aime pas la kro avec alcool)

Les Français sont accros aux hamburgers
(M6info – mar. 30 juin 2015)



M6info/AFP - Le hamburger plébiscité par les Français

Une étude montre que l’on a consommé plus d’un milliard de hamburgers en France en 2014. Une augmentation de 10% par rapport à l’année précédente.

Le jambon beurre est en danger. Le sandwich préféré des Français a trouvé un adversaire à sa taille, le hamburger. Tous les deux culminent au-dessus du milliard d’unités vendues en 2014 selon une étude du cabinet Gira conseil publiée lundi29 juin.
Mais là où le premier a tendance à stagner, le second est en pleine forme puisqu’il affiche un taux de croissance en 2014 de 10% à 1,07 milliard d’unités vendues, ce qui fait en moyenne 18 hamburgers par habitant et par an. Pas de doute, le burger a définitivement conquis nos palais.

Dans tous les types de restaurants
Cet engouement tient au fait que les Français sont toujours de gros consommateurs de viande, mais aussi à l’offre qui a sensiblement évolué au cours de ces dernières années.
Les grandes chaînes continuent leur marche en avant, ce qui n’est pas le cas dans tous les pays. On voit également arriver sur le marché de nouvelles enseignes spécialisées qui se positionnent sur des produits qui montent en gamme. Mais surtout, le hamburger a fait son apparition sur la carte de beaucoup de restaurants classiques.
L’étude estime que 75% des restaurants ont aujourd’hui au moins un burger à la carte. Parmi eux, plus des trois quarts affirment désormais qu’il est même devenu le plat leader.

Des produits au goût français
L’apparition du burger dans la restauration «servi à table» a tiré la qualité vers le haut. Le plat, convivial et agréable à manger, offre aussi une grande diversité de préparation et d’ingrédients. Le fromage, ketchup n’est pas la seule variante, et chaque chef peut y apporter sa touche personnelle. Certains vont même jusqu’à y glisser une touche de foie gras, dans une fourchette de 5 à 20 euros. Et les admirateurs ne manquent pas à l'appel !

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José Bové va faire une apoplexie : le classique "jambon-beurre" symbole de la mal-bouffe à la française stagne, le hamburger, accolé maintenant à la séduisante épithète de "gastronomique", a le vent en poupe et la faveur des Français !  

le hamburger n'est pas de la mal bouffe contrairement à ce que dit monsieur Bové, c'est comme tout, un bon hamburger de temps en temps ne fait de mal à personne. Manger une entrecôte bordelaise tous les jours ne serait pas bon pour la santé non plus.

À Versailles, avec les jardiniers du potager de la reine

Le Point.fr a visité l'ancien jardin de Marie-Antoinette dont la production de fruits et légumes, limitée, est destinée aux cuisines du Plaza Athénée.

Par Clara Brunel
Publié le 05/07/2015 à 15:49



« Goûtez, ça va vous faire penser à quelque chose. » Mehdi Redjil tient entre son index et son pouce terreux la fleur bleu roi d’une plante duveteuse : la bourrache. Ça a le goût de l’huître. « Ça envoie, hein ? » s’enquiert le maraîcher responsable du potager de la Reine, sur le domaine du château de Versailles. Sous la houlette du très médiatisé Alain Baraton, le jardinier en chef de l’ancienne pépinière de Louis XV, le numéro 2 et son équipe cultivent les fruits et légumes de l’ex-jardin de Marie-Antoinette. Celle que les Français surnommaient « l’Autrichienne » avait réclamé à Louis XVI un espace où s’affranchir de l’étiquette rigide de la cour. Elle hérite du fameux hameau, dont l’accès, contingenté, dépendait de son seul bon vouloir.
Ce que donne la terre

À deux pas du Petit Trianon, l’endroit, privé, est fermé aux dix millions de visiteurs qui sillonnent le parc chaque année. Aujourd’hui sous l’autorité du ministère de la Culture, il approvisionne depuis plus d’un an les cuisines du Plaza Athénée, aux commandes desquelles officient le chef multi-étoilé Alain Ducasse et son chef exécutif, Romain Meder. La carte du restaurant est subordonnée à ce que donne la terre. Ce partenariat entend brouiller les frontières qui séparent le cuisinier et le jardinier. « Le chef m’appelle souvent pour savoir ce que j’ai en stock. Hier, il m’a donné des graines de quinoa pour qu’on lui en fasse pousser. Il veut même m’accompagner ramasser des champignons dans la forêt de Rambouillet ! » raconte Mehdi Redjil en délogeant un couple d’escargots d’un plant d’aromatique.
Zéro pesticide

Retour sur le potager. En plus de la dizaine de jardinets que compte le Hameau, il faut ajouter les petits champs, les nombreuses serres et l’imposante orangerie. Des centaines de buis taillés au millimètre bordent les allées qui mènent des plantations florales aux vergers. Des pancartes en ardoise indiquent en latin la famille, le genre et l’espèce de chaque variété cultivée : Fève, vicia, faba. On travaille sans pesticides. Mehdi Redjil prépare des purins à partir de végétaux ramassés dans le parc. « C’est moins efficace, mais ça renforce la plante pour qu’elle puisse se défendre. » Dernière condition pour produire de bons légumes : le respect des saisons. Ne pas tromper la nature sous prétexte qu’on a envie de rhubarbe en hiver. Sans oublier le double arrosage, manuel. « Au cas où on, aurait oublié un pied au premier passage. »

Il tire une serpette de sa poche et coupe une tige de sarriette. « Attention, c’est très fort ! Le chef dit que ça a un goût de mazout. » On lui donne raison. Aussi singulier que la ciboulette mauve au goût aillé que l’arroche, sorte d’épinard acide couleur amarante. Sans parler de la menthe chocolat qui rappelle la subtilité des After Eight et de la douceur des petits pois Sugar Ann, si sucrés qu’on pourrait les trouver au rayon confiserie. On retiendra aussi la tendresse des carottes blanches semées clair çà et là parce que le chef « n’aime que les petites carottes ». L’impeccable symétrie de la laitue salanova, grenat à l’extérieur, verte à l’intérieur rivalise avec l’éclat du chou rouge qui pousse indigo. L’origan doré « excellent dans la pizza » laisse sans voix. Les longues feuilles violacées des choux cabus se regroupent jusqu’à former une boule.
Travaux d'intérêt général

Ça existe, un légume dont Mehdi Redjil ignore la saveur ? « La cacahuète fraîche. » Heureusement qu’on avait dit un légume… « C’est un légume-graine ! Ça pousse comme les patates, dans la terre. » Lorsqu’on lui demande s’il aime cuisiner ce qu’il récolte, le jardinier répond, sans rire : « Je n'ai pas le choix : je suis célibataire. » Son Tupperware du jour contient des bonnottes poêlées au beurre doux, des asperges sauvages et des girolles sautées. Chacun déguste sa gamelle au soleil sur des tables de pique-nique entouré de ses collègues. Une jeune femme blonde en salopette s’installe sur la banquette en bois. « C’est ma sage-femme ! dit Mehdi Redjil. Elle fait germer toutes les graines qu’on va planter. » Nicolas, un garçon au visage juvénile muni d’un râteau salue à son tour l’équipe de la tête puis décampe. « C’est un TIG », explique Mehdi Redjil. Comprendre : un jeune condamné à des heures de travaux d’intérêt général. Alain Baraton tient à ce que tous les publics défilent sur ses jardins. Beaucoup s’y plaisent, si bien que certains ont même décroché un emploi à l’issue de leur peine.

Une dernière bouchée de chervis, une racine au goût de panais, et Mehdi Redjil nous entraîne déterrer des poireaux pour mieux les replanter. Le légume le plus difficile à cultiver selon le jardinier. Direction la parcelle contiguë aux plants de fenouil, vierge et au sol meuble. « Il faudra bien les plomber. » Traduction : on n’oubliera pas de tasser la terre avec de l’eau. Sur la portion de terrain voisine, Clément, jardinier vacataire de 25 ans, retire soudain son casque de ses oreilles. Il vient de tomber sur une pièce de monnaie vert-de-gris alors qu’il semait des endives sur fond de Renaud. Il exulte : « Encore un avantage du travail à Versailles ! » Le travail à Versailles… Un travail de fourmi accompli chaque jour par des fonctionnaires de l’État dans un décor hors du commun. Le lieu ne doit sa magie qu’au savoir-faire de ces employés consciencieux. Le potager de la Reine, c’est eux.

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je n'ai pas trouvé la raison pour laquelle, la production de fruits et légumes, limitée, est destinée aux cuisines du Plaza Athénée.

Zed a écrit:

La raison y changerait quoi?

Je demande parce que je suis complètement ignare du sujet

ne changerait rien, mais je cherche simplement à savoir pourquoi cette production est réservée à un hôtel plus qu'à un autre, parce que là, ça revient à dire que ce sont les jardins privés de l'hôtel Plaza Athéna alors qu'ils sont propriétés de l' Etat et que ce sont des fonctionnaires qui l'entretiennent payés par l' Etat, donc nos impôts..................

Marieden a écrit:

le hamburger n'est pas de la mal bouffe contrairement à ce que dit monsieur Bové, c'est comme tout, un bon hamburger de temps en temps ne fait de mal à personne.  Manger une entrecôte bordelaise tous les jours ne serait pas bon pour la santé non plus.

Ben voilà, manger est avant tout un moment d'introspection, d'auto-satisfaction, de repli sur soi bienfaisant... et au diable les considérations scientifiques, souvent précédées de "pseudo", qui alimentent des dogmes et des idéologies mortifères !  

Biloulou a écrit:

Marieden a écrit:

le hamburger n'est pas de la mal bouffe contrairement à ce que dit monsieur Bové, c'est comme tout, un bon hamburger de temps en temps ne fait de mal à personne.  Manger une entrecôte bordelaise tous les jours ne serait pas bon pour la santé non plus.

Ben voilà, manger est avant tout un moment d'introspection, d'auto-satisfaction, de repli sur soi bienfaisant... et au diable les considérations scientifiques, souvent précédées de "pseudo", qui alimentent des dogmes et des idéologies mortifères !  

Vous avez dejà gouté le made in McDo ?
C'est saturé de sucre, de sauce poisseuse, avec une semelle dedans et un truc vaguement javelisé qu'il appellent "salade". Je ne suis meme pas sure que le fromage ait dejà vu une vache. Les gamins raffolent du gout.
Sans etre une copine à José -il me sortirait plutot par les yeux le moustachu pseudo gaulois- quand il vise l'enseigne, il n'a pas tout à fait tort en matière d'obesité entretenue et de saletés pour la santé... Apres, les methodes de voyou et la confusion ecolo-economique, c'est autre chose.

On peut eviter une generation de petits gros poussifs qui auront du mal à faire 100 metres à pied et à 30 ans en choisissant autre chose que les agents de saveur pour faire leur bonheur. Il parait qu'etre parent, c'est aussi savoir se faire violence pour offrir le meilleur à sa descendance.


Mab -sauvée, mes vieux enfants decident tout seuls-

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

Marieden a écrit:

le hamburger n'est pas de la mal bouffe contrairement à ce que dit monsieur Bové, c'est comme tout, un bon hamburger de temps en temps ne fait de mal à personne.  Manger une entrecôte bordelaise tous les jours ne serait pas bon pour la santé non plus.

Ben voilà, manger est avant tout un moment d'introspection, d'auto-satisfaction, de repli sur soi bienfaisant... et au diable les considérations scientifiques, souvent précédées de "pseudo", qui alimentent des dogmes et des idéologies mortifères !  

Vous avez dejà gouté le made in McDo ?
C'est saturé de sucre, de sauce poisseuse, avec une semelle dedans et un truc vaguement javelisé qu'il appellent "salade". Je ne suis meme pas sure que le fromage ait dejà vu une vache. Les gamins raffolent du gout.
Sans etre une copine à José -il me sortirait plutot par les yeux le moustachu pseudo gaulois- quand il vise l'enseigne, il n'a pas tout à fait tort en matière d'obesité entretenue et de saletés pour la santé... Apres, les methodes de voyou et la confusion ecolo-economique, c'est autre chose.
On peut eviter une generation de petits gros poussifs qui auront du mal à faire 100 metres à pied et à 30 ans en choisissant autre chose que les agents de saveur pour faire leur bonheur. Il parait qu'etre parent, c'est aussi savoir se faire violence pour offrir le meilleur à sa descendance.
Mab -sauvée, mes vieux enfants decident tout seuls-

C'est ce qu'on appelle la cuisine-fusion ?
En tout cas vous avez, en France, de curieuses interprétations du hamburger, pas toutes très heureuses, à te lire...

Et si les tristes "vertus" de cette interprétation-là venaient de l'accompagnement que vous lui infligez ? Frites, mayonnaise, bière, sodas saturés de sucre...

bon, moi je parle hamburger pas Macdo si je fais un hamburger façon maison, il sera bon... si si

et puis, ce qui n'est pas bon, c'est uniquement l'abus, que ce soit en matière de nourriture de boisson, de tabac ........... moi, j'aime ma petite clope par jour, c'est un plaisir parce que justement ce n'est qu'un par jour

kalawasa a écrit:

Marieden a écrit:

moi, j'aime ma petite clope par jour

Attention , Marieden : la Marisol a dit que fumer était un "geste de séduction" . Demandez l'avis de Charly ...

oui mais bon .....c'est la Marisol ....... il faudrait qu'elle se décoince un peu..... juse un peu (moi, je n'obéis à personne, je fais ce qui me plait quand ça me plait )

Marieden a écrit:

bon, moi je parle hamburger pas Macdo    si je fais un hamburger façon maison, il sera bon... si si

Je n'en doute pas une minute, le fait-maison y a qu'ça d'vrai, mais vous n'en fabriquez peut etre pas plusieurs millions par an.
(Et c'est à cet instant qu'on apprend qu'il s'agit de Marieden Burger King    )

Pour la cigarette, ne culpabilisez pas, du moment que vous ne les mangez pas...

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Biloulou, ce n'est pas la conception française du burger, mais celle de McDo que je remets en cause. Meme sans frites, Coca ou mayonnaise. Il y a peu de moments où je trouve que l'exception française a du bon, mais quand c'est le cas, je me dis qu'on est assez vernis par ici -à condition qu'il y ait du cornichon dans le jambon beurre, et du vrai cornichon.
Par contre je te trouve injuste avec le Coca; il est tres bien pour nettoyer les bijoux argentés.


Mab

Mara-des-bois a écrit:

(...) Biloulou, ce n'est pas la conception française du burger, mais celle de McDo que je remets en cause. Meme sans frites, Coca ou mayonnaise. Il y a peu de moments où je trouve que l'exception française a du bon, mais quand c'est le cas, je me dis qu'on est assez vernis par ici -à condition qu'il y ait du cornichon dans le jambon beurre, et du vrai cornichon.
Par contre je te trouve injuste avec le Coca; il est tres bien pour nettoyer les bijoux argentés.
Mab

Bonjour Mab !

Évidemment, c'est pour t'allumer juste un peu (je suis à la bonne école) que j'ai fait semblant de voir dans tes dires la description de hamburger made in France.

Pour tout te dire, mon record doit se situer à trois hamburgers par an. Et je ne fais pas la différence entre McDo, Quick... mais je devrais, Quick est d'origine belge.
Depuis que la rumeur s'est installée (j'adore, ça me galvanise), j'ai cherché sans trop de zèle, et j'ai trouvé une étude des valeurs diététiques patronnée par Test-Achats, la plus importante organisation de consommateurs de Belgique, une émanation  du PS.

De mémoire, toutes les marques se valent ; au point de vue hygiène, 20/20. Pas étonnant, quand on connaît la rigueur de la Food and Drug Administration, qui a inspiré toutes ses consœurs dans le monde...

Alors, la valeur diététique... toutes se valent aussi.
Si on se tient uniquement au hamburger, les valeurs sont un peu meilleures que le traditionnel jambon-beurre et nettement meilleures que le steak béarnaise.

Alors, ma seule hésitation les rares fois que j'en mange, est : boeuf? poisson? poulet?

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Bon, je tempère la valeur de Test-Achats comme référence : il y a de looooongues années, ils s'étaient procurés un dossier sur les pneus du Concorde échangé entre ses fabricants et Kléber-Colombes, concluant à la nécessité de revoir la conception des pneus.
Test-Achats a fait savoir à Kléber qu'ils allaient publier cette étude en faisant un amalgame entre les pneus du Concorde et ceux des voitures... sauf payement d'une somme rondelette...

Du chantage ? Que nenni, la mission de TA était d'informer les consommateurs, et s'ils ne divulguaient pas le dossier, ce montant serait utilisé au profit des consommateurs (lisez TA), en compensation.
Bof, dès lors... faut relativiser.

Donc, je reste à mon interrogation existentielle : boeuf? poisson? poulet?